D731 Synopsis WAAM-WAAM – Le Pluricosmos – Les deux univers limites – L’âme collective planétaire

mars 1987

Synopsis WAAM-WAAM

Monsieur : nous vous prions de nous permettre de faire une synthèse du rapport sur

, pour deux de vos frères qui trouvent confuse l’explication précédente sur l’ESPRIT COLLECTIF.

L’Univers réel se compose d’une famille de paires de Cosmos. Dans chaque paire d’UNIVERS-ANTIUNIVERS, prédomine un type de masse + M et – M  (les signes sont conventionnels). De plus, chaque couple se caractérise par la vitesse qu’atteint dans le vide un quanton d’énergie électromagnétique ou photon.

Nous appelons WAAM-WAAM cette gerbe d’Univers. Nous soupçonnons qu’il existe réellement une infinité de paires de Cosmos (nous n’en connaissons vraiment que quelques-uns, une partie d’entre eux, accessibles dans nos voyages entre deux points de notre Galaxie. Nous savons que les Univers distincts ont des interactions entre eux. Les singularités de chacun d’eux (les masses concentrées) influencent les Univers adjacents (sans masse ).

Quatre de ces Univers nous intéressent spécialement, vous et nous, c’est-à-dire OYAGAA (Terre) et OYAUMMO (Astre froid Ummo). En premier lieu, notre propre anti-Cosmos.

En lui prédomine ce que vous appelez Antimatière (Masse ≈ – M). Il y a aussi de petites quantités de + M. Notre Cosmos jumeau provoque dans le nôtre des perturbations qui se traduisent par des plissements dans notre « continu » espace temps. Ce sont ces plis qui nous permettent d’effectuer des voyages entre OYAA (Astres planétaires non brûlants) en moins de temps qu’il faudrait en suivant une trajectoire photonique.

Les perturbations entre Cosmos sont produites parce que dans l’un d’entre eux se trouve un type de masse que vous qualifiriez mathématiquement d’IMAGINAIRE (dans un autre repère du faisceau tridimensionnel). Cette masse imaginaire (± √-m) a comme vitesse au « repos » (énergie maximale) la vitesse d’un paquet d’énergie électromagnétique (photon). L’existence de cette masse permet l’interaction, ou action mutuelle entre Univers, bien que la masse imaginaire  mentionnée se trouve seulement dans un des membres du couple. L’interaction ne serait pas possible si la matière se trouvait distribuée isotropiquement (uniformément), ce qui évidemment n’arrive pas (sauf à l’instant initial du Cosmos).

Il existe une ∞ (Ndt : infinité) de paires d’Univers (beaucoup d’entre elles en phase terminale) avec une masse souscritique. Ces Univers (comme les autres) naquirent avec un rayon infini et une répartition de masse isotrope (cristal cosmique) et une densité nulle. Le rayon allait en diminuant (la direction ou sens du temps était négative par rapport à l’actuelle). Mais la perturbation des Cosmos adjacents fit que se produisirent des Singularités de masse (c-à-d : d’abord des Nébuleuses de gaz et de poussières, futures galaxies, cessant d’être isotropes ou cristaux cosmiques. (Nous appelons cristal cosmique un Univers dont la densité de masse est constante en n’importe quel point et qui présente les mêmes propriétés dans n’importe quel axe ou direction).

Dans une première phase de ces Univers (temps négatif) l’entropie diminue (elle était initialement infinie), la densité croît, leurs habitants observeraient dans leurs instruments spectroscopiques un déplacement vers le violet (couleur qu’ils percevraient certainement d’une autre façon), les galaxies se précipiteraient les unes sur les autres : la mort de ce Cosmos. (Pour celles-ci, nous pouvons parler de trois morts : la phase d’infinitude du rayon qui s’étend sur un Temps infini) (on ne peut donc parler de naissance comme d’une paire d’IBOZSOO UUHU (instant). Nous disons que la seconde mort survient quand le rayon vient à être Nul. La masse continue d’être constante, la densité infinie et instable.

Arrivé à cet instant, tout l’Univers est réduit à un réseau d’IBOZSOO UHU, tous ses composants orientés à angle nul (rayon zéro) qui, si nous « pouvions le percevoir », nous semblerait un point avec une densité de masse infinie (Ceci, vos frères cosmologistes de la Terre l’ont bien compris et c’est totalement certain).

Ce qui n’est pas certain, c’est que ce dit « Cosmion », ou Univers primordial, soit instable et par conséquent explose. Si n’existaient pas d’Univers adjacents et s’il n’y avait pas que deux types de masse (et non quatre), qui perturberaient cette hypermasse en la déséquilibrant, ceci serait  le stade final du Cosmos décrit. Il survient donc une expansion accélérée par l’apport énergétique initial de cette perturbation (qui est inversement proportionnelle au rayon).

Si nous considérons les constantes S et Q qui dépendent du système d’unités employé (les valeurs de S et Q sont respectivement : la première, fonction de la vitesse du photon dans le vide pour cet Univers et par conséquent reliée à la masse. Q est une constante du WAAM-WAAM.

M est la masse globale du Cosmos considéré. R est le rayon de l’Univers spatio-temporel (R doit se considérer non comme linéaire, mais comme le rayon d’une hypersphère), (-)E est l’énergie apportée à l’Univers dans son étape initiale (la formule subit une déviation et cesse d’être exacte pour les grands rayons), c’est-à-dire dans une étape d’expansion avancée).                                                                                                                                                                                                                                                                             

(NdT : B est fonction des unités employées)

 

E représente l’énergie apportée à chaque instant. L’énergie totale s’obtiendrait en intégrant entre R = 0 et R au temps : 0,680 UIW (l’UIW représente l’unité de temps utilisée dans l’antiquité sur  OYAUMMO, ,qui équivaut à environ 185,5 secondes de la Terre).

(à partir de cette valeur du Temps de l’Univers, quasiment un « instant » après l’explosion, la fonction citée a besoin d’une grande correction)

Dans l’Univers de masse souscritique, son Rayon continue d’augmenter :

{En réalité, il s’agit d’un hyperespace à deux rayons de courbure  (hypersphère (-)}, sa troisième « mort » est un hyperespace « cristallin » isotrope de densité nulle. Dans les deux phases du Temps (Entropie d’abord décroissante, et ensuite entropie croissante qui finit avec une entropie infinie) cet Univers a contenu des galaxies et des « cellules » néguentropiques. (Ndt : Lupasco a prévu des univers à hétérogénéité dominante où le biologique l’emporte sur le minéral) (Les humanités intelligentes et les OYAA à espèces biologiques non intelligentes) (quand nous nous référons à ces dernières espèces, nous voulons dire NON HUMAINES puisque le terme INTELLIGENT a ce sens dans ce contexte)

Que se passe-t-il avec les Univers de masse supracritique ? Son évolution est très différente .

Sa concentration de masse en un point évolue ensuite avec une densité décroissante au début et un rayon croissant mais qui n’arrive jamais à être infini comme dans les Univers précédents, mais qui atteint une valeur maximale jusqu’au point où le signe se renverse, où l’entropie commence à décroître, où la densité moyenne augmente jusqu’à ce qu’il collapse en un point de densité infinie.

Les considérations sur le WAAM  décrit dans le paragraphe précédent peuvent s’appliquer à ces WAAM. Dans ces WAAM aussi, l’explosion est due à un apport d’énergie dont le rôle est identique. Et par conséquent dans ceux-ci également apparaissent des galaxies et des OYAA à réseaux biologiques. Nous-mêmes avons connu quatre de ces (types) caractéristiques.

Notre anti-cosmos nous est bien connu. Il est constitué d’une masse d’antimatière. Si nos UEWUA (nefs) n’intervertissaient pas leurs IBOZSOO UHU en (-M), elles pourraient se désintégrer par un impact avec n’importe quelle quantité de gaz ou de poussière cosmique en libérant une immense quantité d’énergie. L’interaction entre nos deux cosmos est très grande, de grands plissements s’observant dans les deux Univers dans leur surface tétradimensionnelle dus à cette cause mutuelle.

Nous ne pouvons percevoir avec nos instruments la Masse imaginaire qui est de deux types :  + √- M  et  – √- M.

Nous détectons seulement une radiation secondaire produite par les paires d’IBOZSOO UHU qui constituent cette classe de masse. Radiation ou énergie que vous pourriez comparer à l’onde de choc d’un vaisseau aérien (avion) d’OYAAGAA (la Terre) quand il atteint une vitesse supérieure à un Mach (supersonique).

Sans l’existence de tels types de masse imaginaire les Univers du WAAM-WAAM existeraient mais seraient isotropes ; de rayon nul et de densité infinie. Le WAAM-WAAM se réduirait à une famille « d’hyperatomes » superdenses et ponctuels, l’interaction mutuelle ne serait donc pas possible. WOA ne serait pas « intelligent », générant un simple « cristal ». L’information serait nulle dans tout le WAAM-WAAM. Cela n’a pas de sens de parler d’un concept si aberrant.

Il existe dans l’ensemble des WAAM (Univers multiplanaire) deux univers « limites » qui sont cependant « adjacents » (en entendant comme adjacents non le sens géométrique habituel que vous donnez à ce mot, « ADJACENT » signifierait = INTERACTION MAXIMALE.) Ce sont  (ce que nous décrivons par la suite) : le WAAM et  le WAAM  .

Le WAAM  (dans la famille des univers existants) est un réseau d’IBOZSOO UHU qui est dépourvu de singularités ou de plissements.

Il n’existe donc pas de possibilité qu’il subisse une interaction avec un flux d’énergie » quelconque. C’est un univers dont le rayon est constant (il ne subit ni expansion ni compression). Cela n’a pas de sens de parler dans celui-ci, de poussière cosmique, de gaz, d’atomes ou de particules subatomiques. 

