D491 A PROPOS D’UNE FRAUDE SUR LE SAINT SUAIRE DE TURIN

 

UMMOAELEWE

Langue : Espagnol

Nombre de copies : N

Reçue le (1988)

Distingués OEMI (hommes)

Nous sommes d’origine étrangère. Nous sommes arrivés sur Oyagâ (planète Terre) en un point situé à la Javie (France) vers le 28 Mars 1950.

Nous savons avec certitude que cette présentation véridique suffit pour que le contenu de ce message soit automatiquement déprécié. Sans doute penserez vous que les signataires de cette lettre sont des déséquilibrés mentaux ou peut être quelques plaisantins ou qu’ils se cachent derrière cette étrange identité pour des raisons très troubles.

Pour cela nous vous supplions d’oublier ce déplaisant préambule et de nous identifier comme des citoyens de ce pays qui désirent avec ferveur entrer en contact avec vous et formuler une dénonciation très grave.

Nous savons qu’une affaire aussi trouble se doit d’être considérée avec beaucoup de réserve quand les signataires sont de parfait inconnus, sans plus de garantie qu’une lettre aninyme et sans plus de preuves que le camouflage d’une ^rétendue identité inadmissible pour des esprit sensés comme les vôtres.

Pour cela nous vous invitons à lire d’abord jusqu’au bout et à juger ensuite. Sans doute vous interrogez vous sur les raisons qui nous ont poussé à écirer cette matrice de données mécanographiques. Nous sommes attristé par la gigantesque fraude commise. Parce que cela concerne un homme singulier que nous identifions comme un Oumowoa. Une rareté biologique dans votre classification taxonomique qui serait identifié comme l’unique représentant d’une espèce différente, bien sûr, distincte de celle d’Homo Sapiens Sapiens.

Autour de son image, il a promu un mouvement social gigantesque nommé Christianisme sous des dénominations différentes, c’est une réalité indiscutable que tous nous efforçons de respecter quoique nous ne partagions pas vos croyance. Nous croyons cependant que la foi manifestée par tant de millions d’oémi exprime suffisamment l’importance que nous concédons à cet événement sociologique. Mis à part l’importance biologique que nous concédons à la naissance de l’Oémiwoa qu cours de l’évolution de vos espèces.

En effet, les données des génotypes des hommes diffèrent en nature de celle de l’Oémiwoa engendré et cette modification n’est pas le fruit d’une intervention divine, comme vous le croyez, entr’autes raisons parce que l’essence de Woa est radicalement différente de celle qu’imaginent les théologiens de la Terre.

La venue de cet Oémiwoa était régie par les lois du hasard quoique sa rareté intrinsèque l’a rendu plus précieux aux yeux des chercheurs et un cas d’étude obligé pour ceux qui s’intéressent de près a ces problèmes spécifiques.

Cette gestation a eu lieu sur la pluspart des astres froids évolués que nous avons visité. Et dans tous nous avons observé, avec une vraie curiosité, dans une attente superstitieuse et avec une rigueur scientifique, que le niveau scientifique de ces civilisation était très élevé (mais il y a des cas où un Oumowoa n’est pas apparu malgré un niveau avancé de développement technologique)

Pourtant le nouveau phénotype a des caractéristiques très fines qu’a pu découvrir Oyîa 64, augmentant de façon puissante la capacité de conscience du sujet et, en conséquence de sa liberté de libre arbitre, il a atteint la limite permise par l’évolution des espèces. Ici se révèle un phénomène impressionnant qui remet en question toute la physique connue de vous.

Quoique dans d’autres messages remis à vos frères du Canada, France, Espagne, Australie et Union Soviétique, nous ayons éclairci cette question, nous préférons préciser qu’ainsi s’explique qu’autour de cette image se soit développé un mouvement sociologique qui ne peut être comparé à aucune autre manifestation religieuse.

Ceci est un préambule obligé avant le thème que nous allons traiter : une grave dénonciation. Dans l’absolu, comprenez que notre tristesse a été induite par des motifs religieux qui quoique très respectables,  n’ont rien de commun avec la raison éthique de notre indignation. La gravité de l’affaire se mesure bien si vous jugez que ce faus retarde de plusieurs années la solution historique d’un grand problème et diminue d’autant la possibilité de faire la lumière sur une énigme cosmologique.

