D21
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol.
Nombre copies : 28
Monsieur,
Nous sommes conscient de la transcendance de ce que nous allons vous dire. Nous sommes conscients qu’une affirmation de ce type n’est d’habitude formulée que par un farceur, un perturbé mental aux idées délirantes, ou par quelque journaliste ou publicitaire, afin d’exploiter l’information à son propre profit.
Quand une nouvelle sort du cadre normal de vraisemblance, et qu’il manque des moyens et des éléments de jugement pour vérifier sa réalité, tout esprit équilibré et intelligent a le droit, et doit adopter une attitude sceptique ou de méfiance. « On ne doit pas accepter le simple témoignage encore moins, comme dans le cas présent, quand son origine est inconnue et donc suspecte de supercherie ».
Quant à nous, il est évident que ce que nous allons dire est certain. Mais nous ne pouvons vous demander en toute logique de croire une information aussi fantastiques. « Nous admettons qu’à votre place nous réagirions de la même façon ».
Par contre, l’attitude de celui qui tolère « A PRIORI » une quelconque version est admissible, si ensuite il l’analyse soigneusement et sans passion afin de rechercher la vérité. En fait tous les chercheurs de la planète TERRE ont suivi ce critère.
Si des concepts qui HIER semblaient fantastiques et absurdes n’avaient pas été analysés par les spécialistes compétents, seriez-vous à l’heure actuelle au même stade culturel que connait la Terre?
Mais si de tels concepts sont faux, si de telles versions sont frauduleuses, et s’il s’agit uniquement d’impostures habiles, LA VÉRITÉ doit se faire jour en démasquant le farceur, le paranoïaque ou l’imposteur qui prétend les faire passer sous l’étiquette de SCIENTIFIQUES.
Nous avons suffisamment étudié votre histoire pour remarquer l’immense nombre de faux prophètes, d’esprits paranoïaques, qui à leur profit, exploitèrent la crédulité ingénue des scientifiques de bonne foi.
Nous avons vu comment la Science a dû lutter contre des formes nébuleuses de superstition, d’astrologie, de théosophie, de spiritisme et de radiesthésie. Et même si elles avaient quelques principes valables et susceptibles d’être étudiées, dans l’ensemble elles présentèrent une accumulation d’affirmations gratuites, de raisonnements analogiques absurdes, de pétitions de principe totalement inacceptables pour un esprit équilibré.
Ces dernières années, à cause de l’apparition dans l’atmosphère terrestre des U.F.O., O.V.N.I. ou SOUCOUPES VOLANTES, la fantaisie des hommes de la Terre a augmenté avec la multiplication dans la presse de fausses nouvelles concernant ces phénomènes et, ce qui est plus grave, l’apparition dans de nombreux pays d’individus comme Georges Adamski en 1952, Daniel Fry ou la norvégienne Edith Jacobsen en 1954, qui juraient avoir eu des relations avec des êtres originaires d’autres planètes.
Ces sujets, et la crédulité initiale des masses qui acceptaient ces versions absurdes, ont discrédité totalement les études sérieuses qui étaient l’œuvre de départements techniques officiels de certains gouvernements.
Conscients donc que de telles versions ont créé un climat logique de méfiance, il n’est pas surprenant que se produise une répétition de ce petit conte populaire de la terre concernant le berger et le loup.
Pour ces raisons, nous sommes parfaitement conscients du fait que nous n’allons pas être crus en ce qui concerne la révélation que nous vous exposons maintenant.
Nous répétons que notre objectif principal ne consiste pas à être crus, sans l’apport d’autres preuves que ces documents que nous allons vous envoyer. Ceci ne veut pas dire qu’ils ne constituent pas de véritables arguments et preuves de notre identité, comme nous l’avons déjà fait aux États-Unis, Angleterre et ici même en Espagne avec une autre personne. En fait d’autres pays nous connaissent aussi. L’Australie, l’Allemagne et l’Union Soviétique sont en train de recevoir en ce moment nos rapports, qui sont destinés à d’éminents hommes de Science. Et tout en reconnaissant qu’un grand nombre d’entre eux ont déchiré nos lettres en croyant logiquement qu’elles étaient l’œuvre de farceurs ou de perturbés mentaux, dans certains cas, l’écrasante collection de données scientifiques véritables que nous avons soumise a finit par convaincre de nombreuses personnes qu’au fond il y avait, pourrions- nous dire, quelque fond de vérité.
Avec ces gens, les relations ont continué, et si tous étaient réticents ou méfiants, ils ont finalement mesuré objectivement l’étrange situation sans écarter du tout l’hypothèse de notre « supposée » identité .
Pour cela nous vous demandons de lire soigneusement ce que nous allons vous dire : si vous le faîtes au début par simple curiosité cela n’a pas d’importance, et si vous écartiez totalement l’idoinéité de nos affirmations apparemment fantastiques; nous ne sommes pas assez ingénus pour nous attendre d’être crus.
De plus, il y a une seconde raison qui peut vous paraître paradoxale et que nous vous expliquerons le moment opportun. Nous ne désirons pas que les masses prennent conscience de notre existence. Et nous avons de puissants motifs qui justifient notre attitude.
Jusqu’à maintenant et sauf en de rares occasions, nos contacts se sont réduits à des hommes de Science (des purs chercheurs et quelques ingénieurs) à qui nous avons apporté des éléments sur la physique, la biologie et la psychologie, éléments qui étaient intéressants pour eux, ainsi que quelques procédés techniques d’applications industrielles qui, comme par exemple dans un cas concret : A.W.R. d’Atlanta (EE.UU.) furent acceptés et brevetés avec surprise et en croyant qu’ils provenaient de quelque scientifique excentrique et original.
Il y a donc des raisons qui nous poussent à nous présenter à vous , faisant partie de ce groupe réduit de personnes qui, avec plus ou moins de formation intellectuelle, s’est préoccupé dans tout le monde de ce problème des U.F.O.
Nous sommes originaires d’une Planète dont l’expression verbale phonétique pourrait s’écrire ainsi : UM-MO (le « U » très fermé et guttural, le M pourrait s’interpréter comme un B) dont les caractéristiques les plus importantes sont :
ORBITE Elliptique d’excentricité 0,007833 avec un foyer dans l’étoile que nous appelons IUMMA ou Yumma qui réalise les mêmes fonctions que votre SOLEIL.
DISTANCE DE IUMMA, au SOLEIL. La distance apparente, c’est-à-dire celle que suivrait un faisceau cohérent d’ondes dans l’espace à trois dimensions était le 4 Janvier 1955 de :
14,437 années-lumière.
La distance réelle (distance droite dans l’espace décadimensionnel) était à cette même date, suivant notre mesure:
3,685 années lumières
La première distance est celle utilisée par les astronomes terrestres pour leurs calculs (en dédaignant les courbures de la lumière quand elle traverse des Champs de forte intensité gravitationnelle), une telle distance est « constante » pour deux corps fixes dans l’espace. La seconde distance est une fonction de temps qui se mesure dans un espace de N. dimensions et qui présente une certaine périodicité. Sa mesure est très importante car elle est en relation avec nos voyages galactiques.
RAYON EQUATORIAL DE UMMO mesuré à la côte Universelle de VAUAWEE R = 7251,61 kilomètres.
MASSE DE UMMO : M = 9,36.1024 kilogramme/masse.
INCLINAISON à la Normale du Plan de Translation : 18°39’56 »
TEMPS DE ROTATION SUR SON AXE : 600 UIW ACCELERATION DE LA GRAVITE sur UMMO : 11,88 mètres/seconde2
Bien que cela puisse vous étonner, nous ne sommes pas certains que l’étoile que vous avez cataloguée corresponde avec notre IUMMA (SOLEIL DE UMMO). A l’aide d’une translation de coordonnées nous avons estimé que depuis la Terre vous verriez notre IUMMA comme une étoile aux caractéristiques suivantes :
ASCENSION DROITE : 12 heures 31 minutes 14 secondes.
DECLINAISON : +9° 18′ 7″ (zone de la constellation de la Vierge)
MAGNITUDE VISUELLE ABSOLUE : 14,3
MAGNITUDE VISUELLE APPARENTE : Sûrement plus réduite à cause d’un grand nuage de poussières cosmique à 3,682 parsecs. Mais elle doit être comprise entre 12 et 13, et ne vous est accessible que par des moyens photographiques.
TYPE SPECTRAL : (selon le codex Astronomique Terrestre) Type M (notre IUMMA est ce que vous appelez une ETOILE NAINE)
Malheureusement les erreurs commises par vous en ce qui concerne la mesure des distances, sont dans de nombreux cas supérieures à 15% et on observe en plus des divergences dans les mesures enregistrées dans les différents catalogues d’étoiles terrestres.
De sorte qu’il résulte qu’il est impossible, même par une translation d’axes effectuée avec le plus grand soin, d’identifier une même étoile codifiée par nous avec une autre cataloguée par les astronomes de la Terre. Nous croyons cependant que notre IUMMA peut quand même être cette étoile que vous avez enregistré sous le nom de WOLF 424 car ses coordonnées ressemblent à celles que nous vous avons indiquées.
Notre structure géologico-géographique est assez différente de la Planète Terre. Les Océans occupent 61,84 % avec des eaux dans lesquelles prédominent divers chlorures alcalins . Il y a un seul continent rempli de grands lacs, le plus grand d’entre eux, le AUWOA SAAOA (PETITE MER DE DIEU) a quelque 276.103km2. Nos montagnes (très érodées) présentent à peine des formes accidentées.
Les OAG OEII sont des espèces de volcans qui ont la forme de grandes crevasses qui projettent de très hautes et brillantes colonnes incandescentes de méthane-pentane-oxygène.
Nous utilisons un langage double (grâce à une répétition séquentielle de nombreux mots, nous pouvons exprimer deux courants simultanés d’idées). Les mots notés dans ce document sont des expressions graphiques approximatives de leur phonie réelle.
En mathématique, nous utilisons un système de numérotation en base 12 (mais nous n’avons que dix doigts comme vous). Les raisons sont purement historiques. Comme simple curiosité, nous ajoutons un tableau de vos symboles mathématiques et leur équivalence dans les nôtres (Image A)
Nous ajoutons ici quelques unités utilisées sur notre planète.
UNITE DE LONGUEUR ASTRONOMIQUE : on prononce WAALI et elle équivaut à 124,3 années-lumière.
UNITE UNIVERSELLE DE LONGUEUR : le ENMOO = 1,8736658… mètres.
UNITE DE TEMPS : UIW = 3′ 09 secondes
La fréquence des impulsions d’activation des Centres nerveux situés dans le Plexus Choroïdien ventro-latéral de l’encéphale est de 6.123 cycles par seconde (Unité de fréquence très utilisée en neurophysiologie).
Constante Biogénétique : 6,58102.12-10 secondes. C’est le temps mis par l’état quantique pour s’établir dans l’atome de carbone de la chaîne d’acide désoxyribonucléique pour la formation d’un GÈNE
Les habitants de UMMO possèdent un corps dont la morphologie physiologique est analogue à celui de « l’Homo Sapiens » terrestre. Ceci est logique si vous considérez que les lois Biogénétiques sont de rigueur pour tout l’Univers. Seules de petites différences de constitution par rapport à vous apparaissent entre nous. Pour un fort pourcentage des habitants de notre planète, l’organe de phonation s’hypertrophie durant l’adolescence et ainsi la glotte subit un processus de sclérose qui nous empêche d’utiliser l’expression verbale acoustique. Cependant l’aide de dispositifs spéciaux, amplificateurs de faibles fréquences, nous permet de parler normalement même si le timbre de la voix n’est pas si harmonieux que le vôtre car il ne possède pas les harmoniques supérieures et sa gamme des graves est plus réduite.
Nous sommes un peuple plus ancien que le vôtre qui a déjà atteint un niveau de Civilisation élevé. Notre structure sociale est très différente de la vôtre. Notre gouvernement est régi par l’ UMMOAELEWE (CONSEIL GENERAL DE UMMO) composé de quatre membres qui furent sélectionnés sur tout UMMO au moyen d’étalonnage psychophysiologiques. Les lois sont élaborées en fonction des principes sociométriques qui régissent l’humanité de notre Planète.
La coordination du travail de la population s’obtient par une discipline de groupe efficace. Notre structure économique est radicalement différente de la vôtre. Nous ne connaissons pas cette curieuse institution de l’argent car dans toutes les transactions des quelques biens mesurables qui existent sur UMMO, intervient le réseau de XANMOO (Espèces d’ordinateurs ou cerveaux électroniques). D’autre part les biens de consommation (aliment, mobilier, etc) ne sont pas mesurables car leur abondance excède de beaucoup la demande. La terre et l’espace sont socialisés.
Nous sommes une société profondément religieuse. Nous croyons en WOA (DIEU ou CREATEUR) et nous possédons des arguments scientifiques en faveur de l’existence du BUAWAA (AME). Nous connaissons de plus un Troisième Facteur de l’homme qui le relie avec l’âme adimensionnelle. Il est situé dans le cortex encéphalique et nous avons informé deux neurophysiologistes terrestres de sa découverte.
Notre religion est si semblable au Christianisme terrestre que nous avons été véritablement surpris en nous en apercevant. La seule différence, c’est que sur UMMO il est apparu à un stade de notre Humanité où la Civilisation était plus développée que la vôtre au temps de Jésus-Christ.
Notre mode de vie, nos coutumes sexuelles, nos distractions, etc, sont aussi très différentes comme vous pouvez le supposer. Il n’y a pas de véritables races parmi les hommes de UMMO et les variétés et espèces biologiques sont plus limitées que sur la Terre. Ceci est dû au fait que la probabilité de mutations génétiques sur les chromosomes est bien plus faible car notre atmosphère est plus protégée que la vôtre des effets secondaires des Radiations Cosmiques.
Notre première arrivée sur Terre se produisit en profitant des excellentes conditions isodynamiques de l’espace (courbure de l’espace) qui eurent lieu à cette époque là. Trois de nos OAWOOLEA UEWA OEM (que vous appelez O.V.N.I. ou Soucoupes volantes) atterrirent en un point du département français des Basses-Alpes à 13 kilomètres de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE, à 04 h 17 minutes GMT (heure de Greenwich), le 28 Mars 1950.
Inutile de vous parler des premières vicissitudes subies par notre premier groupe explorateur qui dût faire face à de très graves situations dues à l’ignorance absolue de la langue et des coutumes terrestres.
Depuis lors sont arrivés d’autres astronefs et en particulier trois OAWOOLEA UEWA en Février 1966.
Les contacts avec l’orographie terrestre furent enregistrés ainsi :
Arrivée de deux frères aux environs d’ Erivan (Territoire Soviétique à 18 h 47 minutes (heure espagnole). L’endroit est situé à 6 km de la rivière Araks le 6 Février 1966.
Arrivée de deux frères à 20 h 02 minutes en un endroit situé près de Madrid (Territoire Espagnol) près de la Colonie d’Aluche le 6 Février 1966
Arrivée de trois frères en un point situé aux environs de Townsville (Queenland : Territoire Australien) à 22 h 45 minutes le 6 Février 1966 (heure espagnole).
Les caractéristiques divulgables, celles qui ne sont pas assujétties à nos normes de sécurité, de nos OAWOOLEA UEWA sont :
Base circulaire de diamètre extérieur 7,1 Enmoo (quelques 13,18 métres).
Section transversale, pseudo-lenticulaire, de hauteur approximative de 3,25 mètres.
Trois pieds extensibles aux panneaux d’appui rectangulaires.
Les perturbations magnétiques enregistrées par l’ingénieur soviétique Alexei Krylov, ne sont pas dues au fait que la nature même de la propulsion soit le magnétisme. La forte induction observée, à 10 mètres de son « centre d’inertie » et qui atteint fréquemment 4600 gauss, est due à un effet secondaire.
Notre finalité en venant sur Terre, est centrée sur l’étude et l’analyse de la Culture Terrestre. Il est difficile d’établir en quelques paragraphes les différences essentielles entre notre Civilisation et la vôtre, car si notre niveau de formation technologique et scientifique est beaucoup plus élevé, nous reconnaissons que certaines formes d’art (peinture, sculpture, et surtout musique) ont été plus développées chez vous.
Il existe de puissantes raisons, connues des personnes avec qui nous sommes en contact, pour que nous ne fassions pas connaître officiellement, même si certains organismes officiels de quelques pays ont maintenant conscience de notre arrivée sur Terre.
Les scientifiques et les entités culturelles qui ont reçu nos rapports ont été nombreux sur Terre. Mais nous reconnaissons que les résultats, comme on pouvait le prévoir, ont été pauvres en tenant compte du fait du scepticisme, non dépourvu de bonne humeur, avec lequel ils ont été accueillis. Quand nous avons apporté de véritables révélations comme par exemple la photographie tridimensionnelle sans l’aide de moyens oculaires de vision, ou les intéressants développements mathématiques concernant par exemple la théories des graphes ou réseaux, ils ont été attribués par les destinataires à un quelconque scientifique excentrique ou farceur.
Nous ne disons pas cela par dépit ou amertume. D’un point de vue psychologique de telles réactions sont normales. Nous voulons vous donner une courte liste des personnes espagnoles avec qui nous avons établi le contact en nous faisant connaître.
Un spécialiste en astrophysique de l’observatoire Astronomique de Fabra (Barcelone), nous lui apportâmes des éléments sérieux concernant les étoiles nouvelles mais il refusa de continuer les relations téléphoniques en nous demandant de ne pas divulguer son identité (Décembre 1961).
Un professeur de la Faculté de Médecine de Madrid en Mars 1962.
Un professeur de la Faculté des Sciences Chimiques de Madrid, en Février 1965.
Tous furent totalement sceptiques et demandèrent ardemment la cessation de nos envois postaux, malgré le fait que ceux remis au second parlaient de très intéressants problèmes concernant le comportement de quelques colloïdes.
Un aide-comptable de Madrid. Il accepta, moyennant une rémunération, de nous accorder son aide pour taper les documents (cette circulaire est tapée à la machine par cette même personne) et à ce jour nous acceptons qu’il fasse des déclarations sur cette expérience. Déclarations que nous jugeons pertinentes.
(premier contact février 1966).
Le fonctionnaire public de la Capitainerie Générale de Madrid, Monsieur Fernando Sesma Manzano (rue Fernando el Catolico n°6).
Ce monsieur avait publié quelques monographies concernant certains contacts qu’il aurait établi avec des êtres Extraterrestres, même si ses versions étaient faussées par des éléments qui nous paraissaient fantastiques. Eléments dans lesquels, la magie, l’astrologie et le symbolisme étaient arbitrairement interprétés, mais où quelques points attirèrent notre attention. Nous établîmes un premier contact avec lui le 14 Janvier 1966 en le soumettant à une série d’épreuves pour nous assurer de sa bonne foi ou de son excès de crédulité.
Monsieur Sesma se montra sceptique au début et nous avons pu vérifier sa droiture tout en étant en désaccord avec lui au sujet de ses expériences antérieures que nous attribuions à un simple farceur.
Jusqu’à aujourd’hui nous avons envoyé à ce monsieur un grand nombre de documents concernant notre Civilisation et notre Structure Sociale.
Un artiste peintre résidant rue Conda de Penalvar n°20 Madrid. Il fit quelques déclarations à la presse concernant l’atterrissage d’Aluche le 6 Février 1966, déclarations qui motivèrent notre intérêt pour lui. Nous le sollicitames pour une entrevue personnelle qu’il refusa, en l’interprétant comme un acte de blagueurs (NdT: E. Gran)
Deux dames vivant à Madrid et qui se prêtèrent gentiment à un test psychotechnique pour nos mesures sociométriques en Mars-Avril 1966.
Un prêtre catholique Severimo Machado (rue Espoz et Mina 7 3° d. Madrid) avec qui nous avons établi un contact postal et téléphonique, et qui se montra logiquement réservé en attendant de nouvelles preuves, (Avril 1966).
Comme vous le voyez, jusqu’à maintenant les résultats comportent un pourcentage élevé de réactions négatives (pas très supérieur à celui que nous avons mesuré dans les autres pays où nous avons établi des contacts analogues) sauf aux États-Unis où 16% environ des personnes contactées se montrèrent apparemment crédules.
En Espagne, seul Monsieur Sesma Manzano semble avoir accepté notre identité (après avoir obtenu des preuves comme par exemple l’annonce anticipée de notre atterrissage à Madrid le 6 Février). Notre vaillant collaborateur, à qui nous dictons généralement nos écrits, a reçu un grand nombre de preuves et nous le remercions vivement pour son extraordinaire discrétion. Nous craignons avec raison la répétition d’un incident qui s’est produit à Milan quand notre auxiliaire nous dénonça aux autorités en nous traitant d’espions.
Monsieur :
Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d’autres Astronefs qui ne sont pas nécessairement les nôtres (U.F.O.) dans l’atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l’origine de tels véhicules (sauf les cas d’illusions, d’hallucinations ou de farces) est de type galactique. Sur Ummo nous avons officiellement établi des contacts avec d’autres civilisations, mais nous désirerions connaître comme vous l’origine de celles qui arrivent sur Terre. Mais ici nous n’avons pas les moyens techniques pour les identifier.
Monsieur :
Nous n’espérons pas être crus. Il est très probable que vous allez sourire en lisant les paragraphes précédents en les considérant comme frauduleux et purement fictifs. En agissant ainsi, vous vous comportez intelligemment car les affirmations sans preuves pour les avaliser n’ont pas de valeur. Si nous nous sommes adressés à vous, c’est parce que nous savons que vous croyez à l’origine Galactique de ces O.V.N.I.
Nous avons des raisons pour penser que, de même que nous sommes venus vers vous, il existe un certain degré de probabilité pour que ces autres êtres, s’ils établissent des contacts dans un pays quelconque, le fassent avec des gens favorables à cette hypothèse plausible.
Nous désirons donc que vous nous fassiez une faveur sans conséquences pour votre prestige et votre économie. Si vous le désirez vous pouvez occulter la nouvelle de la réception de ce message. Ce que nous allons vous demander est compatible avec n’importe quel conception que vous auriez formé concernant notre personnalité.
Nous allons vous dicter une série de chiffres (nombres) exprimés dans le système de numérotation binaire. Nous vous supplions de les conserver. Si, bien que peu probable dans votre cas, quelqu’un s’adresse à vous prétendant venir d’une autre Planète, il devra réagir en vous donnant une autre séquence de nombres.
INSTRUCTIONS
Si quelqu’un d’étranger essaie d’établir avec vous des relations verbales (téléphone ou entrevue) il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude réticente pour éviter quelque type de farce ou éluder la conduite anormale de mentalités qui présentent un supposé syndrome psycho-pathologique.
Généralement les farceurs présentent leurs arguments sous une forme peu élaborée. Par contre, il existe de nombreuses formes d’idées délirantes dont la structure, apparemment parfaitement cohérente et logique, a une force de persuasion très élevée, surtout si les individus qui les présentent sont des malades intelligents (dans le cas de la paranoïa terrestre, ce syndrome est parfaitement compatible avec un coefficient intellectuel élevé).
Si dans ce cas la personne qui se prétend voyageur spatial, offre un minimum d’arguments cohérents et apparemment sérieux, donnez lui ou lisez lui cette série de chiffres (en prenant le risque que son identité soit usurpée).
S’il comprend bien et sans que vous le lui demandiez, (vous pouvez dire simplement que ces chiffres vous ont été remis par un ami, ou mieux encore, que pour prouver sa bonne foi on désire lui faire passer un test) il devra à son tour vous donner une séquence de chiffre différente – également en système binaire – que nous vous demandons de noter.
En temps voulu, nous vous donnerons le nom d’une personne qui servira de liaison entre vous et nous. Si, nous le répétons, un cas se produit (peu probable en ce qui vous concerne mais possible statistiquement pour quelque membre de votre groupe) je vous demande, au nom de ce groupe avancé d’UMMO, d’écrire à notre intermédiaire en lui communiquant :
LES CHIFFRES DICTÉS PAR LE SUJET – L’IMPRESSION QU’IL VOUS A FAITE – LES DONNÉES VARIÉES QU’IL VOUS A APPORTÉES – LA DATE DU CONTACT
Pour finir, nous vous donnons deux fois la série de chiffres, répétés plusieurs fois pour plus de sécurité, de crainte que la multicopie ne rende illisible l’une d’entre elles:
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
(NdT: cette série représente, en décimal: 727 – 37 – 2599. Elle se retrouve dans la lettre 89, mais complétée par une série représentant: 39 – 5045)
Nous vous remercions cordialement de votre attention. Même s’il s’agissait d’une farce ou d’une idée délirante, vous ne risquez rien en nous faisant cette faveur. Nos respect Monsieur.
Ordre de DEII 98, fils de DEII 97
sous couvert de YU 1, fille de AIM 368.
D21 suite
Monsieur :
Depuis des années nous sommes intrigués par les apparitions d’autres Astronefs qui ne sont pas nécessairement les nôtres (U.F.O.) dans l’atmosphère terrestre. Personne ne sait aussi bien que nous que l’origine de tels véhicules (sauf les cas d’illusions, d’hallucinations ou de farces) est de type galactique. Sur Ummo nous avons officiellement établi des contacts avec d’autres civilisations, mais nous désirerions connaître comme vous l’origine de celles qui arrivent sur Terre. Mais ici nous n’avons pas les moyens techniques pour les identifier.
Monsieur :
Nous n’espérons pas être crus. Il est très probable que vous allez sourire en lisant les paragraphes précédents en les considérant comme frauduleux et purement fictifs. En agissant ainsi, vous vous comportez intelligemment car les affirmations sans preuves pour les avaliser n’ont pas de valeur. Si nous nous sommes adressés à vous, c’est parce que nous savons que vous croyez à l’origine Galactique de ces O.V.N.I.
Nous avons des raisons pour penser que, de même que nous sommes venus vers vous, il existe un certain degré de probabilité pour que ces autres êtres, s’ils établissent des contacts dans un pays quelconque, le fassent avec des gens favorables à cette hypothèse plausible.
Nous désirons donc que vous nous fassiez une faveur sans conséquences pour votre prestige et votre économie. Si vous le désirez vous pouvez occulter la nouvelle de la réception de ce message. Ce que nous allons vous demander est compatible avec n’importe quel conception que vous auriez formé concernant notre personnalité.
Nous allons vous dicter une série de chiffres (nombres) exprimés dans le système de numérotation binaire. Nous vous supplions de les conserver. Si, bien que peu probable dans votre cas, quelqu’un s’adresse à vous prétendant venir d’une autre Planète, il devra réagir en vous donnant une autre séquence de nombres.
INSTRUCTIONS
Si quelqu’un d’étranger essaie d’établir avec vous des relations verbales (téléphone ou entrevue) il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude réticente pour éviter quelque type de farce ou éluder la conduite anormale de mentalités qui présentent un supposé syndrome psycho-pathologique.
Généralement les farceurs présentent leurs arguments sous une forme peu élaborée. Par contre, il existe de nombreuses formes d’idées délirantes dont la structure, apparemment parfaitement cohérente et logique, a une force de persuasion très élevée, surtout si les individus qui les présentent sont des malades intelligents (dans le cas de la paranoïa terrestre, ce syndrome est parfaitement compatible avec un coefficient intellectuel élevé).
Si dans ce cas la personne qui se prétend voyageur spatial, offre un minimum d’arguments cohérents et apparemment sérieux, donnez lui ou lisez lui cette série de chiffres (en prenant le risque que son identité soit usurpée).
S’il comprend bien et sans que vous le lui demandiez, (vous pouvez dire simplement que ces chiffres vous ont été remis par un ami, ou mieux encore, que pour prouver sa bonne foi on désire lui faire passer un test) il devra à son tour vous donner une séquence de chiffre différente – également en système binaire – que nous vous demandons de noter.
En temps voulu, nous vous donnerons le nom d’une personne qui servira de liaison entre vous et nous. Si, nous le répétons, un cas se produit (peu probable en ce qui vous concerne mais possible statistiquement pour quelque membre de votre groupe) je vous demande, au nom de ce groupe avancé d’UMMO, d’écrire à notre intermédiaire en lui communiquant :
LES CHIFFRES DICTÉS PAR LE SUJET – L’IMPRESSION QU’IL VOUS A FAITE – LES DONNÉES VARIÉES QU’IL VOUS A APPORTÉES – LA DATE DU CONTACT
Pour finir, nous vous donnons deux fois la série de chiffres, répétés plusieurs fois pour plus de sécurité, de crainte que la multicopie ne rende illisible l’une d’entre elles:
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
1 0 1 1 0 1 0 1 1 1 – 1 0 0 1 0 1 – 1 0 1 0 0 0 1 0 0 1 1 1 |
Nous vous remercions cordialement de votre attention. Même s’il s’agissait d’une farce ou d’une idée délirante, vous ne risquez rien en nous faisant cette faveur. Nos respect Monsieur.
Ordre de DEII 98, fils de DEII 97
sous couvert de YU 1, fille de AIM 368.
D21 Bis
JUSTIFICATION DE LEUR PRESENCE OFFICIEUSE SUR TERRE
Destinataire et date: SESMA
Monsieur Sesma Manzano nous vous adressons une prière :
Monsieur Enrique GRAN est absent de Madrid, nous vous demandons de lui garder cette citation. Et pour le moment nous vous demandons d’exécuter les points spécifiés dans notre lettre. Nous lui envoyons dès maintenant une note à son domicile de Madrid. S’il vous plait, nous vous supplions de lire à haute voix. Demandez aussi aux personnes qui expriment leurs points de vue de forcer légèrement leur intensité phonétique. Si le lecteur habituel se trouve par hasard dans un état d’aphonie (même très léger), demandez à un autre homme de prendre sa place après avoir fait un essai de son niveau de voix. Monsieur Sesma Manzano :
Comme ce document demande une structure globale, pour éviter de fausses interprétations s’il est lu fragmentairement, nous vous supplions de ne pas le lire à vos amis avant d’avoir reçu la seconde partie qui vous parviendra dans les jours prochains.
D22
Nous savions que si vous aviez atteint un certain degré de civilisation, vous détecteriez instantanément notre présence. Au cas où cette présomption serait fausse, s’imposerait alors le critère de ne pas manifester ostensiblement notre présence. Si nous désirons étudier une Civilisation dans toute sa pureté, notre présence devrait éviter de provoquer des perturbations sociales, des dynamismes anormaux dans les moyens techniques de défense, détection et interception ainsi que de sérieuses perturbations dans les moyens de communication relatifs au probable réseau d’informations. Un réseau social ainsi déformé ou perturbé par la présence d’êtres étrangers ne peut être étudié analytiquement dans toute sa pureté. Vous trouverez une comparaison avec un spécialiste des bactériologies qui désire par exemple étudier une nouvelle souche d’espiroquetas (?). Il ne devra pas perturber le bouillon de culture avec de nouveaux germes qui altèreraient le processus biologique des premiers. S’il le faisait, devant le champ de son microscope, les formes élémentaires de conduite de ces microorganismes seraient anormales.
OBSERVATION
C’est pour cette unique raison que notre présence parmi vous est officieuse : quelques personnes avec qui nous avons un contact, surtout de nationalité nord-américaine et australienne, nous demandent souvent et ingénument pourquoi nous ne nous faisons pas connaître officiellement.
Il est curieux de constater que parmi celles-ci, il y a des hommes terrestres qui avec leur érudition et leur formation scientifique, devraient eux-mêmes comprendre les causes réelles qui nous obligent à nous inhiber. Nous croyions à ce moment là que vous seriez plus conséquents. Nous comprenons que l’homme moyen de le Terre peu doté de facultés intellectuelles maintienne l’hypothèse stupide que: aussi bien nous que d’autres présumées visiteurs galactiques devrions nous présenter avec un de UEUA OEMM (soucoupes volantes) en plein milieu d’une grande place de New-York, vêtus d’une combinaison argentée et avec un fusil de rayons meurtriers comme dans les nouvelles de Science-fiction. C’est dire si vous nous jugez désireux d’une absurde popularité. Votre raisonnement embryonnaire et primitif parait être celui-ci: » Si ces êtres proviennent d’un autre astre, pourquoi ne se font-ils pas connaître et pourquoi ne le démontrent-ils pas ? » Un quelconque expert en philosophie terrestre ce sophisme « répétions de principe ».
Nous, ( et nous présumons qu’il en est de même pour d’autres visiteurs qui peuvent être parmi vous) nous n’avons absolument aucun intérêt que le réseau social terrestre soit absolument certain de notre présence.
Dès le début nos frères adoptèrent des précautions pour passer totalement inaperçus. Au fur et à mesure que nous étions en train de nous imprégner de votre culture et de connaître les lois de la psychologie sociale terrestre, nous nous rendions compte que la révélation de notre présence faite à quelques personnes ne serait pas dangereuse car les autres membres de la société réagiraient avec incrédulité et c’est ce qui s’est effectivement produit. Croyez-vous que s’il en était autrement, nous aurions pris le risque de nous mettre en contact avec vous? Et même trois personnes de profession publiciste, avec qui nous maintenons des conversations, ont publié nos récits ( dans trois journaux ou revues de Pologne, Espagne et Canada) et logiquement leurs lecteurs ont adopté la naturelle posture sceptique que nous espérions.
Ainsi une telle attitude serait modifiée et nous nous présenterions ostensiblement, en apportant des preuves de notre identité, devant la presse terrestre, et les organismes techniques gouvernementaux ou internationaux. Posture que nous ne pensons absolument pas adopter pour l’instant.
De cette manière nous avons pu couvrir deux objectifs. Un contact direct avec un groupe d’habitants terrestres pour échanger des faits concernant nos mutuelles civilisations, en évitant de perturber le reste de la société terrestre qui demeure en marge d’une situation qu’il juge légendaire à cause de son insuffisance de preuves.
Nous n’avons malheureusement pas pu atteindre notre second objectif. Passer inaperçus face aux organismes techniques d’États; États-Unis, France, Angleterre, Union Soviétique et nous pensons avec raison que l’Italie, l’Allemagne et la République Argentine ont conscience notre présence et qu’ils se montrent préoccupés même si officieusement nous leur avons démontré que leurs craintes n’étaient pas fondées. Par rapport au fait que la connaissance d’une telle situation peut provoquer des réactions d’anxiété et de panique dans la population civile, les chancelleries de ces gouvernements peuvent être rassurées tout au moins en ce qui concerne les frères de UMMO. Nous ne nous ferons pas connaître pour l’instant, car le risque que cela dépasse les quelques scientifiques ou écrivains avec qui nous sommes en contact est NUL, si l’on excepte les quelques personnes avec un esprit critique élevé comprises parmi les familiers et amis de nos correspondants. Les autres, saturés de préjugés, avec des cadres mentaux étroits et conscients du risque de fraude qui peut s’insinuer dans nos révélations, maintiendront une posture sceptique à outrance.
Pour cela nous vous demandons de ne pas vous montrer excessivement zélés pour divulguer aux personnes de votre entourage la réalité de notre existence. Ainsi on ne vous prendra pas pour un illuminé ou un perturbé mental et votre propre stabilité professionnelle ne sera pas attaquée. A ceux qui sans un premier examen analytique des faits montrent une attitude sceptique se croyant ainsi « intelligents », approuvez-les sans aucun commentaire.
D23
UMMOAELEWE
Langues : Espagnol
Français
Russe
Anglais
Nombre de copies: 21
Hommes de la Terre,
Nous savons que seuls quelques uns d’entre vous entrevoient la possibilité que des êtres qui vous sont semblables et sont originaires d’autres astres de cette Galaxie, sont secrètement parmi vous.
Nous savons aussi que seule une fraction insignifiante de ces personnes dispersées sur cette Planète, connaît notre identité en tant qu’êtres humains originaires de UMMO, mais en toute logique, le pourcentage le plus élevé de ce groupe maintient une prudente réserve en doutant quelque peu de la réalité de notre origine.
Seules l’analyse de votre civilisation et des caractéristiques géologiques de ce que nous appelons OOYAGAA (PLANÈTE TERRE), les structures biologiques terrestres et la psychologie de la Société, nous ont amenés parmis vous.
En l’année terrestre1950, (Mars), nous sommes arrivés sur cette OOYAA (ASTRE FROID).Quelques deux ans auparavant (ANNÉES TERRESTRES), nous avions capté un faible signal de fréquence 413,44 mégacycles que nous n’avons pas pu décoder. Il avait été émis en l’an 1934.
(Par la suite nous avons identifié le signal radioélectrique comme émis d’un navire norvégien à hauteur de Terre-Neuve ; navire qui faisait des expériences approfondies avec des scientifiques de ce pays sur l’utilisation de fréquences élevées pour des communications à longue distance par réflexion ionosphérique. Le signal fut émis entre les 5 et 7 février 1934).
Cette date est donc historique pour les relations TERRE-UMMO, nous avons des photocopies des radiogrammes émis, (obtenus grâce à nos frères d’Allemagne qui se déplacèrent à Bergen dans ce but), et naturellement l’enregistrement des signaux en morse qui furent incompréhensibles pour nous à ce moment là car nos techniciens pensèrent qu’il s’agissait d’un code de numérotation binaire (point = 0 et trait = 1 ou vice-versa) est aussi en notre possession. Vous serez surpris de savoir que la durée de la fraction du radiogramme capté fut de 2,2 UIW (quelques 6,8 minutes) qui suffirent pour identifier sur des coordonnées galactiques, la position du Système Solaire et l’astre d’où provenait ce signal qui fut baptisé sous le nom de GAA (CARRÉ) car la graphie obtenue avec le signal faisait penser à l’équation analytique qui exprime l’aire de cette figure géométrique.
C’est seulement à notre arrivée que nous pûmes vérifier que le nom d’ OOYAGAA (ASTRE FROID du « CARRÉ ») était faussement évocateur car la nature du message n’était pas mathématique.
Ceci pour répondre à la question de M. Théodore T. Polk de PITTSBURGH, U.S.A.. concernant l’origine de notre arrivée sur cette Planète.
Quelques uns parmi vous, lors de communications téléphoniques, insistèrent pour que nous fassions une présentation officielle devant les Gouvernements de la Planète. M. Pierre Palissy ORAN (Algérie) nous suggère même d’envoyer nos « DISQUES VOLANTS » pour exterminer le Gouvernement Communiste Chinois.
Vous comprendrez, M. Palissy, qu’en nous montrant respectueux envers votre initiative, nous ne pouvons tout de même pas réaliser vos désirs pour les diverses raisons suivantes :
En premier lieu, nos OAWOOLEA UEUAA ou Disques volants comme vous les appelez, ne peuvent arriver ici selon notre bon vouloir.
D’autre part, bien que nous reconnaissions que cet État Terrestre a une ligne politique quelque peu agressive, nous ne sommes pas persuadés que cela représente une réelle menace pour vous. Le peuple Chinois traverse en ce moment une crise très intéressante et si vous n’étiez pas polarisés politiquement par certains préjugés, vous mesureriez à son juste niveau. Ni l’Union Soviétique, ni les États-Unis n’accepteront que le développement de cette Nation s’oriente vers des objectifs belliqueux.
En termes semblables nous répondons à Josef Väry de BRNO (Tchécoslovaquie) qui nous demande si nous pourrions employer nos armes pour détruire les régimes totalitaires du Portugal, d’Espagne et d’Amérique du Sud. Ce n’est pas notre intention car agir comme Police Internationale Terrestre n’est pas notre but. Nous répétons que notre passive mission d’étude et d’analyse nous le défend.
Les raisons qui nous poussent à demeurer anonymes sont nombreuses et, depuis longtemps parmi elles ne se compte plus la crainte d’une possible réaction agressive des hommes de la Terre. Nous répétons jusqu’à satiété que nous n’avons pas intérêt à être crus. Quelques uns parmi vous nous répètent que nous devons présenter des preuves.
Nous ignorons encore ce que vous voulez exprimer ingénument. Les idées techniques que nous avons mis à votre portée sont nombreuses et malgré tout, les techniciens qui les ont reçues les ont attribuées à des scientifiques excentriques. Ces personnes qui désirent TOUCHER ces preuves avec leurs mains, ne se rendent pas compte de leur attitude aussi peu intellectuelle que celle d’un paysan qui doute de la réalité du LASER car il n’a jamais tenu un de ces appareils en mains.
Mais nous vous répétons une fois de plus que nous respectons votre incrédulité. Nous travaillons beaucoup mieux dans l’anonymat et nous n’allons pas être assez naïfs pour nous présenter à vous vaniteusement à seule fin de vous divertir.
Il nous semble que vous oubliez que LES TÉMOIGNAGES ONT EXACTEMENT LA VALEUR QUE LEUR OCTROIENT LES RAISONNEMENTS SUR LESQUELS ILS S’APPUIENT. Si les idées que nous vous avons apporté jusqu’à maintenant ne sont pas comprises ou sont dépréciées, VOUS FERIEZ BIEN DE NE PAS CROIRE EN NOUS.
D24
CONFIDENTIEL
Monsieur Sesma Manzano.
Le niveau acoustique est plus acceptable à ces heures là. En effet, il y a beaucoup moins de clients dans la salle supérieure du café Léon. Malgré tout, pendant la lecture du document, on entend des murmures qui viennent soit du sous-sol soit de la salle proprement dite.
Nous avons quand même observé une grande possibilité d’écoute pendant la lecture de M. Garrido Buendia, mais nous vous demandons d’élever quand même un peu la voix.
Demandez un peu de silence pendant votre exposé car des paragraphes entiers sont atténués par le bruit de fond. Cependant vous vocalisez beaucoup mieux quand vous parlez que quand vous lisez. Nous vous demandons donc d’améliorer ce petit défaut.
Nous vous rappelons, Monsieur Sesma Manzano, que vous devez laisser écouler un certain temps pendant votre cycle de lectures pour éviter la naturelle lassitude des membres de ce groupe en cette saison proche de l’été.
Pour notre part, nous diminuerons la fréquence des envois, en nous limitant à des thèmes moins transcendants. Nous reprendrons l’envoi des documents importants dès l’automne.
Vous prononcerez tous ces éléments à haute voix devant tous les participants, en les répétant deux ou trois fois pour que nos appareils puissent bien les capter :
-date de votre dernière session,
-date de reprise à l’automne,
-indiquez si vous devez vous absenter cet été.
Monsieur Sesma Manzano nous vous adressons une prière :
Monsieur Enrique GRAN est absent de Madrid, nous vous demandons de lui garder cette citation. Et pour le moment nous vous demandons d’exécuter les points spécifiés dans notre lettre.
Nous lui envoyons dès maintenant une note à son domicile de Madrid.
S’il vous plaît : nous vous supplions de lire à haute voix. Demandez aussi aux personnes qui expriment leurs points de vue de forcer légèrement leur intensité phonique.
Si le lecteur habituel se trouve par hasard dans un état d’aphonie (même très léger) demandez à un autre homme de prendre sa place après avoir fait un essai de son niveau de voix.
Monsieur Fernando Sesma Manzano :
Comme ce document demande une structure globale, pour éviter de fausses interprétations s’il est lu fragmentairement, nous vous supplions avec insistance de ne pas le lire à vos amis avant d’avoir reçu la seconde partie qui vous parviendra dans les jours prochains.
D25
UMMOAELEWE
M. SESMA MANZANO
ESPAGNE
CONFIDENTIEL. (doit être seulement lu par l’intéressé lui-même).
- Sesma Manzano
Nous avons l’audace de vous supplier que tout au long des journées que vous passerez à divulguer les rapports que nous vous envoyons périodiquement, vous vous absteniez de faire allusion à d’autres expériences que vous avez avec des êtres d’autres supposées Planètes.
Nous maintenons un profond respect pour de tels contacts, mais nous craignons que ceux qui assistent à de telles réunions, sans connaître les précédentes, finissent par déduire des conclusions équivoques sur notre identité et celle de ces autres êtres.
Il nous semble logique que vous, vous mainteniez des liens spirituels avec ce qu’ils représentent, après avoir vécu de telles expériences. Vous pouvez, si vous le désirez, leur accorder une grande partie de votre temps et faire des conférences dans le Cercle des Amis de l’Espace.
Mais pendant ces moments là nous vous demandons de vous abstenir de lire ou de commenter devant des personnes peu HABITUEES à ce Cercle, nos RAPPORTS. Nous vous suggérons d’annoncer au préalable si la thématique à traiter a pour origine l’un ou l’autre Groupe.
Nous vous demandons de ne pas prendre cela comme quelque chose d’imposé (NdT: par nous). Nous nous réservons simplement le droit de protéger dans la limite de nos possibilités la véracité de nos témoignages.
Tout commentaire développé avec votre annonce dans ce cercle, intercallé dans le temps que vous nous consacrez gentiment et qui touche de n’importe quelle manière à de telles expériences, peut, mélangé avec ceux qui nous concernent peut créer, et le fait s’est déjà produit, créer une confusion exolicable dans certaines mentalités dépourvues d’esprit critique.
Vous avez été assez aimable de consacrer votre attention à cette note.
D26
UMMOAELEWE
FERNANDO SESMA MANZANO
MADRID ESPAGNE.
Monsieur:
Mes frères, actuellement absents, m’avaient longuement informé sur la nature des réunions que vous célébrez périodiquement dans un établissement public de la rue Alcala à Madrid.
J’ai suivi avec intérêt, les commentaires et le dialogue des participants concernant le thème de vos relations avec nous.
Cependant, au vu du déroulement des dernières séances et de l’information qui m’avait été fournie avant ma venue en Espagne, j’ai trouvé une infraction au compromis que vous aviez gentiment souscrit verbalement et selon lequel nos relations seraient suspendues si, au cours de vos exposés sur notre présence, vous mélangez aux nôtres des éléments étrangers.
Il est évident, au vu du contexte de vos interventions, qu’une telle infraction n’est ni délibérée, ni consciemment orientée contre nous. Mais nous avions foi en votre noblesse d’esprit, justifiant notre intransigeance par la perturbation créée chez ces personnes qui par manque d’éléments, fondent et confondent vos versions concernant des expériences qui nous sont étrangères avec celles qui sont en rapport avec les documents que nous vous remettons.
Nous n’avons jamais exigé de vous (ni le supposons possible) que vous adoptiez nos points de vue ni que vous croyez en notre existence. Vous êtes libres de proclamer à la fin de ces sessions et de permutter le sentiment idéologique avec (NdT: celui de) de ceux-mêmes qui voudraient faire cesser nos contacts. Décision douloureuse pour ceux, qui comme nous, vous professons une véritable affection (ce n’est pas une simple formule de politesse dans le style du protocole terrestre), mais ce serait le fruit de votre propre arbitre.
Vous comprendrez que comme une révélation OFFICIELLE de notre présence sur Terre est possible dans un futur proche, nous devons faire attention à tout ce qui se dit durant cette période de relations cryptohistorique. Si de tels témoignages étaient contaminés par des faits étrangers correspondant à d’autres expériences extraterrestres (dont la réalité nous est étrangère) ce serait malhabile et préjudiciable. Nous ne pouvons accepter un tel dommage alors que nous agissons en toute délicatesse envers vous. Et nous considérons normal de nous défendre. Et nous considérons comme licite n’importe quel moyen de défense.
Mais nous reconnaissons que votre attitude est due à des impulsions psychologiques qui vous empêchent quelques fois d’agir correctement avec nous. Pour preuve de ceci: votre délicieux amour pour les extraterrestres, votre vaillance à donner témoignage en notre faveur et aussi vos compliments réitérés d’une norme dont seules les dernières journées vous ont fait dévier, sans malice de votre part.
C’est pour cela que nous désirons vous donner de nouveau une marge de confiance car indubitablement si vous aviez eu la pleine conscience de votre acte indigne non seulement la rupture aurait été automatique, mais les mesures pour corriger la confusion provoquée par vos paroles auraient été sévères.
Un de mes frères vous appellera au téléphone après la réception de cette lettre. (Vous l’excuserez de ne pas dialoguer avec vous en espagnol, il ne connaît pas cette langue), néanmoins, il enregistrera vos paroles.
Avant son appel vous pouvez opter pour deux solutions :
Le silence indiquant que vous n’acceptez pas nos conditions et que vous rompez définitivement notre contact.
La lecture de cette déclaration qui sera enregistrée phoniquement avec votre permission.
Je déclare suivre la norme demandée par les expéditionnaires de UMMO sur OYAAGA, selon laquelle au cours de mes déclarations, commentaires, critiques libres pour ou contre leur doctrine ou thèse de leur existence, écrits ou n’importe quelles expressions verbales ou graphiques (conférence, entrevues, articles, monographies et livres), j’essayerai par tous les moyens mentaux en mon pouvoir de supprimer toute référence à de quelconques expériences en relation avec d’autres supposés êtres non terrestres. |
NdW : Ecriture en rotation droite :
NdW : Ecriture en rotation gauche :
Si vous lisez à notre frère la déclaration précédente, nous interpréterons ce geste comme une excuse acceptée par avance pour votre infraction aux règles qui régissent nos relations.
Un tel compromis doit s’appliquer quand vous vous adressez à plus de huit personnes (sauf vos familiers) directement ou par courrier. IL NE DOIT JAMAIS SE PASSER MOINS DE DEUX HEURES ENTRE DES VERSIONS RELATIVES A NOUS ET DES ÉLÉMENTS ÉTRANGERS A NOTRE GROUPE.
C’est l’esprit et non la lettre qui doit être mis en application. Ce n’est pas une restriction de votre liberté. C’est notre seule demande en échange de nos documents. Est-ce trop vous demander? Est-ce que l’ingratitude des hommes de la Terre peut aller jusqu’à nier l’adoption d’une attitude de NEUTRALITE? Nous ne vous demandons pas la réalisation d’une activité mais d’une simple attitude passive.
Il est fort possible que vous ne compreniez pas pleinement l’étrange intérêt que nous mettons dans cette affaire. Ceci est dû au fait que vous ignorez les réactions provoquées chez vos auditeurs quand après avoir fait un commentaire sur nous, vous abordez immédiatement un thème que certains esprits humains terrestres sont incapables de tolérer. Le dommage subi par leurs esprits est seulement mesurable par nous en écoutant leurs propres commentaires en aparté.
NOUS VOUS DEMANDONS DE CONSIDERER CE DOCUMENT COMME SÉVÈREMENT CONFIDENTIEL A TOUS LES NIVEAUX.
D27
UMOAELEWE
Langue Espagnole
Nombre copies : 1
Monsieur Fernando Sesma Manzano.
CONFIDENTIEL – NOUS VOUS PRIONS DE NE FAIRE LIRE A AUCUNE PERSONNE.
Monsieur,
Comme vous devez vous en souvenir, nous vous avions demandé dans un rapport antérieur de séparer les heures et jours consacrés à nos documents avec ceux spécialement orientés vers l’information concernant d’autres expériences.
Nous ne vous demandions absolument pas de cesser de parler de ces expériences et encore moins de les discréditer, mais d’éviter tout simplement des confusions présumables au niveau des personnes non initiées en introduisant des relations et des élucubrations concernant d’autres expériences pendant que vous parlez de nos rapports sur notre propre origine.
Il aurait suffit que vous demandiez aux auditeurs leur niveau d’intérêt pour l’une ou l’autre expérience pour qu’ils puissent ainsi s’exprimer à haute voix. De tels votes SANS SIGNATURE vous auraient montré le chemin à suivre, en programmant les jours et heures pour ces analyses.
Jusqu’à maintenant vous avez été totalement fidèle à nos accords et nous vous avons répondu en vous envoyant des documents.
Mais vous avez rompu dans ce cas concret nos accords. Vous avez, de plus, formulé un jugement qui nous semble faux en ce qui concerne une entrevue avec Monsieur D. Enrique Gran. Bien que cette apparente contradiction était beaucoup moins légère que les véritables CONTRADICTIONS émises par d’autres personnes qui sont en contact avec vous.
Ceci n’est pas juste, Monsieur Sesma. Vous pouvez librement exprimer votre jugement sur notre identité croyant qu’elle est fausse. Mais vous ne pouvez pas nous attribuer légèrement DES MOTS QUE NOUS N’AVONS JAMAIS PRONONCÉ. Et nous promettre verbalement que pendant les moments consacrés à UMMO vous ne parlerez pas des autres expériences, pour ensuite ne pas respecter le compromis.
Nous attendons l’ordre définitif de YU 1, fille de AIM 368, à qui nous sommes soumis. Il est possible que nous soyons obligés d’interrompre nos contacts par écrit durant des mois ou définitivement. Ce dernier cas, je le confesse, serait douloureux car nous avions une véritable affection pour vous et nous croyons que votre faute n’a pas été si grave. Mais les ordres de notre Supérieure sont parfois inflexibles.
Pendant ce temps les contacts téléphoniques ont été interrompus, en attendant de nouvelles instructions.
Nous vous tiendrons informé des décisions de nos Supérieurs.
D28
)+( EARTH DELEGATION-AUSTRALIA
MR SESMA MANZANO
MADRID-SPAIN
Spanish Language
Number Copy : 1
Mr Sesma : Nos frères de la section Espagnole nous informent que vous avez commis des infractions à nos instructions.
Afin de repréciser nos ordres, nous vous faisons une synthèse de ceux-ci.
1) En aucune circonstance vous ne parlerez d’affaires extraterrestres devant des reporters de la presse. Sauf en ce qui concerne des déclarations écrites de votre part.
2) Refuser l’émission par voie de RADIO ou de TELEVISION de déclarations réalisées par d’autres commentateurs. Vous seul êtes autorisé à en parler en vous basant sur nos textes.
3) Ne pas tolérer lors de réunions -en dehors de votre domicile- la présence de reporters de presse ni de photographes.
4) Interdiction pour vous de rendre visite à ces personnes -REPORTERS, TEMOINS DE NOS ATTERRISSAGES, AUTEURS D’OUVRAGES- d’espagne et d’autres pays qui, à la radio, au cinéma, à la T.V., dans des ouvrages ou des journaux, ont exprimé des déclarations mettant en doute la véracité de l’origine de nos vaisseaux spatiaux.
Si quelqu’un en votre présence engage une polémique à ce sujet, vous éviterez la discussion mais vous êtes cependant autorisé à exprimer votre avis sur la question.
5) Vous pouvez rédiger toute forme d’écrit -presse, revues, livres- à condition de ne pas déformer la réalité de nos documents.
En exprimant vos opinions sur la PHILOSOPHIE, la RELIGION, l’HISTOIRE, la SCIENCE et la TECHNOLOGIE DU UMMO, vous préciserez qu’elles sont de vous et qu’elles ne sont pas rédigées dans nos rapports .
6) Vous éviterez la reproduction graphique de notre TIMBRE SIGNATURE )+( . Ceci pour éviter la diffusion de faux rapports.
7) Au contraire, la reproduction graphique des dessins n’est pas autorisée. Seules les photographies authentiques de ceux-ci sont possibles pour leur reproduction dans des livres ou des revues.
8) Cette DELEGATION sur la TERRE de )+( sous les ordres de YOO 1, fille de AIM 368, exhorte MR. FERNANDO SESMA MANZANO à respecter sérieusement ces instructions pour conserver sa dignité, en supprimant les déclarations grotesques et fausses qui peuvent vous discréditer et par là même notre mission sur cette PLANETE.
9) Nous envoyons ces instructions à chacun de vos associés qui désireront dans le futur participer à des contacts avec nos frères. Leur non-respect annulera toute possibilité future.
Nous protestons énergiquement contre un fait qui s’est produit avec nos frères de la section Espagnole.
L’un de vos amis vous a demandé pourquoi l’un de nos innocents émissaires que nous avons envoyé le 7 février 1966 n’a pas été gardé par la force.
JUSQU’A QUAND LES TERRESTRES VONT-ILS CONTINUER A IMAGINER DES ACTIONS DE FORCE A L’ENCONTRE DE CEUX QUI VIENNENT VERS EUX EN MISSION DE PAIX ?
Nous avons suffisamment de moyens pour nous défendre contre vos tendances aliénées.
Nous exprimons le désir que cette personne – sans représailles de notre part – ait la gentillesse de rectifier en présence des mêmes personnes cet aberrant point de vue.
In written
WOI 3 son of WOI 1
In obedience to
YOO 1 daughter of AIM 368
D29
AELEWE
Professeur Sesma Manzano
MADRID
Nombre de copies : 1
Langue : Espagnol.
Dans le document que nous vous avons remis concernant la création ou génération du WAAM et du UWAAM (LES DEUX COSMOS JUMEAUX), nous faisions référence à l’interaction des deux Univers. Interaction qui sBie manifeste au moyen de forces ou interférences que vous n’avez pas encore découvertes.
Voyez page 10 du document en question et la page 1 du second RAPPORT ACCESSOIRE, section 112, page 1, où nous mentionnions cette interinfluence du UWAAM.
Maintenant nous devons féliciter les hommes de la TERRE, c’est une grande date dans les annales astronomiques terrestres.
La presse mondiale a divulgué qu’après de longues études, les cosmologues de la TERRE ont détecté la présence de FORCES INCONNUES qui étaient jusqu’à présent sous-estimées et ignorées.
Que ce premier pas vers la découverte de l’UWAAM soit fructueux, c’est le souhait des hommes déplacés de UMMO.
Quand, en 1962 nous avons envoyé un document réservé à l’Observatoire de Pasadena (U.S.A.) en les informant sur la réelle existence de ces FORCES, et sur la nature de leur origine, c’est-à-dire la présence d’influences extracosmiques, les Terrestres interprétèrent ce message comme « une plaisanterie ».
Nous ne connaissions pas totalement la mentalité de certains scientifiques et votre scepticisme nous attrista. Par la suite nous nous sommes aperçus que les civilisations doivent découvrir elles-mêmes et sans aide leurs propres vérités scientifiques.
Nous vous disons cela sans ironie et sans condescendance pour avoir dû reconnaître enfin que nous avions raison. Il nous reste seulement à désirer qu’avec le temps se confirment les autres vérités que nous vous avons révélé ces dernières années et que vous compreniez pour les mêmes raisons leur réalité scientifique.
Nous vous remettons, mais vous avez déja dû la lire, une note parue le 10 MARS 1966 dans le journal « YA » de MADRID ; celle-ci est plus brève que celles parues dans les journaux de différents pays selon ce que nous disent nos frères des ÉTATS UNIS, de FRANCE, d’ALLEMAGNE, et d’ISRAEL.
« Un atlas de Galaxies Singulières » Pasadena, Californie.
« L’institut de technologie de Californie a publié aujourd’hui un atlas de galaxies singulières en suggérant que des forces inconnues peuvent agir dans les profondeurs sidérales. Le nouvel atlas préparé par le docteur Halton ARP présente des photos de 338 grandes galaxies ou nébuleuses, chacune d’elle étant « tordue » sous une forme peu courante. Les photos – dit le docteur H. Arp – paraissent indiquer l’existence de nouvelles forces ou de forces qui avaient été négligées. Les formes tordues, les contours distordus et les curieux liens qui apparaissent dans ces galaxies singulières suggèrent par exemple l’existence de forces visqueuses (collantes). La majorité des galaxies découvertes antérieurement avaient une forme arrondie, elliptique ou spirale. »
D30
D30.doc Page 1 sur 4 sauvé le : 26/02/2006 00:45:00
Référence : D30
Titre LA PAIRE DE COSMOS JUMEAUX
Destinataire(s) et date(s) SESMA en 1966
Commentaires Se trouve en partie dans D45
Aujourd’hui nous savons qu’il n’existe pas qu’un seul Cosmos (le nôtre ), mais un nombre infini de « PAIRES DE
COSMOS ». Il y a donc la dualité qui existe aussi dans les genèses cosmologiques. La différence entre les
éléments A et B de chaque paire consiste dans le fait que leurs structures atomiques respectives diffèrent
au niveau du signe de la charge électrique (vous employez incorrectement les termes de matière et
d’antimatière).
Par exemple notre Cosmos jumeau existe aussi mais:
1) dans ses atomes l’écorce est formée par des électrons positifs (positons) orbitaux et son noyau par des
antiprotons.
2) jamais ces deux cosmos ne pourront être en contact et croire qu’ils peuvent se superposer n’a pas de sens, car
ils ne sont pas séparés par des relations dimensionnelles, (c’est à dire qu’affirmer qu’ils sont séparés de
plusieurs années-lumière ou que leur existence est simultanée n’a pas de sens).
3) les deux cosmos jumeaux possèdent la même masse et le même rayon correspondant à une
Hypersphère de courbure négative.
4) mais les deux univers jumeaux jouissent de singularités différentes (autrement dit dans notre cosmos
jumeau il n’y a pas le même nombre de galaxies et celles qui y sont n’ont pas la même structure.)
Il n’y a pas donc un autre UMMO jumeau ni une autre TERRE jumelle comme vous pourriez le croire. Cette
dernière conclusion n’est pas hypothétique et nous vous en donnerons la raison.
5) les deux cosmos furent « créés » simultanément mais leurs flèches de temps ne sont pas orientées dans le même
sens. C’est à dire qu’il est illogique de dire que ce cosmos coexiste avec le nôtre dans le temps ou qu’il existait
avant ou qu’il existera après. On peut seulement dire qu’il existe mais non pas maintenant, avant ou après. Par
contre un intervalle d’évolution peut être parallèle ou égal au nôtre.
On pourrait dire la même chose pour l’infinité de paires de Cosmos qui existent dans le Pluricosmos. Nous
pouvons observer que l’image du Pluricosmos ne peut ressembler à un Univers (au sens de Cosmos). Dans
celui-ci les galaxies se déplacent comme des îles flottantes dans une immense mer.
Seulement cette « mer » est une sphère aux multiples dimensions, par contre on peut parler de distances
intergalactiques et même de gaz qui remplissent les espaces intergalactiques.
En échange, il est beaucoup plus difficile d’imaginer le UWAANWAAM (PLURICOSMOS) car les paires
de cosmos sont submergées dans le RIEN. Il est inutile d’imaginer qu’il existe des distances ou que ces
distances sont nulles. Une telle image serait illusoire.
Mais il y a quelque chose qui frappa de stupeur nos scientifiques quand ils en firent la découverte: notre Cosmos
jumeau exerce son « influence » sur le nôtre quoiqu’ils ne soient pas liés par des relations d’espace-temps. Grâce
à l’analyse de cette influence nous avons pu deviner l’existence de l’autre univers. Par supposition, notre
Cosmos doit influer aussi sur l’autre dans les mêmes conditions.
L’asymétrie de cette influence nous a révélé que ce Cosmos a une autre distribution de Galaxies. L’analyse
de la phase actuelle de notre Univers nous révèle comment il a été engendré par WOA.
Notre Cosmos est ce que vous appelez un Continuum espace temps (il nous a fallu 10 dimensions pour le
définir mathématiquement). Nous pourrions spéculer en lui attribuant une infinité de dimensions mais nous ne
sommes pas en mesure de le prouver.
De ces dix dimensions, trois sont perceptibles par nos organes sensoriels et une quatrième -le temps- est perçue
psychologiquement comme un » flux » continu dans le sens unique que nous appelons UIWIUTAA (flèche ou
sens orienté du temps).
Au début nos deux cosmos jumeaux:WAAM ( le nôtre) et UUWAAM (nôtre jumeau) étaient définis par un
WAAMIAAYO (difficile de traduire: point ou origine d’une seule coordonnée qui serait précisément le
temps). WOA a créé successivement le reste des dimensions mais n’interprétez pas ce
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« successivement » comme une succession temporelle ou spatiale, mais comme une relation « achrone ordinale »,
c’est à dire « ordonnée » en dehors du temps.
Dans les croquis qui suivent nous désirons représenter grossièrement ces phases de la GENERATION ou
CREATION. (les croquis sont grossiers car il est impossible d’enfermer dans un graphique plus de trois
dimensions.
Vous pouvez imaginer que notre Bicosmos primitif ressemblait davantage à une petite sphère vide. Un petit
univers sans Galaxies, sans gaz intergalactiques, seul l’espace existant dans le temps (figure 1).
WOA courbe et recourbe cet espace. Chaque courbure « nouvelle » suppose une dimension et enfin, il le
« plisse ». Observez que nous sommes en train d’employer une comparaison, un symbôle, car on pourrait
exprimer celà correctement seulement d’une manière mathématique. Par exemple l’expression
« Plisser l’espace » peut paraître infantile, mais elle est très didactique.
(FIGURE 1)
Si nous courbons un espace tridimensionnel, si nous le plions, ou si nous faisons une espèce de creux (voir
figure 2) à travers une quatrième dimension, cette courbure représente ce que nos organes sensoriels interprètent
comme une masse (une pierre, une planète, une galaxie).
(FIGURE 2)
Ainsi WOA endommage ce micro cosmos créant ainsi la masse. Rien de moins que presque toute la masse
actuelle de nos deux univers jumeaux concentrée dans un espace très réduit.
Un peu comme si toute l’eau carbonée de UMMO se trouvait enfermée dans mon poing. Matière et
antimatière ( comme vous les appelez), sont superconcentrées.
Il se produit alors une DOUBLE EXPLOSION IMPLOSION. Par l’implosion matière et antimatière, c’est à dire
atomes positifs et atomes négatifs, sont attirés violemment les uns contre les autres sans jamais se rencontrer.
Ce sont deux ensembles, deux univers, WAAM et UWAAM qui ne pourront jamais se rencontrer car ils ne sont
pas séparés par des relations d’espace.
Ainsi quand nous disons qu’ils s’attirent, le verbe « s’attirer » doit être compris dans le sens de s’influencer.
D’autre part, nous indiquons qu’il y eut explosion. En effet, l’immense masse de chaque Cosmos se fragmente
en particules et ces fragments expulsés brutalement il y a des millions d’années, constituent les actuelles
Nébuleuses ou Galaxies qui se déplacent aujourd’hui à une VITESSE PRESQUE CONSTANTE.
Vous pouvez observer que nous soulignons ce « presque » au moment où vos astronomes jugent que la
vitesse (V2) doit être constante ou uniforme en se basant sur deux raisonnements faux:
– Le déplacement des bandes du spectre, dans les galaxies observées, est CONSTANT et orienté
vers le ROUGE.
– l semble logique de penser que si les nébuleuses ne sont pas impulsées par un Champ de Forces, car
elles sont issues d’une explosion initiale de l’univers, elles se déplaceront avec une vitesse
uniforme .
Mais ces deux prémisses son faux et ingénus.
1) vos appareils de mesure sont peu précis, sinon vous auriez observé que la course des bandes vers le rouge
N’EST PAS CONSTANTE, elle est une fonction périodique non sinusoïdale d’amplitude moyenne presque
imperceptible, mais EVALUABLE.
2) vous n’avez pas pris en compte que notre Cosmos jumeau exerce une « influence » sur nos galaxies.
Précisément sur UMMO, comme nous vous l’indiquerons, nous avons découvert l’IWAAL en partant de ces
interférences.
Cette interaction empêche que nos nébuleuses se déplacent avec une vitesse uniforme (vitesse accélération).
Ainsi la mesure que vous faites de l’age de l’univers est inexacte car vous utilisez comme paramètres cette
pseudo vitesse constante actuelle des galaxies et leur distance par rapport à la TERRE.
Avec en plus le fait que si MAINTENANT la vitesse est presque constante, dans les premiers temps de la
création l’accélération (fonction sinusoïdale) arriva à avoir une énorme amplitude.
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FIN DU WAAM et de l’UWAAM, MORT DES DEUX COSMOS.
Quelle sera la fin des deux cosmos jumeaux ? En tenant compte du fait que WOA continue à créer de la matière
à l’intérieur de chaque Cosmos, la dégradation de masse en énergie est beaucoup plus rapide.
Il arrivera un moment où les deux univers seront réduits à un Continuum d’espace-temps hypersphérique de
rayon négatif, mais, MAINTENANT, de magnitude infinie. Sans concentration de masses, c’est à dire sans
Galaxies et avec l’exemple antérieur: sans courbures, sans « PLIS ».
Seule une propagation continue et isotrope de radiations avec la même fréquence, car, MAINTENANT, les
multiples fonctions sinusoïdales créées par WOA ne seront mises en phase et auront cessé de produire
ces ondes stationnaires, ces noeuds de crêtes que nos sens ingénus interprètent respectivement comme
« VIDES et MASSES ». il restera seulement un océan d’ondes dont l’amplitude ira en diminuant jusqu’à la
mort finale de la « paire cosmique ».
Mais si, sur UMMO, nous avons conscience de cette création, comment peut se développer l’athéisme? Si
l’univers était éternel, il serait déjà mort.
DISTANCES APPARENTES ENTRE LES ASTRES ET LES GALAXIES DU WAAM.
Le cosmos est un continuum espace-temps décadimentionnel, courbé en son ensemble et formant une
hypersphère inverse (c’est à dire avec deux rayons de même longueur mais inverses.). Mais, en plus de cette
immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures :
Il est impossible cependant de représenter sur un dessin de telles courbures (car sur une surface on ne peut
dessiner que des images à trois dimensions). Cependant nous allons essayer de dessiner des graphismes en
utilisant des crayons de couleur (moyens d’expression habituels pour vous).
Accueillez donc avec réserve de tels dessins qui n’ont qu’une valeur didactique.
Comme un enfant terrestre doit considérer l’expression de Dieu par le symbole d’un TRIANGLE avec un oeil
tracé à l’intérieur.
L’image A l’indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un « fragment » de l’ESPACE
qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne en pointillés représente
l’apparent chemin le plus court, c’est à dire celui que suivra un rayon de lumière (c’est à dire un faisceau de
IBOAAAYA ou PHOTONS) ou bien l’un de vos projectiles téléguidés.
L’image B indique: comment peut être courbé cet espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses
« plis » de l’espace varient constamment, comme le vent peut plisser l’un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus
aux inter-influences de l’UWAAM (notre cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document).
Il existe cependant d’autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l’on peut identifier avec
ce que nos sens perçoivent sous forme de « MASSES ».
Les Galaxies, et à l’intérieur les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits « creux » ou courbures
de l’espace à travers un quatrième axe dimensionnel (voir image B).
Vous pouvez observer que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l’ESPACE et ces
petites courbures – MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner.
Comme vous le voyez, la ligne continue de l’image B ou C représentera donc l’AUTHENTIQUE DISTANCE
LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétra dimensionnel.
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Quand le rayon de cette courbure est important, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les
voyages spatiaux se feront encore dans un temps très long même à des vitesses proches de celle de la
lumière.
Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne continue sera beaucoup plus courte que la ligne en
pointillés (ligne de la propagation de la lumière).
Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales.
LIGNES ISOCHRONES (dans l’original en vert, bleu et orange) qui représentent la véritable ligne la plus courte
(vert: —), celle de la trajectoire de la lumière (rouge: …), et d’autres intermédiaires. Les IISUIW (lignes
isochrones) se caractérisent ainsi: deux observateurs 1° et 2° vérifient que le TEMPS est synchrone, par contre
pour 1° et 3° situés
dans des IISUIW différents, le TEMP s’écoule d’une manière différente.
LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) de couleur orange sur l’original, vous pouvez observer que dans
l’image D elles sont divergentes et dans l’image E parallèles. (….).
C’est seulement quand les lignes USDOUOO ou Isodynamiques ne convergent pas ou divergent, c’est à dire
qu’elles sont parallèles (image E), que nos scientifiques peuvent avoir conscience que la distance à un autre astre
est minime et qu’ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA
OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques).
Mais cette courbure de l’espace subit des modifications périodiques engendrées par l’influence de l’UWAAM.
Aujourd’hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que de l’étoile
ALPHA DU CENTAURE et en fait celà s’est produit quelques fois.
L’image F aidera à comprendre cela.
Dans des conditions normales, IMAGE F, la distance apparente Alpha du Centaure et la Terre sera de quelques
4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) seront
séparés par plus de 14 années lumière (de la Terre ndt).
Mais si, (comme l’indique l’image G), l’espace se courbe, il peut se produire que les distances réelles varient en
faveur de l’espace qui nous sépare de UMMO. Si la trajectoire de la LUMIERE n’a pas varié, pour les
astronomes et pour les possibles voyageurs de l’une de vos fusées qui voudraient se déplacer jusqu’à UMMO, le
temps du voyage leur paraîtrait plus long pour WOLF 424 que pour ce que vous considérez comme l’étoile la
plus proche: Alpha du Centaure.
D31
AELEWE
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
16 MARS 1966
Professeur Sesma Manzano
MADRID – ESPAGNE
500 – INTRODUCTION DE NOTRE POINT DE VUE CONCERNANT L’ACTUEL STADE CULTUREL DE L’ÉVOLUTION TERRESTRE.
En faisant partie d’une structure sociale comme la terrestre, endommagée de multiples déformations, angoissée par les hallucinantes perspectives d’une guerre nucléaire, perplexe et désorientée devant le réseau emmélé d’idéologies philosophiques, religieuses et politico-économiques, recherchant dramatiquement les bras tendus dans les brumes d’un épais brouillard, PAIX et FÉLICITÉ spirituelle et physique sans jamais les rencontrer.
En tenant compte que vous, Professeur Sesma, appartenez à cette minorité de choix qui s’oriente vers les facteurs spirituels en devinant avec une fine sensibilité que seulement par eux l’homme atteindra son authentique liberté;
Il était logique que vous formuliez cette question trancendante:
SI VOUS LES HOMMES DE UMMO AVEZ ATTEINT UNE PHASE SCIENTIFIQUE DANS LAQUELLE LES FACTEURS ÂME ET ORGANISME PHYSIOLOGIQUE VOUS SONT EMPIRIQUEMENT ACCESSIBLES:
AVEZ-VOUS OBTENU UN MOYEN EFFICACE DE SUPPRIMER CES STADES D’ANXIÉTÉ EN ATTEIGNANT LE CHEMIN SUPRÊME POUR VOUS RETROUVER VOUS-MÊME SUR VOTRE ROUTE VERS WOA (DIEU) ?
De plus ; les questions transcendantes exigent des réponses complètes et laborieuses dans leurs énonciations. Nous désirons vous parler avec toute impartialité et objectivité scientifique et en nous efforçant d’employer des expressions qui vous sont accessibles. Nous demandons d’avance de nous excuser si au cours de notre exposé nous devons intégrer des récits marginaux ou intercaler diverses déclarations.
500 – UN RÉCIT DE FICTION.
La Terre traverse les années obscures du Moyen-Âge. Dans un endroit isolé arrive un astronef en mission d’investigation. Les équipages viennent d’une planète imaginaire (appelons là DELTA) où le développement scientifique a atteint niveau identique à celui que vous vivez en 1966.
Rapidement les savants voyageurs entrent en contact avec des frères monastiques, véritables gardiens de la culture, astrologues, alchimistes et médecins (physiciens comme on les dénommait à cette époque) et d’autres » sages » de l’époque.
Tout de suite leur est révélé le grand secret : certaines affections (dont ils ne connaissent pas l’étiologie : arthrites névralgiques, ovarites, trouble du grand sympathique) peuvent se soigner par le moyen d’un traitement mystérieux appelé DIATHERMIE par ONDES ULTRA COURTES. Et ils tentent d’expliquer les bases physiques d’un si merveilleux système.
L’affirmation de l’existence des champs électromagnétiques est véritablement surprenante. Les savants médiévaux se regardent entre eux, moitié amusés et moitiés méfiants. Quelles preuves apportent les blonds étrangers qui viennent peut-être des terres sauvages de Germanie?
Leurs sont présentés les bases mathématiques de la théorie du champ. Utilisant le langage de la Terre au XX è siècle ils parlent de l’Opérateur Nabla, de divergence d’un vecteur, de gradients de Potentiel, de Flux magnétique, tentant de rendre compréhensible le théorème de Stokes et les hypothèses de Maxwell.
Les étranges symboles que les visiteurs traduisent comme INTÉGRALE de, Rotation de, Différentiel de …
Impossible de digérer en quelques mois toute la base du calcul intégral et tensoriel… Avec quelle formation essayer de résoudre un système d’Equations Différentielles ?
Tout cet ensemble compliqué de nombre et des signes cabalistiques peut n’être qu’une simple fiction aussi ingénieuse qu’irréelle, inventé pour surprendre la bonne foi des érudits du Moyen Âge:
– Si les étrangers ne sont pas des imposteurs : ne serait-il pas possible de construire sous leur direction cette ingénieuse « machine » ?
Ils ont parlé d’un oscillateur générateur de hautes fréquences : ils ont montré quelques bizarres « peintures » où l’on voit un panneau plein d’étranges « manettes » et des câbles qui s’entrelacent avec des disques mystérieux.
Rapidement on se met à l’œuvre : il faut fabriquer des dispositifs nommés VALVES PENTODES. Mais où trouver un métal rare nommé Wolfram? et cet autre appelé THORIUM qui permettra de construire leurs cathodes ? Et le NICKEL nécessaire pour les grilles ?
Où trouver le verrier avec une grande expérience artisanale qui puisse fabriquer une ampoule de verre et ensuite y créer un vide poussé? Mais avant, qu’est-ce que le vide ? Et comment trouver dans toute l’Europe une industrie capable de fabriquer les milliers d’éléments qui interviennent dans cet engin ? : résistances, condensateurs, bobines, transformateurs… ? Et l’énergie pour la mettre en marche : ils disent que c’est l’électricité ? Ce fluide mystérieux qui fait sauter des étincelles d’un grand bâton de soufre frotté contre un drap? obtenir du 220 volts ? Que veulent-ils dire avec ce mot énigmatique : VOLTS ?
Les docteurs continuent en échangeant des regards d’intelligence : quel genre de bouffons sont ceux là qui prétendent savoir plus que la Médecine, l’Astrologie et l’Alchimie. … ils disent qu’ils sont descendus du ciel. Où sont les chariots de feu qui les ont transportés et les anges qui les ont guidés ?
Les astronautes présentent, angoissé, les feuilles chargées de signes cabalistiques, les renseignements concernant la vie de leur planète, où volent des appareils plus lourds que l’air, des machines qui se substituent à des milliers d’experts en calcul et où, sur des écrans, apparaissent les images mobiles des êtres humains.
Nous voulons des preuves : ! Réclament, hiératiques, les docteurs; Si vous dites posséder ce que vous appelez des Appareils de DIATHERMIE : vous avez ici une enclume, un fourneau, une scie, une hache. Construisez-le avec ces pièces de bois et de cuivre.
Paysans, artisans, soldats, la plèbe dans son ensemble assiste à la polémique. Quelqu’un demande et on l’informe : « des étrangers ensorcelés et fous qui assurent être descendu, en se décrochant de ces luminaires pendus au plafond céleste. Brûlons-les et divertissons-nous !!! »
Maintenant surgissent des allègres bouffons et jongleurs qui assurent avec une grimace doctorale venir du Soleil et de la Lune. Plus personne ne fait attention aux Pèlerins de l’espace.
Il est indubitablement facile de comprendre la morale de cette fiction. Cependant ces personnes qui acceptent intelligemment notre présence et peut-être celles d’autres habitants galactiques peuvent se sentir tentés de critiquer ouvertement les docteurs médiévaux de notre histoire. Il peut surgir un vague ressentiment, qui ne soit pas exempt de sarcasme. Une réaction méprisante contre les moines, les » savants « , la plèbe qui n’ont pas su voir dans ces hommes les hérauts du futur, les porte-voix d’une philosophie et d’une science plus avancée.
Cet ultime jugement, cependant, manque de toute objectivité scientifique. En effet : c’est en accord avec les lois les plus élémentaires de la psychologie sociale que les voyageurs fabuleux de notre histoire se sont opposés au scepticisme collectif. ET NOUS AFFIRMONS :
UNE TELLE RÉACTION CONTRAIRE EST NON SEULEMENT TOTALEMENT EXPLICABLE MAIS AUSSI JUSTIFIABLE ET NÉCESSAIRE dans l’ÉTAPE que traversait L’HUMANITÉ TERRESTRE à ce moment-là.
Ce qui est absurde, ce qui est risqué, ce qui aurait pu amener de graves troubles dans le processus évolutif de la civilisation, c’est d’assimiler trop vite des techniques, des principes et des bases scientifiques qui ne soient pas en adéquation avec la culture naissante de l’époque.
Nous parlons en termes statistiques, en sorte qu’une affirmation faisant référence à tout un ensemble d’OEMMII (GROUPE SOCIAL) peut ne pas être valable pour une seule personne ou un petit groupe. C’est-à-dire : si dans notre fable antérieure, quelques personnes d’une intelligence avancée avaient accepté discrètement la version des astronautes, on ne pourrait pas non plus les accuser de transformer les lois psychologiques qui régulent l’évolution humaine. Mais si ces mêmes personnes tentent de forcer leur milieu social, en agissant au nom de la vérité scientifique pour que soit accepté à contretemps un patrimoine culturel aussi avancé, elles commettraient la même erreur que si, au nom de la science, vous déposiez vous-même dans la main d’un enfant un récipient de nitroglycérine
Vous n’avez donc pas raison quant vous accusez les générations respectives de GALILÉE, DARWIN ou THEILLARD DE CHARDIN, entre autres, ou dans notre cas celles de DEEO 8, fils de DEEO 9 et IE 456, fille de NA 312, de n’avoir pas compris leurs idées en avance, les répudiant et leur jetant l’anathème. Le groupe social en agissant ainsi se défendait inconsciemment d’un risque, traumatisant pour son évolution, que suppose d’assimiler des techniques ou des idées, qui devaient être placés en un point plus avancé sur la flèche du TEMPS.
Bien que dans des prochains rapports nous éclaircirons ces principes, nous pouvons vous donner un exemple vécu par vous, en ce qui concerne les risques qu’entraînent une assimilation rapide d’une culture et ses conséquences funestes : Le Japon peut vous offrir des éléments d’étude et de méditation.
Ces explications préalables sur le thème que nous tentons de développer dans ce RAPPORT doivent servir au passage pour comprendre en partie la prudence que nous prenons à communiquer avec l’humanité terrestre.
Notre objectivité scientifique et la pureté de nos intentions nous empêchent de nous offenser du scepticisme justifié que les masses et les scientifiques eux-mêmes opposent à la réalité de notre existence parmi vous. Nous savons d’autre part qu’une révélation prudente à quelques-uns d’entre vous n’est pas nocive.
Pour ceux qui acceptent notre réalité: ne vous angoissez pas si vous observez des réactions d’indifférence concernant notre réalité et de moquerie, et n’accusez pas avec mépris votre prochain d’étroitesse mentale. Car : comment vous considérer alors comme porteur de la vérité si vous ne savez pas comprendre respectueusement les intimes motivations de vos semblables ?
Vous comprendrez que si nous étions intéressés par la publicité et la diffusion de nos idées nous aurions à notre disposition des moyens techniques pour nous faire connaître (de fait nous sommes connus des hautes sphères de certains Gouvernements).
Et soyez sûr que si des habitants d’une autre planète désirent vous faire du mal, ne croyez pas qu’ils utiliseraient des armes terrifiantes comme celles décrites dans les films de science-fiction, alors qu’ils leur suffiraient de vous révéler brusquement et avec de nombreuses preuves leur propre culture. L’effet perturbateur sur l’humanité terrestre actuel serait catastrophique.
500: LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.
Vous savez que le processus évolutif de l’humanité garde un étroit parallélisme avec le processus de croissance d’un enfant jusqu’à la période adulte. Une telle analogie n’est pas seulement accidentelle. A tel point que beaucoup de lois biogénétiques qui dirigent le comportement de l’individu, conforment aussi le comportement des groupes sociaux.
Dans les premiers stades de l’humanité ces hommes, à qui quelques années auparavant WOA (Dieu ou générateur) donna l’influence d’un être adimentionnel comme l’est le BUUAWAA (âme), cessent d’être de simples animaux anthropoïdes. Mais ils ne disposaient pas encore d’une structure neurocorticale aussi développée que celle que vous avez aujourd’hui.
Ces individus, comme l’enfant de peu de mois, commençaient à distinguer entre la reconnaissance de l’ÊTRE lui-même et la conscience du milieu ambiant qui les entourent. Devant cette scission (NdT: les psychanalystes diraient « clivage ») cognitive apparaissent automatiquement deux réactions :
TERREUR ET ANXIÉTÉ devant l’inconnu.
CURIOSITÉ ET AVIDITÉ INTERPRÉTATIVE.
Ces deux réponses ne sont pas simultanées, mais elles se développent peu à peu successivement en vertu de lois psycho-physiologiques dont nous connaissons les racines somatiques sur UMMO depuis très longtemps.
La première réaction qui poussait les premiers habitants humains à fuir le feu provoqué par une décharge électrostatique ou à adorer le soleil et les volcans était purement affective. Elle s’établissait sur le plan émotionnel (nous vous parlerons de cela quant nous traiterons la crainte, la douleur, le plaisir, le déplaisir, c’est-à-dire en somme les émotions). L’origine physiologique de cette sensation d’angoisse est provoquée simplement par la décompensation ou le déséquilibre au moment ou s’élaborent les premières perceptions dans les cerveaux, sans que n’existent dans les zones corticales de la mémoire de véritables réseaux d’images à leurs confronter (n’oubliez pas que lorsque nous percevons par exemple un ARBRE par notre sens visuel, automatiquement accède au champ de la conscience l’image conservée en mémoire d’un autre arbre, synthèse des perceptions accumulées antérieurement. La comparaison des deux : IMAGE RÉELLE et IMAGE ÉVOQUÉE, constitue la base du raisonnement) . Mais quand il n’existe pas dans une mémoire ce réseau complexe d’image de concepts archivés qui constitue le « substrat » de la connaissance, alors se produit toute une série de bouleversement neuronaux qui débouchera sur la sensation d’ANGOISSE ou de TERREUR.