Il n’existe ni galaxies, ni astres planétaires, ni par conséquent de soleil. Si nous mesurons sa masse globale, nous trouvons avec surprise qu’elle est nulle (c’est la raison pour laquelle il est impossible de lui apporter de l’énergie). Dans celui-ci il n’existe ni photon ni quanton d’autre type de champ, ce qui revient au même de dire que l’existence de champ n’a pas de sens ; on dit autrement, la vitesse d’un quanton de lumière serait nulle (s’il pouvait exister des photons). Il pouvait sembler que nous sommes en train de décrire le concept de « RIEN ». Pour un physicien d’OYAAGAA, un tel univers n’a pas de sens, il est synonyme de ce QUI-N’EST-PAS.

Mais en réalité le « WAAM   « EXISTE ». Son rayon est constant,  mais son temps est « gelé » (cela n’aurait pas de sens de dire que le temps s’écoule puisque l’entropie se réfère à une répartition de masses, et l’énergie est infinie et en même temps exprimer sa valeur n’a pas de sens). Cependant (bien que cela paraisse paradoxal) son réseau d’IBOZSOO UHU est capable d’enregistrer de l’information.

Si nous voulions le représenter à des fins didactiques, nous dirions aux enfants, que le WAAM ressemble à « une éponge », à un conglomérat alvéolaire de mousse de polyuréthane expansé, avec des quintillions de cellules  ou à une pâte avec une multitude de cellules.

Le plus surprenant est que chacune de ces cellules (réseaux purs d’IBOZSOO UHU) est un ESPRIT, une ÂME comme vous diriez (nous les représentons par le symbole ).

Chaque  établit une correspondance biunivoque avec un réseau d’IBOZSOO UHU, situé en n’importe quel point du WAAM-WAAM, (exceptés les deux Univers limites) qui ont cette caractéristique que nous allons citer :

Être vivant : « Réseau de particules matérielles capables d’enrichir son information interne au niveau biochimique aux dépens de l’information extérieure » (être vivant) appelé par nous : AIUUBAHAYII.

 

Être inférieur sans lien avec  : Ceci n’implique pas nécessairement qu’un être inférieur puisse se mettre en contact direct avec son  . Il existe un seuil de complexité en dessous duquel le lien avec   est inexistant. Dans cette phase, l’esprit est vierge d’information (c’est un réseau « filamenteux » d’I.U. dont les éléments ont un angle constant) (information nulle).

Être OEMII à lien avec  : Quand un être biologique dépasse ce seuil, il apparaît un réseau d’atomes de krypton qui le met en contact avec ce WAAM  . Concrètement avec sa propre  et il commence à lui envoyer de l’information. À partir de ce moment le dirigeant principal de la conduite de cet être : (HOMINIDÉ, OEMII) est sa propre .

Nous définissons un AIUUBAHAYII comme un réseau d’IBOZSOO UHU capable de s’autoreproduire et d’enrichir son information interne au niveau biochimique et aux dépens de l’information extérieure. Ceci est notre définition d’un ORGANISME VIVANT.

L’AIUUBAHAYII (être vivant) se caractérise parce que son entropie est négative (néguentropie comme vous dites). Il augmente son niveau interne d’information, l’extrayant par l’intermédiaire de flux afférents de données, en provenance d’un milieu externe (le WAAM lui-même {Univers}).

Normalement, les AIUUBAHAYII (A) ou organismes vivants, s’implantent sur les astres froids, c’est-à-dire sur les planètes ou les étoiles froides dont la température est superficielle est suffisamment basse pour maintenir l’eau en phase liquide (ou solidifiée)  (à t° > 250° kelvin (-23°C) ou t°<116°C, selon la pression atmosphérique.

À l’intérieur de ces conditions, sans arriver aux limites extrêmes citées, on trouve OYAUMMO et OYAGAA (TERRE). Quand l’OYA possède une température « moyenne » extrême comme celles citées précédemment, le développement des êtres vivants est embryonnaire et ils ne sont pas capables d’évoluer vers des OEMMI (humains). Il s’agit d’êtres peu complexes capables de refroidir leur milieu interne aux dépens de l’énergie biochimique, de façon à ce qu’en leur sein l’eau reste en phase liquide (astres chauds), ou de fournir de l’énergie thermique quand le milieu est trop froid pour obtenir la phase liquide convoitée.

Bien que  dans quelques univers nous ayons détecté des formes semblables aux vivantes, avec néguentropie et une certaine capacité de reproduction, non basées sur des structures carbonées (avec comme élément central le germanium et le silicium), les véritables A. (organismes vivants) fondent leur structure biochimique sur des composés carbonés hydrogénés. Les êtres apparemment vivants de composition fluorocarbonée  et chlorurocarbonée sont rares et incapables d’évoluer vers des formes complexes.

Dans tous les WAAM, les lois biologiques se répètent. La base d’information moléculaire se fonde pour toutes sur des séquences de nucléotides et d’aminoacides. Ceci est un phénomène universel. Par contre, n’en est pas un le code génétique, c’est-à-dire la forme par laquelle les acides nucléïques sont capables de se répliquer en séquences polypeptidiques (séquences d’aminoacides).

N’est pas non plus universel le type d’orientation des chaînes protéiniques hélicoïdes (hélicoïdes et autres formes stéréocarbonées (un mot ummite effaçé). Dans certains réseaux biologiques planétaires les formes dextrogyres prédominent et dans d’autres, les lévogyres.

Normalement l’évolution des êtres vivants sur un astre froid subit un processus de multiplication de phylum ou d’espèces distinctes dont le réseau est arborescent.

Les premiers spécimens, c’est-à-dire les A. les plus simples, sont très semblables sur n’importe quelle planète. Ainsi un viroïde ou un virus encapsulé dans un réseau protéïque est peu différent sur OYAUMMO d’un autre similaire sur OYAGAA. Les chaînes d’ARN ou d’ADN codent les caractéristiques qui serviront à la réplication du spécimen.

En principe, une série d’agents (parfois biochimiques, parfois des radiations énergétiques, par exemple), peuvent modifier le message codé. Vous connaissez le phénomène sous le nom de mutation. La réplication des protéines suppose une configuration (A. = ORGANISME VIVANT) avec une structure spatio-temporelle qui lui permette d’affronter le milieu physique.

Mais le milieu ambiant est hostile. Le réseau « d’Ibozsoo uhu » externe lui apporte des données (information) qui lui permettent d’enrichir son information interne  (s’il a une complexité suffisante).

Mais, cet environnement  l’agresse, il lui est étranger, il tend à le détruire s’il manque de défenses suffisantes. C’est ce que vous appelez l‘AGRESSION DU MILIEU. Si l’A. n’est pas adapté, il périt. Si sa structure physiologique est résistante, il survit (vous nommez ceci SÉLECTION DU MILIEU).

Si dans les SAAXADOO (chaînes nucléiques), il ne se produit pas de mutation parce que, comme il arrive sur certains astres froids, l’encapsulement métallique et la protection biochimique est (sic) très résistant, l’espèce se perpétue pendant des millions d’années, mais il ne se produit aucune évolution. Les espèces inférieures « gèlent » et ne se convertiront jamais en OEMII.

 Chaque chaîne séquence de nucléotides capable de répliquer une protéine reçoit dans notre prononciation le nom d’IGOHOAA (gène). 

Jusqu’ici, de telles lois sont parfaitement connues de vos frères généticiens et nous confirmons leur validité sur les autres OYAA (astres).

BAA IODUHU est un réseau d’atomes de krypton. Sa fonction et le processus de captage d’information est analogue à OEMBUUAWU (O.) : il s’agit d’atomes d’un gaz très stable dont le cortège électronique ne se comporte pas comme ceux des autres atomes du système des éléments chimiques (c’est-à-dire géré par les lois quantiques du hasard).

Nous donnons de BAA IODUHU (B.I.) une interprétation ou une concept beaucoup plus complexe que celui d’un simple nuage de krypton.

BAA IODUHU (B.I.) est capable de capter l’information du WAAM, c’est-à-dire de l’environnement physique. Ces données sont confrontées avec l’information contenue dans le génome, et en fonction du « besoin » qu’éprouve l’organisme, ou bien il le protège d’une action mutagène (quanton de radiation, proton rapide, ion destructeur, neutron, etc), ou bien il provoque lui-même une mutation contrôlée.

Comment B.I. assure-t-il sa fonction ? Un réseau microphysique d’atomes de krypton agit comme une valve ou un canal d’information qui met en relation l’organisme avec le WAAM  dont nous parlerons tout de suite. Ce WAAM encode toute l’information obtenue par les êtres vivants, c’est celui que nous appelons l’ESPRIT COLLECTIF.

Mais « l’Esprit collectif« , comme nous le verrons ensuite dans les paragraphes ultérieurs, est une matrice de patrons de formes et de conduites. Il module toute la structure des réseaux d’êtres vivants (AIUUBAAYI).

Le WAAM  , que nous pourrions appeler en langue espagnole l’UNIVERS DES FORMES, dirige les modèles de la civilisation dans la chaîne arborescente du phylum (les branches ou espèces) des êtres vivants.

Quatre-vingt-six atomes de krypton sont capables d’encoder toutes les formes possibles et viables d’êtres vivants (étant toujours entendu que toute cette information n’est pas réellement enregistrée dans le nuage électronique des atomes de Kr, mais que celui-ci reçoit de   le modèle dont a besoin chaque chromosome (séquence de nucléotides capable de répliquer plusieurs protéines).