Faisons un peu d’historique sur les antécédents de l’imposture que nous commentons. En effet, ces prolégomènes vous serviront pour comprendre l’attitude adoptée envers le sindon, éclairant au passage le génèse de la fraude.

Récapitulons avec précision les vicissitudes que ce tissu a subi jusqu’en 1929, date à laquelle se réalise la substitution. La gravité de l’acte est manifeste si l’on prend en compte que le sindon est un document inestimable qui prouve l’existence de Jossuah (Jésus comme nous le nommons plus haut dans cette matrice de données). Aucune autre pièce de cet événement n’a pu être retrouvée, et les autres reliques conservées sont le produit de fraudes ou de malinterprétations des faits. La plus anciennement conservée date du IIe siècle et beaucoup sont datables du VIIIe au XIVe.

Le lin enveloppant le corps de Jésus fut imprégné de produits, dont l’aloès pour soulager ses blessures, qui sont la cause de l’empreinte postérieure. La toile fut conservée secrétement par un de ses disciples, un travailleur agricole nommé Semah ou Semahel qui a été témoin avec d’autres de l’événement du énéssibiaêô (instant caractérisé par un niveau de conscience provoqué par un tableau dysthymique ou émotionnel qui lèse le système limbique et provoque la disparition du corps d’un homme-dieu dans un autre univers). Il est compréhensible qu’un événement aussi merveilleux entraîne la ferveur d’un peuple enclin au merveilleux et a donner à ce qu’il ne comprend pas une signification magique.

Le sindon fut conservé au début par Etienne, et après son assasinat, passa entre des mains inconnues y compris de nous, pour réapparaitre de nouveau dans celles de Proclus au IIIe siècle jusqu’à sa prise par les perses de la ville d’Edesse. A la fin, les templiers le sauvèrent, son secret fut révélé avec grande discrétion au roi Baudoin II et il resta caché jusqu’à ce qu’il soit récupéré par vous sous la forme déjà divulguée.

Surprenante votre crédulité quand suite à la réalisation de la fraude que nous allons commenter, la presse à sensation sortit le rapport naïf de Pierre d’Arcis de 1389 attestant que le sindon était un faux constitué par une peinture des traits qu’on dit être observés sur l’empreinte de la toile. La bonne foi de l’évèque de Troyes n’infirme pas l’authenticité reconnue tant par les pélerins que par les simples techniques modernes d’Oyagâ (astre froid Terre).

Etonnant de voir la sottise des journalistes qui expriment des arguments aussi absurdes aujourd’hui sans se documenter le moins du monde. Evaluation qui serait explicable au XIVe siecle avec une expertise rudimentaire mais résultat absurde en 1988.

Secondo Pia accomplit la tâche très difficile à cette époque de photographier le sindon à la lumière électrique. Ere propice alors sous le règne de Victor Emmanuel III.

Votre frère Secondo Pia fit une grande découverte en réalisant des négatifs de 50x60cm sur plaques photographiques orthochromatiques. Pendant le tirage au laboratoire, les deux plaques révéleront une image normale d’une très belle expressivité. Sa découverte fut impressionante et rapidement la nouvelle arriva aux oreilles de la hiérarchie vaticane.

Les membre de la Curie furent surpris, – jusqu’alors on le considérait comme un faux, par conséquent dévalorisé – et exigèrent une information exhaustive. Ce fut précisément votre frère biologiste Paul Vignon qui découvrit le mystérieux effet sur la toile. Les vapeurs ammoniacales réagirent avec l’aloètine (ne pas oublier que l’OEMIWOA ETAIT BADIGEONNE D’ALOES COMME ONGUENT CURATIF) générant une production de couleur jaune et un certain degré de viscosité qui tacha le tissu.

Ce fut le docteur Vignon qui mit en garde les quelques responsables quand eut lieu la découverte grandiose! Le sang du « cadavre » était « frais »! En différentes occasions il y eut une expertise similaire, Yves Delage et d’autres biologistes se relayèrent pour confirmer sa thèse. Comment est il possible qu’elle ne soit pas prise en compte? De même Barbet s’étonna. Le sang coagulé ne laisse pas de traces durables et les spécialistes le savent. En outre, ne figurent pas sur l’image du corps les marques de bandage correspondant à celles d’un cadavre, point qui a été « oublié ».

