D38 ATTERRISSAGE D’UN VEHICULE AERIEN DE UMMO A ALUCHE (MADRID) LE 6 FEVRIER 1966. PREPARATIF POUR UNE ENTREVUE DES UMMITES AVEC UN ARTISTE-PEINTRE MONSIEUR GRAN.

UMMOAELEWE
Langue: espagnol
M. D. Fernando Sesma
ESPAGNE

 

Monsieur Sesma Manzano,

Vous nous avez adressé une critique, concernant un fait antérieur, qui pourrait-être mal interprétée et amener par conséquent des attitudes réticentes et des soupçons injustifiés.

Nous vous supplions d’inviter Mr Gran (Enrique) pour confronter sa version avec la nôtre. Nous avons confiance en l’honorabilité de ce monsieur ainsi qu’en son esprit objectif et sans doute cela se vérifiera avec sa réponse.
Vous insinuez, Mr Sesma, en invoquant votre esprit critique, que notre invitation concernant mr Gran pour une entrevue avec deux de nos frères « ETAIT UNE CARTE FACILE A JOUER » (c’est votre expression) car :
« Pendant une nuit très orageuse, il n’était pas pensable qu’une personne s’aventure à aller dans une cafétéria pour assister ensuite en plein champ à une entrevue avec un inconnu ».

Monsieur Sesma :
Quand au milieu d’affirmations exactes on intercale, même sans malice et par inadvertance, certaines inexactitudes, on peut commettre un grave préjudice quand, comme c’est le cas ici, la version demeure fortement polarisée.
Le fait le plus anodin et le plus aseptisé peut se transformer en SENSATIONNEL en permutant certains mots. Le témoignage le plus favorable envers une personne ou entité sociale, peut devenir une grave accusation en variant légèrement la modulation de la voix.

Nous constatons que cette fois-ci vous n’avez pas agi avec malice ni désir de nous porter tort.
Nous ne vous accusons pas et nous ne nous sentons pas offensés. Nous invoquons seulement le droit de nous défendre.
Pour cette raison nous vous demandons solennellement :

1) que vous lisiez cette version à Mr Gran Enrique, Rue Conde de Penaver n°20, tel : 2751673, Madrid.

2) que vous invitiez ce monsieur à l’une de vos réunion de la société des Amis de l’Espace.

3) que vous lisiez devant les gens présents ce document en omettant l’adresse de monsieur Gran si celui-ci exprime le désir.

4) nous supplions Mr Gran de relater, à son tour, les faits selon son propre point de vue en réfutant objectivement les points qui sont en désaccord avec vous et nous.

5) si, malgré tout, Mr Gran est en désaccord avec notre version en ce qui le concerne, NOUS, RESPECTUEUSEMENT, ET BLESSES PAR CE QUE NOUS JUGERONS ETRE UNE INJUSTICE, nous demanderions quand même que l’on prête un grand crédit à ses déclarations et nous acceptons par avance son arbitrage.

VERSION OFFICIELLE DE LA SECTION ESPAGNOLE DE LA DELEGATION DU UMMOAELEWE SUR AYOUUDA OOYAGAA.

En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d’Aluche à la colonie de Casilda de Bustos, (Madrid), l’un de nos vaisseaux spatiaux : OAWOOLEEA UEWA OEMM.
En descendirent deux de nos frères avec pour destination notre section de la république du Chili.

Notre chef de la section espagnole, DEI 98, fils de DEI 97, et l’un de nos frères d’Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.

Nos frères du vaisseau qui avaient reçu des instructions complètes (dictées par pétition par notre conseil sur la Planète Terre) posèrent, en descendant du vaisseau, des capsules contenant une suspension colloïdale de graphite de méthanol où l’on avait introduit des lamelles enroulées contenant un double message. Ces capsules furent déposées dans la zone délimitée par les traces du train d’atterrissage du vaisseau.

Ces feuilles ou lamelles, couleur vert cendre, sont en AOXIBOO AGOODAA (Mr Gran pourrait vous montrer l’exemplaire qu’il a en sa possession).
Il s’agit d’un composé que vous ne connaissez pas, mais quelques exemplaires sont tombés entre les mains des Gouvernements Soviétique, Anglais, Australien, des Etats-Unis, et de Bolivie.