Les modèles ne sont pas infinis. B.B.  n’engrange que ceux qui sont possibles dans le cadre d’un milieu planétaire,  dont les caractéristiques de

Masse de la planète froide

Champ magnétique

Intervalle de température

Composition de l’atmosphère

Sources d’éléments chimiques (milieu géologique)

Présence d’eau (en quantité) suffisante

Niveau de radiation de l’Etoile principale

Niveau de radiation géologique

Fréquence d’impacts extraplanétaires (aérolithes)

Niveau d’ionisation atmosphérique

rendent possibles divers modèles de structure biologique.

Seulement quelques billions de formes sont possibles dans chaque milieu d’une OYAA.

Normalement, un nœud d’un phylum (arborescence) peut donner naissance à environ deux cents vingt mille (en moyenne) nouvelles branches ou phylums grâce à une mutation dirigée, c’est-à-dire contrôlée. (Dans certains nœuds on a détecté (approximativement) 18.376.000 possibilités de mutations tolérées par . (Si malgré le contrôle de B.I. : c’est-à-dire si malgré la protection protéinique qu’il exerce sur la chaîne d’ADN, un neutron par exemple provoque une mutation prohibée, cet organisme mourra inévitablement et B.I. provoquera sa thanatos (mort).

Chaque saut d’un électron à l’intérieur d’une sous-couche orbitale représente (c’est-à-dire encode) un phylum possible. Les autres atomes de krypton décodent la structure anatomique de cette espèce. B.I. (c’est-à-dire le nuage de krypton et le ) contient toute la phylogénie possible sur un OYAA  (Nous pouvons l’étendre à tout le WAAM-WAAM en disant que le B.I. de chaque être vivant  dans le cosmos multiuniversel, recèle, grâce à son B.I. (sic), toutes les possibilités de vie organique, fondée sur le carbone comme atome vertébral, des AIUUBAAYII.

Pouvons-nous étudier la phylogénie possible sur les différents OYAA (astres froids) du WAAM-WAAM ? Evidemment non ! Il se peut que les êtres vivants potentiels se comptent par trillions ou quadrillons. (Nous avons calculé que le WAAM   pourrait encoder jusqu’à 5,2.1018 modèles, mais l’imprécision du calcul fait suspecter qu’ils pourraient être beaucoup plus. De ces patrons primaires peuvent se dériver des milliers de millions de (individus ou exemplaires) de plus, de sorte que l’ordre de grandeur pour tout le WAAM-WAAM atteindrait un chiffre d’exemplaires « possibles » différents de 10526 (ordre de grandeur), mais en tenant compte des limites spécifiques aux différents OYAA, ainsi que de la restriction de la chaîne du génome de chaque espèce, le nombre d’espèces vivantes que nous pourrions rencontrer dans nos voyages extragalactiques ou extracosmiques les plus lointains se réduit sensiblement.

Nous pourrions arriver à la conclusion équivoque, que sur chaque OYAA, les êtres vivants et intelligents (OEMII) avec lesquels nous pourrions entrer au contact, revêtent une forme anatomique et une structure organophysiologique différente.

Ceci est une demi-vérité. Nous avons déjà dit dans un paragraphe précédent que les espèces élémentaires (viroïdes, virus, protozoaires : en employant vos mots espagnols) et jusqu’aux petits animaux pluricellulaires, sont très semblables. Ainsi, nous avons trouvé sur OYAUMMO des cellules que vous appelez eucaryotes et des cellules protocaryotes très semblables à celles qu’on isole sur OYAGAA (TERRE). B.I. dans les premiers stades de l’évolution, établit des modèles quasi identiques pour les astres froids (planètes ou étoiles quasi gelées) avec des caractéristiques physiques analogues).

C’est-à-dire : imaginez un astre chaud qui passe de l’état que vous appelez étoile de la « séquence principale » à l’état de géante rouge, ensuite d’étoile à haute température et à rayon réduit et, finalement, d’astre froid non planétaire.

Nous supposons qu’il n’existe pas dans son environnement une étoile principale qui lui apporterait un haut niveau de radiation lumineuse, mais que par contre la température superficielle, due au magma intérieur et au rayonnement géologique, est de 30° en moyenne.

Même ainsi la vie sera possible. Nous avons détecté une multitude d’astres froids avec ces caractéristiques. Des astres froids dont l’unique lumière est celle qui provient d’étoiles qui apparaissent avec une grande magnitude, mais malgré tout ils n’ont pas de saison : un chaud hiver perpétuel fait d’une nuit continue.

Les espèces qui s’y trouvent sont très élémentaires. Celles qui sont pareilles aux cellulaires ont une structure semblable aux algues terrestres. Quand elles ne sont pas immergées dans leurs océans, elles peuvent même présenter une épaisse membrane  ou une « carapace » qui est riche à la fois en silicium et en éléments métalliques qui seront de protection.

Ainsi donc, la flore et la faune des étoiles froides étudiées de mêmes caractéristiques, sont quasi identiques (à celles de OyaUmmo). Evidemment, sur de tels astres, l’évolution est « gelée », dit autrement, la formation d’OEMII (humains) ne sera pas possible.

Mais, cette pauvreté en patrons possibles que le B.I. laisse passer, ne se présente que dans les premiers stades de l’évolution. Imaginez-nous sur nos OYAA respectifs (TERRE et UMMO). Leur masse est analogue (et donc la gravité en surface). Les deux sont des planètes autour d’un soleil (IUEOUMMA dans notre cas) et leurs atmosphères sont très semblables. Seule la température superficielle de nos soleils présente une déviation importante. Comme nous l’avons dit, les organismes végétaux, les animaux pluricellulaires, et d’autre part les bactéries, les champignons, les algues … se ressemblent beaucoup entre eux sur les deux planètes. Si vous visitiez Ummo à part les resplendissantes aurores boréales dues à l’intense champ magnétique et l’activité volcanique inusuelle pour vous, une exploration dans la campagne ne surprendrait pas outre-mesure vos frères peu familiarisés avec la botanique et la zoologie. En tout cas, vous surprendrait l’existence des OVUAANAA (arbres) dont la taille les rapprocherait des gigantesques séquoias de la Terre. D’ailleurs l’action chlorophylienne se déroule dans la sphère végétale, de la même manière que sur Terre.

Les mousses, les myxomycètes, les cormophytes, et d’autre part les flagellés, les mésozoaires, les plathelminthes, etc, avec lesquels vous êtes familiarisés, ont sur OYAUMMO leurs espèces quasi jumelles, en écartant quelques différences morphologiques, qu’un analyste de la Terre pourrait parfois classer comme de simples sous-espèces ou variétés, à tel point que nous-mêmes en comparant les deux taxonomies, avons été surpris de la similitude à de tels niveaux.

Mais au fur et à mesure qu’on avance en complexité, les différences morphologiques s’accentuent. Des classes, comme les crustacés n’existent pas à proprement parler sur Ummo, bien qu’y figurent des animaux que vous ne pourriez pas classer aujourd’hui, et qui leur ressemblent. Par contre, y figurent des classes comme les poissons, les amphibiens, les oiseaux, les reptiles et les mammifères, que vous n’auriez aucun doute à qualifier comme telles, et cependant, vous ne pourriez trouver aucune de leurs espèces dans un parc zoologique ou un aquarium de la Terre. Dit d’une autre façon plus simpliste, aucun des animaux ou végétaux complexes d’Ummo (à part l’homme) ne pourrait se rencontrer sur la Terre et vice versa.

La phylogénie « possible » du WAAM-WAAM peut donc se représenter ainsi : 

Les nœuds IBOZSOO OAO représentent les divergences possibles par mutation.
Les phylums qui s’écartent de la morphologie de l’OEMII finissent par disparaître, puisque le « destin final » de cette arborescence de phylums est l’OEMII. Toutes les possibilités convergent vers lui, grâce à des mutations même dans les branches très éloignées des hominidés, qui apparemment s’écartent sensiblement de l’anatomie humaine.

Nous allons maintenant vous révéler un aspect de la biogénétique qui, si quelque expert d’OYAGAA le lisait, serait considéré par lui comme une inadmissible aberration, une hérésie inconcevable dans le contexte de la génétique terrestre.

La réserve génétique d’une espèce, d’un phylum, souffre, comme vous le savez, de dérives au long du temps, de mutations, de migrations, de phénomènes de sélection par l’action du milieu ambiant…

Il pourrait sembler que les différentes classes d’animaux pourraient évoluer, en se perfectionnant bien sûr, mais en s’éloignant chaque fois plus de la forme hominienne. Il ne semblerait pas étonnant à vos biologistes que les actuels équidés se transforment par des mutations successives en animaux plus sveltes et plus corticalisés mais très différents de l’anatomie des humains.

Il n’en est pas ainsi : les différentes espèces, par l’évolution, doivent converger nécessairement vers des structures hominiennes. Vous pouvez le constater sur le graphique. Si, sur OYAGAA une branche de protomammifères dériva en branches successives de mammifères, si l’un de ces phylums se transforme en primates, si de ceux-ci dérivèrent les divers hominidés jusqu’à arriver à l’Homo habilis et aux branches ultérieures, ce fut parce que des mécanismes de sélection et des patrons du B.B. accélérèrent la transformation dans cette dérive du génotype. Tôt ou tard les autres animaux auraient fini par se transformer en êtres très semblables à l’Homo sapiens.

Autrement dit : Si les OEMII de la Terre disparaissaient, en même temps que les pongidés, les cercopithèques, les platyrrhiniens, et même le reste des mammifères, les classes restantes finiraient par se cristalliser en nouveaux OEMII (grâce à une ramification plus accélérée au début).