Le premier pas pour comprendre ces forces inconnues, ces phénomènes inexplicables, pour ces cerveaux primitifs, et éluder ainsi la terreur qu’ils provoquaient, fut de les associer et de les confronter dans le champ de la conscience avec la pauvre gamme d’images emmagasiné dans leurs mémoires (animaux, hommes, objet connu ). Et c’est ainsi qu’ils personnifièrent la lune, les constellations et qu’ils identifièrent des phénomènes atmosphériques ou géologiques avec leur propre moi. Ceci était la conséquence d’un mécanisme de défense devant les perceptions qui provoquaient de telles réactions de terreur.
Mais lentement au cours des siècles s’accumule peu à peu dans la mémoire connaissances après connaissances, ce qui constitue le patrimoine culturel de la société et en même temps les habitudes ou réflexes conditionnés qui dans le fond sont des mécanismes neuronaux qui caractérisent ces connaissances-là, passant par la voie génétique de parent à enfant en constituant ce que vous appelez les INSTINCTS.
Vous pouvez observer vous-même que quant un UUGEE (enfant) naît de nos jours sa constitution corticale est totalement différente de celle des premières populations de UMMO ou de la TERRE. Dans les couches les plus profondes de sa mémoire BUUAWAMIESEE OA (SUBCONSCIENT) existent déjà quelques connaissances, qui pour avoir été communes aux centaines de générations passées, sont restées fixées génétiquement dans les chromosomes sexuels des parents, et se transmettent comme le reste de l’hérédité. Lui a aussi été légué, comme vous le savez, les réflexes conditionnés qui constituent à leur tour des réponses à tout autant d’autres connaissances (par exemple face à la reconnaissance ou perception du sein maternel, le réflexe conditionné de la succion).
Les hommes de nos générations ne sont donc pas comme leurs ancêtres avec une mémoire (CONSCIENTE ou INCONSCIENTE) nue ou vierge d’images à opposer ou confronter aux premières perceptions reçues. L’angoisse face à la méconnaissance s’atténue peu à peu et va aussi être substituée progressivement par la CURIOSITÉ, la RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.
Mais ce processus que vous vivez actuellement en période ascendante et nous en période descendante (la courbe adopte la forme suivante : voyez le dessin n° 1).
est fonction à son tour de multiples facteurs. Elle ne dépend pas seulement de la structure neuroencéphalique, même si évidemment pour un cortex cérébral ordonné d’une manière déficiente, bouleversée par des agents pathogènes, vicié par des pratiques antibiologiques ou changé par des mutations génétiques, il n’y a pas de doute qu’une telle évolution sera pénible et aberrante.
Nous croyons (et étant pour le moment en pleine étude nous nous abstenons de donner une réponse catégorique) que la société terrestre est endommagée non pas dans ses éléments constitutifs primaires, c’est-à-dire les cerveaux individuels, mais dans la structure de son AYUYISAA (RÉSEAU SOCIAL).
Nos spécialistes en psycho-sociologie de UMMO considèrent le groupe humain comme un cas particulier d’ AYUBAA (RÉSEAU). S’il y a parmi vous un mathématicien, un ingénieur en électricité ou un physicien, il vous expliquera qu’un RÉSEAU est une abstraction mathématique représentée (voir dessin 2) par un ensemble de points ou « NŒUDS », auxquels est associé un » POTENTIEL « , unis entre eux par une ou plusieurs lignes, branches ou « ARCS » auxquels est attribué un FLUX ou INTENSITÉ de sens orientés. Un exemple courant pour vous d’un RÉSEAU ou GRAPHE est le circuit d’un récepteur de télévision ou, plus compréhensible, les canalisations d’eau dans une ville. Les branches y seraient matérialisées par les tubes dans lesquels circulent des flux ou des débits de tant de litres par heure, et les nœuds par les embranchements correspondants, dont le potentiel associé ne serait autre que la pression de l’eau à ces points (images 3 et 4).
Sur UMMO nous avons créé toute une science ou théorie dénommée par AYUBAAEWAA. Les mathématiciens nous comprendrons si nous leur indiquons que c’est équivalent à ce qui est appelé par vous THÉORIE DES ENSEMBLES. Sauf que l’AYUBAAEWA étudie le comportement des ENSEMBLES INTERRELATIONNÉS ENTRE EUX (Vos théories des réseaux et théories des ensembles, modernes pour vous, sont de simples sections de cette étude généralisée.).
Une société se comporte comme un RÉSEAU que l’on peut donc représenter graphiquement (dessin 5) . Dans celui-ci les individus sont représentés par des nœuds et les divers types de relations qui les relient (RELATIONS DE CONSANGUINITÉ, de SUBORDINATION MENTALE, de COMMUNICATION VERBALE ou TÉLÉPATHIQUE, etc.) par des ARCS. Dans ce modèle mathématique de réseau si complexe, il faut dire que les élémentaires concepts de potentiel et de flux ont été remplacés par une grande gamme de paramètres psychométriques et sociométriques.
Donc : avant le moment d’analyser plus soigneusement le problème, nous vous informons préalablement que la grande défaillance de la SOCIÉTÉ sur la PLANÈTE TERRE repose sur la structure défectueuse des communications sociales. Dit d’une autre façon plus compréhensible pour les personnes qui ne sont pas versés en sociologie : le RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE soufre les conséquences des relations spirituelles mal orientées entre ses membres et d’une véritable indigence dans les moyens de communication sociale qui empêche ses membres de se comprendre et de s’identifier entre eux. C’est le milieu externe qui vous rends malheureux et non pas votre propre structure cérébrale.
D32
AELEWE
RAPPORT ACCESSOIRE
LANGUE: Espagnol
Nombre de copies : 1
18 Mars 1966
Professeur Fernando Sesma
Tout au long de nos documents nous avons été obligés d’utiliser indistinctement des modules et des unités tantôt de la Planète TERRE, tantôt de la Planète UMMO. Ces documents envoyés au Professeur SESMA MANZANO avaient rarement le caractère de TECHNIQUES mais plutôt de VULGARISATEURS. C’est pour cette raison que la gamme de grandeurs et d’unités utilisées est relativement réduite, en utilisant seulement celles concernant le TEMPS, MASSE, et LONGUEUR. C’est pourquoi nous jugeons que pour les profanes en PHYSIQUE, PSYCHOBIOLOGIE, COSMOLOGIE…leur donner par exemple la valeur de L’INTENSITÉ DU CHAMP MAGNÉTIQUE en OOXAII, leur servira très peu pour avoir une perspective fiable de la culture sur UMMO.
Tout au long de nos études réalisées sur TERRE nous avons distraitement assimilé de nouvelles expressions terrestres topiques pour vous mais surprenantes pour nous, et acquis de nouvelles habitudes communes aux vôtres. Il n’est pas rare que, parlant entre nous phonétiquement ou télépathiquement, nous nous surprenons à utiliser par inadvertance tel ou tel adjectif anglais ou espagnol, ou à utiliser l’unité MINUTE ou MÈTRE au lieu de l’UIW ou de l’ENMOO.
Par exemple, ceux, peu nombreux, qui ont habité en Espagne en passant de longs moments dans vos merveilleux musées et dans vos magnifiques magasins d’antiquités, emploient l’expression TONNE pour représenter MILLE KILOGRAMMES au lieu de notre expression MILLE DUUO (un DUUO équivaut à 1,7333 kilogrammes MASSE).
Nous vous indiquons cela pour vous avertir que l’unité TONNE n’existe pas sur UMMO. Ainsi quand dans un document nous vous disons que la MASSE d’UMMO est de 5,4.1021 TONNES, il faut faire la correspondance. Dans ce cas précis:
MASSE DE LA PLANETE UMMO: 9,36 x 10 24 Kilogrammes MASSE de la TERRE.
Il en est de même pour les JOURS et ANNÉES. Il faut supprimer toute équivoque à ce sujet. Sur UMMO nous utilisons le phonème XI ou SI (il est difficile de trouver les lettres appropriées) qui signifie CYCLE ROTATION ou RÉVOLUTION qui a une double acceptation. C’est-à-dire qu’il s’agit de ce que vous appelez un mot HOMOPHONE. Avec le mot « XI » ou « CSI » nous exprimons aussi bien la rotation d’UMMO sur son axe (UN JOUR) que celle par exemple d’une ROUE.
un « XI » = 600,0117 (S32-1) (environ six cent UIW)
un « XI » (jour d’UMMO) = 1855,2 minutes, c’est-à-dire à quelques 30,92 heures terrestres.
Sur UMMO nous divisons le CSI (JOUR) en UIW (1 uiw = 3,092 minutes) et il n’existe pas de divisons correspondant aux heures.
Avec le phonème « XEE », nous exprimons la DIX-HUITIÈME partie de l’intervalle de temps que mets la Planète UMMO pour faire un cycle complet en se déplaçant sur son orbite autour de l’astre IUMMA (que vous appelez selon vos tables astronomiques: WOLF 424). Nous ne sommes pas sûrs qu’il s’agisse de la même étoile, même si les caractéristiques et la position enregistrées par quelques observatoires terrestres coïncident d’une manière surprenante avec nos propres données. Mais dans d’autres tables, nous notons des différences sérieuses en ce qui concerne l’étoile WOLF 424 (voir les éléments de l’Observatoire de YERKES qui enregistre WOLF 424 comme une étoile naine proche de la constellation de la Vierge).
Jusqu’à maintenant, nous n’avons pas eu accès aux Observatoires terrestres pour comparer vos registres avec nos propres tables de coordonnées.
Vous ne pouvez avoir idée de la difficulté que représentent la confrontation et la vérification de l’identité des Astres enregistrés par vous et par nous. En occupant, nous, un autre emplacement dans la Galaxie, la perspective et les coordonnées relatives changent et c’est logique. C’est aussi le moins grave car il existe des formules de conversion et de translation d’axes qui facilitent la tâche.
Ce qui est plus grave, c’est que les distances estimées par vous pour de nombreuses étoiles en vous basant sur des techniques d’estimation sont imprécises; ce qui fait qu’avec des erreurs supérieures à 12% nous pouvons confondre avec des Astres voisins, ce qui rend impossible l’identification exacte.
Dans de nombreux cas, en ce qui concerne vos chiffres enregistrés dans différentes tables correspondant à autant d’Observatoires, on peut observer de nouvelles différences. Dans ces cas, tout en mesurant une nouvelle valeur établie en faisant une moyenne statistique en assignant un coefficient ou facteur de fiabilité pour chaque observatoire, les résultats sont faibles et inutilisables.
Le concept d’ANNÉE a pour nous un sens différent car il s’agit en réalité d’une fraction de l’intervalle de translation d’UMMO.
Un AN de UMMO (« XEE ») = 1:18 Temps de Translation.
Toutes ces considérations peuvent vous sembler secondaires, Professeur Fernando Sesma, si vous jugez plus importants des éléments concernant les descriptions de notre Monde aux concepts scientifico-techniques. Mais n’oubliez pas qu’une erreur de type mathématique, une conversion d’unités physiques mal interprétée, peuvent nous discréditer auprès des experts. Dans ce cas nous n’aurions aucun crédit auprès de ces gens. Le scepticisme de vos lecteurs serait totalement justifié car personne n’est obligé d’accepter des témoignages qui s’appuient sur des contradictions ou des affirmations dénuées du moindre aspect scientifique objectif. Sur cet aspect nous sommes très compréhensifs. Nous ne pouvons exiger que l’on nous croie sans apporter des preuves convaincantes.
En ce qui concerne et dans l’état actuel de notre existence sur TERRE, nous n’avons pas intérêt à nous faire connaître officiellement car cela pourrait provoquer de graves lésions à notre plan d’analyses et d’études de la Culture Terrestre et même nous pourrions craindre des réactions des masses actuellement peu préparées.
D33
AELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : I
23 MARS 1966
Professeur Fernando Sesma,
Madrid.
337: SPÉCULATIONS CONCERNANT LES RAISONS DE LA CRÉATION DE L’OEMMII (CORPS HUMAIN) AU SEIN DU WAAM (COSMOS).
Evidemment un thème aussi transcendant que l’existence de l’homme dans le WAAM (Univers) doit attirer notre attention.
Mais nous observons une différence notable entre les désirs spirituels de l’Humanité de UMMO et celle de OOYAGAA (ainsi nous dénommons votre Planète TERRE).
Notre pensée a toujours été guidée par une orientation qui a une vague analogie avec le Pragmatisme du Philosophe terrestre John Dewey. Nous mesurons toute connaissance avec une échelle dont le niveau le plus élevé est occupé par la fonctionnalité.
Ce qui est fonctionnel pour la philosophie de UMMO c’est qu’au début :
AIOOYA OEMII = L’HOMME EXISTE.
AIOOYA AMMIE WOA = DIEU EXISTE.
AIOOYA AMMIE BUUAWA = L’AME EXISTE.
Comme le « POURQUOI » ne nous est pas accessible, en utilisant les méthodes empirico-scientifiques, nous nous abstenons de dogmatiser.
Naturellement, nous spéculons comme vous les terrestres mais il y a une différence notable :
Quand l’un de vos penseurs développe une théorie philosophique surgit parallèlement une Ecole qui est suivie fanatiquement et avec un esprit critique rare, par des milliers et des milliers et même des millions de personnes en adhérant à sa doctrine, à ses postulats comme s’il s’agissait de vérités irréfutables.
Nous, au contraire, avant tout énoncé doctrinal, nous adoptons une douce et prudente posture UBOO (AGNOSTIQUE). Bien entendu cet agnosticisme n’arrive pas à juger, comme c’est le cas du vôtre, que WOA ne soit pas accessible d’une certaine manière et à un certain niveau à notre expérience scientifique.
NOUS CRÉEONS DES THÉORIES, MAIS NOUS NE SOMMES PAS ASSEZ INGÉNUS POUR LES CROIRE.
Apparemment une telle attitude paraît comporter une contradiction. Il semble stupide de développer une hypothèse pour ensuite la dédaigner.
En réalité, nous n’avons pas voulu exprimer cela : nous savons que de telles hypothèses peuvent se rapprocher de la vérité et, en fait, quelques fois elles coïncident avec elle. Nous démontrons qu’il peut y avoir au moins une explication (même si ensuite elle est différente de celle énoncée au départ) à certaines énigmes transcendantes ; et enfin de telles spéculations constituent dans le pire des cas une excellente gymnastique mentale qui, tôt ou tard, porte ses fruits.
Après ce préambule, nous vous informons qu’en effet, nous avons développé des hypothèses laborieuses pour nous expliquer l’existence de l’OEMMII dans le WAAM (Univers).
Comme il nous est difficile de les exprimer longuement, nous sommes obligés de les formuler en de brefs paragraphes même si une synthèse si limitée entraîne le risque de manquer de rigueur et de profondeur.
- CONCEPTION ANTROPOMORPHIQUE DE WOA (DIEU) : SES RISQUES.
Certains penseurs terrestres commettent fréquemment une erreur qui consiste à adopter, par inadvertance, une conception anthropomorphique de DIEU ou CRÉATEUR.
Quand de nombreux hommes de votre Planète sont angoissés en cherchant une explication transcendante à des questions du type :
POURQUOI DIEU TOLÈRE-T-IL LE MAL ?
QUELLE EST L’UTILITÉ POUR DIEU DE TELLE OU TELLE ACTION ?
Inconsciemment ils utilisent des verbes qui sont attribuables seulement à un AAiodi (ÊTRE) comme l’homme.
Imaginez un animal pensant fictif, qui en se référant à l’OEMII puisse se demander par exemple :
POURQUOI L’HOMME PLEUT ?
COMMENT EST CE QU’IL DIGÈRE ET MÉDITE LE PLATINE OU LE SOUFFRE ?
Ce phénomène psychologique de projection qui assigne des attributs humains à d’autres êtres est aussi commun chez vous que la tendance à attribuer la dimension TEMPS à BUUAWA ou WOA et cela constitue en plus une source d’effets aliénants c’est-à-dire de perturbations mentales car, ne pouvant pas trouver logiquement des réponses cohérentes à des questions si mal formulées, vous concluez en doutant de l’existence même de Dieu ou de l’Entité à qui vous attribuez cette fausse fonction en provoquant ainsi certains effets névrotiques d’anxiété.
Il est curieux de constater qu’après avoir assis les bases d’une Logique mathématique, vous utilisiez encore des sophismes aussi idiots.
- POSSIBILITÉS D’UNE FONCTION TRANSCENDANTE DE L’OEMII (HOMME) DANS L’UNIVERS.
Rappelons nous que l’une des fonctions de WOA est de CRÉER. Toutes ses idées qui ne sont pas incompatibles avec son ESSENCE doivent être EXCRETÉS, c’est-à-dire PRENDRE FORME, SE RÉALISER NÉCESSAIREMENT.
Quand nous notons l’hypothèse du WAAMWAAM (PLURICOSMOS), c’est parce que nous observons que dans notre UNIVERS et dans le UWAMM (COSMOS complémentaire de charge électrique inverse), il y a un nombre très réduit de possibilités d’existence EAAIODI GOO (ONTOLOGIQUES).
En effet : nous connaissons quelques unes des lois physiques et biologiques qui régissent notre univers mais : ces lois auraient-elles pu être énoncées sous une autre forme ? Si la réponse est positive, de telles lois existent dans un autre WAAM (UNIVERS).
Ainsi, si l’idée d’un ÊTRE adimensionnel et LIBRE, « mouleur » d’un autre ÊTRE dimensionnel n’est pas incompatible avec l’essence de WOA, un tel ÊTRE doit se CRÉER.
La génération de l’homme n’est donc pas motivée par des raisons « récréatives », par une envie de » diversion » de WOA pour pouvoir se distraire, en voyant comment nous nous débattons entre la douleur et la joie, comme de simples poupées entre ses mains.Une telle interprétation est infantiloïde et peut être qualifiée d’anthropomorphe.
Nous pouvons aussi poser une autre question : pourquoi nous a-t-il engendré sous cette forme ? Avec deux pieds, avec cette structure neurocorticale, avec ces tendances sexuelles et non avec d’autres ?
La question est captieuse car elle porte implicitement l’affirmation a-prioriste du fait que WOA SEUL a engendré des hommes avec une telle structure physiologique à l’encontre du principe énoncé dans le paragraphe précédent.
En effet, il est possible (et la connaissance empirique va dans ce sens) que dans notre WAAM (UNIVERS), et étant donné qu’ils sont adaptés aux lois biologiques qui y règnent, seulement nous, les ÊTRES HUMAINS (C’est-à-dire; ceux qui possèdent une BUUAWA: ÂME), ayons cette morphologie physiologique mais ceci n’est pas un obstacle pour que WOA n’ait pas engendré une multitude d’êtres divers LIBRES dans autant d’autres WAAM.
Nous abordons enfin le dernier point :
EXISTE-T-IL UN FONCTIONNALISME DE L’HOMME DANS LE COSMOS ?
C’est-à-dire: L’OEMMII accomplit-il une quelconque mission dans le WAAM ? on peut supposer qu’un tel fonctionnalisme peut coexister avec la nécessité de sa création. Pour essayer d’apporter une explication qui soit satisfaisante, nous ne devons pas oublier que les composants du WAAM (Univers) peuvent se diviser en deux catégories dimensionnelles.
MICROPHYSIQUES : jouissant du principe d’INDÉTERMINATION, c’est-à-dire non sujets à aucune loi.
MACROPHYSIQUES : sujets aux lois mathématico-statistiques qui régissent son inflexible DÉTERMINISME.
Une fois l’univers créé, comme continuum MASSE-ESPACE-TEMPS, Woa a deux moyens pour obtenir la modification de sa rigidité structurelle, son inflexibilité déterministe :
- A) EN MODIFIANT LES LOIS QUI LE RÉGISSENT. Nous pensons en toute logique que ceci pourrait impliquer une contradiction une fois que ces lois auront été énoncées pour un WAAM.
- B) EN CRÉANT DES ÊTRES LIBRES qui, en profitant de la liberté des éléments microphysiques, pourraient agir à travers eux sur les macrophysiques en rompant ainsi la soumission causale ou déterministe.
C’est de cette manière que WOA utiliserait l’homme comme facteur d’ACTION qui le lierait avec le WAAM créé par LUI. WOA dicte ses UAA (LOIS) et l’homme en les accomplissant agit comme lien entre LUI et le COSMOS.
Si l’homme ne les accomplit pas, l’harmonie est apparemment rompue en modifiant sa fonctionnalité dans l’AAIODIWOA (CRÉATION, ENSEMBLE DES ÊTRES DIMENSIONNELS ET ADIMENSIONNELS créés par WOA).
Dans ce cas, le BUUAWA, responsable d’une telle modification, doit rendre conforme sa structure spirituelle avec l’idée de WOA. Une telle mise en conformité reçoit de notre part le nom de CHATIMENT (PURGATOIRE pour vous) (AMMIEYIISAIA BUUAWA sur UMMO).
Nous avons des raisons pour estimer qu’en réalité les véritables raisons seraient beaucoup plus complexes et donc inaccessibles pour l’intellect limité de l’humain.
Les arguments développés servent cependant pour prouver qu’il existe AU MOINS UNE EXPLICATION à la transcendante inconnue de notre existence. Ainsi nous pouvons aller au devant de possibles objections matérialistes qui, en ne trouvant pas un côté plausible à cette EXISTENCE, prétendent brandir la carence des arguments comme preuve de l’inexistence de WOA.
NOTE 1
Dans un petit rapport nous vous développerons notre théorie concernant les prétendus facteurs inaccessibles par la science au sein des AAIODI (ENTITÉS ou ÊTRES) adimensionnels. Vous recevrez cette note immédiatement quand nous estimerons que vous avez eu le temps d’assimiler le présent RAPPORT.
DOCUMENT ACCESSOIRE.
A FERNANDO SESMA MANZANO
LANGUE : ESPAGNOL
N° DE COPIES : I
Nous répondons à l’une des questions :
337 LIBRE ARBITRE ET DÉTERMINISME.
Dans le document sur le BUUAWAA (esprit), page correspondant à la SECTION 337 « LIBERTÉ DANS L’ARBITRE DE L’HOMME » et pages et de la SECTION 337 « RESPONSABILITÉ DE L’HOMME DEVANT WOA », (Nous ne vous remettons pas les dernières pages, pour vous donner le temps d’étudier les pages antérieures et le reste des informations secondaires), il reste à répondre partiellement à votre question. Résumons donc et précisons l’explication.
L’OEMII (CORPS PHYSIQUE de l’HOMME) comme entité macrophysique qu’il est, respecte les mêmes lois physiques (toutes sans exception de nature statistique) que n’importe quel corps de la Nature comme peut l’être une roche.
Si vous tombez dans un précipice, le traumatisme (ou les lésions) provoquées dans votre système osseux, dans vos tissus cellulaires etc… est DÉTERMINÉ par des LOIS INFLEXIBLES. Nous disons avec raison que votre corps se comporte avec une finalité DÉTERMINISTE. Aussi DÉTERMINISTE que celle de la roche qui, en tombant, se fragmente en centaines de particules. (voir page de l’INFORMATION citée, section 337 – L’INTERACTION BUAWAA / OEMII, que nous n’avons pas encore remis)
Mais attention : il y a une grande différence entre un OEMMII (CORPS HUMAIN) et une roche. Et ce n’est pas précisément la complexité de son organisme car un ordinateur électronique est complexe aussi et il est cependant régi par des lois DÉTERMINISTES.
C’est que dans cette merveille d’organisme que WOA a créé, ce qui est l’OEMIII , ses millions de cellules compliquées, la multitude de ses organes, son réseau neuronal et artériel, ce mécanisme osseux parfait, tout en somme : PEUT ÊTRE CONTROLÉ PAR UN SEUL IBOAYA OU (QUANTUM D’ÉNERGIE) OU PAR UN SEUL ÉLECTRON. Il suffit de stimuler quelques neurones du cortex cérébral avec des tensions de 0,0004 microvolts pour provoquer d’énormes convulsions dans tout l’organisme.
Vous voyez donc comment une particule microphysique, infiniment petite, si petite qu’à son niveau la dimension longueur n’a pas de sens ni de signification, EST CAPABLE DE CONTROLER TOUT UN GRAND CORPS.(voir page du rapport rendu)
De plus, aussi bien les physiciens de la Terre que les cosmologues de UMMO, sont d’accord sur le fait que les Quantums d’énergie (comment vous les appelez)
NE SONT PAS RÉGIS PAR DES LOIS PHYSIQUES, C’EST-À-DIRE QUE SE RÉFÉRER À UN DÉTERMINISME DANS LA « CONDUITE » D’UN ÉLECTRON ORBITAL DANS UN ATOME LIBRE (PAR EXEMPLE) N’A PAS DE SENS CAR C’EST LE H A S A R D QUI INTERVIENT DANS CE CAS.
D’autre part, la conduite de l’homme qui PEUT à son tour et EN FAIT IL SE CONDITIONNE FRÉQUEMMENT au comportement LIBRE de ces QUANTUMS d’énergie, il PEUT ÊTRE, et DE FAIT SERA, LIBRE dans beaucoup de ses ACTES.
Dans les états d’hypnose, sous l’influence d’une invasion infectieuse, quand son système neurocortical est altéré par une affection nerveuse, dans les états de panique, d’inanition etc… il n’y a pas de doute que l’organisme est régi par des lois biologiques ou physiques.Dans ces cas donc:
SA CONDUITE EST DÉTERMINÉE et l’homme n’est ni LIBRE ni responsable de ses actes.
Mais dans de nombreux autres cas, le BUUAWA (ÂME) à l’aide d’un élément ou facteur microphysique comme l’un des ATOMES de KRYPTON qui constitue l’OEMBUUAW (TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME) (les paragraphes d’information sont contenus dans les pages peut régir la conduite de l’homme et à ce moment là, celui-ci est responsable devant WOA s’il transgresse ses UAA (LOI MORALE).
Il est très important, pour comprendre tout cela, de méditer sur le principe d’INDÉTERMINISME dans le comportement des facteurs microphysiques. Que se passerait-il par exemple si les QUANTUMS d’énergie étaient dominés par des lois rigides et inviolables ?
Alors le BUUAWAA (ÂME) serait incapable de les contrôler dans le cas du KRYPTON car ceci supposerait le viol des LOIS PHYSIQUES imposées par WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). Ainsi, l’âme ne pourrait pas contrôler le corps humain et, logiquement notre conduite serait DÉTERMINÉE par ces lois BIOLOGIQUES.
Le libre-arbitre serait alors une fiction une illusion. Mais nous venons de démontrer que celà ne se passait pas ainsi.
Il pourrait subsister un doute après avoir lu ce rapport car nous avons affirmé que dans le monde MICROPHYSIQUE règne le principe d’INDÉTERMINATION ou du HASARD, mais nous ne l’avons pas DÉMONTRÉ.
Ceci est dû au fait que sur la TERRE ce principe est déjà accepté en Physique Nucléaire et à un niveau élémentaire nous ne pouvons ajouter grand chose à une étude dont la théorie a été acceptée par les Terrestres.
L’un de vos physiciens, Werner Heisemberg formula, il y a longtemps, ce principe d’incertitude. Une telle théorie de Mécanique Quantique est partagée par nous sauf en ce qui concerne certaines petites erreurs de formulation et d’interprétation.
Quelquefois on nous demande des choses que les physiciens de la Terre connaissent déjà, aussi nous n’insisterons pas d’avantage sur ce thème.
Nous pensons que le jour où vous découvrirez ce troisième FACTEUR de l’homme, l’OEMBUUAW composé des atomes de krypton, vous comprendrez encore mieux l’admission du principe du LIBRE ARBITRE dans l’OEMII (corps).
AEELEWE
langue : espagnol
N° de copies : 1
DOCUMENT COMPLÉMENTAIRE.
Professeur Sesma Manzano
MADRID.
337 MANQUE DE PREUVES CONCERNANT L’EXISTENCE D’UNE ÂME CHEZ LES ÊTRES ORGANIQUES INFÉRIEURS.
En décrivant les relations entre BUUAWA (Âme) et OEMII (corps tétradimensionnel) on peut se poser les questions suivantes :
Comment avez-vous pu établir scientifiquement (c’est à dire par des moyens empiriques puis en établissant les lois correspondantes) l’existence du BUUAWA (AME) si celle-ci est ADIMENSIONNELLE et donc inaccessible au contrôle des instruments physiques les plus précis ?
Il y a sans doute parmi vous des personnes peu au fait au niveau de l’Astronomie qui pourraient poser une question similaire :
Comment peut-on connaître la distance des étoiles situées à des millions d’années-lumière si les possibilités trigonométriques par triangulation sont inefficaces pour ces énormes magnitudes ? Quels instruments physiques pourrait-on y envoyer pour mesurer leur masse, leur température, etc… ?
Un astronome terrestre aurait le sourire et vous indiquera que certaines étoiles (dénommées par vous CEPHEIDES) émettent un flux de lumière intermittente et ainsi l’intervalle entre deux maximums d’intensité est tel que son logarithme varie proportionnellement par rapport à son éclat et vous savez tous que la comparaison de l’éclat apparent et de l’éclat réel est la base d’estimation des distances stellaires.
La science valorise, évalue et estime toujours L’EXISTENCE D’UN FACTEUR en fonction des EFFETS qu’il produit
Donc, en l’année (année d’UMMO) 315 / 53750 , un scientifique biopsychologue NOI 3, fils de NOI 2, découvre la présence de quelques atomes isolés de gaz inerte KRYPTON dans l’encéphale.
Comme vous le savez, ce gaz ne se combine avec aucun autre corps ou élément chimique. La présence de celui-ci est donc étrange si l’on tient compte du fait que sa quantité était extrêmement réduite et qu’en explorant un échantillon statistique de cerveaux humains de personnes vivantes, de tels atomes se trouvent toujours situés dans la même zone et à la même profondeur dans l’HYPOTHALAMUS.
Il ne s’agit donc pas d’un phénomène aléatoire, c’est-à-dire fruit du hasard.
Un aide de NOI 3, le biologiste SOOIE 996, fils de SOOIE 993, commença immédiatement les travaux de recherche, en examinant la couronne électronique de ces atomes pour observer de possibles altérations quantiques provoqués par de probables transferts d’énergie .
Vous savez que tout noyau atomique est entouré d’un nuage d’électrons situés à différents niveaux d’énergie. (Voir le dessin ingénu qui le symbolise, image A).
A chaque niveau, la situation de chaque électron est une fonction de probabilité, c’est-à-dire du HASARD ; (souvenez-vous du principe d’INDÉTERMINATION ou d’INCERTITUDE).
Quand vos ouvrages décrivent un atome, ils symbolisent les différentes « COUCHES » ou NIVEAUX D’ÉNERGIE comme sur l’image B.
Sur UMMO, pour les enfants, nous utilisons la COMPARAISON suivante simple qui exprime mieux ce concept à ceux qui ne sont pas qualifiés en physique nucléaire.
Les ÉLECTRONS se déplacent autour du NOYAU comme les WIISIIO (insectes ressemblant aux fourmis terrestres) autour de l’orifice de leur terrier. Ces « FOURMIS » pullulent autour de leur nid sans ordre ni loi, dans les zones humides.
De temps en temps un insecte s’arrête brusquement et absorbe une goutte de rosée, gonflant son ventre (l’équivalent se produit dans le monde subatomique : un électron absorbe un IVOAAIA ou PHOTON, c’est-à-dire un « QUANTUM » D’ÉNERGIE et il change de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE).
Vous pouvez observer qu’en changeant de NIVEAU, il ne s’éloigne pas du NOYAU comme le laisseraient entendre les textes didactiques terrestres, il MODIFIE SON ETAT (en employant une autre comparaison : votre position sociale ou économique) en gagnant un peu plus d’ÉNERGIE. D’autres fois notre fourmi recrachera brusquement cette eau, en mincissant énormément, c’est à dire qu’elle RETOURNERA À SON primitif ÉTAT QUANTIQUE, tout comme elle ferait un saut en arrière au niveau de son ÉTAT SOCIAL.
Les électrons descendent aussi de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE en cédant ou en émettant un QUANTUM ou PHOTONS, nous disons alors que ce corps qui contient de tels atomes émet des radiations INFRAROUGES, LUMIÈRE CHROMATIQUE (filaments d’une lampe) ou des radiations ultraviolettes, entre autres.
La nuit 76 de l’année 315, SOOIE 996 était resté avec son subordonné spécialisé en XANMOO USII (ordinateurs) dans le grand laboratoire de l’ UNAWO OUDEE ANII (Université de biopathologie) de UUDEEXAA.
Le corps de GAA 1, fille de BIUA 4535, gisait dans une chambre conditionnée dans laquelle on avait éliminé de l’air, les minimes résidus de gaz DIIUYAA (KRYPTON) . Une série de sondes perforait son zone pariétale droite du crâne. Par supposition, bien qu’elle fut soumise à une phase d’anesthésie locale, le reste des mécanismes réflexes et conscients n’étaient pas inhibés.
Une série d’ AASNOOSAI (détecteurs ou enregistreurs de fonctions physiologiques) étaient répartis sur tout le corps nu de cette jeune fille.
GAA 1, fille de BIUA 4535, qui devait passer à la postérité de notre histoire de l’évolution scientifique grâce à cette expérience, appartenait au Peuple d’UMMO depuis qu’étant encore enfant (UUYIE) (elle avait 15 ans à ce moment là), elle avait électrocuté une jeune sœur en provoquant sa mort par fibrillation du cœur .
(Sur UMMO tout délinquant devient propriété du Peuple qui dispose de lui par l’intermédiaire de l’UMMOAELEWE )+(. La peine de mort n’existe pas. La responsabilité criminelle et la nature de la sanction pondérée en fonction d’un CODE LEGAL standard pour tout UMMO n’est pas l’œuvre d’un quelconque tribunal comme sur la Terre. C’est le réseau XANMMO ISOO AYUBAA (120 ordinateurs ou calculatrices automatiques) qui régule la structure socioculturelle d’UMMO.)
Généralement, le GEE ou la YIE (homme ou femme) qui sont délinquants sont présentés à une sélection d’habitants qui prennent possession d’eux symboliquement, et ils sont aussi dévêtus. La société d’UMMO les utilise pour diverses fonctions (expériences biologiques, travaux à de très grandes profondeurs, dans des endroits dangereux, etc…). Mais tous les moyens sont employés pour préserver leur vie ou les immuniser contre la douleur physique. Il n’est pas licite de réaliser sur eux des expériences que l’on peut considérer comme mortelles ou destructrices de leur intégrité physiologique. Quoiqu’il n’y ait pas de rémission de peine, les délinquants qui accumulent des mérites sont récompensés (en leur permettant par exemple d’annuler l’humiliante sanction de la nudité). Un intervalle journalier de 60 uiw (environ 180 minutes) est destiné à leur rééducation spirituelle et technique. Quiconque parmi nous justifie le besoin de vouloir utiliser leurs services, pour humiliants qu’ils soient, peut le faire mais ce droit est purement nominatif dans la pratique car la population YUUXAA UXII (PÉNALE) de UMMO est très réduite.
(VOUS COMPRENDREZ QUE CES INTERRUPTIONS CONTINUELLES DU DOCUMENT SONT NÉCESSAIRES CAR VOUS IGNOREZ EN GRANDE PARTIE LA NATURE DE NOTRE STRUCTURE SOCIALE OU CERTAINS ASPECTS SCIENTIFIQUES DU THÈME QUI EST EXPOSÉ.)
SOOIE 996 étudiait à ce moment là la couronne électronique d’un atome de DIUYAA (KRYPTON) situé sur l’écorce du troisième ventricule sous le thalamus de la YIE GAA 1, fille de BIUUA 4535.
Sur le GAA ONMAEI du XANMOO (écran visualisateur des chiffres fournis par l’ordinateur) apparaissaient des nombres ordonnés en colonnes , chacun de ces nombres reflétait la structure probabiliste de chaque électron en relation avec un autre pris en référence ; à chaque instant et avec une expression de temps « factorisé ». Vous diriez « à chambre lente ».
Quand un chiffre sautait dans une autre colonne, cela exprimait un SAUT IBOAAYANUUIO (quantique) à un autre niveau énergétique et ceci était la véritable finalité de l’étude de SOOIE 996.
L’heure est maintenant historiques sur UMMO : vers les 488 (uiw) (un jour d’ UMMO a environ 600 , approximativement 1855,2 minutes terrestres) de la nuit 76 de l’année de UMMO 315 de Notre Temps, SOOIE 996 fut paralysé par l’émotion. Il cessa de prêter attention à ces sauts QUANTIQUES et il ordonna à son aide de déconnecter l’écran de l’équipement détecteur pour mieux étudier les chiffres fixes qui apparaissaient sur celui-ci.
Bien que le principe puisse être attribué au hasard, ceci semblait incroyable. Les numéros de ces colonnes gardaient une relation de séquences, c’est à dire qu’ils semblaient être distribués harmonieusement selon une loi mathématique simple (fonction périodique).
Ces électrons, qui selon le principe d’incertitude devaient être situés dans leur niveau énergétique d’une manière désordonnée, comme les FOURMIS de notre exemple, paraissaient dépasser l’anarchie et réguler leur fonction probabiliste en rompant avec leur indéterminisme microphysique.
Ce dût être une impression aussi forte que celle que pourraient avoir les techniciens du projet « OZMA » si, à l’aide de leur radiotélescope, ils recevaient parmi les sauvages et inharmoniques trains d’ondes provenant d’une Galaxie, une séquence d’impulsions codifiées signe évident de VIE dans cet essaim stellaire.
Des scientifiques de tout UMMO accoururent aux laboratoires de UUUDEESA et les recherches continuèrent sous les ordres de NOI 3, fils de NOI 2. Car telle était l’importance de la découverte.
Les mouvements harmonieux des électrons périphériques de l’atome de KRYPTON coïncidaient avec les impulsions nerveuses émises par le cortex cérébral de la jeune fille expérimentée. C’est-à-dire avec les mouvements volontaires de ses bras, de ses pieds, de ses organes de phonation… et non pas avec les mouvements réflexes ou avec les impulsions émises par le système neurovégétatif.
Au début, et durant la première phase des recherches, on crut que ces mouvements codifiés dans l’écorce électronique du KRYPTON étaient conditionnés ; c’est à dire qu’ils étaient UN EFFET des neuro-impulsions émises par l’encéphale de l’Etre vivant, quoiqu’ils ne comprirent pas la fonctionnalité d’un tel code dans un atome isolé de gaz inerte.
Mais le jour 94 de l’année 315, se produisit une nouvelle découverte étonnante : ces mouvements harmonieux PRÉCÉDAIENT la conduite de la jeune fille en expérimentation !. C’est-à-dire qu’ils se produisaient avec une avance de 0,0000000755 uiw (autour d’un millionième de seconde) sur le reste des réactions neurophysiologiques de l’organisme.
C’était comme si ces électrons étaient l’âme de la jeune fille et qu’ils dictaient des ordres à son OEMMII (ORGANISME).
Mais ces électrons ne sont pas vivants. Imaginer cela serait aussi absurde que de croire que ces messages que pourraient recevoir les astronomes de la Planète Terre étaient crées par des émissions fonctionnant seules.
SI CES ÉLECTRONS NE SE MOUVAIENT PAS PAR HASARD, COMME D’HABITUDE, IL DEVAIT DONC EXISTER UN FACTEUR INDÉPENDANT QUI SOIT CAPABLE D’EXERCER UN CONTRÔLE SUR EUX.
Pour ne pas alourdir notre rapport, nous passerons sur le reste du processus qui précéda la vérification scientifique de l’existence du BUUAWAA (âme) grâce à la sensationnelle découverte du Troisième Facteur de l’homme OEMBUUAW composé, comme nous vous l’avons déjà indiqué, d’atomes isolés de DIIUYAA (KRYPTON).
Pour la première fois dans l’Histoire, l’existence d’une AME était confirmée et nos philosophes, tout comme ceux de la Terre, l’avaient suspectée, le DIVIN UMMOWOA nous avait confirmé son existence dans ses transcendantes révélations . Une fois de plus Religion et Sciences étaient en accord.
Comme vous pouvez l’imaginer, le champ d’expérimentation ne se limita pas exclusivement à l’homme ; il fut étendu à tous les êtres organiques unicellulaires et pluricellulaires, en analysant en plus tous les types de Virus et de composés organiques autoreproductibles.
Les résultats furent désolants. On arriva à détecter des atomes isolés de NÉON et XÉNON chez de nombreux êtres vivants, et quelques millions d’atomes de gaz HÉLIUM chez les animaux pourvus de structures nerveuses supérieures (aujourd’hui nous connaissons la fonction de l’hélium dans le cortex cérébral).
On eut des espoirs quand, dans l’année 376 de notre Temps, furent découverts des atomes de KRYPTON situés dans les mêmes points encéphaliques dans le cerveau de l’AAGA IEGOOSAAA (espèce d’animal anthropoïde d’UMMO qui ressemble au chimpanzé de la Planète Terre mais qui est en plus très intelligent.)
Mais les électrons de ces couches dans les atomes de KRYPTON bougeaient selon la fonction probabiliste habituelle dans tous les atomes de la Nature.
Aucune loi ou code n’avait été détecté.
Existe-t-il malgré tout une âme chez les êtres biologiques non humains ? Jusqu’à ce jour nous n’en avons pas la certitude et nous préférons nous abstenir de formuler des hypothèses.
De son côté UMMOWOA fit référence seulement au BUUAWOEMII (COUPLAGE DE L’ÂME AVEC L’ORGANISME HUMAIN).
Selon Lui, quand dans le processus évolutif des êtres vivants depuis l’apparition des premières molécules protéiques jusqu’à celle des êtres anthropoïdes sur UMMO, ceux-ci se développèrent jusqu’à atteindre une structure neurocérébrale si complexe que les premières manifestations d’intelligence animale développée y trouvèrent leur base, WOA fit contrôler ces OEMII par le BUUAWA (ÂME) et celle-ci fut responsable de leur conduite.
Jusqu’à maintenant la science a confirmé, comme d’habitude, ses divines paroles mais ce n’est pas parce que UMMOWOA n’en n’a pas parlé qu’elle n’existe pas. Le critère officiel des scientifiques d’UMMO sur ce sujet est imprégné de scepticisme.
337 DÉCOUVERTE DU BUUAWE BIAEI
Après les sensationnelles recherches concernant la fonction des atomes de krypton par NOI 3, fils de NOI 2, le processus de ces investigations fut accéléré.
Jusqu’à l’année 726 de notre Ère, on avait localisé 3 atomes actifs :
– deux étaient : AAXOO (émetteurs)
– un était : UAXOO (récepteur)
Les premiers envoient – convenablement codifiés – autant de messages que peut fournir le système nerveux Cortical. Toutes les images optiques, acoustiques, olfactives, reçues par les neurones connectés aux organes des sens, provenant des stimuli du monde extérieur, toutes les images emmagasinées dans la mémoire, tout le développement des processus mentaux qui se trouvent dans le Réseau neuronal du cortex cérébral que vous ne connaissez pas, appelés BIAMOAXII où se produit une réaction chimique exothermique qui, en libérant de la chaleur, excite l’état quantique d’un réseau d’atomes libres d’HÉLIUM.
En somme, il se produit quelque chose comme si se transmettait une espèce de code Morse jusqu’à un petit émetteur qui est l’HÉLIUM. Il se produit alors un effet cortical de résonance entre la couronne électronique des atomes d’Hélium et ceux de KRYPTON (1) et celui-ci à son tour transforme le code reçu en un autre aux caractéristiques semblables. (nous pourrions dire avec raison : INTELLIGIBLE pour LE BUUAWAA (ÂME)). Vous pouvez observer, en suivant l’exemple antérieur, que l’atome de KRYPTON assume les fonctions d’une espèce de RÉCEPTEUR de télévision ou de radio-diffusion qui reçoit et qui ÉMET à l’ÂME dans un langage que celle-ci est seule à connaître, quand cela se produit sur l’OEMII (HOMME) et dans le milieu qui l’entoure.
Les atomes UAXOO (CAPTEURS ET RÉCEPTEURS), au contraire, en suivant un processus inverse, envoient au corps humain une série d’instructions issues de l’âme. Elles sont du type de celles que découvrit NOI 3 en l’année 315. (Il faut observer que ce fut une chance qu’il se soit agi d’un atome récepteur UAXOO pour cette première découverte, c’est-à-dire que le code du nuage électronique précède les réactions de l’organisme – à l’inverse des émetteurs AAXOO – et ceci permit d’induire l’existence du BUUAWAA (ÂME), comme origine des mouvements électroniques harmoniques).
Nous répétons que le processus est inverse. Les messages du KRYPTON sont reçus par des millions d’atomes d’HÉLIUM et ce en modifiant leurs états IBOOAYA NUIO (QUANTIQUES) pour que ceux ci irradient un « QUANTUM » de fréquences inférieures à celles de la LUMIÈRE (RADIATION INFRAROUGE). A partir de là, un autre type de neuro-organes inconnus des physiologistes terrestres, travaillent sous une forme semblable aux couples thermoélectriques et transforment les messages thermomodulés en impulsions nerveuses canalisées par un réseau de Neurones. Ces neuro-organes recurent la dénomination phonétique sur Ummo de BIAEMOOXEA et étaient distribués dans les aires motrices des deux lobes frontaux, mais spécialement dans les aires situées derrière et sous le Grand Sillon Central.
Depuis l’année 903, les psychoneurologues d’UMMO étaient réellement surpris quand, en découvrant deux atomes de KRYPTON et en identifiant l’un d’eux comme AAXOO (émetteur) et l’autre présentant l’étrange particularité qu’aucune des activités somatiques de l’individu correspondait (PRÉCÉDANT ou ANTERIEUR) aux énigmatiques « MESSAGES » qu’il semblait recevoir ou émettre.
La joie fut indescriptible. Par la zone cérébrale où on localisa cet atome, les scientifiques crurent qu’il pouvait s’agir de transmissions de l’un ou de l’autre sens, provenant des couches inférieures de la conscience ou BUAWAAMIESEE OA (vous l’appellez SUBCONSCIENT). Peut-être grâce à cet atome notre âme était informée de la riche activité de notre vie psychique occulte.
Le jour 17 de l’année 925 (une année d’UMMO comporte soixante jours), YOEIM 77, fils de YOEIM 76, découvre un sixième atome de krypton localisé à une distance presque infinitésimale par rapport au précédent.
Six jours plus tard, YOEIM 77 avait sélectionné un échantillon statistique de 83 individus des deux sexes, pour appuyer la découverte. La stupeur du jeune neurologue (il avait alors 23,6 ans) fut immense quand, en repassant les bandes où apparaissaient les courbes graphiques de ces messages, il découvrit que deux d’entre eux étaient communs à tous les individus de l’échantillon. Un peu comme si l’âme dirigeait les mêmes instructions à TOUS les hommes où qu’elle recevait d’eux le même type d’informations.
Cette découverte mit quelques années avant d’être correctement interprétée. Les personnes étudiées étaient séparées par de nombreux KOOAE (1 KOOAE = 8,71 km) et on mesurait avec des XUU XAUIW USUIW (chronomètres isochrones de haute précision) les intervalles de temps que ces messages mettaient pour être reçus ou transmis.
Les résultats de ces études furent encore plus fantastiques :
– Les messages étaient reçus et transmis simultanément, quelque soit la distance où se trouvaient les deux personnes étudiées.
– Pour la première fois on vérifiait que les mouvements codifiés des électrons dans de tels atomes correspondaient exactement à la transmission télépathique.
– On découvre, contrairement à ce que l’on croyait, que la transmission télépathique est reçue simultanément par tous les êtres humains ; même si un mécanisme subconscient se charge de bloquer, c’est à dire d’empêcher le passage d’un message vers des personnes à qui il n’est pas destiné.
– même s’il n’existe pas de transmission télépathique CONSCIENTE, certaines fréquences (qu’à cette époque nous ne savions pas déchiffrer ou décoder) étaient reçues ou transmises simultanément à tous les hommes d’UMMO. De tels messages étaient emmagasinés dans ces zones de la mémoire, où, n’étant pas d’accès facile (sauf durant le sommeil, l’anesthésie totale, la catalepsie etc…) on les nommait BUUAWAAMIESEE OA (SUBCONSCIENT).
Ceci était si révolutionnaire (les premières recherches au niveau de la transmission télépathique avaient donné comme résultat qu’il faudrait un certain temps (quelques milli-UIW, un UIW = 3,092 minutes) avant de recevoir les messages ) que l’on crût durant longtemps qu’il s’agissait de radiations électromagnétiques comme celles de la lumière ou de la radiocommunication.
Comment pouvait-on expliquer cette différence ? Comment se faisait-il que dans l’une et l’autre étude, les différences de temps calculées étaient respectivement de zéro et de quelques déci-UIW ? La première recherche eut aussi une importance transcendante car elle permit de démontrer scientifiquement que le BUUAWAA (ÂME) et le BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) sont des entités indépendantes et qu’il serait aberrant de considérer la première comme une simple manifestation ou reflet de la seconde. L’énigme apparente fut résolue. Nous vous l’expliquerons plus loin. Pour l’instant nous pouvons indiquer que les recherches citées révélèrent l’existence d’un AAIODI (ENTITÉ OU ÊTRE) dont on n’avait encore jamais supposé l’existence sur UMMO. De nouveau un être ADIMENSIONNEL était découvert scientifiquement grâce à ses effets, comme l’avaient été antérieurement WOA (notre créateur) et BUUAWWA (âme).
- COMMENTAIRE À PROPOS DE LA STRUCTURE SOCIALE ET DE NOTRE PLAN D’INFORMATION. (NdT : Nous confirmons que ce chapitre, bien qu’il soit « codifié » « 500 », est bien inclu ici même dans l’original)
Vous observerez qu’apparemment nous avons dévié du thème central que constitue notre rapport actuel. Mais vous n’ ignorez pas qu’il est impossible d’exprimer des opinions sur des concepts inconnus ou sur lesquels on a une vague idée.
Si les problèmes sont profonds et difficiles à résoudre, c’est parce que leurs causes sont complexes et leurs interprétations coûteuses. Il sera difficile que vous attaquiez le mal à sa racine si vous ignorez la structure réelle de l’homme et le fonctionnement ses mécanismes psychologiques.
Nous allons vous donner à la suite un modèle primaire et élémentaire de cette structure, et pour cela nous sommes obligés d’inclure ces commentaires au BUUAWE BIAEI. Vous-mêmes avez conscience que jamais la médecine n’aurait réussi à attaquer de front les maladies infectieuses si vous n’aviez pas réussi à connaître la véritable nature des micro-organismes et virus.
Il est clair que n’étant pas vous-même technicien en la matière, nous nous verrons obligés de vous montrer ce modèle humain, d’une manière pédagogique et élémentaire, schématisé autant que possible en utilisant des symboles simples et abstraits, comme nous pourrions le faire dans les centres d’enseignement pour enfants sur UMMO.
Nous avons hésité cependant sur le fait qu’il serait convenable ou non de se servir de gravures et de dessins ingénus (que j’ai réalisé personnellement en employant crayon et papier de ceux que vous utilisez) pour représenter les concepts adimensionnels tel que BUAWWAA ou BUAWE E BIAEI (ÂME ET ESPRIT COLLECTIF) avec des graphiques tels qu’un cercle ou un petit nuage diffus. Ceux-ci d’un point de vue pédagogique est erronée et didactiquement il est interdit sur UMMO car les enfants courent le danger d’associer mentalement les concepts spirituels avec des formes dimensionnelles et avec le concept du temps. Mais vous d’une part vous êtes adultes et d’autre part habitués à des systèmes d’enseignement que, bien qu’aberrants, il serait trop tard de modifier.
Mon supérieur en Espagne me donna des instructions concrètes de comment vous esquisser ces images et ces explications et je désire qu’elles vous soient intelligibles. Dans certains cas j’ai pensé convenable de décrire des processus d’expliquer des concepts de types physiologiques bien que connus parfaitement par les actuels spécialistes en physiologie, en histologie et psychiatrie Terrestre, en supposant que certains d’entre vous les ignorent.
Ce n’est pas nécessaire de vous répéter qu’en réalité de tels processus et mécanismes psychologiques décrits sont bien plus compliqués que dans l’esquisse ingénue que nous vous présentons, mais malgré tout nous sommes certains qu’il vous serviront pour que s’explique en parti l’Énigme du Briquet et de la Pierre que nous vous symbolisions dans une comparaison. Afin que vous puissiez donc apprécier les possibilités qui subsistent de remettre une telle pierre à sa place.
Nous vous avertissons d’avance que la tâche de corriger l’humanité est cyclopéenne et vous est donc inaccessible, malgré ces révélations. Pour le moins pourront-elles vous servir pour augmenter votre culture et corriger en parti vos propres structures.
337 UNION DE TOUS LES HOMMES PAR L’INTERMÉDIAIRE DU BUUAWE BIAEI.
Voyons maintenant, dans un premier schéma élémentaire, comment sont interconnectés les quatre facteurs intégrants de la personnalité de deux êtres humains.
Un OEMII (corps) correspondant à l’homme N° 1, (S33-11) désire établir une communication télépathique avec l’OEMII IEN (CORPS HUMAIN « 2 »).
Analysons superficiellement le processus :
Il s’agit donc d’ un acte conscient . L »homme N° 1 à gauche sur la figure VEUT communiquer avec (CORPS N° 2). C’est le BUAWAA IAS (âme N° 1) qui exécute cet acte voulu. BUAWAA IAS est représenté par un ovale verdâtre
Un atome de krypton UAXOO IAS (récepteur n°1) représenté par , sphère jaune, capte l’ordre de l’âme et la transmet par des voies nerveuses et par certains organes neuro-corticaux (représentés par un axe rouge) à l’atome émetteur de krypton dont l’unique mission consiste à établir un lien d’union entre l’homme et le BUAWEE BIAEI (âme collective), représentée par un ovale gris .
Observons au passage que tout ce processus physiologique, dès que l’âme exprime son désir, et jusqu’à ce que le message arrive à l’atome , a nécessité un petit temps de l’ordre d’un milli-UIW par exemple.En effet : la conduite de l’impulsion nerveuse au travers des neurones n’est pas instantanée et certaines fois elle exige des temps supérieurs (les fibres nerveuses sans myéline sont conductrices à des vitesses de quelques 55 ENMOO/UIW, environ 6 décimètres par seconde).
L’âme collective reste « informée » de ce message et les transmet instantanément à l’homme n°2 qui capte le message grâce à un atome RÉCEPTEUR DE KRYPTON (UAXAOO IEN) .
Maintenant le processus est inverse. Les impulsions nerveuses de ce deuxième corps mettront 2 millièmes de UIW à l’intérieur de son cerveau pour arriver à l’atome AAXOO IEN (émetteur « 2 ») qui informe la Conscience sur ce MESSAGE RECU.
Voyez ; cette trompeuse apparence qui pourrait induire en erreur quand un scientifique ne réalise pas une soigneuse analyse exhaustive du phénomène. Le temps TOTAL que mit le message télépathique de la CONSCIENCE de l’homme n°1 à la CONSCIENCE de l’homme N°2 fut de 2 millièmes d’ UIW (dans notre exemple). Un chercheur peu perspicace peut alors croire que si les messages télépathiques durent un certain temps, ceci est dû peut-être au fait qu’ils se propagent à la vitesse de la lumière grâce à des ondes électromagnétiques, quand en réalité l’unique temps qui s’est écoulé est dû à la conduite nerveuse au sein de nos encéphales.
Vous pouvez rencontrer un exemple dans votre service de télégrammes. La communication électrique elle-même est presque instantanée entre deux villes; mais le temps qui s’est écoulé pour les messagers en envoyant et en recevant le télégramme nécessite quelques heures.
Le schéma que nous avons ébauché peut vous amener à extraire quelques conclusions substantielles sans nécessiter une étude plus profonde.
En premier lieu cela vous éclaire sur le fait de savoir pourquoi les scientifiques d’UMMO ont déterminé que l’âme BUUAWAA et l’AME COLLECTIVE sont deux entités indépendantes. Si la transmission télépathique requiert une voie de liaison chez l’homme (voie nerveuse) pour passer d’une âme à une autre, c’est parce que l’âme collective et l’âme individuelle sont deux entités indépendantes qui sont seulement unies par le lien du CORPS HUMAIN tant que celui-ci est en vie.
Imaginez un moment que cela ne soit pas ainsi et que, selon une nouvelle image, l’âme individuelle soit une « PARTICIPATION OU FRACTION » de l’âme collective (en oubliant l’aberration que constitue le fait de considérer le fractionnement d’une entité qui n’a pas de dimensions).Vous pourrez observer alors que la transmission télépathique se réaliserait exclusivement au sein du BUAWEE BIAEI (ESPRIT COLLECTIF), le temps total de la transmission serait de ZERO car l’encéphale de l’homme n’interviendrait absolument pas. Mais les choses ne se passent pas ainsi comme nous vous l’avons déjà expliqué.
337 NATURE INTIME DE L’ÂME COLLECTIVE.
On pourrait utiliser une comparaison pour représenter l’HUMANITE : un pot de sirop rempli de cerises. La pulpe de celles-ci, TOTALEMENT SÉPARÉE du jus commun par la fine peau, peut établir un contact avec d’autres fruits. Pulpe et peau symboliseraient l’AME et le CORPS.
Faites attention avec les métaphores. Ne tentez pas de tirer des conclusions à partir de celles ci, puisque la fonction est simplement pédagogique et il devient dangereux de juger qu’elles constituent en tous leurs aspects un fidèle reflet de la VÉRITÉ.
Quand nous traduisons notre vocable BUUAWE BIAEI, nous employons les mots espagnols ÂME COLLECTIVE parce que nous n’en trouvons pas d’autres meilleurs, mais ceci peut vous induire en erreur si vous pensez que cet AAIODI (ENTITE) est analogue à l’ ÂME INDIVIDUELLE. Il est très dangereux d’utiliser des vocables ressemblants pour exprimer des concepts hétérogènes, puisque les hommes de la Terre ont plus tendance à jouer avec les mots qu’avec les concepts. (Ainsi chez beaucoup d’écoliers espagnols, nous avons observé que kilogramme-poids et kilogramme-masse étaient lamentablement confondus).
Le (BUUAWE Biaei) n’engendre pas librement des idées, comme l’âme individuelle. De telles idées existent, oui, en LUI depuis sa création par WOA.
La nature de ces idées est réduite au Concept Universel de ce qui doit constituer une société humaine idéale. Il existe des lois psychosociales établies pour notre WAAM (COSMOS) par WOA (DIEU) et le dépositaire des idées de telles lois, qui englobent les normes évolutives de la Société humaine, est précisément BUUAWE BIAEI qui, en même temps, agit comme MOYEN (NdT : média) ou LIEN adimensionnel entre les OEMII comme l’air agit parmi vous comme moyen (NdT : média) élastique de transmission acoustique.
BUUAWE BIAEI n’est donc pas responsable de ses fonctions. Il n’a pas de véritable CONSCIENCE comme nous l’entendons dans l’AME INDIVIDUELLE et il ne pourra pas être sanctionné par WOA car il ne peut transgresser des lois qu’il accomplit fidèlement ; nous dirions FATALEMENT.
Enoncer avec le langage philosophique approprié la nature réelle du BUUAWE BIAEI serait ennuyeux pour certaines personnes non préparées. Nous utiliserons donc des images et des comparaisons simples.
Supposez que votre niveau de civilisation sur la Terre soit arrivé à un tel stade qu’à PARIS par exemple, se soit monté un gigantesque ordinateur (CERVEAU ÉLECTRONIQUE) semblable à notre Réseau de XANMOO sur UMMO et capable d’emmagasiner des millions d’informations concernant votre vie quotidienne. Cette magnifique machine aurait reçu à la fois des instructions programmées par divers spécialistes en sociologie. Sa propre unité de calcul combinerait ces instructions ou lois mathématiques sociométriques avec les informations reçues de votre part et elle déterminerait à chaque moment ce que doivent faire tous les hommes de la Terre pour que la Société évolue d’une manière heureuse.
Dans chaque endroit des cinq continents il y aurait un micro et un haut-parleur connectés par des câbles à l’ordinateur central. Chacun de vous, grâce au micro, donnerait des informations sur la tournure que prend votre vie. De plus vous pourriez utiliser le micro pour communiquer avec un parent qui réside dans un autre pays.
D’autre part, le haut parleur répéterait constamment et en rabâchant, les instructions qui vous sont exclusivement destinées : comment se comporter, que manger, pour qui doit-on voter et quand doit-on voyager. (bien sûr ces instructions obéiraient à un Plan préconçu par le cerveau électronique, dans un cadre universel). Il est vrai que vous serez toujours libre de passer outre à de tels ordres. Mais comme vous ne pourrez jamais déconnecter le haut-parleur et que, d’autre part sa voix tenace est si persuasive, vous finirez par faire souvent cas de ce qu’il vous suggère.
Vous avez ainsi une grossière image de notre âme collective. Elle agit comme un énorme coordinateur de l’humanité, programmé au préalable par DIEU pour que, sans nous supprimer la liberté d’action, notre conduite sociale soit orientée.
Quand un atome de KRYPTON UAXOO (RÉCEPTEUR) correspondant à l’OEMBUUAW, reçoit des instructions de BUUAWAA (l’âme), son acte de volonté se réalise nécessairement à moins que les voies nerveuses ne soient bloquées par une drogue, un agent pathogène ou un obstacle extérieur.
Par contre un atome de krypton, qui nous lie à l’âme collective, peut recevoir un autre type d’instruction (d’ailleurs nos scientifiques ont observé les mouvements codifiée de vos électrons, un tel message provenant du BUUAWE BIAEI) sans que l’organisme ne réagisse immédiatement à ces instructions.
Il existe des cas pathologiques, maladies mentales dont l’étiologie réside principalement sur le fait que la conduite suit fidèlement les impératifs du BUAWEE BIAEI, les voies nerveuses qui relient vos aires motrices corticales avec la véritable conscience étant bloquée.
Mais en général c’est le contraire. Une fraction très petite de notre conduite dans la vie quotidienne est conditionnée par les messages reçus DIRECTEMENT par l’âme collective.
Observez que nous disons DIRECTEMENT. En effet, les instructions reçues, bien qu’elles ne soient pas motrices, c’est-à-dire bien que les voies nerveuses ne les transforment pas en mouvements musculaires, s’emmagasinent dans la mémoire, du côté de BIEYAE YUEO DOO (ORGANES DE LA MÉMOIRE). Elles correspondent aux images du champ de la conscience d’accès difficile (c’est-à-dire le SUBCONSCIENT).
Il peut arriver que vous alliez dans un magasin et, sélectionnant entre deux chapeaux ou plus, vous croyez qu’un tel choix est conscient quand en réalité ce choix est induit par d’occultes motivations fournies des mois auparavant par l’âme collective.
Nous vous exprimons d’une manière superficielle une importante caractéristique de l’Ame collective : imaginez que notre ordinateur universel de Paris soit en train de recueillir des faits sur la vie de tous les citoyens pendant vingt-quatre heures. Cette information est encore insuffisante. Elle ne peut être digérée par l’ordinateur, il ne peut déduire des lois statistiques universelles, ou des normes profitables, pour obtenir une information suffisante. De la même manière, si vous avez une usine par exemple, vous ne pourrez réaliser un bilan si vos comptables n’ont pas recueilli tous les éléments nécessaires. Ce matériel informatif accumulé sauvagement dans les unités « mémoire » de l’ordinateur, pourrait être infiltré et être irradié à cause des haut-parleurs, en induisant les citoyens dans l’erreur.
Il se produit quelque chose de semblable avec l’ÂME COLLECTIVE. Toutes les instructions où messages reçus ne sont pas parfaitement logiques et pures comme les idées émanant de WOA Au contraire la majorité provient de cet amas (encore mal digéré) de milliers de conduites humaines, dans le moment que nous vivons. Nous ne pouvons donc pas avoir des normes de conduite élaborées et exactes sauf de la Société de nos ancêtres car là, nous en possédons tous les éléments.
(Pour un historien, cela pourrait ressembler à ce que, quand il vous parle de l’Empire d’Alexandre le Grand, il se réfère à cette période avec une totale objectivité et probité scientifique, alors qu’en parlant de la guerre civile Espagnole de 1936 à 1939 il se passionnera, en déformant la vérité).
Nous allons prendre un véritable exemple : Vous avez tous connu ou vécu un quelconque moment de terreur ou panique collective quand au cours d’un tragique incendie de cinéma ou d’un bombardement, les masses sont conduites par une norme standard qui les pousse à exécuter des actions qui sont identiques pour tous les composants du groupe.
A ces moments là, l’unique moteur de vos conduites est le BUUAWEE BIAEI. Sauf cas exceptionnels, la conduite consciente et responsable est bloquée et sans aucun doute la véritable conduite est sauvage et aberrante. Ici, l’âme collective est en train de dicter des messages qui ont comme seul « substrat » logique la loi de conservation qui régit les êtres biologiques.
D’autres fois, l’âme collective canalise des messages impératifs , des idées volitives des composants d’un groupe. En réalité, quand quelqu’un parmi vous désire quelque chose (une voiture, la domination sur une personne déterminée, un bien-être physique etc… , de tels désirs sont codifiés et envoyés à travers tous les éléments du DIIUYA AAXOO (KRYPTON ÉMETTEUR) à la BUAWEE BIAEI avec diverses intensités. Tous les membres de la Société recevront (si l’intensité émise atteint un certain seuil) ces messages mais si 100 % des cerveaux bloquent de tels messages, ceux-ci n’accèdent pas à la conscience des autres hommes.
Mais sous certaines conditions, que nous expliquerons plus loin, une ou plusieurs personnes ont leur structure neurocérébrale conditionnée de manière telle qu’à cet instant ils peuvent recevoir ce message. Selon la forme avec laquelle est canalisée une telle information codifiée, c’est-à-dire selon la manière dont s’oriente le champ de la conscience de l’autre individu ou, au contraire, s’il est dévié par les voies nerveuses afférentes qui activent les zones corticales motrices, nous parlerons alors de Transmission T élépathique ou de suggestion par HYPNOSE selon le cas.
337 : LA COMMUNICATION TÉLÉPATHIQUE.
Il est possible que certains d’entre vous n’aient pas les idées claires sur notre moyen de communication.
Les UUGEE et UUYIE (adolescents garçons et filles) d’UMMO perdent vers l’âge de 15 ans (terrestres) la faculté de s’exprimer acoustiquement par atrophie et sclérose des organes de phonation dans un pourcentage de 92,36 % de la population totale. Pour les autres personnes l’atrophie arrive à l’âge adulte.
Ainsi, vers 75 ans terrestres l’individu qui peut encore s’exprimer phonétiquement est extrêmement rare.
Mais cette sclérose n’est pas absolue. Les muscles peuvent encore être innervés faiblement et les vibrations obtenues, si faibles que soient les possibilités de les capter grâce à notre ouïe, peuvent être amplifiées par deux moyens. L’un d’eux, déjà ancien, consistait en un microphone amplificateur qui s’applique sur la gorge. Actuellement on met sur le larynx un transducteur du volume d’une lentille (grâce à une simple opération chirurgicale à l’âge de deux ans).
Ce petit amplificateur-émetteur n’irradie aucun faible champ radio-électromagnétique. Il module simplement un champ magnétique de faible intensité. Un second amplificateur pourvu de haut-parleur (nos haut-parleurs ne sont pas du type membrane vibrante), de taille et de format semblables à une gomme, émet les sons reçus avec une intensité et une fidélité extraordinaire.
La réponse de nos amplificateurs est parfaitement plane. Si la qualité du son est déficiente, ceci est dû à ce que notre organe de phonation n’est pas capable de générer plus qu’une gamme de fréquences très restreinte. Les graves et les harmoniques ne sont pas émis et c’est pourquoi le timbre de la voix est trés inférieur au vôtre, les terrestres.
Depuis longtemps, par conséquent, dans nos relations sociales nous nous exprimons (quoique artificiellement) dans le langage oral. Il est révolu de milliers d’ANNEES UMMO le temps où les parents devaient communiquer avec leurs enfants au moyen de mouvements de paupières « codifiés ».
Notre communication télépathique ne consiste pas à pouvoir « voir » ce qui arrive dans une autre ville en fermant simplement les yeux. Cette idée est puérile. De même qu’à un moment donné nous pouvons lire les pensées d’un autre frère à mille KOOAE. De tels concepts stéréotypés ont seulement une base réelle très faible.
Sauf en de rares occasions ou exceptions, nous n’utilisons la télépathie qu’avec des personnes situées à de grandes distances. Ceci a une explication simple : la transmission est laborieuse et nécessite un certain effort mental.
Le processus pour la communication avec des personnes dont je connais l’identité se déroule ainsi :
Au début je dois atteindre un niveau conscient très bas en ce qui concerne les stimulations de l’extérieur (lumières, sons, odeurs, etc…). Les sensations doivent se produire d’une manière subliminale. Nous voulons dire qu’il faut obtenir un état cataleptique artificiel en utilisant la voie autosuggestive.
L’utilisation continue de cette pratique, favorisée génétiquement par de nombreuses générations qui l’ont pratiqué sur UMMO, permet que cette auto-hypnose et le processus qui suit se réalisent très rapidement en régulant par un mécanisme réflexe l’intervalle de temps nécessaire pour sa réalisation. Ainsi quand le sujet conclut celle-ci, il peut atteindre de nouveau l’état de CONSCIENCE concernant les stimulations du milieu externe, comme d’habitude.
Mais il faut dire que cet état cataleptique spécial suppose un blocage temporel des voies afférentes qui connectent le cortex cérébral avec les organes des sens externes et propriocepteurs. Je veux dire par là qu’au contraire de ce qui arrive dans l’état WOIWOI (onirique ou de rêve), ou dans certaines situations WOIWOI EEAEE d’hypnose, la OESEE OA (NdT : ou EESEE OA ?) (CONSCIENCE) NE descend pas à de bas niveaux du subconscient. Au contraire, les processus mentaux supérieurs (RAISONNEMENT, PENSEE…) continuent normalement avec l’avantage que les images de la mémoire accèdent, avec plus de netteté, au champ de la CONSCIENCE.
Il se produit maintenant un phénomène physiologique qui n’existe que très rarement volontairement chez les hommes de la terre. (AVANT DE POURSUIVRE PLUS AVANT il conviendrait pour ceux qui ne sont pas très initiés en physiologie de lire la NOTE 5) (NdT : Note 5 introuvable)
Il y a dans l’encéphale deux organes essentiels pour la transmission télépathique. En réalité il s’agit d’un réseau neuronal, double, dont les connexions avec la mémoire et le champ de la conscience sont normalement inhibées, neutralisées. Au moyen d’une succession de synapses peut s’établir la connexion du ISIAGEE IA (organe que vous ne connaissez pas) avec les zones accessibles de l’encéphale.
La stimulation de ces synapses est un problème d’adaptation et même d’hérédité. Il n’y a pas de raisons pour que vous, les terrestres dont la morphologie physiologique corticale est la même que la nôtre, ne puissiez pas arriver à établir ces connexions ou synapses.
Il se produit dans cette zone cérébrale deux types d’impulsions : un peu comme s’il s’agissait de deux émetteurs. Si quelqu’un parmi vous est technicien en télévision, i l comprendra mieux si on les compare avec les signaux que vous appelez IMAGE et SYNCHRONISME. Les premières portent, convenablement codifiées, les impulsions nerveuses que nous appelons BUUAWE BIEE, chacune d’elles durant 0,0001385 seconde. Elles constituent une espèce de message télégraphique qui est envoyé grâce à l’un des atomes de Krypton que nous appelons BUUA XUU (psysphère).
Le second groupe de signaux, qui sont aussi codifiés, se caractérise par le fait que le temps des impulsions est plus long : 0,006385 seconde.
Quelle est la fonction du premier signal émis ? Porter facilement le contenu verbal de notre message, les paroles qui expriment les idées que nous désirons faire arriver jusqu’à notre interlocuteur situé à une grande distance de nous. Mais ce message est capté par tous les hommes de UMMO (nous répétons que les cas de télépathie enregistrés par vous confirment que le phénomène est identique pour les humains de la Terre).
Comment se fait-il qu’une seule personne soit capable d’interpréter un tel message et avoir conscience qu’il lui est dirigé, uniquement à lui ? Le second groupe d’impulsions nous apporte la réponse.
Le code employé pour identifier une personne ne diffère pas beaucoup de celui que nous employons, nous et vous, dans la vie réelle. Ainsi, comme le nom UGAA 4, fils de YODEE 347, est associé mentalement à un individu déterminé, une séquence de nombres binaires, envoyée sous forme d’impulsions, servira pour distinguer spécialement la personne réceptrice du message.
Imaginez un million de coffres-forts répartis sur tout votre pays. Chacun d’eux peut seulement s’ouvrir qu’à l’aide d’une combinaison de six chiffres et sous la surveillance d’autant de gardiens.
A l’intérieur de ces coffres il y a la clef pour l’interprétation d’un quelconque message codifié qui est reçu.
Vous envoyez maintenant une lettre chiffrée qui peut seulement se lire avec l’aide de clefs cryptographiques enfermées dans les coffres. Envoyez un million de copies à tous les gardiens avec une seule indication sur l’enveloppe par exemple 763.559. Seul le destinataire dont le chiffre du mécanisme d’ouverture du coffre coïncide avec ce nombre pourra l’ouvrir et connaître le contenu du message.
L’exemple est bien choisi car précisément la sélection d’une personne s’obtient par un mécanisme physiologique semblable à celui des coffres-forts terrestres (sur UMMO ils n’existent pas). et un réseau de neurones établit des connexions synaptiques ou des déconnexions en fonction d’une séquence chiffrée d’impulsions binaires qui représentent, pas six comme dans l’exemple, mais tout près de 1700 chiffres.
Nous vous disions que la transmission télépathique était verbale. Cependant on est arrivé à transmettre consciemment des images visuelles, olfactives et tactiles qui, dans des circonstances normales sont des phénomènes provoqués seulement dans certains cas de perturbation mentale transitoire ou en période cataleptique pure. Les expériences dans ce sens sont rares parmi nous et nous nous trouvons face à elles dans la même position que vous face à la transmission télépathique normale. Nous n’écartons pas le fait qu’une quelconque civilisation galactique ou extragalactique qui nous soit inconnue, ait pu grâce à son évolution psychophysiologique, atteindre ce rêve (rare pour nous) et pour lequel nos UNNIEYO (neurologues) travaillent activement.
Pour terminer ce rapport sur la transmission télépathique, nous vous indiquerons que les lésions provoquées par nécrose de certains groupes de neuronnes donnent lieu au fait que le malade ne peut émettre correctement la série d’impulsions qui sélectionne la personne à qui est adressé le message. Il émet au contraire une grande gamme sauvage et désordonnée de signaux qui affectent des millions de personnes. Un peu comme si dans notre exemple, les enveloppes avaient non pas un nombre, mais plusieurs centaines de milliers. Les gardiens qui pourraient ouvrir les coffres seraient alors très nombreux. Nous avons découvert trois processus pour neutraliser ces malades qui, à l’aube de notre humanité causèrent d’hallucinants dégâts qui empêchèrent son évolution.
- LE BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) ET LES HOMMES DE LA TERRE.
Vous vous demandez si le groupe humain terrestre possède ce coordinateur spirituel que nous appelons BUUAWE BIAEI.
Indubitablement nous commettrions, à l’instant où nous l’affirmons, la même erreur que vous commettez presque tous les jours en appuyant vos raisonnements sur des affirmations gratuites. Nous n’avons pas sur la Terre les moyens de recherche dont nous disposons sur UMMO. Notre projet initial d’emporter sur notre planète douze individus d’origine terrestre et de mentalité développée fut sanctionné négativement par l’UMMOAELEWE , non seulement pour des raisons morales, mais aussi pour des raisons d’un autre ordre que nous ne pouvons vous révéler. Nous nous trouvons donc ce petit au groupe avancé sur votre planète, comme des naufragés sur une île déserte, qui, au moment d’analyser certaines roches de structure cristalline particulière, ne pourraient même pas déterminer son indice de radioactivité faute d’un compteur Geiger.
Vous ne pouvez pas vous faire idée du secret dans lequel nous devons mener nos investigations et études, en nous mélangeant parmi vous, nous faisant passer en Espagne pour des étrangers, avec de faux passeports, en veillant avec soin aux milles détails qui nous identifient à des personnes terrestres normales. C’est vrai que maintenant ont disparu les angoissants problèmes dérivés de la totale méconnaissance de votre langue. Quand arrivent de temps en temps de nouveaux renforts sur la Terre, les voyageurs sont préalablement formés dans nos centres avec la connaissance d’une ou de deux langues minimum (en général anglais et russe). Mais cependant, le manque de moyens nous empêche de réaliser certaines études surtout au sein de certains domaines scientifiques.
Par exemple : sur le terrain de la psychologie, il nous coûte un travail énorme pour sélectionner les échantillons statistiques nécessaires pour la recherche. Nous ne pouvons pas nous fier aux évaluations réalisées par les centres officiels et à leurs statistiques, parce qu ‘ils font apparaître un indice de fiabilité très bas. Le pire ce n’est pas que les marges d’erreur soient grandes, ce qui est grave c’est que les marges ne sont même pas connues. Même en employant une technique mathématique comme celle des échantillons statistiques que nous avons abandonné il y a plus de 2000 ans sur UMMO, nous obtenons des résultats fiables..
Avec cette perspective que nous vous exposons, vous jugerez que quant nous parlerons de vous, nous le ferons sur un plan de simple hypothèse, basée sur nos propres connaissances et expériences, mais sans pouvoir appuyer nos jugements par des démonstrations scientifiques.
Nous estimons donc que nous ne croyons pas qu’il existe entre vous des incompatibilités sérieuses pour réussir des transmissions télépathiques normales. De source privée, il s’impose à nous que l’ Union Soviétique est en train de réaliser des expériences pour les futures transmissions télépathiques avec les équipages des vaisseaux spatiaux, qui empêcherait l’ennemi de les intercepter, et vous connaissez tous les expériences réalisées par le Pentagone Nord-américain, quand fut mis en service le Nautilus premier sous-marin Nucléaire.
Les seules études réalisées par nous en Australie en 1962, ont catégoriquement échoué dans la tentative d’établir une communication télépathique avec vous. Mais jusqu’à présent nous n’avons pas entrepris aucun programme tendant à démontrer que ce que vous appelez PERCEPTION EXTRA SENSORIELLE. Nous devons nous fier (avec les réserves qui s’imposent) à vos investigations parapsychologiques.
Nous connaissons d’une manière certaine les résultats globaux de ces études et elles nous permettent de déduire qu’effectivement existe un BUUAWEE BIAEI ou ÂME COLLECTIVE entre vous. Vous pourriez nous objecter que peut-être il existe plusieurs BUUAWE BIAEI associés aux différents groupes raciaux. Nous ne croyons pas plausible ce point de vue pour la simple raison que nous CONSTATONS que tout le noyau humain de la Terre est issu d’un même phylum anthropoïde. Les différences morphologiques comme la pigmentation de la peau, les structures crâniennes, etc., sont dues à des modifications génétiques provoquées postérieurement par des mutations vérifiées, dans les organes génitaux de quelques hommes et femmes, à une période terrestre ancienne.
L’atmosphère de la Terre offre une faible protection par certains effets secondaires de ce que nous appelons fréquences IBOONEE (RAYONS COSMIQUES). De ce fait la probabilité que se génèrent de nouveaux êtres vivants, de nouvelles espèces, par mutations génétiques, est plus importante que sur UMMO. Ainsi s’explique sur notre planète le nombre d’espèces dans le champ BAAYIODOUII (FAUNE – FLORE) soit prés de 20% plus faible que chez vous, et que notre groupe humain n’accuse pas la présence de véritables races.
Ce que vous ignorez en plus c’est que cette protection atmosphérique a été plus faible dans les premiers stades de la Terre. Et ce qui est plus grave : précisément pendant le Permien et pendant le Pléistocène (cette dernière est l’époque de l’apparition de l’Homo sapiens pendant laquelle votre système solaire a subi une intense activité de radiations cosmiques, provenant du centre de notre galaxie). Notre planète a aussi subi d’intenses radiations, comme le prouvent les traces URIEWOO UYIEXAA, dans quelques roches (minerais d’oxyde de césium). Cette technique qui nous permet de déterminer la densité de radiations cosmiques à des époques antérieures, n’est pas connue par vous.
Donc : le plus probable, c’est que ces mutations se réalisent précisément sur les structures chromosomiques des êtres humains, coïncidant avec cette énorme augmentation de l’activité radio cosmique.
Il existe donc sans aucun doute une âme collective, et nous nous risquons à spéculer que celle-ci est commune pour vous tous. Nous savons qu’une telle affirmation déplaira à certaines mentalités d’un fanatisme raciste reconnu, mais la science ne peut être identifiée à des préjugés rageurs, et surtout quand ceux-ci sont éloignés de toute argumentation logique. Nous croyons qu’aussi bien le matérialisme dialectique marxiste que l’église catholique romaine sont dans la vérité quand ils postulent leur doctrine antiraciste en partant de cette prémisse engendrée par le fait que les différences entre les races terrestres ne sont que secondaires.
Vous pourriez aussi penser que si les humains terrestres ne peuvent réaliser facilement certaines fonctions comme la transmission télépathique, c’est parce qu’ils ont souffert d’un processus d’atrophie des zones encéphaliques, correspondantes au mécanisme décrit, de même que les hommes d’UMMO souffrent d’une sclérose des organes de phonation. Nous reconnaissons que nous n’avons pas assez d’éléments pour proposer une contestation cohérente. Nous pensons néanmoins le contraire. Ne vous étant pas préoccupés d’utiliser cette faculté, les réflexes nerveux ou synaptiques nécessaires ne se sont pas développés.
D34
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 8
Madame REGINA SENDRAS GONZALVO
MADRID.
Madame,
Nous avons déjà eu l’occasion de nous mettre en contact avec vous, après votre aimable et gentille autorisation de vous soumettre à un test psychologique. En vérité, nous pouvons vous assurer que votre inestimable offre est véritablement précieuse pour nous.
Peut-être n’est il pas important pour vous de comprendre l’importance de telles épreuves qui possèdent malgré tout un intérêt indubitable même si des personnes peu expérimentées dans les techniques psychométriques affirment le contraire.
Ne pensez pas qu’il s’agisse de quelque chose de magique ou d’ésotérique. Les résultats du test, s’ils sont sincères et si vous avez fidèlement suivi les instructions, peuvent être mesurés soigneusement pour obtenir des éléments importants qui reflètent la psychologie de la personne examinée.
Il est inutile de vous préciser que tout le protocole du test et que ses résultats seront maintenus absolument secrets. Même la référence de la personne, son nom et son domicile ne seront pas enregistrés. Nos sommes en train de réaliser une analyse sociologique de la différenciation des sexes dans la société terrestre et ce qui importe ce sont les données et non les personnes concrètes. Nous vous supplions de suivre fidèlement ces INSTRUCTIONS.
1°) nous avons ajouté une feuille de papier avec trois gravures numérotées avec les signes signes ( ) = 1; () = 2 et () = 3, vous pouvez observer que sur la droite de la feuille existent autant d’autres grilles ou carrés blancs.
2°) dans une pièce de votre domicile, une fois SEULE et sans bruits perturbateurs, regardez chaque gravure pendant CINQ MINUTES, une par une en cachant les autres avec un feuillet. Après avoir regardé le premier pendant cette durée, (MONTRE PROCHE) écrivez dans la grille de droite CE QUE VOUS SUGGÈRE UNE TELLE IMAGE. Vous pouvez l’exprimer en peu de mots ou terminer la grille et prendre une autre feuille. Répéter cette opération avec les autres deux images (EN CACHANT TOUJOURS LES AUTRES DESSINS). N’essayez pas de forcer la description et ne vous efforcez pas non plus à l’exprimer d’une manière littéraire. LA SPONTANÉITÉ EST INDISPENSABLE.
3°) Bientôt nous vous appellerons par téléphone, et après vous avoir demandé si vous avez terminé le test, nous racrocherons pour vous laisser le temps de chercher le papier. Peu après,nous vous rappellerons. Et VOUS MÊME vous lirez en CITANT le N° de la GRAVURE, ce que vous avez écrit sur la même image, AVEC UNE VOIX CLAIRE et en MODULANT la voix tout en essayant de le lire RAPIDEMENT.
D36
UMMOAELEWE
M. SESMA MANZANO
Nombre de copies : 2
Monsieur,
Nous avons des informations concernant les critiques que vous nous avez adressé au sujet d’une possible erreur qui se trouverait dans la lettre circulaire envoyée au mois de Mai à de nombreuses personnes de nationalité espagnole.
Les paragraphes en question disaient textuellement:
– Magnitude visuelle absolue : 14,3
– Magnitude visuelle apparente : elle se réduira sûrement à cause de l’interposition d’un grand nuage de poussières cosmiques qui se trouve à 3,682 parsec, mais elle sera comprise entre 12 et 13 et donc ne sera visible par vous qu’avec des moyens photographiques.
Ces faits font référence à notre astre IUMMA tel que nous estimons qu’il serait vu depuis la Terre.
Nous vous supplions de nous indiquer la véritable nature de notre erreur. Nous nous efforçons de traduire nos propres concepts et unités physiques dans votre langue et nous reconnaissons par ce fait la possibilité d’avoir fait une erreur mais dans ce cas concret, nous avouons ne pas pouvoir en trouver.
Nous allons résumer les idées que nous avons concernant les méthodes des astronomes terrestres d’évaluation des magnitudes des Astres. Si de tels critères ont été mal compris par nous, nous comprendrons alors pourquoi nous aurions commis une erreur dans les paragraphes en question.