Vous pouvez remarquer que sa ressemblance avec les plastiques terrestres normaux est seulement apparente. Il offre une grande résistance à la traction (essayez de le déchirer avec les mains) et il résiste à l’action dissolvante de nombreux agents chimiques.
Il a en plus l’extraordinaire qualité de pouvoir se radioactiver en émettant, après son excitation, des impulsions simples codifiées (par exemple une fréquence de 40 impulsions/seconde) dans une radiation GAMMA de longueur d’onde 0’036 Angstrom, (nous ajoutons un échantillon que Mr Sesma pourra conserver).

Ce message avait été préparé, avec des inscriptions dans notre langue comme nous vous l’avons indiqué au paragraphe précédent (avec une fréquence secrète) et avec une période d’activité très réduite : quelques 70 jours, ensuite la radioactivité résiduelle est presque imperceptible.
Nous attendions que les Services techniques de l’Administration du Gouvernement Espagnol envoie ses spécialistes sur le lieu de l’atterrissage pour prendre ces capsules, comme cela s’est effectivement produit dans d’autres pays.
En ce qui concerne le suivi, nous avons des appareils de détection sensibles : UAXOO IBOAYAA (DETECTEURS DE RADIATIONS) sur Terre qui nous permette de suivre pas à pas la situation exacte de ces messages pendant leur période radioactive. Nous aurions pu ainsi contrôler les manipulations subies par ces documents dans les laboratoires et organismes.

Mais cela ne se déroula pas ainsi : la zone d’atterrissage ne fut pas délimitée et isolée, et pas un spécialiste ne fut envoyé sur place, (selon nos propres renseignements). Toutes les capsules furent recueillies par des enfants sauf une, ramassée par un homme, maçon de profession et travaillantt sur des constructions proches du site de l’événement.

Comme ces documents étaient tombés entre des mains non intéressées, nous essayâmes au début de les récupérer, ce que mous pûmes faire partiellement.
L’une des capsules finit par arriver entre les mains de Mr Gran (artiste-peintre). Il semble qu’une femme, dont les enfants avaient ramassé la capsule, soit par amitié pour Mr Cran, soit parce qu’elle savait que ce monsieur s’intéressait à cette affaire, soit pour d’autres raisons, remit le contenu de la capsule à Mr Gran.

A ce moment là un article était paru dans la presse régionale : (journal « Informaciones du samedi 12 Février 1966) avec certaines déclarations de cet artiste-peintre qui attirèrent notre attention, car c’était le seul moyen pour nous de savoir quand une personne était intéressée par des affaires spatiales dans un pays.
Selon les rédacteurs de ce journal, les manifestations furent les suivantes :
« Je crois à l’existence des Soucoupes Volantes, »
« OUI : je crois aussi aux témoignages des personnes d’un sérieux absolu »
« c’est émouvant de voir une trace produite par un appareil extra-terrestre ».

Après nous être informés par nos propres moyens sur son adresse et son téléphone, nous commençâmes le premier contact téléphonique avec lui.
Dès le début, Mr Gran se montra réticent et réservé face à l’appel anonyme de notre frère et chef DE 98.
Attitude extrêmement logique de celui qui n’accepte pas un simple témoignage d’inconnus sans preuves pour l’avaliser.

