D399 Défense de Sesùa et Ribera accusés de plagiat

UMMOAELEUEE
Nombre de Copies: 1
Adressée à Mr. JOAQUIN FRANCES. Magazine INTERVIU, Calle Roquefort 104, BARCELONA, Postal Code 08015.
Cher Mr. JOAQUIN FRANCES:
Nous croyons que vous ne nous connaissez pas, auquel cas l’affirmation que nous allons vous faire peut vous surprendre : Nous sommes OEMMII (des gens), membres d’un groupe expéditionnaire qui habitent OYAAGAA (LA TERRE)depuis le 23 mars 1950 (4 heures GMT),date à laquelle mes frères descendirent dans les approches de la ville de DIGNE (France), provenant d’un « Astro frio » (Planète), dont la prononciation en espagnol serait UMMO (en mettant l’accent sur la syllabe « m »).
Naturellement nous ne croyons pas une minute que vous prendrez notre histoire pour autre chose qu’une fiction. Une règle élémentaire de logique scientifique, exige qu’une preuve soit fournie dans toute déclaration de cette nature.
Vous comprendrez, Mr. Joaquin, que bien qu’il soit inévitable que vous puissiez penser que nous ne sommes rien que de positifs plaisantins, des excentriques ou des victimes de maladie mentale avec « syndrome délirant » de notre point de vue il nous est impossible d’adopter quelque autre identité qui pourrait se trouver plus acceptable pour vous, sans dénaturer la vérité.
De plus, pour éviter une discussion blessante, qui ne résoudrait pas la question de notre filiation, interprétez, s’il vous plaît, ce document comme ayant pour origine une « source inconnue, du nom de UMMO ».
Monsieur : Dans une « matriz tipografiada » publiée dans le magazine INTERVIU, une équipe éditoriale à laquelle vous appartenez, (Numéro 612 page 87),un de vos frères appelé JUAN JOSE BENITEZ dans une dans une lettre publiée avant l’édition de vos commentaires fait une sérieuse accusation( selon notre opinion)à l’encontre de ses frères FERNANDO SESMA MANZANO and ANTONIO RIBERA JORDA :
Dans une lettre comme celle-là, il déclare que ces auteurs « auraient plagié » (dans leurs livres) les rapports envoyés par mes frères de UMMO.
Monsieur : Naturellement, notre compréhension de la langue Espagnole n’est pas aussi bonne que la vôtre, mais nous comprenons que le verbe « plagier » a l’acception sémantique que nous expliquons ci-dessous :
« Transcrire dans une matrice de lettres « tipografiadas » ou par « via acustica et par propagation informative; un texte ou une production littéraire adressée à un Réseau Social, créé par un processus intellectuel développé par un esprit, dont la paternité est assumée par une autre personne. »
Dans ce contexte et si le verbe « PLAGIER » signifie assumer la paternité d’une production littéraire, il est aussi évident qu’il sera synonyme de « EXPOLIAR, ROBAR, USURPAR, … » une propriété littéraire, même si ses auteurs peuvent être anonymes. D’un autre côté, il serait légal d’assumer la paternité de versets du Pentateuque des textes védiques
L’accusation sérieuse faite contre votre frère FERNANDO SESMA MANZANO, que nous considérons comme calomnieuse, envers quelqu’un qui n’est pas capable de se défendre parce qu’il est décédé, et qui, à l’époque, était un ami bien-aimé de mes frères expéditionnaires, est particulièrement affligeante.
Il est évident que ni FERNANDO SESMA MANZANO dans son livre « UMMO OTRO PLANETA HABITADO » ni ANTONIO RIBERA dans ses ouvrages « EL MISTERIO DE UMMO », »UMMO LA INCREIBLE VERDAD » and « UMMO INFORMA A LA TIERRA », sauf d’autres monographies dans diverses langues, n’ont plagié nos rapports, même s’ils ne nous ont pas demandé la permission de les reproduire. (puisqu’ils citent de façon répétée leur source (UMMO)d’une manière totalement impartiale et qu’ils y allient avec objectivité les doutes qui émergent quant à leur origine.)
Nous ne tentons pas de juger les raisons qui ont conduit votre frère JUAN JOSE BENITEZ a écrire cette accusation arbitraire. Il « ha plagiado » des textes de nos rapports dans diverses pages de son œuvre, mais nous ne l’accusons pas du tout de nous avoir causé du tort par cette action. Nous avons conscience que c’est un OEMMII (être humain) de bon naturel; un excellent auteur, un amoureux des énigmes biologiques du Cosmos, et nous l’apprécierions s’il réfléchissait à sa faute et révèlait sa bonté de cœur en rendant son honneur à son frère décédé.
Monsieur, nous n’avons pas de «personalidad juridica», puisque nous ne sommes pas des citoyens légaux d’aucune nation de OYAGAA. Comme nous n’avons pas d’autre moyen, Mr. JOAQUIN FRANCES, nous vous demandons au nom de votre frère décédé, qui est de ce fait dans l’incapacité de se défendre lui-même, d’aider de quelque façon à rétablir la vérité.
S’il vous plaît, permettez-nous, par respect pour vous, de placer nos mains sur votre noble poitrine.
Plymouth (GB) Février 1988