Vous appelez MAGNITUDE APPARENTE la brillance (l’éclat) observé visuellement par un observateur situé sur la planète Terre. Le nombre attribué à chaque magnitude est inversement proportionnel à l’intensité lumineuse perçue. D’un astre à peine perceptible par des moyens photographiques vous direz par exemple qu’il est de magnitude 21, alors qu’une étoile brillante sera classée en première ou seconde magnitude.
Ce critère est différent sur UMMO où aussi bien les magnitudes apparentes que les réelles, sont mesurées par ordre croissant et non en fonction de la sensation (qui suppose une échelle logarithmique) et elles sont donc mesurées en fonction de la véritable intensité lumineuse qui sera ainsi directement proportionnelle à la magnitude mesurée.
Vous évaluez la magnitude visuelle absolue d’une manière conventionnelle en la définissant comme « l’éclat avec lequel vous percevez l’étoile », vous en tant qu’observateur toujours situé à une distance constante de 32,57 années-lumière (10 parsecs).
Ce dernier point est très important car si un astre est éloigné de nous de moins de 32,57 années-lumière, sa magnitude apparente sera plus grande que sa magnitude absolue. Et c’est le cas de notre IUMMA dont la distance par rapport à vous est de 14, 4371 années-lumière (distance apparente).
Sa magnitude apparente sera supérieure (autour de 12) à la magnitude visuelle absolue (autour de 14,3) comme si on la voyait à une distance plus grande (32,57 années-lumière).
Donc, comme à une distance de notre système planétaire (calculée à 3,682 parsec, quelques 12 années-lumière), nous avons découvert en direction de notre IUMMA un immense nuage statique de poussière cosmique, il est probable que l’absorption exercée par cette masse réduise encore d’avantage l’éclat que vous observez (c’est-à-dire sa magnitude apparente). C’est pour cette raison que nous vous disions qu’elle serait comprise entre 12 et 13 (n’oublions pas que le nombre qui exprime la magnitude s’élève graduellement au fur et à mesure que se réduit l’éclat appréciable avec les yeux).
Nous continuons donc à ne pas comprendre où nous avons pu faire une erreur. Peut-être en lisant rapidement le document, vous avez pu comprendre que la magnitude se « réduisait » de 14,3 à 12 ou 13,2 dans ce cas le verbe se « réduire » serait mal employé car alors la magnitude serait de 15 ou 16.
L’erreur consisterait à mélanger ou confondre deux mesures aussi hétérogènes que magnitude visuelle absolue et magnitude visuelle apparente. Nous, nous appliquons le verbe RÉDUIRE à la seconde.
Quoique maintenant nous soyons sûrs de ne pas commettre de lapsus, nous désirons vous indiquer que l’image véritable de notre personnalité serait déformée si vous surestimiez excessivement notre intelligence et nos capacités mentales. Nous ne pensons pas être supérieurs aux Terrestres, sauf au niveau de notre culture qui est plus développée car plus ancienne. S’il vous plait, ne nous prenez pas pour des dieux. Nous pouvons nous tromper comme vous, même si nos habitudes, transformées en de véritables réflexes conditionnés, nous protègent de la tendance si répandue chez vous de juger à la légère sans examen préalable ou analyse.
Nous vous répétons donc que quelque soit la qualité de l’assimilation des Langues et Cultures Terrestres, et en tenant compte aussi du fait que de nombreux concepts physiques et philosophiques sont différents s’ils sont exprimés par nous, il ne serait pas extraordinaire que nous commettions des lapsus ou erreurs. Nous vous prions donc humblement de nous pardonner pour les désagréments que cela pourrait vous occasionner.
Dans une lettre précédante envoyée à Monsieur Sesma, nous indiquions le véritable sens que nous donnons au verbe EXISTER. Si quelquefois, par habitude mentale, nous écrivons que WOA (DIEU) N’EXISTE PAS, une personne qui ne connaîtrait pas nos coutumes donnerait à nos paroles, traduites en langage terrestre, un mode textuel mais non conceptuel et un sens totalement ABERRANT.
D37
AELEWE (comité) de UMMO sur la planète TERRE.
INFORMATION 127 / 2
Nombre de copies distribuées : 35
LANGUES : Anglais, Russe, Allemand, Ydish, Français, Espagnol, Roumain, Bengali.
DISTRIBUTION DE CE DOCUMENT :
Angleterre : 3
Union Soviétique : 6
Belgique : 2
France : 5
Etats Unis : 8
Espagne : 3
Israel : 1
Roumanie : 1
Australie : 3
Inde : 1
Allemagne : 2
(Adapté aux caractéristiques horaires Espagnoles).
En date (ESPAGNE) du six février 1966 est arrivé sur la planète TERRE trois autres de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (astronefs) de type OMWEA UMMO occupés chacun par huit techniciens avec la capacité de quatre voyageurs de plus.
Les contacts avec l’orographie terrestre eurent lieu aux points suivants:
2 CAMARADES aux environs d’Erivan, à 6 km de la rivière Araks, Territoire Soviétique. 18 h 47 mn (heure espagnole).
2 CAMARADES aux environs de Madrid, Espagne à 20 h 02 mn (idem).
3 CAMARADES aux environs de Townsville (Queensland) Territoire Australien à 22 h 45 mn (heure espagnole).
Les réactions terrestres enregistrées par notre Service de Détection et d’information ont été les suivantes :
U.R.S.S. Document secret dirigé par les autorités d’Erivan à l’Académie Soviétique des Sciences en se basant sur le témoignage de divers paysans, un photographe de presse qui put photographier notre vaisseau et deux ingénieurs en service à la base radar d’Ivenopra qui furent témoins oculaires de notre arrivée. La presse soviétique a passé cet incident sous silence.
ESPAGNE. Différentes personnes des villes de Casilda des Bustos, Aluche (Quartier C) et de la colonie d’aviation furent témoins de notre arrivée. Les organismes officiels de la Capitale Espagnole accusèrent réception les 6 et 7 février d’une multitude de demandes d’explication du phénomène observé et une note secrète fut envoyée au ministère de l’Air par l’aéroclub. La presse publia de vagues informations avec des descriptions naives de la part des témoins.
AUSTRALIE. La police fédérale et une commission de la Section géologique de l’université de Brisbane présents sur la colline de Worth où un couple de paysans observaient « un inquiétant phénomène météorologique » (selon leur propre expression). Deux journaux publièrent des nouvelles brèves annonçant la chute d’un grand aérolithe.
Cet UMMOAELEWE OAE TERROEWAEN communique officiellement aux destinataires de ce document que la mission ordonnée à ce nouveau groupe de camarades de UMMO sous les ordres du gouvernement de UMMO )+( est identique à la nôtre: une mission purement d’étude et d’analyse au moment où la Terre obtient de nouveaux succés dans l’exploration du Cosmos.
AELEWE (comité) de UMMO sur la planète Terre.
INFORMATION 127/ 3 EXTRA
(Seulement pour l’Espagne)
DISTRIBUTION DE CE RAPPORT : 3 copies.
Nous désirons contester confidentiellement et seulement pour nos « croyants » les nouvelles déformées parues dans quelques journaux au sujet de l’arrivée de l’un de nos vaisseaux OAWOOLEA UEWA OEMM que la presse mondiale appelle depuis quelques années Soucoupes Volantes.
DOCUMENT CONFIDENTIEL
A 20 heures 01 minute et 56 secondes (heure espagnole) (85369,244 ( uiw) à partir du temps zéro compté depuis leur départ de UMMO, eut lieu dans le OAWOOLEA oemm OMWEA UMMO 56 , contact avec la lithosphère terrestre dans un terrain proche de l’autoroute qui relie la station de chemin de fer métropolitain d’Aluche avec le quartier de Casilda de Bustos (Madrid).
Notre vaisseau a les caractéristiques suivantes :Section circulaire de base : diamètre extérieur égal à 7,1 (enmoo) soit 13,177 mètres.
Section transversale lenticuliforme avec une hauteur de 4,28 mètres à partir de la côte zéro (sol).
Il est pourvu de trois pieds extensibles et élastiques avec des panneaux rectangulaires d’appui transformables en sphèroïdes pour la stabilisation sur des fluides de basse densité.
La version proposée par un témoin qui décrit la section de base comme un triangle aux côtés curvilignes n’a donc pas de fondement ( elle est due à une illusion d’optique).
Un autre témoin dit qu’en son centre apparait une tuyère de forme irrégulière que le journal « informations de Madrid » du 9 février interprète à l’aide d’un dessin grossier. Cette tuyère n’existe pas car notre système de propulsion n’utilise pas la réaction des gaz expulsés par un turboréacteur. Le spectateur a simplement confondu notre graphisme qui se lit, traduit en espagnol, « CONSEIL GENERAL DE UMMO )+( « , avec un orifice de sortie des gaz.
Une personne de la colonie d’aviation a vu un de nos camarades se déshabiller car il voulait revêtir des vêtements en usage dans le pays et ceci a donné lieu à un incident désagréable. Nous formulons des excuses car notre norme a toujours été de respecter le code éthique de chaque nation. N’importe quelle personne intelligente comprendra d’autre part le caractère forcé de cette situation.
Notre OAWW oolea OEMM s’éleva à 20 h 02 minutes et 54,5 secondes HEURE ESPAGNOLE à destination de UMMO.
NOTE (1)
La transcription de nos dénominations est très difficile à faire. Nous avons adopté comme d’habitude l’écriture avec des graphismes terrestres (pour ce cas précis en simulant l’orthographe espagnole) et les vocables qui à notre avis ont la plus grande similitude avec nos phonèmes acoustiques correspondants car il est impossible de traduire le code télépatique que nous employons entre nous (jusqu’à ce jour, tous les essais pour communiquer télépathiquement avec vous ont échoué).
NOTE (2)
L’unité de temps de UMMO est l’UIW qui se définit comme le temps qui s’écoule jusqu’à ce que la masse de l’isotope C du Thorium (WAEELE WIE VOAT) se réduise de moitié. Un UIW équivaut à 3,0921 minutes (pour faciliter les calculs traduire par 3 minutes).
NOTE (3)
L’unité de longueur de UMMO est le ENMOO qui se définit comme 126 (douze puissance six) fois la longueur d’onde du faisceau de radiation émis par la galaxie OAA TAS . Un EMOO équivaut à 1,873658 mètres.
D38
UMMOAELEWE
Langue: espagnol
- D. Fernando Sesma
ESPAGNE
Monsieur Sesma Manzano,
Vous nous avez adressé une CRITIQUE, concernant un fait antérieur, qui pourrait être mal interprété et provoquer par conséquent des attitudes réticentes et des soupçons injustifiés.
Nous vous supplions d’inviter Mr Gran (Enrique) pour confronter sa version avec la nôtre. Nous avons confiance en l’honorabilité de ce monsieur ainsi qu’en son esprit objectif et sans doute cela sanctionnera par sa réponse la véracité de notre rapport.
Vous insinuez, M. Sesma Manzano, en invoquant votre esprit critique, que notre invitation à M. Gran pour une entrevue directe avec un de nos frères « ÉTAIT UNE CARTE FACILE A JOUER » (c’est votre expression) car :
« PAR UNE NUIT ORAGEUSE, IL N’ÉTAIT PAS PENSABLE QU’UNE PERSONNE S’AVENTURE À ALLER DANS UNE CAFÉTERIA POUR ASSISTER ENSUITE EN PLEINS CHAMP À UNE ENTREVUE AVEC UN INCONNU « .
Monsieur Sesma :
Quand au milieu d’affirmations exactes on intercale, même sans malice et par inadvertance, certaines inexactitudes, ON PEUT COMMETTRE UN GRAVE PRÉJUDICE QUAND, COMME C’EST LE CAS ICI, LA VERSION DEMEURE FORTEMENT POLARISÉE.
Le fait le plus anodin et le plus aseptisé peut se transformer en sensationnel en permutant certains mots. Le témoignage le plus favorable envers une personne ou entité sociale, peut devenir une grave accusation en variant légèrement la modulation de la voix.
Nous constatons que cette fois-ci vous n’avez pas agi avec malice ni désir de nous porter tort. Nous ne vous accusons pas et nous ne nous sentons pas offensés. Nous invoquons seulement le droit de nous défendre.
Pour cette raison nous vous demandons solennellement que:
1) vous lisiez cette version à Mr Gran Enrique, Rue Conde de Penaver n°20, tel : 2751673, Madrid.
2) vous invitiez M. Gran à l’une de vos réunions de la société des Amis de l’Espace.
3) vous lisiez devant les gens présents ce document en omettant l’adresse de Monsieur Gran si celui-ci exprime le désir pour des raisons personnelles.
4) nous supplions Mr Gran de relater, à son tour, les faits selon son propre point de vue en réfutant objectivement les points qu’il estime en conscience être en désaccord avec vous et nous.
5) si, malgré tout, Mr Gran est en désaccord avec notre version en ce qui le concerne, NOUS, RESPECTUEUSEMENT, ET MALGRÉ QUE NOUS NOUS SENTIONS BLESSÉS PAR CE QUE NOUS JUGERONS ÊTRE UNE INJUSTICE, nous demanderions quand même que l’on prête un grand crédit à ses déclarations et nous acceptons par avance son arbitrage.
VERSION OFFICIELLE DE LA SECTION ESPAGNOLE DE LA DÉLEGATION DU UMMOAELEWE SUR AYOUUDA OOYAGAA
En date du 6 février 1966 (année terrestre) se posa non loin de la route qui relie la ville d’Aluche à la colonie de Casilda de Bustos, (Madrid), l’un de nos OAWOOLEEA UEWA OEMM (astronef).
En descendirent deux de nos frères avec pour destination ultérieure notre section de la république du Chili.
Notre chef de la section espagnole, Dei 98, fils de Dei 97, et l’un de nos frères d’Amérique du Sud, GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540 (venu exprès de Bolivie) attendaient les voyageurs dans un véhicule de tourisme garé dans les environs.
Nos frères du vaisseau qui avaient reçu des instructions complètes (dictées par ordre de notre conseil sur la Planète Terre) posèrent, en descendant du vaisseau, dispersées dans la zone encadrée par les traces du véhicule, des capsules contenant une suspension colloïdale de graphite dans du méthanol où l’on avait introduit des lamelles enroulées contenant un double message.
Ces lamelles, couleur vert cendre, sont en AOXIBOO AGOODAA (il conviendrait que M. Sesma montre l’exemplaire qu’il a en sa possession). Il s’agit d’un composé que vous ne connaissez pas, mais quelques exemplaires sont tombés entre les mains des Gouvernements Soviétique, Anglais, Australien, des Etats-Unis, et de Bolivie.
Vous pouvez remarquer que sa ressemblance avec les plastiques terrestres normaux est seulement apparente. Il offre une grande résistance à la traction (vous pouvez en avoir la preuve en essayant de le déchirer avec les mains) et il résiste à l’action dissolvante de nombreux agents chimiques. Il a en plus l’extraordinaire qualité de pouvoir se radioactiver en émettant, après son excitation, des impulsions simples codées (par exemple une fréquence de 40 impulsions/seconde) dans une radiation GAMMA de longueur d’onde 0,036 Angstrom (nous ajoutons un échantillon que Mr Sesma pourra conserver).
Ce message avait été préparé, avec des inscriptions dans notre langue en les activant comme nous vous l’avons indiqué au paragraphe précédent (avec une fréquence secrète) et avec une période d’activité très réduite (quelques 70 jours, ensuite la radioactivité résiduelle est presque imperceptible).
Nous attendions que les Services techniques de l’Administration du Gouvernement Espagnol envoient ses spécialistes sur le lieu de l’atterrissage pour prendre ces capsules, comme cela s’est effectivement produit dans d’autres pays. En ce qui nous concerne, nous disposons d’appareils sensibles : UAXOO IBOAYAA (DÉTECTEURS DE RADIATIONS) sur Terre qui nous permettent de suivre pas à pas la situation exacte de ces messages pendant leur période radioactive. Nous aurions pu ainsi contrôler les manipulations subies par ces documents à leur passage dans les différents laboratoires et organismes.
Mais cela ne se déroula pas ainsi : la zone d’atterrissage ne fut pas délimitée et isolée, et pas un spécialiste ne fut envoyé sur place (selon nos propres renseignements).Toutes les capsules furent recueillies par des enfants exceptée l’une d’elle ramassée par un homme, maçon de profession, qui travaillait aux constructions proches du site de l’événement.
Comme ces documents étaient tombés entre des mains non intéressées, nous essayâmes au début de les récupérer, ce que nous ne pûmes faire seulement partiellement.
L’une des capsules finit par arriver entre les mains de M. Enrique Gran (artiste-peintre). Il semble qu’une femme, dont les enfants avaient ramassé la capsule, soit par amitié pour Mr Gran, soit parce qu’elle savait que ce monsieur s’intéressait à cette affaire, soit pour d’autres raisons, remit le contenu de la capsule à M. Gran.
A ce moment là un article était paru dans la presse espagnole : (journal « Informaciones » du samedi 12 Février 1966) avec certaines déclarations de cet artiste-peintre qui attirèrent notre attention, car le seul moyen pour nous de savoir quand une personne était intéressée par des affaires spatiales dans un pays est la propre presse du pays.
Selon les rédacteurs de ce journal, les manifestations furent les suivantes :
« Je crois à l’existence des Soucoupes Volantes, OUI, je crois aussi aux témoignages des personnes d’un sérieux absolu. C’est émouvant de voir une trace produite par un artefact extra-terrestre ».
Après nous être informés par nos propres moyens sur son adresse et son téléphone, nous commençâmes le premier contact téléphonique avec lui.
Dès le début, Mr Gran se montra réticent et réservé face à l’appel anonyme de notre frère et Chef DEI 98. Attitude extrêmement logique de celui qui n’accepte pas un simple témoignage d’inconnus sans preuves pour l’avaliser.
Monsieur Gran fit alors allusion au document qu’il avait en sa possession en déclarant qu’il l’avait reçu d’une dame selon lui « inconnue ».
Nous dûmes interrompre la conversation deux ou trois fois pour des raisons dues aux précautions que nous devons adopter lors des communications avec vous.
Nous demandâmes alors une entrevue la nuit suivante (du 15 Février) dans une cafétéria de la rue Isaac Peral à Madrid, afin de recevoir de ses mains le document en question. Nous n’aurions eu aucun inconvénient à récompenser Mr Gran pour sa gentillesse.
Mr Gran accepta noblement de nous le rendre mais il confessa que tout ceci lui paraissait être une blague et que naturellement il n’était pas disposé à se soumettre à celle-ci.
Notre frère lui dit que dans ces conditions il était préférable d’interrompre tout contact avec lui par la suite. Nous n’avons pas le droit de déranger la vie privée d’une personne, si celle-ci maintient le critère selon lequel notre identité est fausse.
Mr Gran suggéra que de toutes façons l’entrevue pourrait avoir lieu dans un endroit choisi par lui, ce que notre chef refusa. Nous répétons que Mr Gran adopta dans cette affaire une attitude totalement logique et correcte.
On ne peut dire qu’il eut une réaction de lacheté ou de peur infondée en ce qui concerne le refus de l’entrevue avec notre frère : il parlait avec des inconnus qui pouvaient effectivement être en train de se moquer de lui et si son désir d’avoir cette entrevue dans un autre endroit connu de lui n’était pas accepté, il avait des raisons suffisantes pour trouver à notre conduite quelque étrangeté.
Effectivement la nuit était agitée et il pleuvait : MAIS IL EST INCORRECT DE DIRE QU’IL FAISAIT DE L’ORAGE COMME PARAIT LE FAIRE MONSIEUR SESMA.
De plus, notre frère ne DEMANDA JAMAIS DE DÉBUTER UNE L’ENTREVUE DANS UN CHAMP ISOLÉ, ce qui constituerait bien sûr un VÉRITABLE ET OBLIGATOIRE motif de refus, MAIS DANS UN ETABLISSEMENT TRÈS CONNU, DANS UNE RUE IMPORTANTE, remplie de gens respectables à ces heures là, comme vous pouvez le vérifier vous-mêmes.
Notre frère GOAWAA 541, fils de GOAWAA 540, devait assister à l’entrevue et devait ensuite partir deux jours plus tard en Amérique avec les nouveaux arrivants d’ UMMO , ainsi Mr Gran ne pourrait pas l’identifier dans un futur immédiat.
En disant cela nous ne voulons pas discréditer M. Gran, nous supposons qu’il est incapable de délation, mais seulement vous faire prendre conscience des sévères normes de sécurité que nous devons adopter routinièrement. Si nous désirons conserver notre anonymat, nous sommes obligés de les respecter par ordre de notre sœur même s’il n’y a qu’une minime probabilité de risques. Monsieur Gran ne saura jamais jusqu’à quel point notre organisation nous interdit (une fois le plan établi) de le modifier à notre guise, à cause d’une soumission aveugle envers nos supérieurs.
Que M. Gran reconnaisse que l’entrevue n’offrait pas grand « RISQUE » pour lui, en dehors de la sensation de ridicule en cas d’une simple farce.
Les deux attitudes (ACCEPTER ou REFUSER) étaient donc intelligentes et sensées. Comme l’hypothèse d’une BLAGUE ou d’un ACTE D’UN ALIÉNÉ n’était pas absolument à rejeter, Mr Enrique Gran adopta cette dernière attitude et personne n’a le droit de le lui reprocher s’il agit et juge avec une objectivité impartiale..
NOTRE CRITIQUE CONCERNE LE FAIT QUE JAMAIS NOUS N’AVONS DEMANDÉ A MONSIEUR GRAN UNE RENCONTRE AVEC NOUS DANS UN ENDROIT ISOLÉ ET QUE CETTE NUIT N’ÉTAIT PAS SI MAUVAISE POUR EMPÊCHER UNE TELLE ENTREVUE COMME LE PROUVE D’AILLEURS LE FAIT QUE MR GRAN PASSA CES HEURES HORS DE SON DOMICILE.
Le manque d’intéret des Autorités Techniques Espagnoles nous déçut tellement que nous renonçâmes à récupérer ces documents. De plus nous désirons sincèrement qu’ils ne tombent plus entre vos mains et nous demandons donc à M. Sesma de ne pas se dessaisir d’un document qui lui servira dans le futur pour démontrer l’incompréhensible aveuglement de ceux qui, sans réaliser une première recherche, s’empressent de nier « à priori » des faits qui, une fois vérifiés avec un esprit critique, peuvent éclairer de nombreuses choses jusqu’à maintenant incompréhensible pour vous.
MADRID LE 17 JUIN 1966
par autorisation de : YOO 1, fille d’AIM 368,
Écrit dicté par : DA 3, fils d’EYEA 502
sous couvert de : DEI 98, fils de DEI 97.
D39
LE 5 JUIN 1966.
UMMOAELEWE
N° de copies : 36
Langues: Anglais : 18
Allemand : 3
Russe : 4
Français : 4
Espagnol : 2
Italien : 1
Idish : 1
Hongrois : 1
Suédois : 1
CE DOCUMENT PEUT ETRE LU A VOS FRERES, A CONDITION QU’IL SOIT PRECEDE DES NOTES REMISES DANS L’ENVOI PRECEDENT.
LE 5 JUIN 1966.
A 22h 52 minutes, est arrivé sur la planète Terre, l’un de nos vaisseaux aux environs de IQUIQUE (CHILI) (heure officielle du Chili). Deux de nos frères sont descendus pour une destination secrète.
On n’a pas observé de réactions dans la presse régionale malgré le fait que deux équipages d’avions commerciaux aient détecté notre présence.
LE 5 JUIN 1966.
A 03h 14 minutes, est arrivé sur Terre l’un de nos vaisseaux parti de UMMO. (Heure officielle de la Capitale).
Il prit contact avec la Terre en un point situé à 40 kilomètres de Sydney en « Nueva Gales del Sur » « AUSTRALIE ».
De nombreux paysans furent témoins de notre descente selon les nouvelles des journaux locaux. Une voiture gouvernementale se dirigea vers l’endroit de l’atterrissage sans obtenir le contact avec le vaisseau.
D40
UMMOAELEWE
Nombre de copie : 1
Langue : Espagnol
A D. F. Sesma Manzano
MADRID
CONFIDENTIEL.
(Peut être lu par Mr Garrido Buendia qui a des instructions similaires.)
Au début de notre arrivée sur le territoire Espagnol, au mois de Février 1966, nous fûmes obligés de vous dicter certaines instructions face à la tournure que pouvaient prendre les nouvelles diffusées par certains organes de presse.
Une consultation, faite récemment auprès de notre supérieure YU 1, fille de AIM 368, pour lui demander d’atténuer la rigidité de ces normes et même de les supprimer totalement après avoir pu vérifier l’innocuité de leur transgression après quelques mois écoulés, donne comme résultat une autorisation de vous communiquer qu’une partie de ces instructions étaient abrogées.
Notre supérieur en Espagne, DEII 98, fils de DEII 97, continua en estimant que le maintien des instructions restantes était inefficace et inopérant en discréditant ouvertement le jugement de notre jeune supérieure. Mais nous attribuons ceci au fait que d’autres affaires, beaucoup plus importantes que cette mineure question de forme, l’ont empêchée de faire cas de cette demande.
Mais la soumission aveugle que nous lui devons nous oblige à accepter son critère qui, dans ce cas, est à l’évidence capricieux.
Nous devons donc vous avertir que si vous désirez continuer nos contacts, vous devez continuer à suivre les normes restantes qui sont d’autre part les plus simples à suivre.
Si vous avez conservé une note qui vous fut envoyée et intitulée « EARTH DELEGATION AUSTRALIA » : nous vous indiquons que vous pouvez passer sous silence les points suivants :
PRIMO (en ce qui concerne les déclarations devant les reporters)
SECONDO (en ce qui concerne les déclarations à des membres d’émissions de Radiodiffusion et Télévision)
Demeure toutefois le POINT 4 qui pose l’interdiction expresse de rendre visite ou de parler devant des témoins des atterrissages ou journalistes qui ont exprimé publiquement leurs doutes DANS LES JOURS qui ont suivi l’atterrissage (en supprimant donc notre premier objectif qui était d’intéresser les média techniques espagnols à cette affaire).
Les journalistes correspondants de la revue « POR QUE » déformèrent les faits en les ridiculisant et en cherchant à déformer leurs déclarations. Nous désirons que vous continuiez à vous abstenir vis-à-vis d’eux.
Les journalistes du quotidien « INFORMACIONES » se montrèrent au début intéressés par le fait. Mais dans un dernier reportage, ils exprimèrent certains doutes sans raisonnement qui les avalisent.
Bien qu’il n’y avait pas de mauvaise foi manifeste mais un honnête désir d’exprimer un point de vue respectable nous préférons maintenant maintenir le même veto. Nous croyons qu’il sera levé prochainement pour ce journal du soir de Madrid.
D41
00/121
Nous désirons informer la planète Terre : nos origine et provenance et les buts qui nous amené à vous visiter. Nous provenons de UMMO, planète qui tourne autour de l’astre IUMMA, enregistré sur votre Terre sous le nom de Wolf 424.
00/123
Nous avons reçu des instructions le 12 janvier 1965 (ère chrétienne terrestre) sur l’orientation et les limites de cette information. Rédaction approuvée. Nous veillons à nous adapter sauf barrière infranchissable de traduction. Nous employons la langue espagnole.
0/2
Les difficultés de traduction et d’expression de concepts en langues terrestres sont immenses. Nous ne nous cachons pas que malgré la constatation de la surprenante similitude entre les structures biologiques de nos deux planètes, nous restons consternés en comprenant que nos moyens de communication sociale respectifs diffèrent à un degré élevé.
0/21
Il nous est impossible dans un premier document d’établir sous une forme synthétique l’immense gamme d’équivalences entre chiffres, symboles verbaux, symboles techniques et le reste. Dans de nombreux cas, nos expressions natives ne comportent, même confusément, aucune équivalence avec aucune des langues terrestres connues de nous à cette date (anglais, espagnol, grec classique, grec moderne, allemand, italien, français et arabe).
0/215
Nous employions pour nous exprimer le média acoustique : air (adolescence) et le médiat télépathique : « psi » (adulte moyen). Dans ce dernier cas, les images mentales transmises et reçues sont conformes aux images mnésiques acoustiques apprises durant l’enfance.
Nous tenterons par tous les moyens de vous figer en graphie espagnole l’image acoustique de nos expressions, bien que dans la majorité des cas nos phonèmes peuvent être rendus par plusieurs expressions graphiques.
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Nous venons, comme nous l’avons dit antérieurement, de la planète ou astre solidifié UMMO dont les caractéristiques sont les suivantes :
Orbite : elliptique avec à un foyer l’étoile WOLF 424 (IUMMA) qui nous sert de soleil.
Distance du foyer WOLF 424 au foyer du système solaire le 4 janvier 1955 : 3,68502 années lumières.
Rayon de UMMO mesuré dans la cotation universelle de VAAUAWE :R 1 = 7251,63 kms
Rayon dans la cote NUAEL 21 (pôle de UMMO) :R2 = 7.266,61 km
Masse de UMMO: 5,4.1021 tonnes masse
Accélération de la gravité sur UMMO : 11,88 m/sec2
Couche atmosphérique ionisée à 8536,92 km
Composition atmosphérique mesurée au laboratoire universel des techniques atmosphériques cote 878 de « WALIOA » :
Azote : 65,93 %
Oxygène : 23 %
Xénon : 0,20 %
Néon : 0,316 %
Anhydride de C : 1,8 %
Chlore : 0,001 %
Méthane : 0,02 %
Autres gaz
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Notre structure géologique externe est en tout différente de celle de la Terre. Les océans occupent 62 % approximativement. Le reste se concentre en un seul continent plein de grands lacs dont le plus grand a 276.320 km² (AUWOA SAAOOA) . Nos cordillères (très érodées) présentent à peine des formes accidentées. Le fleuve le plus important de UMMOAA est le OACAWA-OEW-OEWEA de 3,5 km de large à la hauteur de UWOSS. Il se jette dans le lac IAWIAIA-SAAOOA . Les OAK-OEI sont des sortes de volcans qui présentent la forme de crevasses qui projettent des colonnes incandescentes de méthane-pentane-oxygène à des hauteurs de 250 m jusqu’à 6,7 km. Comme le OASION-OEI (qui) entoure le lac IA-SAAOOA , sa lumière azurée illumine les nuits de UMMOAA dans ces régions. Les grands laboratoires NOOLAWE projettent chaque UIW (unité temps de UMMO égale à 3,1 minutes terrestres) de grands globes de composés chimiques qui à l’entrée en contact avec les gigantesques cataractes de feu bleues, brillent comme des feux d’artifices, offrant un spectacle fantasmagorique. A l’intérieur de ces globes sont contenus des équipements de précision pour des contrôles scientifiques.
Ci-après nous dessinons un croquis de notre configuration géographique. Sur nos cartes les noms géographiques ne sont pas mentionnés sur le croquis, mais nous les signalons au moyen de flèches et nous disposons la typographie en marge.
0/112
Les habitants de UMMO possèdent un corps dont la morphologie physiologique est étonnamment analogue à celle de l’Homo sapiens terrestre. C’est logique si l’on considère que des lois biogénétiques semblables règnent dans tout l’Univers. Quand l’OIWI (an) 75.231 de notre temps (nous définissons l’an comme la dix-huitième partie du temps de translation de UMMO autour de IUMMA – Wolf 424), arrivèrent des nefs spatiales de la planète TOOKAAIA, leurs équipages, bien qu’ils mourrurent, présentaient cependant la même organisation cellulaire.
Seules de petites différences apparaissent entre nous. Nous possédons des amygdales et notre organe de phonation s’atrophie de sorte que la glotte humaine terrestre disparaît vers 14 ans. Durant notre enfance nous pouvons parler normalement, exprimant nos pensées par voie phonique (média de transmission acoustique : l’air). Mais le langage que nous employons est radicalement différent du vôtre. Nous pouvons le nommer BI-LANGAGE. Par exemple, quand nous émettons des phonèmes tels que OA DO DO IA KAAWAEA UMMO UMMO UMMO, nous exprimons deux courants d’idées simultanément.
OA : nous avons réalisé ce voyage
DO : et nous provenons de
IA KAAWAEA : pour étudier votre culture
UMMO : notre planète.
Mais en même temps observez que nous répétons chaque phonème deux, trois, cinq, etc, fois.
Ceci constitue à la fois un nouveau code ou langage qui se superpose à l’autre expression verbale. L’interprétation de ce langage est de type statisticomathématique (fonction du nombre de répétitions du phonème) avec lequel nous exprimons une autre pensée en même temps. Dans le cas rapporté nous disons approximativement :
Nous avons réalisé ce voyage en provenance de UMMO pour étudier votre culture, et
Nous pensons ne faire de mal à personne, tranquillisez-vous.
Autre exemple :
DO UMMO DO DO UMMO UMMO DO DO DO
Nous venons de UMMO, et
Nous sommes arrivés au dessus de la France avec notre nef.
Si nous avions émis ainsi avec notre voix :
DO UMMO DO DO UMMO
Nous venons de UMMO
Nous devons nous alimenter d’urgence.
Dans nos écoles, les enfants apprennent simultanément deux disciplines scientifiques quand un même professeur leur explique par la parole deux conférences de nature différente.
Vers les 14-16 ans de la vie, les cordes vocales subissent un processus de sclérose qui nous rend physiologiquement silencieux, mais qui va développer à cette époque la faculté de transmettre notre pensée au moyen de la fonction que vous appelez PSI, c’est-à-dire télépathiquement. Nous concentrons dans le champ de notre conscience l’image mentale de notre interlocuteur (bien qu’il soit à plusieurs KOOAE. – un KOOAE = 8,71 km) et envoyons des impulsions télépathiques, chacune d’elles dure 0,00014 seconde approximativement. En psychobiologie nous appelons ces impulsions BUAE BIEEE
Un code également bilingual permet de maintenir les deux conversations avec n’importe lequel de nos semblables.
Il y a chez nous de terribles maladies inconnues de vous, par exemple, celle nommée OANEEA-IAWA-OAI dans laquelle le sujet souffre un trouble de ses facultés NOI-OAI (appelées par la science parapyschologique terrestre fonction PSI), et émet sous forme désordonnée et à une grande fréquence des millions d’impulsions BUAE BIEEE à des centaines de milliers d’êtres de UMMO, quelque chose comme si un de vos émetteurs se déréglait et émettait à toutes les fréquences ses interférences folles captées par des millions de récepteurs.
L’unique solution était de localiser le malade et de provoquer sa mort par GOOAIE SAWA (espèce de faisceau de micro-ondes de haute énergie qui détruit les centres nerveux ISIAGEE IA de l’encéphale).
Les premières années de notre humanité, le développement de la culture fut freiné par l’action aliénante de ces pauvres malades qui hallucinaient nos ancêtres avec leurs horribles cris télépathiques.
(NOUS CONTINUERONS LE MESSAGE)
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
- D. Fernando Sesma Manzano
MADRID
305 – NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
La plus grande difficulté que nous rencontrons dans la description de notre genre de vie au sein de la planète UMMO réside précisément non seulement dans la grande différence existant entre nos structures sociales (TERRE et UMMO) mais aussi dans la variété de l’organisation, mobiliers, appareils techniques, ustensiles de toute nature, dont la plus grande partie sont inconnus de vous.
Ceci implique que lorsque dans le cours de notre rapport nous nous référons à chacun de ces meubles, outils, dispositifs ou équipements, ce soit précisé par une incidente pour expliquer sa nature et sa fonctionnalité.
Comme une description excessivement prolixe et technique fait courir le risque de n’être pas compris, sinon par un nombre réduit de spécialistes, nous préférons, vue la psychologie de certains lecteurs que vous avez orienté vers cette information, donner ce rapport, M. Sesma Manzano, rédigé de la forme la plus amène qui nous soit possible, mais sans préjudice, en complétant au jour-dit les données techniques que vous croyez nécessaires pour ces experts qui le solliciteraient.
—————————
Quand les enfants atteignent 13,7 ans (Terrestres), ils sont réclamés sur notre planète par une espèce d’université où École-colonie polytechnique (que nous nommons UNAUO WI ) contrôlée par le Conseil Supérieur d’ UMMO (UMMOAELEWE).
L’OMGEEYIE (couple), s’il n’a pas d’autre progéniture, reste seul. Ce qui pour vous, terrestres, constitue un motif de profonde dépression spirituelle, ne provoque pas de réactions affectives négatives dans les cellules familiales de notre planète car notre société considère cette contingence comme quelque chose d’aussi normal que peut l’être le départ de l’époux terrestre pour son travail quotidien.
Ainsi, tant que le jeune (des deux sexes) n’a pas terminé sa formation intégrale dans l’UNAWO WI (Université), il lui est interdit de voir ou bien d’écouter ses parents ou ses familier sauf en cas de rares occasions. Il n’en est pas de même pour les parents qui peuvent à des heures déterminées, voir leur enfants sur le grand écran semi-sphérique de l’UULODAXAABI (Cette pièce commune dans tous les foyers est un endroit voûté en forme de calotte sphérique, formée par une lame de plastique par laquelle on peut voir une image à 3 dimensions transmise par un équipement récepteur qui a une lointaine ressemblance avec la télévision terrestre). Le spectateur qui se trouve au centre de cette pièce peut ainsi se trouver entouré par un paysage ou bien à l’intérieur d’une usine située à de nombreux KOAE ( 1 KOOAE = 8,71 Km). Voir la figure N° 1, image 7
Disons que les habitudes mentales contractées depuis plusieurs millénaires ( Année d’UMMO = 0, 2118 ans TERRE) nous ont accoutumé à subir cette séparation temporaire entre les jeunes membres et les adultes du groupe familial et cependant les liens matrimoniaux sont sacrés et solides entre nous.
Un jeune OMGEEYIE (couple) vit généralement dans sa XAABI (maison) que vous pouvez imaginer comme une tour-pavillon ou un chalet situé en pleine campagne. Cette maison leur a été fournie par le conseil d’ UMMO quand le couple, une fois sa formation culturelle et technique terminée, commence à faire partie de la communauté d’UMMO.
Cet achat n’a pas été effectué avec de l’argent. En quelques instants, les ordinateurs de notre réseau XANMOO AYUBAA ont calculé la valeur d’un nombre indice qui reflète le rendement intellectuel des deux membres du couple durant les années d’études ; rendement comparé naturellement avec leur capacités ou coefficient mental, le travail pour lequel les époux sont destinés (quoique la femme soit exempte de travail pour la communauté tant qu’elle a des enfants) et autres acquisitions que les deux époux peuvent avoir réalisés antérieurement. Car il peut leur rester des possibilités d’achat tout comme un terrestre peut surveiller l’état de son compte bancaire.
D’autre part, les deux époux peuvent choisir, dans certaines limites de la région (imposées par le calcul), la situation et les caractéristiques secondaires de couleur, disposition et structure de leur nouveau foyer.
La planification de la construction d’habitats se déroule en tenant compte de l’accroissement démographique naturel de la population de UMMO et il n’est pas nécessaire d’indiquer que les chiffres de maisons libres couvrent amplement les besoins. De plus le problème est facile à résoudre si vous tenez compte de l’accroissement de la population, actuellement de 3,6 pour cent tous les douze ans UMMO
Mais toutes notre humanité ne réside pas dans ces demeures dispersées en pleine campagne. Approximativement 27% de la population vit, pour des raisons de professionnelles, au sein de grandes colonies ou villes qui ressemblent un peu aux villes-jardins terrestres. Mais ces habitants ont d’autres compensations en échange.
Nous aimons viscéralement la Nature. Les hommes et les Yie de UMMO vouent et offrent leurs vies à notre créateur WOA ou DIEU; de façon telle que le contact intimes avec sa création ou génération : la campagne, notre IUMMA (IUMMA EST L’ASTRE SOLEIL QUI ILLUMINE les JOURS D’UMMO), les espaces sidéraux, sont toujours présent dans notre esprit. C’est pour cela qu’il nous semble que la civilisation terrestre vous éloigne de cette nature dont vous faites pourtant partie intégrante. Nous orientons notre technique et notre civilisation vers une meilleure compénétration et compréhension de celle-ci.
Il est vrai que pour des raisons biologiques diverses parmi lesquelles, et ce n’est pas la moins importante, une meilleure protection atmosphérique contre les radiations extérieures, déterminant dans bon nombre de mutations génétiques, nous avons sur UMMO une variété de flore et de faune moins riche.
Mais en échange, nous jouissons d’une végétation exubérante due en partie à notre vieux réseau souterrain d’hydrocanalisation réalisé au moyen de tubes construits avec un mortier poreux, tubes à travers lesquels on filtre l’eau, en la distribuant rationnellement dans les strates perméables du terrain, avec une pression calculée en fonction des caractéristiques du sol et des espèces végétales plantées.
Nos techniques agronomiques ont réussi ainsi à doter le Paysage de notre Planète d’une richissime gamme de nuances, grâce à la sélection et à la répartition esthétique d’arbres et arbustes réunis en immenses forêts. L’orographie est respectée dans son intégrité. Les antiques OGOKOOA (CHEMINS ET ROUTES) qui déparaient la perspective de nos merveilleux paysages d’UMMO.
La seule note apparemment discordante est constituée par les Tours-habitations que nous appelons SAABI . Ces tours en forme de CHAMPIGNON TERRESTRE émergent quelques fois, spécialement de nuit, de leur fosse en forme de puits dans lesquelles elles peuvent monter ou descendre à volonté.
Pour un observateur terrestre, la campagne d’UMMO, à la nuit tombante, semble remplie de phares côtiers terrestres. Ceci est dû au fait que nos habitations sont giratoires selon la volonté de leurs habitants pour leur permettre ainsi d’avoir la vision continue de l’horizon. Les lumières décrivent alors un mouvement de rotation qui est à l’origine de cette petite illusion d’optique.
Comment sont nos XAABI ? Il est difficile de vous décrire une de nos maisons sans que vous pensiez que toutes les autres sont identiques ou très semblables. En réalité, bien que moins variées que sur Terre, il existe plusieurs types de tours de structures fonctionnelles distinctes.
Les vieilles maisons que vous appelez Palais existent seulement conservées à titre de curiosité et comme restes d’une Civilisation injuste qui n’a pas survécue. Il n’existe aucune différence de classe appréciable sur UMMO et les maisons standard d’UMMO sont naturellement un indice significatif de cette égalité sociale. On peut donner le cas paradoxal pour vous d’un ouvrier spécialisé ayant une XAABI quelque fois plus confortable que celle du ménage correspondant du Directeur Général du Plan industriel qui est un simple numéro. Mais au prix d’une analyse vous observerez que cet ouvrier rend dans son travail vu son coefficient mental et sa catégorie ou niveau professionnel, beaucoup plus que son directeur, événement fréquent qu’un bas rendement postérieur peut l’obliger à abandonner sa maison et se contenter d’une autre plus modeste.
Nous croyons que les dessins tracés sur papier avec des crayons de couleur terrestres l’illustreront plus facilement que si nous vous apportions la même image sur une reproduction photostatique de nos plans. Vous pouvez comparer la description qui suit avec de tels dessins.
Nos XAABI, sauf dans des cas exceptionnels, présentent l’apparence externe de grandes plantes thallophytes connues sur terre sous le nom de champignons. Elles sont composées de deux parties bien définies. Une tour ou cylindre central que nous appelons ANAUANAA et dans la partie supérieure que vous appelez chapeau une grande enceinte circulaire en couronne en forme de coupole. Cette enceinte qui constitue la véritable habitation reçoit le nom de XAABIUANNAA.. (Image 1)
Figure1
Cet ensemble peut monter ou descendre jusqu’à ce que la XAABIUANAA soit au ras du sol. Ceci est réalisé par un système qui est inconnu sur TERRE, un peu semblable à certains équipements pneumatiques que vous utilisez. Nous utilisons donc une espèce de PISTON (YOOXAO) et un long corps de pompe. La différence est constituée par le fait que nous utilisons de la vapeur de sodium au lieu de l’air. Ce métal à basse température demeure à l’état solide (image 2). Le piston est alors descendu et avec lui notre XAABI. Mais quand nous désirons (presque toujours à la tombée de la nuit) émerger et nous élever à un niveau déterminé, un mécanisme excite le sodium par des processus de technique nucléaire. Celui-ci passe rapidement à l’état de vapeur, se liquéfiant au préalable avec un degré d’expansion constant; ce qui fait que le YOOXAO (piston) monte à une vitesse constante (image 3).
Voir de nouveau l’intérieur de la demeure, figure 1.
Les images 4 et 5 vous montrent la disposition des chambres qui constituent la XAABIUANNAA. En réalité, en nous exprimant ainsi, vous pourriez être induits à penser que nos habitations ont, comme vos maisons terrestres, une fonctionnalité bien définie. C’est-à-dire qu’il existe une espèce de chambre à coucher, une cuisine ou une salle de bains. Rien n’est plus éloigné de la réalité. N’IMPORTE QUELLE IAXAABI ou pièce peut se convertir en chambre à coucher, en « »méditarium » », cuisine ou salle de jeu. Si dans chacune de nos tour existent cinq ou six (généralement six) de ces IAXAABI ou chambres, c’est parce qu’à un moment donné, l’une d’elles peut être par exemple utilisée comme chambre à coucher pour les enfants pendant que dans la seconde le père fait le repas et pendant que dans la troisième, convertie en salle de bains, la YIE ou épouse, mélange les essences pour le bain de vapeur qui précède le repas de l’après-midi.
Voyons donc les modalités que, d’une manière automatique, peuvent adopter chacune de ces IAXAABI ou CHAMBRES.
WOIWOAXAABI ( peut se traduire par MEDITARIUM ). Vous, vous l’appelleriez chambre à coucher. Cette transformation adopte deux fonctions : PRIER ou MÉDITER et DORMIR. Quand dans notre prochain rapport nous vous parlerons du déroulement d’une journée, pour un OMGEEYIE ou couple d’UMMO, vous comprendrez mieux la première fonction.
Voyons comment opérerait la YIE (femme) qui désire à la fin de la journée « se coucher » avec son époux.
Vous savez qu’un grande partie des êtres d’UMMO « manquent de voix » (nous ne disons pas NOUS manquons de voix car nous qui sommes sur Terre, faisons partie de la minorité d’exception, même si nous devons amplifier la faible voix émise par les cordes buccales.
Ainsi, malgré tout, des équipements miniaturisés incorporés dans notre gorge nous permettent de nous exprimer avec des sons parfaitement intelligibles. Malgré cela, la gamme de fréquences est plus restreinte que chez vous (pour les terrestres, elle est comprise approximativement entre 20 et 10 000 cycles par seconde). Par contre, d’une manière artificielle, nous pouvons émettre grâce à un système très simple de conversion de fréquences harmoniques comme 15 000 et 20 000 cycles par seconde (ULTRASONS) convenablement codés.
Il est permis à celle que vous appelleriez l’âme du foyer sur Ummo d’émettre un cri ultrasonique codé qui actionne les mécanismes qui mettent en marche les divers équipements du foyer. Dit sur un mode plus technique : la fréquence sonore émise est captée par un récepteur sensitif qui opère au moyen d’un microphone de magnétostriction. Ce récepteur sensibilise par des servomécanismes adéquats les divers meubles ou dispositifs d’usage topique dans la maison, les faisant apparaître ou disparaître dans le sol.
Ce dernier paragraphe requiert une explication préalable. Nos IAXAABI (HABITATIONS) seules étaient vides de tout mobilier quand elles étaient inoccupées de tous les habitants de la maison. . Le carrelage présente une répartition sur sa superficie de plusieurs lames de formes triangulaire, circulaire, carrée… peintes de couleurs très vives : carmin, bleu, magenta, jaune, entre autres. Un terrestre qui visiterait notre planète pour la première fois, assujetti aux schémas mentaux de son monde, interpréteraient de telles taches comme des motifs ornementaux modernes (voir image 4)
Tout au contraire, ces figures géométriques sont de véritables écoutilles d’où émergent les dispositifs qui nous servent de meubles ou d’équipements. les couleurs obéissent à un code universel qui distingue chacun de ces équipements. Ainsi le rectangle orange est le symbole du XAXOOU (SIÈGE).
Notre YIE émet donc un signal acoustique ultrasonore qui correspond précisément au XAXOOU (SIÈGE) qu’elle a à ses pieds et celui ci s’ouvre automatiquement. Dans l’image 6, vous pouvez vous documenter sur le système que nous utilisons dans les maisons pour nous asseoir. Une petite fosse sert pour poser et placer nos jambes. Nous n’utilisons pas ce que vous appelleriez coussin ou dossier.
image 6
Une fois les époux assis (GEE et YIE), une fois l’IAXAABI allumée avec une faible lumière cyan, se déroulent les 24 UIW (1 UIW = 3,1 minutes) que les OMGEEYIE consacrent à la méditation et à la prière qui précède le sommeil. De nouveaux signaux acoustiques fermeront alors les sièges, les époux éteindront alors la lumière pour se dévêtir tous les deux, ensuite, ils allumeront de nouveau et mettront en marche deux dispositifs des deux WOIOA (voir figure 4) ; vous les appelleriez lits en voyant ce dessin tracé schématiquement bien que leur structure ressemble à un divan terrestre. Il est donc nécessaire de décrire le WOIOA.
fig 4 / image 19
Deux disques émergent du sol et sont rapidement séparés de celui-ci par un système de lévitation électromagnétique. (vous connaissez ce principe bien que sa réalisation vous soit encore coûteuse). (Un champ de haute fréquence peut maintenir suspendu dans le vide n’importe quel anneau toroïdal métallique). Au niveau de ces anneaux commence à se former une conglomération d’écume (mousse) correspondant à un produit chimico-organique organochimique qui se solidifie rapidement. Un système gazeux de direction du processus oblige cet agglomérat mousseux et amorphe à prendre une forme de divan spongieux.
Mais ne croyez pas que nous dormons toujours dans ces WOIOA. C’est une prescription et nous avons été éduqués dès l’enfance pour dormir durant des nuits à même le carrelage sans l’aide d’aucun matelas. Nos tissus musculaires sont maintenus dans un état physiologiquement apte à le faire.
NOUS CONTINUERONS L’INFORMATION
UMMOALEWE
Nombre de copies: 1
Langue: Espagnol
- D. Fernando Sesma Manzano
Madrid
- NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Les hommes Terrestres ignorant les millions de petits détails en rapport avec nos vêtements, notre mobilier, notre structure socioéconomique, il en résulte qu’une description captant les diverses incidences de notre vie quotidienne est très difficile.
Si nous tentons d’exposer la relation qui reflète le cours d’une journée pour une famille déterminée de UMMO, nous courons le risque que vous hommes terrestres, qui tendaient toujours à généraliser les cas particuliers sans avoir auparavant réalisé un examen statistique de la fréquence avec laquelle se produit en pratique un phénomène social déterminé, jugiez de façon erronée que notre vie est pleine de monotonie et manque d’une richesse de nuances par comparaison avec celle des terrestres.
Ce que nous allons décrire est une des diverses manières dont peut se dérouler le cours d’une journée d’un des OMGGEEYIE (COUPLES) de la planète dont nous procédons. Bien sûr, le frère qui au lieu de vivre en zone rurale réside dans une colonie industrielle déroule un tout autre mode de vivre au long de la journée.
Tenez compte que la période de rotation de notre planète UMMO sur son axe est d’un XII (lisez SII) égal à 600 uiw, ce qui équivaut à 30,92 heures. C’est dire : notre jour est plus long que le terrestre.
Imaginons le cas d’un jeune couple avec deux enfants : un garçon qui n’est pas encore adolescent et une UUYIE (JEUNE FILLE) qui avec ses 16 ans terrestres poursuit ses études de OUDEE (biopathologie) dans l’UNAWO UI.
Le couple est jeune : il a 34 ans terrestres et sa YIE n’atteint pas les 31. Avec eux vit jusqu’à qu’il atteigne les 68,6 ans terrestres le couple composé des parents de l’époux. Tous deux sont retraités. [Nous disons EDDOIBOOI (SANS TRAVAIL DÉFINI)] et choisirent d’un commun accord avec les époux d’habiter la même maison pour laquelle ils abandonnèrent l’ancienne et acquirent d’accord avec l’UMMO AELEWEE une XAABI (TOUR HABITATION) plus spacieuse.
Le GEE (ÉPOUX) est actuellement inspecteur dans un service d’UULWA AGIADAA (espèce de viseur pareil aux appareils terrestres de rayons X utilisés en radiométallographie). Son travail consiste à vérifier et contrôler les registres réalisés pour constater périodiquement l’état du sol dans les terrains proches des grandes conductions souterraines. Avec cet équipement, on peut apprécier non seulement la structure des strates géologiques mais aussi leur composition rocheuse, et le pourcentage de sable, d’argile et de gravier ou de substances organiques. N’importe quelle altération importante observée et qui peut abîmer les conduites ou conductions est enregistrée, codifiée et envoyée au réseau d’ordinateurs qui règle l’organisation de UMMO. (XANMOO AYUBAA ).
L’épouse est conseillère en NIAAIODOUI KEEAI (ART DE DISPOSER ESTHÉTIQUEMENT LES PLANTES ET LES ROCHES) mais actuellement elle est exemptée de ses obligations jusqu’à ce que son enfant atteigne l’âge normal et quitte ses parents.
La journée de travail est très réduite pour nos frères d’UMMO. En général, elle oscille entre 50 et 75 UIW (entre 2,58 heures et 3,87 heures). Cette période est même plus brève pour les professions qui exigent un travail intellectuel intense ou des labeurs manuels actifs.
Une fois nos obligations sociales de travail accomplies, nous pouvons nous consacrer à notre foyer, à la famille et à notre formation intellectuelle, religieuse et technique ou à notre activité ludique pendant le reste du temps.
Mais pour que vous puissiez comprendre la répartition de ce temps, durant la journée, nous devons vous rappeler que notre JOUR ou « xii » est divisé par nous en 600 uiw (chaque 25 uiw équivaut à un peu plus d’une heure terrestre (77,42 minutes). Ainsi quand nous signalons qu’il est 450, vous devrez interpréter que 23,2 heures se sont passées depuis minuit. Midi sera donc noté, comme il est facile de le deviner, par les 300 uiw.
Bien que la durée du sommeil soit estimée pour chacun de nous par l’assistance physiologique de la XANMOO AYUBAA (RÉSEAU D’ORDINATEURS) vous pouvez évaluer une » mode ou valeur modale » (1) de 175 uiw que nous passons en « decubitus dorsal » ou en plein sommeil.
Note 1 Le concept de VALEUR MODALE ou MODE étudié aussi par vous en mathématiques statistiques ne doit pas être confondu avec la valeur MOYENNE (excepté dans le cas de distribution normale ou parfaite).
———————–
Il est « 196 uiw », toute la XAABI est silencieuse. Cette nuit, les panneaux de protection acoustique construits avec un composé de germanium totalement transparent et qui nous servent de toit, ont été fermés. Pas une seule fenêtre ne communique avec l’extérieur. Seule une oreille expérimentée peut entendre le très faible sifflement que produit l’air convenablement dosé quant à la température, humidité, ionisation et ozonisation, air qui est expulsé par les tuyères de chaque IAXAABI (habitation).
Mais il n’en sera pas de même la nuit suivante, car le toit sera retiré automatiquement et les membres de la famille dormiront à ciel ouvert.
Seule une pluie ou une neige intense ou les grandes tempêtes de WIIWIIAA pendant lesquelles le vent arrache même les petites particules de roches, peuvent rompre cette séquence qui fait dormir alternativement en ambiance artificielle ou face à la nature même.
Nos nuits sont intensément obscures. Nous ne pouvons pas jouir comme les terrestres de ce merveilleux spectacle (que vous oubliez, submergés dans ces monstres de béton, asphalte et acier des grandes métropoles) comme celui du satellite lunaire. Les étoiles que nous observons apparaissent aussi très nettes quand la voûte céleste est dégagée des concentrations nuageuses. Par contre, ce que nous appelons UULibooa, (semblable aux aurores polaires terrestres), sont beaucoup plus fréquentes que sur la planète Terre, même dans les latitudes équatoriales.
Alors, le ciel adopte un aspect impressionnant. De long rubans ou bandes verts et pourpres apparaissent suspendus à différentes altitudes (plus la latitude est élevée, plus les bandes présentent une plus grande verticalité). A l’horizon, le chromatisme vert ou magenta devient jaune pâle ou légèrement orangé.
Ces UULIBOOA sont fréquentes dans les périodes d’activité de notre astre solaire IUMMAA. Qu’il nous est difficile alors de trouver le sommeil, surtout si nous sommes enfants, en contemplant le superbe spectacle au-dessus de nos têtes !
Il est -disons- 196 uiw. A l’horizon commence à s’apercevoir un doux resplendissement entre indigo et rougeâtre dû à l’apparition d’IUMMAA. Hors de la XAABI, on enregistre une température équivalant à 3° Centigrades terrestres.
Nos frères se réveillent bien reposés. Les mécanismes de réveil nous sont inconnus. La formation d’habitudes au moyen d’une efficace éducation de réflexes rendent inutiles ces instruments absurdes qui lèsent chez vous des centres déterminés du neurencéphale.
Bien que l’heure du début de la période de sommeil diffère pour les différents membres de la famille, il y a sur notre planète une norme de discipline rigide qui règle le moment du réveil.
Enfants et adultes échangent des saluts entre eux dans le cas où ils dorment dans le même WOIWOIXAABI (chambre à coucher ) et ils se couvrent immédiatement avec les GIUDUUDAA EEWE (espèce de cape poreuse, étendue elle à la forme d’un cercle avec un orifice central par lequel on introduit la tête et deux autres plus petits pour les bras. (image 1)
Poncho
Aujourd’hui c’est le tour de la YIE (épouse) de préparer les essences aromatiques pour le bain de vapeur ozonisé.
Mais avant, chaque membre de la famille a pour mission d’émettre les signaux codifiés qui vont occulter les WOIOA (lits de mousse) dans lesquels ils ont passé la nuit. La mousse est comprimée automatiquement. Elle est dissoute par des acides et éliminée par les conduits d’évacuation liquide. Nos frères ne peuvent concevoir de dormir plusieurs fois dans le même lit (milieu de culture de nombreux germes). Seul demeure l’anneau toroïde qui le maintenait en l’air et qui est replacé dans son alvéole correspondante dans le carrelage.
Maintenant tous les membres de la petite communauté se réunissent dans une des IAXAABI (chambres). Le père dictera les consignes de la journée après les avoir tous salués en mettant les mains sur la poitrine et, ensuite, rit et commente divers incidents de la nuit précédente. Le GEE sollicitera ensuite l’avis des parents, épouse et enfants sur tout ce qui va constituer le projet de la journée. Puis chacun écoute les raisonnements des uns et des autres et décide finalement ce qu’il doit faire.
Tous courent maintenant préparer et sélectionner les vêtements, instruments ou outils qu’ils doivent utiliser pendant la journée. Pendant ce temps, la mère demeurera dans une des pièces qui va se transformer en EXAABI (vous pouvez traduire par salle de bains). Elle fait sortir du sol un tube serpentant et flexible dont la tête possède un grand disque avec une multitude de tuyères et de boutons. Elle manipule ces derniers en faisant sortir des embouchures d’aspersion une multitude de jets pulvérisés de parfum. Elle en ferme certains et en ouvre d’autres, en flairant avec une grande attention le mélange.
La IAI KEAI (TRADUCTION COMME: ART DE MÉLANGER DES ESSENCES AROMATIQUES) est une pratique très vieille sur UMMO. Les YIE ont toujours été supérieures aux hommes dans cet art difficile. La femme consacre à ce soigneux labeur près de 7 uiw (quelques 20 minutes) en y prêtant autant d’intérêt qu’une épouse terrestre assaisonnant ses plats. Les membres adultes de la famille alternent chaque jour pour ce travail. Il n’est pas difficile de deviner, surtout chez les enfants et même chez les autres, des marques de réjouissances ou de bonne humeur, mal contenues quand c’est le tour de l’épouse de mélanger les essence. Quand une femme se distingue dans ce très difficile art ancestral, l’UMMOAELEWE lui décerne des distinctions et lui demande de devenir conseillère ou professeur dans l’UNAWO UI (Université).
Notre sensibilité olfactive est beaucoup plus développée que la vôtre. La différence de niveau est analogue mais en votre faveur en ce qui concerne la musique, domaine où les terrestres sont de merveilleux maîtres.
Dans les temps anciens, la très riche gamme des IAI (parfums) était extraite de plantes aromatiques, d’arbustes et de quelques espèces animales ressemblant aux mollusques terrestres. Aujourd’hui, la variété s’est énormément enrichie et tous les parfums sont produits, en partie synthétiquement. Nous disons en partie car nous avons des frères qui préfèrent, comme un rite, continuer à sélectionner les végétaux dans les forêts et ensuite les distiller dans leur propre foyer. C’est un hobby comme en ce qui vous concerne la collection de timbres postaux ou sculpter des petites statues d’ivoire.
Quand l’opératrice a trouvé un mélange satisfaisant, elle n’oublie pas d’enregistrer le dosage, convenablement codifié, dans son petit AARBI OMAIU (cet appareil est l’équivalent des magnétophones terrestres mais l’enregistrement ne se fait pas par bande magnétique, il s’agit d’une mémoire intégrée dans un cristal chimiquement pur de TITANE).
Cependant, une femme qui se targue d’être une bonne IAI YIEKEAI (mélangeuse d’essences) essaiera de ne jamais refaire le même mélange sauf s’il était exceptionnellement réussi.
Notre éidétique* olfactive (MÉMOIRE POUR LES ODEURS) est très important et nous pouvons nous souvenir d’un mélange connu, comme vous vous identifiez un tableau en l’attribuant à tel artiste fameux.
Une femme intelligente n’est pas toujours une bonne mélangeuse et vice-versa. Par exemple:YU 1 fille d’AIM 368, le jeune chef de notre mission sur Terre à qui nous sommes soumis, reconnaît être une très mauvaise mélangeuse. En vérité à ce niveau, elle ne serait pas l’épouse idéale mais bien sûr nous, les hommes d’UMMO, tenons compte d’autres facteurs spirituels et intellectuels ainsi que de la beauté de la femme.
Enfin, notre sœur de l’exemple que nous vous exposons, a réalisé un mélange qu’elle juge agréable. Dans une autre pièce, tous attendent, réjouis, le début du bain. A l’appel de l’épouse, les parents, l’époux et l’enfant accourent. Ils se mettent à l’intérieur de l’EXAABI et vite affleurent du sol des panneaux semblables aux paravents japonais.
Alors ils se dévêtent tous. Il est incorrect de voir la nudité des autres même s’ils sont du même sexe. Pendant ce temps, l’atmosphère de la pièce est saturée de vapeur aromatisée, de la vapeur d’eau avec une grande quantité d’O3 (Ozone) et une multitude de composants aromatiques, constituent le premier bain de la journée. Tous rient et parlent sans arrêt à travers les minces paravents et ensuite les douces séquences de l’aromatisation diminueront. N’oubliez pas que les mélanges se succèdent tout au long de la séance, comme une symphonie de nuances olfactives.
UMMOALEWE
Langue: ESPAGNOL
Nombre de copies: 1
A. Fernando Sesma Manzano
MADRID ESPAGNE
Notre bain de vapeur est une véritable partition où la richesse harmonique des notes de musique a été remplacée par des stimulus olfactifs. Mais cet exemple ne doit pas vous faire penser que nos mélanges aromatiques d’un usage quotidien jouissent du côté exquis semblable aux merveilleux concerts symphoniques terrestres.
Seules, dans des occasions exceptionnelles et dans des concentrations populaires comparables à celles que vous organisez sur la planète Terre pour vos compétitions sportives, se déroulent sur UMMO d’authentiques IAIKEAIUUXAA (spectacles de mélanges de parfums ) dans lesquels les nuances aromatiques se succèdent dans une ambiance enivrante (ou grisante), obéissant à des normes esthétiques très rigoureuses.
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Il est maintenant 218 uiw pour la famille de notre exemple, le GEE (époux) ne pourra continuer à profiter des délicieux arômes du bain. Aujourd’hui la fonction culinaire lui est assignée et, si elle n’est pas ingrate, elle nécessite une série de soins et d’attentions.
Il sort vite de l’EXXAABII (Salle de Bain) pendant que sa YIE (épouse), parents et enfant lui souhaitent avec ferveur de la chance dans sa mission et eux continuent à se distraire, plongés dans la brume caressante et parfumée qui sature l’espace de la pièce.
La pièce voisine peut servir de UAMIIXAABII (indistinctement cuisine et salle à manger).
De suaves sifflements inaudibles (à quelques 30.000 cycles/seconde) (Ultrasons) émis artificiellement par la gorge font affleurer du carrelage (et où apparaissent avant uniquement des rectangles de couleur sépia et mauve) des équipements spéciaux qui constituent ce que nous appelons UAMIIXANMOO (CUISINES AUTOMATIQUES PROGRAMMÉES PAR MÉMOIRE DE TITANE).
Sur UMMO, notre planète, il est prescrit, depuis des milliers de XEE (un XEE = une année UMMO) une rotation familiale pour l’assignation de certains travaux domestiques. Même les UUGEE ou UUYIE (enfants) vers les 8 ans (ans terrestres) sont incorporés aux besognes de la maison avec des responsabilités.
Leurs parents, attendris, tolèrent même les déficiences explicables des premiers balbutiements au niveau des mélanges parfumés pour le bain ou au niveau de la sélection des images visuelles de l’UULODAXAABI (pièce semi-sphérique pour la vision d’images lointaines). Les enfants prennent donc progressivement conscience de leur responsabilités et de leur importance au sein du groupe familial. Jamais les parents ne se moquent d’eux ou montrent une impatience mal contenue face aux erreurs ingénues et involontaires de leurs petites mains maladroites. Au contraire la YIE les corrige patiemment et affectueusement, leur suggérant par des phrases et des images visuelles, les troubles que peuvent causer une minime distraction ou une erreur imprudente.
Mais aujourd’hui, c’est le tour du père de s’occuper du travail culinaire.
Vous devez sans doute vous poser de nombreuses questions au sujet du déroulement de ces travaux. Par exemple.
Comment la maîtresse de maison fait-elle ses achats ? Où les entrepose t’elle ? Comment les transporte t’elle ? Mais ces questions élémentaires présupposent en réalité des schémas mentaux préalablement stéréotypés avec les coutumes de la planète TERRE : En effet : la YIE (épouse) d’UMMO n’effectue pas ses achats dans un magasin de ravitaillement; le verbe acheter ne peut être utilisé dans notre cas et il n’est pas nécessaire de transporter nous-mêmes les aliments et autres substances d’usage courant. Il serait très difficile pour un hypothétique visiteur terrestre sur notre monde, de localiser une de nos sœur traînant par exemple un petit chariot rempli de légumes et de paquets enveloppés de papiers graisseux.
Ce n’est pas que nos YIE refusent par commodité d’adopter le rôle des grandes dames terrestres et de réaliser ce travail ingrat. Au contraire la femme, comme le GEE, réalise quotidiennement des exercices sportifs beaucoup plus importants durant les heures ludiques. En réalité notre organisation sociale diffère de la vôtre, par ses coutumes et ses auxiliaires mécanisés.
Vous, Sesma Manzano, pouvez voir dans l’image photocopiée que nous avons envoyé antérieurement (figure1/ image1) une série de tubes cylindriques orientés verticalement et enterrés dans le terrain qui entoure l’ouverture de l’ANAUANAA (COLONNE AXIALE DE LA XAABII ou MAISON). Ainsi ces tubes de même calibre (CE CALIBRE EST UNIVERSEL SUR UMMO COMME PEUT L’ÊTRE POUR VOUS LA LARGEUR DES VOIES DE CHEMIN DE FER TERRESTRE) appelés NUUYAA, constituent un véritable magasin dont la fonction première est de conserver les produits de consommation courante pour la famille (ALIMENTS, PRODUITS CHIMIQUES, GAZ LIQUÉFIÉS, PARFUMS etc…).
Nous allons expliquer ceci à l’aide d’un exemple:
Nos aliments : naturels, semi-élaborés ou artificiels, sont élaborés dans des usines industrielles et des galeries souterraines de culture à de nombreux KOAE de distance (1 KOAE = 8,7Km) et conservés dans des cylindres de même diamètre. Ainsi les juteux INOWII – voir image 8 – (fruit à la pulpe jaunâtre et à l’enveloppe brune très rugueuse) sont préalablement traités par un bombardement de neutrons pour éliminer tous les germes saprophytes qui peuvent provoquer leur putréfaction ultérieure. Un fruit ainsi préparé conserve tout son arôme, sa saveur et d’autres qualités, même s’il n’est pas conservé dans un milieu réfrigéré et peut résister plusieurs mois sans s’altérer.
Image 8
Mais pour éviter sa déshydratation, (c’est-à-dire qu’il ne sèche) les INOWII sont emballés avec une substance gélatineuse (un composé coloré de silicium), l’ensemble ayant une forme cylindrique. Les fruits demeurent ainsi enveloppés dans cette substance semi-transparente visqueuse et rosâtre. La couche extérieure durcit rapidement au contact de l’Azote, ce qui fait que l’ensemble vous rappellerait l’aspect d’un pot de fruit au sirop. Seulement, en ce qui vous concerne, il n’y a pas de récipient(s) en verre; d’autre part la gélatine n’est pas comestible, il s’agit uniquement d’un produit protecteur qui ne doit pas être exposé à l’air.
Les graisses, les viandes, les végétaux, le glucose (sucre) sont aussi préparés sous forme de cylindres de même dimension (standardisés sur tout UMMO), d’une manière semblable à celle que vous utilisez pour la conservation dans des récipients métalliques (Boites de conserves).
De la même manière, d’autres produits non alimentaires mais de consommation topique dans les foyers de notre planète tels qu’acides, propane liquide, polymères de silicone, oxyde de zyrconium, composés du germanium sont comprimés en forme de cylindre (s’ils sont pulvérulents ou solides) ou versés dans des récipients cylindriques dans le cas où ils sont liquides.
Sur UMMO existent des centres distributeurs reliés par un vaste réseau de tubes NUUDAIAA ou conductions souterraines à tous les XAABII (MAISONS) de la région.
Ces produits (alimentaires ou non) sont conduits sous forme de cylindres NUUGII le long des canalisations citées, de forme semblables à celle des tubes pneumatiques employés sur Terre. La différence consiste en ce que ces NUUDAIAA n’utilisent pas d’air sous pression comme vos systèmes, mais de l’ HELIUM (un gaz inerte) pour la simple raison que l’oxygène de l’air attaque chimiquement la substance gélatineuse qui enveloppe une grande partie des NUUGII (RÉCIPIENTS DE VOYAGE ).
Les habitants de la maison peuvent compter sur une bonne provision de produit de consommation qui se renouvelle automatiquement, emmagasinés dans les tubes NUUYAA et qui arrivent périodiquement par les conduits pneumatiques à partir des centres d’approvisionnement. Un peu comme un stock de boite de conserves.
Que se passe t’il si à un moment donné les habitants décident de consommer les doux fruits de l’INOWII ? Le procédé est assez complexe, mais dans la pratique il se réalise en moins d’un dixième de d’UIW.
Un sélecteur à couronne (non dessiné dans l’image 1 que nous vous envoyons) sélectionne automatiquement en tournant, le cylindre NUUGII qui conserve le fruit. Celui-ci est conduit à l’intérieur de l’ANAUANAA (axe de la maison) à la pièce où le fruit a été demandé. Mais avant de sortir à l’extérieur, il doit traverser un équipement auxiliaire composé d’une enceinte où le NUUGII (cylindre conservateur de gélatine) est soumis à l’action de l’oxygène liquide. Celui ci attaque fortement la substance gélatineuse protectrice et la dissout. Les résidus (d’oxyde de silicium et de polychlorures) sont éliminés. Le processus doit se réaliser rapidement pour empêcher que la basse température de l’oxygène liquide (185 degrés centigrades terrestres en dessous de zéro) ne détruise les tissus cellulaires de fruit.
L’INOWII est maintenant libéré de sa couche protectrice et prêt à être ingéré (si notre frère ne désire pas mâcher le fruit qui est sorti très froid du processus), il traverse un cylindre d’induction qui augmente légèrement sa température en un instant. L’INOWII juteux est de nouveau entre nos mains, frais et acide, aussi savoureux et aromatique que lorsqu’il a été cueilli de son arbre planté dans les grandes galeries souterraines où la culture artificielle permet de nombreuses récoltes annuelles.
Laissons notre frère en train de manipuler son UAMMIXANMOO. Cet appareil dont la description technique très détaillée, – nous ne voyons pas d’inconvénient à vous l’envoyer dans un prochain rapport (si vous êtes intéressés), – possède une mémoire de TITANE capable de décoder toute une séquence complexe de programmes engrangés avec les instructions pour préparer automatiquement ce que vous appelez Plats ou Ragoûts .
En principe, cet appareil pourrait réaliser toutes les opérations sans l’aide de l’opérateur. La mémoire de TITANE dicte toute une série de « routines et sous-routines » (dans le langage terrestre des ordinateurs) aux servomécanismes de l’appareil. Nous allons illustrer cela par un exemple :
– solliciter du YAA (MAGASIN TUBULAIRE DÉJÀ DÉCRIT) un NUUGII de VIANDE OOGIXUAA (reptile de viande blanche très prisé).
– éliminer la gélatine protectrice à l’aide d’oxygène liquide.
– soumettre la viande à un traitement d’élimination des toxines.
– macérer la viande ou la couper en fragments (en fonction du programme).
– assaisonner l’ensemble avec du WUUNUA (condiment tonique).
– ajouter de l’IDIA OIXII (lait graisseux OIXIIXI de mammifère volant).
UMMOALEWE
Langue: ESPAGNOL
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A. Fernando Sesma Manzano
MADRID ESPAGNE
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Enfin l’ensemble passe par une enceinte (que vous appelleriez FOUR) dans laquelle, même si la température est la même que celle du milieu ambiant, la viande se réchauffe en provoquant l’agitation moléculaire de ses tissus due à des variations du champ gravitationnel à très haute fréquence (60 millions de mégacycles par seconde : 6.1013 Mc/sec). (note 1) .
(Note 1) Observez que le réchauffement des aliments n’est pas réalisé par induction électromagnétique de haute fréquence. Nous avons abandonné un tel système depuis très longtemps car les températures atteintes au sein de l’aliment étaient très difficiles à contrôler en étant fonction de la composition chimique des tissus cellulaires.
Cependant, nous continuons à utiliser dans les repas réalisés dans la nature, le très ancien procédé qui consiste à griller les aliments par simple combustion, en milieu « oxygène » (flamme normale dans l’air).
Les hautes fréquences de type gravitationnel sont beaucoup moins énergétiques que celles de type électromagnétiques, malgré qu’elles soient renforcées par un effet « d’auto-résonnance » gravitationnelle. C’est seulement pour cette raison qu’elles sont utilisées pour ces petites applications domestiques et pour les communications.
Le GEE (mari) a déjà terminé sa préparation. Pendant ce temps, ses parents et le plus jeune fils se sont de nouveau habillés avec d’autres voyantes EEWEE (TUNIQUES CIRCULAIRES) de riches couleurs (ceux qu’ils ont eux-mêmes utilisé antérieurement ont été jetés dans le l’IMAAUIII (espèce de bouche d’égout) et décomposés par l’action des acides et désintégrés ensuite comme ordures, pour être enfin converties en Hydrogène libre. Nos vêtements ne sont presque jamais utilisés plusieurs fois et lavés. Ils sont fabriqués quelques UIW avant leur utilisation dans la XAABII même (MAISON). Nous ne « connaissons » pas les tissus.
Le premier repas de la journée va commencer. Il est approximativement 225 UIW. L’aube vient à peine de se terminer et notre IUMMA se dresse rayonnante entre les grandes brumes indigos et oranges de la matinée.
Vous pourriez penser que cette étape correspond au petit déjeuner terrestre et en réalité c’est le cas avec cependant la différence que celle-ci est la plus longue et la plus copieuse de la journée. C’est-à-dire celle qui a le plus riche contenu calorique dans cet intervalle de temps de 600 uiw.
Elle est beaucoup plus rationnelle que la coutume sur la planète Terre. Il ne faut pas oublier que l’homme et la femme doivent faire face à la dépense énergétique de leurs travaux matinaux et par conséquent doivent réguler parfaitement leur métabolisme basal, en compensant ces pertes par une importante alimentation tôt le matin.
Ajourd’hui ils prendrons ce repas à l’intérieur du XAABIUANAA (habitation) mais la veille il s’est passé entre les rochers qui bordent le ruisseau du proche bosquet de hauts IGUU (végétal avec une certaine ressemblance aux anciennes fougères arborescentes de la Planète Terre)
Tous sont réunis dans la même UAMIIXAABII (pièce cuisine) et chacun ouvre son propre XAXOOU (siège) dans le carrelage, tout autour d’une zone rectangulaire du sol ( IMAGEN 10).
Images 10 – 11
Le UGEE (ENFANT) fait aussi émerger du carrelage un tube métallique flexible (IMAGEN 11) d’où à son extrémité apparaît un filtre d’aspersion.
Un nuage jaunâtre de fine gouttelettes est pulvérisé sur le sol. Vous pourriez penser qu’on est en train de peindre le parquet. En réalité, il s’agit de créer une fine pellicule qui protège le carrelage et qui sert de nappe.
– image 12
Du sol s’élèvent aussi des équipements que nous appelons NAAXUNII dont nous expliquerons la fonction plus loin.
Le GEE et la YIE (époux et épouse) (note 2) ) mettent sur le sol les IOAOOI (RÉCIPIENTS POUR ALIMENTS LIQUIDES). Il en existede nombreux modèles, l’un d’eux étant reproduit dans l’image N°12
(2) Dans notre langue, le mode grammatical appelé par vous » ARTICULÉ » n’existe pas. Les vocables féminins et masculins sont toujours distingués par leur forme et expression graphique. Pardonnez-nous si parfois, par inadvertance, nous écrivons LE YIE au lieu de dire LA YIE (FEMME).
Chaque IOAOOI est composée de 3 ou 4 récipients ou enceintes sphériques qui conservent jusqu’à leur ingestion les bouillons cuisinés maintenus à une température constante. Ces bouillons que nous appelons UAMIIGODAA sont aspirés par de long tubes flexibles.
La UOUAMII (REPAS NUMERO ZÉRO) va commencer.
Celui-ci commence par quelques UIW de silence. Tous ferment les yeux et essaient d’accommoder leurs esprits avec une constellation de souvenirs agréables. Divers souvenirs, traits d’humeur, incidents de fêtes.
Ce préambule est nécessaire pour imprégner le déroulement du repas d’une ambiance de paix et de joie saine.
Une telle ambiance mentale est indispensable pour l’organisme humain; il y a des raisons psychosomatiques pour agir de cette façon. En effet : les altérations émotionnelles négatives comme les états d’anxiété, la terreur ou la peur, les tristesses, les préoccupations, inhibent la sécrétion normale des sucs digestifs provoquant de sérieux troubles de l’appareil correspondant. Il est curieux d’observer comment vous ignorez pratiquement ce principe malgré les progrès de la médecine psychosomatique terrestre qui auraient dû sérieusement vous orienter vers cet aspect.
Il est donc nécessaire que pendant les instants qui précèdent le repas et la fin du processus digestif, la cellule familiale se sente unie spirituellement dans la joie mutuelle. Les enfants, dès leur plus jeune âge, acquièrent ce type d’habitudes ou réflexes amenant un contrôle mental très actif. En ce moment, sont bloqués dans le champ de la conscience, toutes les préoccupations du travail, l’activité pensante référente aux études en cours est réduite au minimum, l’individu subit une régression momentanée à la phase infantile, dépourvue de problèmes transcendants et exempte d’une sensibilité spirituelle aiguë.
Les parents et enfants parlent à peine durant le repas, sans gesticuler. Leurs mouvements ou dynamisme musculaire sont au repos. Ils se regardent entre eux, se sourient. Les gestes comiques sont énormément prodigués et accueillis avec complaisance et satisfaction exempte de rire de stentor.
Vous avez donc compris qu’un tel comportement ne peut être interprété comme un rite ou le fruit de coutumes ancestrales, il est simplement basé sur une nécessité psychophysiologique.
Tous portent à leur bouche les extrémités (vous diriez filtres) de ces long tubes qui partent des IOAOOI. Ceci vous rappellera les NARGUILÉS des fumeurs orientaux de la Terre. L’aspiration des UAMIIGOODAA (aliments liquides) est donc commencée.
La variété de ces derniers est très grande. Il s’agit de mélanges végétaux, d’extraits d’animaux, d’essences aromatiques synthétiques etc… Compositions qui vous font sans doute penser à des soupes exotiques ou des sauces de lointains pays terrestres.
Ceux-ci sont riches en lipides ou graisses, avec un pourcentage élevé d’hydrates de carbone, aromatisés et toniques; ils contiennent une très large gamme calibrée (pour chaque individu) de facteurs nécessaires pour le métabolisme humain (glucose, galactose, acides gras, chlorures, calcium, potassium, thiamine, riboflavine, nicotinamide, acide ascorbique …). Tous (excepté quelques composés du phosphore et du manganèse) connus de vous les Terrestres.
Quelques-unes de ces UAMIIGOODAA sont légèrement douceâtres, d’autres d’un goût acide aromatisé et légèrement salin pour les dernières. Nous pouvons les comparer avec quelques aliments terrestres et nous rappeler leur saveurs analogues, comme par exemples certains coquillages et certaines algues comestibles très appréciées au Japon.
Nous n’utilisons pas l’instrument CUILLÈRE des terrestres qui attira énormément notre attention lors de notre arrivée en France. La succion au moyen du tube flexible, rappelle ces pailles que vous utilisez pour l’ingestion de boissons rafraîchissantes, avec la différence que nos tubes ont un système de chauffage thermorégulé et que le liquide coule impulsé par une faible pression contrôlée (IMAGE 12).
Le moment des UAMIIGOOINUU (ALIMENTS SOLIDES) est arrivé, mais avant tous auront utilisé le NAAXUNII. Ceci nécessite une brève explication:
Sur notre planète, les aliments sont portés à la bouche quand ils sont solides, au moyen des doigts. Ceux-ci ont maintenant acquis une grande agilité pour les prendre. Car on considère antihygiénique et désagréable que l’épiderme soit taché ou attaqué par les composants graisseux de ceux-ci, les colorants, etc…
Dans l’antiquité, on utilisait de fins gants transparents pour cette fonction. Mais depuis longtemps il y a, aux heures des repas, dans la Xaabiuanaa (MAISON) ce dispositif ou équipement où nos frères introduisent les mains (IMAGE 13).
Images 13 – 14
Celles-ci sont aspergées par une fine pulvérisation (hydrosols dosés) qui vont se solidifier au contact de l’épiderme et l’envelopper d’une fine couche protectrice qui rejette (par des effets de tension superficielle) toutes les substances graisseuses.
Chaque fois que nous changeons de plats (selon votre expression) nous pouvons dans le même NAAXUNII dissoudre ce fin gant artificiel semblable au collodion utilisé par les chimistes terrestres, et le remplacer par un autre, ce qui équivaut à nous laver les mains sans utiliser de l’eau ou des détergents. N’en déduisez pas que le lavage n’existe pas, mais nous en parlerons plus loin.
Nous n’utilisons pas non plus de couteaux. Notre EIWOO OINNA réalise les fonctions techniques de « coupeur ». Sa forme extérieure rappelle (fig. 9 / image 14) un de ces crayons multiples employés par les terrestres. Il émet par son extrémité un fin faisceau très énergétique d’ondes (à fréquence constante de 7,9 .1014 cycles par seconde) qui sectionne proprement les aliments jusqu’à une profondeur qui peut être réglée par une mise au point du faisceau conique de haute fréquence (cette fréquence est comprise dans la gamme que vous dénommez ULTRAVIOLETTE).
Cette seconde étape du repas commence par des rondelles de d’AIMMOA qui se mangent indépendamment des autres aliments.
L’AIMMOA est un fruit de grande taille avec une saveur suave, et une pulpe de structure alvéolaire et une composition féculente très riche en hydrates de carbone, sans graisses et qui a constitué sur notre Planète et ce depuis des époques très anciennes, l’aliment de base de l’UMMOAOO (homme d’UMMO) comme pour vous le pain ou le fruit de l’ARTHOCARPUS à Ceylan ou en Polynésie.
En réalité, la valeur énergétique de l’AIMMOA est moins élevée que celle du pain terrestre (environ 2,30 calories par gramme), mais en échange son grand contenu en sels et facteurs vitaminiques en fait un excellent aliment naturel.
Une fois l’endocarpe (voir image 5) ou cœur de l’AIMMOA éliminé, celui-ci est coupé en larges rondelles annulaires et se mange seul ou imprégné d’OIBIIA (extrait graisseux d’un animal marin) ou bien pulvérisé de maltose pure ou gazéifiée, avec certaines essences synthétiques.
Les convives introduisent de nouveau leur mains dans le NAAXUNII pour dissoudre la couche protectrice et la renouveler.
L’aliment suivant peut être la savoureuse viande de l’OOGIXUAA. Viande de couleur ambre (blanche jaunâtre). L’OOGIXUA correspond à une espèce de vertébré qui n’existe pas non plus sur terre et qui présente les caractéristiques propres des REPTILES terrestres. Son cou et sa queue sont longs. Les quatre extrémités présentent une morphologie particulière que nous n’avons trouvé sur aucun animal de votre planète (des sauriens actuels ou antédiluviens). Nos plus grands « exemplaires » peuvent atteindre presque un ENMOO (un ENMMOO équivaut à 1,87 mètres).
