D101 Régulation des envois en fonctions de leurs effets sur le réseau social

 UMMOAELEUE
En Espagne

Mr RAFAEL FARRIOLS

Nombre de copies : une

Monsieur :

Nous vous faisons parvenir à vous de même qu’à vos frères d’Espagne nos respectueues salutations. Vous n’avez pas reçu d’informations de notre part depuis un certain temps et nous ne voulons pas que vous pensiez que nous vous méprisons, que nous vous oublions ou que nous vous délaissons par manque de temps. Simplement, nous dosons nos informations, car comme nous vous l’avions indiqué dans de précédents rapports, nous souhaitons faire preuve d’une discrétion la plus grande possible.

Nos informations sont ajustées en rapport des effets qu’elles pourraient avoir sur votre Réseau Social. L’Espagne, après une grande circulation de rumeurs dans les réseaux d’enquête sur les O.V.N.I., ne pense à présent plus à nous. C’est pour cette raison que nous reprenons contact, essentiellement si cela se fait par l’intermédiaire d’une association qui est officiellement reconnue par l’État espagnol.

Mais nous serions obligés, uniquement pour votre bien, si nos rapports continuaient à être distribués à l’extérieur, engendrant stupeur chez vos contemporains, de cesser de les envoyer. Notre soudain mutisme vous surprendrait peut-être, mais nous pouvons très bien constater de telles comportements chez vos frères.

Nous vous envoyons à nouveau des rapports, incomplets, mais nous continuerons à vous en transmettre systématiquement et sur des sujets variés.

Nous souhaitons vous féliciter pour vos études de nos rapports, ces analyses sont mémorables concernant nos relations avec le pays d’Espagne. Ces documents remis à des non-scientifiques contiennent des informations rudimentaires, faisant preuve d’un pouvoir pédagogique de qualité très modeste mais qui nous a été indispensable pour ce projet.

Voici maintenant des communications personnelles à faire parvenir à leurs destinataires.

IGNACIO DARNAUDE ROJAS MARCOS

Monsieur : Nous sont parvenues des nouvelles de vos recherches rigoureuses sur le passage ces dernières années de mes frères à Albacete, en Espagne, pour lesquelles nous vous complimentons. Nous vous saluons avec respect, que vous croyiez ou non en notre existence, et souhaitons vivement que vous interpétriez correctement les regrettables incidents qui eurent lieu à l’occasion de nos rapports avec cette aimable dame qui nous hébergea. Nous avons choisi le domicile de Doña Margarita car le mystère qui l’entourait pouvait servir à dissimuler efficacement les travaux et études de mes frères. Les bruits publics à propos de ses affections psychiatriques se trouvant être regrettablement avérés, les très compétentes autorités espagnoles ne pouvaient accueillir qu’avec défiance quelque suggestion incroyable d’enquêter sur notre supposée existence. Monsieur Darnaude, je vous certifie que mes frères n’ont en aucune façon enfreint les lois espagnoles car nous respectons profondément les structures sociales qui nous recoivent, sauf en cas extrême de légitime défense.

Révérend Père Lopez GUERRERO

Monsieur : Nous vous saluons avec sympathie et fraternité, si la compatibilité de nos codes génétiques pouvait le permettre.
Nous vous écrirons en personne si nous en aurons l’occasion. Nous n’ignorons pas que vous nous considérez avec une grande estime, ce qui nous encourage beaucoup. Permettez-nous donc d’aposer notre main sur votre poitrine.
Nous voudrions corriger beaucoup de méprises à notre égard car nous recherchons la précision, c’est pour cela que dans nos prochains rapports nous clarifierons des points dont l’importance vous a quelque peu échappé malgré vos vaillants efforts pour la saisir.

Monsieur DOMINGUEZ MONTES

Salut, cher ami. Nous avons suivi avec attention vos réflexions présentées lors de la réunion conduite par Monsieur Farriols. S’il vous plaît, ne pensez-pas que nous vous flattons obséquieusement en exprimant notre point de vue quant à vos études.
Mis à part des médecins australiens, quelques-uns de vos frères israëliens et certains chercheurs français qui ont approfondi plus que vous leurs recherches, nous pouvons vous garantir que vous êtes le seul à vous être autant investi dans une analyse probe et rigoureuse de nos rapports.
Nous vous demandons uniquement de faire preuve de circonspection en communiquant vos analyses car nous souhaitons que notre existence paraisse la plus hypothétique possible. Monsieur, nous vous remercions d’avance.

Monsieur DIONISIO GARRIDO

Monsieur : La prochaine lettre qui vous sera adressée sera transmise à une structure autorisée. Il vous est indispensable d’y adhérer officiellement. Du reste, il n’y a aucune bonne raison pour que vous vous en priviez. Nous ne pouvons pas entrer en relation avec des sociétés ou des individus qui n’ont pas été approuvés.

Saluez de notre part vos bons amis qui s’intéressent à nous, qu’ils soient sceptiques ou non.

Mesdames Gil Ramos, Angel del Campo, Alicia Araujo, Labro Begulé, Mesdames de Mejorada, Monsieur Villagrasa Novoa, Monsieur Martínez Andre, Monsieur Jordan Peña, Monsieur Villalba, Monsieur Ibañez Beleña, Monsieur Imbert, Monsieur Ribera Jordá, Monsieur Fernando Calderon, Monsieur Mingorance, Monsieur José Antoni Cezón, Monsieur José Maria Vergara, Don Andres Baretino, Monsieur Ortiz Sanchez, Monsieur Ramírez Gomez, Monsieur Federico Guibernaut, Monsieur Baretino García, Monsieur Borras Gabarro, Monsieur Aguirre Ceberio, Monsieur Plaza Beguernices, Monsieur Barrenechea, monsieur Gutierrez del Soto, Monsieur Quintana, Madame Nuria de Vera, Madame Gloria Martínez.

Nous ne voulons pas qu’il soit fait des copies de cette lettre. Nous vous remercions chaleureusement de la transmettre à ses destinataires.

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