D2655 Au sujet de la documentation ummite

UMMOAELEUEE

Langue : espagnol

Nombre de copies : 1

Pays : Espagne

Destinataire : Mr Juan Aguirre Ceberio avec recommandation de ne pas faire de copies, ni de faire lire à

                      ses frères, à l’exception du paragraphe concernant le décès de Franco Muela Pedrada.

 

 

Cher Monsieur Juan Aguirre Ceberio,

 

Je me présente comme étant un frère de ceux qui vous ont écrit des lettres au sujet de UMMO, et je m’appelle uhooa 5, fils de uhooa 2, en provenance de OIYIA UMMO.

 

Vous n’êtes pas sans savoir que circulent des lettres apocryphes concernant notre identité, ainsi que de nombreuses lettres falsifiées par de simples farceurs, ou par des enquêteurs voulant percer le secret de notre identité de façon plus judicieuse, et pourtant cette lettre est destinée à vous faire part de nos mésaventures causées par autre chose.

 

En effet, ce sont des conversations téléphoniques que nous avons captées, entre vos frères Calvo Rafaël Farriols et Jorge Barrenechea montrant d’intenses frictions et tensions internes entre eux, ce qui nous a attristé.

 

En tant que médecin, monsieur Aguirre Ceberio, nous vous serions gré de bien vouloir intercéder afin de calmer cette animosité entre eux. Ce n’est qu’en cette occasion que nous vous le demandons expressément. Exiger des faveurs ou des rétributions, n’a jamais été fait jusqu’ici, dans le but d’abuser de votre gentillesse. Cependant, notre tristesse et notre désarroi relatif à cette situation pour laquelle nous nous sentons fautifs, sont tels que nous vous supplions d’intervenir afin de faire baisser cette tension interne parmi les OEMII composant le groupe de ceux qui étudient le dossier de notre OIYIA UMMO.

 

La transmission de notre sentiment, à votre sœur Maria Teresa Quesada, au sujet du décès de son époux Franco MUELA PEDRADA, qui était foncièrement bon et très intelligent, est une autre faveur que nous vous demandons. Cette YIIE souffre énormément et nous en sommes conscients. Elle a dû penser que son mari devait souffrir d’une forme de maladie mentale, et n’était pas conscient de son comportement qu’il pensait sincèrement honnête. Dans ce cadre dimensionnel, sa grande intelligence l’a conduit à agir souvent par excès, ce qui a fait souffrir tout son entourage. Lorsque sa mort est arrivée, nous n’étions pas sur OIYIA TERRE (GAA), puis à cause de forces majeures, nous n’avons pu vous contacter. Ce silence ne doit être interprété par vous comme une désertion.

 

Nous aimerions vous solliciter pour une autre chose : en effet, tous les textes qui ont été adressés sous forme de lettres à vos frères lorsque nous arrivâmes en Espagne (dont un professeur de faculté, un fonctionnaire, un ufologue, un commissaire de police…), ont été enregistrés vocalement de façon à les dicter à l’un de vos frères dactylographe.

 

Des copies au papier carbone ont été réalisées par cette même personne, et beaucoup de ces lettres ont été photographiées par nous-mêmes par la suite. Même si les enregistrements de presque tous les messages aussi bien acoustiques que des écrits sont en notre possession, nous avons constaté malheureusement que certaines reproductions graphiques nous manquaient. Ce fut pendant des journées consacrées à des réunions sur notre avenir quant à notre présence sur Terre. Votre frère dactylographe devint nerveux à la vue de nos UULUUEWAA (sorte de minis sphères capables d’enregistrer des informations grâce à des capteurs, et virevoltant comme des insectes ; elles ont alors l’apparence de moustiques volant de façon régulière et précise).  Nous pûmes obtenir au moins le contenu vocal, alors qu’il n’osa plus photographier certaines feuilles dactylographiées.