Sa viande est la plus appréciée sur UMMO, et nous sommes sûr que les plus grands palais terrestres, s’ils étaient dépourvus de préjugés face à l’origine d’un tel aliment, la trouveraient très savoureuse.
Sur notre Planète, nous n’utilisons pas, pour le traitement des aliments carnés ou végétaux que vous appelez frits, aucun type de graisse animale ou végétale. La cuisson se réalise au moyen de divers types classiques de lait animal, deux d’entre eux étant très populaires avec un riche contenu d’acides gras.
L’un d’eux est le IDIIA OIXIIXI qui est extrait du mammifère OIXXIIXI dont l’espèce n’a rien à voir avec les espèces connues par vous et cataloguées par les zoologistes de la Terre.
Cet herbivore vertébré de grande taille est un mammifère volant (sur UMMO nous ne connaissons pas de véritables oiseaux, mais il existe une grande variété de mammifères volants). Ses ailes membraneuses n’ont rien de commun au niveau morphologique avec les Chéïroptères de la Terre (chauve-souris).
Une grande quantité d’OIXIIXI vivent en captivité pour leur utilisation. Leur chasse s’effectue en lancant sur eux des aiguilles téléguidées dont la pointe contient un anesthésique qui les endort et les obligent à se poser sur le sol. La saveur de l’aliment extrait des mamelles est aigre douce et ses composants gras se saponifient rapidement en donnant un liquide d’une saveur rance qui, s’il nous plait beaucoup, nous doutons savoureux pour certains palais terrestres
Un autre lait est utilisé par nous pour assaisonner, c’est l’IDIIA GIIDII , autre mammifère aquatique dont la forme rappelle de loin le dauphin et qui vit dans les profondeurs des mers polaires de UMMO.
Comme l’emploi de l’ IDIIA OIXIIXI date des premiers temps de notre Humanité, les propriétés diététiques du second lait cité furent remarquées très récemment.
Il est intéressant de savoir à titre de curiosité que ces mammifères dont la vie se passe à des profondeurs de 500 ENMOO ou plus (des fosses marines) ne sont pas retenus en captivité. Après les avoir capturé on les traite chirurgicalement en introduisant dans leur cortex cérébral une série de sondes ou électrodes et en leur implantant un appareil AAXOO-UAXOO (ÉMETTEUR-RÉCEPTEUR).
Le mammifère ne souffre absolument pas de cette intervention ni d’une action postérieure sur son encéphale.
Les cerveaux sont contrôlés (même s’ils se trouvent à grande distance) au moyen de fréquences ultrasoniques qui se propagent dans l’eau et sont captées par la suite par les récepteurs au moyen d’impulsions codées de contrôle jusqu’à atteindre le neurencéphale.
L’émetteur envoie à la base des données sur l’évolution du métabolisme de l’animal qui sont automatiquement enregistrées. Quand l’animal est en chaleur et en période postérieure à l’enfantement, la base de contrôle émet des ordres codés qui inhibent les mouvements volontaires les obligeant à se diriger vers la base ou des équipements automatisés situé au fond de la base sous-marine leur extraient le lait et l’envoient par des canalisations jusqu’à terre.
Bien que notre industrie chimique élabore par synthèse tous les composants de ces classes de lait, l’authentique est plus apprécié, d’autre part il est extrait en abondance sans nécessité de recourir à une fabrication industrielle.
Dans d’autres cas, les viandes sont élaborées pour utiliser les mêmes composants gras (ce que vous appelez roti, mais toujours assaisonné de produits toniques ni excitants ni nocifs quoique beaucoup plus aromatiques que n’importe quelles espèces terrestres).
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
La famille, une fois l’intervalle d’ingestion ou petit déjeuner (selon vous) terminé, entame la période de repos durant laquelle s’établit un sobre dialogue entre les composants adultes du groupe. Les incidents du travail sont commentés, des thèmes en relation avec les progrès idéologiques ou scientifiques sont discutés, à un niveau qui correspond toujours naturellement avec la formation intellectuelle et l’intelligence des interlocuteurs.
Sous cet aspect nous devons vous avertir que pour un même UMMOGAEOAO DII (évaluation psychotechnique professionnelle), c’est-à-dire pour des aptitudes psychophysiologiques semblables d’un groupe d’habitants d’UMMO, tous reçoivent la même formation et pendant la même durée de temps, dans la colonie d’enseignement de l’UNAWO WI. Ce processus éducatif que nous résumerons dans un de nos prochains rapports ne peut être égal pour tous les GEE (HOMMES) et IIE (FEMMES) de la planète et, bien sûr, est affecté de NOAUIW (PÉRIODE SCOLAIRE) distincte. La durée minimale est de 9,46 XEE (quelques deux ans terrestres) à 28 XEE (un peu moins de 6 ans terrestres).
Le degré de formation intellectuelle pour nos frères ne présente pas autant de ces énormes différences que nous avons observé sur la planète Terre, où face à une minorité très intelligente et capable, nous pouvons constater de grandes masses à indice de culture très bas, alors que beaucoup de ses composants jouissent d’une capacité privilégiée qui si elle avait été cultivée apporterait à la Terre un grand apport de scientifiques et d’intellectuels dans le champ de la pensée.
Il est maintenant 246 UIW, le bref intervalle de repos, d’union panfamiliale, est terminé. Vous l’appelleriez conversation après le repas et l’époux doit partir à son lieu de travail qui peut être situé à de nombreux KOAE de distance. Il se déshabille rapidement dans une pièce voisine, il pulvérise ses dents, il essuie sa bouche avec des solutions aseptiques et réalise une série de rapides opérations identiques pour protéger les yeux, les oreilles, les fosses nasales, les aisselles, l’aine et les organes génitaux, l’anus et les chevilles. Après cela, il extrait un nouveau vêtement nouvellement confectionné qui s’adapte à la nature de son travail. Il s’agit dans le cas particulier que nous commentons, de l’UULWA AGIADAA EEWE (1), espèce de salopette très ajustée, dont les couleurs dans ce cas, cercles jaunes sur un fond pourpre, constituent un code complexe de couleurs et formes géométriques chromatiques qui représentent les différentes spécialités professionnelles de notre monde.
(1) La dénomination du vêtement est associée celui de la profession.
La IIE (ÉPOUSE) restera avec les parents de son GEE dans la XAABIUANAA (MAISON), pendant que celui-ci, après avoir pris congé des siens, s’introduit à l’intérieur du GOONIIOADOO UEWAA (VÉHICULE VOLANT).
Nous désirons vous résumer les procédés de traction courants sur UMMO.
Sauf dans le cas où la traction en contact avec le sol (comme peuvent être certaines applications dans le mouvement des Terres, constructions hydraulique, motoculteurs souterrains, etc…) est indispensable, les déplacements des personnes d’un point à l’autre d’un RÉSEAU de Communications s’effectuent à l’aide de deux procédés très répandus sur notre Planète.
Le premier est un système catalogué par nous comme de type YEDDO AYUU (ABSENCE DE RÉSEAU OU ORGANISATION LIÉE). Il est matérialisé par des équipements qui s’ajustent au corps humain, appelés OEMMIIUEWA et qui permettent à une personne de se déplacer d’un point à l’autre dans l’air et à faible hauteur (hauteur maximum 30 ENMOO, quelques 56 mètres). Nous l’utilisons quand nous devons parcourir des distances relativement courtes mais presque jamais pour des trajets brefs auquel cas nous utilisons comme vous, les pieds.
Les déplacements dans ces conditions (nous nous référons aux équipements personnels OEMIIUEWA ) ne sont pas contrôlés par le XANMOO AYUBAA (réseau de computeurs). Au contraire, l’individu qui l’utilise doit contrôler sa direction continuellement comme vous avez l’habitude de le faire avec vos automobiles de tourisme, avec l’unique différence que nous n’utilisons pas des commandes manuelles (tels que volant, pédales, boutons, etc,) mais de simples ordres acoustiques codifiés.
Mais le véhicule par antonomase* le plus utilisé sur notre planète est sans doute le GOONIIOADOO UEWA (image 16). Sa forme peut vous rappeler certains appareils futuristes dessinés pour voyager ou celle de quelques voitures modernes au profil aérodynamique.
-Image 16 –
Le procédé de traction utilisé est basé sur un principe très ancien pour nous, mais qui n’a pas été modifié essentiellement pour la bonne raison que son système, qui n’a rien à voir avec celui que nous employons pour nos voyages sidéraux dans les OAWOOLEA UEWA (cosmonefs), est très efficace pour les déplacements sur de longues distances au sein de l’atmosphère.
Le système de traction consiste en un BUUTZ (moteur) de GOONNIAOADOO (état spécial de la matière qui n’est pas solide, liquide ou gaz), et dont le schéma et description élémentaire vous sera joint indépendamment (voir en bas de page), l’unique combustible étant le Tétrafluorure de Xénon.
Ces véhicules se déplacent à très basse altitude, évitant toujours les accidents géographiques et se maintenant toujours à une même hauteur en respectant les variations naturelles et artificielles (à 0,3 ENMOO, soit 0,56 m au dessus du sol) de manière que même en cas d’accident – danger dont nous avons réduit la probabilité à 0,00007 – les voyageurs ne souffrent pas de lésions appréciables.
Sa télédirection se réalise, contrôlée par le XANMOO AYUBAA (réseau mondial d’ordinateurs) simultanément avec l’équipement de détection du véhicule qui contrôle à chaque instant non seulement les paramètres météorologiques et la présence d’obstacles statiques, mais aussi la direction probable d’autres véhicules qui voyagent dans les immédiats. Il évite aussi la présence des XAABII (Maisons) « enterrées » qui peuvent émerger rapidement en provoquant des collisions lamentables.
Ont disparu de notre orographie, les vieilles voies ou pistes sur lesquelles circulaient dans les temps maintenant historiques, ces anciens NOIA UEWA (image 18)
(S41-K) – image 18
qui se déplaçaient au moyen de pieds articulés (l’ANTHROPOMORPHISME de la technique empêcha l’utilisation habituelle de la roue comme moyen de translation) sur des chaussées ou pistes qui diffèrent de vos routes dans la mesure où celles-ci étaient construites en stabilisant le terrain par des additions de composition nettement argileuse, de silicates et d’alumines synthétiques pour que la couche de roulement au lieu d’être constituée comme les autoroutes de la Planète Terre à l’aide de conglomérat d’agrégats et de substances bitumées comme l’asphalte, soit constituée avec une couche de bioxyde de silicium fondu à la température de quelques 1700° (degrés centigrades terrestres) jusqu’à obtenir une épaisse couche homogène cristallisée et rugueuse résistant à l’abrasion et aux charges statiques et dynamiques des véhicules qui y circulent.
Mais ces pistes enlaidissaient d’une manière extraordinaire la beauté du paysage. Notre civilisation paraissait acculée dans ces orientations industrielles et urbanistiques à corrompre l’esthétique de la nature et nos ancêtres adoptèrent la décision d’éliminer les réseaux de communications qui se trouvaient à l’extérieur, encourageant en échange les procédés de transport souterrain. Surgirent ainsi de nouvelles techniques de transport de matières premières ou de substances en brut. Par exemple les minéraux étaient pulvérisés dans les lieux d’extraction et mélangés avec des mousses de produits chimiques inertes et transportés au moyen de tuyères. Certains agents de liaison semblables aux ciments terrestres et que nous utilisons dans nos constructions, mélangés avec des produits plastiques, sont canalisés au moyen d’un courant d’air très fort qui les transporte sous forme d’aérosol (POUSSIÈRE EN SUSPENSION CHARGÉE ÉLÉCTROSTATIQUEMENT). Notre sous-sol est donc saturé de très vastes réseaux de tuyères et canalisations dont certaines doivent porter des courants de plasma dont les températures au sein des tourbillons centraux atteignent jusqu’à 2 millions de degrés centigrades (vous pouvez supposer qu’il n’existe pas de parois de tuyère capables de canaliser sans évaporation un gaz ionisé si chaud, mais nous avons recours à des enveloppes gazeuses dont le gradient thermique va en diminuant en orientation radiale pour se réduire à proximité des parois à 1200 degrés terrestres.
La structure de nos paysages fut sauvée. Nous nous consacrons à améliorer davantage encore l’orographie des champs. De nouvelles forêts furent créées, des accidents géographiques abrupts furent élevés pour donner une apparence plus sauvage à certains terrains arides. Des canalisations en forme de rivières furent créées, non pas à des fins énergétiques, mais pour transformer esthétiquement des zones désertiques déterminées. Dans les laboratoires « phytotechniques », de nouvelles espèces de plantes avec des fleurs magnifiques furent créées et sur tout UMMO on rationalisa le plan de protection des espèces animales sauvages en réalisant une surveillance sévère envers celles dont la disparition fut estimée imminente, tout cela synchronisé à cette époque avec le grandiose Plan Biologique tendant à faire disparaître d’UMMO toutes les variétés de virus pathogènes.
L’homme put enfin se débarrasser d’une des tares les plus graves qui était associée au progrès culturel : la distance avec la nature. L’identification spirituelle avec le WAAM (COSMOS) engendrée par le divin WOA (CRÉATEUR ou DIEU). Nos frères de ces époques et nous-mêmes à notre époque, pûmes ainsi compléter notre formation biologique, alternant nos processus vitaux entre nos maisons (XAABII) et la vieille nature représentée par les grandes roches caressées par les branches des NAANAA, des IGUU ou des OAXAUXAA (arbres typiques d’UMMO) et par les vieux volcans qui lancent d’immenses colonnes incandescentes de penthane-oxygène en donnant aux nuits de UMMO un aspect impressionnant.
Et ce contact intime avec la nature, stimule encore d’avantage notre rapprochement religieux envers WOA et nous aide à prier et à évoluer dans notre pensée philosophique, plus pragmatique que la vôtre, mais ce n’est pas pour cela qu’elle est moins profonde.
DESCRIPTION D’UN BUUTZ DE GOONNIAOADOO
Le principe de ce BUUTZ est bien connu sur notre planète depuis qu’une équipe de techniciens sous la direction de YUIXAA 37 fils de YUIXAA 36 le développa au XEE (année d’Ummo) 5476 du second temps. Les modifications apportées ultérieurement ne concernent que le contrôle dont le processus est réalisé aujourd’hui par un XANMOO (ordinateur nucléaire à mémoire de titane).
Bien que le schéma dessiné soit très sommaire et n’inclue pas les équipements auxiliaires d’autocontrôle, il illustrera convenablement son fonctionnement.
Le BUUTZ travaille sur la base d’un générateur thermique de GOONNIAOADOO qui provoque l’expansion brusque d’air préalablement liquéfié. L’oxygène et l’azote déjà gazéifiés sortent à travers une tuyère et sont projetés en direction du sol, ce qui provoque par réaction l’équilibre aérodynamique du véhicule.
Analysons le processus:
Sur le schéma vous pouvez remarquer une chambre toroïdale. Cet équipement (transforme le gaz XENON en GOONNIAOADOO, un état du gaz dans lequel, par une très haute température, les atomes restent sous forme de NIIOADOO (ions) . La température au centre du courant toroïdal arrive à atteindre 1600°C (terrestres) dans un environnement gazeux dont le filament circulaire ou annulaire a un diamètre d’à peine 3 microns (terrestres).
Le gaz XENON nécessaire au fonctionnement est stocké sous forme de cristaux de tétrafluorure de Xénon (F4Xe) dans la chambre . Ne soyez pas étonné de l’indication de cette composition chimique puisqu’il s’agit d’un gaz noble (comme vous l’appelez vous même) pour croire qu’il n’est pas capable de se combiner avec d’autres éléments chimiques. Néanmoins il ne vous sera pas difficile d’obtenir ces cristaux en chauffant, à 400°C seulement, un mélange de Fluor et de Xénon dans une chambre en nickel. On obtient quelques petits cristaux solubles dans l’eau, lesquels se subliment facilement. Nous utilisons beaucoup de composants d’Hélium, Krypton et Radon.
Le tétrafluorure de xénon est décomposé dans l’équipement c’est à dire: le Xénon passe au réacteur toroïdal déjà cité, pendant que le Fluor est canalisé vers le régénérateur , en s’emmagasinant au préalable à forte pression dans la chambre
Quand le moteur est arrêté, le gaz Xénon est récupéré par le conduit pour être synthétisé de nouveau en tétrafluorure en
L’énergie créée par la chambre de plasma , se canalise jusqu’à l’expanseur et c’est à ce point, où l’air préalablement liquéfié par l’équipement et stocké dans la chambre , s’expanse violemment en étant projeté vers le bas à travers la tuyère .
L’équipement est un pré-chauffeur du Xénon, et le est un activateur (DÉCLENCHEUR) NUCLÉAIRE POUR LA FORMATION DU GOONNIAOADOO qui travaille sur une base d’autorésonance.
Il y a une raison technique pour laquelle nous utilisons un composé de Xénon au lieu du gaz pur. C’est que quand la décomposition est à haute température une fraction de ses atomes s’ionisent, phénomène qui ne se présente pas dans l’état libre de ce type de gaz inerte
ESPAGNOL
N° de copies ; 1
Fernando Sesma Manzano
Espagne.
NOTRE VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO. NOS DIVERTISSEMENTS.
En dehors des UIW que l’OMGEEYIE (COUPLE) réserve au travail officiel c’est-à-dire son tribut à la société, et des tâches concernant la XAABII (HABITATION) ou l’éducation et la formation personnelle, et de celles des UUGEEYIE (ENFANTS), le sommeil et les obligations sociales avec les frères connus, le reste du temps est quasi exclusivement dédié à l’OXUO KEAIA (JEU). En réalité la véritable signification du phonème OXUO KEAIA devrait être, compte tenu de l’absence d’un vocable équivalent dans la langue espagnole: »ART D’ENTRAINER SIMULTANÉMENT L’OEMII (structure physiologique) ET LES FACULTÉS MENTALES ». Donc, au point de vue sémantique, la traduction « JEU », »AGRÉMENT » ou « SPORT » est inappropriée quant nous nous référons à l’OXUO KEAIA
Nous voulons que vous rendiez compte de l’extraordinaire importance que nous concédons à ces modes de conduite sur la planète UMMO.
Nous avons acquis une profonde connaissance de l’étiologie pathologique. Grâce à cela nous avons développé des techniques préventives qui ont rendu possible le contrôle des agents pathogènes au moyen d’une prophylaxie adéquate. Mais il existe, comme vous le savez très bien pour le malheur des hommes de la Terre, une immense gamme de facteurs psychogène appelé par les terrestres DÉTERMINANTS PSYCHOPATHOGÈNES, qui constituent l’origine de nombreuses maladies mentales.
Vous vous trompez complètement si vous croyez que nous avons réussi à vaincre totalement les déviations mentales. Cela nous a été beaucoup plus facile depuis des centaines XEE (ANNÉES d’UMMO) de maîtriser des techniques oncologiques pour empêcher l’anarchie génétique des acides nucléiques qui provoque les tumeurs nommées par vous cancéreuses, que d’annuler certaines formes d’EDDIO IAAIYAA (NÉVROSES) qui revêtent des aspects ressemblants à ce que vous dénommez état d’anxiété, hystérie, réactions hypocondriaques, etc.
Cependant nous connaissons parfaitement la corrélation qui relie ces troubles à l’équilibre spirituel et social d’une société dont le réseau se trouve parfaitement planifié. Cette corrélation est inverse (en employant des termes statistiques terrestres nous dirions que le coefficient de corrélation est NÉGATIF). Exprimé en termes communs nous suggérons que dans une société parfaitement planifiée ( IDÉAL que nous n’avons pas encore atteint sur UMMO bien que nous nous en approchions asymptotiquement) de telles perturbations de l’esprit n’existeraient pas..
Bien plus ; si nous avons obtenu que ce pourcentage de malades mentaux soit très inférieur à celui qui existe sur la Terre, cela est du principalement à deux facteurs :
1 – ÉQUILIBRE SPIRITUEL ET RELIGIEUX AVEC SOUMISSION INCONDITIONNELLE AUX NORMES MORALES.
2 – PRÉVENTION PAR LES TECHNIQUES DE JEU.
En premier vous ne devez pas méconnaître l’importance que peut revêtir la LUDOTHÉRAPIE pour le traitement des maladies mentales, dans les établissements terrestres.
Cependant il existe une notable différence entre vous et nous. Analysez-la soigneusement :
Vous planifiez le JEU comme technique ludothérapeutique – c’est-à-dire pour le traitement des troubles psychopathologiques.
Nous, nous employons l’OXUO KEAIA comme PRÉVENTION c’est-à-dire : pour prévenir la possibilité de ces troubles et d’autres maladies mentales inconnues de vous :
À part ces deux divergences fondamentales il en existe d’autres secondaires bien connues par vous :
C’est vrai que le jeu et le sport se pratiquent largement sur Terre. Mais d’une manière désordonnée et même absurde. Parfois vous orientez de telles pratiques au développement physiologique sans prendre en compte que L’OEMII (HOMME) est une UNITÉ PHYSIOLOGICO-MENTALE et que peuvent se produire de sérieux troubles quant les développements mentaux et somatiques ne s’équilibrent pas simultanément. Dans d’autres cas il se produit des aberrations telles qu’abandonner les masses à un inactivisme sportif en convertissant le sport en spectacle, dans le but de dévier les esprits vers d’autres buts étrangers aux authentiques objectifs sociaux et politiques. Véritable drogue qui arrive si bien à obtenir une apparente paix sociale et perpétue des structures sociales injustes. Les gouvernants qui agissent ainsi sont de véritables délinquants cachés derrière la légalité. Il n’existe pas de plus grand génocide que le crime de maintenir le réseau social dans l’abrutissement qui permet à une minorité de dirigeants de se maintenir au pouvoir.
Vous donc; vous pratiquez le jeu et le sport à tous les stades d’âge et de mentalité, mais vous agissez comme un OEMII (HOMME) qui ingèrerait d’une manière désordonnée des vitamines, des antibiotiques, et autres médicaments sans raison apparente en doses étonnements variés et à des heures inhabituelles.
Pour nous, par conséquent, l’OXUO KEAIA est quelque chose de plus qu’une simple distraction, une évasion, une façon déplaisante de fortifier nos muscles. C’est aussi plus qu’une gymnastique mentale comme les échecs terrestres. Les objectifs authentiques revêtent une grande transcendance y compris au point de vue génétique.
Leurs répercussions embrasent tout le réseau social d’UMMO.
– OBSERVATION –
Vous pouvez vous horrifier de ce que notre réseau d’ordinateurs XANMOO AYUBAA intervienne dans la programmation de nos loisirs. Nous désirons préalablement vous faire quelques observations à ce sujet.
Au long des rapports dictés par moi selon les ordres de mon supérieur sur la péninsule ibérique, DEII 98, fils de DEII 97, vous avez pu vérifier que le XANMOO AYUBAA participe de façon très active à notre organisation sociale.
Cette connaissance peut vous induire à vous former un concept très erroné concernant notre réseau social et notre personnalité psychologique. La tentation de nous identifier à de simples petits rouages d’une gigantesque et monstrueuse machinerie sociale a pu indubitablement passer dans vos esprits. Les hommes d’UMMO, nous serions selon cette fausse image ou perception des hommes de la Terre, de véritables monstres mécanisés, sans vie intérieure, esclaves de consignes émanant avec une précision mathématique d’un gouvernement aseptisé qui s’appuie sur le XANMOO AYUBAA (ou complexe de cerveaux mécaniques), pour coordonner avec une désespérante précision les moindres mouvements et conduites des membres de cette société semblable à une horloge terrestre.
Les hommes de notre planète serions de véritables » robots » (en utilisant les mots terrestres) capables d’être affectée par des sensations, vulnérables aux sentiments, aux plaisirs et aux déplaisirs (tout ceci est vrai), mais dépourvus d’âme véritable, esclaves de la technique et adeptes inflexibles d’une logique rigoureuse.
Cette erreur a son origine d’une part dans une déficience d’information et (d’autre part) dans la tendance que tout être humain présente à ne pas comprendre les conduites qui s’écartent de ses étroits cadres mentaux. Pour un espagnol inintelligent, il est difficile de comprendre les modes de vie d’un habitant des Nouvelles-Hébrides. Pour une personne esclave du cadre socio-politique d’une dictature qui a déraciné en elle les plus élémentaires vestiges de la liberté et de la dignité humaine, peut sembler, aussi paradoxalement que cela puisse paraître, fausse et absurde la vie d’un habitant d’une société démocratique socialiste comme celle de la Suède.
L’égocentrisme des hommes terrestres, qui est resté cristallisé dans le verset biblique de « la paille dans l’œil du voisin et de la poutre dans le sien », induit en vous une optique déformée, en essayant de juger nos manières de vivre.
Voyez l’esclavage mental que supposent pour vous les déviations aux milliers d’habitudes pathogènes comme le tabac, les épices, les formes irrationnelles d’organisation de la vie quotidienne, la soumission mentale aux agents qui déforment la personnalité (comme sont certains spectacles, les séries télévisées, les formes éducatrices et la publicité commerciale), les déformations pour raisons politiques des articles de la presse qui polarisent les groupes sociaux vers des formes politiques aberrantes, les dommages exercés par presque tous les parents envers leurs enfants, la soumission et la crainte devant les multiples TABOUS sociaux, ainsi que l’enracinement des préjugés sans nombre qui vous empêchent, vous les hommes de la planète Terre, de maintenir une saine flexibilité de pensée, en les enchaînant en revanche à un cadre mental sclérosé et rigide… Où se trouve cette liberté et cette exubérance de l’âme terrestre? Les conduites, que vous jugez totalement régies par la liberté, sont en réalité soumises à des motivations subconscientes d’origine aberrante, induites à leur tour par une mauvaise éducation ou par la crainte de la société qui vous entoure. Et en cela les psychiatres de votre planète nous donneront raison.
Nous – nous le reconnaissons humblement – n’avons pas atteint à la perfection. Mais nous croyons que notre indépendance spirituelle est supérieure à la vôtre.
Par exemple, ils sont nombreux les terrestre dont la conduite morale est encore conditionnée par la crainte que produisent les effets coercitifs des lois. Le respect du prochain se cristallise grâce aux méthodes punitives de l’exécutif de l’état. C’est une conduite imposée de L’EXTÉRIEUR.
En nous s’est développée une authentique mentalité sociale, un amour de nos frères, un ardent désir de perfectionner la société, parce que nous avons conscience de la folie « que suppose de faire une voie d’eau dans le navire sur lequel nous voyageons » et des effets perturbateurs d’un égoïsme absurde. Nous ne comprenons pas comment vous pouvez nous reprocher d’aimer plus la société que nous-mêmes alors que n’importe quel terrestre qui voyage en avion pense avec plus d’inquiétude à son moteur et à sa structure qu’au menu que lui offre l’hôtesse..
Pardonnez-nous d’employez des similitudes terrestres vulgaires comme le bateau et l’avion, mais nous pensons (ainsi) vous illustrer mieux notre pensée.
Aussi, c’est surprenant que vous regardiez avec méfiance notre réseau d’ordinateurs, quand chaque terrestre ne peut se passer de son stylo, son réfrigérateur, son automobile de tourisme: avec le problème supplémentaire qu’une fois créées les habitudes polarisées vers leur usage, vous restez horrifiés quand une nuit vous devez substituer, à cause des effets de la restriction énergétique d’un réseau électrique, la lumière des lampes à filaments incandescents par des cylindres de stéarates pourvu de mèche. (Bougies !).
Au moins nous nous nous accoutumons en même temps, en nous identifiant avec la nature, à supporter la carence de toutes les inventions de notre civilisation.
Rejetez donc l’idée que nous sommes (comme vous) esclaves de la technique. Pour nous, tous ces équipements que nous utilisons sur le UMMO sont simplement des MOYENS AUXILIAIRES qui nous aident dans notre progrès intellectuel et moral et qui nous permettent de nous forger une idée chaque fois mieux ajustée du WAAM (UNIVERS). Et ainsi, comme une personne sensible et intelligente de la Terre, au fur et à mesure qu’elle se plonge dans l’étude et la méditation, voit s’ouvrir devant elle des perspectives les plus larges de la vérité, et ressent une jouissance ineffable quant elle découvre de nouvelles facettes de son monde, nous aussi nous nous sentons plus libre par la connaissance à chaque fois plus profonde des lois qui dirigent l’espace n-dimensionnel, quand nous observons la grandeur qui se cache derrière les facteurs de l’homme et quand nous découvrons de nouveaux mondes habités.
Cela nous fait nous sentir plus humbles, cela nous libère de lois coactives qui nous obligent depuis l’extérieur à obtenir une société meilleure. C’est nous-mêmes qui nous obligeons à aimer le réseau social. Et même si nous avons acquis des réflexes conditionnés qui dirigent notre propre conduite, au moins de telles habitudes sont rationnelles et logiques. Elles ne nous font pas souffrir comme les terrestres, ni ne nous empêchent de réagir avec une grande liberté et avec une riche vie intérieure dans de multiples facettes de notre conduite quotidienne.
Si vous nous voyiez vivre jour après jour en pleine communion avec la nature, entre les grands rochers et les torrents abrupts, repoussant toutes les attitudes stéréotypées que nous avons quand nous vivons ensemble en société, peut-être ne jugeriez-vous pas que nous sommes esclaves d’une civilisation mécanisée. Analysez au contraire l’immense gamme d’attitudes et de mouvements assimilés, convertis en rigides réflexes irrationnels qui dirigent votre conduite. Vous verrez que même au milieu de la campagne vous tendez inconsciemment à les réaliser.
Ce fut précisément la caractéristique qui nous a le plus peiné en arrivant sur cette planète. Vous nous apparaissez comme des marionnettes, bougeant avec des gestes étudiés, convulsifs, artificiels et nous avons souffert intensément à devoir nous adapter à ces inharmoniques modes de conduites pour passer inaperçus au milieu de vous.
NOTRE VIE QUOTIDIENNE – LES DIVERTISSEMENTS.
Vous pourriez croire qu’il existe sur notre planète une gamme infinie de jeu ou sports caractéristiques des diverses régions et âges.
En réalité il est difficile de vous expliquer que la variété sportive-récréative obéit à des facteurs fonctionnels soigneusement analysés. Il existe, oui, une large série de catégories d’OXUO KEAIA (SPORTS) mais elles sont fonction de la mentalité, de l’âge, et de la constitution physique des pratiquants.
De là à vous décrire tous les jeux ou sports comme on les dénomme sur Terre, est pour nous impossible à résumer en quelques pages, comme le serait pour vous de nous envoyer un rapport descriptif des machines-outils utilisées dans les secteurs métallurgiques de cette planète.
Pour les terrestres, le jeu des enfants est un type d’activité naturelle qui précède le travail organisé, développé pour l’être adulte. À peine si on lui prête de l’importance. Et bien qu’existent des conseillers psycho-puériculteurs, des organismes spécialisés et même des fabricants qui concèdent une importance marquée aux jeux les plus appropriés pour l’enfance terrestre, en élaborant même des objets étudiés scientifiquement pour les divers âges mentaux des enfants, chacun de vous sait que la grande majorité des parents ne font pas attention à ces conseils et qu’aussi bien pour les fêtes de Noël ou Saint Nicolas ou des Rois Mages, ils acquièrent les jeux que le premier commerçant ou fabricant (venu) propose à la vente (plus intéressés d’impressionner par la technique de la fabrication que de se préoccuper réellement de l’importance que revêt la formation de l’enfant).
Des jouets qui, comme c’est prévisible, ne satisfont que rarement l’esprit infantile, quand ils ne provoquent pas des réactions traumatisantes dans son psychisme.
Vous vous fatiguez de répéter que l’humanité est perdue, malade, aliénée et les plus naïfs d’entre vous cherchent des solutions convenant au réseau social terrestre. Le thème est complexe et nous sommes en train de le traiter dans d’autres études que nous vous avons remises. Mais sachez qu’il existe un principe fondamental en BIEUIGUU (PSYCHOBIOLOGIE) selon lequel un HOMME DONT L’ESPRIT A ÉTÉ ENDOMMAGÉ DANS SA JEUNESSE OU DANS SON ENFANCE NE POURRA ÉQUILIBRER SON PSYCHISME DANS LA PÉRIODE ADULTE.
Ce principe est en vigueur pour tout le réseau social. L’équilibre spirituel d’un homme, et vous-même le savez bien, quoique vous vous refusiez à appliquer la thérapeutique adéquate, s’obtient seulement par la formation intégrale de l’enfance. Une erreur dans l’orientation pédagogique sera fatale pour l’individu.
Nous prenons un soin particulier dans le contrôle des premières réactions de l’UUGEE ou de l’UYIE. Leurs jeux sont étudiés avec une extrême attention. Les dispositifs que nous leur fournissons durant la première année de leur vie sont parfaitement adaptés pour eux.
Sur ce sujet nous pouvons peut-être vous suggérer quelques idées pratiques réalisables par les parents de la Terre. Et leur attirer l’attention sur les graves erreurs commises dans l’éducation des enfants. Il est clair que nous soupçonnons, avec des raisons fondées, que vous les écouterez peut-être avec attention, pour ensuite ne pas les mettre en pratique. Si malgré la gamme énorme de conseils donnés par les puériculteurs terrestres, les mères continuent à refuser de les mettre en pratique, on peut encore moins l’espérer, venant de la part d’inconnus comme nous, que chacun de vous peut assimiler à des plaisantins ou des fous, et que l’on fasse cas de conseils d’une civilisation que les Terrestres considèrent comme fictive.
Les mères sur UMMO surveillent attentivement le développement initial du petit UGEEYIE (garçon ou fille). Le milieu dans lequel enfant se développe les premiers mois terrestres est totalement différent du milieu réel.
Une des IXAABII (CHAMBRE) du XAABIUANAA (FOYER) est aménagée pour lui. L’enfant est habituellement maintenu dans une ambiance spécialement conditionnée. À ses yeux n’apparaissent pas d’objet complexe mais des taches informes de couleurs vives et grises, qui fluctuent lentement et s’évanouissent rythmiquement, toutes situées à la même distance et dans le même plan.N’oubliez pas que l’enfant n’est pas capable de discerner dans son premier stade, dans ses perceptions embryonnaires, des images visuelles complexes et des relations stéréo-spatiales, c’est-à-dire le relief dans l’espace. Ce qu’un adulte intègre mentalement comme un corps humain, avec sa forme, son épaisseur stéréoscopique, ses couleurs précises et définies, les UUYIE et les UGEE ( FILLES ET GARÇONS) nourrissons, les dissocient d’une façon que vous ne pouvez pas imaginer. Les tâches de couleur sont perçues indépendamment de la forme. Ils ne discernent même pas les couleurs en les différenciant. Une tâche de couleur magenta est captée de la même manière qu’une de couleur orange. Ils ne distinguent qu’entre trois groupes définis de couleur. Quelques-unes des plus vives (vert, jaune, carmin, pourpre) sont confondues entre elles. Le noir, brun foncé, gris, etc., composent un autre groupe différencié indistinctement. Le blanc, les tons appelé » crème » par les Terrestres, et toutes ces couleurs dont la courbe spectrale est presque plane, apparaissent simplement comme du blanc. Et nous suspectons qu’il en est de même chez les enfants terrestres.
Quand vous-mêmes contemplez deux personnes situées à des distances différentes, vous prenez conscience exacte, grâce à la vision binoculaire, qu’elles gardent une relation de distance bien définie. Chez l’UGEEYIE ce n’est pas ainsi. Les deux personnes sont sur le même plan. C’est pareil quand une personne s’éloigne; l’adulte perçoit une réduction de cette taille, alors que pour l’enfant il semble que la figure humaine parfois s’agrandit et d’autres fois se réduit comme si elle était élastique (n’oubliez pas qu’il la voit toujours à la même distance). Ceci conditionne chez les enfants terrestres ces fantaisies transportées ensuite dans leurs jeux et dans leurs rêves de géants et de nain. Nous évitons pour le premier âge ces perceptions déformantes, en stimulant (au moyen de ces taches artificielles dont nous avons parlé) la conscience perspective ou « faculté de perception chromato-spatiale ».
L’enfant d’UMMO peut voir sa mère mais toujours à la même distance et durant le temps que dure l’allaitement. Quand elle s’éloigne, la chambre reste dans une pénombre intense alors que l’attention de l’enfant s’oriente à nouveau vers un autre point. Dans l’IXAABII est installé un petit UULODAXAABI, où écran en forme de calotte hémisphérique, dans lequel est l’enfant. Les images que ses sens captent peu à peu sont conditionnées par l’âge et l’UMMOGAIAO DA (formule d’identification psychotechnique du sujet), des images visuelles qui sont peu à peu plus complexes, des sons parfaitement synchronisés avec des stimulus olfactifs qui peu à peu prennent de plus en plus de complexité au cours du temps.
Concernant le soin maternel, la discipline est très sévère. Les lavages fréquents, malgré un dispositif placé entre les petites jambes contrôlant les premiers Xii (JOURS) les évacuations naturelles du bébé en les neutralisant sous forme gazeuse après qu’elles se soient produites, sont réalisés à des moments fixés à l’avance pour chaque enfant.
L’uugee ou l’uuyie (GARÇON, FILLE) passe graduellement de ce monde artificiel au réel (beaucoup plus complexe) d’une manière graduelle et imperceptible quand sa structure neurocorticale est déjà conditionnée par les habitudes contractées dans un cadre parfaitement réglé à sa mentalité congénitale.
Les parents de Ummo sont entraînés par leurs conseillers sur la voie la plus idoine à suivre en face de n’importe quelle circonstance. Nous allons vous donner un exemple.
L’intérêt de l’UGEE se concentre au début sur ses mains. Petit à petit un tel intérêt s’étends à d’autres zones topologiques du corps. Le réseau cérébral se familiarise peu à peu avec son corps, son volume, les facultés de préhension des doigts (AGRIPPER), etc.. Vers deux mois terrestres, l’UGEEYIE normal d’UMMO essaye de coordonner les mouvements pour atteindre une petite sphère carmin très brillante mise légèrement hors de sa portée. Les mains sont croisées sur le thorax, les coudes ne peuvent pas se redresser. Malgré cette frustration intérieure, malgré cet échec continuel pour cet exercice, il ne répond pas avec des pleurs puisqu’il trouve agréable l’exercice éducatif pour exercer une fonction qui est en train de mûrir, qui suppose l’interconnexion lente des synapses distinctes dans les centres nerveux embryonnaires. Donc : dans cette auto-exploration physiologique, il n’est pas rare que l’enfant découvre ses (parties) génitales et les touche.
N’importe quelle mère ou père terrestre à l’habitude de s’alarmer en identifiant un tel acte comme pratique masturbatoire. La réaction irréfléchie des progéniteurs inconscients et manquants de formation est habituellement de le frapper sur la main ou de répéter maintes et maintes fois, à chaque fois que l’enfant réalise un tel contact : NON, NON !! CA NE SE FAIT PAS !! La réaction immédiate de l’enfant terrestre sera de croire que la mère essaye de jouer avec lui puisque à chaque contact est associé, venant d’elle, une même réaction de sa part et comme il ne comprend pas la signification punitive de la tape ou des mots, il se créera précisément l’habitude que l’on tente d’éviter.
Les parents d’UMMO ont conscience qu’à un âge aussi précoce on ne peut considérer une telle pratique comment réellement masturbatoire. Quand l’enfant tend à toucher ses (parties) génitales on lui attire son attention vers un autre objectif (ET PAS À CHAQUE FOIS QU’IL LE FAIT, car dans ce cas, l’enfant associerait cet acte avec un appel vers cet objectif et pourrait ainsi le convertir en un réflexe). Nous conseillons aux mères terrestres, par manque des moyens techniques dont nous disposons ici, qu’elles ne tendent pas dans un cas semblable à dissuader leurs enfants par des méthodes coercitives. Donnez-lui pour s’amuser un objet brillant (NON ÉMAILLÉ, PAS AVEC DES COULEURS RÉALISÉES AU MOYEN D’ÉMAUX TOXIQUES). Il peut être en aluminium anodisé, en vert ou rouge et aussi en plastique.
LES INSTALLATIONS D’OXUO GAADII.
Dans les rapports précédents nous vous avons indiqué comment nos jeux sont orientés vers le développement intégral de l’OEMII. Sans doute, avec cette expression, reste à expliciter complètement le sens et les significations que nous devons donner aux concepts de développement intégral. Mais nous préférons préciser et nuancer une telle idée.
Nos spécialistes en BIEWIGUU considèrent l’être humain comme un réseau dont les relations de transfert entre ses éléments de base peuvent être exprimées au moyen de paramètres mathématique. Pour comprendre ceux-ci, imaginez un des types de réseau simple familier aux techniciens de la Terre. Un réseau électrique dans un circuit électronique.
Ses éléments de base seraient par exemple : générateur de fréquence, générateurs parfaits de tension et d’intensité (ces derniers n’ont pas encore été obtenus par les physiciens de la Terre), réactances et résistances pures. Tous ces éléments peuvent se combiner en une maille complexe de conducteurs par lesquels s’écoulent normalement différentes intensités de courant, à des fréquences combinées d’harmoniques diverses. Très bien: il suffit de substituer dans ce réseau une inductance (bobine avec ou sans noyau de fer) pour qu’automatiquement s’altère TOUT LE RÉSEAU. Vous comprendrez mieux si vous réalisez l’expérience de substituer dans votre récepteur de télévision une de ses diodes ou tube à vide (élément du réseau) par une autre quelconque. Le plus probable est que l’écran du tube cathodique reste sans image.
Faisons un pas de plus dans cet exemple: supposez que ce circuit électrique ait vieilli. Les potentiomètres de commande ont accumulé de la graisse mélangée avec de la poussière, les condensateurs de syntonisation des circuits se sont recouverts de verre de gris. La pâte d’électrolyte dans les condensateurs de filtrage s’est séchée et on enregistre des fuites entre les connexions des socles des diodes et des transistors. Indubitablement le nettoyage et le changement d’un seul élément ne suffiront pas. Il est nécessaire au contraire de coordonner le rajeunissement de l’ensemble et de chacun des accessoires de base du réseau, puisque vous vous êtes rendu compte que la déficience d’un seul dispositif de base se répercute sur l’ensemble inter-relationné.
L’exemple, comme vous le voyez, est très grossier puisque le réseau de l’OEMMII est d’une complexité fabuleuse et que l’exemple antérieur est aussi primaire que si un expert en terrassement comparait une simple pelle, maniée par un ouvrier, avec une excavatrice dotée de servomécanismes électroniques. Le réseau humain se développe dans son environnement en s’intégrant dans un autre réseau beaucoup plus complexe (le réseau social) de telle manière que la paralysie, la déformation ou l’altération pathologique d’un de ses éléments provoque de sérieux bouleversements sur la personnalité globale de l’individu.
N’importe lequel de vous, et avec vous vos ancêtres de la planète Terre, sait parfaitement ceci. Une simple migraine, une foulure, une vulgaire inflammation peuvent provoquer chez la personne qui en souffre de sérieuses altérations affectives: mauvaise humeur, frustration, baisse de rendement au travail, etc.. La médecine psychosomatique terrestre a toujours traité ces phénomènes en reconnaissant l’importance que de telles altérations somatiques revêtent pour les fonctions mentales de l’individu.
Cependant, vous ressemblez au propriétaire du téléviseur, qui sans le minimum de connaissances nécessaires en électronique, et ayant conscience de l’avarie dont souffre le réseau, tente de « fouiller » le réseau complexe du circuit avec un tournevis pour tenter de localiser la cause. Le plus probable est qu’il dérègle les noyaux de ferrite assemblés avec une grande précision ou provoque un court-circuit dans quelque circuit du récepteur.
Quand, en toute logique, ce qu’il fera est de dérégler encore plus l’équipement, il résultera ensuite qu’il se plaindra ingénument en se lamentant pour la » mauvaise fabrication des téléviseurs « .
En comprenant cette parabole, nous imaginons que vous penserez immédiatement :
» Bien : vous les hommes d’UMMO, qui jouissez d’une civilisation aussi avancée, qui êtes capables de réaliser les ajustements opportuns dans le réseau psychosomatique de l’OEMII (CORPS HUMAIN) jusqu’à obtenir le quasi parfait équilibre bio psychique et même une technique de prévention fœtale qui prémunira l’individu, pour toute sa vie, de nombreux facteurs pathogènes, pourquoi ne nous donnez-vous pas la recette ? Pourquoi ne nous offrez nous pas dans vos rapports une synthèse de tels remèdes : une formule anti-oncologique qui nous protège des tumeurs cancéreuses, une drogue efficace contre les syndromes mentaux, etc., etc.. ? »
Cette demande, chargée d’espoir, est si chargée de résonances angoissées, que ni vous-mêmes n’appréciez l’ingénuité de la formulation, ni nous-mêmes ne pouvons la qualifier de stupide, par profond respect envers la douleur des êtres humains.
Imaginez un pauvre sorcier d’une tribune amazonienne. Que lui répondra un neurophysiologiste qui serait interpellé par lui en le priant de lui enseigner en quelques jours la manière d’intervenir chirurgicalement sur une tumeur du cortex cérébral… Le plus que le chirurgien pourra faire en principe pour ce brave homme , sera de lui enseigner avec patience à lire et lui montrer des planches simples de vulgarisation anatomique (et encore, le plus probable, est que l’indigène se lassera à plusieurs reprises).
Pardonnez-nous cette inclusion nécessaire dans le développement du thème, et nous continuons.
Une évolution de notre connaissance intégrale de l’homme vous a donc montré l’IMPORTANCE TRANSCENDANTALE que n’importe lequel des facteurs en relation avec orps, revêt pour toute la structure de la personnalité.
De cette manière nous avons découvert que le divertissement de l’homme non seulement provoque des réactions tonifiantes dans les fonctions mentales et même dans le développement harmonieux des organes physio-anatomiques, mais aussi que tel divertissement, s’il veut être réellement fonctionnel, doit être planifié spécialement pour chaque individu et avec des règles séquentielles qui, appliquées à un autre individu, non seulement peuvent être stériles mais aussi préjudiciables.
C’est pourquoi, dans le rapport antérieur, nous accentuions le caractère discriminant de notre OXUO KEAIA (ART DU JEU) par rapport aux jeux et sports terrestres. Notre critique n’était naturellement pas orientée contre la bonne volonté que les hommes de la Terre mettent dans les règles de leurs jeux. Indubitablement, beaucoup de tels sports et activités récréatives obtiennent à un certain degré le développement d’une seule faculté, fonction ou organe somatique.
Mais vous-même si vous réfléchissez un peu, vous vous rendrez compte que si chaque homme est une individualité complexe, avec sa propre mentalité et ses traits typiques, et de même que les aliments sont choisis d’une manière variée et discriminante pour chaque personne et que la sélection des lectures est définie pour chaque sujet, il résultera qu’il est aussi absurde de standardiser les règles de jeux en établissant des normes » standard « . C’est comme si dans un hôpital qu’il accueille dans ses lits une variété complexe de malades, le directeur, médecin fou, décrétait que tous les patients soient traités à la fois avec une dose spécifique d’insuline, en chronométrant avec une précision maladive l’intervalle d’injection, et en sanctionnant les transgressions des internes.
L’exemple, quoique grossier, est éclairant. Vous comprenez parfaitement la fonction tonifiante du jeu. Et vous vous consacrer à créer capricieusement une gamme anarchique de règles exotiques de jeux. Indubitablement le dynamisme de quelques séquences sportives développe certains organes du réseau humain (jambes et bras dans le basket, fonction volitives, contrôle métabolique et neuromusculaire dans le yoga, certaines zones corticales dans les échecs, équilibres propriocepteurs et développement neuro-oculaire dans le tir sur cible …) et évidemment, pour tous, le sens de la discipline et des valeurs idéologiques de « l’esprit chevaleresque » et de « l’honneur ». Ces concepts qui pour les hommes d’UMMO sont trop artificiels sont remplacés dans notre réseau social par des valeurs plus transcendantes et rationnelles.
Quand nous allons décrire dans les paragraphes suivants, bien que nous ne le faisons pas d’une façon trop prolixe, les caractéristiques de notre OXUO, vous pourrez remarquer deux points essentiels de divergence avec le sport terrestre : il n’existe pas sur tout UMMO de différentes variétés d’OXUO, mais une seule pour toute notre OYAA (planète). Cependant la complexité des règles dans une même session est tel que non seulement elles sont distinctes pour chaque joueur, mais qu’elles sont aussi fonction du temps c’est-à-dire variants pour chaque situation : comme pour chaque soldat à chaque instant d’une bataille terrestre, les décisions adoptées varient avec la situation.
UMMOAELEWE
Sr D. Fernando Sesma Manzano
Madrid – Espagne
Langue : espagnole.
Nous vous avons informé sur le caractère transcendant de l’OXUO KEAIA (art et technique du JEU) et nous vous avons montré cette transcendance pour notre société parce que nos OXUO, non seulement sont orientés vers le divertissement de l’individu mais aussi remplissent diverses fonctions essentielles.
Qui sont :
le développement intégral du corps qui permet non seulement l’harmonieuse croissance des tissus musculaires mais aussi la formation équilibrée des autres organes de l’OEMII.
– stimuler et développer les facultés mentales de PERCEPTION et de RAISONNEMENT.
– augmenter les tendances grégaires et sociales de l’individu.
– la formation d’une série de réflexes conditionnés adaptés à l’actuelle étape de l’adulte.
L’OXUO KEAIA acquiert avec ces dimensions une réelle valeur thérapeutique, en même temps qu’il perfectionne la structure psychophysiologique de l’OEMII.
Tous les frères de notre société, sans qu’intervienne aucune pression de la famille ou de la part de l’UMMOAELEWE (conseil général de UMMO, composée de quatre hiérarques bien que dans des cas exceptionnels ce chiffre soit plus réduit) acquièrent depuis qu’ils sont UUGEE ou UUYIE (enfants) les habitudes mentales et somatiques de l’OXUO, qu’ils n’abandonneront jamais jusqu’à la mort.
Mais le OXUO KEAIA est un art complexe d’une variété et d’une souplesse infinies. Il sera nécessaire pour le comprendre que vous renonciez à établir des analogies excessives entre lui et les jeux et sports terrestres.
En premier lieu, parce qu’il doit intégrer en lui les deux caractéristiques qui sont sous-jacentes dans ces deux activités terrestres.
Ainsi vous associez aux sports le dénominateur commun et dominant du développement corporel, bien que les facultés mentales interviennent sans doute dans le football, criquet, tennis et karaté.
Dans d’autres jeux au contraire on remarque une prédominance de la stratégie qui exige des joueurs de mettre à l’épreuve leur raisonnement et même leur contrôle affectif, sans que d’autre part, dans certains cas, la rapidité des réflexes et même l’intervention du hasard ne soient négligés.
Nous préférons ne pas faire allusion à certaines modalités appelées par vous jeux de hasard, qui non seulement abrutissent et atrophient les facultés intellectuelles des OEMII terrestres, mais aussi aident, comme dans le cas des loteries et paris mutuels, à provoquer une répartition encore plus injuste du revenu national et par conséquent à troubler l’harmonie du réseau social de cette planète (nous ne nous référons pas aux pays purement socialistes, où, avec un excellent jugement, de telles pratiques irrationnelles sont abolies).
Ainsi dans les pays de la Terre, a surgi une énorme variété de jeux et de catégories de sports, liés aux différentes époques et cultures.
Cependant nous observons un dénominateur commun dans tous. Sauf en de rares exceptions, ils s’en tiennent à un code ou conjonction de normes inflexibles.
Non seulement les instruments matériels de ce jeu seront normalisés (balles, raquettes, damiers.. ) mais aussi les règles qui dirigent la stratégie de son développement sont assujettis à un inflexible RÈGLEMENT ou lois du jeu.
Nous sommes restés stupéfiés par exemple en observant comment dans des affaires qui touchent à la vie communautaire et sociale : épisodes de vie grégaire qui touchent à la religion et à la conduite avec les autres OEMII du cercle restreint de la famille et amis, et même ceux qui intéressent leur santé et leur intégrité physique, les hommes de la Terre se montrent si anarchiques, si irrationnels, seulement faiblement régis par de faibles règles qui le plus souvent ne sont pas respectées, alors qu’en revanche, en ce qui concerne les règles de jeu, vous arrivez à des extrêmes d’exactitude et de précision véritablement maladives (propre à certaines maladies hystéroïdes ou psychasthéniques compulsifs )
Il n’est pas rare d’observer dans les compétitions sportives l’usage d’équipements de chronométrage qui enregistrent des variations de l’ordre de micro secondes pour constater l’instant précis auquel un sportif est arrivé au but, où l’exorbitante règle avec laquelle les joueurs d’échecs se décident à faire annuler un coup intelligent de l’adversaire parce que le nombre de mouvements autorisé par heure a été dépassé d’un tout petit peu.
Ceci nous conduit à déduire qu’en effet, vous être aptes à développer plus rationnellement votre réseau social, vos coutumes et votre politique économique, ainsi que vos formes de gouvernement, en inversant les termes et en établissant une échelle de valeurs plus conséquente, dans laquelle vous mettriez plus d’accent sur la discipline dans les domaines véritablement transcendants, et en étant plus tolérants et moins pointilleux sur les aspects de l’activité humaine peu importants.
Parce que toutes vos normes rigides dans le déroulement du jeu et du sport s’expliqueraient, si vous étiez arrivés comme nous à développer l’activité ludique comme une forme intégrale et transcendante de l’éducation, en étudiant avec rigueur scientifique non seulement les formes les plus adéquates du OXUO mais aussi en vérifiant au moyen des processus empiriques de laboratoire de psychophysiologie les résultats de telles méthodes sur l’organisme et sur l’activité neurocorticale. Mais en réalité, le panorama qui nous est donné à contempler concernant les sports et jeux terrestres est désolant. Beaucoup de normes qui dirigent de telles activités sont nuisibles pour l’organisme, en développant certains facteurs du métabolisme histologique et mental, pour laisser les autres dans le plus grand abandon, quand ils ne sont pas abîmés ou que ne soit provoquée leur atrophie. Et ce dernier point ne vous est pas inconnu.
Avec tout ceci, nous ne désirons pas exprimer que notre OXUO manque complètement de règles codifiées. Au contraire la complexité de celles-ci est telle qu’elles doivent toujours être programmées par le XANMOO AYUBAA , qui n’est rien qu’un réseau de grands ordinateurs ou comme vous les appeler incorrectement CERVEAUX artificiels (qui ne sont pas à base électronique comme chez les terrestres. Voyez les rapports techniques déjà remis). Jusqu’à tel point que jamais les joueurs n’arrivent à connaître toute l’énorme complexité de la stratégie qui doit se développer. L’exemple suivant facilitera la compréhension.
Imaginez une des batailles réelles auxquelles les hommes de la Terre sont malheureusement très familiarisés. Les soldats qui interviennent connaissent parfaitement le secteur dans lequel ils se déplacent. Ils sont même conscients à chaque instant de la stratégie qu’ils jugent la plus efficace. Mais ils ne connaissent pas la tactique de l’ennemi et ils ne connaissent pas plus le caractère stratégique de leur propre mouvement qu’ils comprendront mieux le lendemain. D’autre part, les soldats comme les officiers de grade subalterne ignorent les intelligentes et nombreuses méthodes et les critères stratégiques du haut commandement.
Elles existent, oui, les règles de stratégie théorique; mais en un instant donné pour chaque cas concret, de telles lois générales, dont la flexibilité est nécessaire si l’on désire une efficacité rationnelle, ont besoin d’être ajustés.
Nous ne concevons pas par conséquent le jeu dans les étroits moules dans lequel vous le maintenez. Ainsi par exemple les jeux les plus rationnels entre vous, comme le sont par exemple les échecs, nous le considérons affecté de cette rigidité stratégique qui développe dans le cortex cérébral un complexe de réflexes et de connexions neuronales, sans éduquer le reste des zones corticales.Vous pouvez vous-mêmes vérifier comment cette gymnastique mentale, le jeu d’échecs, n’a jamais développé les facultés mathématiques d’aucun terrestre. Les célèbres joueurs qui parmi vous arrivent à s’affronter dans des simultanées ou à l’aveugle ne se sont pas, par la suite, illustrés dans le champ de la philosophie, de la physique théorique ou dans celui de la topologie. Cette gymnastique est donc stérile. Elle donne la capacité à ceux qui l’exercent de connaître plus profondément la stratégie du jeu, pour devenir de véritables maîtres dans les ouvertures ou dans les finales, mais ce n’est pas pour cela, au contraire de ce qu’estiment des personnes ingénues, qu’ils seront de meilleurs stratèges de guerre ou des meilleurs politiques.
Notre OXUO se déroule dans des enceintes excavées dénommées par nous OXUO GAADII.. Il s’agit de fosses dont les dimensions ne sont pas non plus normalisées. La forme est rectangulaire comme une piscine terrestre. Les dimensions varient depuis les gigantesques installations de 0,3 KOAE (2,9 km de longueur) jusqu’aux OXUO GAADII. des petites colonies de XAABIUANAA (habitations) qui mesurent 22 x 46 Enmoo et une profondeur de 12 ENMOO (1 ENMOO équivaut à 1,87 m).
Mais ces fosses ne sont évidemment pas vides. Dans le prochain rapport nous enverrons une image graphique et schématisée qui facilitera votre compréhension puisque nous ne trouvons pas d’exemple terrestre suffisamment expressif pour le comparer.
Un hypothétique observateur qui arriverait de la Terre et qui contemplerait ces installations si étonnantes pour vous, se trouverait perplexe devant un réseau embrouillé de grandes barres métalliques, passerelles de forme irrégulières, masses visqueuses d’une substance translucide et gélatineuse qui paraît flotter dans le vide, étranges tubes flexibles par lequel peut passer commodément une personne, et des tourbillons d’une masse gazeuse saturée de vapeur, qui adopte la forme de sphères ou paraboles de révolution. Tout cela dans un lent mouvement continu. Depuis une UEWA (nef volante) toute cette masse métallique semble bouillir.
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Les nuits d‘UMMO sont froides même durant les périodes où notre Astre IUMMA dirige ses rayons presque perpendiculairement sur les régions équatoriales.
Vers 575 UIW, tous les habitants du XAABIUANNA (MAISON) se retirent pour commencer leur repos. Dans un rapport antérieur nous vous avons indiqué comment nous consacrons quotidiennement une fraction du temps au sublime objectif de la méditation et de la prière. Cet intervalle est rarement inférieur à vingt UIW.
GEE et YIE (HOMME ET FEMME) restent seuls dans leur IASAABII (chambre) hermétiquement fermée, isolés acoustiquement de l’extérieur (note 1). Vraiment seul, un sifflement suave quasi imperceptible révèle le fonctionnement des tuyères de renouvellement d’air.
Au-dessus, les Astres, dans un ciel peu nuageux, brillent au travers de panneaux transparents du toit. Peut-être cette nuit, les fines bandes brillantes aux suaves tons verdâtres, que l’UULIBOOA (espèce d’aurore Boréale) présente à haute altitude, embelliront étrangement le firmament. Alors notre esprit n’en sera que plus enclin à la prière.
Les parements de l’IAXAABII brillent avec une suave couleur magenta ou violette. Nous choisissons pour cet instant ces tons qui prédisposent psychologiquement le cerveau pour ces fonctions mentales, plus en liaison avec la pensée religieuse. Violet, vert, bleuâtre, cyan et pourpre, avec un faible niveau lumineux, sont les couleurs sélectionnées.
(Note 1) L’insonorisation des parois est obtenue par des moyens très complexes, car les coefficients d’absorption et transmission acoustiques sont variables à volonté. Il serait complexe de vous donner des détails et d’enregistrer les unités physiques utilisées par cette technique. Par exemple : les niveaux sonores ne sont pas évalués à l’aide d’une fonction logarithmique comme vous le faites sur Terre par une mesure en décibels. L’absorption, uniforme pour toutes les fréquences acoustiques se réalise au moyen de produits moussants qui se solidifient et se liquéfient à volonté pour obtenir différents niveaux de densité de bulles. Les fréquences de niveau sonore et de tonalité constante sont compensées au moyen de membranes acoustiques qui, excitées par un générateur contrôlé et situées à l’intérieur des parois mêmes, vibrent à la même fréquence mais en inversion de phase (solution que nous vous proposons car la technologie terrestre aura bientôt des moyens adéquats pour utiliser cette méthode dans la résolution d’enceintes anéchoïdes** ou de faible coefficient de réverbération (temps de R = quasi nul). En résumé, le procédé consiste à détecter la fréquence perturbatrice (BRUIT CONSTANT) pour la régulation automatique d’un équipement semblable aux oscillations d’audio-fréquences terrestres, avec cependant la différence que les nôtres ne fonctionnent pas à base de circuits électroniques. La puissance acoustique engendrée est canalisée pour une partie vers ces membranes de grande superficie et pour l’autre partie vers des différences de sons qui ne fonctionnent pas comme les haut-parleurs terrestres mais par contrôle thermique d’une colonne d’air (on a totalement éliminé l’inertie thermique du gaz). Fin de la note 1.
**(néologisme franco-espagnol forgé par les ummites : qui ne donne pas d’écho NDT)
Et l’OMGEEYIE (couple) assis dans chaque XAXOOU (chaise de fosse) tourne les yeux et se contemple lui-même. Ils s’auto-analysent en invoquant en premier lieu dans le champ de leur conscience, les actes du XII (jour d’UMMO), ensuite commence tout un processus mental dans lequel chaque membre du couple spécule sur son existence enracinée dans la société dans laquelle il vit et agglutinée au sein du WAAM. Il s’offre à WOA qui l’a créé et imprègne sa pensée avec le souvenir de d’UMMOWOA le Dieu qui, incarné pour apporter la vérité, mourut parmi les terribles martyres de la vivisection.
Il n’y a aucune expérience mystique. Toute l’union avec leur WOA (DIEU) se circonscrit au niveau du raisonnement non exempt d’une vive réaction affective. Nous sentons le plaisir esthétique de notre équilibre spirituel, et plus est grand le degré de certitude en rapport au mode positif lequel nous avons accompli en ce XII (JOUR) les divins UUAA (LOIS RELIGIEUSES), plus est grande alors l’humble satisfaction intérieure que notre personnalité ressent.
Nos objectifs religieux suprêmes, en dehors de nous reconnaître comme engendrés par WOA, consistent à concéder à chacun de nos frères une importance supérieure à celle que nous nous octroyons égoïstement.
>== AGUIRRE SEULEMENT
Notre esprit de service orienté vers le frère (PROCHAIN) et surtout vers la Société dans laquelle nous sommes immergées, constitue pour nous une véritable idée obsessionnelle.
Le plus petit échec personnel concernant la véritable cristallisation de cet esprit d’entr’aide peut nous provoquer de sérieux tourments affectifs ou sentimentaux. L’homme acquiert la conscience de culpabilité et dans sa prière et méditation nocturne, il reconsidère sérieusement sa conduite, essayant de trouver des voies psychologiques pour renforcer ses réflexes ou habitudes mentales, pour perfectionner sa conduite future avec ses familiers, ses amis, ses supérieurs ou ses subordonnés.
Nos tendances grégaires sont très accusées. La solidarité avec la masse des individus qui nous entourent dans notre vie quotidienne est très profonde. Un de nos frères regrettera beaucoup plus une faute commise contre la collectivité, contre la société qu’une transgression d’une UUAA (LOI MORALE) qui nous engage envers un frère isolé.
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Les faibles signaux acoustiques des 10 UIW (un peu plus de minuit, en parlant en langage terrestre) peuvent marquer la fin de la Méditation.
Deux époux entament dans l’obscurité la très brève tâche de se dévêtir, adoptant immédiatement les mesures antiseptiques d’hygiène personnelle moyennant l’ablution par une solution adéquate qui est rarement parfumée et par la pulvérisation et une irradiation contrôlée sur les yeux, la bouche et les fosses nasales.
L’ablution s’effectue au sein d’une masse turbulente d’eau qui se renouvelle à grande vitesse dans ses différents degrés de dissolution, température et vibration ultrasonique. Pour cela chaque personne s’introduit totalement dans le XAXOOU (CHAISE) dont la plate-forme inférieure descend le niveau, ensuite la fosse se remplit de liquide pendant qu’une couverture transparente composée d’une plaque semi-fluide, qui se solidifie rapidement, protège le carrelage du XAABI des éclaboussures.
L’habitude d’ôter ses vêtements sur notre planète complètement dans le noir ne doit pas être interprétée par vous comme le fruit d’une ancestrale réaction de pruderie, car s’il est vrai que notre spécial instinct de pudeur qui nous fait subir de véritables traumatismes psychologiques quand nous nous voyons nus devant une autre personne est très accentué dans notre Société, il faut savoir aussi qu’il est irrationnel quand il s’agit d’un OMGEEYIE (COUPLE) où le degré d’intimité est très élevé.
La vérité est que notre mentalité à ce niveau est différente de la vôtre. Le seul acte de transition entre rester recouvert par les EEWEE (VÊTEMENTS) et de se dévêtir, représente pour nous un contenu érogène si intense que nous pouvons seulement le comparer sur Terre à la réaction de ces perversions sexuelles que les psychiatres terrestres qualifient avec l’appellation de Travestis.
Ceci provoque automatiquement, chez les individus des deux sexes, l’orgasme dans la majorité des cas. La mesure adoptée d’annuler l’éclairage dans l’IAXAABI (chambre ou pièce) est préventive pour neutraliser le déroulement d’une telle réaction.
La brève vision du conjoint dévêtu est par contre acceptée normalement dans les mêmes conditions que pour les habitants de la Terre.
Un bref sifflement inaudible suivi d’un autre modulé, tous deux par exemple à 23.000 cycles par seconde, provoquent l’apparition des WOOIA (IMAGE 19). Leur forme est toroïde et présente sur sa surface supérieure une densité appréciable de petits orifices ou tuyères.
Le WOOIA s’élève dans l’air sans aucun support venant du sol ou ornement. Il reste suspendu en lévitation dans le « vide » par l’action d’un puissant champ de forces électromagnétiques. De lui s’écoule une substance qui se transforme en conglomérat alvéolaire ou mousseux qui rappellerait aux chimistes terrestres la mousse de polyuréthane. Le produit que nous utilisons est moins dense, anti-électrostatique, il se solidifie rapidement, non sans qu’un dispositif de contrôle thermique dirige le processus pour que la mousse s’étende dans l’espace en adoptant la forme d’un parallélépipède fractionné avec une espèce de fosse centrale qui permet le positionnement du corps humain.
Durant la période du WOI WOI (Sommeil) nous nous couvrons absolument pas le corps. Nous n’avons pas de tissus semblables aux draps ou pyjamas, couvre-lit ou couvertures que vous utilisez tant sur Terre.
Il est bien vrai que notre contrôle de l’environnement, au niveau de la température et du degré d’humidité, est parfait à l’intérieur des IASAABII (CHAMBRES) et que les jours où nous dormons en plein air (presque 40% du temps total), la température doit atteindre la limite que l’organisme humain peut supporter sans une altération dangereuse du métabolisme.
Comme exemple du fait que pas même nous, malgré le degré de civilisation atteint, n’avons déraciné encore certaines étranges formes de conduite qui ne sont pas préjudiciables pour l’organisme ou pour les facultés mentales, mais qui sont irrationnelles et stériles; nous vous dirons que de nombreuses personnes d’UMMO dorment en position « decubitus ventral » (comme vous la nommez) ou en « decubitus latéral ». L’origine date d’il y a des milliers d’années UMMO, au moment où les scientifiques découvrirent les IBOONEE (Rayons Cosmiques) et leur action modificatrice sur les cellules germinales des organes génitaux (ovaires et testicules), ces rayons étaient capables de provoquer des altérations génétiques. On considéra que l’individu pourrait mieux se protéger de ces radiations pénétrantes en ne se couchant pas sur le dos mais en opposant le plus grand noyau de masse musculaire possible.
Aujourd’hui nous savons parfaitement qu’une si faible protection ne justifie pas des habitudes de positions si rigides, mais malgré tout, les réflexes de l’habitude ont persisté chez les gens.
Nous les habitants d’UMMO, nous avons acquis avec le temps une sensibilité cénesthésique spéciale. Ainsi comme vous êtes capable d’évaluer de petites différences de poids au moyen d’instruments délicats (par exemple si vous installiez une balance terrestre à l’intérieur d’une chambre pour comparer deux masses : un kilogramme de fourrage ou de paille sur un des plateaux et un kilogramme de plomb sur l’autre plateau, et que vous observiez que l’aiguille de la balance s’incline en faveur du plomb), nos senseurs propriocepteurs sont capables de discriminer, bien que sans valeur quantitative, de petites différences dynamiques.
Cette sensibilité, présente pour nous une nouvelle source de plaisir psychologique : des vibrations dynamiques qui pour vous ne représentent pas plus qu’une sensation bizarre, dépourvue de réactions agréables, peuvent constituer pour nous une nouvelle diversion. Si le flottement dans le vide dont vous avez fait aussi l’expérience dans les voyages spatiaux (nous choisissons l’expression « le vide » pour interpréter le « flottement » dans un milieu dans lequel peut exister un gaz, mais dans lequel le champ de gravité terrestre est faible ou son effet compensé par des forces négatives ) peut donner chez vous des résultats désagréables sur le sens de l’orientation provoquée par les troubles vestibulaires (oreille interne), ce flottement dans le vide peut chez nous provoquer des réactions aliénantes.
Mais au contraire la position du corps au sein d’une masse de mousse solide et flexible, suspendu dans l’air comme l’est le WOIOA (lit), accompagné d’un doux balancement apporté par les infimes variations de l’accélération, provoque des états affectifs ou émotionnels beaucoup plus intenses que chez vous.
Comme cas curieux nous vous dirons que quand, ici sur la Terre, nous nous voyons obligés de monter dans des ascenseurs dont les grandes vélocités exigent de fortes accélérations aux points d’arrivés (ascenseurs dans les immeubles très haut ), nous nous voyons franchement gêné pour contrôler nos gestes de plaisir qui peuvent ressembler à la mimique inconsciente au cours de l’orgasme sexuel.
Juste couchés, commence une première étape en laquelle le plaisir cénesthésique (ou Kinesthésique) joue un rôle très important. Aucun des époux ne s’oriente encore vers l’autre. Les deux jouissent indépendamment des émotions authentiquement esthétiques qui leur sert de sédatif préalable. Aussi inoffensifs et licites que peuvent être la musique chez vous ou l’inhalation de parfums chez nous.
Dans un prochain rapport nous nous étendrons sur nos pratiques sexuelles, notre morale sexuelle et le contrôle de l’ovulation ou URAIWO KEAIA équivalent pour vous au contrôle des naissances.
RAPPORT D’EXPLICATION POUR MONSIEUR D. FERNANDO SESMA MANZANO
Quand je me trouvais en train de dicter les paragraphes contenus dans le rapport joint, se référant à nos pratiques habituelles dans les UIW qui précèdent le sommeil, notre gentil ami espagnol qui dactylographie toutes nos notes nous a attiré l’attention, surpris, sur une affirmation que nous formulions dans le rapport mentionné.
En toute logique nous avions cru qu’il n’était pas nécessaire de faire une déclaration sur un sujet que les terrestres devait connaître car il traite d’un concept physique habituel présent dans tous les traités élémentaires de cette science. Sinon nous nous verrions obligé chaque fois que nous prononçons un mot ou énonçons une affirmation banale de la démontrer à la lumière de la science terrestre commune.
Nous nous référons à l’affirmation que nous avons intercalée en guise d’exemple. :
(… En installant une balance terrestre à l’intérieur d’une chambre pour comparer deux masses : Un kilogramme de fourrage ou de paille sur un des plateaux et un kilogramme de plomb sur l’autre, en observant que le fléau de la balance s’incline en faveur du plomb …).
Nous avons observé un geste d’autosuffisance et un ton goguenard chez notre ami (un expert commercial qui nous aide) et la question agressive et mordante de celui qui, dans son ignorance, se réjouit intérieurement de « nous avoir surpris dans l’erreur » et bien qu’ensuite humblement il a reconnu son erreur, son geste nous a remplis de tristesse.
Non pas pour le ridicule dans lequel se trouve la personne ignorante qui en essayant de corriger ses frères commet une erreur encore plus grave, mais pour la malsaine tendance qui vous pousse à humilier vos proches quant ils font une erreur, pour la précipitation avec laquelle vous jugez les fautes de vos frères, sans les soumettre avant même à une analyse superficielle pour vérifier qu’en effet il s’agit d’une erreur.
Nous ne voulons pas, par ceci, vous indiquer que l’attitude la plus idoine ou morale est de toujours se taire et de ne pas opposer d’objections : au contraire : vous les terrestres devez être animés par une véritable obsession à vous former, à vous éduquer, à apprendre. Et pour cela vous devez questionner. QUESTIONNER SANS CESSE, présenter des objections quant vous ne comprenez pas quelque chose. Mais TOUJOURS avec humilité, avec précaution, avec l’esprit prédisposer à admettre que la raison PEUT NE PAS ÊTRE DE VOTRE PART. En repoussant tout dogmatisme et parti pris qui dans le fond constitue un des facteurs qui font que vous êtes malheureux sur cette planète.
Présenter agressivement une attitude de doute devant les affirmations des autres, être tapie pour bondir sur un frère, en l’accusant d’être dans l’erreur pour l’humilier devant les autres et sentir en vous-mêmes une morbide allégresse de sadisme triomphant, est une triste manière de ne pas évoluer, de stagner dans le stade immobiliste des aliénés par le dogmatisme.
Il vous suffira de lire un traité élémentaire de physique pour vous rappeler un principe que vous appelez du nom de PRINCIPE D’ARCHIMÈDE. Toute Masse immergée dans un fluide quelconque (LIQUIDE, GAZ, PLASMA) est soumise à une poussée dynamique de signe contraire à la force de gravité. Ce principe est valable dans tout champ gravitationnel. LA FORCE DE POUSSÉE à une valeur équivalente au poids d’un VOLUME IDENTIQUE du FLUIDE DÉPLACÉ par cette masse. C’est-à-dire : un kilogramme masse de fer dans un récipient plein de mercure NE PÈSERA PAS UN KILOGRAMME POIDS, non plus qu’un KILOGRAMME MASSE de plomb ne pèsera pas exactement un kilogramme poids à l’intérieur d’une chambre remplie du » FLUIDE AIR « . Et le KILOGRAMME MASSE de fourrage ou paille se verra soumis aussi à une poussée plus grande due à son volume plus important.
De telle façon qu’il serait faux d’affirmer qu’un kilogramme masse de plomb pèse comme un autre de paille si nous faisons la comparaison dans l’air, comme de coutume. Cela ne sera vrai que (ET SEULEMENT À MOITIÉ À CAUSE DE L’INTERVENTION D’AUTRES FACTEURS QUE NOUS N’ÉNONÇONS PAS ICI) si vous vérifiez la pesée dans le VIDE ABSOLU.
Il est clair que la différence est quasi imperceptible et nécessiterait une balance d’une grande précision pour le constater. C’est pourquoi nous vous donnions cela comme un exemple concernant notre sensibilité cénesthésique capable de discriminer de très petites différences dynamo musculaires.
Nous vous envoyons ce rapport accessoire afin d’éviter une fausse interprétation. Il n’est pas nécessaire que vous le donniez à vos amis et familiers si, comme c’est à espérer, ils n’adoptent pas une attitude pédante de critique concernant l’observation citée. Mais dans le cas contraire il serait utile de la lire aux détracteurs pour lever les malentendus. Nous comprenons que nous devrions toujours agir ainsi lorsque le risque d’être mal compris existe au long des rapports. Mais nous ne vous cachons pas que les explications accessoires devraient se multiplier jusqu’à l’infini. Imaginez ce que cela supposerait parfois en énorme montagne de pages dactylographiées.
Écrit par DA3 fils de EYEA 502.
Soumis à DEII 98, fils de DEII 97
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO
Le champ électromagnétique généré par un AAXOO (Oscillateur de base nucléaire capable d’émettre de grandes puissances) peut se modifier pour moduler aussi bien les douces oscillations du WOIOA (espèce de divan lit) que sa situation dans l’espace.
Quand le GEE (époux) ou la YIIE (épouse) désirent rapprocher leurs WOIOA respectifs, il leur suffit d’encoder les ordres opportuns au moyen d’un signal acoustique de fréquence inaudible. Aux spécialistes en ordinateurs ou traitement électronique de l’information nous dirons comme information curieuse, que les transducteurs ultrasoniques qui captent les ordres codés n’envoient pas directement le signal aux servomécanismes ou BUUTZGOIA. Ces données passent d’abord par un XAANMOO (espèce d’ordinateur) qui analyse le caractère logique des ordres. Si la personne qui a lancé le sifflement ultrasonique a commis une erreur explicable, le XAANMOO réalise une rapide analyse statistique sur les probabilités qu’un tel signal puisse être émis à ce moment. Par exemple, il peut être absurde à 70 UIW, quand tous dorment, que quelqu’un puisse émettre l’ordre d’occulter dans le sol le WOIOA (lit). L’ordre alors n’est pas obéi, à moins que par de nouveaux signaux codés ne soit justifiée à nouveau une telle décision.
En réalité tous les équipements automatiques d’UMMO possèdent ces dispositifs d’analyse logique. Vous-mêmes devez comprendre comment une civilisation qui a atteint un haut degré d’automatisation doit être protégée des erreurs involontaires de ses frères. Un son mal modulé, quand nous voyageons par exemple dans un quelconque UEWA (véhicule), pourrait provoquer une catastrophe si les mécanismes ne disposaient pas de ces contrôles de fiabilité des ordres humains.
Les deux WOIOA (Lits de mousse en lévitation) se rapprochent jusqu’à être au même niveau. L’épouse et l’époux peuvent, s’ils le désirent, initier leur contact conjugal.
Nos relations de type sexuel se développent sur un plan différent des terrestres. En premier lieu la psychologie sexuelle diffère de celles des OEMII (hommes et femmes) de cette planète.
L’éducation se développe sur des canons différents et enfin les pratiques et habitudes adoptées présentent bien sûr des différences spécifiques. Nous allons tenter de résumer une matière si complexe.
L’évolution sexuelle se développe par des procédures physiologiques et psychologiques qui montrent des divergences marquées. Tout d’abord la puberté commence chez les UGEE et UUYIE (enfants) vers les quatorze ans terrestres pour les premiers, la première menstruration survient entre 15,5 et 16,6 années pour les filles.
Un facteur important à considérer est la localisation des zones épidérmiques auxquelles s’associent une tonalité érogène marquée. Chez la YIE (femme) de telles zones érogènes se localisent dans les organes reproducteurs externes, le ventre et les fesses, les seins et les hanches. La plus grande insensibilité se trouve sur les zones faciales (pas même sur les lèvres), les cuisses et la gorge. Chez le GEE (Mâle) la localisation pour les tendances de la libido féminine s’oriente sur l’organe reproducteur, ventre et fesses.
Ne vous étonnez donc pas que le baiser manque totalement de signification sexuelle pour nous. Cette pratique seulement connue sur cette Planète Terre pourrait être considérée comme répulsive pour nous, puisque sans finalité érotique, nous la jugeons comme anti-hygiénique et stérile.
Le début de l’orgasme se réalise en général par voie tactile avec les mains. La caresse dirigée sur les zones érogènes provoque en nous un effet émotivo-sexuel bien supérieur à celui obtenu par vous.
La technique du coït présente une grande analogie avec les pratiques occidentales de la planète terre. Nous ne connaissions pas et nous avons prouvé l’inutilité de certaines formes conseillées par la philosophie hindoue et japonaise. Deux différences peuvent cependant être signalées : la défloration n’est jamais réalisée par une autre personne que l’époux. Il n’existe pas de technique d’hymenectomie dans la pratique chirurgicale, réalisée par des spécialistes de « médecine « .
La mesure du plaisir (PAS SEULEMENT SEXUEL ) nous la réalisons au moyen de l’évaluation d’une fonction, reflétée par une gamme de champs électrostatiques générés par le cortex cérébral. Celui-ci nous permet de vous indiquer comme chose curieuse que la durée de l’orgasme et son intensité relative sont mieux équilibré entre les hommes et les femmes d’UMMO qu’entre les terrestres pour lesquels la durée est plus accentuée chez le sexe féminin.
La psychologie sexuelle revêt pour nous une importance aussi marquée que pour les habitants de la Terre. Cependant tout ce qui est en relation avec la fonction reproductrice est totalement sans préjugé ou sans, comme vous les appelez, » TABOUS « .
L’éducation sexuelle pour nos UUGEEYIE ( garçons et filles) commence à un âge plus précoce que celui qui correspond à l’orée de l’adolescence. D’autre part la formation est imprégnée d’un profond sentiment religieux.
Aucune autre des fonctions biologiques n’éveille en nous une plus grande identification avec WOA (Dieu) que la génétique. Nous ne comprenons pas comment quelques civilisations de la Terre ont pu corrompre et masquer un des processus les plus passionnants de la vie, comme s’ils avaient honte de ce que WOA (Dieu) a généré. Nous, les quelques membres de ce petit groupe d’hommes d’UMMO, déplacés sur la péninsule ibérique, sommes restés surpris en vérifiant la série de mythes paternalistes que les progéniteurs introduisent dans les mentalités infantiles.
L’occultation de la vérité, par des légendes mièvres, faisant (entre autres exemples) référence aux « cigognes » déforme sauvagement l’éducation embryonnaire des UUGEEYIE. Comment les adultes terrestre peuvent-il s’étonner que leurs enfants, au moment ou ils ont accès à la vérité, elle-même déformée par leurs jeunes compagnons scolaires, perdent tout respect et confiance dans les « dires de leurs parents » ? .
Ce premier stade de l’éducation, nos frères d’UMMO l’initient personnellement à leurs enfants, bien avant que ceux-ci n’intègrent les UNAWO UI (centres didactiques)
L’orientation est dirigée avec l’assistance du réseau mondial d’ordinateurs (XANMOO AYUBAA ) qui indique aux parents, en fonction de la psychologie de chaque enfant, le chemin didactique à suivre et résout les doutes qui peuvent apparaître à certains niveaux.
Le processus pédagogique se déroule presque toujours à l’intérieur de l’UULODAXAABI. C’est une chambre ou pièce qui n’est jamais absente dans les XAABIUANNAA (Maisons) sur notre UMMO. Elle est généralement placée dans la partie la plus haute des superstructures du XAABI, et a la forme d’une coupole parfaitement hémisphérique (l’accès est par le sol, puisque cette forme sphéroïde n’a pas de porte).
Par des ordres codés, toute la superficie sphérique de l’UULODAXAABI présente une image tridimensionnelle qui entoure complètement l’individu, lui donnant la sensation de se trouver submergé en pleine action. Vous pouvez l’imaginer comme un cinéma avec les techniques de » Cinérama » dans lequel l’écran est étendu jusqu’à couvrir tout le champ possible de vision, excepté le plan de sustentation ou le sol.
Deux sources de captation des images existent dans chaque foyer d’UMMO. L’une personnelle, intégrée dans un équipement AAXOO UAXOO (émetteur récepteur), stocke au moyen d’une unité statique de DIIO (Titane) les signaux chromatiques tridimensionnels qui doivent constituer l’image.
Le système d’intégration des images diffère totalement de celui employé par les systèmes de télévision terrestre, dans lesquelles l’image est explorée ou balayée par un faisceau de rayons cathodiques dynamique. L’image obtenue par nous accède au contraire directement à l’UEIN GAA EIMII (écran de visualisation), au moyen d’une infinité de cellules terminales d’autant de fibres optiques, dont les sections atteignent seulement quelques microns terrestres. Dans la perception visuelle de cette image n’intervient pas la persistance d’images rétiniennes ni l’effet psychologique ou phénomène PHI connu par les spécialistes terrestre de psychologie.
Cette source d’information que nous pourrions appeler « domestique » emmagasine une copieuse documentation graphique. Vous pouvez penser que dans nos XAABII ou maisons, nous possédons une bonne bibliothèque, des albums de photographies tridimensionnelles et de la musique ou des paroles enregistrées sur disque ou bandes.
Rien n’est plus loin de la vérité. Le matériel graphique utilisé sur notre planète a un caractère provisoire et n’est utilisé que dans des cas particuliers. Nous regrettons de désenchanter les spécialistes en arts graphiques de la Terre, mais sur notre UMMO il n’existe rien de semblable aux procédés de composition typographique, à l’offset, à l’héliogravure ou à la sérigraphie. Ni même ne subsistent les procédés qui gardent certaines similitudes avec la reprographie xérographique ou avec les procédés modernes que vous utilisez de projection électrostatique de couleur (ne pas confondre avec la xérocopie) . Jamais pourtant nous n’avons connu les linotypies. Nos antiques appareils diffèrent assez des actuelles machines planes, des minerves (petites machines à imprimer) et des grandes rotatives terrestres (lisez le rapport accessoire).
Les photographies et les images mobiles sont stockées codées sous forme d’états quantiques au sein d’un cristal de titane (nous n’employons pas le système binaire mais « duodécimal »). Les dessins une fois tracés sur des plaques spéciales, se reproduisent photo-statiquement par un procédé différent de ceux des UULODOO (photographie : appareils photos). Les textes manuscrits se décodent automatiquement en transformant les traits maladroitement tracés sous forme de caractères officiels de notre langage.