Se met alors en marche une opération d ’élimination des preuves avec le secret dessein de « découvrir l’imposture » dans le cas où l’affaire serait rendue publique. C’est une décision très grave. La présence de sang DEMONTE D’UN COUP LES PREMISSE QUI FONDENT LE CATHOLICISME (le sang incoagulé).

Il est nécessaire d’insister : l’hypothèse du Dr Vignon (docteur en sciences naturelles) est correcte (vaporographie) jointe à celle de René Colson (médecin, membre de l’académie des sciences de Paris). C’est ce que tous les experts attestent depuis qu’en 1532 le cardinal Louis de Gorrevod l’a examiné à fond et est parvenu à la même conclusion.

Ce sont sans doute les découvreurs des preuves de l’authenticité de l’empreinte de Josuha, d’une précision manifeste et admirable, avant que le sindon ne fut changé au cours de cette éxécrable imposture.

Quelques cardinaux étaient au courant. Ils étaeint moins de quatorze à avoir pris connaissance de l’affaire. On ignorait à cette époque qu’on puisse dater le lin avec tant de précision et on se contenta de la seule élimination des taches de sang liquide. De plus on prétendit encore ajouter les marques qu’un bandage disparu aurait laissées, en falsifiant l’empreinte, déjà nous voyons qu’il en résulta un autre effet.

On utilisa une toile du XVIIe siècle en procédant à la falsification de l’empreinte au moyen d’une sculpture de bois prudemment traitée avec des matières aromatiques. Ensuite, on ajouta bandes et bandages au moyen d’une bande de toile d’environ 14cm.

Le lin final est photographié sur des plaques semblables à celles obtenues par Pia. Le résultat était profondémment grossier pour un vrai authentique. Les images surperposées coïncident à peine et les nuances de couleur ne sont pas possibles sans l’addition de produits qu’une expertise serait capable de démasquer. Par malheur, l’apparaition des traces de bandage révèlent en grand la supercherie.

Nous n’étions pas sur Terre à cette époque et d’ici nous voyons de graves lacunes dans le portrait vivant des faits. Nous connaissons pas vraiment la date exacte des événements qui ont eu lieu de 1911 à 1916; il semble qu’il y ait une nouvelle tentative en juin 1918. Et un temps après, le cardinal Gotti, préfet de l’oeuvre de la programmation de la foi, et le futur cardinal de Baltimore (E-U d’Amérique), Mrg Gibbons, sont convenus en 1911 de cacher à Pie X et à son successeur (Benoit XV) le scandale que supposait la permutation.

Est incompréhensible le scandale qu’on se borne à constater l’effusion de sang que porte manifestement le saint drap. A ce moment on tenait la certitude que cette preuve démentait la cruxifixion mortelle. D’ailleurs, vous mêmes avez constaté que dans des circanstances déterminées la rupture des grands vaisseaux permet la survie selon le débit d’écoulement. De toutes façons il était difficile d’expliquer l’écoulement des autres blessures à cause de l’hypostase. (Le blessé fut mis sur un lit incliné d’environ 28°). L’état actuel du faux sindon n’est pas compatible avec la fibrinolyse, entendu qu’on a eu recours à un artifice pour sauver un fait qui était incompréhensible.

Pour la deuxième tentative on utilisa un tissu quasi semblable du milieu du XIXe siècle. On utilisa aussi une sculpture de bois proche de la projection précise du sindon primitif. Au préalable on sensibilisa le lin avec du bromure d’argent qui a disparu par des lavages ultérieurs. L’impression s’obtint aussi par l’imprégnation et vaporisation reproduisant avec soin la figure obtenue par l’épreuve de Secondo Pia et le contraste du lin original. Adroitement on refit les brulures des deux lignes centrales et une reproduction exactes des coutures. Les différents virages de tonalité requièrent un traitement méticuleux et on supprima définitivement les traces des bandages qui n’apparaissent pas sur l’original et partant sont suspectes.

Le faux terminé fut soumis à une commission réduite qui malgré la perfection obtenue s’accorda à le refuser. Un virage chimique s’était produit dans le peu d’espace de temps qui rendait évidente la supercherie.

