D21 Rapport sur notre planète d’origine.

UMMOAELEWE

Langue : Espagnol.
Nombre copies : 28

Monsieur,

Nous sommes conscient de la transcendance de ce que nous allons vous dire. Nous sommes conscients qu’une affirmation de ce type n’est d’habitude formulée que par un farceur, un perturbé mental aux idées délirantes, ou par quelque journaliste ou publicitaire, afin d’exploiter l’information à son propre profit.

Quand une nouvelle sort du cadre normal de vraisemblance, et qu’il manque des moyens et des éléments de jugement pour vérifier sa réalité, tout esprit équilibré et intelligent a le droit, et doit adopter une attitude sceptique ou de méfiance. « On ne doit pas accepter le simple témoignage encore moins, comme dans le cas présent, quand son origine est inconnue et donc suspecte de supercherie ».

Quant à nous, il est évident que ce que nous allons dire est certain. Mais nous ne pouvons vous demander en toute logique de croire une information aussi fantastiques. « Nous admettons qu’à votre place nous réagirions de la même façon ».

Par contre, l’attitude de celui qui tolère « A PRIORI » une quelconque version est admissible, si ensuite il l’analyse soigneusement et sans passion afin de rechercher la vérité. En fait tous les chercheurs de la planète TERRE ont suivi ce critère.

Si des concepts qui HIER semblaient fantastiques et absurdes n’avaient pas été analysés par les spécialistes compétents, seriez-vous à l’heure actuelle au même stade culturel que connait la Terre?

Mais si de tels concepts sont faux, si de telles versions sont frauduleuses, et s’il s’agit uniquement d’impostures habiles, LA VÉRITÉ doit se faire jour en démasquant le farceur, le paranoïaque ou l’imposteur qui prétend les faire passer sous l’étiquette de SCIENTIFIQUES.

Nous avons suffisamment étudié votre histoire pour remarquer l’immense nombre de faux prophètes, d’esprits paranoïaques, qui à leur profit, exploitèrent la crédulité ingénue des scientifiques de bonne foi.

Nous avons vu comment la Science a dû lutter contre des formes nébuleuses de superstition, d’astrologie, de théosophie, de spiritisme et de radiesthésie. Et même si elles avaient quelques principes valables et susceptibles d’être étudiées, dans l’ensemble elles présentèrent une accumulation d’affirmations gratuites, de raisonnements analogiques absurdes, de pétitions de principe totalement inacceptables pour un esprit équilibré.

Ces dernières années, à cause de l’apparition dans l’atmosphère terrestre des U.F.O., O.V.N.I. ou SOUCOUPES VOLANTES, la fantaisie des hommes de la Terre a augmenté avec la multiplication dans la presse de fausses nouvelles concernant ces phénomènes et, ce qui est plus grave, l’apparition dans de nombreux pays d’individus comme Georges Adamski en 1952, Daniel Fry ou la norvégienne Edith Jacobsen en 1954, qui juraient avoir eu des relations avec des êtres originaires d’autres planètes.

Ces sujets, et la crédulité initiale des masses qui acceptaient ces versions absurdes, ont discrédité totalement les études sérieuses qui étaient l’œuvre de départements techniques officiels de certains gouvernements.

Conscients donc que de telles versions ont créé un climat logique de méfiance, il n’est pas surprenant que se produise une répétition de ce petit conte populaire de la terre concernant le berger et le loup.

Pour ces raisons, nous sommes parfaitement conscients du fait que nous n’allons pas être crus en ce qui concerne la révélation que nous vous exposons maintenant.

Nous répétons que notre objectif principal ne consiste pas à être crus, sans l’apport d’autres preuves que ces documents que nous allons vous envoyer. Ceci ne veut pas dire qu’ils ne constituent pas de véritables arguments et preuves de notre identité, comme nous l’avons déjà fait aux États-Unis, Angleterre et ici même en Espagne avec une autre personne. En fait d’autres pays nous connaissent aussi. L’Australie, l’Allemagne et l’Union Soviétique sont en train de recevoir en ce moment nos rapports, qui sont destinés à d’éminents hommes de Science. Et tout en reconnaissant qu’un grand nombre d’entre eux ont déchiré nos lettres en croyant logiquement qu’elles étaient l’œuvre de farceurs ou de perturbés mentaux, dans certains cas, l’écrasante collection de données scientifiques véritables que nous avons soumise a finit par convaincre de nombreuses personnes qu’au fond il y avait, pourrions- nous dire, quelque fond de vérité.