La parole reçoit un double traitement. Les phonèmes sont enregistrés dans leur version originale pour être reproduit ultérieurement, comme vous pouvez le faire vous-mêmes sur un magnétophone, mais en même temps sont analysé les différentes voix ou sons et ils sont transformés en caractères officiels lisibles. Chacun de ces documents intimes pour la famille est classé avec une série de chiffres de code qui permet de les sélectionner suivant le besoin. Si l’un de nos frères désire lire un de ces textes, ou contempler une séquence d’images mobiles correspondantes à une vieille fête familiale, il se rend dans son UULODAXAABI, et dans une partie du grand GAA (écran) sphérique il peut lire le texte ou contempler l’image.
La seconde source d’information visuelle est le XANMOO AYUBAA . Ce réseau qui couvre tout Ummo, non seulement fournit le conseil sur les fonctions scientifiques ou offre ses services de calcul ou règle le trafic des UEWA entre autres nombreux services. Il envoie aussi tout type d’images aux habitants des XAABII (maisons) depuis des textes polygraphiés jusqu’à des vues panoramiques des belles régions polaires. Depuis des reproductions de vieux documents historiques jusqu’à de simples images pédagogiques pour l’apprentissage de l’enfant. Depuis des images animées (vous les appelleriez cinématographiques) qui occupent tout le GAA (écran hémisphérique) correspondantes au processus de fabrication des fibres optiques dans une fabrique située à des centaines de KOAE, jusqu’à la vision d’un de nos enfants durant l’UAMII (repas) dans le UNAWO UI (colonie universitaire).
Bien plus: les YIE (épouses) peuvent commencer l’éducation sexuelle de leurs enfants en offrant au moyen de l’UULODAXAABI une séquence de dessin ou d’images élémentaires qui montrent le processus de reproduction. Nous accordons à l’enseignement par l’image beaucoup plus d’importance que ne le font les terrestres. La sobriété chromatique et des formes dans les dessins destinés à l’enseignement des premières années est soigneusement calibrée. Un dessin où une photographie qui peut satisfaire un UUGEE (enfant), peut-être inefficace d’un point de vue didactique et même contre-indiqué pour un autre.
Les petits vont prendre conscience de l’importance des fonctions reproductrices en reliant ces concepts à l’idée de la génération du WAAM par WOA (Dieu). L’enfant apprécie depuis sa première enfance le caractère sublime de la maternité. Il commencera à comprendre et penser de très bonne heure le processus de la gestation. La tendresse avec laquelle un enfant enveloppe sa mère quand elle se trouve dans cet état est une réaction commune dans l’enfance.
Mais à la frontière avec l’adolescence (avec le début de la puberté) peuvent surgir dangereusement les habitudes d’onanisme. Il existe sur ce point un parallèle évident avec les terrestres. Quand les spécialistes d’UMMO affrontèrent ce problème qui affectait presque 100% des UGEE (jeunes garçons) et 38 % des UUYIE (jeunes filles), il y a de cela des milliers d’années d’UMMO, ils crurent trouver la solution grâce aux contrôles par réflexes conditionnés. Mais la mise au point de la solution eut un résultat aberrant. Les enfants étaient secrètement contrôlés par des équipes qui, par l’intermédiaire de la détection de variations hormonales, connaissaient le moment auquel l’enfant commençait une telle pratique. Instantanément l’enfant ressentait une forte piqûre provoquée par une décharge électrostatique, qui lui provoquait une forte inhibition.
Les résultats furent désastreux comme nous vous en informerons.
LA VIE QUOTIDIENNE SUR UMMO.
Nous vous rappelions dans le rapport antérieur quelles furent les premières bases de nos spécialistes pour réprimer les pratiques masturbatoires des enfants de notre planète.
On crut que la forte inhibition des premières tentatives de l’UGEE (ENFANT), initiée par une décharge électrostatique de potentiel élevé bien que sans danger pour l’organisme, créerait des défenses de l’individu (réflexes) contre ce vice.
Et malheureusement il fut ainsi : dans un très grand pourcentage de cas (87, 2% des cas analysés) les jeunes cessèrent leurs pratiques onanistes. La tragédie apparut plus tard lorsque ces mêmes individus présentèrent des symptômes d’impuissance IWOIA (procréatrice). La résistance de caractère psychogène à l’érection, les symptômes comme IDDOANAA ADIUU (anorexie), UNNIEYA GIADAA (céphalées), OAWUO WUANAI (tachycardies), et des formes de BIEEBUTSOA (inhibitions psychomotrices), en plus de l’absence de contrôle érectile, rendirent incapables ces malheureux de fonctions matrimoniales normales.
Naturellement cet échec ne découragea pas nos experts en BIEEWIGUU (psychobiologie) et grâce à eux nous avons obtenu que nos jeunes accèdent à notre époque à l’OMGEEIIE (mariage) sans jamais avoir expérimenté l’orgasme. De ceci nous parlerons dans un autre rapport.
De plus le jeune habitant d’UMMO ne passe pas beaucoup de temps entre la puberté et son union conjugale. Nous jugeons que c’est une atteinte aux divines lois de WOA de nous maintenir dans le célibat une fois que les facultés reproductives se sont développées. Dans un rapport antérieur, Monsieur SESMA, nous vous avons illustré la manière dont nos frères arrivaient rapidement à cette union au sein même de l’UNAWO UI (colonie d’enseignement), alors qu’ils se trouvent en pleine phase de leur formation intellectuelle et professionnelle.
Les contrôles psychosociaux, concernant les apparitions sporadiques d’érotisme morbide, sont rigides et efficaces. Ce n’est pas parce qu’existent des organes officiels chargés de veiller sur l’humanité de notre planète contre la sexualité effrénée. C’est simplement que la même société rejette par des mécanismes instinctifs de défense l’individu qui malgré les moyens pédagogiques et prophylactiques efficaces, présente des symptômes étranges dans sa conduite sexuelle.
Par exemple :La XIIXIA KEAIA (prostitution) apparut dans les premiers stades de notre humanité. Il existe de vieux témoignages des anciens AASE OUIA (chefs ou gouverneurs), dictant des décrets pour réguler ce trafic de femmes.
Les familles nombreuses décidaient le nombre de leurs rejetons de l’un ou l’autre sexe. Ceux en supplément de ce chiffre, étaient livrés aux XIIXIOUIAA (femmes et hommes qui réglementaient ce trafic). Tous les hommes non mariés avaient le droit de cohabiter périodiquement avec ces malchanceuses ( un nombre de fois fonction du nombre de demandes de ce genre et du nombre de femmes disponibles chez le XIIXIOUIA). Avec la particularité qu’existait aussi des GEE (hommes) contrôlés dans ce triste but, qui accordaient aux YIE célibataires le même privilège.
Le contrôle absolu de cette tare sociale était cependant effectif. La situation cependant finit par se déséquilibrer sérieusement sous l’hallucinant mandat d’une UYIE (enfant) connue dans notre histoire.
WIE 1, fille d’OOUA 33 et de sa prédécesseur au pouvoir IE 456, impose capricieusement (poussée par d’occultes motivations infantiles et sur les conseils de sa mère) la consigne que toutes les femmes d’UMMO qui arrivaient en phase d’IWO (faculté de procréer) devaient tomber enceintes.
La mesure humiliante éleva d’affreuses clameurs dans cette pauvre société soumise aux arbitraires de la UUYIE (enfant), qui à cette période n’avait pas encore quatorze « années terrestres ».
Seules les épouses et enfants des hauts fonctionnaires de ce gouvernement autocratique et celle des membres de la ténébreuse WOODOO (espèce de police) furent dispensées de ces ordres drastiques.
L’explication officielle justifiait ces consignes par la nécessité d’une expansion démographique qui rendrait possible l’ambitieux plan scientifique de la précédente au pouvoir: IE 456, fille de NAA 312.
Les malheureuses YIE (femmes) jeunes et d’âge mur savaient que les inspecteurs chargés de les examiner les condamneraient à mort si elles ne manifestaient pas les symptômes de la gestation. Des milliers de malheureuses stériles se suicidèrent et de très nombreuses épouses (quant leurs époux ne réussissaient pas à les féconder) se livraient désespérées aux centaines de milliers de GEE qui commencèrent à proliférer dans un nouveau et répugnant métier . De ce fait, la XIIXIA KEAIA (prostitution) jaillit avec une nouvelle force destructrice, anarchiquement, en revêtant la circonstance effroyable que le sexe féminin ne s’y livrait pas pour le lucre personnel mais poussé par des réflexesi de défense face au risque de génocide. (Note1)
Note 1
Quelques URAA (chroniques de l’époque) relatent des scènes épouvantables de ces Xii (jours). De nombreuses YIE, terrorisées, simulaient avec des morceaux de YUUWO (substance d’éponges végétales) cachés entre la tunique et le ventre, un état pseudogravide. Les agents de la WOODOO (police) les démasquaient et leur ordonnaient de se dénuder sur la voie publique, en faisant abstraction des sanglots et des cris hululant des malheureuses. Elles étaient traînées dans cet état jusqu’au lieu de contrôle le plus proche où, après avoir été l’objet de toutes sortes d’excès, elles étaient destinées au centre de vivisection.
On pouvait donc espérer que passée cette sombre étape de notre histoire, après la mort de la petite tyran (déchiquetée par l’onde de choc d’un explosif), les douloureuses tares disparaîtraient de cette société torturée. Il fut impossible de freiner la vague de prostitution qui s’étendit sur notre astre.
L’évolution lente de notre société, l’augmentation continue des biens de production (OUMBOO) et par conséquent l’augmentation du bien-être social, de l’éducation et du progrès scientifique réduisirent peu à peu le nombre de ces tares sexuelles, jusqu’au début de notre ère qui fut aussi l’époque qui marque la disparition d’un aussi terrible mal. Seuls subsistèrent de rares cas de YIE dont la constitution génétique prédisposée à cette tare de l’hypersexualité dans un groupe réduit de traits pathologico-sexuels bien définis. Les techniques de contrôle les plus modernes, durant le processus de gestation, des divers facteurs psychopathologiques, ont permis d’obtenir que de nos jours, l’existence d’individus de sexe féminin affligés de ces tendances, constitue une véritable rareté : la société réagit devant ces cas étonnants avec une exquise prudence et une affectueuse sollicitude. La malade est isolée et soumise à un traitement qui, parce que tardif et malgré l’avance de notre technique, n’assure pas la rémission du syndrome, bien que dans des maladies très rares nous arrivions à un pourcentage très élevé.
Par conséquent nous ignorons, sur UMMO, une grande partie de la large gamme des perversions sexuelles, si habituelles sur la planète terre.
Nous ne connaissons pas actuellement toutes les formes de sado masochisme, fétichisme, bestialité, nécrophilie, narcissisme, et les rares cas d’homosexualité peuvent être contrôlés par l’intermédiaire de la régulation hormonale, après intervention adéquate sur les mécanismes neurocorticaux et endocriniens, et sans nécessité d’abord chirurgical.
Un aspect intéressant pour vous sera sans doute le contrôle de l’IWO
Nous pouvons contrôler parfaitement le cycle de nos femmes. Cette régulation cependant est fortement liée aux impératifs et inhibitions de caractère religieux. Nos OMGEEIIE (couples) ne tolèrent jamais une régulation arbitraire dont l’unique mobile serait l’égoïsme personnel ou la satisfaction malsaine.
Notre religion nous oriente très sérieusement vers cet extrêmité. Ainsi nous ne comprenons pas comment l’homme peut vivre sauvagement dans une société dont l’expansion démographique ne soit pas contrôlée par ce même homme qui a reçu la faculté de s’autogouverner de la part de WOA ( Dieu). Ainsi que vous ne concevez pas une société où les hommes mangent de manière désordonnée et peuvent interpréter leur liberté comme le relâchement des mesures inhibitrices contre leurs institutions. Vous devez vous apercevoir (et en effet l’église Catholique Romaine commence à admettre sur Terre un tel principe) qu’une société consciente de sa finalité et de son évolution doit créer des leviers de contrôle à sa propre dynamique expansionniste.
Mais ces mesures ne doivent pas être imposées tyranniquement par un gouvernement paternaliste qui force les membres de la société à contrôler la naissance des enfants à l’encontre de leur propre conscience et volonté. C’est la famille même qui en acquérant conscience de sa propre responsabilité adapte les mesures les plus efficaces pour son bien et le bien de la société dans laquelle elle est incluse.
Les parents d’UMMO planifient le nombre de leurs enfants après une longue et soigneuse analyse. Ils compteront toujours avec les conseils des ministres religieux. Ils consulteront toujours le XANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs) pour soupeser les centaines de facteurs qui doivent converger vers une mesure de cette nature. Nous ne nous angoissons pas. Nous évaluons méthodiquement les pour et les contre. Les facteurs génétiques, notre situation professionnelle, l’intelligence des parents, nos propres caractéristiques psychoaffectives ou sentimentales… et nous agissons en conséquence.
Sont proscrits sur notre planète les procédés artificiels anti-conceptionnels… Simplement parce qu’ils ne sont pas nécessaires.
En premier lieu nous avons dans toutes les XAABIUANNAA (habitations) des équipements détecteurs que nous appelons IWOUAXOO. Ceux-ci sont basés sur l’analyse des champs électromagnétiques générés par le cortex cérébral de la femme. Tout le métabolisme de l’homme peut être examiné par cette analyse. L’appareil détecte les petites altérations au cours du cycle de l’ovulation, en analysant soigneusement toutes les phases .
On a la connaissance exacte, non seulement des divers stades de maturation de l’ovule au sein de l’ovaire, mais aussi et évidemment de son passage par l’ODAXIXAA (appelé par vous « trompe de Fallope »).
Mais c’est que, en plus, nous pouvons réduire le temps de présence de l’ovule entre deux points de son parcours au moyen de techniques qui permettent ce contrôle à distance.
Nous n’allons pas vous cacher l’importance que revêt ce contrôle, puisque la fertilité de la YIE est intimement liée à la présence de l’ovule. Non seulement nous connaissons la période de fertilité avec une totale exactitude mais nous pouvons la réduire ou l’amplifier. (Dans certaines limites : période minimale de fertilité : 46 UIW. Période maximale fonction des caractéristiques somatiques de chaque femme).
C’est pourquoi il n’existe pas de difficulté en ce qui concerne le contrôle des naissances.
Comme note importante : Nous vous dirons que quand l’OMGEEYIE décide de concevoir un nouvel enfant, cette nuit-là revêt un cérémonial inusuel. Le couple a l’habitude d’être explicite et de communiquer la décision confidentiellement aux personnes qui vivent près de lui, y compris les autres enfants. La bonne nouvelle est toujours communiquée au ministre religieux, qui accours sous quelques UIW pour féliciter le couple et les exhorter. Ces veillées extraordinaires ne sont jamais célébrées avec des nourritures spéciales. Au contraire, la régularité de celle-ci ne s’altère jamais pour des motifs d’hygiène qu’il est inutile de démontrer. Mais elles (les veillées) sont célébrées avec une véritable symphonie olfactive. Avec une merveilleuse cession d’IAIKEAI (art des parfums) dans laquelle la YIE essaye de briller devant ses proches.
Cette nuit est une merveilleuse étape dans la longue marche de l’OMGEEYIE d’UMMO, à travers le WAAM généré par WOA ( Dieu). Cette nuit les deux époux auront usé de cette merveilleuse faculté de générer, faculté léguée par notre Dieu pour l’évolution de l’humanité. Un nouvel ÊTRE va naître.
A disparu cependant l’antique coutume d’enregistrer sur les archaïques IBOZOOIXINAA (Voir rapport accessoire) les exclamations de plaisir exprimées durant l’orgasme de cette nuit solennelle. Bien qu’encore maintenant des GEE et des YIE d’UMMO enregistreront parfois encore ces sons revêtus pour nous de résonances affectives et sentimentales qui nous émeuvent profondément. Et dans la vieillesse : quand nos parents se seront converti en hélium, et que leurs BUUAWAA (âmes) s’identifieront à WOA, nous pourrons revivre à nouveau l’instant qui marqua notre conception somatique au sein de ce WAAM.
AELEWE
INFORMATION ACCESSOIRE
Langue : Espagnol
Sur demande du Professeur
Fernando Sesma Manzano
Madrid
N° de copies: 1
Pour satisfaire conformément à votre demande concernant les relations sexuelles sur UMMO, nous allons développer nos précédents rapports.
- Physiologie et SEXE.
Notre morphologie sexuelle est conditionnée par la structure physiologique qui, dans notre cas, diffère très peu de la votre.
Tous les mécanismes endocriniens qui régulent le courant hormonal ont, comme chez les Hommes de la Terre, une morphologie identique et subissent des processus légèrement différents en ce qui concerne la femme et sont dus à de petites différences du milieu dans lequel nous évoluons (oscillations thermiques différentes, pression atmosphérique très irrégulière, poids différents pour la même masse à cause d’une plus grande accélération de la gravité…).
- PSYCHOLOGIE DU GEE (HOMME) ET DE LA YIE (FEMME).
Quand les garçons et les filles d’UMMO ont atteint leur maturité mentale, (elle ne se mesure pas en fonction de l’âge physiologique qui, bien sûr, commence au moment même de la fécondation, instant que nous connaissons parfaitement, mais en fonction de l’âge intellectuel ou mental) ce sont les parents qui par des moyens phonovisuels standards adaptés spécifiquement à la mentalité infantile (les données sont remises au plus proche composant du réseau SANMOO AYUBAA (espèces de cerveaux électroniques, bien que dans ce cas précis ils ne soient pas électroniques, qui régulent toute l’activité sur UMMO) vont informer leurs enfants dans le domaine sexuel. Sur UMMO cette information n’a jamais été « tabou ».
Cependant l’éducation des hommes et des femmes est très différente de celle de la Terre.
La femme s’introjecte (NdT: Processus inconscient par lequel l’image d’une personne est incorporée au Moi et au Surmoi) un sentiment spécial de pudeur qui, bien qu’il soit difficile de le résumer ici, peut être résumé ainsi :
« ELLE PEUT SEULEMENT MONTRER SON CORPS À SON ÉPOUX. IL LUI EST PERMIS, TOUT EN OBSERVANT L’UAA (MORALE) DE CAPTER L’ATTENTION DE L’HOMME AVANT LE MARIAGE »
Le premier principe est profondément enraciné chez la YIE (femme) bien que les coutumes sur ce point aient évolué tout au long de notre histoire, la femme couvre toujours avec une discipline rigoureuse son thorax durant toute sa vie. Elle n’a par contre aucune réticence en ce qui concerne les cuisses, les bras, la tête, la gorge, les mains et les pieds qui ne sont pas considérés comme des zones érogènes. Il en est de même pour les lèvres et le baiser qui n’a pas de sens pour nous. Sont des zones érogènes (plus que chez les femmes terrestres): les organes génitaux, les seins, le ventre et les fesses. Nos femmes ne se déshabillent jamais d’elles mêmes devant un homme qui ne soit pas leur époux, ni devant d’autres femmes.
Quand la YIE (FEMME) doit se soumettre à une intervention de type chirurgicale, elle se recouvre au préalable la peau par un UBAA SIAA (espèce de pigment colloïde qui colore la peau de taches polychomes). Cette substance chimiquement inerte ne perturbe pas l’épiderme dans son traitement thérapeutique.
Le degré d’humiliation subit par la femme, quand cette norme est transgressée contre sa volonté, est très intense au point que l’une des peines prévues par le code légal d’UMMO soit précisément la nudité.
Mais la femme peut exhiber sa constitution organique avec certaines limites fixées par l’UAA (code religieux-moral) pour influencer sexuellement l’homme.
Garçons et filles sont éduqués à partir de 13,68 ans dans une sorte d’université, petites villes en miniature où la discipline est rigide, ce qui rends toute leur vie conditionnée à cette formation. Ces centres sont appelés UNAWO UE.
La coéducation est seulement appliquée à certains groupes réduits d’adolescents dont les membres accusent à l’électroanalyse cérébrale et à l’examen psychique, des tendances à l’homosexualité. Tendances que nous avons pu corriger depuis longtemps
Durant quelques heures dans la journée, les jeux et les unions amicales entre les jeunes des deux sexes sont autorisés, soigneusement stimulés et régulés.
C’est vers 15,5 ans que l’adolescent (e) doit choisir son partenaire et soumettre son choix aux autorités enseignantes qui examinent, grâce au réseau de SANMOO AYUBAA (CERVEAUX OU ORDINATEURS D’UMMO) l’éventuelle incompatibilité physiologico-mentale du futur couple. Si le résultat est positif, le garçon fait cette demande (jusqu’à maintenant tenue secrète) à la jeune fille choisie.
De plus, celle-ci est généralement plus jeune que le garçon d’un point de vue physiologique. Ce qui signifie qu’elle n’a pas eu encore sa première menstruation. Si elle accepte, tous deux doivent attendre que cette phase biologique de la UUYIE (enfant) se produise pour pouvoir commencer leurs relations. Ils ne peuvent communiquer ni phonétiquement, ni télépathiquement et une transgression découverte provoquerait la rupture du mariage prévu, en plus de la honte publique des transgresseurs.
A un âge (qui varie selon les régions et la constitution physiologique), compris entre 15,4 et 16,6 ans (terrestres), la jeune fille atteint la puberté et elle fait une petite fête avec ses amies étudiantes (la confession de la première menstruation et de celles qui suivent n’est pas « tabou » sur UMMO) et elle en profite pour donner la seconde réponse – positive ou négative – au jeune sollicitant.
Alors commencent des espèces de fiançailles pendant lesquelles, tout en continuant leurs études, les deux enfants reçoivent une intense formation de la part d’instructeurs spécialisés ; formation orientée vers la vie matrimoniale du point de vue sexuel, religieux, planification des fonctions conjugales. Les instructeurs montrent à chacun d’eux la biographie intime de l’autre et leurs caractéristiques psycho-physiologiques en adaptant rigoureusement cette éducation à ces caractéristiques. De plus, parallèlement à cette formation, des relations spirituelles et corporelles sont établies ; ces dernières étant limitées à un mode purement tactile, sans qu’aucun des deux partenaires n’ait accès directement aux zones érogènes de l’autre. La durée limite de cette phase de relations pré-matrimoniales est fixée au couple par les autorités enseignantes qui sont attentives aux divers facteurs qui interviennent pour chaque cas (ces facteurs sont pondérés mathématiquement et traités dans les ordinateurs du Réseau Mondial déjà mentionné). Mais ne croyez pas que de telles planifications nous transforment en de simples machines exemptes de liberté, intimité et spiritualité.
Précisément l’aide de tels moyens rend plus fécond, d’un point de vue spirituel, le mariage car en donnant aux jeunes une information exacte et une orientation qui intègre tous les facteurs somatiques, mentaux, religieux et philosophiques entourant leurs fiançailles, on évite avec un pourcentage très élevé, les énormes crises provoquées par les brusques contrastes psychologiques que subissent les jeunes Terrestres qui n’ont pas eu une telle orientation.
Nous obtenons ainsi une harmonie spirituelle si grande qu’en peu de temps (si la liaison pré-matrimoniale ne se rompt pas d’un accord mutuel) nous sommes prêts pour le mariage religieux et légal.
Sur UMMO nous estimons que l’intervalle entre l’apparition de la puberté et le mariage doit être minime car le contraire constitue une extorsion des lois biologiques de WOA (créateur appelé par vous DIEU). La seule parmi les quelques planètes habitées que nous connaissons, où la société a été si troublée qu’elle tolère de grands intervalles entre la puberté et l’union sexuelle rationnelle, est la planète terre.
Nous ne connaissons donc pas de maladies endémiques comme la prostitution ou les perversions sexuelles diverses.
- l’ Omgeeyie (MARIAGE).
Cependant les parents ont été informés officiellement de la décision de leurs enfants respectifs, quoiqu’ils n’interviennent absolument pas dans la décision. (sur UMMO, le degré de respect pour les procréateurs se traduit par une véritable vénération mais sans qu’ils interviennent dans le (libre) arbitre des enfants à partir de 13,68 ans).
On célèbre donc une simple cérémonie rituelle religieuse et légale dans l’UNAWO UI en présence seulement du ministre religieux, des autorités enseignantes directes, des parents et frères. Le rituel prescrit au total la présence de douze personnes (mais ce chiffre est purement conventionnel et de type historico-religieux).
Immédiatement, le couple se déplace dans une pièce voisine, isolée au point de vue acoustique, pièce où s’accomplit le rite de la défloration. Pendant ce temps, les parents et la famille qui ont été maintenant admis, attendent dans une ambiance animée que se termine cet acte.
Quand l’époux apparaît de nouveau, il est salué respectueusement et ils vont voir l’épouse qui doit garder le lit pendant 4000 uiw (environ 8,6 jours: ndt ) (Un uiw équivaut approximativement à 3,1 minutes). Le OMGEEYIE (MARIAGE) a été consommé officiellement.
- LA PRÉDOMINANCE DU GEE (MÂLE).
L’OMGEEYIE (COUPLE) ainsi continue sa formation intellectuelle ou de travail au sein de la UNAWO UI . Le GEE, par exemple, étudiera pour être UNIIEAOEMII wioa (ANALYSTE DU CORTEX CÉRÉBRAL) pendant que la fille fera des études en OULIOOA GIIA (spécialiste en contrôle météorologique).
Une fois diplômés, ils passent au service d’UMMO aux ordres du )+( UMMOAELEWE (CONSEIL D’UMMO) car tous les habitants d’UMMO peuvent être considérés comme ce que vous appelez des « Fonctionnaires de l’État ».
Immédiatement ils choisissent ce qui va constituer leur foyer. A l’intérieur de leurs professions respectives ils peuvent s’adapter à une ou plusieurs cités et là, acquérir comme nous disons, une maison fonctionnelle et un mobilier qui s’adapte à leurs besoins. L’acquisition se fait en consultant le SANMOO AYUBAA (réseau d’ordinateurs) qui les renseignent non seulement sur le solde en leur faveur, mais aussi sur le montant qui leur convient et qu’ils ont le droit de dépenser pour leur acquisition. En nous référant à un solde et à un montant à dépenser, n’oubliez pas que nous devons employer des termes espagnols pour traduire des paroles intraduisibles car sur UMMO l’argent n’existe pas de la manière dont vous le connaissez. Les deux jeunes, tout au long de leurs études, ont accumulé une rémunération qui est fonction de leurs capacités intellectuelles et de leur rendement dans ce travail.
Une telle rémunération, exprimée mathématiquement, est conservée dans cette Centrale XANMOO AYUBAA . C’est maintenant qu’ils peuvent l’utiliser, un peu comme si vous aviez accumulé votre capital dans une Banque (nous répétons que dans notre cas il ne s’agit pas d’argent même si vous pouvez penser à une espèce de transfert bancaire dans ce cas).
La vie conjugale s’écoule placide et sereine à partir de maintenant. Dans le foyer la plus grande autorité est aux mains du GEE (homme) et celle-ci n’est jamais discutée.
La YIE (femme) se soumet entièrement à son époux. Sur UMMO, il n’y a pas ce type de couples de la Planète Terre où l’autorité de l’homme est seulement nominale. Au contraire les tendances masochistes de la femme d’UMMO sont plus accusées que chez celles de la Terre.
306 LES ENFANTS.
Le but primordial de l’OMGEEYIE (COUPLE) est l’amour conjugal. Nous séparons parfaitement les tendances attractives purement psychosexuelles du courant affectif spirituel qui surgit entre deux êtres.
Le pourcentage d’OMGEEYIE qui échouent est si faible que l’on considère les rares cas connus comme étiologiquement pathologiques.
D’autre part, ceci n’est pas surprenant car l’union conjugale fut précédée par une analyse exhaustive des facteurs psychophysiologiques du GEE et de la YIE. Un couple chez qui ont aurait présumé des futures incompatibilités spirituelles, n’aurait jamais eu l’autorisation de se former.
Le second but est l’IWO (PROCRÉATION). Pour les URAAIWOO (Spécialistes en OVULATION) d’UMMO, le contrôle de l’ovulation de la femme est résolu depuis de nombreuses années. Les périodes de stérilité peuvent être fixées parfaitement sans l’utilisation d’autres moyens contraceptifs dont la nocivité attente aux postulats de l’éthique religieuse.
L’UAA prescrit l’obligation de la procréation en fonction des caractéristiques de chaque OMGEYIE (comme par exemple la santé de la mère, le grade hiérarchique du père et par conséquent les plus grandes possibilités de dotation, l’absence de tares mentales et le degré de capacité mentale pour élever les enfants…). L’empêchement d’une fécondation pour des mobiles égoïstes peut constituer une grave transgression aux divines lois UAA de WOA, tout comme le manque de contrôle qui provoque la naissance d’OEMII (CORPS HUMAINS) que les parents ne peuvent pas former. Quand cela arrive, le gouvernement d’UMMO se charge de ces enfants et les parents, même s’ils ne sont pas sanctionnés, sont rejetés par les amis et les familiers (le contrôle de la natalité est légalement obligatoire). Ainsi il n’est pas nécessaire, et cela n’est pas une norme d’éthique, d’obliger les parents à planifier le nombre exact de leurs enfants car de telles normes se produisent pour des mobiles religieux, et dans chaque cas douteux la consultation, avec un degré de fiabilité très élevé, résout le problème sans exercer aucune contrainte.
Les temps ténébreux où une cruelle enfant fut propriétaire d’UMMO sont révolus. Celle-ci, IEE 456, fille de NAA 312, pour compenser les milliers de véritables assassinats qui se produisaient chaque jour au nom de la science, humiliait toutes les femmes d’UMMO en les soumettant continuellement à l’insémination artificielle, à tel point qu’une YIEE (femme) qui n’était pas en phase de gestation, sauf pour des raisons de stérilité, était condamnée à mourir d’inanition exposée nue à la honte publique.
306 LA FEMME DEVANT LA SOCIETE D’UMMO.
Si la femme se soumet d’une manière inconditionnelle à l’autorité du mari dans son foyer sans que cette position suppose l’annulation du droit d’opinion et sans diminution de la dignité de la YIEE, sa position devant le Gouvernement et la société d’UMMO est comparable, avec les mêmes droits, à celle du GEE.
Cette situation légale provoque chez nous une ombre du point de vue spirituel que nous acceptons comme un mal nécessaire. En résumé, la situation professionnelle et hiérarchique de la femme est donc fonction de sa capacité physiologico-mentale de façon que chacune, indépendamment de son âge, montre dans son UMMOGAOEAAO DII (FORMULE D’IDENTITÉ QUI REFLÈTE L’INTELLIGENCE ET LES AUTRES FACTEURS DE CIVISME) une capacité spécifique qui la promeut automatiquement au poste hiérarchique qui correspond, sans tenir compte de l’âge, sexe ni catégorie des procréateurs, de ceux qui vont maintenant lui être soumis, à elle.
(Aujourd’hui aucun des quatre membres du UMMOAELEWEE OA – CONSEIL DE UMMO – n’est une femme, mais parmi les cent-seize membres du Sousconseil, vingt-huit sont des YIEE (FEMELLES)).
Nous, les hommes, nous acceptons cette situation avec un degré d’humiliation beaucoup plus élevé que les mâles terrestres dans les cas analogues, surtout dans les groupes que nous pourrions appeler PARAMILITAIRES où le grade hiérarchique a une autorité omnipotente (POLICE, CORPS D’INSPECTION, GROUPES DÉPLACÉS DANS DES VOYAGES INTERPLANÉTAIRES…). L’homme se sent alors véritablement malheureux quand son supérieur immédiat appartient à l’autre sexe mais nous l’acceptons avec intégrité et discipline.
Un seul droit nous assiste toujours, la critique de nos supérieurs, qu’ils soient GEE ou YIE, mais nous devons obéir, soumis, même si les ordres sont injustes selon notre jugement. Ne croyez pas que la hiérarchie se venge à cause de ces critiques, au contraire elle les étudie soigneusement et ensuite elle agit en conséquence.
RAPPORT ACCESSOIRE SUR LES ARTS GRAPHIQUES.
Il peut sembler bizarre pour les spécialistes de la Terre en typographie, reproduction photomécanique, reprographie et tirage, que nous concédions aussi peu d’importance aux matériels imprimés.
Cette vision des choses est incorrecte : en premier lieu il n’est pas vrai que les techniques de reproduction sur support laminaire (NOUS N’EMPLOYONS JAMAIS DE PÂTE DE CELLULOSE) soient abandonnées comme nous le verrons ensuite. D’autre part, considérez que si au niveau de notre civilisation nous devions dépendre du registre documentaire imprimé comme vous le faites encore, nous les hommes d’UMMO serions morts » asphyxiés » par un immense patrimoine de montagne de papier imprimé.
Dans la pratique et pendant que nous restons dans notre XAABII (FOYER) une pièce que nous ne dénommons phonétiquement UULODAASAABII, pourvu d’un énorme écran sphéroïdal (HÉMISPHÉRIQUE) nous sert de visualisateur pour consulter le document que nous le désirons lire. Avec l’avantage que de nombreux graphiques dessinés peuvent être vus stéréoscopiquement. Un UUGEE (ENFANT) peut ainsi étudier une série de formes géométrique polyédriques, en les voyant réellement dans l’espace, au lieu de se contenter de simples projections bidimensionnelles, en s’éduquant ses tendances eidétiques stéréo spatiales.
Mais naturellement nous ne sommes pas toujours à l’intérieur de nos habitations. Il n’est pas non plus toujours commode de porter les équipements pourvus de UEIN GAA EIMII (ÉCRAN VISUALISATEUR D’IMAGES) qui remplacent nos UULODASAABII pendant nos voyages. C’est alors que nous pouvons réellement avoir besoin du texte imprimé, d’une photographie tridimensionnelle imprimée, de graphiques, dessins au diagramme, plan ou cartes géographiques, tables numériques, abaques monographiques, etc. …
Des équipements auxiliaires dénommés GAA OBEE agissent comme transducteurs en convertissant l’information codée, stockée dans les XANMOO, en image imprimée (CARACTÈRE LISIBLE : PHOTOGRAPHIE OU DESSIN ET GRAPHIQUES ).
Mais la vie de ces documents imprimés est éphémère. Même plus courte que celle des journaux que vous lisez. Aussitôt utilisé, et pour éviter l’accumulation d’un matériel stérile et que nous pouvons reproduire commodément à volonté, il est détruit, dissous dans un mélange d’acides appropriés.
Comme vous le voyez vous-mêmes la solution au problème relatif à la reproduction de documents imprimés diffère dans notre monde en comparaison à celle apportée par les terrestres.
Quand vous devez composer le texte d’un livre, le typographe extrait les lettres du chevalet, en composant la forme sur sa rangée pour enfin l’imprimer à la fin. En s’aidant d’une simple presse à platine ou d’une machine Plane, qui encre préalablement la forme au moyen d’un cylindre adéquat. La feuille de papier cellulosique a recueilli le format du caractère typographique par transfert de l’encre grasse.
Ou bien, pour automatiser plus le processus, ils auront recours à une linotype dans laquelle un jeu de matrices et un dispositif de fonte remplace avantageusement la composition manuelle et mêmes les équipements automatiques de monotypie.
Si au contraire ils désirent reproduire une photographie ou un dessin, ils auront recours à l’aide des procédés photomécaniques en Photogravure « directe » ou « par ligne » respectivement. En photographiant l’image sur une plaque lame de zinc sensibilisée, et en s’aidant de trames dans le premier cas, pour obtenir par le mordant des acides un cliché ou un groupe de clichés (s’ils désirent par exemple l’impression colorée d’une tétrachromie).
D’autres fois ils utiliseront pour la reproduction d’images, l’obtention d’un cliché métallisé, dont les fines perforations obtenues par un appareil électronique, permettront l’impression au moyen d’une Multicopieuse, ou bien ils sensibiliseront une plaque de sélénium au moyen de potentiels électrostatiques élevés (PROCEDE TRES SEMBLABLE AUX ANTIQUES METHODES SUR UMMO) comme vous le faites avec les photocopieuses Xérographiques.
Ou ils disposeront de diverses méthodes semblables à la photolithographie, l’héliogravure, les procédés thermoplastiques ou l’impression électrostatique par projection d’encres, l’impression photostatique au moyen d’un tube de rayons cathodiques pour la typographie (Qui est le dernier procédé inventé par les terrestres dont nous avons connaissance) etc. etc.
Précisément cette très grande gamme de procédés qui va des anciennes fabrications d’une planche pour la gravure chalcographique, la gravure à l’eau-forte et la lithographie, jusqu’au moderne cliché de photolithographie, a été remplacé par nous par un seul procédé universel de reproduction.
Il est naturel qu’au niveau actuel de la technique terrestre vous ayez besoin de disposer d’autant de techniques d’impression pour satisfaire les besoins de visualisation qu’exigent les hommes de votre planète. Il ne vous sera pas possible de satisfaire avec la même machine par exemple un timbrage en relief et une affiche publicitaire de couleurs brillantes (obtenu par sérigraphie), les trames délicates et d’une trichromie en offset, ou la signalisation des routes au moyen de peintures réfléchissantes.
La base de notre procédé de reproduction de documents est totalement différente. N’importe quel technicien en art graphique le comprendra parfaitement et dans la suite prochaine de ce même rapport accessoire nous le décrirons sommairement. Il est clair que l’actuel stade de la science et de la technologie de votre planète ne permettra pas de le mettre en pratique mais pourra servir d’orientation comme nous le suggérions au Docteur Huber Suter de la République Fédérale d’Allemagne dans un rapport (lequel fut commenté sarcastiquement par le dit Docteur) pour la planification future des techniques reprographiques terrestres.
AELEWE
INFORMATION OOL
Nombre de copie distribuée : 1
Langue espagnole
A la demande du Professeur Sesma Manzano
Madrid
Demande Doo
Conformes à votre demande d’un rapport sur notre Culture, Philosophie et Religion. Vous comprendrez qu’il nous soit impossible de les résumer en quelques pages .
Nous avons jugés suggestifs d’esquisser des morceaux choisis , qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien qu’il y ait un risque de le faire d’une manière non systèmatisée .
Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique) . Un autre rapport sur notre système religieux , de caractère confidentiel, a été adressé à l’observatoire de la Cité du Vatican ( Italie ) .
Le risque le plus important que suppose de réaliser cette synthèse réside dans le fait de priver les affirmations qu’elle contient d’une soigneuse argumentation logique .
331 / L’ART .
En toute objectivité , nous devons reconnaitre l’authentique retard de UMMO dans ce domaine par rapport à l’Humanité Terrestre . A présent nous avons compris comment une découverte technique faite par nous dans les premiers stades de notre Histoire a eu pour conséquence d’atrophier tout le développement des manifestations picturales -scupturales , telles que celles qui sont faites sur votre planète .
En l’année 402 de notre seconde Epoque ( on ne connaissait pas encore la nature de l’électrostatique, et les AAKSBOUTZ – moteurs à méthane – n’étaient pas encore apparus ) , un de nos ancètres UUL 76 fils de UUL 73 découvrit qu’en projetant à travers un petit orifice une petite image lumineuse ( naturellement inversée ) sur une plaque de sélénium (préalablement frottée et ensuite saupoudrée du polen d’une plante), cette image reste fixée, comme elle l’était sur l’un des daguerréotypes de l’époque de Niepce sur la Terre .
Aujourd’hui nous connaissons bien la raison :
Si au moyen d’une lentille nous projetons une image quelconque sur une plaque que nous avons tribo-électrisée en la frottant avec un tissu, les zones baignées par la lumière présenteront un potentiel électrique différent de celles non illuminées. Si ensuite nous saupoudrons de talc ou de carbone finement divisé, les zones électrisées retiendront les granulés. Reste alors fixée une authentique photographie de l’image primitive ( le processus réel est un peu plus compliqué )
A partir de ce système, nos ancêtres « repeignaient » ensuite l’image avec des pigments adéquats, jusqu’à ce que l’évolution de la UULAYANA NAI (Electrophotographie ) rendit inutile ce travail manuel secondaire. Mais de cette façon notre humanité n’éprouva pas le besoin de la peinture telle que vous la connaissez , s’atrophiant en partie quelques facultés esthétiques .
332 HISTOIRE DE NOTRE CHANGEMENT DE GOUVERNEMENT- APPARITION DU CONCEPT SCIENTIFIQUE DE WOA .
Dans notre histoire ne sont pas apparues comme parmi vous, de multiples courants de pensées au sujet de l’existence ou de la non existence de WOA ( (Créateur (generador) , appelé par vous Dieu ou Jehova). Au contraire, toute notre culture a toujours été WOASSEE (Créationiste , ou comme vous diriez : Théiste ) . Bien que jusqu’à la vivisection de UMMOWOA on avait tendance à identifier le WAAM – le Cosmos – à WOA ( DIEU ) au moyen d’une constellation de croyances que vous qualifieriez de Panthéïstes .
Il n’existait aucune forme définie de culte . Notre humanité traversait alors une époque hallucinante et angoissante: des centaines de malades psychiques, leurs centres neurophysiques déséquilibrés générateurs d’impulsions BUUAWE BIE télépatiques terrorisaient la population, freinant le progrès de la culture . On pensait plus à faire la chasse à ces malheureux malades qu’à rendre un culte à WOA (Dieu ) .
A cette époque existait encore sur UMMO un Gouvernement monocratique qu’on élisait par proclamation des AAse OGIA ( Chefs de Cité ). Les méthodes de détection de ces malades allèrent lentement en se perfectionnant . Dans l’année 1126 de notre première époque, apparait la méthode AARWIO BUUA EI , précédent de notre moderne AARGA BUUA EI , pour neutraliser leurs hurlements anarchiques, en les tuant à distance, et avec elle s’épanouit toute la recherche scientifique . (Ce triomphe est l’équivalent de votre découverte de l’imprimerie)
Notre peuple respire enfin , libre de son esclavage mental .
Mais, malheureusement apparaissent aussi les premières formes embryonnaires de la tyrannie . Avec IE 456 fille de NA 312 , surgit le gouvernement le plus épouvantablement despotique qu’a connu UMMO .
A l’âge de 8,5 ans (en équivalents terrestres ), IE 456 se révèle être une enfant douée d’un niveau d’intelligence surprenant, et le Conseil Local (Les parents n’avaient pas d’autorité éducative à cette époque ) la destine au ONAWO UII (espèce d’Université ou Centre Polytechnique ) pour l’étude de la OOLGA WAAM (Physique et Cosmologie). A cette époque, les études sur les champs électromagnétiques et la physiologie cellulaire étaient très avancées, bien qu’on continuait à considérer l’Univers comme un continuum à trois dimensions et qu’on ignorait la nature intime de la communication télépathique .
A l’age de 13,2 an, IE 456 est nommée professeur de WAAMTOA (Histoire de la Cosmologie) et commence en même temps ses recherches sur le champ gravitationnel de UMMO . Ses NOA (élèves) étaient tous d’âge supérieur à celui de cette jeune fille très menue et maladive qui leur imposait néanmoins une cruelle discipline de fer. (Sur UMMO le professeur a toujours remplacé le père pendant l’étape scolaire de l’individu ).
Les découvertes de IE 456 : le calcul de la masse de notre planète et la nature de la bande ionisée polaire de UMMO, la firent devenir rapidement la première figure scientifique de notre planète, au coté de IMII 23 fils de IMII 22 créateur de la psychologie moderne .
Quand se dématérialise l’esprit (meurt) du vieux Hierarque OES 17 fils de OES 14 , la petite IE 456 est élue par le Conseil de AASE OUIA (gouverneurs ) réunis dans la vallée NAATOWSEE UA NAII (c’était une coutume ancestrale de se réunir dans l’historique Vallée pour élire le Grand Dignitaire de UMMO et ses douze conseillers ) .
L’opinion du peuple fut cependant opposée depuis le premier instant, et la fine intuition des masses ne fut pas très erronée, bien que la réaction populaire défavorable était motivée par la désagréable sensation de se voir gouverné par une enfant .
332 – RÉGIME DESPOTIQUE DE IE 456, FILLE DE NA 312.
En ce 17ème jour après son ascension au pouvoir, le fameux AAR GOA , elle provoque ce que vous appelez « un coup d’état », en ordonnant d’exécuter neuf de ses douze conseillers et elle se proclame chef absolu de UMMO en invoquant le supposé droit qui lui permet d’accélérer le progrès scientifique. Elle développe alors une théorie philosophique hétérodoxe, théorie selon laquelle:
« le cosmos n’existe pas à priori, mais seulement les esprits des hommes, dont la génération d’images mentales et de concepts ou abstractions intellectuelles CRÉE l’UNIVERS. »
Selon elle, quand un homme découvre une loi biologique ou physique, il est victime d’une illusion : il croit qu’une telle loi existe depuis l’origine du cosmos, alors qu’en réalité il vient de la créer lui-même.
Le destin de l’Humanité de UMMO consisterait donc à accélérer la recherche scientifique, sans tenir compte des moyens, accélérant ainsi la création. IE 456 postule donc que WOA (DIEU) n’est rien d’autre que l’ensemble des êtres de UMMO et que le cerveau de WOA serait elle-même : IE 456, fille de NA 312 !!!. »
On frémit, de nos jours, en pensant qu’une demoiselle qui n’avait pas encore eu sa première menstruation puisse subjuguer ainsi des millions de personnes.(Dans certaines régions de UMMO la puberté apparait vers les 16 ans et la ménopause vers les 45 ans ; chaque fois que nous nous référons à l’année, nous la considérons comme l’unité Terrestre de temps).
Elle planifia la recherche scientifique, dans tout UMMO surgirent des centaines de nouveaux ONAWO UII (espèces de centres d’enseignement où en même temps la vie quotidienne continue), et ordonna que tous les hommes, femmes et adolescents rationalisent d’une manière draconienne leur temps,en le divisant entre les études et le travail.
A 15,2 ans d’âge, IE 456 promulgua les fameuses douze INAIE DUIO (lois ou décrets) selon lesquelles, se considérant comme le WAAMDISAIAYA (quelque chose comme le Centre Coordinateur du Cosmos…, Ahurissant !!) :
-1°: elle se proclame propriétaire de tous les êtres de UMMO, pouvant ainsi disposer de leur vie sans aucune limite.
-2°: elle élabore et standardise pour tout UMMO des rites de culte qui lui seront rendus par tous les humains.
-3°: le but suprême de UMMO est la recherche scientifique et, s’il s’avère nécessaire que tous les hommes meurent à l’autel de la science et de la genèse du Cosmos comme conséquence immédiate, elle n’aurait pas de scrupule à les anéantir.
Ainsi naquit un terrible climat de terreur. Les scientifiques qualifiés dont l’intelligence avait été évaluée au dessus d’un certain niveau, et qui n’arrivaient pas à apporter quelque découverte à la science, étaient torturés d’une manière barbare.
Les femmes, hommes et enfants qui, dans les BIEEWIA (tests psychotechniques) ne pouvaient atteindre un seuil « standard » d’aptitudes mentales, étaient destinés au même usage que vous, sur la Terre, réservez aux cobayes et cochons d’inde. Par exemple, dans AEVO UI ONAAWO (université de AEVO), un certain jour, et seulement en 12 UIW (environ 36 minutes), on en arriva à pratiquer la vivisection de 160 jeunes des deux sexes, d’âge compris entre 17,6 et 22 ans, en leur extirpant sans anesthésie (encore inconnue) une partie de la masse encéphalique pour une expérience destinée à localiser les centres neuro-olfactifs du cortex.
La mythomanie et la cruauté délirante de cette enfant, dont l’image floue des ULAAYANA NAE (espèces de photos pigmentées) de l’époque nous révèlent un teint olivâtre et des yeux petits et inexpressifs, atteignaient des extrêmes honteux.
Pendant ses audiences, (qui, semble t-il, étaient accordées uniquement à des scientifiques prééminents et aux WAAMUA ODEU – penseurs et philosophes -) ses sujets devaient se présenter devant elle totalement dépouillés de leurs vêtements (précisément à une époque où la pudeur sexuelle était profondément enracinée chez nos ancêtres) et les paupières closes par un mastic. Si le jugement à leur sujet était favorable, la YIISAIA (récompense) consistait à leur permettre d’ouvrir les yeux pour la voir et venir boire les AAYA IEAAYA (matières fécales et urine) de la maîtresse de UMMO.
AMU A 47, fille de OGA A 1896, célèbre chercheur en mathématiques, à qui l’on attribue les premières études sur la théorie des réseaux électriques, fut reçue par la jeune despote. La commotion psychique fut si grande, que la malheureuse (dont l’âge était alors de 38,7 ans) ne put contrôler ses sphincters. IE 456, après l’avoir humiliée devant ses servantes, la tortura personnellement, et elle fut ensuite destinée au fameux et sinistre groupe cinq.
332 – GOUVERNEMENT DE WIE 1, FILLE DE OOWA 33.
Pour la première fois et aussi pour la dernière dans l’histoire de UMMO, IE 456 impose sa fillette WIE 1, fille de OOWA 33, comme son successeur dans le gouvernement de UMMO (l’histoire du père, OOWA 33, est une autre sombre énigme de notre histoire.; la version sur ses hurlements télépathiques avant son assassinat aux mains des policiers de IE 456, semble être une légende).
WIE 1 commence à régner sur ses sujets terrorisés à un plus jeune âge que sa mère, le jour suivant sa mort mystérieuse. Elle avait 12,2 ans et cette fois-ci personne n’osa soulever la moindre petite protestation devant ce que l’on appela la UMMOTAEEDA (on pourrait traduire par « puéricratie » ou « infantocratie » de la planète).
Mais WIE 1 n’a pas le grandiose éclat de sa mère. Elle est au contraire d’une vulgaire médiocrité, ce qui ne l’empêche pas de la dépasser en sadisme et d’idolâtrer son propre corps en un paroxysme d’égocentrisme et de narcissisme.
C’est dans ce cadre historique qu’apparait la sublime figure de UMMOWOA , (sur qui nous donnerons une information détaillée) et avec lequel les gens tournent de nouveau leurs pensées vers le Dieu authentique. Apparait alors pour la première fois le culte religieux.
Un explosif, mis semble t-il par une des servantes de WIE 1 par vengeance pour avoir été maltraitée, met fin (de manière aussi dramatique que pour sa progénitrice) à la vie de la stérile adolescente.
Au moins 4 millions de victimes sont enregistrées dans notre histoire durant le fugace mandat de WIE1.
332 – MÉTAMORPHOSE DU GOUVERNEMENT: LE UMMOAELEWE APPARAIT.
Le soulagement avec lequel l’Humanité reçut la nouvelle de la mort de cette odieuse enfant fut suivi par une immense réaction de haine envers tout ce qui représentait la science. Les merveilleux laboratoires USADAADAU brûlèrent en une nuit. Des milliers de DOROOUIAAIE (espèces de phonothèques ou bibliothèques où l’on conservait des enregistrements acoustiques sur la culture, et qui servaient, comme aujourd’hui, de textes pour les études), des centaines d’Universités, la Centrale de OORGAOWI où un gigantesque réflecteur parabolique concentrait l’énergie radiante de uimma pour son analyse, furent détruites par les foules. Il n’y eut presque pas de victimes, où plutôt il y en eut une, innocente, la Science, dont l’évolution fut freinée pendant de nombreuses années.
Mais en échange, resurgit comme une belle colonne d’Oxygéne-Méthane incandescente, la recherche dans le domaine de la philosophie, la WOALA OLEASS (théologie), et aussi les recherches autour des facultés télépathiques et de mathématique pure.
La société de UMMO subit aussi une profonde transformation. La terrible expérience endurée avec l’autocratie entraîne une restructuration du gouvernement de notre planète. La polycratie apparait sous forme du UMMOAELEWE (Conseil Général de UMMO) qui subsiste encore de nos jours avec de légères modifications.
Quatre membres sont élus parmi les citoyens de UMMO sans discrimination d’âge ou de sexe.
Chez tous, hommes et femmes adolescents, on évalue par des méthodes psychotechniques nos capacités mentales. Intelligence, aptitudes et intérêts, facteur de raisonnement, perception spatiale, niveau d’expression verbale-télépathique, puissance de rayonnement, équilibre psychosexuel, degré affectif, possibles réactions psychopathologiques et coefficient de suggestion, sont évalués au moyen d’analyses sur les trains d’ondes cérébrales (une méthode beaucoup plus perfectionnée que vos actuels électroencéphalogrammes).
Au total il se fait une sélection de 120 enfants de 13, 65 ans d’âge, les plus brillantes et équilibrées structures cérébrales de l’Humanité (pas un seul jeune citoyen ne peut échapper à cette analyse).
Tous ces enfants sont éduqués avec une grande attention (la proportion actuelle est de 76,66% de garçons pour 23,33% de filles) durant plusieurs années, puis parmi eux seront élus les quatre EYAOLOOWA dont les caractéristiques psychophysiques offrent le niveau le plus élevé d’aptitude ; puis ils intègreront le UMMOAELEWE qui régit notre destin, pendant 6,4 ans
Aucun des quatre EYAOLOWAO ne peut avoir des attributions de responsabilité supérieures à ses 3 camarades. Si l’on observe le plus minime déséquilibre, prédominance mentale ou suggestive d’un membre, le UMMOAELEWEANII, SOUS-CONSEIL composé de 116 membres, a la possibilité de dissoudre le UMMOAELEWE et d’en nommer un nouveau.
332 – STRUCTURE SOCIALE.
Le reste des humains d’UMMO obtenons une qualification qui se traduit en coefficients ou indices constituants notre UMMOGAIAO DA (formule d’identité). Vous pourriez l’interpréter comme une espèce de trace analytique digitale, qui reflète notre personnalité physiologico-mentale.
Notre éducation ou formation doit s’adapter ensuite à cet UMMOGAIAO DA . De cette manière l’individu dont la structure cérébrale reflète une prédisposition marquée vers les facultés d’abstraction et de raisonnement logique est orienté vers le ONAWO WUA (sorte d’université pour l’étude des mathématiques).
Il est évident que cet homme jouit de la liberté de se consacrer par exemple à l’OEUDEEE (Bio Pathologie) mais alors notre UMMOGAIAO DA (coefficient professionnel ) en fonction duquel se rémunère notre travail, sera inférieur au grade maximum. Ainsi nous arrivons à ce que chacun occupe dans notre société le poste qui lui correspond par ses aptitudes psychosomatiques, sans qu’il n’y soit forcée par aucun régime tyrannique ou incité par son égoïsme personnel ou des privilèges de naissance.
La rémunération pour chaque être d’UMMO est toujours en fonction de son rendement personnel et de son coefficient professionnel et un simple ratio ou coefficient est établi pour l’évaluer.
A = B/C2
où A est la rémunération, B le rendement, C l’évaluation de l’individu.
Observez qu’un individu dont le coefficient professionnel est élevé (c’est-à-dire : très intelligent, forte motricité musculaire, etc. ) devra aussi donner pour obtenir la même rémunération qu’un autre de coefficient inférieur. (A, B, C, sont des paramètres trop complexes pour que nous les expliquions ici ). Ainsi il peut se produire, et de fait il se produit assez souvent, qu’un grand directeur de communication soit rémunéré dans la même catégorie et de la même quantité qu’un simple opérateur d’extraction de glucose. Ceci peut vous sembler étrange et vous pourriez argumenter qu’alors le directeur pourrait extraire le sucre ce qui serait plus facile. D’accord, le directeur de notre exemple extraira autant de glucose que l’autre, mais puisque son coefficient professionnel est plus élevé (puisque ses aptitudes ne sont pas en accord avec sa profession), si vous examinez la formule vous observerez que A est inversement proportionnel à ce dit coefficient. Donc sa rémunération sera très basse.
Nous avons réussi à neutraliser les privilèges de classes qui dans les premières périodes d’UMMO ont causé beaucoup plus de dégâts que chez les hommes de la Terre.
Mais ne comprenez pas que cette rémunération que nous percevons pour notre travail dans la grandiose planification d’UMMO, s’évalue sous forme de monnaie. Une des choses qui nous a le plus surpris chez vous, c’est la curieuse institution de l’argent et les moyens artificiels de garantir sa valeur.
334 CONCEPTION DU WOA WAAM (DIEU-COSMOS)
Nos concepts actuels concernant la genèse du Cosmos à l’inverse de ceux de la planète Terre, sont plus avalisés plus par une argumentation scientifique rigoureuse que par la spéculation philosophique.
Il y a une grande difficulté à traduire les expressions de notre langage culturel, car sa constellation de significations est très différente du complexité d’équivalents terrestres. Par exemple: nous, nous exprimons par le phonème AIOOYA votre verbe « EXISTER, ÊTRE », mais sa réelle signification pour nous a des nuances distinctes.
Ainsi nous considérons que le Cosmos, un virus ou le gaz d’hélium AIOOYA O (existe)
Par contre nous exprimons que : AIOOYA AMIEE (n’existe pas) la beauté, l’âme ou WOA.
Comment comprendre ceci? C’est simple, nous appliquons le verbe « exister » à ce qui est dimensionnel (avec des caractéristiques de temps et d’espace), et « ne pas exister » à ce qui est adimensionnel comme peut l’être l’intelligence ou la joie. Au « RIEN » nous assignons un verbe qui n’a pas de signification pour vous; AIOYAYEDOO.
Cependant pour éviter des confusions, quand nous employerons, à partir de maintenant, l’expression « exister », nous lui assignerons la signification que vous lui donnez, et nous ferons de même avec d’autres vocables d’interprétation ambiguë.
334 -1: NAISSANCE OU GENÈSE DU COSMOS
Aujourd’hui nous savons qu’il n’existe pas qu’un seul Cosmos ( le nôtre ), mais un nombre infini de paire d’Univers. La dualité existe aussi dans la génèse cosmologique. La différence entre les éléments A et B de chaque paire consiste dans le fait que leurs structures atomiques respectives diffèrent au niveau du signe de la charge éléctrique (vous employez incorrectement les termes de matière et d’antimatière).
Par exemple notre Cosmos jumeau existe aussi mais:
1) dans ses atomes l’écorce est formée par des électrons positifs ( positons) orbitaux et son noyau par des antiprotons.
2) jamais ces deux cosmos ne pourront être en contact et croire qu’ils peuvent se superposer n’a pas de sens car ils ne sont pas séparés par des relations dimensionnelles, (c’est-à-dire qu’affirmer qu’ils sont séparés par x années-lumières ou que leur existence est simultanée dans le temps n’a pas de sens).
NOUS CONTINUERONS DANS UN PROCHAIN RAPPORT
3) les deux cosmos jumeaux possèdent la même masse et le même rayon correspondant à une Hypersphère de courbure négative.
4) mais les deux univers jumeaux jouissent de singularités différentes (autrement dit: dans notre Cosmos jumeau il n’y a pas le même nombre de Galaxies et celles qui y sont n’ont pas la même structure.)
Il n’y a pas donc un autre UMMO jumeau ni une autre TERRE jumelle comme vous pourriez le croire suggestivement. Cette dernière conclusion n’est pas hypothétique et nous vous en donnerons la raison.
5) les deux cosmos furent « créés » simultanément, comme nous l’expliquons plus loin, mais leurs flèches de temps ne sont pas orientées dans le même sens.C’est-à-dire qu’il est illogique de dire que ce cosmos coexiste avec le nôtre dans le temps ou qu’il existait avant ou qu’il existera après. On peut seulement dire qu’il existe mais non pas maintenant, avant ou après. Par contre son intervalle d’évolution sera parallèle ou égal au nôtre. Prenons un exemple fictif: Supposons qu’un homme d’une autre planète dans notre cosmos jumeau vive éternellement. S’il mesure le temps sur son horloge qui court depuis la naissance de son univers jusqu’à ce qu’il se transforme en tourbillons de radiations, son temps sera égal au nôtre.
On pourrait raisonner de même pour l’infinité de paires de Cosmos qui existent dans le WAAMWAAM (Pluricosmos). Nous observons que l’image du Pluricosmos ne peut ressembler à un Univers (au sens de Cosmos). Dans celui-ci les galaxies se déplacent comme des îles flottantes dans une immense mer. Seulement cette « mer » est une sphère aux multiples dimensions, mais on peut parler de distances intergalactiques et même de gaz qui remplissent les espaces intergalactiques. En échange, il est beaucoup plus difficile d’imaginer le WAANWAAM car les paires de cosmos sont submergées dans le NÉANT. Il est inutile d’imaginer qu’il existe des distances ou que ces distances sont nulles. Une telle image serait illusoire. Mais il y a quelque chose qui frappa de stupeur nos scientifiques quand ils en firent la découverte: notre Cosmos jumeau exerce son « influence » sur le nôtre quoiqu’ils ne soient pas liés par des relations d’espace-temps. Grâce à l’analyse de cette influence nous avons pu deviner l’existence de l’autre univers comme vous même avec un simple récepteur de télévision devinez le passage d’une voiture par l’interférence que l’antenne intercepte. Par supposition, notre Cosmos doit influer aussi sur l’autre dans les mêmes conditions. L’asymétrie de cette influence nous a révélé que ce Cosmos a une autre répartition de Galaxies.
334 -2 NOTRE CONCEPT DE WOA (DIEU)
WOA (DIEU) existe (avec la signification que vous donnez au verbe exister).
Il est puéril d’exprimer qu’il existe depuis l’éternité ou qu’il se trouve parmi nous ou partout, car WOA (Générateur comme nous même l’appellons, ou Dieu comme nommé par vous sur Terre) est ADIMENTIONNEL (il n’a ni largeur, ni hauteur, ni temps). Il n’est pas susceptible d’être exprimé par exemple par un complexe de tenseurs ou un système d’équations différentielles ni ses caractéristiques mesurées avec des appareils de précision.
L’essence de WOA ne subit aucune évolution. Cette même essence comprend la possibilité de l’idée DIMENSION, mais cette DIMENSIONNALITÉ ne peut être affecté à son être comme un attribut personnel, puisque la dimentionalité est couplée à la mutabilité et WOA ne pourra s’imposer à soi-même des changements et par conséquent des limitations.
De plus, les idées de WOA se doivent de posséder réalité, réalité qui se doit d’être toujours générée à condition que ne soit généré que ce qui n’est pas incompatible avec l’intime essence de WOA. (Par exemple, l’idée d’auto-destruction existe en lui mais ne peut pas être générée)
Ces générations de ses idées là seront comme une excroissance de (son être), de quelque chose qui existe (en dehors) de lui (bien qu’ici « EN DEHORS DE » n’ait pas une interprétation spatiale). Cette excroissance coexiste avec WOA et dépendra totalement de LUI.
Combien d’excroissances ou réalités existent? La réponse est simple. IL EN EXISTE AUTANT QUE LES IDÉES NON INCOMPATIBLES QUI COEXISTENT DANS L’ESPRIT DE WOA. Si l’idée d’un univers hypersphérique empli de galaxies existe dans son esprit, un tel univers se réalise [et dans ce cas particulier nous avons pleine conscience de son existence parce que nous sommes intégrés en lui, (cet univers hypersphérique)]. Si l’idée d’un cosmos bidimensionnel indépendant du temps était compatible, nous pouvons avoir la certitude qu’un tel cosmos EXISTE AILLEURS. Si nous avons une organisation cellulaire déterminée nous pensons qu’une telle structure est la seule idoine. Elle pourra être en accord dans notre univers dans lequel est en vigueur une série de lois biologiques inaltérables du point de vue statistique. Mais dans un autre couple de cosmos on pourra avoir des cas d’êtres vivants dont le constituant fondamental soit le silicium, dont les atomes posséderaient une structure différente. Mais jamais il ne sera donnée aux êtres de notre univers de vérifier cette hypothèse tant que nous vivons dans l’enveloppe de notre corps physique tétradimensionnel.
L’analyse de la phase actuelle de notre Univers nous révèle comment il a été engendré par WOA.
Notre Cosmos est ce que vous appelez un continuum espace-temps (il nous a fallu 10 dimensions pour le définir mathématiquement). Nous pourrions spéculer en lui attribuant une infinité de dimensions mais nous ne sommes pas en mesure de le prouver.
De ces dix dimensions, trois sont perceptibles par nos organes sensoriels et une quatrième – LE TEMPS – est perçue psychologiquement comme un flux continu dans le sens unique que nous appelons UIWIUTAA (flèche ou sens orienté du temps).
Au début nos deux cosmos jumeaux, WAAM ( le nôtre) et l’UWAAM (nôtre jumeau) étaient définis par un WAAMIAAYO (difficile de traduire: point ou origine d’une seule coordonnée qui serait précisément le temps). WOA a créé successivement le reste des dimensions mais n’interprétez pas ce « successivement » comme une succession temporelle ou spatiale, mais comme une relation « achrone ordinale », c’est-à-dire « ordonnée » en dehors du temps. Dans les croquis qui suivent nous désirons représenter grossièrement ces phases de la GENÉRATION ou CRÉATION.
(les croquis sont grossiers car il est impossible d’enfermer dans un graphique tracé sur du papier plus de trois dimensions.)
FIGURE 1
Vous pouvez imaginer que notre BICOSMOS primitif ressemblait davantage à une petite sphère vide. Un petit univers sans Galaxies, sans gaz intergalactiques, seul l’espace existant dans le temps (figure 1).
WOA courbe et recourbe cet espace. Chaque courbure « nouvelle » suppose une dimension et enfin, il le « plisse ». Observez que nous sommes en train d’employer une comparaison, un symbole, car on pourrait exprimer celà correctement seulement d’une manière mathématique. Par exemple l’expression « plisser l’espace » peu paraître infantile, mais elle est très didactique.
Avec une autre image vous pourrez mieux comprendre
(FIGURE 2)
Si nous courbons un espace tridimensionnel, si nous le plions, ou si nous faisons une espèce de creux (voir figure 2) à travers une quatrième dimension, cette courbure représente ce que nos organes sensoriels interprètent comme une MASSE (une pierre, une planète, une galaxie).
Ainsi WOA extord ce microcosmos créant ainsi la masse. Rien de moins que presque toute la masse actuelle de nos deux univers jumeaux concentrée dans un espace hyper réduit. Un peu comme si toute l’eau d’UMMO se trouvait enfermée dans mon poing. Matière et antimatière, comme vous les appelez, sont superconcentrées.
Il se produit alors une DOUBLE EXPLOSION-IMPLOSION. Par l’implosion, matière et antimatière, c’est-à-dire atomes positifs et atomes négatifs, sont attirés violemment les uns contre les autres sans jamais se rencontrer.
Ce sont deux ensembles, deux univers, WAAM et UWAAM qui ne pourrons jamais se rencontrer car ils ne sont pas séparés par des relations d’espace.
Ainsi quand nous disons qu’ils s’attirent, le verbe « s’attirer » doit être compris dans le sens de s’influencer.
D’autre part, nous indiquons qu’il y eut explosion. En effet: l’immense masse de chaque Cosmos se fragmente en particules et ces fragments expulsés brutalement il y a des millions d’années, constituent les actuelles Nébuleuses ou Galaxies qui se déplacent aujourd’hui à une VITESSE PRESQUE CONSTANTE.
Vous pouvez observer que nous soulignons ce « PRESQUE » au moment où vos astronomes jugent que la vitesse 2 doit être CONSTANTE ou UNIFORME en se basant sur deux raisonnements faux:
A- Le déplacement des bandes du spectre, dans les galaxies observées, est CONSTANT et orienté vers le ROUGE.
B- Il semble logique de penser que si les nébuleuses ne sont pas impulsées par un Champ de Forces , car elles sont issues d’une explosion initiale de l’univers, elles se déplaceront avec une vitesse2 uniforme par inertie.
()
Mais ces deux prémisses sont fausses et ingénues.
- A) vos appareils de mesure sont peu précis, sinon vous auriez observé que le décallage des bandes vers le rouge N’EST PAS CONSTANT, elle est une fonction périodique non sinusoïdale d’amplitude moyenne presque imperceptique, mais ÉVALUABLE.
- B) vous n’avez pas pris en compte que notre Cosmos jumeau exerce une « influence » sur nos galaxies. Précisément sur UMMO, comme nous vous l’indiquerons, nous avons découvert l’UWAAM en partant de ces interférences. Cette interaction empêche que nos nébuleuses se déplacent avec une vitesse 2(vitesse 2= accélération).
Ainsi la mesure que vous faites de l’âge de l’univers est inexacte car vous utilisez comme paramètres cette pseudo-vitesse2 constante actuelle des galaxies et leur distance par rapport à la TERRE. Avec en plus le fait que si MAINTENANT la vitesse2 est presque constante, dans les premiers temps de la création l’accélération (fonction sinusoïdale) arriva à avoir une énorme amplitude.
336 -FIN DU WAAM et de l’UWAAM, MORT DES DEUX COSMOS.
Quelle sera la fin des deux cosmos jumeaux ? En tenant compte du fait que WOA continue à créer de la matière à l’intérieur de chaque Cosmos, la dégradation de masse en énergie est beaucoup plus rapide. Il arrivera un moment où les deux univers seront réduits à un Continuum espace-temps hypersphérique de rayon négatif, mais, maintenant, de grandeur infinie. Sans concentration de masses, c’est-à-dire sans Galaxies, c’est-à-dire: sans courbures, sans « plis ». Seule une propagation continue et isotrope de radiations avec la même fréquence, car, maintenant, les multiples fonctions sinusoïdes créées par WOA se seront mises en phase et auront cessé de produire ces ondes stationnaires, ces noeuds et crêtes que nos sens ingénus interprètent respectivement comme « VIDES et MASSES » il restera seulement un océan d’ondes dont l’amplitude ira en diminuant jusqu’à la mort finale de la « paire cosmique ».
Mais comme sur UMMO nous avons conscience de cette création, comment l’ATHÉISME pourrait il se développer parmi nous? … Si l’univers était éternel, il serait déja mort..
337 – L’HOMME SUBMERGÉ-DANS-LE-COSMOS (OEMII).
Nous savons que pour notre univers sont en vigueur des lois biogénétiques fondamentales qui régulent la structure et l’évolution de toute la BAAYIODOOUII (FAUNE – FLORE) de ce cosmos ou de notre cosmos jumeau UWWAN.
Il peut exister de multiples formes d’un être vivant. D’ailleurs dans nos laboratoires, en faisant agir sur les acides nucléiques d’un ovule non fécondé un faisceau quantifié OUSEIOSAA (décharge de neutrons contrôlée par un champs de gravité artificielle: puisque ces corpuscules ne réagissent pas dans un champ électrostatique, les neutrons peuvent s’orienter un à un vers une cible mouvante infiniment petite), nous avons obtenu des milliers d’êtres vivants différents au moyen de ces mutations sévèrement contrôlés.
De plus le nombre d’êtres vivants n’est pas infini puisque le MIIBAYEAAO (appelé par vous improprement CODE GÉNÉTIQUE) ne peut être pluriforme ni dépasser ses propres limitations.
C’est-à-dire que si vous imaginez un vénusien comme un monstre verdâtre, pourvu de grands yeux et de longues et visqueuses tentacules, vous commettriez deux erreurs ingénues :
Juger puérilement que la planète Vénus est peuplée par des êtres pluricellulaires, et croire que l’univers est peuplé par toutes sortes d’engendrés bizarres.
Nous analysons alors l’homme comme un ÊTRE ISOLÉ quoique une telle entité est utopique puisque l’homme est lié intimement à tout ce qui l’entoure.
Nous considérons que l’humain est formé de quatre facteurs intégrés dont l’association est nécessaire pour que l’homme soit vivant.
BUUAWE BIAEI: (Nous pourrions le traduire par âme collective bien qu’une telle définition souffre de graves lacunes.)
BUUAWAA (âme): (Dont le concept coïncide d’une manière surprenante avec celle de l’actuelle théologie de la religion catholico-romaine de la planète Terre).
OEMBUUAM: (Facteur de connexion entre l’âme et l’OEMII, qui n’a pas été découvert par vous, et qui peut être localisé sous la masse encéphalique).
OEMII: Le corps humain considéré dans ses dix dimensions (Trois qui définissent son volume, six qui expriment sa MASSE, et une que nos organes propriocepteurs évaluent comme le TEMPS)..
337 GÉNÉRATION DU BUUAWE BIAEI PAR WOA
CONCIENCIA et CONSCIENCIA sont très proche en espagnol, et en général ces deux mots font référence à la capacité de réflexion, c’est à dire à la capacité humaine de se « reconnaître » soi même, ainsi que de focaliser les flux de pensées, ayant pour objet elles-mêmes (les pensées ont pour objet autres pensées sensées comme en provenance, non d’autre personne, mais de la propre fonction interne de générer des pensées). Cette « valeur » est commune à CONCIENCIA et à CONSCIENCIA, mais CONCIENCIA a en plus en espagnol une valeur propre, c’est la capacité de distinguer ce qui est Bien ou Mal (d’un point de vue moral). On dit par exemple « mi conciencia me impide aceptar ese ofrecimiento » (ma ‘conscience’ m’empêche d’accepter cette offre) en parlant par exemple d’une subornation. En espagnol CONCIENCIA, ayant ce significat de connaissance sur ce qui est Bien ou Mal, est utilisé principalement dans un contexte religieux ou éthique..
Pour résumer on peut dire que CONCIENCIA « connaît » si les actions décidés sont moralement acceptables ou pas; c’est l’attribut de l’âme BUUAWAA . Par contre CONSCIENCIA est l’attribut de l’OEMMI
D’une manière générale certains passages de cette lettre présentent d’importantes difficultés de traduction. Nous espérons avoir pu retransmettre le sens exact)
WOA (GÉNÉRATEUR, ou DIEU comme vous même l’appelez) entre le nombre infini de ses idées « innées », c’est à dire qui coexistent avec son essence, imagine l’idée d’une ENTITÉ (NdT: Il s’agit du B.B.) sans dimension (VOLUME, TEMPS, etc.) mais qui ne puisse pas à son tour générer d’autres ÊTRES.
Logiquement, s’il pouvait générer des êtres, cet esprit (B.B.) aurait besoin de posséder la liberté.
Observez que s’il n’a pas cette prérogative – La LIBERTÉ – le premier postulat que l’on pourrait lui (B.B.) attribuer serait:
IL NE POURRAIT GÉNÉRER D’AUTRES ÊTRES, SEULEMENT DES IDÉES.
Ceci semble incompatible car, s’il n’est pas libre, il faudrait alors attribuer les idées à WOA.De plus, il est évident qu’une telle ENTITÉ (B.B.) ne pourra générer d’autres êtres, car dans ce cas il s’agirait d’un double de WOA (WOA ne peut générer un tel être qui soit son double).
Cet ESPRIT, c’est le BUAWE BIAEI ou ÂME COLLECTIVE des HUMAINS.
Nous avons dit que toute IDÉE COMPATIBLE de WOA se doit d’être GÉNÉRÉE. Donc: simultanément à la création du WAAM est créé cet ESPRIT.
Une sérieuse objection pourrait être apportée à la nature de BUAWE BIAEI . Si cet esprit génére des idées uniques, produit d’une conscience unique, n’est t’il pas malgré tout semblable à WOA ? De plus: de telles idées ne finiraient-elles pas par se matérialiser, par se secréter..?
Cette objection est injustifiée parceque précisément BUAWE BIAEI possède une énorme multiplicité de consciences, chacune à son tour susceptible d’engendrer des idées polyformes et contradictoires.
Nous nommons ces consciences:
337- BUUAWAA (les terrestres les appellent ÂMES).
Sur le fond, vos théories animistes sont en accord avec le concept des BUUAWAA sur UMMO, tout particulièrement les modernes spécialistes scientifico-théologistes de l’église catholique romaine et presque tous les penseurs des églises évangélistes chrétiennes. Les âmes possèdent une entité propre, elles sont ADIMENSIONNELLES et jouissent de la liberté de créer des IDÉES POLIFORMES ET CONTRADICTOIRES (si ce n’était pas le cas elles auraient la même essence que WOA ) et cette même liberté s’étend jusqu’à pouvoir contrôler le OEMII (corps humain) et à travers lui, les ÊTRES DU WAAM.
L’unique différence consiste dans le fait que nous considérons que de tels BUUAWAA sont composés et interrelationnés au sein de cet esprit collectif BUAWE BIAEI.. (Vous pourriez imaginer comme comparaison terrestre un pot de cerises au sirop : l’exemple est grossier car de tels fruits ont un volume, mais les griottes représenteraient les BUUAWAA, la peau du fruit : l’OEMII et le sirop : le BUUAWE BIAEI . La déchirure symbolique de cette peau en un seul point représentera la transmission télépathique.
Comme vous n’acceptez pas l’existence du BUUAWE BIAEI, les scientifiques terrestres (psychologues) ne peuvent expliquer des phénomènes d’hypnose et de suggestion, certains états de catalepsies, les communications télépathiques, les phénomènes incorrectement appelés médiumniques et de nombreuses autres manifestations appelées par les terrestres manifestations parapsychologiques.
Une question parait se poser: Combien de BUUAWA ou consciences autonomes possède le BUAWE BIAEI ? La réponse est simple : autant qu’il y a d’hommes sur notre Planète. Vous pouvez observer qu’il serait puéril de demander si les âmes existaient AVANT la naissance du corps car l’adverbe AVANT implique la TEMPORALITÉ et le temps n’existe pas pour la BUUAWAA ADIMENSIONNELLE.
337 – LES ATTRIBUTS DE LA BUUAWAA (ÂME)
Vous les terrestres, vous ne semblez pas avoir des idées très claires concernant l’essence de la BUUAWAA. Ceci a provoqué tout au long de l’histoire une série de controverses naïves et spéculatives qui n’ont toujours pas tendance à disparaître. Comment ne voulez-vous pas que les théologien catholiques, que le Matérialisme Dialectique de la Philosophie Marxiste aient fini par commettre la pardonnable aberration de ne pas accepter l’existence de l’âme en tant qu’entité adimensionnelle, si cette même philosophie scolastique abusa dans le passé en attribuant à l’esprit une série de facteurs qui sont en réalité purement somatiques? Si au lieu de vous perdre dans d’interminables spéculations, vous aviez consolidé d’avantage les véritables méthodes scientifiques, les contradictions apparentes entre les concepts de DIEU (WOA) ou l’ESPRIT et ce qui est appelé par vous « LA SCIENCE » n’auraient pas surgi sur Terre . Parmi vos scientifiques seuls trois hommes ont attiré notre attention car ils s’approchent de notre niveau culturel en certains points : le mathématicien-physicien Albert Einstein, l’anthropologue-cosmologue catholique Theilhard de Chardin et le physicien-cosmologue Sir A.S. Eddington. Si nous les citons c’est parce qu’ils sont les seuls à avoir apporté quelques éléments que ne connaissaient pas les scientifiques de UMMo.
Notre BUUAWAAA a une conscience (conciencia) , mais nous n’identifions pas cette CONSCIENCE (conciencia) avec la CONSCIENCE (consciencia) de l’OEMII. Nous vous expliquerons cette différence quand nous expliquerons ce qui se produit dans notre corps quand nous regardons par exemple l’image d’un triangle.Nous illustrerons ce processus au moyen d’images grossières tracées à l’aide de crayons terrestres de différentes couleurs.
Sur une plaque B où l’on a dessiné un triangle blanc sur fond noir, tombe un faisceau (rouge) de IBOAAIA OU (fragments quantifiés d’énergie avec une caractéristique ondulatoire-corpusculaire) que vous appelez vulgairement LUMIÈRE. Les zones noires de la gravure sont ainsi car les atomes absorbent cette énergie et il se produit des altérations dans ses orbites corticales. Par contre, le triangle blanc reflète cette énergie (lumineuse) car ses atomes de différente structure orbitale n’admettent pas par résonance les fréquences des IBOAAIA OU (qui sont comprises entre 4’15.10 14 et 7,6.10 14 cycles par seconde environ). Ceci veut dire que seule une fraction de l’énergie qui arriva à l’image est reflétée en un faisceau qui peut agir sur la rétine.
Nos yeux captent donc l’image lumineuse reflétée à l’aide de cellules BOIYUIYOE EBEE (CÔNES), chacune de celles-ci absorbe à peine quelques IBOAAIA OU . C’est là que se produit la première transformation de l’énergie. Ce que vous appelez LUMIERE provoque dans ces petits organes nerveux un influx de caractéristiques électriques qui se propage tout au long des neurones du nerf optique. .
Nous pouvons observer que l’image s’est décomposée en millions d’impulsions élémentaires. Le triangle n’existe plus, il y a une séquence d’IMPULSIONS CODÉES qui se transmettent en un certain ordre, comme si les pierres d’un grand temple terrestre étaient démontées et enregistrées pour les reconstruire après un long voyage.
Le nerf optique (en violet) transmet ces impulsions après qu’il y ait eu une première WOO EDUU (SYNAPSE) dans la YAAESIOO BUEA (corps genouillé latéral du Thalamus) au UNIIEAYAAEBU (cortex occipital).
Les scientifiques terrestres semblent ignorer ce qui se produit à partir de l’instant où de telles impulsions nerveuses activent la UNIIEAYAAEBU.
Nous allons donc faire un résumé du document remis à deux spécialistes japonais .
Les neurones de cette dernière voie afférente synapsent à leur tour chacune avec deux fibres nerveuses : YAAIODEE (en vert) et YAAIOSUU BIIO (en bleu).Autrement dit : chaque impulsion nerveuse qui représente un point du triangle est transmise à son tour par deux voies, comme si l’une de vos téléphonistes envoyait un même message à deux correspondants.
Les impulsions de la voie YAAYODEE (vert) opèrent sur l’organe de la mémoire dont le fonctionnement vous semble encore inconnu. L’image symbolise le BIEYAEYUEO DOO (dessin de couleur ocre) , il s’agit d’une spirale d’une chaîne de polypeptides dans laquelle le principal rôle est tenu par les atomes d’Azote, associés. Chaque atome N est capable d’altérer l’état quantique orbital en emmagasinant deux impulsions ou BITS. En un mot : les millions d’impulsions que constituent les images que captent nos yeux sont emmagasinées, codifiées au préalable avec un ordre séquentiel, dans cette spirale de BIEYAEYUEO DOO comme s’il s’agissait d’une bande magnétophonique où pour être précis dans ce cas : la bande d’un magnétoscope (appareil inventé par vous pour enregistrer les programmes de Télévision).
Il y a de plus un facteur très important au sein de cette chaîne hélicoïde : une seconde chaîne d’atomes libres de gaz HELIUM agit comme transducteurs et récepteurs en connectant directement la MÉMOIRE avec le OEMBUUAW (troisième Facteur de l’homme ) et représenté dans l’image par la couleur jaune
Nous avons représenté sur l’image le champ de la ESEE OA CONSCIENCE (consciencia) à l’aide d’un cercle (bleu clair) ; une seconde voie : le YAAIOSU BIIO (bleu) porte les impulsions à un second noyau de OEMBUUAW (jaune) qui le transmet à son tour à l’ÂME (champ de la CONSCIENCE ) (bleu clair).
Quelle forme ont ces impulsions qui codent l’image du triangle primitif. Tout comme les pierres ordonnées numériquement ne ressemblent en rien à la construction initiale, cette série de BITS ne semble pas être le reflet fidèle du triangle.
Une fonction périodique en forme d’onde carrée : voilà ce que capte notre BUUAWAA (âme) dans son ESEE OA (CONSCIENCE ). (image D)
Imaginez un architecte dont la capacité éïdéique soit telle qu’en recevant d’une manière ordonnée ces pierres numérotées, il imagine instantanément le temple en question… Ceci notre BUUAWA l’obtient : en captant ce train d’ondes carrées il se forge dans sa conscience (cercle bleu de l’image B) l’idée d’une triangle blanc sur fond noir. Mais comment sait-elle qu’il s’agit d’un triangle ? L’image B symbolise de nouveau l’explication ; vous pouvez observer qu’au champ de la conscience arrivent deux messages. L’un d’eux que nous venons de vous décrire provient directement de l’OEIL (voies nerveuses exprimées par les couleurs violet et bleu); l’autre issu de la MÉMOIRE (ocre) par la voie symbolisée par la couleur orange.
Quel est ce dernier message provenant de la BIEYAEYUEO DO (mémoire) ? Simplement un train d’ondes carrées qui représentent le codage de l’image d’un triangle équilatéral tel que nous l’avons appris dans notre enfance, image qui était conservée dans la mémoire depuis ces lointaines années.
C’est dans ce champ de la CONSCIENCE que les deux images se comparent et identifient le triangle en tant que tel. Si cette dernière connexion avec la mémoire échouait, nous n’aurions qu’une seule image : celle issue de l’oeil mais elle nous semblerait étrange comme si nous ne l’avions jamais vue. Nous appelons cette anomalie en psychopathologie YAEYUEYEDOO (amnésie de fixation).
Cette explication peut paraître excessivement technique si vous n’êtes pas des physiologistes, bien que nous l’ayons exprimée avec des descriptions naïves. Nous vous conseillons néanmoins de l’étudier soigneusement car elle vous permettra de mieux comprendre l’énigme mystérieuse de l’union DU CORPS ET DE L’ÂME que nous décrirons plus tard.
337- DESCRIPTION DE L’OEEMII (CORPS-SOMA).
Nous n’avons pas volontairement terminé l’énumération des facultés de la BUUAWAA (ÂME) et nous laissons pour plus tard la définition du troisième facteur de l’homme (OEMBUUAN) car nous devons avant vous expliquer notre concept de l’OEEMII.
Dans le continuum ESPACE-TEMPS (comme le dénomment incorrectement les physiciens de la TERRE), le corps humain est un « pli » de plus de l’ESPACE (une dépression à travers une quatrième dimension) que nous pouvons définir mathématiquement avec dix dimensions. En somme une MASSE. avec Volume et Temps associés. On ne peut concevoir le temps s’il est dissocié des autres magnitudes.