 

L’énorme quantité d’informations sous forme écrite et orale non enregistrée est extrêmement difficile à récupérer, et nous en sommes conscients (nous vous avons fourni quelque 170 385 pages de texte dont 40% sont des originaux et le reste des copies). De plus vous devez savoir qu’au tout début, nous n’avions qu’une ou deux pages que nous remettions aux dactylographes issus de certains pays qui cessèrent toute communication avec nous, ou dont des tierces personnes se mirent vraisemblablement à détruire ces documents.

 

Cette époque est maintenant révolue, et nous avons décidé de relater ces événements historiques dans nos salles de OFUOOBAA (musées).

 

Nous aimerions vous demander autre chose. En ce qui concerne les documents que nous avons envoyés, serait-il possible que vous nous en fassiez parvenir des photocopies ? L’explication de cette demande, vient du fait que nous avons intercepté des communications téléphoniques qui nous ont permis de penser qu’il était possible de les obtenir par vos soins. Si vous nous faites parvenir des documents dont nous possédons déjà des copies par carbone, cela n’a aucune importance. Ceci ne doit en aucun cas vous coûter quoique ce soit, aussi, nous vous demanderons de nous faire parvenir le prix des reproductions.

 

Elles seront récupérées par un frère ou l’un de vos frères de nationalité X, chez vous. Sachez qu’il ne s’agira que d’un simple intermédiaire, ne nous connaissant absolument pas, et dont l’unique tâche sera de nous les renvoyer à un hôtel. Aussi, il sera inutile de le perturber par d’éventuelles questions, ce qui pourrait le troubler quelque peu.

 

Vous pouvez vous-mêmes fixer des conditions, car notre mode de pensée ne nous permet pas de savoir si cette demande est susceptible de provoquer chez vous, quelque sentiment d’humiliation. Nous essaierons alors de vous satisfaire.

 

Dans le cas où vous connaîtriez le montant de la somme au moment où l’une de vos sœurs vous appellera au téléphone, vous pouvez la lui communiquer, et lui indiquer quand vous aimeriez être remboursé, car elle s’en occupera.

 

La date de retrait des photocopies sera ensuite déterminée.

 

Nous pensons qu’il existerait de sérieuses raisons pour lesquelles vous refuseriez cette proposition, aussi, sachez que nous ne serions en aucun cas vexés si cette requête ne pouvait être satisfaite.

 

Nous vous envoyons une autre lettre dans laquelle figure une liste de personnes à qui nous aimerions demander pour chacune d’entre elles, une dédicace manuscrite sur nous. Nous possédons une image de chacun de ces OEMII, qui y sera jointe, et le tout envoyé à notre OYIAA UMMO pour archivage dans nos musées (nous n’avons pas besoin en plus de photographies car les images de vos corps habillés et nus ont été captées en stéréographie).

 

Nous savons parfaitement que des espions tenteront de localiser le messager pour l’intercepter et utiliser des méthodes faciles à deviner pour le faire parler (par pure perte), aussi, nous vous demandons de ne pas dévoiler à vos amis, la façon dont nous allons probablement obtenir tous ces documents.

 

Monsieur Juan Aguirre Ceberio, nous aimerions vous donner un dernier conseil. Vous pouvez lire cette lettre à vos amis Jorge Barrenechea et Rafaël Calvo Farriols et notamment le paragraphe les concernant ou bien le photocopier seul pour eux ou pour leurs enfants, mais nous vous prions de ne pas faire de copie de cette lettre.

 

Que les autres lettres soient diffusées est inévitable. Nous continuerons à vous remettre des messages en fonction du fait que cette diffusion reste ou non limitée à ceux dont les noms figurent dessus. Si celle-ci continue à se répandre, les contacts seront moins fréquents.

 

Que la Paix soit avec vous et avec vos proches, et recevez Monsieur, notre modeste et désintéressée salutation.

 

 

 

Pour différencier les lettres authentiques des apocryphes, il faut deux critères. Mes frères dictèrent les lettres à Fernando Manzano Sesma en utilisant une machine à écrire de type Hispano Olivetti modèle studio 46, avec une provision de papier jaune spécial difficile à trouver par d’éventuels malfaiteurs.