Ceci ne veut pas dire que tous les OEMII soient identiques. Au contraire, il apparaît des différences anatomophysiologiques parfois très sensibles. Par exemple, nous autres OEMII d’UMMO, présentons des différences génotypiques et par conséquent phénotypiques accusées. Si un  médecin de la Terre nous examinait, il observerait des particularités surprenantes. De la même façon, un hominien dérivé en plusieurs millions d’années à partir d’un gastéropode présenterait d’autres singularités anatomiques significatives.

Deux OEMII provenant de réseaux sociaux planétaires différents ne peuvent pas s’apparier pour la seule raison d’avoir un sexe différent et une morphologie quasi identique. Ainsi : une femme d’Ummo et un homme de la Terre seraient incapables d’engendrer des enfants sans caractères tératologiques. Seule une manipulation de notre part du génome des deux planètes  pourrait donner comme fruit une espèce stable (Nos UA (lois morales) interdisent aujourd’hui une telle possibilité).

L’OEMII est donc l’ultime produit de l’évolution. Mais un humain peut à son tour évoluer en perfectionnant son neuroencéphale et, bien sûr, le reste du phénotype (vous-mêmes êtes précisément dans une phase précoce de cette évolution du phylum Homo). Ce qui se passe, c’est  qu’à partir d’un point du processus de corticalisation (développement du cortex et par conséquent de l’intelligence), l’humain arrive à comprendre les bases biogénétiques du cosmos et atteint les bases théoriques et pratiques pour modifier son propre génome sans avoir besoin d’espérer que le processus normal de dérive, de mutation et de sélection, l’altère et le perfectionne.

AYUBAAYII : Nous avons déjà dit que c’est un être vivant, mais sur UMMO ce phonème représente beaucoup plus. Sa signification exacte serait :

AYUBAAYII  : réseau d’entités dont l’entropie est négative, autoreproductibles,

et qui contiennent en leur sein une information codée au niveau biomoléculaire.

AYUBAAYII est par exemple un animal supérieur, comme l’OEMII lui-même, mais aussi une colonie de virus, un groupe de fourmis (c’est-à-dire son espèce), l’association d’un parasite avec son hôte, un groupe de personnes humaines, ou l’ensemble total des êtres vivants qui peuplent un astre froid. C’est-à-dire que l’AYUUBAAYII est mathématiquement « l’ensemble » mais aussi n’importe quel « sous-ensemble ».

Mais, ce qui caractérise réellement l’AYOUBAAYII, ce n’est pas d’être un simple agrégat d’êtres vivants, mais que ce réseau soit dirigé, modulé, guidé par la WAAM    (UNIVERS DE MASSE INFINIE ET DE RAYON CONSTANT).

L’évolution d’un réseau d’êtres vivants sur une planète froide ou une étoile froide n’est pas régie par les simples lois du hasard. Les organismes envoient des données au sujet de l’environnement au WAAM   . Celui-ci traite ces données et répond en envoyant des signaux (des patrons de comportement) pour l’évolution. Ce processus, nous l’appelerons en terrien en utilisant un néologisme (!) : ORTHOGÉNÈSE.

Ainsi un AYAUUBAAI comme l’OEMII est un agglomérat de cellules en unités histologiques qui constituent les organes  et les structures de soutien, mais le RESEAU est supervisé dans sa structure par   dont nous parlerons plus extensivement.

WAAM   : c’est sans aucun doute l’Univers le plus important de la création de WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). WAAM  est un univers singulier, l’un des univers du waam-waam (adjacent cependant à WAAM  et relié aux autres waam grâce à l’existence dans ceux-ci d’une masse imaginaire

WAAM   a une masse infinie qui se divise en parties égales en MASSE DE MATIÈRE et MASSE d’ANTIMATIÈRE (+ m et – m). Son rayon est constant et il ne possède pas de masse imaginaire. La vitesse du photon en son sein est infinie. (Le concept de masse infinie se réfère à la totalité de cet univers ; cela ne veut pas dire que les singularités massiques de cet univers soient hyperdenses). C’est l’unique univers, en plus du WAAM , où le concept d’AYUUBAAYII (réseau vivant) n’a aucun sens. (Exprimé en termes courants : ici il n’existe aucune galaxie, planète,  animal ou végétal, roche ou possière. Nous allons essayer de décrire le WAAM   .

Si nous pouvions « voir » ou pénétrer dans cet Univers si étrange, nous apercevrions un conglomérat confus de filaments et de nodules flottants dans l’espace. Une partie de ces filaments est de masse (+ M) et une partie de masse (- M). Cela nous surprendrait d’observer que se produit une « explosion » quand certaines de ces fibres entrent en contact. (En réalité, c’est la dispersion de nodules et de filaments et la libération d’énergie qui contribue à ce que les filaments et les nodules voisins s’éloignent entre eux en compensant leur attraction gravitationnelle.) Cela nous surprendrait d’observer entre ces faisceaux de filaments des flux de quantons de grande énergie qui se propagent à une vitesse infinie. (Il est nécessaire de préciser que le concept mathématique d’INFINI ∞  a ici – monde physique – une signification réelle quelque peu différente. Un exemple pourrait peut-être illustrer ce que nous voulons dire. Une valeur telle que 12n, en prenant pour « n » n’importe quelle valeur supérieure à un quintillion [1030] -approximativement-, sera considérée par les physiciens d’Ummo comme AIGIOXAA « infinie » ; un concept différent d’AIGIOXUOC (l’infini mathématique) pour lequel « n » aurait une valeur supérieure à n’importe laquelle que vous pourriez imaginer).

Les GOOINUU UXGIIGII sont ces filaments pourvus de masse situés dans un cadre tridimensionnel.

Si nous pouvions les visualiser, leurs formes seraient approximativement ainsi :

Les nodules doivent avoir une densité (en unités de la Terre) de 1018,3 grammes/cm³ [Ndt : 2.1018] (densité se référant au cadre tridimensionnel de notre WAAM) valeur qui atteindrait dans notre Univers celle d’une étoile à neutrons.

La masse filamenteuse peut atteindre des densités entre 107,2 et 105,8 g/cm³ [Ndt : 1,6.107 <–> 0,63.106].

Le filament entre deux nodules peut entrer en vibration longitudinale périodique (propagation axiale)  oscillant en onde stationnaire. Cette oscillation a une signification d’INFORMATION. Exprimé d’une autre façon : GOOINUU UGIIIGI (chaîne massique) code et décode l’information, la stockant dans sa zone filamenteuse et l’éjectant ou la consommant par chaque paire de nodules.

Nous disons qu’un observateur enregistrerait ces grandes chaînes se croisant dans l’espace sans se toucher -sauf en de rares occasions- et pourrait mesurer une température dans leur masse telle qu’elle leur permet d’émettre des quantons énergétiques (photons). (Observez que dans ces chaînes, la matière, sauf dans les sections filamenteuses,  n’est pas formée d’atomes  mais de particules fortement comprimées sans charge électrique. Il n’existe donc pas de couronnes électroniques ni donc d’orbitales dont les électrons puissent émettre de l’énergie quantifiée en changeant de niveau.) La source d’énergie thermique est constituée des impacts de masses (+) avec des masses (-).

Mais la conception globale de cette structure est plus complexe. Le cadre réel est pentadimensionnel. Un réseau d’ibozsoo uhu pourrait se concevoir dans l’hyperespace des trois dimensions plus le temps, plus OAWOO (dimension orientée des I.U.) comme de véritables « membranes »  (XOODII) qui unirait les « nodules  » cités entre eux.

Ce réseau hyperspatial complexe possède les fonctions suivantes :

– ENREGISTRER L’INFORMATION (la stocker),

– TRAITER LES DONNÉES (étant donné qu’il est formé d’authentiques amplificateurs photoniques).

De tels XOODII sont en réalité des réseaux d’I.U. qui présentent la particularité de fournir d’immenses quantités d’énergie !!! NON QUANTIFIÉE !!! quand le réseau est excité par un seul photon (quanton).

Nous appelons LEEIIYO WAAM (Effet Frontière) une famille de phénomènes qui se passent dans le XOODI WAAM (frontière ou membrane entre deux cosmos « adjacents » (qui peuvent intercommuniquer).

 Les effets frontières « observables » sont nombreux :

 [Il en existe beaucoup plus qui n’ont pas encore été observés par nos scientifiques]

Quelques LEIIYO WAAM :

– La masse « imaginaire »  d’un WAAM peut provoquer des effets de plissement et de « pression » sur un autre WAAM.

– Une pression critique de valeur supérieure à quinze millions d’atmosphères en synchronisme avec un champ magnétique intense OXAAIUYU provoque un LEEIIYO (changement d’axes des I.U.), ce qui explique la OAUOOLE IBOZOO (Inversion corpusculaire qui permet à nos nefs de voyager par l’intermédiaire d’un autre WAAM).

– Le plus transcendant « LEEIYO WAAM » (effet frontière) se manifeste grâce à l’existence de deux facteurs attachés aux êtres vivants (des nuages d’atomes de Kr).

   – BAAYIODUU relie le génome d’un être vivant au  .

   – OEMVUUAUW relie le cerveau à   et à .

Aussi bien le BAAYIODUU que le OEMVUAUW, moyennant leurs sauts quantiques codés, excitent une région du WAAM   . En réalité, ils excitent ou stimulent au moyen d’apport d’information la XXODII de cet environnement. Le transfert s’effectue par l’inversion d’un saut quantique  codé (dans notre WAAM) en un photon dans le sein de l’autre WAAM  .

Ce photon est « inversé » par XXODII et transformé en un flux macrophysique d’énergie (un peu semblable à ce qui se passe dans notre WAAM quand un photon tombe sur un cristal en provoquant une cascade d’électrons).