Les gens qui ont une faible formation scientifique jugent l’homme comme un être à trois dimensions (volume) vivant divers faits dans le flux du Temps. Pour lui, il existe seulement le souvenir des faits passés. L’unique réalité est le présent, et le futur n’existe pas encore…. Cette description du monde est aberrante et puérile.
Imaginez que sont disposés tout au long d’un axe qui représente la dimension TEMPS les divers situations (ÉVÈNEMENTS) qu’a vécu, que vit, que vivra un homme au long de sa VIE .
IMAGE F
Chaque situation a une FLÈCHE qui lui est associée. Bien:l’espace et le temps sont associés si étroitement que si nous unissons dans une même expression graphique, en une seule image, toutes ces situations ou faits que vit l’homme tout au long de sa vie, nous obtiendrons un ÊTRE étrange à quatre dimensions (volume + temps) qui ressemblerait à un énorme OEBUMAEI (espèce de « beignet » long ou de « boudin » très apprécié dans la région d’AADAAADA, sur UMMO), dont la section représenterai un bonhomme si nous la coupons en tranches.
IMAGE G
Les cosmologues de UMMO appellent cet être tétradimensionnel : OEBUMAEOEMII (image G)
Que représente une coupe ou section de cet OEBUMAEOEEMII ? Simplement un fait ou événement dont notre corps est le protagoniste. Un tel fait est une illusion, une fiction. Comme le serait une tranche de l’une de ces charcuteries si on ne pouvait pas la couper, l’ensemble formant alors un TOUT inviolable.
Mais vous pourriez dire : ce concept est une simple spéculation philosophique. Ma conscience me dicte que j’ai vécu de tels faits sans que je voie devant ou derrière moi ce gigantesque BUMAEOEMII… !
Cependant il ne s’agit pas d’une simple hypothèse formulée par quelque chercheur d’UMMO excentrique. Les physiciens de votre Planète pensaient déjà à ce concept avant notre arrivée, et pour nos scientifiques il est aussi familier que pour vous le dessin d’un avion.
Une comparaison simple vous aidera à mieux comprendre cette image : dans un grand jardin il y a un long passage ou tunnel qui serpente, construit entièrement en plastique ou en verre transparent, et tout au long de celui-ci on a disposé des meubles, des outils etc…
Ce grand tunnel représenterait le OEBUMAEOEMII.
Un homme (notre conscience (consciencia)) court depuis le début de ce sinueux corridor. Il fait nuit et il porte une lanterne. Durant son parcours il va en éclairant les objets accumulés dans le tunnel et de plus, comme les murs sont transparents, il peut contempler, faiblement éclairés par sa lampe, quelques secteurs du jardin proches du point où il se trouve à ce moment là.
D’autres fois, tout au long de ses pérégrinations dans le tunnel, il dirige le faisceau lumineux vers l’extérieur où il y a d’autres tunnels avec leur pèlerin armé de lanterne qui passe aux environs du jardin (d’autres HOMME-ÉVENEMENT).
Au moment de sa naissance, le tunnel et le jardin existaient déjà. Quand le voyageur pense que ce qu’il éclaire en ce moment (PRÉSENT) vient à peine de se créer, ou que ce qu’il a vu (PASSÉ) a cessé d’EXISTER, ou que les meubles qu’il verra n’existent pas encore (FUTUR)…n’est-il pas victime d’une illusion candide?.
IMAGE H
337 LIBERTÉ DANS L’ARBITRE DE L’HOMME HUMAIN.
Quand ce concept de OEBUMAEOEEMIII commença à être ébauché sur UMMO, (avant qu’il ne soit consacré comme vérité scientifique) surgit une doctrine philosophique hétérodoxe (non scientifique).
C’est IM 42, fils de IM 41 , né en DOOYUIIABII, qui avait soutenu la théorie selon laquelle si WOA crée l’homme en tant que OEBUMAEOEMII (c’est à dire avec la dimension Temps associée), ses actes ou faits sont de simples illusions et donc la CONDUITE tout au long de la VIE (vie ou temps intimement fondu d’un seul coup au corps) est logiquement PRÉDÉTERMINEE.
Nous ne serions donc pas responsables devant WOA des apparentes transgressions à la loi morale (UAA) de UMMOWOA.
Le UMYAE (liberté de l’homme pour agir sur le milieu et pour le contrôle) serait une simple fiction.
Le développement scientifique de ces années-là sembla renforcer cette spéculation avec de nouvelles bases.
En effet : si tous les faits physiques sont régis par des lois « implacables » (on ignorait encore le caractère statistique de telles lois) imposées par WOA au WAAM (UNIVERS), les structures biologiques du BAYIODUII (ensemble des animaux et plantes) devraient aussi être conditionnées par des lois biologiques inflexibles.
337 LA BUAWAA (ÂME) MODÈLE L’OEMII (CORPS).
La doctrine précédente est entièrement fausse, elle s’est effondrée face à de nouveaux arguments irréductibles. (Nous avons observé que sur Terre de nombreuses personnes défendent encore cette hypothèse, mais c’est explicable car elles manquent de bases scientifiques pour pouvoir la condamner).
Revenons maintenant à la description de la BUAWAA (esprit individuel).
Nous savons que notre âme a une PERSONNALITÉ ou une ENTITÉ PROPRE. Nous vous avons expliqué que BUAWEI BIAEI (âme collective) possède autant de consciences (conciencias) réunies qu’il y a d’hommes, tout comme un polyèdre de carbone pur engendre de multiples scintillements.
La BUUAWEA ne possède pas de mémoire, il n’est pas non plus capable de sentir ou de percevoir. Il ne peut pas, par exemple,s’émouvoir, ressentir du plaisir ou de la douleur. Alors : est-ce une ENTITÉ inerte, comme une roche qui vit sans vivre ?
Non, bien entendu, la BUUAWEA possède une CONCIENCE (qu’il ne faut pas confondre avec CONSCIENCE) , c’est à dire: qu’il engendre des idées, il est capable de comprendre les messages que lui apporte le OEMBUAW et aussi, à travers celui-ci il est capable d’agir et de contrôler l’OEMII (corps).
Mais, ET CECI EST TRÈS IMPORTANT :
Les idées engendrées, la connaissance acquise, le contrôle du corps NE SE RÉALISENT PAS D’UNE MANIÈRE SÉQUENTIELLE OU CONTINUELLE DANS LE FLUX DU TEMPS.
C’est à dire que l’ÂME ne va pas en train de développer des idées l’une derrière l’autre en divers intervalles de TEMPS car LE TEMPS, pour elle, N’EXISTE PAS.
Il ne serait pas du tout, non plus, correct de dire que le BUUAWEA « fait » tout cela d’un seul coup pour toujours et en un instant , mais cette dernière manière de nous expliquer, sans employer un lexique technique de UMMO presque intraduisible, est la plus efficace.
WOA concède à l’âme une prérogative qui est transcendante
ELLE PEUT MODIFIER UNE FOIS POUR TOUTES LA FORME DE L’OEBUMAOEMII (HOMME-PHYSIQUE : ESPACE-TEMPS).
Ce qui signifie que si WOA (GENERATEUR ou DIEU) engendre et crée le corps physique, en fixant les caractéristiques de sa physiologie, il concède à la BUUAWEA la faculté de modeler la conduite du corps tout au long du temps, une fois pour toutes.
Employons de nouveau l’exemple du long tunnel de plastique. Supposons qu’il s’agisse d’un grand tube flexible comme un serpent. Son propriétaire l’achète et désire le poser dans son jardin. Il aura pleine liberté pour le courber à son goût, en devant l’adapter bien sûr à la topographie du terrain, contournant les arbres et surtout évitant de perturber les autres tunnels qui sont déjà dans le jardin.
D’un seul coup d’oeil, il devra prendre en compte tous les obstacles et au même instant il choisira un cheminement de l’axe idéal sur lequel il posera le tube. Evidemment, le propriétaire peut contempler son oeuvre en entier, l’embrassant d’un seul coup d’oeil. Ce n’est plus le malheureux homme qui courait dans la nuit à l’intérieur du long tunnel pour observer pas à pas avec sa lampe des secteurs consécutifs du tunnel flexible dans le jardin.
Ce malheureux petit homme représentait la CONSCIENCE , le propriétaire symbolise la CONCIENCE du BUUAWEA (ÂME).
Il vous faudrait une plus grande argumentation pour assimiler d’un coup cette idée. Il est difficile au début d’admettre cette différence entre CONCIENCIA et CONSCIENCIA (mots que nous avons choisi pour traduire les nôtres; BUUAWA IMMI et ESEE OA .)
Mais les hommes de la terre seraient-ils différents de ceux d’UMMO sur ce point ?
Il n’y a pas de raison pour que vos âmes soient d’une autre essence.
Si l’ÂME est capable de voir d’un seul coup d’œil tout ce long tunnel, cet OEBUMAOEMII en forme d’HOMME-BOUDIN , ou autrement dit tous les faits vécus et à vivre par l’OEMMII (corps), comment se fait-il que moi, je ne sois pas capable d’accéder au champ de ma CONSCIENCE qu’au niveau de la vision du PRÉSENT, c’est-à-dire un seul fait de cette gigantesque chaîne de faits qui constituent le long OEBUMAOEMII ? En fin de compte, ce MOI ne serait-il pas mon ÂME ? Vous, les scientifiques de UMMO, vous dîtes que ma conscience est ce petit homme à la lanterne qui voyage lentement en explorant dans la nuit un par un les FAITS qui composent le long tunnel ; vous dîtes que quand mon CORPS EST EN TRAIN DE LIRE EN CET INSTANT (c’est-à-dire un fait), ou quand JE ME DÉSHABILLE CETTE NUIT (autre fait), tous deux existent déjà préétablis par mon ÂME avec la permission de WOA et cependant il m’est seulement permis de L’APPRENDRE pas à pas dans le lent flux du Temps?.Est-ce que MON MOI CONSCIENT est en fait un esclave innocent de mon ÂME qui modèle ma conduite ?
C’est ici une nouvelle illusion. Quand nous levons le regard et que nous voyons le bleu de la mer ou le rouge d’une braise, nous sommes loin d’imaginer que le BLEU ou le ROUGE sont de simples illusions somatiques. La couleur n’existe pas, il y a seulement de simples faisceaux d’ONDES dont la longueur de la période produit différents effets dans notre cortex cérébral. Bien plus, ce flux du temps qui nous fait voir les faits UN PAR UN est une ILLUSION.
CONSCIENCE et CONSCIENCE sont enfin et en définitive la même chose. C’est notre corps physique, notre OEMII, qui avec ses limitations empêche que l’âme voit au travers de plus d’un épisode ou fait à chaque instant.
Nous emploierons un autre exemple : sortez à votre fenêtre et contemplez le panorama. Imaginons que vous êtes architecte et que vous avez construit l’édifice qui est en face. Vous le voyez en entier avec toutes ses portes et fenêtres, ses toits, ses cheminées…. Maintenant coupez sur un carton un petit carré de un ENMOO (un ENMOO = 1,87 cm) de côté.
Faites en son centre un orifice du diamètre d’un crayon et retournez à la fenêtre. Mettez le carré à 9 ENMOO de votre oeil (16,8 cm) et sans essayer de fermer l’autre oeil, essayez de voir à travers cette perforation une des fenêtres de la maison d’en face. Que le champ de vision est limité et désolant ! Si vous voulez voir tout le panorama, vous devez faire un long déplacement dans l’espace.
Mais vous ne serez pas assez ingénus pour vous exclamer que vos yeux ne sont pas capables de contempler en une fois le paysage (la maison que vous avez construit). Il vous suffirait d’enlever le petit carton.
Vous avez donc compris que les yeux représentent la CONSCIENCE. Le carton symbolise L’OEMII (CORPS PHYSIQUE) et le champ limité par l’orifice : le ESEE OA (CONSCIENCIA).
337 RESPONSABILITE DE L’HOMME DEVANT WOA.
La BUAWAA (âme) est donc responsable devant WOA de votre conduite par rapport aux UAA (code moral dicté par le CRÉATEUR). L’âme a modelé – en une seule fois- mais elle a donné forme à tous les faits vécus par l’OEMII (corps physiologique) et si elle ne les a pas adaptés à cette loi morale qu’elle as librement transgressée, elle doit être punie.
Ce concept de punition n’a rien à voir avec la description ingénue que les textes antiques de l’église romaine terrestre fait du purgatoire. Nous avons été, cependant, très surpris en observant que les Théologues modernes de cette même église et d’autres, Evangélique et Protestante, soutiennent actuellement une théorie qui coïncide presque exactement avec les nôtres car elle prend en compte le concept d’esprit adimensionnel dissocié de la magnitude Temps.
337 L’INTERACTION BUAWAA / OEMII (ÂME + CORPS), DÉCOUVERTE DE L’OEMBUUAW (TROISIÈME COMPOSANT DE L’HOMME).
Une vision incomplète de l’homme peut nous le présenter comme un corps sujet aux implacables lois biologiques de WOA. Quand une pierre tombe, son déplacement n’est pas le fruit du hasard car interviennent la masse de la roche, le champ gravitationnel de UMMO (ou de la TERRE), la composition de l’air et les phénomènes de turbulence liés à la forme de l’objet. Le comportement de tout OBJET dans le Cosmos est fonction de lois statistiques que vous appelez lois physiques.
Mais, cependant, le hasard est l’unique LOI des particules subatomiques. CELLES-CI ne sont pas soumises comme les grands OBJETS à la servitude d’une loi inflexible et cela, les scientifiques de la TERRE le savent.
Mais si l’homme est un complexe géant d’atomes, c’est à dire un GRAND OBJET : sa conduite ne sera-t-elle pas donc subordonnée à des lois physiques et biologiques ? Ce qui lui interdirait une conduite libre.
OUI et NON. Nous l’expliquerons : observez ce qui arrive quand un faible rayon de lumière arrive à la rétine. Toute la conduite de l’homme peut se modifier par ce phénomène imperceptible. Nous savons qu’il suffit d’un seul IBOAAYA OU (Photon) pour faire réagir une seule BOIYUIYU ADA (cellule rétinienne que vous appelez BÂTONNET) et pour créer une impulsion nerveuse. Un seul photon pour faire bouger L’OEMII (CORPS) ! Ensuite, l’homme, qui physiologiquement est soumis à ces lois booléennes peut à son tour se comporter par hasard, en étant contrôlé par des particules subatomiques.
Ce principe anima les psychophysiologues de UMMO à rechercher les véritables causes de l’interaction entre BUAWAA et OEMII (ESPRIT ET SOMA) jusqu’à ce qu’en l’an 315 de notre Temps, NOI 3, fils de NOI 2, avec son équipe de scientifiques, réalise une grandiose découverte :
L’OEMBUUAW : facteur de liaison entre le corps et l’âme. Il ne s’agit pas comme le croient les spirites de la Terre d’un PÉRI-ESPRIT de substance ECTOPLASMIQUE car une substance ne peut en même temps être MATÉRIELLE (avec DIMENSIONS) et en même temps SPIRITUELLE (sans DIMENSION) et les régurgitations ECTOPLASMIQUES des médiums terrestres sont de simples supercheries.
L’OEMBUUAW est composé simplement par un petit groupe ou constellation d’atomes DIIU YAA (krypton) ; ce gaz est formé d’atomes inertes (incapable de se combiner chimiquement). Dans leurs orbites on compte 36 électrons dont 6 qui se trouvent dans l’écorce extérieure et deux dans la suivante. Vous pouvez observer que le nombre atomique est multiple du nombre atomique du carbone (douze) et de l’hélium (deux). Il est capable d’entrer en résonance OWEEEU OMWAA avec ces éléments, avec une fréquence correspondant au troisième HARMONIQUE de la FONDAMENTALE du CARBONE et la SIXIÈME HARMONIQUE de la fréquence FONDAMENTALE DE L’HÉLIUM. (Le OWEEU OMWAA est un effet cortical de l’atome que vous ne connaissez pas encore et il ne faut pas le confondre avec l’émission d’énergie à diverses fréquences par l’écorce électronique et que vous mesurez à l’aide des spectres d’émission caractéristiques pour chaque atome).
La localisation de ces atomes de krypton dans le corps humain est très difficile pour les raisons suivantes :
– ILS NE SONT PAS COMBINÉS AVEC LE RESTE DES COMPOSÉS ORGANIQUES DE L’OEMII (corps humain).
– LEUR NOMBRE EST TRÈS RÉDUIT (nous en avons compté 16) À L’INVERSE DES AUTRES ATOMES (carbone, azote, oxygène etc…) QUI SE COMPTENT PAR TRILLIONS.
Mais ne croyez pas que le nombre d’atomes de krypton est si réduit. Nous pensons qu’il en existe des centaines de milliers (même ainsi le chiffre est faible) localisés dans le LOBE TEMPORAL du THALAMUS, dans l’HYPOTHALAMUS et dans d’autres zones de l’ÉCORCE CÉRÉBRALE.
Ce sont les impulsions nerveuses qui, grâce aux différents atomes de carbone et d’hélium dont les états QUANTIQUES ont été excités (image B), modifient par résonance les états ordinaires de fréquence Zéro (onde plane) de chaque atome de KRYPTON par effet OWEEU OMWAA . Ainsi les messages de la mémoire, par exemple, vont s’encoder dans ces atomes en forme d’ONDES (déja mentionnées dans l’image D).
Le BUUAWAA (ÂME) a donc connaissance de tout ce que captent nos sens et de tous les processus mentaux développés dans notre cerveau grâce à ces ATOMES DE KRYPTON : mais de plus, grâce à eux, l’âme agit sur le corps en développant un processus inverse dont l’ultime phase est constituée par les impulsions motrices qui activent nos muscles.
Nous pouvons élaborer une IMAGE qui représente l’HUMANITÉ , IMAGE PUREMENT SYMBOLIQUE car notre esprit est adimentionnel
Une gigantesque BUUAWE BIAEI ou âme collective (bleu) – dont les BUUAWAA (vert) intégrés en elle contrôlent chacune, grâce au OEMBUUAW (jaune), ses OEMII (CORPS) (orange) respectifs – est en réalité associée au temps en formant le long et tortueux enchaînement de FAITS que nous appelons OEBUMAOEMII.
Un TOUT créé par WOA avec une grande liberté pour régir en une fois pour toujours son Destin et ensuite être sanctionné et prévu dans l’intime participation des IDÉES de WOA (cet ensuite est symbolique car le temps n’existe pas).
Il n’y a pas de mots pour exprimer l’exquise harmonie de cette merveilleuse CRÉATION de WOA.
Tous les hommes d’UMMO sont donc intégrés dans ce BUUAWEE BIAEI ou ESPRIT COLLECTIF mais : EXISTE-T-IL UN ESPRIT PLUS AMPLE QUI EMBRASSE TOUS LES ÊTRES DU COSMOS ? NOTRE BUUAWEE BIAEI ET CELUI DES HOMMES DE LA TERRE SONT-ILS AUSSI « FONDUS » ?
Humblement nous confessons que nous L’IGNORONS; s’il en était ainsi nous pourrions communiquer télépathiquement avec vous malgré les énormes distances et nous connaîtrions quelque chose de plus au niveau du FUTUR que nous réserve l’Humanité Cosmique.
Ceci est l’un des objectifs de notre mission sur TERRE : jusqu’à maintenant les résultats ont été négatifs. Nous croyions naïvement que les scientifiques et théologiens de la Terre allaient nous apporter des éléments et nous vous avons trouvés préoccupés par des guerres stériles et de stupides polémiques faute d’objectivité scientifique ; et vous croyez TOUS posséder TOUTE LA VÉRITÉ sans respect pour ceux qui ne pensent pas comme vous.
Ecrit par DA 3, fils d’EYEA 502 (Section Espagne)
Sous couvert de YU I, fille de AIM 368 (Déléguée de en Australie)
INFORMATION ACCESSOIRE
Copies distribuées: 2
Langues: Espagnol – Français
113 – DÉCOUVERTES D’AUTRES PLANÈTES HABITÉES RÉALISÉES PAR UMMO
Dans nos déplacements, nous ne sommes même pas encore parvenus aux limites de notre galaxie. Nos techniques de voyages spatiaux doivent s’adapter en fonction de certaines courbures de l’espace. Nous ne pouvons donc pas nous déplacer où et quand nous voulons.
Au long de notre HISTOIRE les contacts établis sont les suivants (les dates correspondent à notre dernière époque, années UMMO).
An 27/32465,5616 Les premiers messages codés du système OOYAUMME (étoile que nous n’avons pas identifié sur les tables astronomiques de la Terre).
An 29/36008,53 Enregistrement de messages indéchiffrables provenant du groupe UUYABOO WEAM de la nébuleuse NEAAA.
An 64/87,3 Arrivée de deux appareils semblables à nos OAWOLEA UEWA . Ils disparurent sans laisser de traces. Auparavant, et sans preuve officielle, furent enregistrées dans les URAA (chroniques officieuses) jusqu’à environ 4230 contacts de ce genre.
ENTRE LES ANNÉES 84 et 509 : 42 messages reçus et décodés, 103 messages indéchiffrables.
De tous ces 145 codogrammes radioélectriques reçus (322-329 mégacycles /sec – BANDE DU DEUTÉRIUM – et fréquences comprises entre 407,658 et 8306,63 Mc/sec) provenant de 27 systèmes planétaires ou groupes localisés. Deux messages (décodés) extragalactiques. Un provenait de la galaxie OREEAU (appelée par vous ANDROMÈDE), on n’est pas certain de l’origine du second contact.
Nous avons établi le premier contact réalisé au moyen de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (nefs spatiales) avec la planète IEYIOBAA (la dénomination phonique de ses habitants était approximativement ainsi FRRRANSSSS). Ce groupe est situé autour de l’astre OOYAUNMEEEI (Sur les tables terrestres il figure avec la dénomination 70 du Serpentaire)
Le second (an 501/978,56 avec la planète OOYAWIIA et ses habitants qui tuèrent ses six membres d’équipage).
Nous avons visité 218 planètes sans vie ou à formes de vie primaire.
Tous nos essais de communications télépathiques avec d’autres humains, vous inclus, se sont révélés infructueux, d’autre part les distances énormissimes (voie lumière), qui conditionnent les communications électromagnétiques (radio) ont rendu quasi infructueuses les tentatives de répondre aux messages reçus et bien interprétés, puisque quelques-uns sont reçus avec un retard (même dans notre galaxie) de: 38.607, 46 ans
C’est le cas extraordinaire de la planète OOYAEBEEM située dans le système UYI ABEE. De bonnes conditions isodynamiques de l’espace en l’an 487/84.465,2 permirent de la visiter, la nef ayant mis 40.078.427,56 de millièmes de ummojours ou 86 jours terrestres quand la lumière met 9165 ans. Nos techniciens purent seulement capter les traces d’une immense destruction survenue quelques 6.000 ans terrestres auparavant. Bien plus nous avons enregistré postérieurement deux messages codés provenant de cette planète elle-même d’où ils furent émis avant que son humanité se soit autodétruite avec ses terribles armes à plasma.
300 – NOTRE SYSTÈME DE RÉMUNÉRATION
Au cours de notre histoire nous sommes passés sans transition du troc d’espèces à l’évaluation économique du travail et des biens industriels et de consommation en fonction d’un système mathématique très complexe. Pour comprendre ce système, il vous faut connaître plus à fond la structure de notre SOCIÉTÉ.
Nous tentons de faire un résumé des traits les plus en accords avec l’économie de UMMO.
Nous possédons un système de codification des biens très complexe et soigneusement standardisé de façon qu’à chacun soit assigné une série de chiffres qui le représente. Ils sont recensés dans les groupes suivants, tous évalués du point de vue économique.
OUMBOOBUUA. Biens – services intellectuels tels que travaux de calcul mathématique, inspection de la clarté de la communication phonique, examen psychotechnique de l’enfant et beaucoup d’autres. (Inclus les formes de divertissements)
OUMBOOMIIA. Biens en formes de services qui requièrent l’usage de la motricité physiologique, mains, pieds, thorax, manipulation de machines outils, réparation d’instruments de recherche, chirurgie…
OUMYASAAII. Biens naturels de surface ou de volume tels qu’aires de terrains, volumes de sous-sol, volumes d’espace dans ou hors de l’espace atmosphérique.
OUMDAA DOAA. Biens de consommation alimentaire, vêtements, AARBII OMAIU (sorte de tablettes de titane où peuvent s’enregistrer les sons, équivalent des disques et bandes de magnétophone de la Terre), objets décoratifs, meubles, ainsi que l’ÉNERGIE.
OUMWI AA. Biens d’équipement tels que les appareils industriels, les véhicules, les bâtiments, etc, (inclus tous les types d’instruments de travail)
Observez que les deux premiers sont réalisés par l’énergie humaine et que les trois derniers sont DIMENSIONNELS.
En principe les hommes de UMMO ne possèdent aucun de ces derniers biens dimensionnels.
Vous pouvez interpréter cela comme une forme occulte d’économie marxiste terrestre mais les différences entre la structure communiste et la nôtre sont bien notoires comme nous allons le voir :
D’abord il n’y a pas sur UMMO de problème de production. D’une part, l’autorégulation des naissances est parfaitement assurée sans faillir aux normes religieuses de l’UAA (code MORAL) et, d’autre part la production massive synthétique des glucides, protéines, lipides et de tous les aliments et le reste des biens OUMDAA DOAA. et OUMWI AA. , est si énorme et si parfaitement planifiée que les terribles problèmes de l’injuste répartition des biens qui harcèlent l’humanité de la Terre ne peuvent exister, de même qu’entre vous des problèmes comme celui en rapport avec l’air et sa répartition.
Quand l’existence de BIENS est supérieure à la DEMANDE probable, ils subissent une dépréciation telle que, pour un certain seuil quantitatif, ils perdent toute signification à une prétendue évaluation rémunérative.
Mais il y beaucoup de biens estimés et évaluables, étant donné que leur nombre ou grandeur ne sont pas supérieurs à ceux de la fonction de la DEMANDE (certaines attractions, objets rares, terres, etc).
Quand l’enfant a atteint un certain âge, on évalue ses facultés psychophysiologiques. On considère que la maîtrise de son éducation appartient à l’UMMOAELEWE (CONSEIL DE UMMO). C’est à 13,7 ans (terrestres) qu’il s’intègre dans l’UNAWO UUI (grand centre d’enseignement) où le régime est sévère et où le jeune s’habitue à ne rien posséder à lui.
Une fois terminée sa formation – adaptée aux facultés de notre OEMII (corps humain) – on lui attribue un code chiffré qui constitue notre FICHE D’IDENTIFICATION (nommée UMMOGAIAOO DAA).
A ce moment notre identité est intégrée dans la gigantesque XANWAABUUASII BEEO AO d’UMMO situé à GOABAAAE.
Elle est traitée dans une gigantesque mémoire centrale connectée à tout le réseau XANMMOO AYUBAA (espèce d’ordinateurs ou cerveaux de base DIEWEE). La technologie de ces grands équipements qui ont une lointaine parenté avec vos cerveaux électroniques est trop complexe pour être décrite ici.
En premier lieu, les unités de mémoire XANWAABUUASII ne sont pas constituées, comme celles de la Terre, de bandes magnétiques, disques magnétiques de ferrite ou tambours. Il s’agit simplement de petits cubes de titane cristallisé chimiquement pur. Chacun de leurs atomes peut être excité et atteindre une douzaine d’états quantiques de façon que chaque atome puisse engrammer un chiffre. (NdT: Les 12 de leur numération) (Remarquez que les mémoires des ordinateurs de la Terre travaillent avec des BITS en système binaire.
Vous pouvez imaginer qu’on puisse amasser des trillons de chiffres dans un petit volume de titane prêts à être de nouveau utilisés. Un faisceau d’ondes de section infinitésimale et de haute fréquence coagit avec deux autres en formant un trièdre en traversant le cristal de titane sur l’atome que l’on veut exciter ou décoder.
L’information (codée) déposée peut être traitée dans des équipements calculateurs (beaucoup plus complexes que vos simples équipements.
Bon. Il existe sur UMMO 120 XANMOO AYUBAA géants reliés à la grande MÉMOIRE sus-citée. Ces énormes dispositifs règlent toute l’activité de UMMO. Ne pensez pas qu’ils se substituent à l’esprit créateur de l’homme. Ils sont essentiellement un auxiliaire indispensable de notre civilisation.
Mon épouse peut, de notre domicile, entrer en contact avec le XANMOO AYUBAA et lui soumettre les données relatives à la température, tension, degré d’acidité de la sueur, nature des ondes cardiologiques, etc, de notre petite fille malade, et en recevoir le diagnostic et les prescriptions thérapeutiques. De même, nous pourrions lui soumettre un problème compliqué de mathématique pure ou de psychobiologie analytique.
Signalons que notre UMMOGAIAO DAA est intégré dans cette mémoire. Aujourd’hui devant chacune des données correspondant à notre rendement le point professionnel assigné, convenablement pondéré, est inscrit aussi dans cette Mémoire.
En ce moment même, je dicte ce document à un homme de la Terre. Ce travail est ensuite enregistré en Australie. Il y est évalué et codé à l’égal de vous pesant un kilogramme de café traduit en pesètes ou en francs. Ces données de nos travaux sur Terre sont enregistrées aussi dans un petit ordinateur pourvu également d’une mémoire de titane. Cette plaquette, qui contient non seulement ces données mais des milliers de document codés se référant à la civilisation de cette planète, sera envoyée sur UMMO. Mieux, les données numériques qui enregistrent mon travail iront se mêler à toutes les données qui se rapportent à ma personne et qui existent dans la XANWAABUASII BEEO AAO.
Si je reviens un jour sur UMMO et désire par exemple acquérir une antiquité rare (par exemple un chronomètre balistique) (cela s’entend en USUFRUIT) le « vendeur » consulte la XANWAABUASII qui lui dira si j’ai ou non droit à elle. Et la réponse est conditionnée par de multiples facteurs :
Mes capacités psychophysiologiques et mon grade hiérarchique,
Mon rendement au travail tout au long de ma vie,
Toute l’économie de UMMO en cet instant.
Comme cela, nous n’avons pas besoin d’argent que d’ailleurs nous n’avons jamais connu et nous croyons n’y avoir rien perdu, puisque avec notre système de rémunération centralisé et soumis à une rigoureuse analyse depuis le central coordinateur de UMMO, c’est comme si nous comprenions beaucoup plus justement et plus rationnellement.
Une analyse plus détaillée de ce système montre qu’au fond il est semblable au terrestre. L’argent matérialisé en documents (BILLETS) cautionné par un patron (c’est l’OR ou la CAPACITÉ ÉCONOMIQUE du pays) a été remplacé sur UMMO par des valeurs symboliques qui étaient en même temps soutenus par l’économie de UMMO. La circulation monétaire n’est pas nécessaire et le système employé rappelle un peu les TRANSFERTS BANCAIRES DE la TERRE. Mais par contre, le système de rémunération du travail est d’un point de vue scientifico-économique et moral beaucoup plus rationnel.
La suppression de la propriété privée n’a pas créé de grands problèmes et d’autre part l’homme de UMMO est libre de choisir le travail qu’il désire. Malgré l’absence de propriété, l’incitation et la stimulation au travail sont plus intenses que sur votre planète.
Si je rends un grand respect à ma condition professionnelle, je jouis d’avantages en biens usufruitiers, services et prestations, qui ne seraient pas accessibles à un individu paresseux. En somme, vous pouvez interpréter notre civilisation comme une espèce de structure socialiste (plus perfectionnée que les balbutiants et équivoques systèmes socialistes de la Terre) et profondément religieuse, mais avec une base argumentaire pour cette religion nettement scientifique et dépourvue de toute tendance fanatique. Nous croyons à des valeurs spirituelles qui sont plus équilibrées que les vôtres. Seuls les arts, et spécialement la musique, sont terriblement plus pauvres que ceux de la Terre.
D42
Référence : | D42 |
Titre | Histoire de UMMO, Régime despotique de IE 456 et de sa fille WIE 1 |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en mars 1966 |
Commentaires | partie d’un document plus vaste. |
AELEWE
INFORMATION OOL
Nombre de copies distribueés : 1
Langue espagnole
A la demande des professeurs Sesma Manzano
Madrid
A la demande DOO
Conformes à votre demande d’un rapport sur notre Culture , Philosophie et Religion . Vous comprendrez (empero? ) qu’il nous soit impossible de les résumer en quelques pages .
Nous avons jugés suggestifs d’esquisser des morceaux choisis , qui englobent quelques unes de leurs caractéristiques les plus marquantes bien
qu’il y ait un risque de le faire d’une manière non systématisée .
Un résumé plus étendu et cohérent a été remis en Mai 1965 au professeur K.I. Ivanov (Union Soviétique ) . Un autre rapport sur notre système religieux , de caractère confidentiel , a été adressé à l’observatoire de la Cité du Vatican ( Italie ) .
Le risque le plus important que suppose de réaliser cette synthèse réside dans le fait de priver les affirmations qu’elle contient d’une soigneuse argumentation logique .
331 L’Art .
En toute objectivité , nous devons reconnaître l’authentique retard de UMMO dans ce domaine par rapport à l’Humanité Terrestre .
A présent nous avons compris comment une découverte technique faite par nous dans les premiers stades de notre Histoire a eu pour conséquence d’atrophier tout le développement des manifestations picturales -scupturales , telles que celles qui sont faites sur votre planète .
En l’année 402 de notre seconde Epoque ( on ne connaissait pas encore la nature de l’électrostatique , et les AAKSBOUTZ – moteurs à méthane – n’étaient pas encore apparus ) , un de nos ancêtres ? Y | OO ‘ UUL 76 ) fils de ?Y | O-(UUL 73)
[ note du copiste le premier symbole dessiné sur l’original ressemble à ? sans le point en dessous ; Y remplace un symbole Y manuscrit mais avec un trait oblique incurvé en bas à gauche comme le A , le premier O droit avoir un trait au-dessus ]
découvrit qu’en projetant à travers un petit orifice une petite image lumineuse ( naturellement inversée ) sur une plaque de sélénium (préalablement frottée et ensuite saupoudrée du polen d’une plante ) , cette image reste fixée , comme elle l’était sur l’un des daguerréotypes de l’époque de Niepce sur la Terre .
Aujourd’hui nous connaissons bien la raison :
Si au moyen d’une lentille nous projetons une image quelconque sur une plaque que nous avons tribo-electrisée en la frottant avec un tissu , les zones baignées par la lumière présenteront un potentiel électrique différent de celles non illuminées . Si ensuite nous saupoudrons de talc ou de carbone finement divisé , les zones électrisées retiendront les grains . Reste alors fixée une authentique photographie de l’image primitive ( le processus réel est un peu plus compliqué )
A partir de ce système , nos ancêtres « repeignaient » ensuite l’image avec des pigments adéquats , jusqu’à ce que l’évolution de la UULAYANA NAI (Electrophotographie ) rendit inutile ce travail manuel secondaire . Mais de cette façon , notre humanité n’éprouva pas le besoin de la peinture telle que vous la connaissez , s’atrophiant en partie quelques facultés esthétiques .
332 HISTOIRE de notre changement de gouvernement
Apparition du concept scientifique de WOA .
Dans notre histoire , ne sont pas apparues comme parmi vous , de multiples courants de pensées au sujet de l’existence ou de la non existence de WOA (D42_S1) ( créateur , appelé par vous Dieu ou Jehova) . Au contraire , toute notre culture a toujours été WOASSEE (Créationniste , ou comme vous diriez : Théiste ) . Bien que jusqu’à la vivisection de UMMOWOA (D42_S2) on avait tendance à identifier WAAM – le Cosmos à WOA ( Dieu ) au moyen d’une constellation de croyances que vous qualifieriez que Panthéistes .
Il n’existe aucune forme définie de culte . Notre humanité traversait alors une époque hallucinante et angoissante : des centaines de malades psychosomatiques , leurs centres neurophysiques déséquilibrés générateurs d’impulsions BUUAWE BLE (Télépathiques à , terrorisaient la population , freinant le progrès de la culture . On pensait plus à faire la chasse à ces malheureux malades qu’à rendre un culte à WOA ( Dieu ) .
A cette époque existait encore sur UMMO un Gouvernement monocratique qu’on élisait par proclamation des AASE OGI (Chefs de Cité ) . Les méthodes de détection de ces malades allèrent lentement en se perfectionnant . Dans l’année 1126 (238 AU ) de notre première époque , apparaît la méthode AARWIO BUUA EI , précédent de notre moderne AARGA BUUA EI , pour neutraliser leurs hurlements anarchistes , en les tuant à distance , et avec elle s’épanouit toute la recherche scientifique . (Ce triomphe est l’équivalent de votre découverte de l’imprimerie ) .
Notre peuple respire enfin , libre de son esclavage mental .
Mais , malheureusement apparaissent aussi les premières formes embryonnaires de la tyrannie . Avec IE 456 fille de NA 312 , surgit le gouvernement le plus épouvantablement despotique qu’a connu UMMO .
A l’age de 8,5 ans (en équivalents terrestres ) , IE 456 se révèle être une enfant douée d’un niveau d’intelligence surprenant , et le Conseil Local (Les parents n’avaient pas d’autorité éducative à cette époque ) la destine au ONAWO UII (espèce d’Université ou Centre Polytechnique) pour l’étude de la OOLGAWAAM (Physique et Cosmologie) . A cette époque, les études sur les champs électromagnétiques et la physiologie cellulaire étaient très avancées , bien qu’on continuait à considérer l’Univers comme un continuum à trois dimensions et qu’on ignorait la nature intime de la communication télépathique .
A l’age de 13,2 ans, IE 456 est nommée professeur de WAAMTOA (Histoire de la Cosmologie) . Commençant en même temps ses recherches sur le champ gravitationnel de UMMO . Ses NOA (élèves) étaient tous d’age supérieur à celui de cette jeune fille très menue et maladive qui leur imposait néanmoins une discipline de fer et cruelle . (Sur UMMO le professeur a toujours remplacé le père pendant l’étape scolaire de l’individu ).
Les découvertes de IE 456 : le calcul de la masse de notre planète et la nature de la bande ionisée polaire de UMMO , la firent devenir rapidement la première figure scientifique de notre planète , au coté de IMII 23 fils de IMII 22 créateur de la psychologie moderne .
Quand se dématérialise l’esprit (meurt) du vieux Hiérarque OES 17 fils de OES 14 , la petite IE 456 est élue par le Conseil de AASE OUIA ( gouverneurs ) réunis dans la vallée NAATOWSEE UA NAII (c’était une coutume ancestrale de se réunir dans l’historique Vallée pour élire le Grand Dignitaire de UMMO et ses douze conseillers ) .
L’opinion du peuple fut cependant opposée depuis le premier instant , et la fine intuition des masses ne fut pas très erronée , bien que la réaction populaire défavorable était motivée par la désagréable sensation de se voir gouvernée par une enfant .
332 – Régime despotique de IE 456, fille de NA 312.
En ce 17ème jour après son ascension au pouvoir, le fameux AAR GOA, elle provoque ce que vous appelez « un coup d’état », en ordonnant d’exécuter neuf de ses douze conseillers et elle se proclame chef absolu de UMMO en invoquant le supposé droit qui lui permet d’accélérer le progrès scientifique.
Elle développe alors une théorie philosophique hétérodoxe, théorie selon laquelle: le « cosmos » n’existe pas « à priori », mais seulement les esprits des hommes, dont la génération d’images mentales et de concepts ou abstractions intellectuelles CREE l’UNIVERS.
Selon elle, quand un homme découvre une loi biologique ou physique, il est victime d’une illusion : il croit qu’une telle loi existe depuis l’ origine du cosmos, alors qu’en réalité il vient de la créer lui-même.
Le destin de l’Humanité de UMMO consisterait donc à accélérer la recherche scientifique, sans tenir compte des moyens, accélérant ainsi la création.
IE 456 postule donc que WOA (dieu) n’est rien d’autre que l’ensemble des êtres de UMMO et que le cerveau de WOA serait elle-même : IE 456, fille de NA 312.
On frémit, de nos jours, en pensant qu’une demoiselle qui n’avait pas encore eu sa première menstruation puisse subjuguer ainsi des millions de personnes.(Dans certaines régions de UMMO la puberté apparaît vers les 16 ans et la ménopause vers les 45 ans ; chaque fois que nous nous référons à l’année, nous la considérons comme l’unité Terrestre de temps).
Elle planifia la recherche scientifique, dans tout UMMO surgirent des centaines de nouveaux ONAWO UII (espèces de centres d’enseignement où en même temps la vie quotidienne continue), et ordonna que tous les hommes, femmes et adolescents rationalisent d’une manière draconienne leur temps,en le divisant entre les études et le travail.
A 15,2 ans d’age, IE 456 promulgua les fameuses douze INAIE DUIO (lois ou décrets) selon lesquelles, se considérant comme le WAAM DI SAIAYA (quelque chose comme le Centre Coordinateur du Cosmos…, Ahurissant !!) :
1°: elle se proclame propriétaire de tous les êtres de UMMO, pouvant ainsi disposer de leur vie sans aucune limite.
2°: elle élabore et standardise pour tout UMMO les rites du culte qui lui seront rendus par tous les humains.
3°: le but suprême de UMMO est la recherche scientifique,et s’il s’avère nécessaire que tous les hommes meurent à l’autel de la science et de la genèse du Cosmos comme conséquence immédiate, elle n’aurait pas de scrupule à les anéantir.
Ainsi naquit un terrible climat de terreur. Les scientifiques qualifiés dont l’intelligence avait été évaluée au dessus d’un certain niveau, et qui n’arrivaient pas à apporter quelque découverte à la science, étaient torturés d’une manière barbare.
Les femmes, hommes et enfants qui, dans les BIEEWIA (tests psychotechniques), ne pouvaient atteindre un seuil « standard » d’aptitudes mentales, étaient destinés au même usage que vous, sur la Terre, réservez aux cobayes et cochons d’inde.
Par exemple, dans AEVO UI ONAAWO (université de AEVO), un certain jour, et seulement en 12 UIW (environ 36 minutes), on en arriva à pratiquer la vivisection de 160 jeunes des deux sexes, d’age compris entre 17,6 et 22 ans, en leur extirpant sans anesthésie (encore inconnue) une partie de la masse encéphalique pour une expérience destinée à localiser les centres neuro-olfactifs du cortex.
La mythomanie et la cruauté délirante de cette enfant, dont l’image floue des ULAAYANA NAE (espèces de photos pigmentées) de l’époque nous révèlent un teint olivâtre et des yeux petits et inexpressifs, atteignaient des extrêmes honteux.
Pendant ses audiences, (qui, semble t-il, étaient accordées uniquement à des scientifiques prééminents et aux WAAMU ODEU -penseurs et philosophes-) ses sujets devaient se présenter devant elle totalement dépouillés de leurs vêtements (précisément à une époque où la pudeur sexuelle était profondément enracinée chez nos ancêtres) et les paupières closes par un mastic. Si le jugement à leur sujet était favorable, la récompense (YIISAIA) consistait à leur permettre d’ouvrir les yeux pour la voir et venir boire les AAYA IEAAYA (matières fécales et urine) de la maîtresse de UMMO.
AMU A 47, fille de OGA A 1896, célèbre chercheur en mathématiques, à qui l’on attribue les premières études sur la théorie des réseaux électriques, fut reçue par la jeune despote. La commotion psychique fut si grande, que la malheureuse (dont l’age était alors de 38,7 ans) ne put contrôler ses sphincters. IE 456, après l’avoir humiliée devant ses servantes, la tortura personnellement, et elle fut ensuite destinée au fameux et sinistre groupe IO (cinq).
332 – Gouvernement de WIE 1, fille de OOWA 33.
Pour la première fois et aussi pour la dernière dans l’histoire de UMMO, IE 456 impose sa fillette WIE 1, fille de OOWA 33, comme son successeur dans le gouvernement de UMMO.(l’histoire du père,OOWA 33, est une autre sombre énigme de notre histoire.; la version sur ses hurlements télépathiques avant son assassinat aux mains des policiers de IE 456, semble être une légende).
WIE 1 commence à régner sur ses sujets terrorisés à un plus jeune age que sa mère, le jour suivant sa mort mystérieuse. Elle avait 12,2 ans et cette fois-ci personne n’osa soulever la moindre petite protestation devant ce que l’on appela la UMMOTAEEDA (on pourrait traduire par « puéricratie » ou « infantocratie » de la planète).
( )I( I- )Mais WIE 1 n’a pas le grandiose éclat de sa mère. Elle est au contraire d’une vulgaire médiocrité, ce qui ne l’empêche pas de la dépasser en sadisme et d’idolâtrer son propre corps en un paroxysme d’égocentrisme et de narcissisme.
C’est dans ce cadre historique apparaît la sublime figure de UMMOWOA (D42_S2) [ (sur qui nous donnerons une information détaillée) et avec lequel les gens tournent de nouveau leurs pensées vers le Dieu authentique. Apparait alors pour la première fois le culte religieux.
Un explosif, mis semble t-il par une des servantes de WIE 1 par vengeance pour avoir été maltraitée, met fin (de manière aussi dramatique que pour sa progénitrice) à la vie de la stérile adolescente.
Au moins 4 millions de victimes sont enregistrées dans notre histoire durant le fugace mandat de WIE 1.
332 – Métamorphose du gouvernement, le UMMOAELEWE apparaît
Le soulagement avec lequel l’Humanité reçut la nouvelle de la mort de cette odieuse enfant fut suivi par une immense réaction de haine envers tout ce qui représentait la science.
Les merveilleux laboratoires USADAADAU brûlèrent en une nuit. Des milliers de DOROOUIAAIE (espèces de phonothèques ou bibliothèques où l’on conservait des enregistrements acoustiques sur la culture, et qui servaient, comme aujourd’hui, de textes pour les études), des centaines d’Universités, la Centrale de OORGAOWI où un gigantesque réflecteur parabolique concentrait l’énergie radiante de IUMMA pour son analyse, furent détruites par les foules.
Il n’y eut presque pas de victimes, où plutôt il y en eut une, innocente, la Science, dont l’évolution fut freinée pendant de nombreuses années.
Mais en échange, resurgit comme une belle colonne d’Oxygéne-Méthane incandescente, la recherche dans le domaine de la philosophie, la WOALA OLEASS (théologie), et aussi les recherches autour des facultés télépathiques et de la mathématique pure.
La société de UMMO subit aussi une profonde transformation. La terrible expérience endurée avec l’autocratie entraîne une restructuration du gouvernement de notre planète.
La polycratie apparaît sous forme du UMMOAELEWE (Conseil Général de UMMO) qui subsiste encore de nos jours avec de légères modifications. Quatre membres sont élus parmi les citoyens de UMMO sans discrimination d’age ou de sexe.
A tous, hommes et femmes adolescents, on évalue par des méthodes psychotechniques nos capacités mentales. Intelligence, aptitudes et intérêts, facteur de raisonnement, perception spatiale, niveau d’expression verbale-télépathique, puissance de rayonnement, équilibre psychosexuel, degré affectif, possibles réactions psychopathologiques et coefficient de suggestion, sont évalués au moyen d’analyses sur les trains d’ondes cérébrales (une méthode beaucoup plus perfectionnée que vos actuels électroencéphalogrammes).
Au total il se fait une sélection de 120 enfants de 13,65 ans d’age, les plus brillantes et équilibrées structures cérébrales de l’Humanité (pas un seul jeune citoyen ne peut échapper à cette analyse).
Tous ces enfants sont éduqués avec une grande attention, (la proportion actuelle est de 76,66% de garçons pour 23,33% de filles) durant plusieurs années, puis parmi eux seront élus les quatre EYAOLOOWA dont les caractéristiques psychophysiques offrent le niveau le plus élevé d’aptitude ; puis ils intègreront le UMMOAELEWE qui régit notre destin, pendant 6,4 ans.
Aucun des quatre EYAOLOWAO ne peut avoir des attributions de responsabilité supérieures à ses 3 camarades. Si l’on observe le plus minime déséquilibre, prédominance mentale ou suggestive d’un membre, le UMMOAELEWEANII, Sous-Conseil composé de 116 membres, a la possibilité de dissoudre le UMMOAELEWE et d’en nommer un nouveau.
D43
Référence : | D43 |
Titre | Histoire de « UMMOWOA », le dieu de la planète UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires |
NAISSANCE DE UMMOWOA.
L’humanité de UMMO traverse la crise la plus grave de notre histoire. Nous sommes, par rapport à la Terre, un vieux peuple qui a commencé à mesurer le temps quand les différents groupes sociaux de la Planète s’associèrent pour s’unifier sous un Gouvernement Monocratique (voir Note 2).
Tout au long des années, des OGIAA (grands chefs) se succédèrent,ils imposèrent des normes plus ou moins dictatoriales au peuple de UMMO.
D’autres, comme IUI I2, fils de IUI 11, qui dirigea le pays de l’année 4325 du Premier temps jusqu’à l’année 4331, imposèrent des régimes véritablement despotiques.
Mais un calme parait surgir entre les années 188 à 1301 du Second Temps, quand les lois promulguées pour la sélection du OGIAA diminuent sévèrement leurs pouvoirs.
Cependant le fameux AAR GOA (violation abusive du pouvoir) de IEE 456 fille de NA 3I2, en l’année 1301, amène l’hallucinante crise que nous avons déjà évoquée.
C’est dans ce cadre historique, dans les années 1282 / 03 du Second Temps sous la direction suprême de ce bon et paternel Ancien OGGIAA OES 17, fils de OES 14 et dans la florescente et industrielle ville (il vaudrait mieux dire colonie) de IOSAXII que nait le divin UMMOWOA.
OUVRIER ESCLAVE.
La planification industrielle développée par IEE 456 avait atteint tous les secteurs sociaux. Des millions de GEE et de YIEE furent exilés de force des colonies qui les avaient vu naître pour travailler comme ouvrier esclaves ou être utilisés dans des expériences biologiques. UMMOWOA, parmi des milliers d’autres, fut aussi intégré comme ouvrier esclave dans la construction de IUMMASNEII (étage de l’énergie solaire) situé sur le plateau de SIUU (voir Note 3).
Pendant ce temps, une rumeur, confirmée plus tard s’étend sur toute notre planète: A 29.9 ans terrestres, IEE 456 meure dans des circonstances encore inconnues dans son EXAABII (espèce de salle de repos) sans la présence des intellectuelles qu’elle obligeait à servir comme servantes.
Le soupir de soulagement que poussèrent nos ancêtres martyrisés fut de courte durée. La WOODOO (police très redoutée) contrôle toutes les communications.
La nuit qui suivit la mort de IEE 456, furent assassinés plus de 170.000 personnes suspectées de rébellion. On eut peur, non sans raisons, d’un soulèvement général fomenté par le célèbre astronome YIIXE 87, fils de YIIXE 86, réfugié à ce moment là dans la région volcanique de IIWEEWEE. Rapidement, se propagea une seconde nouvelle connue déjà du temps du tyran décédé. Pour la première fois depuis l’année Zéro du Premier Temps, le chef suprême de UMMO ne serait pas élu par les AASE OGIAA (gouverneurs) : IEE 456 fait prévaloir sa volonté après sa mort; WIE 1, fille de OOWA 3 et de IEE 456 agée de 12 ans serait donc le chef suprême de UMMO.
Cette très jeune fille qui savait seulement se baigner dans les essences de IWA (plante aromatique de UMMO) et dont le suprême divertissement consistait à faire éclater les tympans de ses infortunées servantes en introduisant, quand elle était en colère, des graines de UGUUAXIIA (arbuste) dans les oreilles, commença sa dictature en ordonnant de cautériser les sinus de son professeur de WUA (mathématiques) et de châtrer un des plus fidèles chefs militaires de sa mère. A la surprise générale de tous ceux qui suspectaient le manque d’intérêt pour tout ce qui était science ou philosophie, (sur ce point l’héritage génétique de la mère fut nul) et par un curieux respect à l’égard de la mémoire de la mère, elle nomma une commission d’experts, en les contraignant par la menace de cruelles représailles, de continuer le grandiose et brutal plan de recherches que sa mère commença à une échelle universelle.
DIFFUSION DE SA DOCTRINE
A ce moment là UMMOWOA avait déjà commencé à diffuser sa doctrine. Durant la nuit, quand les ouvriers esclaves revenaient du OYISAADOAA (espèce de campement) et après avoir été dévêtus et contrôlés pour éviter le vol du cuivre, ce jeune au regard doux et à la frêle musculature, parlait suavement aux centaines d’hommes qui l’écoutaient en silence tout en mâchant les longues tiges de EFIEEDI (plante aromatique, aquatique et filamenteuse très douce).
Ses auditeurs n’étaient pas seulement composés de membres des classes humbles et incultes. Il y avait des techniciens, des médecins, des biologistes, des philosophes, des professeurs… que le régime despotique avait condamnés en les dégradant de leurs fonctions.
Cet homme galvanisait tous ceux qui l’écoutaient par la pureté de sa logique, par l’humilité et l’objectivité de ses paroles. Les 1200 TAAU (paragraphes) qu’il nous a légué ont servi jusqu’à aujourd’hui pour nous guider spirituellement.
Quand ses gardiens, touchés par la sublime doctrine, lui offrent un traitement de faveur, malgré le risque que cela comportait pour eux, il refusa gentiment. Il s’autoqualifia de WOA, conforme à l’OEMII, et son pouvoir de persuasion est tel que pas un seul des intellectuels qui le suivent (parmi eux de nombreux psychologues de l’époque) ne peut opposer des objections à cette identification.
PSYCHODIAGNOSTIC.
Quelques unes de ses inestimables causeries sont aujourd’hui conservées dans de vieux rouleaux de DOROO (bande optico-acoustique) (voir note 4).
Donc les BIEEUNNIEO (psychoneurologues) actuels, après une analyse très détaillée, ont établi ce psychodiagnostic que nous résumons:
La personnalité de UMMOWOA ne reflète absolument pas la présence d’idées délirantes, caractéristiques des syndromes EDDIO WE (maladie équivalente à la paranoïa terrestre) et EDDIO NAAU (dissociation de la personnalité), de traits semblables à la schizophrénie de la IAAIYAA (maladie mentale qui rappelle vaguement vos psychoses affectives cyclothymiques.)
On trouve par contre un très haut niveau d’intelligence dans toute la gamme BIEEGOO (série de facteurs intégrants de la capacité mentale) et la présence à un degré exceptionnel de facteurs psychiques UUYI, caractéristiques d’une structure neurocorticale extraordinairement développée. Il est surprenant de constater cependant que UMMOWOA n’utilisait pas ses capacités télépathiques très développées sauf à l’instant de sa mort.
Sur ce point précis nous n’avons que des spéculations sans la moindre valeur.
SON MARTYR.
Avec la complicité dissimulée de la Police, le divin UMMOWOA quitte le plateau de SIUU pour ne pas compromettre ses fidèles les plus proches. Il se présente au groupe WOODO (police) de la AASE GAARAADUI. Cette décision de se constituer prisonnier, volontairement, aux autorités qui le recherchaient fut prise par UMMOWOA quand il eut achevé sa mission REVELATION. Durant de nombreuses années, ses exhortations se répandirent d’une manière clandestines dans tout UMMO: écrits, DOROO ou bandes photo-acoustiques, commentaires oraux fidèlement transmis aux enfants, et surtout des transmissions télépathiques à des parents ou amis lointains.
Ainsi, malgré l’étroite vigilance de la police, ses exhortations arrivèrent jusqu’aux endroits les plus reculés de notre Planète.
L’existence de UMMOWOA est connue de tous, mais le silence tacite qui l’entoure a permis de cacher son identité pendant plusieurs années (UMMO).
Mais les suppliques de ses disciples les plus proches ne servirent à rien. Quand UMMOWOA eut accomplit complètement sa mission de RÉVÉLATION, il annonca à tous sa décision de se livrer aux autorités qui le cherchaient, désorientées.
La nuit 15 de l’année 1402, avec la complicité secrète de la Police de OYISAA DOA (espèce de camp de concentration), le divin UMMOWOA quitte le plateau de SIUU pour ne pas compromettre ses plus proches fidèles. Il se présente ensuite au groupe WOODO (police) de l’AASE GAARAADUI (les ruines de cette métropole sont conservées)
Alors commence son hallucinant martyr dont le témoignage nous a été transmis par des témoins exceptionnels de cette époque et dont les actes, nouvelles et rapports officiels ont été soigneusement analysés par nos spécialistes.
L’explication suivante n’exclue pas que, dans le futur, nous vous remettions, quand vous l’estimerez utile, un rapport plus détaillé concernant les circonstances de cet horrible drame.
Nous vous donnons quelques informations concernant cet événement et ensuite une idée sommaire de ses doctrines.
Il fut inclus dans le groupe de personnes sélectionnées pour servir de victimes à l’expérimentation scientifique avec l’ordre de le soumettre à la mort la plus douloureuse.
UMMOWOA appartenait au tristement célèbre GROUPE (CINQ), composé de personnes choisies pour servir de victimes lors d’expérimentations scientifiques et selon un ordre express de WIE 1 exigeant que l’on recherche le procédé technique de la mise à mort la plus douloureuse que les chercheurs physiologistes pourraient trouver.
Ce martyr se déroule en l’an 1405. Son corps sacré est soumis à un cycle d’analyses dont le véritable objet fut d’assouvir le véritable sadisme de ses persécuteurs.
Son épiderme et sa moelle épinière servirent durant des jours à satisfaire les désirs de ces pauvres fous qui ne surent pas VOIR.
Mais les spécialistes qui réalisèrent cette expérience furent consternés quand le corps de UMMOWOA disparut devant eux à l’instant de son décès.
LA MORT DE UMMOWOA
Sur le YOAXAA (espèce de table chirurgicale) ne demeurèrent que les restes de GIAA DAII (draps ou étoffes poreuses) mais les viscères extraites, le sang qui imprégnait les UBOO (éponges plastiques) et même le liquide céphalorachidien qui se trouvait dans un récipient en dehors de la pièce, disparurent également.
Malgrè les efforts de la WOODO (autorités de police), la nouvelle circula rapidement. Les biologistes furent appelés par WIE 1 pour faire un rapport détaillé dans lequel ils excluèrent toute possibilité d’hallucination collective. La jeune fille écouta avec terreur le récit, mais finalement elle tint compte de la version émise par une commission de scientifiques qui accusa les témoins
visuels d’être des imposteurs. Ces derniers furent condamnés à mort.
CRITIQUE DE LA DEMATERIALISATION.
On ne peut soutenir l’hypothèse d’une fraude sans mznipuler la vérité. Une critique analytique réalisée par nos scientifiques en 338 de notre Temps, apporte beaucoup de lumière sur la mort surprenante de UMMOWOA.
Sept témoins visuels de la dématérialisation (sans compter la UNNIEYUU (neurologues) ROAA 75, fille de ROAA 72, qui était de dos à ce moment là et qui fut surprise de constater la disparition et l’expression horrifiée de ses compagnons) corroborèrent le témoignages des policiers et les aides qui ne virent sortir aucun corps de la pièce.
Parmi les sept témoins, il y avait le délégué des autorités chargé de veiller personnellement à l’exécution des ordres de WIE 1. Ce personnage célèbre par sa cruauté nous a laissé une version impressionnante des faits.
DIFFICULTES DE TRADUCTION.
On peut sélectionner quelques paragraphes appelés TAAU parmi les I200 que nous légua UMMOWOA.
La transcription est très difficile et il nous est impossible de traduire la beauté des images contenues dans l’original. Elles perdent malheureusement de la profondeur et de la vigueur. UMMOWOA parle aux gens de son époque et malgré tout il emploie un langage éternel; On peut y voir un impressionnat parallèle avec le langage de OOYAGAAWOA (Jésus-Christ).
TAAU 2
Comme le BUUAWAA (esprit) ne crée que des idées et qui régit notre OEMII (corps), LUI (J.C) engendre des idées et il engendre aussi le WAAM (cosmos) y compris notre OEMII et son IMMENSITE et PARTICULARITE SUR TOUS LES ETRE DU WAAM consiste à engendrer et c’est cela que vous appelez le WOA (CREATEUR).
Ne dites jamais WOA FUT ou WOA SERA, dites toujours WOA EST.
TAAU 41
« je suis WOA, régissant les destins de mon OEMI (Corps), ne doutez pas de cette grande énigme et mon OEMIIABII (hominisation) a comme objet de nous porter la paix dans ces jours de tristesse et de douleur que vous pleurez.
Je vous apporte la lumière qui, à travers vos yeux voilés, caresse suavement la rétine.
TAAU 42 UAA
Vous êtes comme des malades mentaux. Vous vous déplacez dans un monde de ténèbres hallucinantes.
Et quand vous vous plaignez parce qu’un de vos frères ne vous comprend pas, ne voyez-vous pas que lui aussi se débat au milieu de motivations inconscientes confuses?
Pourquoi n’essayez-vous pas d’abord de le comprendre?
TAAU 77 UAA
N’imputez pas à votre OGGIAA (chef suprême) tous vos maux. Peut être est-elle cruelle parce qu’elle est malade? Ayez pitié d’elle car elle ne connaît pas la paix intérieure que représente le fait d’aimer les hommes.
Comme elle est jeune d’âge, elle ne comprend pas la douleur. Comme elle est jeune de corps, elle ne connaît pas la candeur infantile car devant être gentille comme un enfant, elle se trompe en pensant éprouver du plaisir à vous humilier quand en réalité tous ses pores transpirent la douleur.
TAAU 81
Je vous entends dire : Pourquoi WOA tolère-t-il tout ce mal ? Pourquoi une enfant peut-elle nous ordonner d’engrosser nos femmes jusqu’à leur épuisement ? Pourquoi a-t-elle le droit de maltraiter nos chairs nues et de nous humilier jusqu’à nous imposer de macher ses AYAA (matières fécales) ? Pourquoi cautérise-t-elle les seins de ses servantes et blesse-t-elle avec des acides leurs organes les plus sensibles ? Pourquoi nous empêche-t-elle, à son caprice, de réaliser le suprême acte conjugal, juste pour le plaisir de nous voir vautrés sur le sable, tremblants et indigne?
Et l’écho de vos voix se perd au loin, entre les volcans de méthane enflammé. Pourquoi? Pourquoi WOA tolère-t-il tout ce mal?
De plus: Ne vous rendez vous pas compte que le mal est une simple illusion de votre esprit, comme la couleur l’est de vos sens? Ne voyez vous pas derrière ce mal apparent, l’accomplissement des lois harmonieuses de WOA ?
TAAU 213 UAA
Chaque organe de l’homme, chaque tendance ou instinct a une fonctionnalité organique, savamment régie par les lois qu’a dictées celui qui m’anime: WOA.
Ne changez pas ces fonctions au dela de leurs limites normales. Que la jouissance de la vue, de l’ouïe, du goût, de l’odorat, du toucher, des sens proprioceptifs, de l’orgasme ne se transforment jamais en un but, mais restent un moyen savamment contrôlé vous permettant de traverser la vie avec une authentique paix intérieure. (Dans l’original: UNNIEYAA AGAXAAU ODIAA : Peut se traduire par » ÉQUILIBRE PSYCHIQUE ou ÉQUILIBRE NEUROCORTICAL »)
TAAU 336 UAA
Pourquoi causes-tu consciemment le MAL à ton frère de travail? Les actes de l’homme sont dirigés instinctivement par deux groupes de motivations.
Beaucoup sont réellement conscientes, animées par le BUUAWAA (esprit) et vous en êtes sûrement responsables devant WOA. De plus: quel est le nombre de conduites qui ont un fondement inconscient? Combien sont déterminées par des impulsions nerveuses aveugles? Combien sont déterminées par des réactions de défense de votre organisme par rapport au milieu hostile qui l’entoure?
Pourquoi donc accuses-tu toujours ton frère si son attitude inique à sa source dans les lois inviolables qui régissent l’OEMII? Si tu dois te défendre contre ton frère, si pour conserver unis OEMIIBUAWAA ( CORPS et ESPRIT) tu dois le lésionner (ton frère ndt), fais le à la dernière limite, après avoir épuisé tous les moyens coercitifs mais sans que ton esprit soit imprégné par la haine.
TAAU 340 UAA
Vous n’aurez d’autre objectif suprême tout au long de vos vies sinueuses que celui d’essayer de respecter et AIMER les autres hommes.
Si vous n’y parvenez pas, considérez que votre fugace passage sur UMMO aura été un échec.
Si, lorsque ton frère souffre, ton affectivité ne s’émeut pas,
Si, quand ton frère est dépourvu de moyens, tu n’essaies pas de l’aider,
Si tu ne t’identifies pas à ses problèmes et n’essaies pas de les comprendre, n’attends pas que WOA considère ton BUUAWAA conforme à l’image que sa GRANDEUR a d’elle.
(Il est difficile de traduire l’expression EBAYAA, nous avons choisi AIMER parce que ce verbe s’approche le plus du concept terrestre. Pour nous AIMER SEXUELLEMENT est un autre mot qui le différencie de l’autre: c’est XIIXIA. Ce que vous appelez AMOUR PLATONIQUE est un troisième verbe sur UMMO.)
TAAU 342 UAA
Si ton échelle sociale est supérieue à celle de ton frère et qu’il t’est soumis, ne l’humilie pas. Observe d’abord le brillant de ses yeux suppliants et met ta main sur sa poitrine pour qu’il se sente réconforté.
TAAU 837
Je ne suis pas venu pour vous porter la vérité accessible. Vous devez la découvrir vous même par votre étude, avec votre patiente exploration du Cosmos dans lequel vous êtes immergés.
Et cette connaissance des lois qui l’harmonisent vous rapprochera lentement mais progressivement de WOA qui régit OEMII (corps)
LE GROUPE EXPLORATEUR ADMIRE LE CHRISTIANISME.
TAAU 831 UAA
Pourquoi n’essayez-vous pas de comprendre vos enfants? – me demande le « visiteur » – Pourquoi vous obstinez-vous à voir en eux un fidèle reflet génétique de vous-mêmes?
N’appreciez-vous pas que dans leurs entrailles ils portent, brûlant, le germe batailleur de l’évolution? Vous voulez qu’ils pensent comme vous et qu’ils se plient à des coutumes qu’ils considèrent caduques.
Vous ne pourrez éviter que les nouvelles générations soient meilleurs que la votre. ET C’EST LA CONSEQUENCE D’UNE LOI BIOLOGIQUE EVOLUTIVE.Qu’ils soient plus purs dans leurs idéaux, plus sincères avec la vérité qu’ils désirent ardemment.
Soyez condescendants envers l’inexpérience de vos enfants et ne pensez pas pour cela qu’ils sont plus dans l’erreur que vous- mêmes. Corrigez leurs troubles inclinaisons et modulez leurs tendres esprits mais soyez attentifs aux idées nouvelles qui sortent de leurs lèvres. Etudiez les avec attention et ne commettez pas l’erreur de les faire avorter en les effleurant et tirez ainsi ce qu’il y a de pur et de fertilisant en elles.
TAAU 832 UAA
Vous les jeunes, qui vous lamentez et pleurez sur l’incompréhension de vos parents pour vos idées et qui vous considérez plus intelligents que ceux qui vous ont engendré: Pourquoi n’essayez-vous pas de pénétrer dans les recoins les plus cachés de leur psychologie d’adultes? Ne voyez-vous pas que l’amère expérience des années les a endurcis sans qu’ils puissent l’éviter? Ne voyez-vous pas que la sclérose qui affecte leurs artères endurcit aussi leurs esprits en les fermant aux courants vivifiants de la nouvelle aurore?
De plus: sont-ils responsables d’un tel processus? Pourquoi les humiliez-vous en oubliant qu’ils vous ont donner le fait d’ETRE?
Ne voyez-vous pas qu’entre les broussailles de leurs anciennes idées brille encore le legs de leur expérience?
TAAU 44 UAA.
Levez votre regard embué de larmes et serrez les poings contre le ventre en griffant sa peau fine avec vos ongles.
Levez votre regard impuissant devant le malheur et regardez votre jeune maîtresse fustigeant par caprice vos fesses et martyrisant le ventre de vos YIE (femmes) avec une baguette d’AOGAAU (iridium) acérée.
Et je me demande en soupirant (1) Ne nous est-il pas possible d’écraser sa tyrannie? Et moi je vous réponds:
– Oui : il vous est possible de travailler avec prudence pour renverser le despote mais sans jamais le haïr et en pardonnant après son effondremen,t l’humain aveugle et malade qui l’incarne.
(1) Dans l’original » DIIGOIYAA « : une vibration acoustique ténue émise par une personne quand elle se plaint ou est triste. Nous avons traduit par soupirer bien que tel verbe n’a aucun équivalent sur UMMO.
TAAU 839 UAA
Vous ne trouverez jamais la paix dans votre mariage, si avant de « bomber » votre toit (2), avant de sécher vos vases de GUU (acier au chrome), avant de couper le cordon ombilical du fruit délicat de votre union, vous n’avez pas étudié profondément la phycologie de votre conjoint. Si vous le faites soigneusement, vous verrez quelle merveilleuse fleur se cache dans le bosquet de ses idées.
Vous verrez comment croît en elle, les plantes exotiques qui ne poussent pas chez votre sexe, et, connaissant mieux ses différences, vous apprendrez à aimer et comprendre ses réactions.
Pourquoi ne t’obstines-tu pas, Toi, GEE, Toi,YIE, à planter les germes de si différentes et semblables fleurs ?
(2) « bomber votre toit » se réfère au toit flexible de forme ovoîde qui termine les maisons. Ainsi s’exprime le travail de l’homme.
UMMOWOA continue ce TAUU en faisant des comparaisons entre les plantes exotiques de UMMO et les réactions psychologiques des hommes et des femmes en les exhortant à une communion spirituelle mutuelle. Il est presque impossible de traduire ces images poétiques car les espèces botaniques qui servent d’exemples ne figurent pas dans la faune terrestre. Par exemple « bomber votre toit » se réfère au toit flexible de forme ovoïde qui termine les maisons. (c’est le travail de l’homme).
Quand vous voyez un ministre du Culte faiblir dans l’accomplissement de mes UAA (lois) ne commettez pas l’erreur d’identifier sa chute avec ma doctrine.
TAAU 332 UAA
Respectez les idées de celui que vous pensez être dans l’erreur. Vous obtiendriez la victoire avec seulement l’éclat de vos arguments, avec la douce tactique de la persuasion pacifique, avec la patiente attente dans le temps car l’intellect exige une longue période de fixation des idées.
Si vous ne réussissez pas à le convaincre: soit votre interlocuteur manque de capacité mentale auquel cas vos efforts seront vains, soit vos raisonnements sont aberrants.
TAAU 143
Quand vous voyez un ministre de mon Culte faiblir dans l’accomplissement même de mes UAA (lois) ne commettez pas l’erreur d’identifier sa chute avec ma doctrine.
Donc: peut-être verrez vous se tordre sur le sol un médecin, enivré par la drogue de l’UUXAEEMOI (3) ; doutez-vous de l’efficacité de la médecine à cause de la démarche de l’un de ses praticiens?
Peut-être qu’un de mes disciples, investi pour l’exercice du culte, se voit-il préservé magiquement des misères et des tristes réactions psychiques des autres OEMII (CORPS PHYSIQUES) par cet exercice?
(3) Essence grasse extraite de l’UUXAO, espèce toxique de lichen. Son principal alcaloïde produit des effets hallucinogènes.
TAAU 720 UAA
Efforcez vous, hommes d’UMMO, dans le vaste Réseau Social que vous tisserez dans le futur et auquel vous ferez partie, à ce que les postes hiérarchiques soient assignés non pas en fonction de la Propriété, ni de l’hérédité génétique, ni de la force physique, mais en fonction des aptitudes de l’esprit, dans l’équilibre spirituel des hommes.
TAAU 343 UAA
Si dans le poste de l’échelle sociale qui t’a été attribué, ton supérieur hiérarchique t’ordonne de te dénuder devant lui, rejette ta première pensée : qu’il désire se distraire de ta honte. Mais si tu t’es trompé et qu’il en est ainsi, obéis lui sans rougir, puisque la dignité de ta soumission est plus grande devant l’Esprit de WOA que les tendances pathologiques de ton frère.
PETITE ANALYSE CRITIQUE.
Vous pouvez constater à l’exposé des extraits de la UAA (LOI) d’UMMOWOA, l’extraordinaire parallélisme entre JÉSUS DE GALILÉE et notre Homme Divin.
On ne peut insinuer une possible transmission ou réception télépathique de la part du Christ, ou de n’importe quelle autre information, parce que les deux événements eurent lieu à une époque où se déplacer sur terre nous était empossible.
Observez que les deux doctrines débordent en grandeur et en profondeur par rapport aux idées philosophiques développées par d’autre grands prophètes et philosophes des deux planètes.
Quand les premières nouvelles de OOYAGAAWOA (Jésus-Christ) furent divulguées sur UMMO, nous ne cachons pas qu’elles provoquèrent une première réaction d’incrédulité.
Une si surprenante ressemblance était suspecte de mystification de la part de ce groupe explorateur qui se trouvait sur Terre.
Tout le texte sacré de l’Ancien et du Nouveau Testament dans ses versions de la BIBLE HEBRAIQUE par R. KITEL et KAHALE, des extraits des oeuvres de St Thomas d’Aquin, des oeuvres de théologiens catholiques modernes P.Congar et Rahner, des extraits de Hans Kung et des monographies de quelques auteurs du Couvent Protestant de Taizé et autres théologiens luthériens et anglicans furent transmis sur UMMO et examinés par les spécialistes qui établirent un rapport détaillé de 830.000 mots, qui incluait une étude comparative des Parchemins de la Mer Morte et d’autres textes paléologiques que nous avions envoyé
La grande différence qui caractérise nos deux civilisations est pourtant évidente.
Sur UMMO, l’humanité assimile complètement et rapidement la doctrine d’UMMOWOA, la convertissant en normes et règles de vie d’une société, épuisée au sortir d’un sombre cauchemar sous les règnes de IE 456 et WIE 1. Cette doctrine est acceptée sans fanatisme, sans condamner les minorités qui au début optèrent de ne pas l’admettre, en recherchant toujours les arguments qui l’avalise, mais sans forcer ces arguments à son profit, et en étant conscients que si nous pouvions attendre quelque joie de notre courte vie, ce serait dans la profondeur spirituelle de ces divines UAA (lois).
Vous, vous persistez, terriblement désorientés, recherchant une lumière qui cependant vacille encore dans la lanterne gisant piétinée dans la poussière, tout en étant éblouis par la froide fluorescence d’une science et d’une technique qui, pour avoir été convertie en une fin et non en un moyen comme chez nous, dévorent implacablement les malheureux terrestres qui lui vouent un culte.
Nous sommes aussi restés admiratifs en appréciant chez vous les terribles contrastes entre une société, des masses anodines et ignorantes, végétantes comme de pauvres animaux sans âme, et la grandeur spirituelle de figures comme un Jean XXIII catholique, un protestant comme Albert Schweitzer ou le Mahatma Gandhi.
De telles disparités spirituelles sont inconnues sur notre Planète.
Donc, nous vous voyons vous tordre angoissés, comme Tantale, votre héros mythologique, alors que le remède ou le FRUIT désiré est LA, à porté de main: Mais vous êtes impuissant à l’atteindre !
Les plus grands penseurs terrestres connaissent parfaitement la terrible dysharmonie entre l’avance scientifique et technologique et les sciences de l’esprit, la dénonçant d’une voix ferme mais sans jamais être entendus, en voyant désespérés comment cet écart, qui grandit de jour en jour ,menaçe d’engloutir l’humanité terrestre dans le chaos.
Selon nous, vos problèmes ne se résoudrons pas avec ces cris profonds de vos chefs spirituels. Les racines du mal. Vous devez les rechercher dans les sous-couches physiologiques de type génétique et la correction prendra du temps, beaucoup de temps. Mais avant de poursuivre nous voulons mettre l’accent sur une observation que nous avions faite dans un précédent rapport.
Vous nous avez très souvent demandé pourquoi nous ne vous offrons pas quelques apports scientifiques. Mais si vous souffriez déja d’une « indigestion » de science non encore assimilée !!!
Ou bien, vous nous sollicitez des régles morales ou spirituelles qui soient bonnes pour la malheureuse humanité terrestre. Mais si vous possédiez déja vous-même un patrimoine spirituel richissime dont vous ne profitez pas complètement !!!
Imaginez-vous comme un homme qui, accumule une douzaine de briquets, et dans l’autre dans sa poche droite et une une centaine de pierres (à briquet) dans la gauche. Les briquets ne fonctionnent pas sans ces pierres et le malheureux doit demander du feu aux passants car son briquet ne fonctionne pas. Qu’en pensez vous?
Cependant, ce serait mal de se moquer de cet homme, car nous oublions un troisième facteur, (la possibilité) d’un élément inhibiteur. Peut-être qu’un boulversement mental passager, bloquant ses facultés congnitives, empêche ce geste, simple en apparence, d’introduire simplement une de ces pierres dans le briquet. Il serait injuste et cruel de le mépriser pour sa malchance.
Ne soyez pas assez ingénus pour penser que nous possédons la formule magique, la lampe d’Aladin, le merveilleux appareil de poche qui, comme un génie vous permettrait de sortir du chaos si nous vous l’offrions à cet instant.
De fait, notre grande connaissance des mécanismes physiologiques qui régulent la vie de l’homme, nous permet d’agir sur celle ci avec des procédés techniques plus adaptés que ceux que vous utilisez par les médicaments, la neurochirurgie ou les techniques de yoga et d’autosuggestion. De ceux-ci nous parlerons prochainement et peut être serez vous en admiration devant l’avance obtenue en pouvant agir sur les atomes mêmes de DIIUYAA (Krypton) de l’OEMBUUAW.
Mais quand nous parlerons d’eux, vous serez convaincu que ces techniques ne sont pas celles qui ont permis la stabilité sociale de notre Planète.
NOTE 2
Une année de UMMO se divise en 60 jours de UMMO .
Comme chaque jour de UMMO se fractionne en 600 UIW ( quelques 31 heures de la TERRE) , la durée de l’année de UMMO équivaut à 111.312 minutes de la Terre.
Nous pouvons estimer que UNE ANNEE de la TERRE équivaut approximativement à 4,73186 ANNEES de UMMO .
Pour suivre une méthode mnémotechnique fiable : quand nous nous référons à une année de UMMO , qu’ils imaginent qu’elle équivaut ( avec une très faible erreur ) à environ DEUX MOIS et DEMI de la TERRE .
Nous avons divisé le Temps depuis l’apparition de la MONOCRATIE en EPOQUES de 6000 Années de UMMO chacune . De sorte que le moment actuel se passe dans la TROISIEME EPOQUE .
NOTE 3
La source énergétique de cette Epoque était principalement IUMMA (WOLF 424 ? )
Sur l’initiative de IE 456 on construisit un immense réflecteur » SOLAIRE » qui s’étendait sur une superficie de 1.168 kilomètres carrés .
Les réflecteurs étaient construits dans le sol , ressemblant à d’énormes sillons labourés de section parabolique .
Montés avec des briques ou des dalles argentées , ils occupèrent des milliers d’ouvriers forçats ( parmi lesquels on comptait UMMOWOA )
L’eau s’écoulait dans des conduites () placées tout du long de l’axe focal , et était chauffées par les radiations infrarouges de IUMMA jusqu’à vaporisation . De cette façon on pourrait l’utiliser , bien qu’avec un rendement inférieur à 80 %, pour sa conversion en énergie mécanique . (voir le DESSIN )
NOTE 4
Il existait déjà des techniques rudimentaires d’enregistrement du son .
UN BUUXIIAO ( espèce de membrane MICROPHONE ) ( ) accouplée mécaniquement à un miroir ()
réfléchit un fin faisceau de lumière sur la bande de DOROO construit avec un composé plastique de rigidité diélectrique élevé. ( C’est à dire très isolant , thermiquement et électriquement ) .
Le faisceau lumineux oscille transversalement , sur la bande ( qui se déplace avec une vitesse uniforme ) en fonction de la fréquence acoustique transférée à l’élément réfléchissant .
Auparavant , la bande a été chargée electrostatiquement au moyen d’un petit générateur () (la tension est élevée bien que la charge réelle soit de quelques IUDIIXAA ) ( Pourrait équivaloir à des micro- coulombs)
Quand le IBOZOO ( point ou » spot » LUMINEUX ) tombe sur la surface du DORRO , il se produit un effet de décharge électrostatique que vous connaissez , l’employant actuellement dans les techniques XEROGRAPHIQUES .
Un dispositif () fixe optiquement l’image ondulée au moyen de carbone pulvérulent avec un additif agglomérant .
() est un dispositif de chauffage à base de METHANE qui fond le mélange et stabilise définitivement la fonction acoustique gravée.
Grace à ce système rudimentaire , qui possède une lointaine ressemblance avec les techniques actuelles d’enregistrement photo-optique sur un » film » de la TERRE de type cinématographique , nous est parvenu l’ensemble de l’état culturel de l’époque .
D44
Référence : | D44 |
Titre | Indications pour lire le document sur la vie de « UMMOWOA » lors des réunions de la « BALLENA ALEGRE ». |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires | Absence du texte joint |
Monsieur D.Fernando Sesma Manzano
JE VOUS DEMANDE DE RECHERCHER DANS VOS ARCHIVES CONCERNANT NOS RAPPORTS LE MESSAGE SE REFERANT A LA VIE DE UMMOWOA, SES PRECEDENTS HISTORIQUES, SA VIE, ET LA SELECTION DES TAU, ET DE LE LIRE EN LE COMMENTANT LORS DE LA REUNION.
DEI 98, Fils de DEI 97.
D45
Référence : | D45 |
Titre | MESURES DE DISTANCES INTERSTELLAIRES ET INTERGALACTIQUES.
COURBURE ET « PLIS » TETRADIMENSIONNELS DE L’ESPACE. LIGNES ISOCHRONES ET ISODYNAMIQUES. SYSTEME DE NUMEROTATION ET NOTATION MATHEMATIQUE DE UMMO. LE COSMOS COMME SYSTEME DECADIMENSIONNEL. TRAIN ONDULATOIRES ISOTROPES INFINIS. QUELQUES CONSTANTES COSMIQUES |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA |
Commentaires |
AELEWE
DOCUMENT COMPLEMENTAIRE.
N° de copies distribuées: 1
LANGUE:ESPAGNOL
Pour Monsieur Sesma Manzano,
Madrid.
Professeur Sesma Manzano:
Notre camarade nous transmet votre concernant des renseignements complémentaires sur l’histoire et la philosophie de UMMO. Nous allons essayer de répondre à votre désir au niveau de :
DISTANCES RELATIVES ENTRE LES ASTRES
EXPRESSIONS MATHEMATIQUES DE UMMO.
112 DISTANCES APPARENTES ENTRE LES ASTRES ET GALAXIES DU WUAAM.
Le cosmos est un continuum espace-temps décadimentionnel, courbé en son ensemble et formant une hypersphère inverse (c’est à dire avec deux rayons de même longueur mais inverses.). Mais, en plus de cette immense courbure universelle, il est soumis à deux autres types de courbures :
Il est impossible cependant de reprédenter sur un dessin de telles courbures (car sur une surface on ne peut dessiner que des images à trois dimensions). Cependant nous allons essayer de dessiner des graphismes en utilisant des crayons de couleur (moyens d’esxpression habituels pour vous).
Acceuillez donc avec réserve de tels dessins qui n’ont qu’une valeur didactique.
Comme un enfant terrestre doit considérer l’expression de Dieu par le symbole d’un TRIANGLE avec un oeil tracé à l’intérieur.
D45_FIG1
L’image A l’indique: la façon dont nous voyons ou apprécions, nous les humains, un « fragment » de l’ESPACE qui englobe deux astres quelconques (par exemple la TERRE et UMMO). La ligne en pointillés représente l’apparent chemin le plus court, c’est à dire celui que suivra un rayon de lumière (c’est à dire un faisceau de IBOAAAYA ou PHOTONS) ou bien l’un de vos projectiles téléguidés.
L’image B indique: comment peut être courbé cet espace à travers une quatrième dimension. Ces immenses « plis » de l’espace varient constamment, comme le vent peut plisser l’un de vos draps étendu au sol, et ils sont dus aux inter-influences de l’UWAAM (notre cosmos jumeau dont nous avons déjà parlé dans un autre document).
Il existe cependant d’autres courbures beaucoup plus petites: de petits plis ou rides que l’on peut identifier avec ce que nos sens perçoivent sous forme de « MASSES ».
Les Galaxies, et à l’intérieur les astres, le corps humain, une pierre, ne sont que des petits « creux » ou courbures de l’espace à travers un quatrième axe dimensionnel (voir image B).
Vous pouvez observer que les scientifiques terrestres ont identifié la courbure générale de l’ESPACE et ces petites courbures-MASSE, mais ils ignorent les grands plis variables que nous venons de mentionner.
Comme vous le voyez, la ligne continue de l’image B ou C représentera donc l’AUTHENTIQUE DISTANCE LA PLUS COURTE (idéale pour les voyages interplanétaires) dans cet espace tétradimensionnel.
Quand le rayon de cette courbure est important, (image B) les deux lignes ont presque la même longueur et les voyages spatiaux se feront encore dans un temps trés long même à des vitesses proches de celle de la
lumière.
Mais si la courbure est prononcée, (image C) la ligne continue sera beaucoup plus courte que la ligne en pointillés (ligne de la propagation de la lumière).
D45_FIG2
Dans les images D et E on peut distinguer deux types de lignes idéales.
