D94 Message d’Ummo à la CIA de Madrid , Ummites à Albacète

 

UMMOAELEWEE

ERIDANI
Association d’études cosmologiques

MADRID, Espagne

 

Respectables messieurs,

 

Comme la note que nous avons récemment remise à une Agence située dans cette même capitale, au service d’un Département des États-Unis d’Amérique du Nord, fait dans l’un de ses paragraphes allusion à vous, nous avons pensé qu’il était correct de vous en fournir le contenu. Nous avons omis seulement quelques paragraphes pour des raisons que nous vous prions d’essayer de comprendre.

 

(Information en espagnol sur la lettre: Ceci est la traduction de l’original en anglais)

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………….MADRID (ESPAGNE) 24 août

…………………………

Estimé monsieur,

Nous vous prions de délivrer une copie de cette lettre à vos supérieurs, bien que nous pourrions le faire d’une autre façon. Nous nous référons, bien entendu, à vos supérieurs non de cette Agence ou Firme commerciale mais à………………………………………………………………………….

L’objet qui nous amène à nous adresser à cette Délégation est de vous faire savoir que nous sommes au courant de la mission « RED CASTLE 883 ». qui vous est confiée.

Dans des notes antérieures remises aux départements ……… et ……de la centrale à Washington, ainsi que dans la note remise à la date du 2 décembre 1969 à la représentation diplomatique des USA en Australie, mes compatriotes exposaient notre attitude à propos des recherches dont nous étions l’objet de la part des Autorités Fédérales de votre Pays.

Cette note doit être un avertissement qui clarifie en quelque sorte leurs activités en Espagne.

Vous pourrez en déduire que notre propre information est assez ample elle aussi. Nous déplorons que vous l’attribuiez aux fuites de nos propres « agents » dans votre section ou bien à d’inexistantes déficiences de nos subordonnés. Nous déplorons aussi de même que cette révélation de notre part sur de vraies fonctions de cette Agence dans la capitale espagnole ait forcé vos supérieurs à opérer des modifications substantielles dans sa localisation et son organisation. Nous sommes certains qu’à part celle qui nous intéresse, vos autres activités nous sont pratiquement inconnues.

J’expose ici les déclarations auxquelles je fais référence.

1° Bien que nous ayons la pleine conviction que notre version ne sera pas non plus acceptée, nous vous répétons que nous formons un groupe restreint de personnes originaires d’une autre planète habitée différente de la Terre. Qu’actuellement, nous sommes occasionnellement répartis dans différentes nations, accomplissant une mission dont le strict objectif est centré sur l’étude analytique de votre structure géologique, de l’atmosphère, de votre biosphère, ainsi que de l’ethnologie, l’Histoire et la culture actuelle de l’humanité qui peuple la Terre. Bien que nous suivions avec attention l’évolution géopolitique de vos structures sociales, nous ne pouvons prouver qu’en marge de ces fonctions prospectives nous n’exercions aucune activité de ferment idéologique politique parmi vos semblables ni ne canalisions une information cryptomilitaire pour de tierces puissances.

Nous déplorons que cette déclaration soit considérée comme « dérisoire ou démentielle ». Nous vous invitons à réfléchir que si ce n’était pas certain, il serait ridicule de nous cacher derrière une identité aussi invraisemblable pour vous.

D’autre part, à la vue de nos méthodes et de la planification de notre système de protection, nous vous confions que le bon jugement des techniciens de Washington rend très difficile de nous qualifier de déments, version qui d’autre part, si elle est acceptée, ne nous gênera absolument pas et servira au moins à ce qu’ils nous laissent tranquilles.

2°. Je m’en presse de suggérer que les recherches dont a fait l’objet l’Hôtel…. (BILBAO, ESPAGNE) n’ont pas donné de résultat. En effet, mes deux compatriotes résidaient à ces dates là-bas sous une fausse identité.

Eux, bien que cette affirmation fasse sourire, mais elle est véridique, ils ne se trouvent même pas sur cette planète, et je soupçonne, avec de bonnes raisons, qu’ils ne laissèrent pas de preuves précieuses, à part ces signatures que l’on a trouvées.