Avec ces gens, les relations ont continué, et si tous étaient réticents ou méfiants, ils ont finalement mesuré objectivement l’étrange situation sans écarter du tout l’hypothèse de notre « supposée » identité .

Pour cela nous vous demandons de lire soigneusement ce que nous allons vous dire : si vous le faîtes au début par simple curiosité cela n’a pas d’importance, et si vous écartiez totalement l’idoinéité de nos affirmations apparemment fantastiques; nous ne sommes pas assez ingénus pour nous attendre d’être crus.

De plus, il y a une seconde raison qui peut vous paraître paradoxale et que nous vous expliquerons le moment opportun. Nous ne désirons pas que les masses prennent conscience de notre existence. Et nous avons de puissants motifs qui justifient notre attitude.

Jusqu’à maintenant et sauf en de rares occasions, nos contacts se sont réduits à des hommes de Science (des purs chercheurs et quelques ingénieurs) à qui nous avons apporté des éléments sur la physique, la biologie et la psychologie, éléments qui étaient intéressants pour eux, ainsi que quelques procédés techniques d’applications industrielles qui, comme par exemple dans un cas concret : A.W.R. d’Atlanta (EE.UU.) furent acceptés et brevetés avec surprise et en croyant qu’ils provenaient de quelque scientifique excentrique et original.

Il y a donc des raisons qui nous poussent à nous présenter à vous , faisant partie de ce groupe réduit de personnes qui, avec plus ou moins de formation intellectuelle, s’est préoccupé dans tout le monde de ce problème des U.F.O.

Nous sommes originaires d’une Planète dont l’expression verbale phonétique pourrait s’écrire ainsi : UM-MO (le « U » très fermé et guttural, le M pourrait s’interpréter comme un B) dont les caractéristiques les plus importantes sont :

ORBITE Elliptique d’excentricité 0,007833 avec un foyer dans l’étoile que nous appelons IUMMA ou Yumma qui réalise les mêmes fonctions que votre SOLEIL.

DISTANCE DE IUMMA, au SOLEIL. La distance apparente, c’est-à-dire celle que suivrait un faisceau cohérent d’ondes dans l’espace à trois dimensions était le 4 Janvier 1955 de :

14,437 années-lumière.

La distance réelle (distance droite dans l’espace décadimensionnel) était à cette même date, suivant notre mesure:

3,685 années lumières

La première distance est celle utilisée par les astronomes terrestres pour leurs calculs (en dédaignant les courbures de la lumière quand elle traverse des Champs de forte intensité gravitationnelle), une telle distance est « constante » pour deux corps fixes dans l’espace. La seconde distance est une fonction de temps qui se mesure dans un espace de N. dimensions et qui présente une certaine périodicité. Sa mesure est très importante car elle est en relation avec nos voyages galactiques.

RAYON EQUATORIAL DE UMMO mesuré à la côte Universelle de VAUAWEE R = 7251,61 kilomètres.

MASSE DE UMMO : M = 9,36.1024 kilogramme/masse.

INCLINAISON à la Normale du Plan de Translation : 18°39’56 »

TEMPS DE ROTATION SUR SON AXE : 600 UIW ACCELERATION DE LA GRAVITE sur UMMO : 11,88 mètres/seconde2

Bien que cela puisse vous étonner, nous ne sommes pas certains que l’étoile que vous avez cataloguée corresponde avec notre IUMMA (SOLEIL DE UMMO). A l’aide d’une translation de coordonnées nous avons estimé que depuis la Terre vous verriez notre IUMMA comme une étoile aux caractéristiques suivantes :

ASCENSION DROITE : 12 heures 31 minutes 14 secondes.

DECLINAISON : +9° 18′ 7″ (zone de la constellation de la Vierge)

MAGNITUDE VISUELLE ABSOLUE : 14,3

MAGNITUDE VISUELLE APPARENTE : Sûrement plus réduite à cause d’un grand nuage de poussières cosmique à 3,682 parsecs. Mais elle doit être comprise entre 12 et 13, et ne vous est accessible que par des moyens photographiques.