LIGNES ISOCHRONES (dans l’original en vert, bleu et orange) qui représentent la véritable ligne la plus courte (vert: —), celle de la trajectoire de la lumière (rouge: …), et d’autres intermédiaires. Les IISUIW (lignes isochrones) se caractérisent ainsi: deux observateurs 1° et 2° vérifient que le TEMPS est synchrone, par contre pour 1° et 3° situés
dans des IISUIW différents, le TEMP s’écoule d’une manière différente.
LIGNES USDOUOO (ISODYNAMIQUES) de couleur orange sur l’original, vous pouvez observer que dans l’image D elles sont divergentes et dans l’image E parallèles. (….).
C’est seulement quand les lignes USDOUOO ou Isodynamiques ne convergent pas ou divergent, c’est à dire qu’elles sont paralléles (image E), que nos scientifiques peuvent avoir conscience que la distance à un autre astre est minime et qu’ils peuvent se déplacer à travers cette IISUIW (isochrone) avec nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux en forme de disques).
Mais cette courbure de l’espace subit des modifications périodiques engendrées par l’influence de l’UWAAM. Aujourd’hui il peut se produire que notre planète UMMO soit plus proche de la planète Terre que de l’étoile ALPHA DU CENTAURE et en fait celà s’est produit quelques fois.
D45_FIG3
L’image F aidera à comprendre celà. Dans des conditions normales, IMAGE F, la distance apparente Alpha du Centaure et la Terre sera de quelques 4,4 années lumière. Par contre IUMMA et UMMO (NOTRE SYSTEME SOLAIRE DE WOLF 424) seront séparés par plus de 14 années lumière (de la Terre ndt).
Mais si, (comme l’indique l’image G), l’espace se courbe, il peut se produire que les distances réelles varient en faveur de l’espace qui nous sépare de UMMO. Si la trajectoire de la LUMIERE n’a pas varié, pour les astronomes et pour les possibles voyageurs de l’une de vos fusées qui voudraient se déplacer jusqu’à UMMO, le temps du voyage leur paraitrait plus long pour WOLF 424 que pour ce que vous considérez comme l’étoile la plus proche: Alpha du Centaure.
323 EXPRESSIONS DE WUA (MATHEMATIQUES) DE UMMO.
Notre système de numérotation est en base 12, alors que vous avez, vous, choisi un sytème décimal. En dehors du fait logique selon lequel les signes employés par les terrestres sont différents, les expressions des différents nombres complexes s’effectuent en ordonnant les termes de la même manière que vous.
Cependant celui qui n’est pas familiarisé avec ce système de numérotation à base 12 peut trouver étrange que pour écrire une quantité de 29 arbres par exemple, il faille en réalité écrire 25.
N’importe quel mathématicien terrestre pourra résoudre cette contradiction apparente.
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Nous avons ajouté cette table de signes fondamentaux et à la suite, nous en mettons d’autres avec l’expression correspondante.
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Vous pouvez supposer que l’énorme complexité des expressions mathématiques, logiques et géométriques est résolue (comme par vous) par un grand nombre de symboles qui ne ressemblent absolument pas à ceux utilisés sur Terre. Nous pouvons noter un fait curieux: dans vos expressions algébriques vous symbolisez les nombres par des lettres. Sur UMMO nous utilisons une grande gamme de symboles spéciaux. Voici différents exemples d’algorythmes utilisés en chiffres réels, BASE 12.
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AUTRES EXEMPLES
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Les mathématiciens de UMMO considèrent d’une importance transcendantale une simple fonction périodique -fonction sinusoîdale – que nous appelons WOABAEEYUEE WOA (créatrice mathématique du générateur ou DIEU)
(D45_S1)
(nous mesurons la circonférence en BOAAL OWA (rayons ou radiants), votre division en degrés sexagésinaux ou centésimaux nous surprit).
Vous pouvez observer que nous employons le symbole de WOA (D45_S2).
N’oubliez pas que nous considérons le cosmos comme un système décadimensionnel, WOA engendre une série infinie de trains d’ondes (des fonctions sinusoîdales) de différentes fréquences ainsi que d’amplitude et de phase.
L’espace est vu ainsi d’une manière « extorsionnée », en provoquant une série d’ondes stationnaires et de Noeuds qui se réfléchissent dans l’infini du WAAM.
Ces ondes stationnaires ne sont que les plis du CONTINUUM ESPACE-TEMPS que nous appelons MASSES (Galaxies, Gaz, Animaux etc …). Vous expliquerez ainsi la confusion des scientifiques terrestres quand ils observent l’apparente contradiction concernant le fait qu’un électron soit en même temps CORPUSCULE (masse) et ONDE, c’est une confusion ingénue.
La mort de l’Univers consistera donc en une mise en phase de ces infinis trains ondulatires qui se propagent isotropiquement, crées par DIEU.
QUELQUES UNITES TRANSCENDANTES : (CONSTANTES).
* GOSEEE (D45_S3) :unité de longitude cosmique utilisée sur UMMO, elle équivaut à la distance de IUMMA (WOLF 424) à NAUEE à son apogée (76 12^6 ENMOO)
* VITESSE DE LA LUMIERE: (D45_S4)
* Diamètre statistique moyen de notre Galaxie: (D45_S5) (se prononce WAALI)
* ENMOO (D45_S6) :Unité de longueur officielle sur UMMO, elle est fonction de la longueur d’onde fondamentale émise par la galaxie (D45_S7). Un enmoo équivaut à 1,873665 mètres.
* Accélération de la GRAVITE sur UMMO (mesurée à la côte BAAAUAWE) (D45_S8)
* Fréquence des impulsions d’activation des centres nerveux (D45_S9) situés dans le Plexus Coroîdien Ventro-latéral (cerveau de l’homme) 6 . 123 Hz (=10368Hz)
* TEMPS DU BUUAWE BIEE = 0,00013851 sec (temps que met l’homme pour envoyer une impulsion unité à travers le BUUA XUU (spère PSY) à un autre homme de UMMO par voie télépathique.
D46
Référence : | D46 |
Titre | Etat actuel de la médecine préventive , recours thérapeutiques terrestre |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando Sesma en 1966 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Monsieur Fernando Sesma
MADRID ESPAGNE
Nombre de copies : 1
Langue Espagnol
Monsieur,
Lors d’une communication téléphonique vous nous avez demandé de vous remettre régulèrement une série de documents concernant les mesures hygiéniques qui pourraient être les plus propres à être adoptées par les terrestres, ceci dans un but humanitaire afin d’éviter , dans la mesure du possible ,l’apparition de syndromes connus dans la pathologie terrestre.
Vous avez , bien sûr ,conscience de l’ étendue des difficultés que peut représenter une tâche de cette envergure.
Nous pouvons les classer en différentes catégories et nous allons vous en présenter un échantillon pour que vous ayez une meilleure compréhension .
En premier lieu nous devons nous limiter à vous remettre quelques morceaux choisis, dans un ordre anarchique, des conseils spécifiques de type prophylactique concernant une série très réduite de risques que l’organisme de l’OEMII peut affronter si l’on ne met pas en pratique ces mesures préventives .
Comme vous le savez ,le nombre d’agents aggressifs qui peuvent léser les tissus de l’organisme de l’OEMII, représentent un très large éventail ,surtout dans un OYAA (astre) comme le vôtre où la riche flore de micro organismes pathogènes et l’exhubérante variété de virus rend difficile à l’extrème la planification des moyens de défense efficaces .
Par exemple , nous vous prévenons que toute la série d’antibiotiques que vous avez fabriqués sont en train de contribuer à la création de nouvelles souches de virus et germes pathogènes beaucoup plus résistants et immunisés contre ces produits pharmacologiques, et donc, dans un futur de 180 ans + ou – 10% , 72 % des espèces que vous connaissez seront aussi virulentes qu’avant l’apparition de ces produits.
Bien entendu, ceci ne doit pas trop vous alarmer car les spécialistes en biochimie terrestres auront d’ici là fait un pas gigantesque dans la lutte contre la maladie .
Nous disons donc que si nous devions vous donner des conseils concernant les précautions que vous devez adopter pour prévenir chaque maladie qui obscurcit le sombre panorama de votre planète, il faudrait des centaines de volumes dactylographiés ; mais de plus il y a une grave objection ;
N’importe quel OEMII ( homme ) intelligent et compétent en Sciences appliquées, pourra parfaitement nous comprendre.
Vous savez parfaitement que les techniques chirurgicales, la pharmacologie, les techniques thérapeutiques utilisées par les spécialistes terrestres sont subordonnées au contexte général scientifique que traverse actuellement la terre.
Nous prendrons quelques exemples que vous connaissez bien:
– Jusqu’à ce que les spécialistes en biochimie ne soient arrivés à étudier la composition polypeptidique de certains enzymes qui accélère les réactions métaboliques qui ont lieu au niveau cellulaire,ils n’ont pas pu utiliser certains médicaments capables d’activer la formation de ces enzymes quand le processus métabolique était inhibé par des agents externes.
-Jusqu’à ce que les techniciens en électronique et les spécialistes en réseaux électriques aient pu mettre au point des circuits créateurs de fréquences élevées, ils n’y eut pas de possibilité pour les milieu médicaux terrestres d’utiliser cette technique que vous connaissez sous le nom de DIATHERMIE par ondes ultra courtes.
– De la même façon, l’utilisation d’instruments très sensibles pour la chirurgie ophtalmologique n’a pas été possible tant que les scientifiques terrestres, en mettant au point les équipements de cristaux purs, purent enfin obtenir des faisceaux très fins de lumière cohérente connue sous le nom de laser et qui,entre autres applications, est utilisé aujourd’hui comme bistouri de haute précision dans l’intervention sur les lésions de la rétine par exemple .
Comment auriez vous pu mettre au point les programmes utilisés dans les ordinateurs électroniques pour le diagnostic des maladies ,sans l’aide de la recherche opérationnelle et de l’étude des chaines de MARKOV dans le domaine mathématique ?
Ces exemples qui vous sont familiers vous montrent que les techniques thérapeutiques sont subordonnées à l’avance scientifique dans tout les domaines de la connaissance. Nous ne pouvons donc vous réveler de nouvelles techniques sans vous faire ,auparavant ,un panorama général de nos connaissances,chose qui présente des difficultés évidentes .
Nous nous limiterons(car dans de nombreux cas les mesures prophylactiques conseillées par les spécialistes terrestres sont valables pour vous maintenant) à vous apporter quelques suggestions faciles à mettre en pratique sans utiliser des moyens inconnus ou des techniques encore non utilisées ou des principes scientifiques que vous n’avez pas encore découverts.
Le prochain document parlera d’un procédé capable de vous protéger des variations lumineuses intenses (contraste violent du niveau lumineux quand ,par exemple ,sur les plages vous passez de zones d’ombre à d’autres d’illuminations riches en ultra-violets) et l’utilisation de lunettes de soleil normales ne neutralise pas ces brusques changements. Ceci est très grave et les ophtalmologistes terrestres n’attirent pas assez l’attention sur les effets lytiques sur la rétine.
Comment résoudre ce problème avec des techniques à votre portée ?
D47
Référence : | D47 |
Titre | La théorie mathématique des graphes comme analyse de la communauté terrestre. La synergie, les reflexes conditionnés et les modifications neurocorticales dans le système d’éducation de la Terre et de UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando SESMA en 1966 |
Commentaires | Document reçu en plusieurs lettres |
LA VÉRITABLE NATURE DES INTERRELATIONS HUMAINES.
Nous vous avons indiqué que la société est un véritable réseau dans laquelle les individus sont représentés mathématiquement par des nœuds inter-relationnés entre eux par de multiples arcs.
Ce réseau est dynamique. Il est dirigé par des lois et son fonctionnement sera optimal quand la structure du réseau sera harmonique.
Vous pouvez nous demander :
Comment exprimer simplement la véritable essence des arcs ou branches dans ce modèle mathématique de réseau ?
C’est très simple :
Tout facteur nous mettant en relation avec nos semblables sera exprimé sous forme d’arcs et sa fonction pourra être exprimée de façon plus ou moins complexe par une formule analytique, de la même manière que dans une ligne électrique qui unit deux points d’un réseau on associe une intensité qui se mesure chez vous en ampères.
Le contact physique entre deux personnes est un exemple entre mille de ce type de relations. Des coups au cours d’une lutte, une poignée de main entre vous, ou l’application de la main sur la poitrine entre nous, un baiser, etc…. vont de pair, comme vous le savez, avec des réactions émotionnelles chez les individus en cause.
Mais ce type de relation n’est pas aussi important que deux types de liens qui ont pris, chez les hommes de la terre, une importance transcendantale de par leur constitution aberrante.
Ce sont :
– LES LIENS DE COMMUNICATION INFORMATIVE (LANGAGE).
– LES LIENS ÉCONOMIQUES (INSTITUTION TERRESTRE DE LA MONNAIE).
La structure du réseau économique terrien est totalement absurde. Il n’est pas nécessaire de vous expliquer que toute l’effervescente politico-sociale de la planète que vous êtes en train de vivre est due à l’injuste répartition des richesses et des revenus.
Toutes vos doctrines philosophiques s’efforcent actuellement d’intégrer un système complet dans lequel la conception économique de la société serait plus juste… sans réussir à matérialiser ces aspirations.
De plus : ne vous êtes vous pas aperçu qu’à un niveau plus profond se trouve latent une déficience terrible, qui rend inefficaces et quasi stériles les solutions apportées par les intellectuels Terrestres ?
Vous rendez-vous compte que les moyens que vous comptez utiliser pour transmettre ces schémas mentaux, ces idées, c’est-à-dire LE LIEN DE COMMUNICATION INFORMATIF: LE LANGAGE, est d’une pauvreté effrayante ?
Vous n’êtes pas encore capables, aujourd’hui, de transmettre fidèlement vos émotions, vos conceptions idéologiques, préalablement ciblées pour les en débarrasser du trivial et de l’accessoire.
Et ce qui est encore plus grave :
VOUS EMPLOYEZ UN LANGAGE STANDARDISÉ. Les mêmes formes orales pour tous, comme si les esprits récepteurs étaient tous identiques.
Quelqu’un, en recevant nos rapports, accusa notre société d’UMMO d’être une société mécanisée et sans » âme « .
Mais existe-t-il quelque chose de plus mécanisé et sans âme que ces phrases prononcées avec pour seul objectif de s’écouter soi-même, sans tenir compte de la capacité psychologique de compréhension des interlocuteurs!!!…..
Vous méprisez la psychologie au point de ne pas vous efforcer de créer un langage qui rende plus facilement compréhensibles les idées en l’adaptant au niveau intellectuel de chacun.
C’est ainsi que l’on voit des personnes discuter des heures entières sur des idées qui, si elles avaient été mieux exprimées par chacun, surprendraient les participants qui devraient reconnaître qu’au fond, ils défendent le même concept mais masqué par des mots inadaptés.
Les mots pour vous finissent par s’entourer de symboles signifiants qui n’ont rien de commun avec l’authentique valeur interprétative assignée par le « Real Académia de la Lengua » (Académie espagnole du langage, équivalent à l’Académie française) et vous finissez énervés en vous disputant rageusement autour d’une multitude de mots et palabres, en oubliant la valeur véritable des idées.
N’importe quelle tentative de rénovation sociale s’enlise irrémédiablement dans le piège des mots vides de sens. Si, entre les fracas d’une de vos épouvantables guerres qui ne servent qu’à stimuler l’inventivité scientifique, à défaut d’autres attraits plus rationnels, vous vous arrêtiez pour écouter, avec une véritable objectivité scientifique, les arguments de l’adversaire, vous comprendriez qu’au fond, il n’y avait qu’une totale incompréhension des motivations à cause du manque d’un langage authentique qui rendrait possible mutuellement l’assimilation mentale de ces motivations.
Vous tous parlez avec mépris du communisme marxiste, de l’existentialisme, du libéralisme économique, du protestantisme… Les athées et communistes ont la nausée quand l’église catholique romaine est mentionnée.
Si l’on demandait aux uns ou aux autres quelle est la véritable nature de ces doctrines, ses postulats essentiels, son noyau philosophique, il serait attristant d’observer la qualité des réponses, la quantité de préjugés, de concepts déformés, de lieux communs, la quantité de haine accumulée par chaque groupe opposé aux idées des autres. On voit en elles à ce qui est apparemment erroné ce qu’elles ont d’aberrant ou de nocif, en ignorant avec une mentalité atrophiée la merveilleuse portion de vérité que toutes contiennent.
Nous autres, pour ne pas être nés sur Terre, nous sommes exempts de votre partialité passionnée, nous nous rendons compte de ce spectacle triste, grotesque et ridicule. Celui donné par quelques hommes de la Terre, qui portent leur bêtise jusqu’au point de dévaloriser les autres créateurs de doctrine. Celui des « Leaders » de groupes qui, avec des idées fausses (ou justes), ont consacré leur vie à défendre leurs idéaux et en revanche tolèrent dans leurs rangs une multitude d’individus médiocres et stériles, des marchands détournant des nobles causes pour leur profit personnel en corrompant des doctrines dont la gestation initiale fut pure et prometteuse.
C’est seulement parce que ces derniers sont apparemment des coreligionnaires et les autres à la tête de mouvements religieux, politiques ou philosophique, qu’ils les tiennent bêtement pour des adversaires, au lieu de montrer du doigt et d’éliminer autant d’individus tarés dont la mentalité s’est dégradée au point de se convertir en « accumulateurs » de biens matériels, d’argent, d’immeubles. De véritables matérialistes qui se rient de la justice sociale que des milliers d’hommes de bonne volonté, faisant partie de TOUS les partis politiques, de TOUTES les religions et de TOUS les systèmes philosophiques défendent passionnément.
Vous insultez, humiliez, dégradez et emprisonnez ces idéalistes car apparemment ils ne pensent pas comme vous, sans vous apercevoir, intelligemment, qu’un véritable lien agit comme agglutinant commun : L’ESPÉRANCE DANS UNE HUMANITÉ TERRIENNE FUTURE PLUS JUSTE.
Ce n’est pas parce que les doctrines terriennes sont erronées qu’elles ont échoué. C’est l’impossibilité de trouver des moyens d’INFORMATION accessibles à tous les humains qui a freiné ce courant vivifiant qui les relient à tous, en permettant en cette époque de transférer de l’une à l’autre ce qu’elles auraient de vérité et de rationnel. Et ainsi permettre aux terriens de concevoir une seule doctrine qui, même si elle ne contient pas la vérité immuable du WAAM (UNIVERS), s’en approchera pas à pas avec la collaboration de tous les penseurs et scientifiques de la Terre.
Il en sera ainsi quand des institutions comme l’argent, des conceptions erronées comme le matérialisme ou des luttes terribles comme les guerres fratricides perdront toute signification pour laisser place à un courant mondial d’unification dans la recherche d’objectifs communs, comme celui qui vivifie notre société sur UMMO.
Il semble utopique de croire que ces formes de langage vont surgir entre vous, après une simple réunion des dirigeants de l’UNESCO, par exemple. Vous auriez aussi besoin de nombreuses années d’analyse et d’une longue période d’élaboration, suivie de nombreuses autres pour son adaptation.
Pour l’heure nous vous exhortons à méditer ces lignes et vous efforcer de comprendre et respecter les idées de celui qui vouis parle. Efforcez-vous d’écouter attentivement les arguments de vos interlocuteurs, de les analyser, les débroussailler : en essayant de sonder les motivations qui le poussent à s’exprimer ainsi. Ne vous moquez jamais des idées qu’il développe.
Efforcez-vous d’inviter d’autres personnes à développer leur point de vue et incitez-les même à formuler rigoureusement leurs critiques contre vous.
Nous avons plusieurs fois réitéré que l’OEMII est un réseau et ce concept nous le jugeons si transcendental que nous préférons le répéter afin que vous vous familiarisiez avec lui.
Dans un exposé précédent nous avions esquissé la structure du cerveau et ses connexions avec le BUAWAA (ESPRIT). Nous considérons que vous devriez les étudier préalablement pour éviter de tomber dans l’erreur que nous observons fréquemment tant chez les sociologues, les médecins, les psychologues que chez les théologiens de la Terre.
Nous nous référons à certains processus mentaux. Beaucoup d’entre vous, croient que tout le processus de pensée, les perceptions, les processus cachés du subconscient (nous citons ceux-ci entre autres exemples) sont simplement et purement de nature spirituelle. Ainsi lorsque vous vous souvenez d’un voyage de vacances réalisé l’été dernier et que vous évoquez les séquences vécues imprimées dans ce que vous-même nommez la mémoire, beaucoup de Terriens croient qu’un tel processus d’évocation est simplement élaboré par l’âme ou l’esprit, ou tout au moins considèrent que le cerveau n’a agi seulement que comme auxiliaire secondaire dans cette projection des souvenirs.
Une telle conception animiste est puérile mais pas moins que celle de certains psychologues matérialistes qui, niant l’existence de l’esprit, réduisent tous les processus mentaux à des manifestations énergétiques du cortex cérébral.
Nous vous donnons cet éclaircissement parce que notre vie mentale étant une fonction du réseau neuronal de l’encéphale, et ce réseau à son tour étant lié au RÉSEAU général de l’OEMII (CORPS), est dangereuse, pour toute la structure de la personnalité humaine, une action ludique qui ne tienne pas compte des mécanismes nerveux de l’homme (rappelez-vous que dans les paragraphes précédents nous avons indiqué qu’il ne sert à rien de « réparer » un élément d’un RÉSEAU si on abandonne les autres).
C’est pourquoi le jeu doit être redirigé au service de tout le réseau humain. Et chaque homme à un moment donné, dans chaque situation, requiert un plan ludique différent. Mais un plan dans lequel le développement des mécanismes neuro-corticaux est aussi important ou plus que le développement musculaire par exemple des muscles deltoïdes ou des biceps des bras.
Comme vous le voyez il ne suffit pas d’élaborer des règles sportives dans lequel le cerveau prend en partie un rôle. Quand un joueur de football est sur un terrain de sport, il n’y a pas de doute que son activité maximale se concentre sur l’exercice des muscles adducteurs droits, couturier, péroniers et tibials, des jambes (et évidemment l’exercice affecte non seulement le système osseux, mais aussi tout le processus métabolique, neurovégétatif, respiratoire, circulatoire, etc., entre en jeu).
Personne ne peut nier que chaque joueur développe une intense activité mentale centrée sur les règles de stratégie qu’il a apprises. Sa propre intuition, de caractère inconscient, le pousse à contrôler avec son cerveau, les millions de dynamismes cellulaires qui interviennent dans son activité d’effort. Donc, vous pourriez nous objecter :
– Si le joueur de football » pense » durant la partie, niez vous que c’est un sport intégral dans lequel tous les organes personnels s’exercent. ? Niez-vous que le cerveau est engagé lui aussi dans une gymnastique mentale ?
Nous répétons que NON : NON SEULEMENT C’EST INSUFFISANT MAIS PROBABLEMENT NUISIBLE. Et évidemment, nous continuons à nier aux sports terrestres le caractère de COMPLET.
Recourant de nouveau à l’exemple du RÉSEAU ÉLECTRONIQUE D’UN TÉLÉVISEUR, si dans le transformateur d’alimentation, en tentant de le » fortifier « , en bobinant un nouveau secondaire avec beaucoup plus de spires, le plus probable est que vous ferez fondre les filaments de toutes les lampes il ne servira à rien que simultanément vous nettoyez l’écran et déplaciez toutes les résistances et condensateurs du circuit.
Par ce que l’erreur que renferme la considération que « quand le cortex cérébral intervient dans un jeu (comme le bridge ou les échecs) vous le développez « , est telle qu’il est surprenant d’observer comment de véritables spécialistes en médecine sportive ont admis cette considération sans la moindre analyse critique.
C’est, pour donner un nouvel exemple, comme si tous les matins vous vous frottiez les ongles en imaginant qu’une telle opération orientée vers une minuscule partie du bras, fortifie tous les autres : muscles, neurones, os et vaisseaux sanguins.
Mais vous vous êtes aperçu de l’immense complexité du cerveau !!!
Dans nos laboratoires de BIEWIGUU à EWO IAAU IU (spécialisés en psychobiologie) existe un UEIN GAA EIMII (gigantesque écran) où l’on peut contempler schématiquement toutes les structures du neuroencéphale. Cet écran, découpé en 405 sections, chacune placée dans autant d’IAXAABII (vous les appelleriez salons ou salles de laboratoire) a une superficie globale d’environ 516.600 mètres carrés terrestre. Les circuits nerveux avec leurs synapses correspondantes forment un réseau complexe qui sûrement rendrait perplexe la majorité des neurophysiologues terriens. Sa complexité peut seulement être comparée avec nos XANMOO AYUBAA (ORDINATEURS) dont la structure est impossible à embrasser et à comprendre pour un être humain, nécessitant plusieurs milliers de spécialistes pour sa programmation, son entretien et ses réparations.
Donc, quand un terrien joue aux échecs seulement une infime fraction des neurones de son cerveau se mettent en action. Croyez-vous que ce soient précisément les composants de la zone corticale qui ont le plus besoin de se fortifier…?
Quand nos spécialistes en BIEWIGUU ont découvert l’intime relation entre tous les éléments physiologiques de l’OEMII (LE CORPS HUMAIN), ils s’aperçurent qu’il en résulterait un travail surhumain de projeter, d’organiser, un système sportif qui satisfasse toutes les objections qu’au long de ces lignes dactylographiées nous avons indiquées. Ils se sont trouvés avec la même attitude interrogative que vous avez adoptée devant nous en lisant cette critique du jeu et du sport terrestre.
Nous avons démontré qu’un jeu ou un sport déterminé ne satisfait pas le développement intégral, puisque si leurs règles étaient standardisées pour toutes les personnes et tous les instants de leur vie, ils peuvent mal s’adapter au cadre psychosomatique de chaque individu au moment nécessaire et aux organes et facteurs somatiques en ont besoin à ce moment là, .
Mais vous devez reconnaître que, même avec la supposition que chaque sportif, chaque homme, ait à son service un millier de spécialistes médicaux analysant son corps, cellule par cellule, pour élaborer le type d’exercice récréatif le plus indiqué en ce moment, quand ils termineraient leur diagnostic et tenteraient d’élaborer les règles fonctionnelles de ce super sport pour cette personne, il se serait écoulé un temps suffisant pour que le traitement ne soit plus efficace, puisque les évolutions métaboliques de l’organisme auraient modifié les conditions initiales. C’est donc par principe une utopie.
Durant de nombreux XEE (années d’UMMO) nos techniciens ont dû se conformer pour élaborer une série de Jeux typiques, qui bien que plus complexes et rationnels que les Jeux et Sports de la Planète Terre n’étaient pas vraiment beaucoup plus effectifs que ceux-ci. Les bases de ce que devait être un traitement ludo-thérapeutique de notre Société, à peine tracées, on avait pris conscience de la nécessité d’adapter le Jeu non pas au groupe entier, mais à chaque individu et pour chaque moment où il voudrait s’exercer. Il est arrivé comme sur votre Planète que tous les sociologues s’aperçoivent qu’il faille une Politique qui soit capable d’en terminer avec les injustices sociales, que le monde terrestre exige l’abolition des terribles différences provoquées par la Propriété privée et par les institutions sociales monopolisatrices du Capital et du Pouvoir (au bénéfice d’une minorité et au préjudice du Bien commun du Réseau Social) et sans doute cherchent anxieusement la formule pratique qu’ils prévoient pour l’avenir sans que la Sociométrie actuelle, et le niveau de la Science politique du présent ne soient suffisamment mûrs pour l’élaborer.
Donc, l’évolution de nos sports fut lente et laborieuse. A cette époque là, durant le mandat de l’UMMOAELEWE régi par AINAA 45, ERII 566, TOAAAO 3, et UIDAXAA 83, il était conseillé aux citoyens de réglementer l’UAXOO en s’obligeant soi-même, sans aucune contrainte, à pratiquer durant 30 UIW tous les XII (JOURS DE UMMO) des exercices physico-mentaux en contact complet avec la nature. Ces pratiques de UAXOO (JEU) se déroulaient dans les environs d’un fleuve entre ONAUUU et NAANAA (VEGETAUX ARBORESCENTS très fréquents sur UMMO). On s’exerçait entre les membres de trois groupes (vous les appelleriez équipes) qui luttaient entre eux dans un pugilat dans lequel la qualité des adversaires obligeaient à fournir des efforts mentaux intenses. Une partie du processus se déroulait sous l’eau où chaque individu s’immergeait après avoir obturé ses narines avec un produit plastique et d’avoir mis en bouche le tuyau qui communiquait avec un dispositif placé derrière les oreilles et qui contenait de l’oxygène solidifié à très basse température.
On peut dire que presque soixante-dix pour cent de la population des ancêtres de UMMO accueillit la coutume avec enthousiasme. Cet UAXOO faisait fureur. Jouaient entre eux des individus d’âge chronologique similaire (LES DEUX SEXES) seuls les UUGEEYIE (ENFANTS) de très bas âge et les vieux éludaient logiquement ce type d’UAXOO.
Mais quand les techniques des XANMOO (Nous pourrions le traduire par ordinateurs ou calculateurs géants) se développèrent au point d’être capables d’établir seuls des diagnostics de pathologie humaine et d’établir l’étiologie des différents syndromes mais aussi d’évaluer en quelques fractions infinitésimales du temps l’état physiologique de tout le RESEAU nerveux de l’OEMII (INDIVIDU), les scientifiques de notre Planète virent arriver le jour tant convoité qui permettrait avec une rapidité inconnue jusqu’alors de renseigner chacun de nos frères sur les plus délicates nuances de l’exercice à développer durant les UIW qu’il vouait à l’OXUO
C’est ainsi que naquit l’actuel OXUO KEAIA que nous sommes en train de vous décrire
Plusieurs fois vous vous êtes formulé cette question : pour quelle raison l’homme est-il malheureux sur TERRE ?
Vous-même répondez en donnant de multiples explications simplistes qui ne convainquent pas trop. Vous vous limitez presque toujours à répéter ce vieil adage terrestre : l’homme est un loup pour l’homme !
Mais votre tragédie ne se résoudra pas par de belles phrases chargées d’amères images poétiques, ou en annonçant d’une voix creuse une longue liste de causes problématiques.
Vous avez besoin au contraire d’approfondir par vous-mêmes le fond caché de la structure sociale pour découvrir les véritables causes. Analysez-les et appliquez ensuite les thérapeutiques adéquates.
Que faites-vous quand vous écoutez ces paragraphes ? Peut-être les écoutez-vous discrètement, peut-être avec curiosité ?. En espérant la phrase révélatrice qui en quatre mots brefs vous donnera la formule magique, capable de combler vos vies de félicité…? Non, même cet appétit naïf n’a pas sa place dans vos esprits.
Vous êtes en train d’écouter par simple curiosité en spéculant intérieurement sur la possibilité que ces lignes aient été rédigées par des hommes venant d’une autre planète ou au contraire ébauchées par un ingénieux plaisantin ou bien par un mythomane paranoïaque.
Si nous apparaissions en ce moment par cette porte que, avec un air énigmatique, en réalisant un surprenant prodige technique pour prouver notre identité, vous vous sentiriez « fatuitement » (néologisme) heureux d’avoir été les témoins d’une fantastique rencontre, pour vous. Vous vous contenteriez d’avoir ressenti l’intense émotion de participer à un fait historique et passé le premier moment de stupeur, vaincue la respectueuse crainte initiale que, sans le vouloir, nous vous inspirerions, sûrement vous vous précipiteriez stupidement pour arracher des morceaux de vêtement ou solliciter un autographe.
Le digne propriétaire de cet établissement changerait le nom de » café Léon » par » café de l’espace » et ferait proliférer dans les rues limitrophes les étals de glaces et de cartes postales en couleur avec l’effigie du Señor Sesma Manzano, que personne ne prendrait plus pour un simple « excentrique ». Les journalistes se lasseraient d’écrire des niaiseries sur nous dans les journaux, qui, en définitive, serviraient à emballer le poisson suintant…
Mais nombre d’entre vous continueraient à bailler, en lisant nos rapports sur la sociologie, sans essayer de les déchiffrer, et encore moins en mettant en pratique leurs orientations. Le mépris des masses envers la doctrine de Jésus-Christ continuerait et continuerait à se perpétuer l’apathie générale envers tout ce que suppose l’étude, la méditation, l’analyse et les efforts d’application.
QUE CHERCHEZ-VOUS CHEZ NOUS, SI CE N’EST PAS ÇA ? Pensez-vous ingénument que si nous existons vraiment, nous devons nous présenter devant l’opinion publique en démontrant la réalité de notre origine ?
De cette façon – vous continuez à raisonner – vous pourriez face aux médias de la Terre, faire cette déclaration et tout le monde en bénéficierait : la presse, les radios, les télévisions du globe terrestre lanceraient aux quatre vents la nouvelle officielle de notre arrivée.
De plus nous suggérons : les idées, les raisonnements, ne portent-ils pas en eux-mêmes la force de persuasion ? Comment se fait-il que vous pouviez, vous, les écouter maintenant sans en faire trop cas ? Auraient-elles plus de valeur si nous énoncions celles-ci, vêtu d’un costume fluorescent, devant deux cents microphones et mille caméras de télévision, dans un parc new-yorkais, devant des centaines de milliers de personnes ?
Vous nous croyez aussi inconscients que ces footballeurs de la Terre qui accumulent dans les muscles de leurs jambes tous les tissus organiques qui manquent dans leur cervelle, et qui se présentent à chaque moment devant des milliers de leurs supporters fanatiques, en troublant le calme de la vie citadine ?.
Nous sommes en train de vous parler d’une terrible désorganisation de vos structures sociales. De ce cruel paradoxe, soutenu par vous, qui permet à quelques milliers d’individus de se distraire dans leurs luxueuses automobiles, alors que le combustible manque pour transporter les excédents agricoles vers l’Inde où meurent des millions d’affamés, et vous désirez que nous nous présentions tout d’un coup sur la place de la Concorde à Paris pour qu’affluent du monde entier des milliers de bourgeois inoccupés, avec l’unique but de satisfaire la curiosité de voir des hommes venus d’un astre lointain…
Croiriez-vous très logique une conduite aussi insensée ?
Ce n’est pas de la crainte que nous ressentons. Il est puéril de penser qu’à votre niveau social, nous pourrions souffrir de la part des terrestres une persécution ou un dommage physique.
C’est vous qui subiriez réellement les préjudices du choc aveugle des masses hystériques face au sensationnel.
Si vous pensez que des hommes venant d’autres mondes (que ce soit nous où n’importe qui) sont actuellement en train de vous analyser, sont plus intelligents ou possèdent un niveau culturel supérieur, soyez au moins cohérents et ne jugez pas qu’ils puissent se présenter devant les gens avec la frivolité d’artistes de cinéma !!!
Jusqu’à quel point vous êtes vous peu à peu imprégnés des lieux communs de la science-fiction, faisant que vous attendiez avec une curiosité primaire et morbide, le moment où nous apparaîtrons devant vous ?
Examinez-vous ! Analysez-vous vous-mêmes et reconnaissez humblement que beaucoup d’entre vous ne désirent pas vraiment augmenter leur culture avec celle que nous pouvons offrir, mais au contraire se procurer des émotions fortes, se sentir différents des autres après avoir eu l’occasion de se mettre en contact avec nous.
Ne considérez pas ces critiques comme une réaction de mépris envers vous. Nous disons tout cela avec amertume, conscients qu’à vous comporter ainsi, vous révélez une structure cérébrale infantile dans laquelle les tendances vers les objectifs primaires et maladifs se substituent aux motivations transcendantes élevées.
DÉSORGANISATION DU RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE.
Un penseur de la planète terre, Jean-Jacques Rousseau, postulait que l’homme n’est pas mauvais par nature. C’est le milieu ambiant et la société qui pervertissent l’individu. Ce sont les mauvaises habitudes acquises par l’enfant dans des systèmes pédagogiques aberrants qui confèrent à l’être humain cette empreinte de méchanceté qui caractérise sa conduite sociale.
Mais : jusqu’à quand allez-vous continuez d’utiliser ces concepts infantiles d’hommes bons et mauvais ? Les facteurs influant sur la conduite de l’homme ne peuvent se formuler avec cette simplicité.
Pour éviter des raisonnements embrouillés dans un langage trop technique, nous allons vous donner un exemple simple :
Depuis de nombreuses générations, une magnifique horloge en or a été l’objet de la malheureuse curiosité des jeunes éléments d’une famille. Personne ne sait le nombre de fois où les enfants ont fouillé l’intérieur, déséquilibrant les échappements des ancres, en desserrant ses vis, et déréglant ses petits pignons. L’horloge finit par tomber dans un bassin bourbeux.
Un jour passèrent par-là un certain Monsieur Rousseau et ses amis et voyant l’horloge couverte de limon et de boue, il commente tristement :
L’horloge est bonne; c’est l’eau sale et la boue qui l’empêchent de fonctionner parfaitement. C’est le milieu qui la perturbe.
Un de ses compagnons, après l’avoir sortie et examinée superficiellement argumente :
Non., L’horloge à un défaut de construction. C’est l’horloger qui est responsable de son disfonctionnement.
Dans un précédent rapport nous vous avons rappelé que l’homme HÉRITE DE SES GÉNITEURS certains réflexes nerveux qui constituent ce que vous appelez vulgairement INSTINCTS.
Mais également que sa mémoire subconsciente reçoit par les voies génétiques de multiples souvenirs du passé. Imaginez qu’ils effleurent seulement parfois durant des rêves énigmatiques pour vous, ou dans certains états de catalepsie.
Mais ce qui est plus grave encore : dans ces héritages que les gênes transmettent de génération en génération et que vous avez reçu, ce cache tout un réseau de connexions nerveuses ou synapses conditionnelles, qui constituent les véritables raisons des traits futurs de certaines conduites inexplicables.
La mentalité d’un psychopathe criminel est la conséquence d’un cerveau mal programmé. Ses pulsions qui le poussent à violer une enfant très jeune pour ensuite l’assassiner sans pitié ont comme « substrat » un code génétique mal codifié dans lequel certains gènes portent des normes aberrantes d’établissement de certains réflexes dans le futur cerveau du fœtus.
L’homme de la Terre se voit donc soumis à de terribles pressions dans tous les sens, comme un frèle bateau de bois vermoulu dans les turbulences d’une tempête.
Inspiré par une âme pure et un corps qui du point de vue physiologique est une merveille de construction, il se voit depuis le premier instant comme partie intégrante d’un gigantesque réseau social, comme un nœud uni à d’autres nœuds par de multiples arcs ou connexions, qui fonctionnent d’une manière désastreuse, l’homme tente infructueusement d’établir le contact avec ses semblables, de s’harmoniser avec eux pour se faire comprendre, sans y parvenir mieux que médiocrement.
C’est le système de communication qui est fautif. Vous n’avez pas trouvé le moyen de communiquer, le langage approprié, la technique d’information adéquate permettant aux hommes de se comprendre en parvenant ainsi au rendement maximal du réseau social.
Apparaît ainsi la situation paradoxale des êtres humains, qui étant entourés de milliards de semblables, se sentent terriblement seuls, incompris, poussés à réaliser certains actes défensifs contre les autres hommes, bouleversant encore plus le réseau.
Et si au moins vos cortex cérébraux étaient programmés correctement, si leurs connexions nerveuses n’étaient pas viciées depuis le moment de la fécondation par des causes héréditaires qui elle-même furent le produit de cette même désorganisation du réseau social vécue par vos ancêtres !
Que répondriez-vous à un pauvre malheureux, prisonnier dans une cellule humide, attaché à ses extrémités et son cou par des colliers de fer et n’ayant comme compagnon de cellule que l’écho de sa propre voix se réfléchissant sur les murs nus, qui vous demanderait ingénument ; qu’elle est la formule pour être heureux ?
Vous vous trompez totalement si vous pensez qu’existe une formule magique, un dispositif ingénieux, qui en quelques instants réussirait à résoudre la désorganisation du réseau social de la planète Terre et la morphologie altérée des cerveaux humains.
Ils existent, oui, les procédés thérapeutiques qui peuvent vous être appliqués à une échelle macro sociale et avec rigueur : en soumettant tout le peuple de la Terre sous la direction de nos spécialistes, nous réussirions à accélérer l’évolution de tout le globe sur des chemins rationnels.
Mais le processus serait lent et il faudrait que s’écoule de 250 à 300 ans terrestres avant d’apprécier des résultats sensibles.
Mais ceux-ci supposeraient de vous soumettre à une espèce de dictature paternaliste, régie par des technocrates venant d’une autre planète vous traitant comme des enfants.
Mais vous avez trop d’orgueil pour accepter en bloc cette longue période de rééducation. Nous considérons comme immoral de vous obliger par la force à vous soumettre. Nous ne croyons pas valable l’argument naïf de certains moralistes terrestres qui postulent qu’il est obligatoire pour tout homme d’empêcher le suicide de ses semblables, et bien que nous assistions horrifiés au spectacle d’une société qui, sans être mature spirituellement, joue avec des armes destructives terribles, nous n’avons pas la certitude absolue que la fin de la planète Terre sera forcément une hécatombe nucléaire.
Si à l’échelle sociale nous ne pouvons apporter des solutions pour une guérison, nous espérons dans des prochains rapports vous suggérer certaines pratiques qui vous aideront individuellement.
Vous souffrez d’une grave déficience. Le manque d’un sévère esprit critique et, ce qui est encore plus grave et désolant : le manque de PATIENCE.
Cette IMPATIENCE est caractéristique de toutes les personnes ayant un faible niveau mental. Observez le progrès de la Culture sur votre planète et vous verrez qu’il a été possible grâce au patient travail de recherche dans tous les domaines de la Civilisation.
Le TEMPS est nécessaire pour assimiler des concepts, pour les comprendre, et pour les « mûrir ». Seuls les retardés mentaux peuvent croire à une méthode pour fortifier l’homme spirituellement, une méthode qui puisse se résumer à une vingtaine de pages dactylographiées, et être assimilée en deux petites heures.
Ceux qui n’ont pas assez de patience pour l’étude, la méditation et l’analyse, peuvent se considérer comme TOTALEMENT CONDAMNÉS. Ils perdent leur temps en écoutant nos rapports, tout comme ils le feront en lisant d’autres traités écrits par des spécialistes de laTerre, car leur mal consiste en une insuffisance cérébrale qui pourrait être traitée seulement par des techniques neurochirurgicales inconnues de vous. Aucun psychiatre terrestre ne sera capable de guérir certaines formes de débilité mentale ou d’oligophrénie au niveau le moins élevé.
Nous vous disions que vos méthodes didactiques présentent un grave défaut. Puisque l’homme soumis à de telles normes éducatives continue à aller à l’échec, vous pouvez vous demander : les principes sur lesquels se fondent ces normes pédagogiques sont-ils faux ?
Notre réponse est : NON, ABSOLUMENT PAS ! Ils peuvent être insuffisants et un peu viciés mais les derniers pédagogues et spécialistes terrestres ont « fait mouche ».
Mais en ce qui vous concerne, un petit détail, décisif pour qu’une méthode éducative soit efficace et fructueuse, vous est sorti du champ de la conscience. Nous allons l’expliquer sur un exemple.
Nous allons employer comme comparaison un récepteur radio terrestre, ou bien, pour ceux qui ne sont pas compétents en électronique, une automobile de tourisme.
En résumé un récepteur radio est un CIRCUIT OU RÉSEAU ÉLECTRIQUE. Ses composants de base sont, par exemple, des inducteurs ou bobines, des valves électroniques appelées vulgairement lampes, des condensateurs, des résistances transformateurs de hautse et basses fréquences, des potentiométres et un haut-parleur. Tous ces accessoires sont parfaitement liés entre eux au moyen de fils ou conducteurs, formant un réseau sans hasard, mais étudié soigneusement pour que les faibles signaux qui sont captés par l’antenne et provenant d’un émetteur lointain, soient AMPLIFIÉS pour qu’à la fin du réseau le haut-parleur nous apporte l’harmonieuse mélodie émise à ce moment là. Il n’y a pas de doutes que le simple récepteur à galène des années 1920 était beaucoup moins perfectionné que le moderne super-hétérodyne actuel par fréquence modulée. Et que les récepteurs toutes bandes que vous avez employés dans le projet OZMA pour capter des messages extraterrestres laissent beaucoup à désirer en face de nos récepteurs très sensibles nous ayant permis de capter des signaux extragalactiques sur UMMO.
De plus nous attirons votre attention sur un fait particulier COMMUN A TOUS LES APPAREILS. TOUS, plus ou moins simples, plus ou moins perfectionnés, FONCTIONNENT. Ils possèdent un degré de sélectivité ou de portée plus ou moins grand, ils seraient capables de réduire plus ou moins le bruit de fond. MAIS ILS FONCTIONNENT.
Faites maintenant une expérience simple: prenez une pince, sortez le chassis de votre appareil radio ou télévision et COUPEZ UN SEUL FIL CONDUCTEUR, UN SEUL!!! Le récepteur ne fonctionnera plus. VOYEZ DONC L’IMPORTANCE QUE REVET UN SEUL ET HUMBLE ÉLÉMENT DU RÉSEAU !!! Sa destruction est suffisante pour que tout le réseau soit inopérant. Il ne fonctionnera pas mal, NON, IL NE FONCTIONNERA PAS DU TOUT parce qu’un RÉSEAU est quelque chose d’indivisible, dans lequel le défaut d’un seul composant suppose la destruction du TOUT.
Vous pourriez multiplier vous mêmes les exemples. L’obstruction du gicleur d’une automobile ou la fusion d’un anneau antifriction d’une bielle sont suffisants pour que la machine complexe cesse de fonctionner, même si le reste des accessoires est neuf. Un bombardement dans un noeud stratégique de communications peut désarticuler le potentiel défensif d’un pays.
Le grave défaut de vos systèmes d’éducation terrestre ne vient pas du fait qu’ils soient plus ou moins parfaits. N’importe lequel pourrait être fructueux, comme peut l’être le rendement du rustique appareil détecteur à galène, SI ON AVAIT FAIT ATTENTION AU FAIT QU’AUCUN DE SES SYSTEMES CONSTITUTIFS NE DÉFAILLE; car, au fond, TOUS LES SYSTEMES DIDACTIQUES ont comme objectif la création et la correction de RÉFLEXES CONDITIONNÉS, LA GENÈSE D’UN RÉSEAU DE RÉFLEXES.
Il suffirait qu’un seul de ces réflexes CLEF manque pour que TOUT LE RÉSEAU s’écroule.
Nous désirons avancer un exemple réel (NON UNE MÉTAPHORE), pour mieux comprendre l’importance qu’il faut accorder à l’étude de la base physiologique, c’est-à-dire l’étude du fonctionnement des mécanismes RÉFLEXES.
Un étudiant décide de s’imposer un plan de discipline d’études très strict. Tous les jours à huit heures du matin, il se lève et, avant de déjeuner, s’oblige à étudier 10 pages de son texte de cristallographie.
Jusque là, la méthode est correcte. Simpliste si vous voulez. Simple comme la radio à galène de notre exemple. Ce qu’il va obtenir, s’il insiste, c’est l’éducation d’une série d’éléments réflexes conditionnés.
Durant de nombreux jours, il a respecté le pacte. Mais un matin, il décide DE NE PAS SE LEVER.
Et pour cela il fait le raisonnemement suivant :
« il me reste encore six mois pour étudier, ce qui est important, c’est le nombre des jours pendant lesquels je vais étudier ». Un seul jour manquant « NE COMPTE PAS FACE A L’ENSEMBLE ».
Si vous êtes en accord avec la logique terrestre qu’on a du vous inculquer, vous pensez aussi comme lui: le jeune homme a raison, un jour de congé ne nuit pas à l’ensemble du programme LE TOUT EST PLUS IMPORTANT QUE LA PARTIE.
VOILA LA GRANDE ERREUR!!!. Ce principe que vous acceptez est DANGEREUSEMENT FAUX.
Ce jeune, sans s’en rendre compte,en se levant tous les jours à la même heure, avait essayé de constituer un RÉFLEXE CONDITIONNÉ UTILE. Mais s’il avait étudié le mécanisme de tels réflexes, il se serait aperçu qu’un seul MANQUE peut défaire totalement LE RÉFLEXE SI PATIEMMENT FORMÉ. Dit autrement :
QUAND, EN PERIODE DE FORMATION D’UN RÉFLEXE CONDITIONNÉ, LE PROCESSUS EST BRUTALEMENT INTERROMPU, IL FAUT LE REFAIRE COMPLÈTEMENT; L’EFFORT RÉALISE JUSQUE LA ÉTANT DEVENU STÉRILE. |
C’est-à-dire : il aurait été beaucoup moins nocif pour l’étudiant de passer la dernière semaine du programme sans étudier que de rater une seule heure les premiers jours.
Une insignifiante partie du processus, une seule heure, un humble fil du réseau, SONT BEAUCOUP PLUS IMPORTANTS QUE CE QUE VOUS POUVEZ IMAGINER.
Comment avez vous pu ne pas voir ce principe de la valeur de la partie face au tout, quand vous travaillez en Électronique, en Astronautique, où les plus petits détails peuvent faire échouer le lancement d’un missile ou dans l’industrie où la moindre erreur dans la chaîne de production peut paralyser toute l’usine ? VOUS NE VOUS ETES PAS RENDU COMPTE QUE CE PRINCIPE EST AUSSI VALABLE DANS L’ÉDUCATION, jusqu’au point où les parents valorisent SEULEMENT L’ÉDUCATION GLOBALE sans se rendre compte de la terrible importance que peuvent revêtir certaines erreurs ou manques durant des périodes critiques déterminées.
Méditez cela, car c’est là que se trouve un pourcentage élevé d’erreurs de la structure du Réseau Social Terrestre. Cela ne signifie pas que vous soyez tributaires de TOUS LES PETITS DÉTAILS, (ceci serait totalement irréalisable), mais qu’il faut calibrer certains détails en leur accordant UNE GRANDE IMPORTANCE.
Nous continuerons notre cycle à partir des premiers jours de septembre. Bons amis de la terre, nous vous recommandons paix et tranquillité, étude et méditation. Bons amis de la Terre, à toujours!
BASE D’UNE ÉDUCATION UNIEYAA (NEUROCORTICALE)
Les concepts pédagogiques qui régissent le système éducatif de notre OOYAA (planète) sont très différents de ceux utilisés par les Terrestres, mais vous ne devez pas vous effrayer si nous vous disons que de nombreuses bases sont découvertes par vos neuropsychiatres sans que vous sachiez encore les appliquer autrement que sous forme rudimentaire et anarchique.
C’est ce qui s’est produit avec le concept neurophysiologique d’UNNIOOGOIA (RÉFLÊXES CONDITIONNÉS). Connus par nous depuis de nombreuses années, nous avons régi son application rationnelle dans l’éducation de l’enfant avec un succès qui explique la différence de structure sociale d’UMMO par rapport à celle du Réseau Social Terrestre.
Dans votre cas, et malgré le fait que le scientifique russe PAVLOV ait développé très largement l’analyse de ce type de mécanisme nerveux, il est rare de voir parmi vous, (en dehors des professionnels de la Médecine ou des personnes ayant une formation en psychologie) des gens qui soient capables de donner une réponse cohérente à une question sur le mécanisme du « réflexe conditionné »; en supposant bien sûr qu’ils connaissent la signification de ce mot.
Pour ceux qui ont eu l’occasion d’assimiler ce concept, nous allons vous l’expliquer avec un exemple facile. Nous pourrons dans un prochain rapport être plus explicite en décrivant le processus nerveux avec plus de détails.
Imaginez une fillette à qui l’on offre une nouvelle poupée en peluche noire. Un tel jouet STIMULE LES DÉSIRS DE JEU. Nous appellerons donc cette poupée « STIMULUS CONDITIONNÉ ».
Nous verrons donc comment la petite UUYIE (FILLETTE) passe un après-midi délicieux, se consacrant à ses fantaisies ludiques. L’attraction et la suggestion provoquée par la poupée est quelque chose que nous considérons naturel et qui possède sa propre explication psycho-physiologique.
Tandis que la fillette est occupée avec son jouet, nous mettons une petite charge explosive dans la maison, bien entendu inoffensive, et nous la faisons exploser. Logiquement le stimulus acoustique provoquera un fort « choc » nerveux, une terreur à cette réponse de peur, terreur que nous appellerons « réponse conditionnée » à l’EXPLOSION ou bien « réponse non conditionnée » à la poupée. Il est clair jusqu’à maintenant que la terreur ne se produira pas par le fait que l’enfant se trouve devant le stimulus de la POUPÉE; elle se produira ou pas indépendemment de ce jouet et subordonné seulement au STIMULUS EXPLOSION.
Jusque là, tout est normal. Deux STIMULUS différents : poupée et pétard, engendrent des réponses logiques : jeu et pleurs de terreur.
Mais poursuivons l’expérience. Durant les jours suivants, chaque fois que vous donnez la poupée à l’enfant et au moment où ses mains entrent en contact avec elle, faites exploser un pétard. Les RÉPONSES de pleurs par le fait de la terreur continueront.
Après avoir réitéré l’expérience quelques fois, en présentant simultanément le STIMULUS CONDITIONNÉ (ici le jouet) et le STIMULUS NON CONDITIONNÉ (c’est-à-dire l’explosion) ; supprimons ce dernier. Donnons à l’enfant simplement la poupée en peluche noire.
Nous observons alors une réaction curieuse. L’enfant en voyant le jouet réagira en pleurant, terrorisée. Ses arcs réflexes s’associeront de tel façon qu’ils provoquent une RÉPONSE INADÉQUATE AU STIMULUS.
A partir de maintenant, chaque fois que nous montrerons la poupée à la fillette de notre expérience, vous aurez la même réaction que celle provoquée par l’explosion. Et même il peut s’être produit une chaîne de réflexes conditionnés qui vont, pour l’enfant, s’associer à des stimulus comme un morceau quelconque de peluche noire et même la seule couleur noire à la réponse PLEURS .
Il est possible que la mère qui ignore la raison des réactions de sa fille soit surprise de la voir pleurer devant un coussin en peluche sans suspecter le mécanisme physiologique qui est en jeu derrière cette étrange conduite.
Tout le comportement humain est imprégné de réactions conditionnées. Quand vous écrivez à la machine, quand nous lisons, quand nous nous habillons mécaniquement pendant que nous pensons à autre chose, quand dans notre vie quotidienne nous nous orientons en déambulant dans les rues, ce phénomène physiologique se produit des milliers de fois et sans celui-ci l’homme serait un autre être, totalement différent et incapable de développer sa personnalité.
Mais vous les terriens, vous n’avez pas su profiter de vos enseignements. Quand vous eûtes conscience, grâce à Ivan PAVLOV, de ces mécanismes réflexes, vous avez créé fanatiquement toute une doctrine appelée RÉFLEXOLOGIE qui tend à vouloir expliquer toute la conduite de l’homme par les RÉFLEXES CONDITIONNÉS. Avec un enthousiasme débordant, vous avez pensé que grâce à cette découverte, vous pourriez expliquer le DIVIN et L’HUMAIN, tout comme les scientifiques ingénus du 19 ème siècle crûrent qu’ils pourraient expliquer ainsi le concept appelé le mythe de Dieu.
Et comme d’habitude, face à cette importance démesurée du concept des réflexes, nous observons chez vous, ensuite, la plus étrange indifférence pour ses applications.
Il est étonnant de voir comment vous parlez de l’importance des bonnes et mauvaises habitudes, en ignorant même que leurs bases sont précisément les « réflexes ». Et que vous n’achevez jamais avec bonheur l’éducation de la société en créant ces habitudes, si vous ignorez leurs intimes mécanismes, tout comme le mécanicien d’un avion qui ne sera jamais capable de réparer le rotor d’un turbo s’il ignore ses principes de fonctionnement
Nous ne voyons pour vous qu’une seule solution au cercle vicieux dans lequel est entré le Réseau Social Terrestre (l’extraordinaire importance des réseaux, terme d’application universelle, sera abordée plus loin). Entreprenez immédiatement un programme mondial d’éducation de l’Enfance. En utilisant les moyens que vous apporte la connaissance des lois psychophysiologiques de l’enseignement grâce à la formation scientifique des habitudes par une technique semblable à celle que nous utilisons dans nos UNAWO UI (centre d’enseignement); technique appelée AARUNNIOGOIA (ENSEIGNEMENT AU MOYEN DE RÉFLEXES CONDITIONNÉS).
Depuis la plus jeune enfance de l’UUGEE ou UUYIE (garçon ou fille), les parents mettent en place sur notre planète un programme basique d’éducation.
Avant tout nous devons vous avertir d’une chose qui scandalisera sûrement certaines personnes peu informées.
Nous essayons d’ajuster notre conduite à ce que nous appelons UAA (LOI MORALE). Nous croyons avec certitude en WOA (Dieu ou créateur), et nous savons que son divin UMMOWOA, qui s’incarna comme Jésus Christ le fit pour vous, en nous apportant des normes sages qui, en tempérant la Loi Naturelle, permirent le développement de la Société de UMMO.
Mais notre concept de morale, tout en maintenant l’extraordinaire ressemblance avec celle du Christianisme actuel et avec celle postulée par les moralistes de l’Église Catholique de Rome, présente une structure différente et beaucoup plus flexible. Simplement parce que :
Premièrement : nos WOALAOLOO (théologiens) estiment que la morale évolue avec la société qui se développe.
Deuxièmement : avec des limites déterminées et dignes d’attention, les NORMES MORALES DE L’INDIVIDU sont fonction de leur structure neurocérébrale et physiologique. Ainsi les obligations et droits moraux de chaque sujet varient entre certaines limites, selon leur personnalité psychologique.
Nous ne sommes pas encore arrivés à l’idéal que chaque homme d’UMMO sache avec certitude qu’elle doit être la conduite à suivre pour chaque cas concret et dans chaque état psychologique. Mais nous approchons de l’idéal parce que maintenant, dès l’enfance, nous évaluons la capacité mentale de l’enfant et nous injectons en lui, lui seul, la portée de ce code moral qui s’adapte à un cerveau type ayant le plus d’analogie avec le sien.
Ainsi comme vous qui faites évoluer la morale et dictez les normes collectives pour un groupe social d’un pays ou même d’une région, nous nous recentrons encore plus sur les problèmes intimes de l’individu, en le libérant de l’esclavage des normes standards de conduites qu’il ne pourrait accomplir avec sa mentalité et dans certaines circonstances, en lui évitant cette gamme de complexe qui se créent en vous quand la société, hypocritement, montre du doigt celui qui n’accomplit pas ces normes standard.
Ne confondez pas, bien sûr, ce respect de la part de l’individu avec l’amoralité ou la liberté morale, dans laquelle vous tombez précisément parce que vous obligez les autres à suivre des lois auxquelles peut-être ils ne peuvent pas s’adapter. Au contraire ces normes distinctes pour chacun de nous et qui donnent lieu à : ce qui est transgression pour l’un ne l’est pas pour le frère. Ces normes sont rigides et forcent toujours chacun à respecter les droits de ses frères.
À la lumière de ces principes, et une fois évaluées, comme nous l’avons expliqué, les facultés de chaque nourrisson, les parents pourront, avec l’aide du conseil que leur prête notre réseau de XANMO AYUBAA (ORDINATEURS OU CERVEAUX NUCLÉAIRES) éviter les multiples problèmes de l’éducation de l’enfant.
Nous voulons attirer l’attention sur quelques points. Depuis de nombreuses années la fécondation et la gestation de l’être humain, hors de la matrice maternelle, sont parfaitement réalisables sur UMMO. Mais nous considérons ce procédé que vous appelleriez gestation « IN VITRO », antinaturel et attentatoire au dessein de WOA de sorte que cette phase antinaturelle de la vie humaine n’est permise que dans des cas de pathologie concernant la mère.
En outre : vers les huit mois de vie fœtale, on peut intervenir avec des techniques neurochirurgicales sur le nouvel Être en agissant sur sa structure neurocorticale et sur le canal médullaire, changeant totalement sa personnalité en modifiant ses constantes psychologiques, spécialement son quotient intellectuel ou intelligence.
Quand cette possibilité se développa sur notre planète nous crûmes, remplis d’enivrante euphorie, qu’enfin nous avions atteint le but désiré, qu’enfin l’homme s’était délivré de ses tares mentales, qu’indépendamment de WOA nous pourrions ENGENDRER une autre espèce.
Deux voies s’ouvraient pour cela. Le contrôle du code génétique et les modifications sur le cortex cérébral déjà assimilées rendait apparemment faisable ce rêve caressé pendant toute notre histoire depuis que les brutales expériences de vivisection de l’époque d’IE 456 avaient ouvert des perspectives futures à cette possibilité.
Immédiatement les expériences furent commencées (nous n’étions pas encore arrivés à découvrir les atomes de gaz inerte KRYPTON qui constituent le troisième facteur de l’homme c’est-à-dire l’OEMBUUAW).
De nombreux délinquants, des adultes et beaucoup d’enfants furent soumis à de profondes interventions pour modifier le réseau neuronal de leur cerveau. Expliquons sommairement la technique employée :
En premier lieu on obtenait une image tridimensionnelle de la structure corticale en employant la technique UULWAAGAA. Les UNNIEAOEMII WIOA (spécialistes du cortex cérébral) analysaient ensuite le réseau neuronal complexe en repérant des irrégularités congénitales présentes.
Une fois le réseau étudié, un modèle mathématique d’un réseau amélioré était élaboré, qui a son tour était représenté par un second modèle « équiforme » (néologisme) du cortex. C’est-à-dire : une espèce de maquette réalisée au moyen d’alliages divers, chacun d’eux représentant des composants organiques qui sont intégrés dans notre cerveau : ainsi la myéline des neurones était représentée dans ce modèle à une échelle 144/1 par un alliage de chrome.
L’intervention chirurgicale (nous l’appelons ainsi incorrectement car nous ne trouvons pas de traduction meilleure) pouvait alors être réalisée.
Mais avant de poursuivre, précisons un nouvel éclaircissement. De nombreuses années auparavant nous avions découvert deux techniques essentielles dans ce processus. L’une d’elles parvenait à provoquer sur un tissu organique sain, un processus de nécrose (MORT CELLULAIRE) en localisant cette action traumatisante à une petite zone des tissus avec une précision telle que l’on pouvait détruire une seule cellule sans affecter en rien celles qui l’entouraient.
Cet effet peut s’obtenir à distance et sans qu’aucun objet matériel ne pénètre dans les tissus. On emploie un double faisceau de radiations dans le spectre de fréquences que vous dénommez RAYONS GAMMA.
On peut donc par exemple accéder à l’épithélium stratifié de l’œsophage et détruire avec toute précision une de ses cellules pendant qu’un opérateur surveille le procédé à travers son écran d’UULWAAGAA (appareil ressemblant à l’équipement de radioscopie terrestre).
Les résidus de la destruction sont immédiatement réabsorbés avec plus ou moins de rapidité dépendant du type de tissus traités et d’autres facteurs.
Parallèlement à cette technique, nous pouvons transformer le noyau cellulaire de n’importe quel tissu de diverses manières. C’est-à-dire que nous pouvons créer de véritables CELLULES ATYPIQUES ARTIFICIELLES (quelque chose comme un cancer artificiel). Bien sûr, créer les tissus malades n’est pas l’objet, si ce n’est à des fins d’étude.
Ce qui est vraiment obtenu dans la pratique c’est de changer la nature d’une cellule. Imaginez par exemple une zone envahie par des FIBROMES, cellules du tissu conjonctif. Et bien : en agissant sur les chromosomes du noyau il est possible de transformer une ou des milliers de cellules de ce type en cellules comme par exemple des cellules nerveuses, c’est-à-dire des NEURONES dont la structure est totalement différente.
Imaginez le patient qui va se soumettre à ce changement de son cerveau. Ce sont des millions de cellules de son cerveau qui doivent être nécrosées, c’est-à-dire détruite, et des millions qui doivent se créer, toutes selon le plan de réseau étudié. Un spécialiste pourrait avoir besoin de millions d’années pour réaliser cette opération.
L’équipement qui se charge de cela est automatique, et il est contrôlé par le modèle métallique que nous avons décrit. C’est comme un pantographe utilisé par les dessinateurs terriens pour la reproduction à l’échelle de plans ou de dessins. Il est clair que le procédé réel est beaucoup plus complexe, puisque préalablement les millions de points en coordonnées tridimensionnelles ont été répercutés dans une unité de mémoire de titane, en codant leur nature et positions. (Chaque point représente une molécule organique).
(Vous pourriez supposer que ces techniques décrites sont celles qui nous permettent des soins efficaces de n’importe quel tissu malade). Cependant l’échec concernant la transformation du cerveau humain furent retentissants. Voyons pourquoi :
RESULTATS SPECTACULAIRES
C’est ainsi que l’on peut appeler les résultats obtenus au début sur la planète UMMO en essayant de modifier la structure UNIEYAA ( CEREBRALE) en annulant certaines cellules et en en transformant d’autres, jusqu’à obtenir une métamorphose complète de l’encéphale de l’homme. Cela constitue une véritable révolution sur notre planète.
Ce fut pendant l’année 5722 du Second Temps (année de UMMC) que ORIAAU 6, fils de ORIAAU 5, commença ses expériences avec toute une pléiade de neurophysiologues en utilisant comme cobayes 78 délinquants adultes et 180 enfants des deux sexes qualifiés de EDDIO UNNIAXII (retardés mentaux). L’intervention se pratiquant dans des pièces fermées où l’on maintenait un contrôle rigoureux des stimulations physiques et des conditions ambiantes.
Niveau sonore : zéro.
Radiations lumineuses : zéro.
Température, pression atmosphérique, radiation ultraviolette, composition chimique de l’air, degré d’humidité, ionisation, tout cela variait en fonction du métabolisme du sujet qui était maintenu dans un état inconscient absolu provoqué par le processus même de l’intervention.
La boite crânienne demeurait intacte durant le temps que durait l’intervention : la transformation de la structure neurocorticale.
Les premiers résultats apparents étaient véritablement spectaculaires. Tous les sujets, une fois terminé le processus de restructuration de leur cerveau, sortaient de la pièce hermétique où ils avaient été enfermés par périodes de 1140 UIW (un UIW : 3,1 minute) et alimentés à base de UAMIIOWOBO (nutrition par voie artérielle) comme des personnes adultes qui finiraient de sortir de la matrice maternelle.
Tous les éléments accumulés dans la mémoire durant leur vie avaient été totalement gommés par intervention ou bien étaient passés à des niveaux BUUAWAM IESEE OA (SUBCONSCIENT) (sauf 7 YIEE et 4 GEE qui conservèrent des souvenirs à un niveau conscient, comme nous vous l’indiquerons plus loin).
CHANGEMENT DE LA PERSONNALITE.
L’évident changement de la personnalité était parfaitement enregistrable.
Les adultes pouvaient demeurer debout, ce qui mettait en évidence la conservation de certains mouvements réflexes . Mais de nombreux autres mouvements réflexes étaient totalement annulés . (les faibles réflexes de succion, de pression, etc… qui se conservaient chez les adultes comme reliquat des états infantiles disparurent); apparemment par contre, de nouvelles formes de réactions, appelés par nous UNNIOGOAYUUXE (les psychologues terrestres les appellent réactions circulaires primaires) selon lesquelles si un jeune en période de lactation a réalisé un acte qui lui procure du plaisir, il le répètera indéfiniment.(acte de sucer le doigt, acte de tirer une chose qui produit un son harmonieux pour l’enfant etc…).
Il y avait un réflexe de ce type qui finit par être commun à tous les sujets : se caresser le visage, la poitrine et les seins.
Presque tous sentirent fortement les stimulations lumineuses, ce qui nous obligea à les pourvoir de UULAXBOIYU (à cette époque où l’on ne contrôlait pas directement les aberrations occulaires, on mettait aux presbytes et aux myopes des lentilles artificielles qui s’appliquaient en pulvérisant une substance transparente sur le globe même de l’oeil). Celle-ci, en se cristallisant et en durcissant, formait une pellicule soluble adaptée à la cornée, semblable aux microlentilles que vous utilisez sur Terre.
Cette substance plastique, que nous appelons BIAGOODOAWAA a la propriété de pouvoir varier son opacité en fonction de la lumière. Si vous aviez un tel produit, vous pourriez l’appliquer sur vos lunettes de soleil.
Au début, les sujets ne pouvaient percevoir que des images dissociées dans lesquelles les formes et les couleurs n’étaient pas intégrées dans un tout parfait. De plus la vision ne se fixait que sur un seul plan. Une montagne, située à de nombreux KOAE, leur paraissait aussi proche que leur propre main.
Les modes de conduite révélaient l’apparition des premières phases d’intelligence sensorimotrice.
Ils balbutiaient et pleuraient comme de véritables enfants.
Comme vous le voyez, le processus se déroulait comme si ces êtres étaient nés quelques heures auparavant.
Inutile de dire qu’ils ne connaissaient absolument pas ceux qui furent pendant des années des familiers et des amis.
On ne pouvait même pas comparer cette conduite à celle des malades frappés d’AMNESIE lacunaire ou d’amnésie d’évocation.
Ce profonds changement mental était cependant important. Il constituait une phase nécessaire dans la rénovation de l’individu, comme cela fut démontré par la suite.
En effet : ces nouveaux ENFANTS évoluèrent beaucoup plus rapidement que les individus véritablement infantiles.
La période d’éducation dura environ 15% de celle requise pour un enfant normal, et quelques mois (terrestres) furent suffisants pour que les sujets retournent à la phase adulte.
Et déjà les « tests » psychologiques auxquels ils furent soumis en sortant des salles d’opération, révélèrent une très profonde transformation dans leur niveau de capacité mentale.
Les progrès obtenus durant leur rééducation donnèrent des résultats stupéfiants.
Un délinquant, débile mental, qui avait été condamné à une nudité perpétuelle pour homicide, quand il passa l’épreuve de transformation et de rééducation, devint un brillant spécialiste de OOLGA WAAM (COSMO-PHYSIQUE).
Il passa à la postérité sous le nom de UROO 866, fils de UROO 865, grâce à ses calculs sur la composition des nébuleuses GIAXAA EDAAU.
PREMIERE PHASE DE LEUR NOUVELLE VIE
Durant de nombreuses années, toutes ces personnes vécurent une authentique nouvelle vie. Leurs personnalités, couplées avec leurs goûts; leurs aptitudes, leurs tendances instinctives et leurs formes de pensée, furent radicalement différentes de celles de leur vie mentale antérieure. Seules certaines réactions végétatives rappelaient à ceux qui avaient vécu avec eux, leurs anciennes caractéristiques.
D’autre part, les sujets soumis à cette opération n’avaient aucun souvenir de leurs vies passées. L’affection envers les êtres aimés fut totalement neutralisée .
Quelques uns durent faire de véritables efforts pour s’adapter à la vie familiale avec leurs époux ou parents .
Ceux qui avaient des enfants confessaient qu’ils n’avaient aucune réaction émotionnelle envers eux et, dans de nombreux cas, les ruptures de situations matrimoniales soigneusement ré-élaborées par des psychologues et des ministres religieux, furent inévitables à cause de fortes tensions spirituelles entre les deux membres du OMGEEYIE (couple). Les mésententes qui sont rares sur UMMO, car on sélectionne soigneusement les époux, commencèrent à surgir dans les cas cités et avec une telle fréquence que de telles mesures furent inévitables .
DES CAS CURIEUX .
Il yaut des cas curieux , comme par exemple les 11 sujets des deux sexes qui , malgré la profonde transformation de leur MOI, se souvenaient encore de certains évênements de leur vie antérieure.
Un jeune de 27 ans vécut avec une double personnalité (jusqu’alors on ne connaissait pas sur UMMO les cas de dédoublement de la personnalité, syndrome plus fréquent sur la planète terre, même s’il y avait par contre des cas de EDDIO NAAU (semblable à la schizophénie), maladie dont la dissociation et la désagrégation de la personnalité sont évidentes.
GRAND SUCCES PROFESSIONNELS
Ces hommes nouveaux atteignirent en très peu de temps une position sociale prédominante, techniciens, penseurs, scientifiques. Beaucoup parmi eux promettaient d’avoir un futur de fécondité intellectuelle merveilleux.
Quelques uns comme ESIURAA 499, FILS DE ESIURAA 498, converti en neurophysiologue, commença un cycle de recherche sur les transformations neurocorticales en réalisant simultanément une étude très sérieuse sur son propre cas.
Mais un terrible destin attendait ces êtres perfectionnés.
Comme nous vous le disions au début, on obtint des résultats spectaculaires avec la transformation neurocorticale, mais nous verrons bientôt le triste destin de ces hommes apparamment privilégiés.
AUTOMATISME .
Ce fut l’une des femmes transformées, UROO 38, fille de UROO 35, qui avait atteint en peu de temps le niveau supérieur de WADOOXXIA (trafic de l’information) qui subit la première la terrible ODAWAA ( collapsus ou effondrement ) .
Une nuit ses collaborateurs la trouvèrent avec le regard hagard, contrôlant les ASNEUIDAA ( EQUIPEMENTS DE CONTROLE) mécaniquement comme un robot .
Elle obéissait docilement aux ordres qu’on lui donnait. Elle semblait prise par une aboulie terrible qui la rendait incapable d’avoir une conduite dictée par les contrôles normaux de sa propre personnalité. On constata que la perte de contrôle était totale. Son niveau intellectuel demeurait indemne mais seule une volonté extérieure pouvait en tirer profit.
Une véritable mort vivante, une authentique machine incapable des plus petites volitions, et même pour les plus élémentaires nécessités physiologiques non réflexes,il fallait qu’elle soit controlée de l’extérieur.
un après l’autre, ces femmes et ces hommes, enfants et fillettes, tombèrent dans le mystérieux et fatidique traumatisme mental.
Les crises commençaient au hasard, sans cause visible, sans loi temporelle qui mette en relation les dates de transformation cérébrale et ces horribles chutes.
Pas un seul ne put échapper à cet hallucinant destin.
EXPLICATION DU PROCESSUS?
L’année (de UMMO)1336 du 3ème Temps,un chercheur GAAA 9 , fils de GAAA6, put démontrer l’origine de ce traumatisme psychique.
Il s’agissait de la désintégration totale du réseau des atomes de DIIUA KRYPTON qui composent le facteur humain OEMBUUAW ( intermédiaire entre l’esprit et le corps).
Ainsi ,l’écorce cérébrale demeurait déconnectée du BUUAWAA (ESPRIT) et le corps humain était régit , à ce moment là, par un déterminisme aveugle.
BASES ACTUELLES DE L’ÉDUCATION SUR NOTRE PLANÈTE UMMO
Dans un rapport antérieur nous vous avons informé de l’échec cuisant subit par nos scientifiques quand, sans s’apercevoir du risque représenté par le fait de trop forcer les lois naturelles du WAAM (UNIVERS), nous avons tenté de changer la structure des cerveaux selon des modèles perfectionnés élaborés avec soin.
Ils avaient analysé avec soin et rigueur chaque cellule de l’encéphale. On connaissait avec exactitude la structure nerveuse de ces cerveaux appartenant à des personnes à l’intelligence très développée, favorisée génétiquement jusqu’à pouvoir obtenir que leurs vies se déroulent dans les voies d’une profonde paix spirituelle et d’un équilibre psychique enviable.
Il fallait commencer par comparer ces masses encéphaliques avec celles des autres personnes dont les mécanismes réflexes imparfaits et les réseaux nerveux structurellement déficients, étaient susceptibles de faire l’objet d’un traitement ultérieur et de bénéficier des techniques déjà mentionnées pour que surgisse un OEMIIGIIA (HOMME PARFAIT OU SURHOMME).
Nous savons tous qu’un corps peut adopter diverses formes d’équilibre: un cône posé sur sa base est considéré en état d’EQUILIBRE STABLE. Si nous le retournons en l’appuyant sur sa génératrice, il se trouve en état d’équilibre INDIFFERENT. Avec beaucoup de patience et à l’abri des plus petites vibrations ou courants d’air, nous pouvons le poser sur la table au point de son sommet, tout au moins en théorie, et de manière que son axe soit PARFAITEMENT PERPENDICULAIRE, il se tiendra en un spectaculaire stade d’ÉQUILIBRE INSTABLE, mais il suffirait d’un faible souffle, d’une imperceptible vibration du sol pour que cette pyramide ou ce cône retourne à une des phases plus stables sus mentionnées.
La comparaison est grossière car un modèle mécanique si simpliste ne peut être comparé avec la complexité d’un réseau d’atomes de krypton. Mais cela suffit pour s’apercevoir que l’homme naît avec son OEMBUUAW (facteur qui relie l’âme et le corps) parfaitement équilibré et stabilisé (bien qu’un quelconque événement ultérieur peut altérer cet équilibre). Cette modification artificielle produisit une profonde altération qui le fixa en un équilibre INSTABLE, sujet au danger des perturbations extérieures qui pouvaient le neutraliser. Aujourd’hui nous savons que si les cerveaux de ces hommes avaient pu être remodelés pour retourner à leur structuration de leur état primitif, ces malheureux auraient pu être sauvés.
Nous pouvons donc altérer la nature jusqu’à certaines limites. Passé ce seuil, la lésion provoquée par ces transformations est largement supérieure aux bénéfices que l’homme pourrait obtenir de telles mutations.
Cet échec unifia tous les penseurs, théologiens, psychiatres, neurophysiologues et spécialistes en pédagogie (NOUS DONNONS CES DÉNOMINATIONS QUI SONT ÉQUIVALENTES A CELLES DES PROFESSIONS DE LA PLANÈTE TERRE POUR QUE VOUS NOUS COMPRENIEZ: SUR UMMO CES SPÉCIALITÉS SONT DIVISÉES EN CENTAINES DE SPÉCIALITÉS). On fit un effort colossal pour réviser profondément la politique à suivre au niveau du plan général de perfectionnement de l’humanité, en arrivant à la conclusion qu’il était très dangereux d’essayer d’obtenir un nouvel effort dirigé vers le perfectionnement de l’homme en agissant mécaniquement sur l’encéphale et le reste du tissus nerveux. Peut-être arriverait on à stabiliser davantage les bases du réseau OEMBUUAW (ATOMES DE KRYPTON), mais JUSQU’A QUEL POINT? Ne pourrait-il pas aussi arriver qu’après de nouveaux résultats spectaculaires et plus durables, les futures générations subissent les effroyables conséquences de ce processus chirurgical ? Ne condamnerions nous pas l’humanité future à devenir une masse hallucinante d’êtres aliénés, errant sans but par les poussiéreuses vallées d’UMMO, jusqu’à leur anéantissement ?
La perspective est trop effroyable pour oser jouer aussi témérairement avec les bases somatiques de la société.
Alors, ces scientifiques équilibrés tounèrent leurs vues vers les immenses réserves de l’homme constitué comme WOA (CRÉATEUR OU DIEU ) l’a déterminé.
Voici le résumé de leurs conclusions que nous vous donnons ci-après:
– Il n’y a pas une seule mais plusieurs causes qui font que l’homme ne se sente pas heureux sur UMMO.
Une première et simple classification de ces causes est la suivante:
– L’enfant naît avec une structure neurocorticale qui, si dans un grand pourcentage de cas est insuffisante et déséquilibrée, est quand même susceptible de se reformer dans les premières phases de l’enfance, en ordonnant ses mécanismes réflexes de sorte qu’ils agissent en harmonie avec ceux des autres membres qui composent la société (Le déséquilibre, à cette époque là, était évident).
– En maintenant les membres de la société dépourvus de cette éducation de base de leurs réflexes (non seulement ceux conditionnés ), l’individu maintient des formes de comportement qui lése les droits fondamentaux des autres. L’homme est ainsi submergé dans une société viciée « qui ne le comprend pas » et le « torture spirituellement ».
– Comme conséquence de ces tensions que le milieu social exerce contre l’individu, celui ci se « défend » inconsciemment et consciemment en créant une série de « réflexes agressifs » qui corrompent chaque fois davantage son organisme et, ce qui est encore plus grave, AVEC LE TEMPS, CES MÉCANISMES RÉFLEXES SE TRANSMETTENT PAR HÉRÉDITÉ A SES ENFANTS.
– Nous voyons donc que la société se détériorait graduellement, enfermée dans un cercle vicieux si d’autres ressorts, comme l’action violente vivifiante de la recherche scientifique et les idées religieuses, ne contrecarraient pas l’action destructrice de RÉGRESSION de tels mécanismes réflexes viciés.
Vous pouvez observer, Hommes de la Terre, que cet exposé fut réalisé à une époque de UMMO où notre société était plus avancée que la vôtre en 1966. L’Homme d’UMMO ne se sentait pas heureux, même si les gouvernements totalitaires avaient disparu après la mort de la jeune tyran WIE 1, fille d’ IEE 456 en l’année 1368,11 du Second Temps. Malgré (le fait) que la religion unifiée d’UMMO apportait des réserves spirituelles encore inconnues des hommes et qu’on était en train de dépasser les dernières difficultés issues de la juste répartition des moyens et des biens de consommation qui, en certains cas, furent insuffisants dans des temps antérieurs pour satisfaire pleinement les nécessités. C’est à dire que LA PROPRIÉTÉ PRIVÉE N’ÉXISTAIT PAS ET QUE L’ON NE CONNAISSAIT PAS LA FAIM, même si certains autres biens moins nécessaires manquaient.
Les scientifiques dans les diverses branches spirituelles et techniques furent réalistes : IL NE FALLAIT PAS ATTENDRE DE SOLUTION IMMÉDIATE POUR LA SOCIÉTÉ D’UMMO (encore très désorganisée et avec des membres mal formés depuis l’enfance). La perspective serait la même que celle qui se présenterait à l’un de vous si, après une guerre nucléaire, il sortait d’une caverne où il se serait caché et qu’il se trouvâtt face à une cité totalement détruite. Une ville qui abritait avant des millions d’habitants, réduite à des décombres fumants. En se promenant entre les moignons de béton armé et pendant que craquent à ses pieds les éclats carbonisés , l’homme, dans son immense solitude, peut penser à TOUT reconstruire mais, très vite, il se rend compte du côté utopique de son rêve. Les années nécessaires pour réaliser cela avec l’aide de milliers d’ouvriers seraient excessivement nombreuses.
Le réseau social était trop abîmé pour essayer de le réparer en une seule génération. Il fallait donc renoncer à obtenir les fruits immédiatement. Nous, les Hommes de UMMO, nous gardons une vénération pleine de respect pour nos lointains ancêtres qui, conscients du fait que cela continuerait à être une société imparfaite, mirent en jeu leurs vies et leurs efforts pour que nos frères d’aujourd’hui jouissent d’une structure sociale plus juste.
Ils renoncèrent à un bonheur facile passager pouvant être obtenu par des moyens plus ou moins artificiels d’effets moins passagers comme ceux que nous avons décrits et ils mirent en place la grandiose tâche de planifier l’éducation des nouvelles générations.
Voyons quelle fut la politique suivie:
Comme il était évident qu’une nouvelle génération mise en contact avec la société, finirait par être corrompue, on délimita dans la planète 30% du Continent pour que là se développe le premier germe d’une société du futur sans contamination par ses progéniteurs. En l’année 5902 du Second Temps, commença a être mis en pratique le gigantesque plan dénommé IGIAAYUYISAA. Tout le plan d’éducation était élaboré sur la base de réforme des réflexes, à partir de l’instant où l’UUYIE (fille) ou UUGEE (garçon) était séparé de sa mère par la cautérisation instantanée du cordon ombilical. En passant la période éducative EN DEHORS DE L’INFLUENCE ET DES CONTACTS DES PARENTS, cette jeunesse commençait son expérience sociale « loin de cette autre société » avec laquelle elle maintenait seulement des contacts par les échanges culturels et ce par des personnes qualifiées.
Vous pouvez observez que ce fût une mesure nécessaire à cette époque où les parents n’étaient pas comme aujourd’hui formés pour apporter une telle éducation et formation à leurs enfants.
STRUCTURE (AYUUBAA) (RÉSEAU) DU PLAN ÉDUCATIONNEL.
Les systèmes pédagogiques de la Planète Terre sont en réalité assez avancés par rapport au niveau de civilisation que vous avez atteint.
Cependant, vous êtes désespérés face à la pauvreté des résultats obtenus. L’enfant est soumis à tous les types d’épreuves de discipline; il est éduqué dans les meilleurs collèges, imprégnant son esprit d’idées religieuses et sociales qui dominent dans le milieu ambiant. Il peut même avoir été canalisé au niveau de sa petite enfance par des systèmes didactiques, reconnus comme révolutionnaires à leur époque (ex : le système Montessori), jouir des tutelles formatrices de bons professeurs, et avoir ensuite une bonne formation humaniste ou aller dans une Ecole Polytechnique, endroits où l’individu assimile des techniques qui l’amènent à un niveau d’ingénieur pour développer un travail dans le domaine de l’industrie ou de la recherche.
Même l’homme qui affiche une carrière reconnue, auréolé par une vie professionnelle riche en expériences et revêtu d’un vernis social dans lequel les bonnes formes d’éducation, la facilité d’expression et sa culture encyclopédique, lui donnent un indubitable air de distinction par rapport au Standard Social qui l’entoure; il n’est pas difficile de s’apercevoir qu’au fond, comme vous tous hommes et femmes de la Terre, il se comporte en réalité comme un véritable enfant saturé de réflexes absurdes, de réactions névrosées apparemment inexplicables, de schémas mentaux stéréotypés, de manques de logique et ce qui est encore pire : UN GRAND NOMBRE DE FACTEURS INHIBITEURS QUI VOUS EMPÊCHENT D’ÉVOLUER MENTALEMENT.