Des deux épreuves suivantes (de 1920 à 1922 la première et la seconde en 1926), nous savons qu’on changea la technique en utilisant une forme metallique surchauffée. Malheureusement les deux linceuls furent détruits. Parce que survint une baisse de chaleur, la comparaison avec l’ancien sindon ne résista pas. Il a été possible de reconstruire la procédure suivie pour la confection de la supercherie.

Enfin, se termine l’apocryphe définitif en novembre 1927; voyons les faits. C’était l’époque de Mussolini et les relations avec le dictateur étaient un peu délicates. En 1924 se négocient deux types de tissu obtenus à Jaffa (Palestine) et à Nantes (France). Le premier : deux lins de 4,6 et 5,0 mètres respectivement datant la fabrication du XVIe quoiqu’en réalité nous savons que le tissu était beaucoup plus ancien; le deuxième de 1220 sous forme de sergé de type 4 avec une structure nommé par vous en « arête de poisson » de calibre très irrégulier de 10’2 pour la trame et de 3’3 pour la chaine (le calibre est donné en Na de grande bretagne).

Les valeurs sont sensiblement différentes de celles qui constituent le sindon authentique (aujourd’hui dissimulé) dont les valeurs sont : trame de 8’3 et chaine 4’2; dans les deux cas le sens de la torsion est le même. La serge obtenue en France fut rejetée parce que les dimension de pièce n’était pas valide, 3,7 x 2,1 mètres ne suffisent pas pour la projection.

L’opération définitive de la fraude : L’obtention du lin comme on le sait aujourd’hui débute à Novare (Italie) en Mars 1927. On utilise une effigie de fer cribblée et soigneusement vidée en forme de coquille. A l’intérieur sont disposées une série de resistances électriques régulées chacune par un rhéostat, situées dans un grand pan de marbre avec beaucoup d’autres manivelles. La statue de taille naturelle se tenait en décubitus et supination avec un système descendant refroidi artificiellement par circulation intérieure d’eau froide.

Le lin est couvert d’une autre couche de soie sensibilisée par gélatine et iodure d’argent déjà révélée avec l’original de Secondo Pia, et recouvre le lin avec l’effigie. La temprérature variait de quelques 248° de moyenne avec un maximum de 410°. On obtin une empreinte de tissu qui fut réchauffée durant plusieurs mois au moyen d’une plaquette à résistance électrique. Sous la direction de Giovanni Coccioli, on prit grand soin que les tâches de sang n’impressionnent pas le tissu. Il ne fut pas possible d’obtenir un virage de couleur carmin dilué comme celui que laissa le sang liquide. On prit soin de dessiner sur les yeux deux pièces de monnaie (qui n’apparaissent pas sur l’original du sindon authentique), substituant aussi les bandages.

La restauration pour perfectionner l’image dura quelques temps comme nous l’avons dit. La retouche finale utilisa la technique d’un frottement dous et le lavage d’une seule partie du drap au moyen de sueur diluée. Et aussi un lavage en d’autres zones avec des solutions acqueuses différemment concentrées d’acide sulfurique.

Cette multiplicité de techniques a désorientée les spécialistes actuels, les techniciens s’acharnant à établir un seul mode d’explication du processus d’obtention de l’empreinte. Nous nous plaisons à féliciter les hommes peu nombreux et malconnus qui ont deviné : le Dr Casselli, Geofferey Ashe, le RP Busnelli, le Dr Rogers et surtout le Dr Vittorio Delfino Pesce qui, avant tout en 1987, signala que le saint drap avait été contrefait au moyen d’un bas relief de métal chaffé à 230°.

La température élevée de l’incendie de Chambéry produisit dans le sindon authentique une coloration de couleur léopard et sépia qui s’explique par la température élevée qui provoqua une distillation de la cellulose du lin qui se répandit dans la zone affectée.

La falsification des traces produites par l’incendie fut faite avec une grande maitrise. On disposait de toiles semblables à celles utilisées par les soeurs Clarisses au cours du malheureux événement.

Cette falsification fut possible grâce à la technique rudiementaire de reproduction utilisée par Secondo Pia. Il était impossible pour un profane de voir la différence.