TYPE SPECTRAL : (selon le codex Astronomique Terrestre) Type M (notre IUMMA est ce que vous appelez une ETOILE NAINE)

Malheureusement les erreurs commises par vous en ce qui concerne la mesure des distances, sont dans de nombreux cas supérieures à 15% et on observe en plus des divergences dans les mesures enregistrées dans les différents catalogues d’étoiles terrestres.
De sorte qu’il résulte qu’il est impossible, même par une translation d’axes effectuée avec le plus grand soin, d’identifier une même étoile codifiée par nous avec une autre cataloguée par les astronomes de la Terre. Nous croyons cependant que notre IUMMA peut quand même être cette étoile que vous avez enregistré sous le nom de WOLF 424 car ses coordonnées ressemblent à celles que nous vous avons indiquées.

Notre structure géologico-géographique est assez différente de la Planète Terre. Les Océans occupent 61,84 % avec des eaux dans lesquelles prédominent divers chlorures alcalins .  Il y a un seul continent rempli de grands lacs, le plus grand d’entre eux, le AUWOA SAAOA (PETITE MER DE DIEU) a quelque 276.103km2. Nos montagnes (très érodées) présentent à peine des formes accidentées.

Les OAG OEII sont des espèces de volcans qui ont la forme de grandes crevasses qui projettent de très hautes et brillantes colonnes incandescentes de méthane-pentane-oxygène.

Nous utilisons un langage double (grâce à une répétition séquentielle de nombreux mots, nous pouvons exprimer deux courants simultanés d’idées). Les mots notés dans ce document sont des expressions graphiques approximatives de leur phonie réelle.

En mathématique, nous utilisons un système de numérotation en base 12 (mais nous n’avons que dix doigts comme vous). Les raisons sont purement historiques. Comme simple curiosité, nous ajoutons un tableau de vos symboles mathématiques et leur équivalence dans les nôtres (Image A)

Nous ajoutons ici quelques unités utilisées sur notre planète.

UNITE DE LONGUEUR ASTRONOMIQUE : on prononce WAALI et elle équivaut à 124,3 années-lumière.

 

UNITE UNIVERSELLE DE LONGUEUR : le ENMOO = 1,8736658… mètres.

 

UNITE DE TEMPS :UIW = 3′ 09 secondes

 

La fréquence des impulsions d’activation des Centres nerveux situés dans le Plexus Choroïdien ventro-latéral de l’encéphale est de 6.123 cycles par seconde (Unité de fréquence très utilisée en neurophysiologie).

 

Constante Biogénétique : 6,58102.12-10 secondes. C’est le temps mis par l’état quantique pour s’établir dans l’atome de carbone de la chaîne d’acide désoxyribonucléique pour la formation d’un GÈNE

Les habitants de UMMO possèdent un corps dont la morphologie physiologique est analogue à celui de « l’Homo Sapiens » terrestre. Ceci est logique si vous considérez que les lois Biogénétiques sont de rigueur pour tout l’Univers. Seules de petites différences de constitution par rapport à vous apparaissent entre nous. Pour un fort pourcentage des habitants de notre planète, l’organe de phonation s’hypertrophie durant l’adolescence et ainsi la glotte subit un processus de sclérose qui nous empêche d’utiliser l’expression verbale acoustique. Cependant l’aide de dispositifs spéciaux, amplificateurs de faibles fréquences, nous permet de parler normalement même si le timbre de la voix n’est pas si harmonieux que le vôtre car il ne possède pas les harmoniques supérieures et sa gamme des graves est plus réduite.

Nous sommes un peuple plus ancien que le vôtre qui a déjà atteint un niveau de Civilisation élevé. Notre structure sociale est très différente de la vôtre. Notre gouvernement est régi par l’ UMMOAELEWE (CONSEIL GENERAL DE UMMO) composé de quatre membres qui furent sélectionnés sur tout UMMO au moyen d’étalonnage psychophysiologiques. Les lois sont élaborées en fonction des principes sociométriques qui régissent l’humanité de notre Planète.