3°. Sur la fiche à en tête pour la signature :

Réf. 4460611 / SPAIN / RED CASTLE A4L. may 69

LLOBET DE ROBLES ANTONIO

républica argentina 249, BARCELONA, SPAIN

Mis à part d’autres inexactitudes contenues dans vos fichiers,, il a été noté : « a reçu des appels téléphoniques de nos agents… ».

Nous devons vous indiquer qu’aucun de mes compatriotes ni moi-même n’avons jamais adressé la parole à ce respectable citoyen espagnol.

4°. Nous ne croyons pas que vos recherches sur notre séjour à Albacète ne vous apportent quelques pistes éclairantes sur notre situation.

En effet, nous « résidions » clandestinement au domicile (démoli depuis comme on peut le vérifier ) de cette gentille dame espagnole Madame Marguerite Ruiz de Lihory, rue Mayor (à l’époque n° 58), qui nous facilita l’étude de quelques-uns de ses animaux qu’elle aimait tant. Quand, le 2 février 1954, la situation pour mes compatriotes est devenue intenable, à cause des inévitables commentaires du voisinage, ils abandonnèrent ce qui fut le premier séjour de mes frères dans ce pays depuis leur arrivée de France.

Nous vous déconseillons de faire des recherches auprès des parents et voisins qui ont survécu à cette dame, car ils ne savent rien ou pratiquement rien de notre existence.

5°. Enrique Lopez Guerrero, le prêtre catholique, résidant à MAIRENA DEL ALCOR (SÉVILLE), qui a aussi attiré votre attention, n’a pas eu plus de relations avec nous que quelques courtes lettres. Quand nous avons publié ces rapports, nous n’avions même pas contrôlé l’identité de ce sujet de nationalité espagnole.

6°. ………………………………………………………………………………………………………………..

7°. Nous croyons que vous avez subi une erreur qui selon nous est du, de notre point de vue à votre service d’interception qui s’est montré défectueux.

Le jeune D……… dont vous avez soigneusement contrôlé les mouvements durant son séjour actuel à LONDRES, appartient en effet à ce groupe de personnes vivant à Madrid, intéressé par notre témoignage. Mais ce n’était pas celui dont vous suspectiez le motif de son séjour accidentel dans cette capitale. Il s’agit d’une coïncidence circonstancielle non liée aux références qui ont filtré jusqu’à vous.

Je crois qu’à présent vous avez vérifié que ce noyau restreint de personnes de nationalité espagnole maintient avec nous de vrais liens amicaux, alors que nous ne les connaissons même pas personnellement. Tous, même, n’acceptent pas forcément ni totalement la réalité de notre identité et c’est quelque chose que vous, Monsieur, pouvez comprendre en raison de vos propres jugements.

En fonction des facilités que vos agents ont rencontré pour recueillir l’information à travers eux sans qu’ils les avertissent pourra vous permettre de juger la pureté d’intentions de ces gentils hommes. Mais vous êtes intelligent et au moins sur ce point, j’espère, que nous serons d’accord. J’ajoute qu’en échange, ils obtinrent quelques données utilisables pour notre identification provenant de nos correspondants. Croyez-moi que nous le déplorons.

8°. Nous regrettons vraiment que WISHAM KARL H, Virgen del Sagrario n° 34 MADRID, ESPAGNE, ait été gêné involontairement par notre faute. Nous n’avons jamais tenu de relations d’aucun type à cette adresse et nous ignorons totalement son identité.Nous craignons beaucoup qu’ici aussi ait été commise une erreur.

Nos salutations.

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Ici se termine, messieurs, le texte de la note remise à cette délégation. Nous vous remercions vivement de transmettre cette lettre à M. DIONISIO GARRIDO BUENDIA pour être conservée. Nous vous supplions d’en fournir également et rapidement une copie à vos frères de BARCELONE et de SÉVILLE. Dans ce cas présent pour des raisons évidentes, sans les précautions que nous prenions autrefois pour le reste de la correspondance.

Recevez mes cordiales salutations.

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