Au mois de novembre 1927 le cardinal Gasparri et un autre cardinal non identifé par nous donnèrent leur approbation au linceul. La commision secrète se décide à informer Pie XI mais la proposition n’est pas considérée propice à un ralliement du Pontife au change frauduleux. Enfin au début de l’année 1929, l’échange de sindon se fait secrétement derrière le dos de la maison de Savoie propriétaire de la relique.

L’original est conservé dans la résidence du cardinal de Turin et son faux est mis sous clef sur l’autel de Bertola.

En l’an 1931 on attend avec inquiétude l’épreuve de Giusseppe Enrie mais aucune différence n’est détectée. L’imposture a réussi. Les responsables ne peuvent soupçonner que l’analyse du sindon sera aussi nette. Pierre Barbet ne pourra imaginer qu’elle réussisse autant. On présume que l’empreinte sera considérée comme un sousproduit de la vaporisation et la tache de sang comme un témoin de la coagulation sanguine.

Puis le STURP (Shroud of Turin research project, programme de recherche sur le suaire de Turin) se lance avec enthousiasme dans l’étude.

Les scientifiques commencent l’étude, ignorants de ce qui a été forgé dans leur dos. Ainsi le Dr Max Frei révèle par la palynologie en 1973 la présence dans le sindon d’échantillon de pollen.

Il se confirme qu’il était impossible au Moyen-Age de reproduire la véritable image de la Passion avec les connaissances anatomophysiologiques nulles de ce temps. Pourtant existent de graves doutes : ainsi Langton Fox estime qu’il est impossible de séparer un seul coagulat de sang d’une pièce de toile sans détériorer l’impression laissée par la liqueur sanguine.

D’ailleurs, le Dr Walter Mac Crone (1980) alerte sur la découverte d’oxyde de fer dans les microfibrilles du visage, tout cela emplit de gène les investigateurs honnètes qui ne soupçonnent pas la manoeuvre.

L’examen du sindon par la Nasa est concluant. L’empreinte est numérisée en trois dimensions en chaque point; c’est dire que chacun des points de l’image est représenté par deux coordonnées qui représentent la position (X,Y) et l’autre ordonée représente le ton ou la coloration de telle façon que le tout matérialise l’image. L’examen du VP-8 détermine finalement la tridimensionalité (potentielle) de l’image démontrant que la figure n’a pas été peinte et est le reflet des traces laissées par une « radiation » inconnue.

L’erreur reste flottante dans cette ambiance : si les traces ne sont pas biologiques ni le produit d’une corruption, comme peut-être par l’acide sulfurique, ni un effet du frottement, dès lors que se découvrent avec peine des restes de matériel entre les fines fibres de tissu, quelle peut être la nature de l’image laissée par le corps ? Supposons que les hommes d’Ummo soient comme vous ignorants de la fraude si magistralement faite.

Supposons qu’ils arrievent à la conclusion que l’empreinte laissée sur le sindon n’est pas due à des causes naturelles et se refusent à l’idée qu’elle soit produite par la présence d’un corps surchauffé tel qu’une statue métallique semi-incandescente. D’autre part, nous avons la certitude que le saint drap date d’au moins 1453. Ne pourrait-ce être qu’à cette époque qu’aurait été contre-faite la figure de Jossuah (Jésus) au moyen d’une statue surchauffée, ce qui expliquerait le mystère? Cependant l’effigie était flanquée de connaissance de pathologie médicale incroyable pour l’époque. D’un autre côté la datation par le radiocarbone (14C) renforce le soupçon.

Supposons qu’il n’y ait pas de datation ou qu’elle se trouve équivoque, nous ne pouvons que supposer qu’un corps radiant aimprimé son empreinte sur le sindon reproduisant celle d’une photographie identique.