La coordination du travail de la population s’obtient par une discipline de groupe efficace. Notre structure économique est radicalement différente de la vôtre. Nous ne connaissons pas cette curieuse institution de l’argent car dans toutes les transactions des quelques biens mesurables qui existent sur UMMO, intervient le réseau de XANMOO (Espèces d’ordinateurs ou cerveaux électroniques). D’autre part les biens de consommation (aliment, mobilier, etc) ne sont pas mesurables car leur abondance excède de beaucoup la demande. La terre et l’espace sont socialisés.

Nous sommes une société profondément religieuse. Nous croyons en WOA (DIEU ou CREATEUR) et nous possédons des arguments scientifiques en faveur de l’existence du BUAWAA (AME). Nous connaissons de plus un Troisième Facteur de l’homme qui le relie avec l’âme adimensionnelle. Il est situé dans le cortex encéphalique et nous avons informé deux neurophysiologistes terrestres de sa découverte.
Notre religion est si semblable au Christianisme terrestre que nous avons été véritablement surpris en nous en apercevant. La seule différence, c’est que sur UMMO il est apparu à un stade de notre Humanité où la Civilisation était plus développée que la vôtre au temps de Jésus-Christ.

Notre mode de vie, nos coutumes sexuelles, nos distractions, etc, sont aussi très différentes comme vous pouvez le supposer. Il n’y a pas de véritables races parmi les hommes de UMMO et les variétés et espèces biologiques sont plus limitées que sur la Terre. Ceci est dû au fait que la probabilité de mutations génétiques sur les chromosomes est bien plus faible car notre atmosphère est plus protégée que la vôtre des effets secondaires des Radiations Cosmiques.

Notre première arrivée sur Terre se produisit en profitant des excellentes conditions isodynamiques de l’espace (courbure de l’espace) qui eurent lieu à cette époque là. Trois de nos OAWOOLEA UEWA OEM (que vous appelez O.V.N.I. ou Soucoupes volantes) atterrirent en un point du département français des Basses-Alpes à 13 kilomètres de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE, à 04 h 17 minutes GMT (heure de Greenwich), le 28 Mars 1950.

Inutile de vous parler des premières vicissitudes subies par notre premier groupe explorateur qui dût faire face à de très graves situations dues à l’ignorance absolue de la langue et des coutumes terrestres. 

Depuis lors sont arrivés d’autres astronefs et en particulier trois OAWOOLEA UEWA en Février 1966.

Les contacts avec l’orographie terrestre furent enregistrés ainsi :

Arrivée de deux frères aux environs d’ Erivan (Territoire Soviétique à 18 h 47 minutes (heure espagnole). L’endroit est situé à 6 km de la rivière Araks le 6 Février 1966.

Arrivée de deux frères à 20 h 02 minutes en un endroit situé près de Madrid (Territoire Espagnol) près de la Colonie d’Aluche le 6 Février 1966

Arrivée de trois frères en un point situé aux environs de Townsville (Queenland : Territoire Australien) à 22 h 45 minutes le 6 Février 1966 (heure espagnole).

Les caractéristiques divulgables, celles qui ne sont pas assujétties à nos normes de sécurité, de nos OAWOOLEA UEWA sont :

Base circulaire de diamètre extérieur 7,1 Enmoo (quelques 13,18 métres).

Section transversale, pseudo-lenticulaire, de hauteur approximative de 3,25 mètres.

Trois pieds extensibles aux panneaux d’appui rectangulaires.

Les perturbations magnétiques enregistrées par l’ingénieur soviétique Alexei Krylov, ne sont pas dues au fait que la nature même de la propulsion soit le magnétisme. La forte induction observée, à 10 mètres de son « centre d’inertie » et qui atteint fréquemment 4600 gauss, est due à un effet secondaire.

Notre finalité en venant sur Terre, est centrée sur l’étude et l’analyse de la Culture Terrestre. Il est difficile d’établir en quelques paragraphes les différences essentielles entre notre Civilisation et la vôtre, car si notre niveau de formation technologique et scientifique est beaucoup plus élevé, nous reconnaissons que certaines formes d’art (peinture, sculpture, et surtout musique) ont été plus développées chez vous.

Il existe de puissantes raisons, connues des personnes avec qui nous sommes en contact, pour que nous ne fassions pas connaître officiellement, même si certains organismes officiels de quelques pays ont maintenant conscience de notre arrivée sur Terre.