La première phase du processus consiste en un enregistrement de la DONNÉE. L’information se grave sur le GOOINUU UGIIGI sous forme d’ondes stationnaires au sein de la section filamenteuse. S’ensuit après un traitement complexe de l’information, que nous développerons dans un autre rapport.

 En récapitulant : Quand nous voyons, sentons ou touchons un objet comme un coquelicot, l’information passe de nos neurocepteurs au cerveau. Celui-ci traite l’information et la stocke, mais en même temps il la transfère à une chaîne d’atomes de Kr dont les électrons périphériques la reçoivent et la transmettent à un autre univers (WAAM  ) base du PSYCHISME COLLECTIF) et au WAAM    base de l’Âme individuelle).

WAAM   est un continuum pentadimensionnel avec des singularités de masse en forme de filaments à nœuds, divisé en ‘cellules » ou « environnements » séparés entre eux (Nous ignorons la nature de cette séparation et s’il existe réellement un transfert d’information entre eux). Chaque cellule reçoit le nom de BUUAUE BIAEI (B.B.) « Esprit ou Âme collective » ().

Il existe autant de B.B. que d’AYUUBAAYII (réseaux d’êtres vivants planétaires) dans tout le WAAM-WAAM. Il y a une correspondance biunivoque entre chaque ensemble d’êtres vivants sur un astre froid et son B.B. correspondant.

Exprimons cette notion avec une plus grande amplitude didactique.

Vous les hommes de la Terre, êtes intégrés dans un Réseau vivant (la biosphère terrestre qui contient depuis le plus humble viroïde jusqu’aux mammifères supérieurs de toute espèce y compris l’Homo sapiens.

Eh bien ! dans WAAM    on peut localiser spatiotemporellement une « cellule » (« gigantesque », une véritable « galaxie ») appelée par nous    d’OYAGAA (B.B. ).

Tous les êtres vivants envoient de l’information à ce grand CERVEAU COSMIQUE. Le ou  ÂME COLLECTIVE est plutôt un encéphale extracosmique, étrange pour vous, qui emmagasine, code, décode et traite l’information en provenance de tous les êtres vivants de la planète froide.

Mais le lien qui l’unit à une bactérie, un crabe ou une gazelle est seulement  le BAAIYOODU UHU (le codage d’information dont le concept ne comprend pas seulement le nuage d’atomes de krypton mais encore son intégration dans  ). Un poisson envoie de l’information sur ses gènes et le milieu ambiant, et reçoit seulement des patrons de forme ou des patrons de génotype pour moduler ses mutation. Ceci est le seul lien qui unit un animal inférieur au B.B.

Mais l’homme (OEMII) est un être qui se distingue des autres en ce que, en plus du BAAIYODUU, son cerveau possède un autre nuage d’atomes de krypton : le OEMBUUAUW (O.). O. transfère une information beaucoup plus riche à B.B. et à l’âme .

Non seulement ce qu’il perçoit, mais encore ce qu’il symbolise, réfléchit, pense, ressent. Les Idées, les symboles, les sentiments, les élaborations intellectuelles, c’est-à-dire tout le processus mental est codé simultanément dans :

– l’Encéphale

– les mémoires de l’Âme ()

– la Psyché Collective ()

Les deux premiers enregistrent seulement les perceptions et les processus intellectuels de l’individu. Le B.B    intègre cette information avec celle provenant de millions d’êtres vivants de la planète.

De plus, le cerveau reçoit :

– des INSTRUCTIONS (Information directrice de l’Âme )

– de l‘INFORMATION intellectuelle et émotionnelle, produit et synthèse des traitements immenses de toute l’information des êtres vivants de la Planète où il réside.

Voyons cela sur le dessin suivant :

Comment naquit le WAAM-WAAM ? Au début fut le WAAM   coexistant avec WOA (Dieu).  WAAM   contenait toute la masse de son univers en un noyau initial de valeur infinie (infini physique). Mais ce noyau, au contraire de celui des autres WAAM, était formé de matière et d’antimatière. C’était un Cosmion instable et, par conséquent, il explosa. E = ¥ (énergie).

L’expansion d’un cosmos est comme une bulle qui se dilate. Une membrane hypersphérique dont le rayon augmente progressivement. Vous pourriez le comparer au front de l’onde d’hyperpression qui se crée après l’explosion d’une bombe de fission-fusion-fission. (La pression interne de cette bulle à l’instant initial est infinie, mais la valeur change progressivement).

S’il n’y avait pas eu l’influence de WOA, l’expansion aurait été compensée par l’action gravifique d’une masse « infinie ». Le « cristal cosmique » initial (isotrope et avec une densité constante de (+ m et – m) se serait collapsé à l’instant même où aurait commencé l’expansion isotrope.

C’est ici que WOA intervint en introduisant une anisotropie induite « intelligemment » : la CRÉATION.

WOA induisit uniquement une asymétrie. Nous verrons ensuite comment, en une boucle que vous appeleriez cybernétique, le COSMOS « se réfléchit sur lui-même« , c’est-à-dire « AUTOCAPTE de l’information sur sa structure » et s’autocorrige grâce à cet acte de réflexion interne.

Du fait de cette perturbation induite par WOA, cet Univers cesse de présenter la caractéristique cristallocosmique, les masses de signe différent entrent en collision et l’énergie résultante sert à (en contribuant à l’expansion du système) contrecarrer le collapse gravitationnel.

L’asymétrie ou l’anisotropie du WAAM  exerce son influence sur les WAAM adjacents. Ceux-ci au moment de l’explosion, auraient également tendance à se transformer en cristaux cosmiques isotropes.

La perturbation ou plissement d’un WAAM se produit au moment de l’explosion quand, une petite fraction de temps après l’expansion initiale, la Membrane ou « bulle » présente une pression critique d’environ 15.445.000 atmosphères (unité de la Terre), Pression critique appelée AADAGIOUU (pression qui est sensiblement inférieure à celle qui apparaît à l’instant zéro, quand toute la masse du WAAM est concentrée en un point hypermassique).

Dans la naissance du WAAM (notre Univers) nous devons donc considérer deux instants critiques d’interaction avec le WAAM  :

Instant initial : hypermasse ponctuelle (elle explose sous l’action du WAAM ),

Instant de l’anisotropie initiale

(Il se produit une pression au dessus de quelques quinze millions de kilogrammes-poids par cm carré (unité de la Terre) qui donne lieu à l’annihilation de l’isotropie initiale)

Cet instant est critique. Il apparaît les particules subatomiques et les quantons énergétiques qui formeront postérieurement par accrétion des nuages de gaz, de la poussière et les galaxies quand le gaz se condense en étoiles (cette phase est assez bien connue par les astrophysiciens d’OYAGAA (la Terre).

La fonction du WAAM   est donc transcendante. Non seulement, il agit par l’intermédiaire du B.B. , comme nous le verrons ensuite, sur les êtres vivants, mais encore par dessus tout il rend possible l’existence du Pluriunivers.

Maintenant vous pouvez faire une synthèse de toutes les fonctions (connues) du WAAM  . Nous utiliserons un langage didactique :

le WAAM   rend possible la richesse organisatrice du pluriunivers. Sans lui, le WAAM-WAAM serait un réseau de points hypermassiques  et il n’existerait ni galaxies, ni étoiles, ni êtres vivants, pas de « choses » en résumé. WAAM  module grâce aux « LEEIYO WAAM » (les effets frontière ») les configurations du cosmos multiplanaire dans lequel WOA devient RÉALITÉ.

                  Le WAAM-WAAM   divise en, multiples B.B., reçoit une INFORMATION très variée en provenance des êtres vivants qui peuplent l’Univers multiple. Observez qu’en RECEVANT de l’INFORMATION de ces êtres, il reçoit en réalité des données sur le WAAM-WAAM lui-même, observé par ceux-ci.

Chaque B.B. reçoit par dessus tout un flux d’information très important, celle émanant des OEMII ou êtres rationnels qui habitent le WAAM-WAAM, leurs processus intellectuels, leurs perceptions du monde qui les entoure, leurs sentiments, etc…

Le WAAM    traite cette information, la morcelant dans ses différents B.B. , et élabore des patrons morphologiques, et des sentiments et symboles universels, des idées patrons…

Chaque B.B. envoie ses patrons biologiques aux êtres vivants pour guider (ORTHOGENESE) l‘évolution de chaque Astre froid. Chaque B.B.  expédie aussi ses idées universelles, sentiments collectifs, inductions grégaires, idées patrons morales, etc, à tous les OEMII. OUI, les lois morales sont « écrites » avant l’Envoyé de WOA sur chaque planète à biosphère intelligente.

Ainsi s’explique la communication extrasensorielle, que vous appelez également télépathie, entre les êtres intelligents du même Astre froid.

Un dessin synthétise de manière didactique ces fonctions :

Parlons maintenant de la  CONSCIENCE (que nous appelons de différents mots, usuellement EEXEE OA).

L’OEMII, comme n’importe quel être vivant, est un réseau d’ibozsoo uhu spatiotemporel et néguentropique. Dit autrement, son évolution dans le temps est telle que l’entropie interne (perte d’information) se réduit au lieu d’augmenter comme cela se passe dans un cristal, une roche ou une galaxie. Cela veut dire que nous percevons l’écoulement du temps en fonction de deux états E1 et E2 d’entropie dans lesquels le second est inférieur au premier. Il s’est produit dans l’intervalle une diminution d’entropie, c.à.d. une augmentation d’INFORMATION ∆I.

Nous ne percevons pas réellement le temps, mais l’enrichissement d’information. C’est la raison pour laquelle quand vous vous ennuyez le temps s’écoule lentement (l’augmentation d’information est minime).

La perception du temps est « inexistante » entre deux états dans une anesthésie totale où E1 ≈ E2.