Monsieur Gran fit alors allusion au document qu’il avait en son pouvoir en déclarant qu’il l’avait reçu d’une personne « qu’il ne connaissait pas  »
Nous dûmes interrompre la conversation deux ou trois fois pour des raisons dues aux précautions que nous adoptons lors des communications avec vous. Nous demandâmes alors une entrevue la nuit suivante (le 15 Février) DANS une cafétéria de la rue ISAAC PERAL à Madrid, afin de recevoir de ses mains le document en question. Nous n’aurions eu aucun inconvénient à récompenser Mr Gran pour sa gentillesse. Mr Gran accepta noblement de nous le rendre mais il confessa que tout ceci lui paraissait être une blague et que naturellement il n’était pas disposé à se soumettre à celle-ci.
Notre frère lui dit que dans ces conditions il était préférable d’interrompre tout contact avec lui par la suite. Nous n’avons pas le droit de déranger la vie privée d’une personne, si celle-ci maintient le critère selon lequel notre identité est fausse.
Mr Gran suggéra que de toutes façons l’entrevue pourrait avoir lieu dans un endroit choisi par lui, ce que notre chef refusa. Nous répétons que Mr Gran adopta dans cette affaire une attitude totalement logique et correcte.
Nous pouvons dire qu’il eut une réaction de peur en ce qui concerne le refus de l’entrevue avec notre frère : il parlait avec des inconnus qui pouvait effectivement être en train de se moquer de lui et si son désir d’avoir cette entrevue dans un autre endroit n’était pas accepté, il avait des raisons suffisantes pour trouver notre conduite étrange.

Effectivement la nuit était agitée et il pleuvait :
MAIS IL EST INCORRECT DE DIRE QU’IL FAISAIT DE L’ORAGE COMME LE FAIT MONSIEUR SESMA.

De plus, notre frère ne fit jamais la démarche de demander une entrevue dans un champs isolé, ce qui constituerait bien sûr un véritable et obligatoire motif d’inhibition, MAIS DANS UN ETABLISSEMENT TRES CONNU, DANS UNE RUE IMPORTANTE, remplie de gens respectables à ces heures là, comme vous pouvez le vérifier vous-mêmes.

Notre frère GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540, devait assister à l’entrevue et devait ensuite partir deux jours plus tard en Amérique avec les nouveaux arrivants (de UMMO ndt), ainsi Mr Gran ne pourrait pas l’identifier par la suite.

En disant cela nous ne voulons pas discréditer Mr Cran, nous supposons qu’il est incapable de délation, mais seulement vous faire prendre conscience des sévères normes de sécurité que nous devons adopter quotidiennement. Si nous désirons conserver notre anonymat, nous sommes obligés de les respecter par ordre de notre soeur même s’il n’y a pas trop de risques.

Monsieur Gran ne saura jamais jusqu’à quel point notre organisation nous interdit (une fois le plan établi) la moindre modification à cause d’une soumission aveugle envers nos supérieurs.
Que Mr Gran reconnaisse que l’entrevue n’offrait pas grand « risque » pour lui, en dehors de la sensation de ridicule en cas de farce.
Les deux attitudes (ACCEPTER ou REFUSER) étaient donc sensées. Comme l’hypothèse d’une blague ou d’un acte d’un aliéné n’était pas à rejeter, Mr Gran adopta cette dernière attitude et personne n’a le droit de le lui reprocher.

NOTRE CRITIQUE CONCERNE LE FAIT QUE JAMAIS NOUS N’AVONS DEMANDE A MONSIEUR GRAN UNE RENCONTRE DANS UN ENDROIT ISOLE ET QUE LES CONDITIONS METEOROLOGIQUES N’ETAIENT PAS SI MAUVAISES POUR EMPECHER UNE TELLE ENTREVUE COMME LE PROUVE D’AILLEURS LE FAIT QUE MR GRAN PASSA CES HEURES LA HORS DE SON DOMICILE.

Le refus des Autorités Techniques Espagnoles nous déçut tellement que nous cessâmes de recueillir les documents.
De plus nous désirons sincèrement qu’ils ne tombent plus entre vos mains et nous demandons donc à Mr Sesma de ne pas se dessaisir d’un document qui lui servira dans le futur pour démontrer l’aveuglement de ceux qui, sans réaliser une première recherche, s’empressent de nier « à priori » des faits qui, une fois vérifiés avec un esprit critique, peuvent éclairer de nombreuses choses jusqu’à maintenant incompréhensible pour vous.

MADRID LE 17 JUIN 1966

par autorisation de : YOO 1, fille de AIM 368,
Dicté par : DA 3, fils de EYEA 502
par ordre de : DEI 98, fils de DEI 97.

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