Les scientifiques et les entités culturelles qui ont reçu nos rapports ont été nombreux sur Terre. Mais nous reconnaissons que les résultats, comme on pouvait le prévoir, ont été pauvres en tenant compte du fait du scepticisme, non dépourvu de bonne humeur, avec lequel ils ont été accueillis. Quand nous avons apporté de véritables révélations comme par exemple la photographie tridimensionnelle sans l’aide de moyens oculaires de vision, ou les intéressants développements mathématiques concernant par exemple la théories des graphes ou réseaux, ils ont été attribués par les destinataires à un quelconque scientifique excentrique ou farceur.

Nous ne disons pas cela par dépit ou amertume. D’un point de vue psychologique de telles réactions sont normales. Nous voulons vous donner une courte liste des personnes espagnoles avec qui nous avons établi le contact en nous faisant connaître.

Un spécialiste en astrophysique de l’observatoire Astronomique de Fabra (Barcelone), nous lui apportâmes des éléments sérieux concernant les étoiles nouvelles mais il refusa de continuer les relations téléphoniques en nous demandant de ne pas divulguer son identité (Décembre 1961).

Un professeur de la Faculté de Médecine de Madrid en Mars 1962.

Un professeur de la Faculté des Sciences Chimiques de Madrid, en Février 1965.

Tous furent totalement sceptiques et demandèrent ardemment la cessation de nos envois postaux, malgré le fait que ceux remis au second parlaient de très intéressants problèmes concernant le comportement de quelques colloïdes.

Un aide-comptable de Madrid. Il accepta, moyennant une rémunération, de nous accorder son aide pour taper les documents (cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) et à ce jour nous acceptons qu’il fasse des déclarations sur cette expérience. Déclarations que nous jugeons pertinentes.

(premier contact février 1966).

Le fonctionnaire public de la Capitainerie Générale de Madrid, Monsieur Fernando Sesma Manzano (rue Fernando el Catolico n°6).

Ce monsieur avait publié quelques monographies concernant certains contacts qu’il aurait établi avec des êtres Extraterrestres, même si ses versions étaient faussées par des éléments qui nous paraissaient fantastiques. Eléments dans lesquels, la magie, l’astrologie et le symbolisme étaient arbitrairement interprétés, mais où quelques points attirèrent notre attention. Nous établîmes un premier contact avec lui le 14 Janvier 1966 en le soumettant à une série d’épreuves pour nous assurer de sa bonne foi ou de son excès de crédulité.
Monsieur Sesma se montra sceptique au début et nous avons pu vérifier sa droiture tout en étant en désaccord avec lui au sujet de ses expériences antérieures que nous attribuions à un simple farceur.
Jusqu’à aujourd’hui nous avons envoyé à ce monsieur un grand nombre de documents concernant notre Civilisation et notre Structure Sociale.

Un artiste peintre résidant rue Conda de Penalvar n°20 Madrid. Il fit quelques déclarations à la presse concernant l’atterrissage d’Aluche le 6 Février 1966, déclarations qui motivèrent notre intérêt pour lui. Nous le sollicitames pour une entrevue personnelle qu’il refusa, en l’interprétant comme un acte de blagueurs (NdT: E. Gran)

Deux dames vivant à Madrid et qui se prêtèrent gentiment à un test psychotechnique pour nos mesures sociométriques en Mars-Avril 1966.

Un prêtre catholique Severimo Machado (rue Espoz et Mina 7 3° d. Madrid) avec qui nous avons établi un contact postal et téléphonique, et qui se montra logiquement réservé en attendant de nouvelles preuves, (Avril 1966).

Comme vous le voyez, jusqu’à maintenant les résultats comportent un pourcentage élevé de réactions négatives (pas très supérieur à celui que nous avons mesuré dans les autres pays où nous avons établi des contacts analogues) sauf aux États-Unis où 16% environ des personnes contactées se montrèrent apparemment crédules.
En Espagne, seul Monsieur Sesma Manzano semble avoir accepté notre identité (après avoir obtenu des preuves comme par exemple l’annonce anticipée de notre atterrissage à Madrid le 6 Février). Notre vaillant collaborateur, à qui nous dictons généralement nos écrits, a reçu un grand nombre de preuves et nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion. Nous craignons avec raison la répétition d’un incident qui s’est produit à Milan quand notre auxiliaire nous dénonça aux autorités en nous traitant d’espions.