Au contraire, quand nous vivons intensément (enrichissement en information), le temps paraît s’écouler plus vite. Pour certains malades à dégénérescence du tissu neuronique (par exemple ceux qui sont atteints de ce que vous appelez la démence sénile), le temps s’écoule en arrière (entropie positive) ; c’est pratiquement un cadavre, puisqu’il se transforme en être entropique.

L’information de notre esprit est transférée également à la psyché  . Là-bas, elle est enregistrée sur des réseaux filamenteux d’IBOZSOO UHU. C’est à dire sur des chaînes d’IBOZSOO UHU. De même cette « structure filamenteuse  » apparaît sur la séquence d’I.U. qui interagit avec nous ou nous dirige. Chacune de ces chaînes d’I.U. est composée d’une infinité (au sens physique) d’angles qui codent l’information.

Il existe, comme vous pouvez le voir sur le graphique, une correspondance biunivoque entre les instants de l’axe du temps (le temps est unifié en tant que discret) et les IBOZSOOUHUU de la psyché . Le temps dans l’Univers est formé d’une succession discrète de QUANTONS TEMPORELS ∆t, dont chacun est en relation avec la paire d’I.U. qui code les instructions que l’âme envoie.

 

&&&Sur le graphique, nous pouvons voir de manière didactique comment les instructions sont séquencées, instant par instant (I.U. à I.U.) ∆t, de sorte que, considérant notre « moi »  comme un grand tunnel spatiotemporel, la conscience va en ILLUMINANT les sections successives de cette grande galerie. Nous pouvons imaginer que ce tunnel possède de nombreuses portes ; chacune d’elles représente l’organe neurocepteur lui-même tout au long des instants successifs.

Par la porte (les portes : au long du temps : la Vue par exemple) entrent des images successives. Notre cerveau va en s’enrichissant de perceptions visuelles. Chaque jour qui passe j’ai vu un nouveau visage, un objet que n’avais pas vu auparavant. La galerie va en s’enrichissant « d’objets », de « meubles ».

                             

Quand un homme avec sa lanterne illumine une section du grand tunnel (OEMII OEVUMAEI : homme spatiotemporel), il capte non seulement le « meuble » qui vient d’entrer par cette porte (image nouvelle perçue) mais également par l’intermédiaire d’un « miroir » : la MÉMOIRE, les « meubles » qui sont DERRIÈRE (jamais ceux de devant : le futur).

La conscience est donc séquentielle, elle progresse dans le temps grâce à la structure filamenteuse (chaîne ou fil) des I.U. de notre psyché  , (c’est comme un rosaire des catholiques ou une « japa » des hindous qui égrène les grains de la prière un à un séquentiellement).

LA MORT (ESCHATOLOGIE D’UMMO)

Quand se produit une destruction des derniers éléments du réseau de krypton (non pas l’annihilation des atomes mais celle des nœuds du réseau), la mort survient. Cette annihilation coïncide précisément avec la désintégration de certains réseaux neuroniques de l’encéphale. (un arrêt cardiaque implique l’absence d’irrigation sanguine, un manque d’apport d’oxygène et de glucose au réseau histologique neuronique, la dégénérescence tissulaire et la mort).

                         

          

La mort de l’OEMII coïncide donc avec la désintégration de l’OEMBUUAAW   (les atomes de Kr retournent à leur comportement quantique), UN EFFET FRONTIÈRE DISPARAÎT donc, et apparaît un quatrième effet « LEEIYO WAAM ».

Un réseau d’I.U. s’intègre entre les deux WAAM-WAAM adjacents : WAAM    et  WAAM  , L’âme et B.B. se relient entre eux. Ceci veut dire, comme nous le révélons dans un autre rapport, que notre psyché accède au stade maximal d’intégration dans le psychisme collectif.

Ceci est le sens de la transcendance sur Ummo. Nous savons qu’à notre mort surviendra une fusion, une intégration, une liaison étroite de la psyché, de notre esprit (ni matériel ni immatériel mais matrice de toute l’information de notre vie) avec le psychisme collectif « universel ».                     

Nous pourrons nous connecter plus intensément avec les êtres chers, communiquer avec les esprits des autres frères décédés, participer à la connaissance planétaire de toute la biosphère, non seulement des OEMII qui viennent de mourir, mais encore avec tous les humains depuis que naquit la vie sur OYAUMMO (et, bien sûr, pour vous, depuis les Homo habilis jusqu’au dernier de vos frères).

Est également possible la connaissance du monde réel y compris des êtres vivants puisque B.B. est informé de tout le processus vivant des êtres qui ne sont pas encore décédés. Ceci signifie que l’OEMII décédé, par l’intermédiaire de sa psyché peut d’une certaine façon influencer ses êtres les plus chers grâce aux inconscients et, à un certain degré aussi les choses qui les entourent, dans la mesure où la biosphère modifie le milieu physique ambiant par l’intermédiaire des êtres vivants.

B.B. est le Psychisme collectif. Nous pouvons également l’appeler subconscient ou inconscient collectif, dans la mesure où ses contenus sont opérationnels mais ne sont pas rendus conscients à nous autres ÊTRES-VIVANTS.

Le Psychisme d’un être frère décédé peut, et de fait le fait parfois, nous assister, nous protéger et parfois en interagissant de façon TRÈS ACTIVE, mais la plupart du temps, en modulant doucement notre inconscient à travers l’information que nous recevons du BB .

Le psychisme ou l’âme, libérée des liens du O.   et du OEMII (ou corps physique) – déjà décomposé -, commence une étape éternelle de connaissance joyeuse de B.B., non seulement il assimilera au fur et à mesure une culture millénaire accumulée par des siècles de vie de tous les êtres humains, mais encore il pénètrera dans la science, l’art, en somme toute la culture d’une humanité planétaire. Il resentira sans doute aussi les souffrances, mais compensées par la profonde connaissance des U.A. et vies morales et euthymiques des êtres.

De plus  : comme participant au WAAM ,  il pourra accéder aux éternels secrets de tout le WAAM-WAAM, assistant à l’évolution perpétuelle de ses galaxies, étoiles et formations massiques diverses.

Qu’arrivera-t-il quand l’humanité de la Terre disparaîtra ? Nous ne le savons pas d’un point de vue scientifique ; mais la révélation d’UMMOWOA nous dit que le  s’intégrera à son tour dans les autres B.B.  correspondants aux nombreuses autres biosphères planétaires disparues. Nous pouvons noter cela dans les U.A. suivants : (les U.A. sont de sublimes maximes morales dictées par le divin Ummowoa).

UAA

TAAUU 1854 « Et l’inconscient planétaire dans ses lointaines régions nous illuminera d’une éclatante morale qu’il nous est difficile d’assumer. Puisqu’en lui est gravée toute la loi dictée par WOA pour tous les OEMII. En lui sont enregistrées les actions des OEMII, celles qui sont conformes à l’éthique et celles qui violent les principes sociaux inévitables, puisque tous ceux qui par leur conduite rompent avec mes divins TAAUU, provoquent une régression de caractère                                                                                                                                                                                                          entropique ; avilissent leur propre WAAM »(cosmos = peut se traduire par CADRE SOCIAL, MILIEU physique).                                                                                                                                                                           

TAAUU 1860 « Mais la désintégration de l’OEMII surviendra un jour, comme vous le savez tous. Comment pourriez-vous savoir quand cette minute (UIW) arrivera ? Votre âme se fondra alors dans l’Inconscient collectif, en                                                             participant à des joies planétaires et, hélas aussi à ses tristesses,  mais aussi au plaisir d’appréhender toute la masse immense d’information intellectuelle et de voir réfléchie sur une surface d’argent–titane (alliage qui sert de miroir) toute la loi UAAA (morale)de l’Univers polynucléaire dans lequel vous êtes insérés ».                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  

TAAU 1868 « De plus, un jour, toute la sphère vivante sur UMMO sera victime       d’un terrible cataclysme qui annihilera les fondements, non seulement de votre civilisation, mais encore l’essence génétique elle-même des êtres vivants. La glace d’eau recouvrira la surface des continents, avec plusieurs ENMOO d’épaisseur (unité de longueur sur UMMO [note de notre part)] en de nombreux endroits, et la désintégration de la vie sera devenue réalité.

Ce sera le point d’inflexion à partir duquel l’inconscient collectif, qui  au début flottait solitaire dans l’océan de son cosmos (« ‘il se référait à WAAM « ), se fondra avec les autres inconscients collectifs des humanités et des réseaux_animaux éteints qui habitaient sur de lointains OYAA (astres froids) et la participation de votre âme à l’œuvre de WOA atteindra un degré de perfection le plus sur le lent cheminement vers l’éternité ».

Quand ces TAAUU ont été dictés, nos scientifiques n’avaient qu’une vague conception de la Cosmologie. Ils ne savaient pas qu’il existait plus d’un Univers. Entendre parler d’autres cosmos semblait une métaphore qui représentait les autres mondes habités. Mais notre Science a confirmé au fur et à mesure les images divines et un peu métaphoriques de notre divin UMMOWOA.

 Aujourd’hui cependant, de la fusion future des B.B.  distincts, nous n’en savons que cet OEMII, bon et saint entre les saints, nous révéla d’une façon un peu ambiguë.

Vous les OEMII de la Terre, connaissez bien les interrogations des penseurs d’OYAAGAA. Pendant des siècles, vos philosophes se sont interrogés au sujet des questions les plus transcendantes qu’un être humain puisse se poser : Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? D’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous dans ce monde ?

Nous désirerions maintenant vous offrir les demi-réponses que nos scientifiques (la science et la philosophie se sont fondues sur OYAUMMO) offrent à l’être humanisé.

