TEL14 14e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE

14e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE loquace et J. Barrenechea – 4 janvier 1988 de 12h35 à 13h22 : 47 minutes

L’appel vient hors d’Espagne : CORDOUE (ARGENTINE).

(R.F) J’étais à Madrid avec Carmela les 26, 27, 28 décembre 1987. Le 27 étant chez Jorge, j’appelle Marisól qui ne veut pas noter les questions, annonçant qu’il y avait une lettre dans la boite du 57 rue Goya à 19h45.

La lettre était TRIPLE :

1°. Conseils particuliers pour Jorge Barrenechea y Juan Domínguez : Ne pas faire de copies. ne pas lire en public.

2°. Responsabilité de l’OEMMII (Copies pour R. Farriols et Luis Jimenez Marhuenda).

3°. Mécanisme du raisonnement avec dessin des fonctions du cerveau réalisé pour José Luis Jordán  Peña. (Copies libres pour les frères éventuellement intéressés.)

Maintenant, Jorge Barrenechea, narre les étapes du processus. J’étais sorti faire des copies et je suis revenu, la nouvelle assistante María-José me dit qu’un monsieur dont on ne comprenait rien avait appelé plusieurs fois. Je lui demandais s’il parlait comme quelqu’un qui a été opéré de la gorge et elle me dit oui. Quand il m‘appela peu après, il commença à parler très mal au point que je crus que ce n’était pas le loquace. Il me dit qu’il pouvait répondre aux TROIS questions de mon frère Rafael Farriols, qu’il procurerait les réponses tapées à la machine, et je pose les questions suivantes :

1°. Vous dites dans une lettre adressée à lui (R. Farriols) et à notre frère Juan Dominguez  que le sous-secteur concret des polymères SOUFFRIRA DES SÉRIES DE PERTURBATIONS DANS LE FUTUR, dues précisément à une concentration massive de son activité. A quoi vous référez-vous : à une concentration de produits ou à une concentration de l’activité géographiques ?  

2°. Si vous choisissez avec soin votre ligne d’investissements vous allez au succès.

Vous vous référez  à :
– des investissements matériels ?
– une association avec d’autres entreprises ?
– une diversification de produits ?

3° Notre frère Rafael Farriols doit-il partager avec les hommes et les femmes de son entreprise ses pensées, c’est-à-dire la partie de la lettre adressée à R.F. et à J.D. qui peut être diffusée librement ?

UMMO. – Maintenant parlez.

J.B. – Puis-je donner à mon neveu Julían copie de la lettre adressée à notre frère Rafael Farriols envoyée le 20 mars 1987.

U. – Oui.

J.B. – Puis-je poser des questions ?

U. – Une seulement.

Commentaires de J.B. J’avais avec moi l’enveloppe contenant les questions faites par tous les nôtres, que je savais en contenir 500 ou peut-être mille.

La seule question, je crois, qui n’était pas dans l’enveloppe mais en réalité il m’a accordé qu’eux-mêmes l’avaient suggérée :

J.B. – Quel rôle jouent UMMOWOA et JÉSUS-CHRIST dans toute cette cosmologie que vous nous racontez ?

U. – Très bien, très bien.

Commentaires J.B. : Je crois qu’il voulait me dire que si seulement il pouvait n’y avoir qu’une question, ce serait très bien et il me semble qu’ils y répondraient aussi par écrit.

Alors je lui demandais pardon pour notre maladresse qui désharmonise le groupe et je dis croire pouvoir promettre qu’on ne recommencerait pas.

U. Vous avez commis une faute grave. Certainement votre conduite fut involontaire. Efforcez-vous de maintenir l’harmonie dans le groupe. C’est très important pour vous. Vous ne pouvez pas imaginer l’importance qu’il y a à maintenir la concorde et la fraternité. Il est très important de maintenir cette harmonie. Vous êtes très excités. Votre système limbique exerce une forte tension. Votre système inconscient et votre système limbique exercent de très fortes tensions.

Vous ne comprenez pas que la conduite de vos frères est incorrecte. Parfois, il existe des raisons puissantes …

(J.B.- En réalité, je n’ai pas évoqué la suivante parce que ce sont des choses qui me semblent déjà dites par écrit dans les lettres privées qu’ils nous ont adressées à Juan Domínguez, Juan Aguirre et à moi, et que j’ai conservées.

J.B. – (La question : s’ils préfèrent que nous nous réunissions au sous-sol ou en haut dans ma maison).

U. – En haut, où nous disposons de plus de facilités pour enregistrer. Si vous vous réunissez à 4 ou 5, jusqu’à 7, votre maison conviendra. Si plus, le site qui vous est destiné dans le sous-sol de la maison conviendra mieux. C’est très difficile pour nous de placer nos équipes de façon à les camoufler et que vous ne puissiez les détecter, parce qu’il n’y a pas de meubles.

J.B. – Mais êtes-vous actuellement en Espagne ?

U. – Nous ne sommes pas en Espagne. Mais même ainsi nous pouvons placer des systèmes d’enregistrement (JB – Il me semble que c’est ce qu’il a dit).

JB. – En vue d’informer le BB, sommes nous également efficaces en haut et en bas ?