Vous mêmes en viendriez à découvrir la fraude sans recourir du tout à notre aide. Oubliez notre origine et supposez que nous sommes des menteurs ou des malades mentaux atteint du délire systèmatique d’être d’origine extra-terrestre ou un groupe de plaisantins…

1. les tests effectués à Zurich, Oxford, et Zurich (sic) au moyen de la spectrometrie de masse accélérée a donné un résultat définitif par datation au carbone 14. On peut alléguer, en suivant des correspondants mal informés, que des corps étrangers de type carbonique ont modifié le résultat. Les fragments furent lavés avec soin avant la détermination et la rigueur avec laquelle fut réalisé l’examen n’offre plus le moindre doute. On ne peut non plus spéculer sur des radiations imaginaires qui auraient perturbé l’échantillon. Si c’était le cas, le radio carbone tendrait à augmenter sa valeur et le résultat daterait le tissu d’avant Jésus. Pourquoi refuser la valeur de l’avis scientifique du carbone 14 et accepter les conclusion qui vous conviennent ?

2. Si les déterminations de 1988 sont certaines, la conclusionest que quelqu’un du XVe siècle a falsifié l’empreinte.

3. et ce « quelqu’un médiéval » avait des connaissances médicolégales prodigieuse pour :

– obtenir un négatif photographique parfait quand la technique de la photo était inconnue;

– introduire une information tridimensionnelle avant la découverte de l’analyse 3d par la Nasa;

– connaitre la forme exacte de la « couronne » d’épines;

– connaitre le point exact de la cruxifiction dans l’espace nommé par vous de Desdot alors qu’à cette époque les peintres représentait l’enclouage dans la paume du supplicié;

– connaitre les marques exactes des tortures;

– avoir osé peindre un Jésus nu à une époque où la pudeur interdisait une telle représentation;

– pouvoir contrfaire avec autant de précision et de connaissance érudites du XXe siècle une figure semi-incandescente.

Questionnez et étudiez à fond le cas et vous arriverez à comprendre, bien que vous nous méprisiez comme dénonciateurs anonymes.

La fin est très amère et dénouée en octobre 1988. Le cardinal Erdw. Cassidy osa informer pour la première fois un Pape, qui était en l’occurence Jean Paul II, lequel entra en colère puis en dépression. Il convoqua immédiatement un noyau très réduit de cardinaux qui apprirent la fraude.

Le cardinal Tomko était partisan de dire la vérité puisqu’il ne sera pas possible de changer le sindon. Jean paul appuyait timidement sa position tandis que le cardinal Ratzinguer s’y opposa fermement alléguant des raisons gravissimes de scandale.

En outre, restent de plus les raisons qui ont provoqué l’imposture, la découverte qu’il n’y a pas eu mort sur la croix. Le motif était gravissime et la décision de vérouiller le scandale s’imposait, sa divulgation devant le déclencher immédiatement, contrairement à ce qui se passe dans des circonstances semblables. Ce fut le cardinal Ballestrero qui fut chargé de livrer un échantillon du tissu aux laboratoires.

ATTENTION

Lors des faits qui ont conduit au changement du sindon, nous n’étions pas encore sur Terre (Oyagâ). Un pénible travail de reconstitution a patiemment rassemblé les pièces en une structure suffisamment consistante. Heureusement nous avons pu obtenir beaucoup de détails de la fraude répétée. Nombre de témoins sont morts sans avoir témoignés des faits cruciaux de la mystification. Ils nous pardonnerons toutes les omissions obligatoires. Ces témoins qui transcrivirent les faits ont été repérés au préalable. Nous sommes arrivés à l’époque où Pie XII occupait le siège pontifical avant 1964 (Paul VI lui ayant succédé). Nous sommes sûrs que les noms des pontifes ne sont pas  (mot incomplet) dans l’absolu. Seul nous reste quelques doutes par rapport à Pie XII, une série de ragots imputés sans les moindres conditions. Seule fut possible d’obtenir une information digne de foi de Jean Paul II.

La question qui demande un éclaircissement est la date exacte de l’imposture. Nous l’avons sans trop de certitude. Quelque jour d’avril 1929 fut décidé le changement du sindon. Ce fut la décision du cardinal Gasparri, accompagné d’un autre compagnon de la curie, de changer le linceul. On considère la date de décembre 1928 comme constitutive de l’événement regrettable (Nous n’avons pu savoir le jour). C’est pourquoi nous considérons la date de 1928 comme celle où fut consommé le délit.

AVANT D’OUVRIR

Pour ouvrir le 20 novembre 1988 à 18h10 minutes devant l’assemblée (à l’hotel de Savoy de Madrid).