LISEZ AVEC ATTENTION CES PARAGRAPHES.

Réponse philosophique à la première phase de notre conception :

Nous autres, nous PENSONS : (nous n’avons pas pu le constater scientifiquement, bien que les TAAU d’Ummowoa nous offrent en plus la réponse) que WOA se réalise ainsi lui-même en engendrant le WAAM-WAAM (Ummowoa a dit le Cosmos et l’Anticosmos). WOA et le WAAM-WAAM coexistent dans l’éternité, nous ne pensons pas que Dieu (générateur) soit « avant » ou « après » l’UNIVERS (polynucléaire, comme le dit Ummowoa de façon cryptée). (Parfois dans certains TAAU l’homme divin parle d’Univers-Anti-Univers, d’autre fois il parle d’IBOZSOCAOWAAM (UNIVERS POLYPONCTUEL ou POLYNUCLÉAIRE, cette dernière acception resta une énigme jusqu’à ce que les scientifiques découvrent le WAAM-WAAM.

WOA ne peut pas exister « avant », en premier lieu parce que le concept de temps est inadéquat pour un être adimensionnel, mais en plus parce que « WOA ne peut subir de changements« . Imaginez que dans une première phase Dieu n’a pas encore tout engendré, et qu’ensuite » oui, il le fait, équivaut à concevoir une unité changeante : plus imparfaite dans un premier stade.

WOA coexiste donc avec un WAAM-WAAM engendré par lui.

 

WOA existe. Pas dans le temps. Il existe et c’est tout ! L’Univers multiplanaire existe comme un tout décadimensionnel qui inclut le temps. (Cela n’a pas de sens de croire que le cosmos va en évoluant lentement pendant que WOA va en l’engendrant  progressivement. L’illusion de l’écoulement du temps est propre aux êtres vivants)

WOA conçoit un multicosmos qui a ce profil :

.. et capable de s’enrichir ainsi soi-même en information (l’axe des abcisses représente le Temps. L’axe des ordonnées symbolise l’INFORMATION AUTOACQUISE.)

Comment peut-on concevoir qu’un système soit capable d’autogénérer l’information, se rendant ainsi intelligent lui-même ? Notre réponse philosophique est que cette information est « l’information » que WOA possède dans son infinitude, elle est un reflet de l’intelligence de WOA. (Observez que la fonction représentée dans ce graphique peut s’intégrer entre zéro et l’infini :        

La différence réside en ce que le WAAM-WAAM ne peut pas être WOA et a besoin de progresser dans la « connaissance » tandis que, dans WOA atemporel, l’information est intégrée en lui (pleinement).

WOA engendre donc un Univers multiple AUTOCONSCIENT capable de s’autocorriger en une boucle cybernétique. Mais, comment une masse de galaxie et de poussière cosmique peut-elle devenir autoconsciente ?

Evidemment, un processus entropique ne peut jamais se rendre « conscient« . La conscience implique la complexité et un haut niveau d’information et d’intelligence (l’entropie est désordre). Un système entropique comme une étoile ou un nuage de gaz, centrifuge l’information, il se dégrade. Il ne pourrait jamais se rendre conscient.

Il est nécessaire de « créer » des systèmes néguentropiques (des systèmes qui vont en s’enrichissant en information, INFORMATION CENTRIPÈTE, aux dépens du milieu). L’intelligence élevée de WOA exige que ces systèmes se développent avec un effort intellectuel minimal.

La façon de l’obtenir est d’ENGENDRER UN COSMOS ANISOTROPE, irrégulier. Voyons un exemple : Agitez la poussière dans une habitation. Des millions de volutes de particules s’agiteront dans l’habitation. Dans certaines zones, la poussière se disperse, s’étend (Entropie), dans d’autres,  – les moins nombreuses – la poussière peut se concentrer en formant des arabesques ravissantes, des volutes de formes variées (concentrations d’information = néguentropie)

CE QUE  DIT NOTRE SCIENCE :

Effectivement, s’engendre WAAM  qui, comme vous le savez, distord les autres Univers, créant des singularités de masse, les galaxies et les étoiles qui en font partie au moyen d’une flaque de gaz.

Mais, en des endroits spécifiques, surgissent PAR HASARD des êtres néguentropiques.

Parmi un flux sauvage d’entropie, de petites parties de l’Univers s’écoulent en sens inverse, gagnant de l’information au lieu de le perdre, et ces nodules {êtres vivants sur des OYAA (Astres froids)} arrivent à se perfectionner parfois jusqu’à se rendre CONSCIENTS.

Mais, à quoi sert la CONSCIENCE ? Nous croyons de manière illusoire que c’est pour notre service personnel. Nous sentons, nous visualisons, nous touchons, du jasmin – nous croyons que c’est pour votre plaisir (le plaisir joue ici le rôle de miroir aux alouettes pour nous inciter à goûter et sentir), mais en réalité, nous percevons, nous ressentons pour : 

                                                                                 ==> le service du WAAM-WAAM.

 En effet :

les êtres vivants par l’intermédiaire de leurs transducteurs, c’est-à-dire les neurocepteurs récepteurs de modèles d’information (les organes des sens), captent la structure de l’Univers.

Cette information est envoyée au B.B.

intégrée et traitée dans le WAAM 

qui, à son tour, engendre des modèles d’action sur le WAAM-WAAM.

Se ferme ainsi une boucle cybernétique.

                             

Vous pouvez maintenant comprendre la grandeur de la Création de WOA. Dieu a créé un univers autoconscient qui se corrige ainsi lui-même en se perfectionnant. Le Multicosmos est comme un gigantesque organisme, doté d’un cerveau, le WAAM   ; d’organes sensoriels : les êtres vivants, d’effecteurs (organes moteurs) ; de perturbateurs (la masse imaginaire) capables de modifier  la structure de l’univers  en pliant spatiotemporellement son continuum dimensionnel ; et enfin de son propre corps : l’ensemble ou le réseau de Cosmos qui forment sa structure.

Tout ce macroorganisme possède une âme : le WAAM  dont les psychés individuelles finissent par moduler la structure du WAAM.

Maintenant vous pouvez comprendre pourquoi nous vous avons dit, dans d’autres rapports, que l’OEMII peut modifier son propre Univers en l’observant.

Nous sommes de simples instruments d’un être grandiose qui naquit pour refléter tout le pouvoir infini de WOA, et en mourant, nous intégrer dans le savoir infini de WOA reflété dans l’Univers décadimensionnel et multiplanaire. Si nous ne voyions pas, ne sentions pas et ne touchions pas, le Cosmos se résoudrait en un chaos infini sans formes ni flux d’énergie. Ceci serait la preuve la plus palpable de « l’oligophrénie » de Dieu.

SYMBOLES ABRÉGÉS

A      = AIUUBAHAYII             (Réseau d’êtres vivants ou ÊTRE vivant )

B.B. = BUUAUWEE BIAEII  (Psychisme collectif) O U                                                                                                  

I.U.  = IBOZSOO UHUU       (Sous particules élémentaires )

B.I.  = BAA IYODUHU           (Facteur d’union entre B.B. et  les chromosomes

O.    = OEEMBUUAW           (Facteur de krypton qui unit B.B. avec l’encéphale d’un OEMII

WAAM-WAAM est la création de WOA, la création de l’OEMII d’une certaine façon puisque avec   notre pensée nous contribuons avec les autres quintillions (1030) d’humains dans la pluralité de cosmos, à le remodeler. Notre fonction d’être conscient est de servir d’yeux, d’oreilles, d’organes olfactifà ce grandiose cerveau qu’est WAAM  à l’intérieur de ce non moins grandiose  ORGANISME VIVANT qui est l’œuvre de WOA : le WAAM-WAAM.     

Il est nécessaire de préciser le rôle que joue la masse imaginaire dans le Cosmos multiple.

De la même manière qu’un animal reçoit de l’information et ensuite la traite pour finalement exercer son action par l’intermédiaire de ses organes moteurs : pieds, bras, mandibules, sur le milieu (boucle cybernétique). Nous avons également vu que les êtres vivants agissent en recevant de l’information, et en la réexpédiant au B.B. dans le WAAM  .

Il est déjà évident pour nous que la fonction transcendante de B.B.  n’est pas précisément de coordonner un réseau d’êtres  vivants dans ce développement de l’information que nous appelons Psychisme ou inconscient collectif.

La fonction véritable du WAAM  est de servir d’ENCÉPHALE au WAAM-WAAM, mais tout être vivant reçoit de l’information, la traite et AGIT sur le milieu qui l’informe en le transformant.

Le WAAM-WAAM fait de même, et se sert d’une entité qui est, jusqu’à aujourd’hui seulement, pressentie par les physiciens de la Terre, et qui est la masse imaginaire.

Masse « imaginaire » ± – 1 m ne signifie pas (comme le savent vos frères mathématiciens) qu’il s’agit de MASSE « mythique » ou « imaginée ». Au contraire son existence est BIEN « réelle », c’est seulement que vous ne pouvez pas la toucher ni la sentir puisqu’elle ne se trouve pas dans le cadre tridimensionnel que vous percevez. Une propriété de cette masse est qu’elle peut se déplacer à des vitesses supérieures à celles d’un photon. La masse imaginaire est un réseau singulier d’I.U. (Ce n’est qu’en connaissant la théorie des IBOOZSOO-UHUU que vous pourriez comprendre sa fonction d’interrelation entre les Univers.)

Une particule de telle masse s’écoule dans le temps « à l’envers« , et sa situation stable ou d’énergie minimale est la vitesse infinie. Il n’existe pas d’êtres vivants de masse imaginaire, mais s’ils existaient, leur repos paradoxal serait la vitesse infinie (infini mathématique).