U. – Oui, oui, clairement.

J.B. – Sur le rapport du 20 mars 1987 à notre frère Rafael Farriols et à moi, à propos de quand nous vivons nous sommes morts et la vie commence quand nous mourons… Ces paroles pour moi me remplissent de réconfort et d’espérance. Maintenant la chose a changé avec ce Purgatoire par manque d’information dans le B.B.

U. – Purgatoire ? NON ! La souffrance intellectuelle est  terriblement dramatique. Si vous ou nous, n’accomplissons pas les OUA, alors nous devons opérer une reconversion qui efface nos actes de violation (des OUA).

JB. – J’ai sur la conscience des actes qui peuvent peut-être rendre nécessaire cette reconversion et cela me fait souffrir.

U. – Si vos actes ne sont pas VÉRITABLEMENT volontaires, il n’y a pas de nécessité de reconversion. Par l’influence du génome humain et par la pression du système limbique, l’ÊTRE est mû par une tension supérieure au SEUIL.

(JB. – Avant la question que j’ai lancée antérieurement, je lui ai dit qu’il y avait un parallélisme entre les paroles du Christ, – promettant à qui le suivrait dans cette vie le CENT POUR UN, et dans l’autre, la vie éternelle, – et ce qu’ils nous disent : à ceux qui accompliront cette mission, elle nous AIDERA dans cette vie et dans l’autre.)

U. – La vie future sera beaucoup plus transcendante, mais celle là l’est aussi.

JB. – Pardonnez-moi d’insister, mais comme nous devons vous remercier pour ces lettres et ces conversations, nous aimerions connaître votre nom ou votre pseudonyme.

U. – Cela ne convient pas. Parce qu’en ce moment, cette conversation est  enregistrée par nos services occasionnels.

JB. – Pouvez-vous me dire quelque chose sur Juan Domínguez et sur l’entreprise avec laquelle il négocie.

U. –  Qu’il prenne des précautions sans aller jusqu’à annuler un investissement possible avec cette firme. Qu’il soit très PRUDENT, énormément PRUDENT. Ils sont très intéressés et continueront de tout tenter.

JB. – Quant à la FIBRE OPTIQUE, que pouvez-vous me dire ?

U. – C’est très intéressant, tant sur le plan commercial que technologique (la transformation optique des signaux).

L’introduction dans le champ de la production requiert de forts investissements. C’est beaucoup plus rentable que la production de polymères. Il devrait monter un embryon à Madrid. Des dynamismes forts dans le domaine de cette technologie y convergent.

La PHOTONIQUE a un futur prometteur pour vous. L’entreprise qui saura le voir sera une affaire en POINTE.

Il devra se préoccuper de monter une ligne commerciale avec des vues sur la PRODUCTION  FUTURE, et il sera FACILE de contacter des firmes étrangères. Il pourra monter un bureau à Madrid ou près de Madrid. Ce serait une ligne d’investissement très intéressante avec des collaborateurs choisis. Juan Domínguez pourrait l’aider et vous-même pourriez collaborer (participer) avec votre expérience commerciale, Jorge Barrenechea, vous pourriez monter une ligne très importante. Vous devez étudier ce domaine de la technologie.

JB. – Vous avez dit que l’électronique était mourante. Jusqu’à quand durera-t-elle encore ?

U. – C’est difficile à apprécier avec exactitude. Elle mettra longtemps à mourir complètement, mais l’OPTONIQUE jugulera progressivement l’activité de l’électronique. L’OPTONIQUE dominera la transformation des signaux dans le champ des 600 millimicrons de longueur d’onde jusqu’à 250 millimicrons. Et dans une autre gamme des 960 millimicrons (dans l’infrarouge) jusqu’aux fréquences visibles de 840 millimicrons.

JB. – Alors les communications utiliseront à plein l’OPTONIQUE.

U. – Naturellement : communication, robotique, TOUTE L’ÉLECTRONIQUE et encore plus, les amplificateurs, les ordinateurs…

Dans une troisième phase après l’électronique et la photonique viendra la BIONIQUE. Vous ne la verrez pas. La bionique avec des éléments biologiques ARTIFICIELS. Vous vivrez la PHOTONIQUE.

En ce qui concerne le comportement du groupe

U. – Évitez toujours la rancœur qui détruit le dynamisme du groupe.

JB. – Pourquoi dernièrement ne citez-vous pas dans vos lettres notre sœur Hiltrud ?

U. – Nous ne l’avons pas marginalisé du tout. Les lettres sont sélectionnées. Nous n’avons pas marginalisé votre sœur.

Nous avons fait pour elle ce que nous n’avons pas l’habitude de faire..

JB. – Je le sais, parce qu’elle me l’a dit.

U. – Nous l’apprécions beaucoup pour sa résignation dans la souffrance. Elle a étudié notre langage et nous avons pour elle une affection spéciale.

JB. – Mon frère Rafael Farriols m’a donné photocopie des autres questions qu’il pensait vous faire en plus des trois qu’il a déjà faites. Puis-je les faire ?

U. – Non.

Dès lors il n’a plus parlé, bien que j’ai entendu des bruits et insisté pendant 8 minutes, il ne me dit rien. Puis le téléphone sonne occupé