 

Monsieur :

Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d’autres Astronefs qui ne sont pas nécessairement les nôtres (U.F.O.) dans l’atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l’origine de tels véhicules (sauf les cas d’illusions, d’hallucinations ou de farces) est de type galactique. Sur Ummo nous avons officiellement établi des contacts avec d’autres civilisations, mais nous désirerions connaître comme vous l’origine de celles qui arrivent sur Terre. Mais ici nous n’avons pas les moyens techniques pour les identifier.

 

Monsieur :

Nous n’espérons pas être crus. Il est très probable que vous allez sourire en lisant les paragraphes précédents en les considérant comme frauduleux et purement fictifs. En agissant ainsi, vous vous comportez intelligemment car les affirmations sans preuves pour les avaliser n’ont pas de valeur. Si nous nous sommes adressés à vous, c’est parce que nous savons que vous croyez à l’origine Galactique de ces O.V.N.I.
Nous avons des raisons pour penser que, de même que nous sommes venus vers vous, il existe un certain degré de probabilité pour que ces autres êtres, s’ils établissent des contacts dans un pays quelconque, le fassent avec des gens favorables à cette hypothèse plausible.

Nous désirons donc que vous nous fassiez une faveur sans conséquences pour votre prestige et votre économie. Si vous le désirez vous pouvez occulter la nouvelle de la réception de ce message. Ce que nous allons vous demander est compatible avec n’importe quel conception que vous auriez formé concernant notre personnalité.

Nous allons vous dicter une série de chiffres (nombres) exprimés dans le système de numérotation binaire. Nous vous supplions de les conserver. Si, bien que peu probable dans votre cas, quelqu’un s’adresse à vous prétendant venir d’une autre Planète, il devra réagir en vous donnant une autre séquence de nombres.

INSTRUCTIONS

Si quelqu’un d’étranger essaie d’établir avec vous des relations verbales (téléphone ou entrevue) il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude réticente pour éviter quelque type de farce ou éluder la conduite anormale de mentalités qui présentent un supposé syndrome psycho-pathologique.

Généralement les farceurs présentent leurs arguments sous une forme peu élaborée. Par contre, il existe de nombreuses formes d’idées délirantes dont la structure, apparemment parfaitement cohérente et logique, a une force de persuasion très élevée, surtout si les individus qui les présentent sont des malades intelligents (dans le cas de la paranoïa terrestre, ce syndrome est parfaitement compatible avec un coefficient intellectuel élevé).

Si dans ce cas la personne qui se prétend voyageur spatial, offre un minimum d’arguments cohérents et apparemment sérieux, donnez lui ou lisez lui cette série de chiffres (en prenant le risque que son identité soit usurpée).
S’il comprend bien et sans que vous le lui demandiez, (vous pouvez dire simplement que ces chiffres vous ont été remis par un ami, ou mieux encore, que pour prouver sa bonne foi on désire lui faire passer un test) il devra à son tour vous donner une séquence de chiffre différente – également en système binaire – que nous vous demandons de noter.

En temps voulu, nous vous donnerons le nom d’une personne qui servira de liaison entre vous et nous. Si, nous le répétons, un cas se produit (peu probable en ce qui vous concerne mais possible statistiquement pour quelque membre de votre groupe) je vous demande, au nom de ce groupe avancé d’UMMO, d’écrire à notre intermédiaire en lui communiquant :

 

LES CHIFFRES DICTÉS PAR LE SUJET – L’IMPRESSION QU’IL VOUS A FAITE – LES DONNÉES VARIÉES QU’IL VOUS A APPORTÉES – LA DATE DU CONTACT

Pour finir, nous vous donnons deux fois la série de chiffres, répétés plusieurs fois pour plus de sécurité, de crainte que la multicopie ne rende illisible l’une d’entre elles:

1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1

1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1

(NdT: cette série représente, en décimal: 727 – 37 – 2599. Elle se retrouve dans la lettre 89, mais complétée par une série représentant: 39 – 5045)

Nous vous remercions cordialement de votre attention. Même s’il s’agissait d’une farce ou d’une idée délirante, vous ne risquez rien en nous faisant cette faveur. Nos respect Monsieur.

Ordre de DEII 98, fils de DEII 97
sous couvert de YU 1, fille de AIM 368.

Laisser un commentaire