Le réseau d’ibozsoo uhu agglutine ensemble les Cosmos, il agit comme courroie de transmission d’énergie entre eux. (Quand  se déplace à de « petites vitesses », la masse imaginaire se manifeste dans l’un des cosmos jumeaux mais en réalité elle opère toujours entre deux cosmos. Parfois, vous vous êtes demandé : comment un univers peut-il produire des plissements dans un autre ? Cet effet frontière, c’est la masse imaginaire qui le produit.

Ou bien vous vous demanderez  : Comment est-il possible que les électrons d’un atome de krypton se comportent dans le B.I. et dans le O. de façon si particulière ? Ce sont les sousparticules de masse imaginaire qui, de « l’autre côté » de la frontière, exercent cette action.

C’est uniquement quand cette masse n’est pas dans son « état » d’énergie minimale  (V=∞) que s’exerce l’action intercosmique (quand – m atteint exactement la vitesse de la lumière dans le cosmos qu’elle est insérée, son énergie associée atteindrait une valeur infinie, chose qui dans la réalité n’arrive jamais.

L’effet frontière IYODUHU (B.I.) est encore plus complexe que celui découlant de l’action intercosmique. BAA IYOODUHU était considérée dans l’Antiquité comme un réseau d’atomes de krypton capables de recevoir l’information et d’enregistrer des patrons phylogénétiques d’êtres vivants.

De façon évidente B.I. n’est pas uniquement un minuscule nuage d’atomes de krypton (86 pour chaque groupe de gènes) mais également une symbiose entre ce réseau d’I.U. et le B.B.  .

Chaque paire d’atomes de Kr a une fonction spécifique. L’un d’eux code l’information qui est imprimée dans le WAAM   sur l’orthogenèse des êtres vivants. Autrement dit, il code les patrons possibles de végétaux, d’animaux et d’êtres bioélémentaires.

L’autre atome de la paire capte l’information sur le milieu. Cette information arrive en provenance d’une petite masse d’eau intracellulaire ou cytoplasmique et aussi intranucléaire. Autrement dit, ce sont les molécules d’eau qui captent les trains d’ondes de diverses longueurs, non seulement celles de fréquence analogue aux dimensions de la molécule, mais également des longueurs d’onde métriques. La seconde source d’information est les biomolécules et les oligoéléments chimiques qui passent à travers la membrane cellulaire.

Ce même atome a une deuxième fonction. Les sauts quantiques au sein de cet atome altèrent le métabolisme du noyau, en ionisant l’eau du noyau et en modifiant ainsi le code du génome (en produisant, dans la séquence de nucléotides qui forment la châine de l’ADN, des mutations contrôlées.

Nous voyons que le génome d’un exemplaire de l’espèce est soumis à divers types d’influence : des mutations sauvages produites par exemple par une radiation ionisante d’origine extérieure, ou par un spécimen viral, ou par un ensemble de molécules mutagènes. Ceci en premier lieu.

Dans ces cas, le nouveau phénotype est normalement répressif, et l’individu meurt de ne pas pouvoir supporter la pression agressive du milieu écologique (il s’agit naturellement d’individus tératologiques).

D’autre part : des MUTATIONS  dirigées orthogénétiquement par le B.I. qui donnent lieu à une gamme restreinte de phénotypes progressifs, plus résistants envers le milieu, puisqu’il s’agit d’êtres plus évolués (indice de néguentropie positif).

Naturellement, bien que rares, les mutations du premier ordre : les sauvages, peuvent aussi être positives, mais s’il n’existait pas cette modulation de B.B. , l’évolution des êtres vivants dans une biosphère attendrait de nombreux milliers de millions d’années pour se développer  en s’appuyant seulement sur les lois du hasard, comme le postulent certains généticiens d’OYAAGAA (la Terre).

Pendant que nous « VIVONS », nous sommes MORTS. Ceci est la conclusion à laquelle nous

sommes arrivés. Pendant notre étape vitale, bien que nous soyons libres, nous participons de manière très restreinte à l’Univers. Nous ne sommes que des récepteurs d’une fraction des connaissances que notre environnement immédiat nous offre. Nous nous croyons des êtres indépendants et nous ne sommes que de simples instruments du WAAM-WAAM. Notre fonction est de servir d’ YEUX observateurs qui scrutent une fraction de l’Univers.

Mais, en mourant, nous sommes relevés de cet esclavage pesant. Nous nous intégrons dans le WAAM  , nous participons pleinement au CERVEAU du COSMOS. Nous vivrons ainsi dans la plénitude de l’intelligence de WOA. Quand Jésus de la Terre vous promet la vie éternelle, ceci est le sens que vous devez donner à ses divines paroles. Maintenant vous pouvez comprendre toute la grandeur de la UUAA (Loi Morale) dictée par Dieu.

Quand nous violons une norme divine, nous le faisons en fonction d’une attitude entropique.  Tout péché social, toute faute contre ce que vous appelez la Charité (l’amour) dissout à un plus moins grand degré la coordination d’un Réseau social. Si je provoque un préjudice à mon frère,  je peux provoquer une inhibition de ses fonctions observatrices, je contribue à un certain niveau à ralentir le plan de captation d’information du WAAM  , c’est-à-dire je contribue à créer de l’ENTROPIE, du DÉSORDRE, en ralentissant le progrès du Pluriunivers. Il existe un principe cosmique : celui d’énergie minimale. Dans le Cosmos deux énormes tendances luttent entre elles :

                                           ENTROPIE et NÉGUENTROPIE

Le flux universel d’entropie « entraîne le pluriunivers à la mort totale » jusqu’à ce que toutes les singularités massiques soient converties en énergie de rayonnement. Mais contre elle, lutte la néguentropie. Apparemment celle-ci est plus faible (les environnements néguentropiques de l’Univers sont comme de petites îles dans une grande mer d’écoulement d’entropie). Mais nous avons vu que ceci est une illusion, puisque dans le WAAM  se produit un effet multiplicateur. De petits flux d’information modulent de grands flux de masse imaginaire, une immense énergie, de la même façon qu’un faible courant dans un transistor contrôle une intensité élevée d’électrons.

 (Très important)

Le péché que vous commettez contre la société ; la violation de la loi sociale, peut provoquer des troubles graves dans le WAAM-WAAM, c’est pourquoi le divin UMMOWOA nous parle de la « colère » de Dieu (WOA) :

TAAU 357 :

     « Ah ! de celui qui n’aime pas, et viole la loi morale ! (UUAA), puisque la fureur de WOA se traduira par son abandon quand mourra son OEMII (corps). Si tu perturbes ton frère, tu provoques un dommage immense à l’Univers. Tu es en train d’endommager de manière sensible l’œuvre génératrice de WOA ».

Le principe d’économie (l’entropie) nous rend égoïstes, négligents envers l’amour que nous devons à nos semblables.

Quand Jésus vous parle du Diable, celui-ci « existe ». Bien que vous ayez interprété son image de manière métaphorique ou poètique. Le diable est en réalité « tentateur ». Il représente l’Entropie. C’est le mal absolu, l’annihilation. L’enfer n’est pas autre chose que la mort sous forme de radiation de basse énergie, qui se produit dans un WAAM qui périt quand l’entropie vainc les influences de la masse imaginaire provoquées par le WAAM  . Ce Cosmos (s’il est de masse hypocritique) se dissout dans le cristal cosmique ; les âmes responsables restent gelées pour toujours dans un éternel solipsisme, privées pour toujours de l’intégration dans le WAAM  . Il est difficile que cela se produise, mais c’est théoriquement possible.

Maintenant, vous comprendrez pourquoi nous considérons que l’Amour est un concept qui, pour nous, transcende les valeurs purement éthiques et humanistes, pour se transformer en un concept intégré de plein droit dans la Science. Le Démon, l’enfer, le mal… sont pour  vous des concepts mythiques ou pour le moins échappés du contexte de la Théologie.

 Vous les avez utilisés d’une manière si incorrecte, en les personnifiant d’une manière si naïve qu’ils semblent sans importance pour beaucoup d’OEMII. Mais, nous bien que nous ne les appelions pas de la même manière, nous savons qu’ils atteignent une valeur transcendante dans le WAAM  TOA (Histoire de la Cosmologie).

Celui d’entre vous qui viole la UUAA mérite la condamnation de la part de tous les OEMII du WAAM-WAAM, puisqu’il NOUS porte gravement préjudice.

 

(20/03/87 – sur la page 5 uniquement sur Aguirre – T13-43):

Nous ne voulons pas fatiguer votre attention. Nous savons que dans le rapport beaucoup de choses restent à clarifier. Il se peut que soit énigmatique pour vous le fait que la masse imaginaire  ne soit pas capable d’avoir une interaction avec la masse du WAAM dans lequel elle existe, et cependant puisse influencer par « effet frontière » le WAAM « adjacent ». Vous désireriez sûrement plus de données sur cet organisme vivant qu’est le WAAM-WAAM, ou sur l’UWAAN ou Cosmos jumeau, qui nous est adjacent et qui possède une masse négative. Sans aucun doute, dans cette vision cosmologique, le rôle d’UMMOWOA et de Jésus vous intriguera. Nous avons à peine précisé que, dans beaucoup de WAAM, il ne semble pas s’y trouver d’OEMII, bien qu’il y ait une vie primitive et qu’il n’existe pas d’êtres de masse imaginaire mais qu’il existe des êtres d’antimatière dans les WAAM où celle-ci prédomine. Et c’est à peine si nous avons fait allusion à l’origine du GÉNOME ou réseau d’ADN.
Si vous comparez ces rapports avec ceux remis au Canada et dans la République Fédérale Allemande, ils composeront le corps de notre doctrine scientifique, sur ces points.