Ce dernier point est très grave : quand la majorité des gens dépassent l’âge de 25ou 28 ans, ils sont déjà porteurs d’une image du Monde Social qui les entoure. Ils acceptent une idéologie politique ou religieuse et après avoir cherché une explication à toute une série de faits sociaux et de problèmes philosophiques, ils se plongent alors dans une attitude d’immobilisme mental, incapables de continuer à lutter pour la recherche de la liberté. Si vous êtes fascistes ou marxistes ou athées ou d’une croyance religieuse déterminée, vous vous protégez face à d’autres positions qui vous semblent inexplicables et si innocentes que vous pensez que les adeptes de ces religions sont dans l’erreur car ils sont moins intelligents ou ont un manque d’imagination.
Et le paroxysme de la naïveté et d’absence d’équilibre intellectuel, quand des personnes à l’esprit agile se libèrent de ces FACTEURS INHIBITOIRES en passant par une autre idéologie en qualité de converti ou de nouvel adepte, il ne manque pas de gens pour les traiter de transfuges et pour les accuser de « tourner la veste » même si cet individu, en évoluant, ne l’a pas fait pour des avantages économiques ou une meilleure position sociale, auquel cas cette accusation aurait un certain fondement.
Le grave défaut des systèmes pédagogiques terrestres se trouve dans le fait que des personnes avec une grande formation intellectuelle continuent encore à être esclaves de vices sexuels ou d’autres de moindre importance comme le tabac, avec des normes de vie très peu sincères dans lesquelles il n’y a pas la moindre cristallisation d’un authentique intérêt et d’une véritable inquiétude pour l’injustice sociale, avec un durcissement spirituel honteux envers les malheurs des gens qui nous entourent AVEC UNE INEXPLICABLE INTOLÉRANCE ENVERS CEUX qui brandissent les bannières progressistes POUR UNE SOCIÉTÉ PLUS JUSTE. Faute qui se reflète même dans la vie quotidienne quand vous êtes incapables même de sélectionner les aliments les plus adaptés et les plus riches en calories, et qui sont souvent les plus économiques.
Peut-être vous écoutez-nous assombris et amoindris devant le torrent d’accusations et même en levant humblement les yeux vers nous en suppliant un peu de lumière. Comme si vous nous disiez :
Que pouvons-nous faire en étant plongés dans une société qui ne nous comprend pas? Nous n’avons pas reçu une authentique formation de la part de nos parents qui à leur tour – sans en être responsables – étaient aussi saturés de préjugés et d’idées éducatives imparfaites… Si, en toute bonne foi, nous désirons commencer notre formation autodidacte maintenant que nous sommes adultes et acquérir de bons ouvrages, nous nous trouvons face à de nouveaux problèmes qui nous plongent dans le découragement.
Ce n’est pas à cause du prix élevé des manuels,c’est surtout le problème de leur sélection. Nous en voyons des milliers dans les étalages, mais quel est le plus adapté? Si nous avons recours à un spécialiste, il nous répond par une série de généralités et de concepts incompréhensibles. Si un ami nous recommande le seul ouvrage qu’il connaisse il y a de fortes chances pour que ce ne soit pas le meilleur. Sil s’agit d’un traité de vulgarisation, il nous apporte une série d’idées nébuleuses et de suggestions qui deviennent inefficaces si on essaye de les mettre en pratique. Si le texte est profond nous sommes confrontés à toute une série de concepts techniques incompréhensibles qui nous pousse à le refermer avant que d’arriver à la troisième page.. et ensuite… Que de points de vue ! Que de différences entre l’un et l’autre auteur ! Qui parmi eux a raison ?
APPARAIT ALORS UNE RÉACTION DE LASSITUDE, D’ABANDON, DE CONTINUER LA VIE TELLE QU’ELLE EST, SANS OFFRIR UNE RÉSISTANCE QUE VOUS JUGEZ INUTILE. Et c’est ainsi que surgit la plus dangereuse des idées INHIBITRICES : « attendre que surgisse en un lieu quelconque ou présenté par un quelconque homme terrestre, une FORMULE SIMPLE ET FACILE qui nous sorte de notre état léthargique « .
Répétons que cette idée est DESTRUCTRICE et DANGEREUSE. Vous avez pu vous même observer comment en vous offrant quelques orientations pour un futur proche, il n’a pas manqué de personnes qui se sont montrées IMPATIENTES, sollicitant de notre part une solution immédiate dans un rapport de quatre pages. Mais de ces personnes nous pensons qu’un tel point de vue révèle un manque total de lucidité mentale. Nous ne désirons pas blesser ces personnes, car une telle carence n’est due à aucun acte coupable; mais si nous vous invitons à ne plus nous écouter, c’est parce que Vos Cerveaux ne sont pas préparés pour assimiler ces idées. Il n’est pas nécessaire de les soumettre à un test pour corroborer cette affirmation.
Mais ne vous rendez-vous pas compte qu’un simple ingénieur des routes qui désire faire un projet et réaliser une simple autoroute, doit préalablement connaître des matières aussi hétérogènes que l’étude mathématique des clotoïdes, l’analyse granulométrique des graviers, la détermination des limites d’Attemberg dans les arcades, la résistance à l’effort coupant des sols, la stabilisation chimique des revêtements, le fonctionnement de machines comme par exemple des compacteurs de pieds de chêvre et d’extenseurs d’arrosage asphaltique. Et tout cela contenu dans des douzaines de livres techniques et des centaines de monographies en plusieurs langues.
Comparez maintenant la simplicité de structure d’une chaussée avec celle d’une émission de télévision. Et ensuite comparez celle-ci avec la terrible complexité des millions de circuits nerveux qui composent une SEULE PARTIE DE L’ENCÉPHALE HUMAIN. Est -il possible que vous ne compreniez pas la grandeur du problème jusqu’au point de solliciter frivolement qu’en deux paragraphes nous vous donnions le moyen d’ÊTRE HEUREUX ?
D48
Référence : | D48 |
Titre | REMERCIEMENT POUR PUBLIER HONNETEMENT LES ECRITS DE UMMO |
Destinataire(s) et date(s) | Fernando Sesma en 1966 |
Commentaires | Ecrite par un subordonné de DEII 98 |
UMMOAELEWE
Nombre de copies: 1
CONFIDENTIEL
Langue : Espagnol,
Mr Fernando Sesma
Madrid.
Monsieur,
Nous avons été informés de votre demande et nous allons la satisfaire.
Le prochain document sera le dernier de cette période, qui reprendra sauf ordre contraire, (ce qui est peu
probable) dans les derniers jours de septembre. Nous nous arrangerons pour que le premier document rrive
pour votre lecture durant la première session de votre SOCIETE DES AMIS DE L’ESPACE.
Dans le prochain document j’essaierai de vous apporter des éléments concernant la ré-éducation des mouvements
réflexes. Durant les mois d’été, aussi bien vous que Monsieur Dionisio Garrido Buendia, vous recevrez quelques
notes très espacées représentant un éventail des aspects de notre vie sur UMMO.
Mon supérieur en Espagne, DEII 98, fils de DEII 97, à qui je suis soumis, me demande de vous exprimer notre
satisfaction pour avoir accompli,durant la dernière session, ce qui vous avait été demandé.
Au risque de nous répéter, nous voulons insister sur le fait que vous ne devez pas interpréter notre petite
demande comme quelque chose de DESAGREABLE POUR NOUS QUAND VOUS PARLEZ DE VOS
EXPERIENCES ANTERIEURES, EN TOUTE LIBERTE. (dans d’autres réunions, chez vous ou devant les
masse-média). SEULEMENT: nous avons demandé de séparer les choses car nous pensons que même si vos
expériences sont VRAIES ou FAUSSES, cela peut provoquer certaines formes de discrédit pour des esprits qui
accepteraient plus volontiers notre identité sans ce « mélange ».
Nous vous conseillons donc une certaine modération, quand vous parlez sinon cela pourrait nuire à votre
prestige. De toute façons vous en seriez le seul perdant. Mais nous reconnaissons malgré tout le droit de pouvoir
accepter et proclamer votre propre Vérité. Nous demandons seulement à WOA de vous apporter la lumière
nécessaire pour trouver la Vérité dans vos propres limites. Jusqu’à maintenant vous nous avez démontré la pureté
de vos intentions: une franchise et un désir de sonder cette vérité, qui nous émeut réellement. C’est d’ailleurs
pour ces raisons que nous poursuivons le contact avec vous. Ceci ne veut pas dire que vous êtes le seul homme
bon que nous ayons trouvé dans votre monde troublé. Ni même que cette bonté est excempte de défauts plus ou
moins graves comme chez tout faible OEMII.
Vous nous avez tendu votre main quand en réalité vous aviez d’avantage besion d’aide que nous et en faisant
cela, vous avez accompli ce conseil de charité que votre HOMME DIEU (Jésus-Christ) vous apporta il y a
quelques centaines d’années. Vous vous êtes efforcé de divulguer des vérités que des étrangers (vrais ou de
fiction) vous ont rapporté pendant des mois. Et ceci au risque de perdre le crédit et le respect de vos parents et entourage.
Simplement parce que vous avez considéré que c’était NORMAL et JUSTE sans attendre un avantage d’ordre matériel.
Ce beau geste ne sera pas compris par de nombreuses personnes qui, avec la même mentalité que ce personnage
de la littérature espagnole: SANCHO, se moquent de vous dans votre dos. Pour WOA, la réalité de ceux dont
vous avez parlé (d’autres hommes extraterrestres) ne compte pas, seule compte votre merveilleuse pureté.
C’est pour cette raison, même si nous pensons que votre tactique a été trop aventureuse et que vous vous êtes
trop avancé face aux autres personnes, que nous avons un profond respect pour vous.
Monsieur Sesma, ne vous laissez pas embrigader par ceux qui vous conseillent de troubles tendances de
discrémination raciale ou politique. Identifiez vous au contraire à ceux (aux idéologies catholique, socialiste,
marxiste, chrétiens libres, bouddistes, fascistes, musulmans) qui dans leurs systèmes respectifs recherchent la
VERITE et luttent comme vous pour apporter à leurs semblables une vie plus juste et plus heureuse sur TERRE.
Et ce, malgré l’action corrompue de certains corrélegionnaires qui utilisent ces systèmes pour leur propre profit.
Identifiez-vous à ces frères blancs, jaues, noirs ou avec d’autres pigmentations, avec des formes neurocorticales
plus ou moins développées et au niveau psychologique inégal, mais qui luttent avec leurs armes spirituelles contre la haine , en faveur du progrès.
Votre Société AVANCE, ne croyez pas la thèse contraire, ELLE AVANCE LENTEMENT avec des CHUTES et des
RECULS , mais elle AVANCE grâce à l’action vivifiante d’hommes comme vous et meilleurs que vous.
Ceci est un fait que NOUS AVONS CONSTATE ET QUE NOUS POUVONS VOUS DEMONTRER. Pour
terminer, monsieur Sesma, je vous indiquerai que la semaine prochaine notre supérieur aura avec vous une
courte entrevue téléphonique pour vous faire ses adieux jusqu’à la rentrée.
NOUS AVONS RECU DES INSTRUCTION QUE NOUS DICTONS A LA SUITE/ VOIR PAGE SUIVANTE.
**********
D49
Référence : | D49 |
Titre | FELICITATIONS POUR FAIRE CONNAITRE DES FAITS OBJECTIFS SUR UMMO. ATTITUDE DE MONSIEUR SESMA FACE AUX TEXTES UMMITES. |
Destinataire(s) et date(s) | Joaquin Vlades Sancho en 1966 |
Commentaires |
Langue: Espagnol,
- Joaquin Valdes Sancho
MADRID.
Monsieur,
Nous avons suivi ces dernières semaines, dans la revue que vous dirigez, une série d’articles concernant la
civilisation de notre Planète UMMO. Comme vous le savez, le texte a pour base une série de documents que
nous avons régulièrement envoyé à Monsieur Fernando Sesma Mansano.
Un ordre de mon supérieur m’amène à vous exprimer nos cordiales félicitations pour l’objectivité avec laquelle
vous avez accepté des déclarations de ce type. On aurait pu attendre en effet une attitude de scepticisme logique,
de censure prudente envers des manifestations qu’un grand nombre de gens et de lecteurs considèrent comme
apocryphes et ayant comme seul but d’offrir une pincée de sensationnel à des individus peu intelectuels mais à la
fantaisie débordante.
Mais cette réserve mentale a été suffisament flexible pour tolérer votre publication, dans laquelle vous faites
preuve -nous le répetons- d’un esprit critique élevé et d’impartialité dans les critères peu habituels.
Il importe peu -comme cela a été insinué dans quelques apostilles- que vous ne comprariez pas complètement les
points de vue de monsieur Sesma, et d’avance nous pensons que les deux positions sont imprégnés d’une logique
rigoureuse. Des idées et des informations comme celles que nous sommes en train d’apporter à monsieur Sesma,
sont au début si surprenantes pour vous que si elles ne sont pas confirmées par une riche gamme de preuves
scientifiques ou de témoignages de garanties, elles peuvent et doivent être interprétées comme étant l’oeuvre
d’un farceur, comme étant des idées délirantes d’une mentalité paranoïaque ou tout au moins un habile
subterfuge d’un journaliste ou d’un publicitaire sans scrupules. Quand une nouvelle rompt le cardre normal de
vraissemblence et qu’elle manque d’éléments de jugement pour mesurer et valider sa réalité, tout esprit équilibré
a le droit d’adopter une attitude de méfiance justifiée. Nous ne devons jamais accepter un simple témoignage sans
les arguments qui le consolident. Et, si malgré tout, une telle affiramtion était prouvée, il serait injuste de préjuger
notre position comme étant d’une étroitesse mentale.
Mais il est aussi possible d’avoir la position de celui qui tolère « a priori » n’importe quelle version, pour ensuite
l’analyser sans pasion et soigneusement pour rechercher la Vérité.
En fait, tout enquêteur compétent utilise cette méthode dans ses analyses. Ceci fut précisément le critère de
monsieur Sesma et aussi notre ligne de conduite qunad une série antérieure concernant les »extra-terrestres »,
nous prîmes connaissance de sa version sur certains contacts établis par ce monsieur à cette époque.
Nous, nous sommes originaires d’un autre astre habité, nous ne vous cachons pas que depuis notre arrivée sur
Terre et après avoir dépassé une angoissante étape dans laquelle les difficultés de langage et d’adaptation
atteignirent pour nous des niveaux véritablement dramatiques, nous fûmes surpris par les nouvelles publiées par
la presse à cette époque concernant le fait que d’autres soi-disant vaisseaux (ou soucoupes volantes)(et bien
entendu ce n’était pas les nôtres) arrivaient continuellement sur Terre.
En voyant cette perspective : C’est à dire en constituant nous mêmes un vivant exemple de cette réalité, nous ne
pouvions pas facilement accepter l’hypothèse -en vogue chez les spécialistes et scientifiques terrestres- selon
laquelle ces prétendus disques lumineux étaient de simples illusions sensorielles (aérolythes, ballon-sondes,
phénomènes atmosphériques, images circulaires réfractées, hélicoptères, farces de certains habitants, ou simples
hallucinations de perturbés mentaux), et ce, même si nous partageons l’opinion selon laquelle un certain
pourcentage de cas tendrait dans ce type d’explications.
Mais nous devons vous confesser que nous avons été déçus car nous n’avons pas pu établir le moindre contact
avec eux sur cette Planète, malgré la gamme, assez riche, d’expériences à notre disposition. C’est pour cette
raison que notre attention a été attirée par les commentaires de professeur Sesma, même s’il y avait des éléments
peu fiables, des affirmations beaucoup plus puériles que scientifiques, des spéculations dans lesquelles
l’astrologie, la magie et la mauvaise interprétation de symboles, étaient mélangées avec d’autres indices qui
attirèrent fortement notre attention. Il nous a suffit de débrousailler un peu ses récits et de réaliser une soigneuse
étude sémantique de sa prose d’une part, et d’autre part de faire une recherche concernant la psychologie et
l’identité de ce monsieur, pour arriver aux conclusions suivantes :
1) dans ses récits, monsieur Sesma ne ment pas délibérémment, même si ses commentaires manquent de critique
scientifique et ont par contre un excès de naïveté.
2) l’interférence d’un ou de plusieurs farceurs ou individus mal intentionnés était évidente; Ceux-ci, en profitant
de l’attitude ouverte de l’auteur, utilisèrent ses premiers récits pour ajouter des versions aberrantes.
3) Malgré ces quelques facteurs négatifs, la réalité de ses contacts était plausible. Elle était renforcée par certains
détails qui, tout en semblant secondaires, ne pouvaient pas être l’oeuvre de Sesma ou des farceurs dont nous
avons déjà parlé.
Devant cette situation et parce qu’à cette date nous avions établi de prudentes et sobres relations avec quelques hommes de
science et contacté des instancescCulturelles de certains Pays (nous ne cachons pas l’incrédulité normale d’une partie d’entre eux), nous avons reçu des instructions formelles de débuter les contacts avec l’espagnol M. Sesma Manzano.
Les premières réactions de réticence de sa part confirmèrent notre supposition qu’il ne s’agissait pas d’un homme trop crédule bien que nous maintenions le point de vue retenu en second lieu. Sauf à lui apporter une série de preuves propres à vaincre sa méfiance naturelle.
Actuellement, mon Supérieur en Espagne poursuit avec ce monsieur de fréquentes conversations téléphoniques et lui dicte périodiquement des rapports sur la civilisation de UMMO, en utilisant les services mécanographiques d’un de vos fidèles compatriotes et que nous autoriserons un jour à témoigner de ses relations avec nous.
Réellement le destin de ces rapports sera orienté sur le groupe de personnes intéressées que le M. Sesma réunit et dirige depuis plusieurs années.
Quoique nous craignons raisonnablement que son initiative de révéler au public ces documents n’ait pas les résultats espérés nous nous abstenons de freiner son enthousiasme.
Nous pensons que M. Sesma considère ce que nous avons à dire, comme ce que vous appelez » une carafe d’eau fraîche « , mais si vous avez le moindre soupçon que ces révélations peuvent causer un « impact » sur la masse des lecteurs ou les faire sortir de leur gond, générant une psychose collective aux graves conséquences, nous nous verrions obligés de freiner par notre silence cet improbable enthousiasme populaire pour les raisons que M. Sesma lui-même a pu constater dans nos écrits.
YU 1, fille de AIM 368 et à qui nous sommes soumis, à tous les éléments de cette avancée de UMMO sur TERRE, vous envoie son cordial salut. Ainsi je sollicite votre action.
Ecrit DAA 3, fils de EEYEA 502
Par ordre de DEII 98, fils de DEII 97
D50
Référence : | D50 |
Titre | REMERCIEMENTS POUR L’ATTITUDE AMICALE DE SESMA ENVERS LES UMMITES |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en 1966 |
Commentaires | Signée de IEREE 86 |
UMMOAELEWE
A Fernando Sesma Manzano.
Monsieur,
Mon nom est (exprimé en caractères terrestres et en prononciation espagnole) IEREE 86 engendré par IEREE 82. Il n’y a pas très longtemps que je suis à Madrid, et cette belle ville ibérique ne m’est pas encore très familière.
Monsieur, avant ma venue dans votre capitale, mes frères m’ont parlé de vous en termes élogieux. De plus, notre Directrice, à laquelle je suis soumis, m’a recommandé très expressement, et en vous priant de ne pas l’interpréter comme une simple formule de courtoisie, mais comme une authentique expression de nos sincères réactions d’affection positive, celle-ci m’a donc recommandé de toucher symboliquement votre poitrine comme l’interprétation de notre alliance spirituelle avec votre cerveau.
On m’a lu une belle poésie que vous avez eu la gentillesse de nous dédier, vous êtes le seul terretre parmi les nombreux avec qui nous sommes en contact depuis une décade, dont les sentiments envers nous se sont orientés vers une syntonisation animique inespérée pour des êtres comme nous, dont l’unique objectif au départ fut de réaliser une étude méthodique et scientifique de la Civilisation de la Planète Terre.
Votre extraordinaire sensibilité, votre amour irrépressible envers le UAAM (c’est ainsi que nous appelons l’univers) nous ont surpris et émus par dessus tout. Il y a quelques jours, tous les frères de UMMO qui sont sur Terre, nous étions réunis dans la Cité d’ADELAIDE en Australie Méridionale. On était en train de me donner des instructions pour mon voyage en Espagne car je n’avais jamais été dans ce pays. Quand mon frère DEII
98, engendré par DEII 97, devant notre Supérieur IUU 1 engendrée par AINM 368, me dictait la liste des espagnols en contact avec nous, je lui ai demandé en ce qui vous concerne: quelle spécialité scientifique ou philosophique possède-t-il ? (vous n’ignorez pas que notre UMMOAELEWE nous donna des instructions très précises pour réduire nos contacts à seulement des hommes terrestres spécialisés dans le domaine de la Science Pure, de la Pensée, de la Technique et de l’Art).
Ma jeune supérieure à qui je suis soumis me répondit:
» Cet homme est noble. Cet homme aime l’Univers: Cela suffit! »
Vous pouvez être sûr que dans ces paroles elle exprimait de nombreuses idées que vous ne pouvez pas deviner même si vous voulez juger leur laconisme immédiatement, ils m’ont offert une longue série de références
sur vous. Je connaissais votre poème depuis quelques jours, avant qu’il ne soit remis à UMMO. Pour nous, un geste comme celui-ci enferme un riche contenu émotionnel. Je savais que le poème était l’oeuvre d’un espagnol nommé Sesma mais j’ignorais sa personnalité. Jamais aucun terrestre, parmi ceux avec qui nous avons établi des
relations verbales ou postales, n’a essayé d’être à l’écoute avec nous d’une manière spirituelle.
Votre belle tentative d’établir un pont spirituel à travers des images poétiques ne sera jamais oublié de notre part.
La traduction que nous avons fait pour nos frères de UMMO ne serait peut-être pas à votre goût. En vérité nous aimerions que si vous arrivez à posséder certaines connaissances linguistiques de notre langue, vous puissiez faire vous même les corrections pertinentes. Vous comprendrez que cette poésie est un document très cher pour
l’histoire des relations entre les deux Planètes.
Nous ne voulons pas réaliser une critique de sa valeur littéraire. Il nous est d’autre part très difficile de coordonner nos sentiments esthétiques, notre mesure littéraire avec ceux de l’homme de la Terre.
Si vos strophes étaient vulgaires, elles ne perdraient pas de leur valeur pour nous car notre geste serait le même.
Mon frère DEII 98, engendré par DEII 97, parlait de vous avec tristesse en pensant à ce que vous auriez pu être avec une éducation rationnelle, avec une formation religieuse intégrale, avec des moyens didactiques orientés vers le champ de la Pensée correspondant à votre psychisme, semblables à ceux que nous avons nous.
Il ne voulait pas blesser votre modestie d’homme-enfant(et vous comprendrez que le qualificatif d’enfant n’est absolument pas péjoratif) et pour cette raison je préfère taire mes propres sentiments. Comme terrestre qui ne connait pas notre mentalité, vous pourriez les juger comme étant de l’adulation ou tout au contraire : une
blague.
J’aimerais entendre votre voix, parler avec vous. Mais ma supérieure m’a interdit d’établir un contact téléphonique verbal avec quiconque jusqu’à mon retour sur UMMO et le frère qui m’accompagne ne connait
pas l’Espagnol. Mes frères qui sont hors d’Espagne reviendront bientôt. Mon voyage actuel, après avoir passé des années en Amérique du Sud obéit à mon prochain retour sur UMMO. Malgré tout il est possible que mon frère actuellement en Espagne, communique avec vous même si son langage sera inintelligible (pour vous).
J’ai des ordres précis de suspendre toutes les communications que nous avions avec divers hommes d’Espagne.
Il n’y a qu’à vous, par déférence spéciale, que nous écrivons aujourd’hui ces paragraphes.
Mais immédiatement après l’arrivée de nos frères (j’ignore si nous serons déjà partis à ce moment là), les différents hommes de science de ce pays, vous et d’autres personnes continueraient à recevoir des rappports périodiques faits avant le départ de mes frères.
Actuellement je suis en train de me familiariser avec cette Capitale dont je n’avais que des références littéraires et graphiques sans jamais y avoir mis les pieds. L’unique espagnol que j’ai pu connaitre ici est un jeune avec qui
mes frères étaient en contact et avec qui je me trouve maintenant.
Rien ne m’aurait fait plus plaisir que de vous voir et de mettre ma main sur votre poitrine.
Mais nous ne pouvons pas satisfaire tous nos désirs et j’ai accepté quand mon supérieur refusa pour des raisons trop longues à expliquer.
D51
Référence : | D51 |
Titre | PREMIERE NOTE DE PRESENTATION. REACTIONS DE SCEPTICISME. ANNONCE D’UN APPEL TELEPHONIQUE |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA et PASA le 10/11/1966 en espagnol |
Commentaires |
UMMOAELWE
Monsieur Enrique Villagrassa Novoa,
il est probable que l’affirmation qui suit vous remplisse de perplexité. Il est probable aussi que vous adoptiez immédiatement une attitude scéptique ou tout au moins réticente.
Nous sommes originaires d’un Astre lointain. Une Planète que nous appelons UMMO -expression phonétique-située à une distance approximative (de la Terre) : DISTANCE APPARENTE, c’est à dire celle que suivrait un faisceau cohérent d’ondes électromagnétiques dans l’espace Tridimensionnel:
d=14,4368 +ou- 0,06 années-lumière.
Nous avons pleine conscience de la grave transcendance qu’une telle affirmation peut supposer chez vous. Vous ne serez donc pas surpris si nous vous disons que quand nous avons remis des documents et des notes comme celle-ci à des hommes de différents niveaux intellectuels et sociaux, à des scientifiques, des moines, des écrivains, des penseurs, des techniciens, des employés etc… leurs réactions normales ont marqué un ton répressif évident à l’encontre de la véracité de notre témoignage.
Cette radicale position de scepticisme, d’incrédulité à outrance, est évidente. L’intellect humain réagit avec des mécanismes de défense psychologiques bien définis face à une constellation de perceptions illusoires qui peuvent avoir été crées par un mythomane, une personnalité psychopate, un individu intelligent dont son sens de l’humour trouve cette voie originale pour canaliser ses désirs de se divertir de la naïveté de ses frères.
Si un jour Pauling Linus frappe à votre porte, que vous le recevez dans votre hall, et qu’il vous débite sans préambules que sa profession s’oriente dans le domaine de la Physique-Chimie et qu’il n’y a pas longtemps il vient de recevoir le prix Nobel Suédois de Chimie, personne ne pourra vous reprocher de téléphoner à un établissement psychiatrique.
Monsieur; épisodiquement, nous nous mettons en contact avec différentes personnes dans différents pays de la Terre. En Espagne, concrètement nous avons choisi ces jours-ci deux personnes dont la curiosité et l’intéret pour l’habitabilité d’autres points de notre Galaxie sont bien connus.
L’un d’eux est écrivain, auteur de pièces de théatre: Alphonso Paso. L’autre : c’est vous.
Nous craignons beaucoup que vous n’acceuillez ces lignes avec un sourire narquois et que vous dénaturiez nos bonnes intentions à votre égard.
Nous vous appelerons par téléphone une autre fois. Nous ne sommes pas autorisés à dialoguer avec vous pour l’instant.
Dites nous simplement ce que vous pensez de cette affaire. Faites le franchement, noblement.
Si, malgré les apparences, votre objectivité et le réalisme de la situation vous mettent dans une position d’analyse, avant de risquer un jugement dogmatique, avant de nous qualifier définitivement de déments ou farceurs, demandez-nous par téléphone une information concernant un thème scientifique, religieux, philosophique etc… qui vous interesse spécialement.
Dicté au mécanographe par:
DA 3, fils de EYEA 502
Soumis en Espagne …:
DEII 98; fils de DEII 97
Soumis …
YU 1, fille de AIM 368
En Australie.
Un document similaire a été remis en même temps …:
- Alfonso Paso Gil, avenida de la Habana 27,
Tel: 2500919, Madrid 16,
ESPAGNE.
D52
Référence : | D52 |
Titre | AUTOUR DU CONCEPT DE L’ESPACE. CHAMPS DE FORCES ISOTROPES. PERCEPTION ILLUSOIRE DE L’ETRE SPATIALE. SYMETRIE ENANTIOMORPHE DU COSMOS, AVEC SON ANTI-COSMOS |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA le 28/11/1966 |
Commentaires | Envoyée de Madrid |
UMMOAELEWE
Nombre de copies:1
Monsieur Enrique Villagrasa
Madrid Espagne
Langue:Espagnol
AUTOUR DU CONCEPT DE L’ESPACE:
Monsieur:
Vous pouvez imaginer l’énorme complexité qu’un thème apparemment aussi facile que celui du concept de l’espace, peut représenter pour pouvoir l’exposer en quelques feuilles mécanographiées.
Nous voulons ainsi répondre à votre demande formulée téléphoniquement.
Tout au long de ces paragraphes vous pouvez vérifier qu’une partie des affirmations sont déjà connues des spécialistes terrestres en Cosmologie, Physique et Philosophie. Le reste correspond à notre patrimoine scientifique. Comme nous ignorons votre niveau culturel, nous commencerons notre rapport par quelques concepts fondamentaux connus des scientifiques terrestres. N’importe lequel de vos frères spécialisés dans les Sciences Physiques, Astronomie et Mathématiques pourra développer ou vous expliquer en détail ces idées.
Quiconque se contemple dans une glace observera que l’image qu’il contemple de lui-même N’EST PAS IDENTIQUE A CELLE QU’UN FRERE contemple de nous-même. (L’être imaginaire que nous regardons est pour le moment « sourd »).
Il suffit d’exposer une page écrite devant le miroir pour corroborer ce que tous les frères ont vérifié sans y donner une grande importance. Le miroir semble transposer la gauche sur la droite. Un quelconque étudiant de UMMO pourrait parler longtemps sur cette particularité et nous pensons que pour une personne terrestre cultivée il n’y a là rien d’énigmatique non plus;
Mais, il y a peu de temps, un de nos frères qui se trouvait aux Etats Unis nous informa, surpris, qu’un essayiste nord-américain avait écrit un livre de divulgation scientifique dans lequel il exposait le problème suivant :
Si une personne est capable de voir dans le miroir sa droite et sa gauche inversées, pourquoi ne voit-il pas aussi inversés le HAUT et le BAS et ne se contemple-t-il pas dans le miroir avec les pieds en haut ?
Il semble qu’aux Etats Unis, seulement 2 % des personnes consultées donnèrent une réponse satisfaisante (INDIVIDUS ADULTES).
Seulement 38 % d’un groupe composé exclusivement d’experts et d’étudiants en Physique, Psychiatrie et Mathématiques répondraient rapidement.
Ceci illustre parfaitement que si un grand pourcentage de personnes terrestres ne sont pas préparées pour comprendre certains concepts fondamentaux en liaison avec la symétrie spatiale, la vision d’images et la perception au niveau neurocortical, ils pourront encore moins analyser des raisonnements en rapports avec les Mathématiques Supérieures.
Quand deux objets sont symétriques par rapport au plan, nous disons d’eux qu’ils sont INNUO VIAAXOO (ENIANTIOMORPHES). voir image 1.
(Image 1)
Il est facile d’observer que ces deux objets ne peuvent se superposer malgré que leur identité morphologique soit évidente : vous pourriez vous-même, sur Terre, sélectionner des milliers d’exemples (chaussure droite et chaussure gauche, vis lévogyre et vis dextrogyre, les deux oreilles de l’OEMII (corps) etc…
Evidemment, de nombreux corps INNUO VIAAXOO (énantiomorphe) sont superposables quand leur morphologie est symétrique : exemple les deux pyramides de l’image 2.
(Image 2)
Un vrai champs de forces est-il symétrique ? (1) Tout corps qui peut se diviser en deux parties identiques ou INNUO VIAAXOO (énantiomorphe) au moyen d’un plan de superficie idéale, nous disons qu’il est AA INNUO (symétrique) image 3…
(Image 3)
Sont AA INNUO (symétriques) l’OEMII (corps humains sauf différences physiologiques secondaires) et les polyèdres réguliers parmi de nombreux autres corps idéaux et réels.
N’importe quel étudiant en Sciences Physiques et Exactes pourrait définir le concept de champ dans sa version terrestre.
Imaginez que dans une « région » du Cosmos exempte d’astéroïdes, poussière cosmique, gaz etc. nous mettions une sphère métallique.
Apparemment rien n’a varié aux alentours, mais si maintenant nous mettons à 114 ENMOO de distance une autre petite sphère, celle ci est attirée vers la grande sphère avec une force que vous appelerez gravitatoire.
Répétons l’expérience en différents points A, B, C, …; de cette région cosmique. Plus près nous mettrons la petite sphère, plus grande sera la FORCE d’attirance, et par conséquent sa vitesse vers la masse centrale.
(1) vous considérez le champ isotrophe. C’est faux, voir rapport suivant.
Vous définirez le champ de force comme la région environnante à la sphère où se manifeste un tel phénomène. Région dont le rayon est infini (image 4).
(Image 4)
Vos physiciens ont l’habitude de représenter graphiquement un champ par des points auxquels on assigne un symbole qu’ils nomment vecteurs (dans ce cas VECTEURS-FORCE). On assigne à la sphère centrale représentée par le point M (image 5) le caractéristique de MASSE INERTE CREATRICE de ce mystérieux CHAMP GRAVITATOIRE.
Inévitablement, de graves interrogations surgissent face à un concept si pauvrement exposé.
Qu’est-ce que la MASSE ? Tout corpuscule, tout corps possède-t-il une MASSE INERTE ? Quelle est la nature réelle de ces forces mystérieuses ? Quand nous prenons un objet, nous savons qu’il a un volume et en même temps qu’il « pèse », « possède une masse ». MASSE et VOLUME ou ESPACE sont-ils une même chose ou du moins ces deux concepts sont-ils liés intimement sans que l’on puisse concevoir un objet volumineux sans masse et vice versa ?
Cette grande confusion surgit inévitablement quand nous partons de la base fausse selon laquelle l’espace est une entité différente (étrangère) de nos phénomènes mentaux comme la SENSATION et la PERCEPTION.
L’espace existe-t-il EN DEHORS de NOTRE personnalité PSYCHIQUE ou bien est-il une illusion de nos sens ?
Répondre par oui ou par non serait une grave aberration. NOUS sur UMMO savons vraiment qu’il existe une REALITE en dehors de nous-mêmes, qui stimule notre cerveau et développe un processus mental que nous appelons BUAWAIGAAI (PERCEPTION).
Mais cette réalité est aussi différente de la PERCEPTION MENTALE qu’une montagne l’est du mot M-O-N-T-A-G-N-E, qui sert pour la représenter.
Ce concept n’est pas étranger à vos hommes de la Pensée et de la Science : observez quelques exemples : qu’y-a-t-il de commun entre la COULEUR (PERCEPTION) et l’onde électromagnétique qui stimule notre rétine ? La couleur est un pur phénomène psychologique. Il n’existe pas en dehors de notre MOI, et même il y a le paradoxe que des trains ondulatoires provoquent des perceptions différentes. Ainsi quand le stimuli vibratoire est de 398 (millimicrons) terre, nous l’interprétons comme une tâche de couleur rouge mais s’il arrive à notre épiderme avec une longueur d’onde plus grande (image 6) « nous sentons de la chaleur »; quelque chose de très différent du CHROMATISME.
(Image 6)
Une même réalité extérieure provoque des illusions différentes.
Aussi l’ESPACE en tant que tel est une autre illusion de nos sens. Oui, il existe un « quelque chose » extérieur qui provoque cette perception psychologique mais ce « quelque chose » est réellement aussi différent de notre concept illusoire de l’espace qu’un train d’ondes l’est de la tâche verte ou jaune que perçoit l’esprit.
Et nous vous disons de plus : vos spécialistes se sont acharnés à différencier les concepts CHAMP de FORCES et ESPACE comme réalités différentes. Vous admettez que les voies nerveuses masquent la sensation FORCE et la sensation ESPACE et élaborent un complexe d’équations mathématiques pour définir ce « quelque chose » extérieur à notre MOI appelé CHAMP GRAVITATOIRE, MAGNETIQUE et ELECTROSTATIQUE et cet autre « quelque chose tridimensionnel ou N dimensionnel appelé ESPACE.
Vous savez qu’on ne conçoit pas un CHAMP de FORCES sans ESPACE est affecté par ces champs.
De plus nous affirmons que CHAMP DE FORCES et ESPACE s’identifient : on ne peut concevoir un UNIVERS étranger au notre dans lequel : parce qu’il n’existe pas de corpuscules, il n’existe pas non plus « des déformations de cet espace » que nous appelons CHAMP.
Pour être plus concrets : l’action du champ gravitatoire est celle qui, en stimulant nos terminaisons nerveuses et en conduisant à travers les neurones une série d’impulsions codifiées jusqu’à notre écorce cérébrale, fait surgir dans notre conscience cette illusion que nous appelons ESPACE.
C’est pour cela que quand nous parlons de dimensions pour définir l’espace, évitez de croire que la dimension longueur dans le WAAM (cosmos) est telle que nous l’imaginons dans notre esprit.
Comme ceci pourra exiger continuellement un effort mental considérable, tout au long de rapport (par commodité) vous pouvez admettre que la longueur d’une ligne droite est synonyme de dimension et d’une certaine manière, c’est exact.
Nous vous parlerons aussi de la perception spatiale, de la manière dont nous concevons le WAAM décadimensionnel, de ce qui est le véritable concept d’asymétrie de notre WAAM (Cosmos) qui le convertit en ENANTIOMORPHE du WAAM (anticosmos).
Nous vous expliquerons comment nous polarisons les subcorpuscules pour rendre possible le voyage spatial en utilisant la combine de l’espace et nous vous parlerons aussi des véritables distances qui permettent de réaliser de tels voyages.
D53
Référence : | D53 |
Titre | Enquête des Ummites sur Saliano. Arrrivée sur la Terre en 1946 d’entités issues d’une Planète située à 96,885 années-lumières |
Destinataire(s) et date(s) | SESMA en décembre 1966 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Nombre de copies : 1 TRES CONFIDENTIEL – NE PAS
- Fernando Sesma Manzano FAIRE CONNAITRE LE CONTENU
MADRID ESPAGNE AVANT DEUX ANS
Monsieur,
Aujourd’hui nous recevons votre pétition exprimée lors de la dernière réunion qui a eu lieu dans les sous-sols du café LEON de la rue Alcala de Madrid (Espagne), et nous désirons la satisfaire d’une manière OFFICIEUSE.
Dans un autre document à part nous répondrons à une question et vous pourrez librement divulguer son contenu.
Avant tout, nous voulons exprimer notre tristesse car nous sommes obligés de nous engager dans un dédale d’explications peu intéressantes, alors que d’autres valeurs beaucoup plus interéssantes devraient focaliser l’attention des Terrestres. Vous devez bien penser que quand nous adoptions des décisions c’est pour des raisons très graves et exemptes de tout élément de vengeance ou de motivation infantiles.
Vous avez très bien compris que notre seule démarche est la Logique Formelle que nous appelons AADOAUGOO, non pas parce que nous mésestimons la possibilité de l’existence d’autres langages logiques, mais parce que celui ci est le seul qui nous a permis un développement cohérent et une « captation » objective de la
Vérité Scientifique dans la mesure où le temps et notre cadre Planétaire a rendu la chose possible.
Notre attitude par rapport à vous ne doit donc pas être considérée comme une sanction de votre conduite mais comme un simple moyen de défense face à vos motivations et vos formes de conduite par rapport à nous.
Nous croyons que vous partagerez avec nous la véracité de ces faits :
Nous vous avons supplié plusieurs fois de ne pas mélanger dans vos causeries et dans vos réunions, des allusions à des expériences antérieures concernant d’autres extra terrestres (vrais ou faux ).
Vous avez plusieurs fois accepté notre supplique et vous vous êtes comporté d’une manière chevaleresque, en nous ouvrant les portes de votre réunion et en polarisant l’assemblée sur notre Histoire Philosophique, sur notre Science et notre Technologie communiquée par nous sous forme de documents.
Mais, en d’autres occasions, vous avez violé cet accord tacite jusqu’au point où vous avez exprimé publiquement et à plusieurs reprises (le mardi , jour de votre réunion) que dans le futur la réunion serait consacrée exclusivement au thème de notre Expérience, sans respecter entièrement toutes les dates
successives.
De nombreuses fois nous avons insisté en vous avertissant que la situation était embarrassante pour nous et que nous pensions sérieusement couper toute communication, et votre réaction fut de modérer votre activité pour ensuite recommencer comme avant.
En réalité vous n’avez jamais souscrit un compromis par écrit, vous n’avez jamais formulé que vous accompliriez toutes nos exigences. Pour nous vous n’avez pas commis de fautes graves, car nous avons toujours voulu que vous vous sentiez libre d’adopter toute décision.
Mais par contre vous avez formulé oralement ce compromis de silence que vous n’avez pas respecté ensuite vis -à-vis de vos propres frères.
Nous avons même entendu des plaintes concernant votre volubilité.
Nous vous avertissons fraternellement qu’en effet votre manque de responsabilité peut diminuer votre prestige vis-à-vis de vos amis et de vos familiers.
Nous vous répétons donc que pour nous, vous n’avez commis aucune faute car en faisant agir votre libre-arbitre, votre conduite n’a pu violer que le respect envers des amis ou les suppliques d’êtres qui ne sont pas nès sur cette Planète, mais nous reconnaissons aussi les mobiles de cette conduite qui sont bloqués dans les zones les plus obscures de votre psychisme.
A notre avis il n’y a pas eu d’intentions perverses mais seulement un ardent désir de se sentir libre de tout compromis formel vis-à-vis d’êtres en dehors de votre Moi.
Mais nous avons été cohérents dans notre conduite.
En vérifiant plusieurs fois que vos affirmations concernant le fait d’occulter les allusions à Saliano ou à d’autres expériences (dont les allusions au sein de la réunion allaient à l’encontre de nos objectifs) sont devenus rapidement des affirmations gratuites, nous avons adopté la décision d’une rupture conditionnée.
Votre incontinence verbale nous oblige donc à douter de vos promesses orales.
Non pas parce que nous pensons que vous êtes incapable de dépasser cette tare ni parce que nous jugeons que vous êtes capables de violer consciemment votre parole donnée.
Au contraire, nous avons de vous un portrait psychique bien défini et qui vous est très favorable au niveau de votre honnêteté et de votre indépendance de critères.
Ce n’est pas de l’adulation car nous adoptons le critère d’informer véritablement de juger avec probité.
Nous savons par exemple que vous souffrez d’états transitoires d’amnésie qui vous posent des problèmes pour certaines formes de conduite.
Vous avez formulé pour la ènième fois lors de la dernière réunion la proposition de ne pas ménager des éléments étrangers au cours de vos rencontres.
Quelle garantie avons nous à ce sujet, Puisque cette même proposition n’a pas été respectée dans le passé ?
Nous espérons donc que cette fois ci cette proposition sera respectée.
Si pendant quatre semaines il en est ainsi, nous ne verrons pas d’inconvénients à continuer à vous remettre nos documents. Nous exigerons cependant que les destinaires de ces messages vous fournissent des photocopies.
De plus notre respect et notre déférence envers vous, nous interdisent de refuser de répondre à vos trois questions. Et ce dans la mesure de nos possibilités.
Votre demande de continuer à recevoir des documents sera satisfaite en fonction du respect concernant notre supplique.
Vous nous demandez en plus à quelle expérience nous nous référons quand nous disons qu’elle peut être vraie.
Tout au long de ces derniers mois vous avez pu observer que sur ce point nous avons adopté une attitude que vous pourriez qualifier de « sybilline ».
Nous, nous n’aimons pas les positions d’ésotérisme.
Quand nos paragraphes où nos conversations téléphoniques montrent des réticences, des réserves ou une attitude évasive, il y a derrière ces restrictions mentales deux types de mobiles :
-des précautions pour des motifs de défense ou pour éviter des maux plus grands à nos frères terrestres si nous dévoilons la vérité.
-une réserve mentale face à la tentation de divulguer ou simplement de formuler une affirmation non démontrée définitivement ou en cours de révision ou d’étude.
Ce dernier type de motivation nous a obligés à nous montrer très réservés avant de vous faire des déclarations.
Les terrestres sont en règle générale très enclins à adopter comme vérités des concepts qui en sont encore au stade embryonnaire.
Nous avons peur ( et avec de très bonnes raisons) que vous interprétiez mal les explications qui suivent.
Tous ont en commun le fait que nous ne pouvons pas garantir leur authenticité tant qu’elles n’ont pas été définitivement vérifiées. Même si vous désirez que nous soyons plus explicites, nous nous limiterons pour l’instant à vous faire un résumé de nos investigations. Mais prenez en compte le fait que nous
n’avons pas consacré beaucoup de temps et beaucoup d’intérêt à cette affaire.
Nous désirons que ce résumé demeure secret jusqu’à ce que sa rédaction définitive soit vérifiée par notre étude.
Nous vous supplions affectueusement de ne pas en parler à vos frères, amis et familiers.
Quand nous avons établi un contact avec vous, nous n’avions qu’un seul mobile:
la découverte que dans vos allusions concernant ce mystérieux être que vous appelez SALIANO, vous faisiez allusion à des mots prononcés par lui, mais dont une analyse rapide montra l’existence d’un message codé connu par tous ceux qui ont atteint un niveau technologique capable de nous permettre de voyager au dessus des limites imposées par les phénomènes et les lois physiques d’un cadre de l’Espace Tridimensionnel.
Ceci nous surprit et nous commotionna énormément.
Vous étiez une personne totalement inconnue dans le domaine de la Science et de la pensée terrestre.
Un humble écrivain, courageux et indépendant, dont un, considéré au niveau international comme l’un des plus en retard en Europe et régi par un gouvernement dictatorial statique et lié à des epxériences totalitaires nazis et fascicstes, c’est à dire que subissait les pressions qui interdisent tout dévelopement Technologiques,Scientifiques et Idéologiques; car tous les grands intellectuels du Pays se trouvent en exil où sont morts entre les mains des Oligarches comme Garcia Lorca.
Cette situation interne du beau pays Espagne nous était bien connue. C’est pour celà que nos premiers contacts le laissèrent à l’écart et même si vous n’avez pas entièrement conscience de celà, le niveau intellectuel et
scientifique de cette Nation était très en retard par rapport à d’autres moins peuplèes et avec moins de moyens, mais avec des structures sociopolitiques plus équilibrées.
Qu’un espagnol puisse avoir des contacts de cette nature nous parut surprenant car nous pensions que d’autres probables visiteurs de la Terre, en établissant des relations avec ses habitants, ne pouvaient le faire ( comme nous) qu’avec des personnalités des Nations plus évoluées dans le domaine social et scientifique.
Ce n’est pas que de tels contacts soient indispensables, mais leur probabilité atteint un seuil très faible.
Pourrait-il y avoir alors une autre solution ?
On peut élaborer plusieurs hypothèses. De telles paroles prononcées ou écrites par SALIANO concernant le contenu latent du message n’étaient pas assez révélatrices. Le message, quoiqu’assez long, pouvait être le fruit du hasard.
Cependant, cette hypothèse a toujours été difficilement acceptable car le calcul des probabilités accuse une très faible de cette possibilité de cette hypothèse.
On pouvait aussi penser que vous pouviez connaitre un tel message et qu’il ne fut alors agi de l’envelopper avec un « vêtement » linguistique seulement déchiffrable par un spécialiste en cryptographie qui ne pouvait être qu’un extraterrestre.
Tout cela nous amena jusqu’à vous. Nous vous avons soumis à une série de tests, écouté des conversations et surveillé dans vos mouvements. Nous avons été vite convaincus que la seconde hypothèse était à rejeter.
Seule demeurait la première et huit autres peu importantes que nous avons éliminées.
Mais un facteur important troublait totalement l’identité des mystérieux êtres que vous personnalisiez sous le nom de SALIANO.
Nous pouvons donc rejeter l’hypothèse d’un simple farceur. Non pas à cause des expériences dont vous avez été le témoin puisque celles ci ne nous sont pas accessibles et pourraient être soit une intervention de votre part, soit le produit d’un syndrôme psychopathologique, soit la conséquence d’hallucinations, d’effets paramétriques ou de simples farces organisées par vos familiers avec l’aide de moyens de prestigitation ou d’illusionnisme.
Nous répétons que le récit de phénomènes si surprenants et de type métapsychique ou parapsychologique ou transcendant, fûrent accueillis par nous avec une très prudente réserve et une grande méfiance. Car nous n’avions pas de preuves de ces phénomènes et la manière de les relater dans vos récits
ne suffisait pas pour nous accepter leur réalité.
Mais le message était enfermé dans des séquences de paroles en espagnol qui semblaient futiles ou qui pouvaient représenter, en dehors de ce message, un autre symbolisme qui ne nous intéréssait pas.
Mais ce qui nous surprenait dans votre expérience c’était justement la liste des faits et affirmations qui l’accompagnait.
Les informations concernant les autres planètes étaient inadmissibles. Une étude comparative nous amène à vous affirmer que de tels Astres N’EXISTENT PAS DANS NOTRE COSMOS, ni même une structure semblable.
D’autre part, le nombre d’aberrations et d’affirmations contradictoires est si évident que nous fûmes surpris par le fait que vous qui possédez une intelligence supérieure à la normale terrestre, vous ayez pu accorder un
crédit quelconque à ces idées.
Nous disions donc que nous ne désirons pas nous étendre longuement sur la tournure que prirent nos propres recherches sur deux niveaux totalement irréconciliables.
Le message codé REEL et la gamme des absurdités apparentes dont le contenu manifeste était rejetable et son possible contenu latent ou symbolique devait être soigneusement traité.
Nos conclusions ACTUELLES peuvent être résumées ainsi :
En l’année 1946 sont arrivés sur Terre des êtres originaires de l’OOYAA (Planète) que nous avons codé en l’année terrestre 1966 sous le nom de OOYAAUYTEE WEE, située dans le Cadre Tridimensionnel physique accessible par voie directe à 96,885 années-lumières de la Terre et à 107,4443
années-lumières (unité terrestre) de notre UMMO.
Nous n’avons jamais reçu de messages de la part de cette planète ni par voie de vibrations électromagnétiques ni par voie gravitationnelle.
L’objectif de ces petits individus qui se trouvent sur cette Planète ( entre 13 et 9 OEMII) est de réaliser exclusivement des expériences psychiques et parapsychiques sur les OERMII terrestres sans désirer avoir accès à d’autres domaines du COMPLEXE Culturel Terrestre.
Leur niveau technologique est inférieur au nôtre et supérieur au vôtre. Mais dans le domaine de la psychologie, ils sont beaucoup plus avancés que nous et ils accordent une grande importance aux manifestations artistiques accessibles par voie acoustique (musique et parole) et par voie gustative.
Ils ont une philosophie très particulière, monothéiste comme la nôtre, mais ils ont aussi un cadre moral qui n’est pas universel, selon lequel il n’est seulement valable que pour les OEMII qui vivent sur leur Planète.
Ils considèrent qu’il est éthique et permissible de réaliser tous les types d’expériences sur des êtres étrangers à leur planète.
Cette morale les rend très dangereux pour vous et pour d’autres planètes visitées et leur objectif actuel est de créer chez les OEMII terrestres des UTIORAA EUUNNA ( cadre psychique anormal et différent des coutûmes habituelles) pour observer les réactions des sujets soumis à une telle expérience et pouvoir connaître aussi leur psychisme.
Une telle technique est connue par nous mais à un niveau très rudimentaire.
Grâce à vous, monsieur Fernando Sesma Manzano, nous avons pû établir un contact avec l’un de ces êtres vivant à la date de nos deux entrevues (décembre 1966) à Madrid (Espagne).
Lors de ces deux réunions ils se montrèrent soucieux de ne pas nouer de relations et de ne pas collaborer avec nos frères de UMMO.
Ils avouèrent avoir un rapport direct avec l’expérience SALIANO vêcue selon eux par de nombreux hommes de la Terre.
Leur identité en tant qu’extraterrestres est évidente mais l’attitude adoptée par le seul OEMII dont nous avons parlé ( il a essayé de nous « embrigader » dans ses techniques d’expérimentation pour faire de nous de simples cobayes) ne donna aucun résultat.
Nous avons adopté un compromis formel de ne pas nous immiscer mutuellement dans les expériences d’étude que nous faisions, malgré le fait que leur attitude envers les terrestres nous paraisse immmorale.
Nous avons fait ce compromis sans garanties qu’ils soient fidèles à leurs engagements.
Tout ceci nous amène à être extrèmement réservés, car il est évident que de tels OEMII existent et que leur origine a été vérifiée indépendamment des témoignages oraux, on peut se demander jusqu’à quel point ils disent la vérité dans leurs autres affirmations.
Nous savons que de telles expériences de UUTORAA EUNNA sont effectivement en cours et nous jugeons qu’elles sont immorales, mais comme elles ne nous causent pas de grave préjudices et que les OEMII sont libres d’accéder à la vérité scientifique par leurs propres méthodes, nous préférons ne pas nous
immiscer.
Nous ne pouvons plus rien vous dire de plus. Quelques mois auparavant nous ignorions même leur existence et nous ne pouvions rien dire sur ce thème.
Même maintenant certains points ne sont pas encore éclaircis mais nous avons accepté ce compromis.
Nous vous prions de ne pas nous demander d’autres renseignements sur ce sujet.
Vous pouvez être sûr; Monsieur Sesma, que les paragraphes antérieurs contiennent la part de vérité que nous pouvons vous apporter. car si nous savons beaucoup d’autres choses sur ce thème, en parler irait à l’encontre de nos propres expériences.
Un service qui pourrait vous sembler fûtile mais qui a UNE GRANDE IMPORTANCE pour nous et c’est un conseil d’amis véritables.
Vous avez pu remarquer que quand un message est confidentiel, nous vous avertissons au début du texte: une telle réserve est une supplique sérieuse.
Vous pouvez ne pas la respecter et nous causer un préjudice grave mais : VOUS POUVEZ AUSSI LE FAIRE.
Dans ce cas nous vous demandons d’être extrèmement prudent si malgré nos recommandations vous désirez informer un ami ou un parent, faites le dans les conditions suivantes:
* en remettant le document demandez à la personne de le lire sans remuer les lèvres et en disant distraitement qu’il s’agit d’un document Ummite concernant un sujet d’emprunt (Zoologie de notre planète par exemple).
* NE PAS FAIRE DE COMMENTAIRES VERBAUX.
Si vous ne voulez pas brûler le document ( ce qui serait le plus prudent) gardez le dans une enveloppe très opaque enveloppé dans une feuille de plomb ou ( si vous n’en avez pas) dans une feuille de carton très épaisse et dans un endroit très sûr, si c’est possible hors de votre domicile. Si vous désirez le lire de nouveau, faites-le à l’extérieur, jardin, champ, Terrasse, et NON PAS CHEZ VOUS OU DANS LA RUE.
Ne nous demandez pas les raisons techniques,vous devez vous en douter.
Peut-être vous comprenez mieux maintenant notre conduite concernant les « expériences » que vous avez vécues avant de nous connaître.
Nous répétons que les conseils que nous vous avons donnés concernant ce document sont extrêmement sérieux et digne d’être suivis.
Vous nous demandez aussi des renseignements sur cette pierre de l’espace qui fut analysée dans l’ouvrage d’un moine catholique espagnol : Machado.
Nous ignorons l’origine de cette pierre. Nous n’avons pu l’avoir à notre disposition pour pouvoir analyser sa composition. Les signes qui y sont inscrits ne sont pas WAAMOO c’est à dire COSMOLOGIQUES tout au moins à notre connaissance.
Alors ils peuvent être l’oeuvre d’un civilisation extraterrestre…. tout comme celle d’un fraudeur.
Nous avons cette affaire en suspens depuis longtemps mais nous n’avons pas encore pu faire son analyse.
Nous savons donc beaucoup moins de choses que vous sur cette pierre rectangulaire.
D54
UMMOAELEWE
A Monsieur Fernando Sesma Manzano
MADRID, ESPAGNE.
PARAGRAPHES TRES CONFIDENTIELS A TOUS LES NIVEAUX.
Monsieur,
Un appel téléphonique réalisé par mon frère n’a pas eu de réponse dans la nuit du 20 Janvier 1967.
Ceci peut être dû a trois raisons:
+ vous n’avez pas reçu la lettre que nous vous avons envoyé.
+ cette lettre est arrivée et vous avez choisi, Monsieur Sesma, notre première option : ne pas accepter notre supplique.
+ Vous considérez que les conditions imposées sont excessivement sévères, que ces exigences sont contraires à votre diginité, ou que vous n’acceptez par la manière dont elles ont été dites ; ou bien vous avez reçu des ordres ou des conseils d’un tiers.
Avant tout, et s’il s’agit bien de cette dernière raison, je vous demande de ne pas mal interpréter ma façon d’agir. Malheureusement notre dernière manière d’agir est différente de celle des hommes de la Terre et certaines attitudes peuvent être douloureuses aux yeux des OEMII de la Terre.
Elles peuvent paraitre peu délicates, incompréhensives, sévères et même grossières quand en réalité la motivation occulte qui est à leur origine n’a pas de caractéristiques offensives.
Si certaines de nos attitudes sont jugées comme étant sévèrees et strictes, cela obéit en réalité à des motifs d’autodéfense. N’oubliez pas que nous sommes dans un terrain étranger et même hostile, dans lequel toutes les précautions doivent être prises avec une discipline absolue.
Nous demandons seulement, aux hommes de la Terre que nous connaissons, des faveurs qu’ils peuvent nous rendre sans efforts énormes.
Mon frère DEII 98, fils de DEII 97, arrive à Madrid le 22 janvier 1967.
Comme il est autorisé à avoir des conversations téléphoniques avec les hommes de nationalité espagnole, il vous appellera pour connaître votre réponse.
Dictée par IEREE 86, fils de IEREE 82,
Soumis à UADAA 5, fils de OI 74,
à Santiago du Chili.
Soumis à YUU I, fille de AIIM 368.
D55
UMMOAELEWE
LANGUE: ESPAGNOL
Nombre de copies: I
DOCUMENT SEMI-CONFIDENTIEL.
Monsieur Fernondo Sesma Manzano
MADRID, ESPAGNOL.
Monsieur,
Nous avons été les témoins acoustiques de vos dernières conférences.
Nous avons pu vérifier avec beaucoup de tristesse que notre supplique ( les jours oè vous parlez de notre civilisation, nous vous avions demandé de ne pas mentionner les autres expériences – respectables – que vous avez eues), n’a pas été entièrement entendue.
Nous savons que les êtres humains sont volubiles et que dans vos actes il n’y a pas de mauvaise foi ni de désir de ne pas respecter vos anciennes promesses, mais plutôt un oubli et des lueurs d’instabilité spirituelle provoquées par un immense amour de ces expériences, ainsi qu’un désir comphéhensible dans une structure mentale comme la vôtre pour une civilisation aussi rationelle que la nôtre.
Nous ne vous le reprochons pas. Votre bonne volonté envers nous demeure intacte. Nous respectons bien sûr vos points de vue concernant le fait que le Réseau Social Terrestre ne pourra adopter le modèle Social de UMMO. Critère que nous partageons en partie seulement.
La suspension des envois a été motivée par deux raisons.
En premier lieu, tout le temps que vous continuerez à rompre le compromis dont nous avons parlé précédemment, nous ne pouvons pas continuer à vous envoyer des documents.
C’est une mesure de défense de non de vengeance car vous êtes libres d’orienter vos réunion selon votre critère. Et donc n’en concluez pas que nous sommes fachés.
Vous pouvez reprendre les contacts avec nous quand vous le désirerez, nous vous demandons seulement de respecter notre demande. Il suffirait qu’à la fin de la réunion consacrée à UMMO, vous spécifiez clairement que la suite sera consacrée à une thématique différente.
Si vous n’acceptez même pas celà, il est clair que la rupture ne sera pas provoquée par nous par nous, c’est vous qui ne voulez plus avoir de relations avec nous.
En second lieu, ces jours-ci se sont produits certains faits qui nous ont obligé à couper temporairement les contacts avec TOUS les correspondants d’EUROPE et d’AUSTRALIE.
De toutes façons, votre attitude est compréhensible, vous pouvez être en désaccord avec les supposés sociologues, scientifiques ou philosophes qui sont parmi vos amis et continuer cependant à cultiver les liens spirituels qui vous unissent à eux, surtout quand ce qu’ils vous demande en échange n’est pas en rupture avec vos propres idées ; simplement une petite concession passive, concession qui vous a paru raisonnable et qui ne constitue aucun mystère et ne représente aucun préjudice à l’encombre de vos autres amis.
Mais enfin; l’homme doit être libre de ses actes et nous ne désirons pas qu’il en soit autrement. Quelque soit votre décision, sachez que ces amis originaires d’un autre Astre lointain auront toujours pour vous le même respect et amour.
Ne considérez pas que le fait de vous indiquer que vous êtes l’un des rares OEMII que nous ayons trouvé sur cette Planète à aimer les véritables valeurs spirituelles et qui soit un fervent admirateur des êtres qui peuplent le Cosmos, représente une adulation envers vous. Nous vous comprenons. En réalité vous aimeriez que l’image que nous vous avons donné de UMMO soit plus pure, plus mystérieuse, moins rationnelle, moins logique.
Mais nous ne sommes pas responsables d’être ainsi.
D’autre part vous devez rejeter ce faux argument que vous vous êtes forgé en imaginant que nous sommes un peuple privé de libertés, étroitement canalisé par des normes logiques très dures, tenaillés par les postulats d’une froide technique et exempts de la richesse chromatique de présente la Terre. Ce dernier point est vrai par rapport à la Terre mais pas tant que vous le croyez.
De toutes manières, nous sentons que nous vous avons blessé avec nos idées qui sont peut-être en totale contradiction avec les vôtres .
Nous n’avons jamais voulu vous humilier.
Frère Sesma: Pouvons nous vous appeler ainsi ? Pour toujours ?
Si vous désirez interrompre les contacts dites le lors de la réunion.
Nous comprendrons que vous êtes là de cette expérience.
S’il il n’en est pas ainsi, dès que nous aurons vérifié que les deux ou trois réunions suivantes concernant uniquement UMMO, nous continuerons notre série de rapports.
Et ne craignez pas d’être en désaccord avec nos idées.
Votre esprit d’indépendance nous plait. Il ne nous gêne absolument pas.
D56
UMMOAELEWE
Nombre de copies: I
Langue: Espagnol
(CONFIDENTIEL)
À Fernando Sesma Manzano
MADRID.
Monsieur,
Aujourd’hui je désire personnellement vous dicter cette lettre. En ce qui me concerne, nous avons si souvent parlé au téléphone que je ne crois pas me tromper en affirmant qu’il existe entre nous un courant d’affection mutuelle.
Je suis moins adroit en espagnol que mon frère qui est sous mes ordres, mais en plus, ma simple volonté pleine de cordialité remplacera avantageusement l’indigence de mon vocabulaire.
Bien mon ami, j’ai été attristé en observant dans le timbre de votre voix une certaine amertume car vous pensez que nous vous vous avons abandonné pour une petite transgression de votre part.
Non: Nous n’allons pas le faire. Il est certain que par discipline (celà n’a jamais été un chatiment) nous limitons les communications téléphoniques tant que vous n’avez pas prouvé votre bonne volonté. Déja, dans la dernière réunion nous avons observé votre geste ; vous avez moins fait allusion à ces expériences.
Mais vous êtes injuste avec nous, Sesma. Nous n’avons pas exigé que vous cessiez d’y croire, nous comprenons le profond intérêt que vous ressentez pour Saliano et pour ses enseignements.
Nous ne vous mettrons jamais le dos au mur, selon l’expression consacrée.
Nous ne vous avons jamais demandé de marquer une préférence pour nous, et de cesser de vous référer à lui. Nous vous demandons seulement d’utiliser des jours et des heures différentes quand vous avez la gentillesse de faire référence à notre enseignement.
Adieu, Ami. Nous n’utilisons jamais cette formule de séparation et je désire beaucoup que vous l’interprétiez dans le sens de « jusqu’à demain ». Je pense que l’on m’autorisera bientôt à parler avec vous.
J’arrète de dicter à mon frère qui va mettre plus au clair des idées que je n’arrive pas à exprimer sans difficultés.
Dicté par DEEI 98, fils de DEII 97.
Il ne nous reste pas grand chose à nous dire, Sesma. Nous sommes vraiment profondément sincères quand nous vous disons que vous êtes l’une des rares personnes de votre Planète à avoir accepté avec courage, sans tenir comtpe des critiques de ceux qui vous entourent, la version de notre identité; et nous devions donc ressentir une véritable affection pour vous.
C’est pour cela que votre dernière étape de regression nous attrista. Ce furent tout d’abord des allusions de votre part disant que vous étiez moins enthousiasmé par cette expérience.
Ensuite votre refus d’accepter la supplique que nous avons formulé concernant le fait de vous abstenir de mentionner vos expériences antérieures pendant que vous parliez de nous.
Et enfin un doute exprimé devant tous concernant notre entrevue ratée avec Monsieur Gran à qui nous avons effectivement envoyé une lettre, car nous n’avions pu avoir avec lui un contact téléphonique.
Nous reconnaissons que ce dernier point n’avait pas beaucoup d’importance même si nous pouvions le traduire comme symptôme d’un état d’esprit envers nous beaucoup plus froid.
Nous avons donc essayé d’interpréter vos désirs, avec tristesse, mais aussi avec respect malgré votre apathie, et nous nous sommes retirés progressivement pensant que ce contact avec nous ne vous intéréssait plus.
De plus nous sommes persuadés que vous avez été si honnète et discret que vous n’avez pas osé le dire ouvertement.
N’interpréter pas ceci comme une Sanction,Sesma.
Ceci constituerait une cruauté gratuite envers vous. Nous attendons votre geste noble et ouvert. Nous n’exigeons pas que vous rompiez avec vos amis ou que vous soyez à cheval entre deux chaises. De plus si quelqu’un doit se trouver dans cette situation, il vaut mieux que ce soit nous.
Si vous avez une véritable affinité envers Sazliano, envers ses idées, envers sa personnalité énigmatique, soyez fidèle. Consacrez lui la majorité de votre temps, consacrez lui, si vous le désirez 100% des heures que vous passez avec vos amis de la Société. Nous vous demandons seulement de leur indiquer les jours consacrés à ces rapports. Ne l’interprétez pas comme un discrédit pour Saliano, les raisons sont simples: nous désirons éviter toute confusion.
Soyez sincère Sesma: ayez le courage de faire un sondage anonyme auprès des membres du groupe. Au moins celà vous servira pour savoir ce que pensent les gens et vous pourrez alors adopter une décision. N’oubliez pas que nous avons entendu des conversations pleines de critiques à votre égard car vous vous montriez mystérieux dans vos discours. Apprenez aussi à écouter, n’oubliez pas que de nombreuses personnes n’ont pas de facilités pour s’exprimer, pour énoncer leur point de vue à haute voix. Et de vérité en vérité, nous vous affirmons qu’il vous est possible de concilier votre affinité envers nous et envers les autres groupes et personnes.
Ne vous torturez pas l’esprit à penser le contraire.
Nous vous répétons solennelement, même si vous cherchez des raisons pour prouver le contraire, QUE NOUS N’AVONS AUCUN LIEN CONNU AVEC SALIANO ET SES GROUPES.
Si malgré tout, vous croyez voir dans certains chiffrs, mots ou symbôles, une signification occulte d’affinité, nous respecterons votre critère SANS LE PARTAGER.
Sesma: nous allons continuer à vous envoyer des rapports. IL serait peut-être opportun de respecter votre trêve estivale, vous n’avez qu’à l’exprimer à haute voix lors de la prochaine réunion.
Dites nous aussi ce que vous comtez faire concernant le partage des jours et des heures, pendant ce temps vous continuerez à recevoir des rapports.
Nous pensons qu’avec un peu de bonne volonté de votre part, nous pourrons reprendre les communications téléphoniques après l’autorisation de notre Soeur.
Nous sommes conscient que vous avez accompli jusqu’à maintenant certains compromis. Nous nous rendonc compte que votre petite transgression a été presque involontaire et provoquée par la sincère affinité que vous éprouvez pour Saliano et qu’en réalité, vous n’avez pas voulu nous blesser ou nous discréditer.
Nous vous demandons de rendre à D.Dionisio Garrido sa photographie en lui exprimant, au risque de nous répéter, nos plus sincères remerciements.
Nous avons observé chez ce monsieur, un intérêt extraordinaire envers nous.
Nous voulons lui envoyer quelques documents à condition qu’il vous en fasse parvenir la copie pour une lecture ultérieure et une diffusion si vous le jugez nécéssaire.
Enfin nous vous demandons d’être compréhensif au niveau de la ligne générale de notre étude.
Vous comprenez que tout cela ne peut être résumé en quelques douzaines de pages: Nous sommes loin d’avoir terminé. N’importe quel livre élémentaire de votre Planète est plus étendu. Nous ne pouvons ni ne devons condenser des idées qui sont déja résumées. S’il vous plait, faites le comprendre aux plus intelligents. Les autres ne le comprendront pas car ils ignorent le temps qui est nécéssaire pour assimiler une véritable formation.
Le fait de continuer ou non dépend plus de VOUS que de NOUS. Nous n’avons jamais eu l’intention de cesser l’envoi de ces rapports si ce n’est pour obéir aux ordres de nôtre Supérieure.
Nous devons reconnaitre que cette fois ci nous avons eu de sa part une réaction plutôt drastique.
Enfin nous sommes heureux de constater qu’elle n’a pas pris très au sérieux votre petite faute; au contraire, elle s’est montrée très compréhensive.
D57
Référence : | D57 |
Titre : | Annales historiques d’UMMO sur Terre Cosmologie selon UMMO Concept de changement de dimension L’Espace dans la physique d’Ummo |
Destinataire(s) et date(s) : | Villagrasa le 23/01/1967 |
Commentaires : | Plusieurs lettres concaténées |
UMMOAELEWE
Langue : Français – N° de copies : 2
Langue : Espagnol – N° de copies : 4
(Indication réception: 23-1-1967)
Hommes de la Terre :
Le 5 mai 1965, deux de nos correspondants en Allemagne et trois aux États-Unis, ont reçu un rapport rédigé en termes semblables à celui que nous avons l’honneur de vous remettre dans ces feuilles dactylographiées.
Comme tout au long de ces derniers mois, vous et cinq autres hommes d’Espagne et de France, nous avez suggéré, par téléphone, l’envoi de notes qui résument l’histoire de notre arrivée sur la Planète Terre, nous avons cru intéressant de vous faire un résumé des premières vicissitudes endurées par le premier groupe d’explorateurs arrivé de notre Planète sur la Terre.
PREMIER CONTACT AVEC LA PLANETE TERRE
Avant tout, nous devons vous avertir de l’existence de difficultés d’ordre technique et scientifique pour l’identification de dates et instants de temps entre deux points de notre Univers. De nombreux physiciens de la Terre n’ignorent pas que le fait d’identifier un instant (t) sur la Terre avec un autre instant (t’) écoulé en un point de notre même Galaxie, n’a pas de sens. Ainsi quand nous nous referons à un intervalle D t équivalent sur cette Planète à deux ans par exemple, il serait aberrant, et cela constituerait une erreur en fonction de la physique actuelle, de supposer cohérent et simultané un autre intervalle semblable sur notre Astre « UMMO ».
Mais comme ce rapport est purement historique et comme il n’est pas destiné à des experts en Cosmologie et en Physique Relativiste, nous utiliserons un langage conventionnel qui, bien que manquant de rigueur scientifique, rendra plus intelligible le récit. Ainsi, quand tout au long de nos paragraphes nous utiliserons des expressions comme « deux ans avant » , vous ne devez pas seulement supposer que le mot « ANNÉE » est une unité Terrestre de Temps, mais aussi supposer que ces deux années qui se sont écoulées sur UMMO sont simultanées à deux autres vécues par vous sur la Planète TERRE.
UNITÉ PHYSIQUE DU TEMPS « UIW » . Son équivalent terrestre est de 3,092 minutes. Nous le définissons comme l’intervalle de Temps écoulé jusqu’à ce que le WAELEUIE UOAD [L] (appelé par vous Isotope C du Thorium ) réduise sa masse de 50% de sa valeur. (ndt: L’ex « thorium C » ou 208Ti a en effet une demi-vie de 3,1 min.)
TEMPS DE ROTATION DE UMMO : (Approximativement de 600 UIW) c’est-à-dire 30,9 heures.
TEMPS DE TRANSLATION de UMMO autour de IUMMA. Nous la divisons en XEE ( 18 XEE ). Un XEE= 60 jours ou rotations de UMMO. Le XEE est pour nous ce qu’est l’ANNEE pour les Terrestres.
A des fins pratiques vous pouvez supposer que un AN TERRESTRE équivaudrait, si nous faisions abstractions de son caractère d’ASIMULTANÉITÉ, à 4,72186 « Années de UMMO ou XEE ».
UNITÉ PHYSIQUE DE LONGUEUR: Le ENMOO équivaut à 1,874 mètres terrestres.
UNITÉ DE DISTANCE ASTRONOMIQUE : Le UALI . Son équivalent par rapport aux unités terrestres est de 12 élevé à la puissance 4,3 années-lumière.
UNITÉ DE FRÉQUENCE ( En phénomènes périodiques): C’est le » xii « , dont la traduction présente diverses acceptions car ce mot représente non seulement le JOUR de UMMO mais aussi la rotation d’une roue ou le cycle par unité de Temps.
——————————————————–
Deux ans (Années terrestres) avant le 28 mars 1950, notre Centrale de XANMODAIUVAA de la région de UIIOGAA IXIOGAA , capta une émission radioélectrique de très faible niveau de fréquence (413,43877 mégacycles par seconde) provenant du groupe stellaire galactique codifié par nous comme . C’est un des centres Automatiques de notre planète chargé de l’exploration des signaux provenant de notre Galaxie, signaux qui peuvent être de Nature Électromagnétique ou Lumineuse, mais aussi des trains d’Ondes Gravitationnelles (Dont vous ignorez pratiquement les techniques de Génération et d’Émission, mais utilisés largement par d’autres Civilisations en plus de UMMO).
La durée des signaux captés fut infime, 2,21 UIW (6,83 minutes), et étaient composées d’impulsions courtes et d’impulsions longues. Nous avons su par la suite qu’il s’agissait du code terrestre MORSE. Mais nos techniciens l’interprétèrent comme un code binaire (point = zéro, trait = un). Cette erreur provoqua une traduction incorrecte du message car de nombreuses interprétations étant possibles, la plus correcte et la plus cohérente semblait être l’expression analytique de l’équation qui représente mathématiquement quatre points orthogonaux sur un plan. C’est à dire: un carré. C’est pour cela que la présumé Planète d’où étaient issus les signaux fut baptisée avec le mot « OYAGAA » (dont la traduction est: Astre Froid du Carré).
Il nous fut facile (En utilisant notre Système de référence de Coordonnées Galactiques) de situer le point approximatif d’où était partie l’émission. La OOYIA (Étoile naine) d’où provenait le signal était parfaitement visible, (LE SOLEIL; de votre système). De plus nous étions certains qu’au moins quatre Planètes (OOYAA) tournaient autour de celui-ci, codifiées par nous comme :
OOYAA , OOYAA , OOYAA , OOYAA
La première correspond à NEPTUNE, la seconde à SATURNE, la troisième à JUPITER et la quatrième, à cause d’une erreur compréhensible dans nos calculs, correspond au groupe formé par VENUS et MERCURE, car l’existence de tels astres froids était seulement déductible en fonction des altérations observées sur l’OOYIA (SOLEIL). A partir de UMMO, il est impossible de contempler optiquement un astre froid de cette dimension à plus de 6 années lumière.
Jusqu’alors on n’avait pas fait attention à votre SOLEIL, tout simplement parce que l’on n’avait jamais reçu de ce point le moindre signal d’Ondes Électromagnétiques ou gravitationnelles ce qui fait que nos spécialistes présumaient l’inhabitabilité de ce groupe planétaire.
La nouvelle fut reçue avec intérêt par notre communauté et avec surprise par nos techniciens; l’étape suivante fut de spéculer sur les rares données non exemptes de larges marges d’erreur autour de la probabilité de chacun de ces quatre OOYAA cités de ce système planétaire, de présenter des possibilités d’identification avec le récent centre émetteur OOYAGAA (Planète » carré »). Certains de nos spécialistes en spéculant sur la raison de l’émission du message se référant à cette figure géométrique, supposèrent qu’il obéissait à la simple raison d’employer un Code interplanétaire à base de figures géométriques simples.
A cette époque là, nos techniciens avaient calculé ainsi les masses probables de ces quatre Planètes Solaires :
OOYAA… (identifiée aujourd’hui comme NEPTUNE) : 52.1024 oobo
OOYAA… (probablement SATURNE) : 286.1024 OOBO
OOYAA… (identifiée aujourd’hui comme JUPITER): 940.1024 OOBO
OOYAA … (Cette planète n’existe pas, sa déduction se fit en partant des influences gravitationnelles de MERCURE et de VENUS): masse estimée: 2,6.1024 OOBOO.
(Un OOBO – Unité de Masse- équivaut à 1,733 kilogrammes-masse)
On pouvait donc écarter les trois premières Planètes dont la masse paraissait excessive pour abriter les êtres biologiquement humains. Les températures de celles-ci (comme on a pu le vérifier par la suite) ne paraissaient pas non plus être les plus aptes pour le développement biogénétique des êtres pluricellulaires organiques.
Comme vous avez pu le constater tout au long des paragraphes précédents, les erreurs de nuances en analysant l’épisode de réception de ce message furent assez graves.
En arrivant sur TERRE, nous avons eu conscience de toutes ces erreurs compréhensibles. En premier lieu, nous avons pu éclaircir la véritable origine du signal. Il ne s’agissait pas, comme nous le croyions, d’un message interplanétaire envoyé par une Civilisation Terrestre, mais d’un fragment de conversation codé envoyé par un navire de nationalité Norvégienne qui, entre le 4 et le 8 février 1934 émit ce message quand il se dirigeait vers Terre Neuve. Des scientifiques de cette nationalité experts en électronique, appelée alors TSF, essayaient des équipements de haute fréquence pour démontrer la viabilité des communications par réflexion ionosphérique. (A ce moment-là vous ne connaissiez pas encore des techniques qui sont maintenant familières aux ingénieurs terrestres). Une partie du signal arriva par hasard jusqu’à notre Planète.
L’émission mit 14 ans pour arriver sur UMMO, car les ondes électromagnétiques se propagent par une géodésique qui, considérée dans l’espace à trois dimensions, est une ligne droite.
Immédiatement notre UMMOALEWE ( nous appelons ainsi notre Conseil ou Gouvernement Central composé de trois personnes) ordonna la mise en place d’études pour l’exploration directe de ce système planétaire. Le processus que nos spécialistes en WADOOXOAA OEMM(on pourrait le traduire comme le Déplacement entre les Astres) doivent suivre pour une de ces explorations transcendantales, présente une complexité inimaginable pour vous.
En premier lieu la Distance mesurée dans l’espace temps tridimensionnel classique est si énorme que dès le départ on rejette toute tentative de réaliser le voyage sur l’axe « droit » qui sépare les deux planètes. Un vaisseau qui atteindrait même cent dix huit mille kilomètres seconde (vitesse maximum conseillée pour ces déplacements) et qui se dirigerait sur la trajectoire supposée droite que suit la lumière jusqu’à cette Planète, mettrait plus de trente cinq ans à arriver.
Et même si l’on pouvait résoudre le problème ardu qui consiste à posséder une source énergétique suffisamment puissante pour accélérer le vaisseau jusqu’à une vitesse proche de celle de la lumière, dans laquelle le véhicule augmenterait sa masse relative jusqu’à une valeur fabuleuse, quatorze ans de voyage représentent une durée excessive pour un groupe d’explorateurs.
Il est très difficile de vous expliquer le système utilisé par notre Science et Technique pour résoudre le problème, mais nous allons essayer de vous le résumer en quelques paragraphes.
En premier lieu nos frères spécialisés en Cosmologie savent depuis longtemps que le WAAM (Traduisez par Univers) n’est pas simplement un espace continu de quatre dimensions (Les trois dimensions classiques plus le TEMPS). Le WAAM réel est un complexe pluridimensionnel, nous n’en connaissons seulement que dix dimensions.
Bien que vous puissiez imaginer que nos sens ont seulement accès à TROIS de ces dimensions (ESPACE PSYCHOLOGIQUE) et au Temps, ceci obéit à une simple évaluation faussée du concept psychologique de PERCEPTION. Le monde extérieur que nous connaissons est une illusion élaborée par notre Cerveau. Quand une fréquence électromagnétique nous apparaît comme une belle couleur, si sa valeur baisse (exprimé en cycles/seconde), elle est alors captée par nos organes nerveux en reproduisant une sensation totalement différente: « LA CHALEUR ». Ainsi l es différentes dimensions de la Nature apparaissent camouflées avec des perceptions différentes (Ainsi ce que nous appelons masse est en réalité la perception illusoire d’un autre groupe de dimensions).
En étudiant la véritable nature des corpuscules ou entités que vous appelez PROTONS, MÉSONS, NEUTRINO, ÉLECTRONS, etc, , nous avons découvert qu’en réalité il s’agissait de petites déformations de l’Espace appelé à tort Tridimentionnel, dans l’axe d’autres dimensions. Imaginez un drap étendu; ceci serait la comparaison de l’Espace Tridimentionnel que nous appellerions vide. Si maintenant nous faisons un petit creux ou déformation dans le drap, ce creux pourra représenter la masse du proton ou parfois du MUON en fonction de l’axe dans lequel s’est exercée la déformation, comme la grandeur ou profondeur du creux.
Ainsi, si vous vous situez en regardant le drap par une face, vous verrez une concavité (PROTON) mais si vous le regardez à l’envers, vous l’interprèterez comme une convexité ou protubérance (ANTIPROTON). De plus si vous situez vos axes à partir de différentes perspectives, cette déformation peut vous paraître plus ou moins oblique, c’est à dire exercée en différents axes ou dimensions, vous semblant être telle fois un « NEUTRON » et telle autre fois ce que vous appelez Particules subatomiques.
En un mot l’interprétation d’une telle particule dépendra du système de référence dans lequel se situe l’observateur. Ceci est la raison pour laquelle les Physiciens de la Terre sont si perplexes en découvrant des centaines de corpuscules atomiques dont la série ne semble pas avoir de fin. En réalité vous être en train de poursuivre des fantasmes. Quelque chose comme si vous essayiez de classer les multiples reflets projetés sur les murs par un simple cristal polyédrique frappé par la lumière du Soleil.
( Ceci n’est pas une critique de la recherche Terrestre dans le domaine de la Physique Quantique et Nucléaire quand vous analysez les différentes caractéristiques de ces corpuscules, mais tout simplement du fait que vous les considérez comme des entités différentes).
C’est bien la permutation d’un corpuscule en un autre, chose que vous avez déjà observé selon nos informations, mais que vous ne savez pas encore contrôler. Ce n’est ni plus ni moins qu’un « CHANGEMENT D’AXE » c’est à dire UN CHANGEMENT DE DIMENSION. Quand la MASSE d’un PROTON par exemple disparaît devant vous pour se convertir en ÉNERGIE, ce qui est arrivé en réalité c’est que son AXE a subi un tour de 90 degrés AXIALEMENT à une dimension classique de l’Espace. Mais ceci est valable pour VOUS et votre SYSTEME de RÉFÉRENCE car pour un autre observateur situé depuis la perspective de la Quatrième, Cinquième ou Sixième dimension, ce qu’il observera est précisément le phénomène contraire, que l’Énergie se concentre pour former une particule qu’il appellera aussi « PROTON ».
En réalité vous êtes en train de vivre dans vos laboratoires de Physique ce qui a tant été rêvé aussi bien par les physiciens terrestres que par les auteurs de science-fiction: c’est-à-dire le passage à la quatrième Dimension. (Un peu comme cette phrase que vous utilisez si judicieusement: » Parler en prose sans le savoir »). Au moment où vous réussirez à contrôler, comme nous l’avons fait, l’inversion homogène de toutes les sous particules du corps humain ou d’un objet quelconque, ceci devra être interprété comme le passage d’un système référentiel de l’espace tridimensionnel à un autre également tridimensionnel mais distinct du premier. En réalité c’est moins fantastique que ce que vous pouvez imaginer et à partir de là, différent de tout ce qui a été rêvé par les écrivains futuristes de la Planète Terre.
Il faut vous expliquer un troisième concept pour que vous puissiez comprendre le principe de nos VOYAGES à travers la Galaxie. L’espace qui sépare les différentes accumulations galactiques du WAAM (COSMOS) ne doit pas être interprété avec la comparaison simpliste d’un drap étendu et plat, mais plutôt avec ce même drap ondulant au vent, ondulations qui, si nous sommes logiques avec cette image didactique, se produisent dans une quatrième, cinquième, etc. ..dimension. (L’origine de telles ondulations est EXTRA COSMOLOGIQUE, produite par un WAAM (COSMOS) jumeau, mais ceci est le moins important dans cette explication. Ce qui est sûr, c’est qu’elles se produisent et qu’elles facilitent les voyages extra planétaires, même si cela peut vous paraître étonnant. Imaginez deux tâches d’encre situées sur le drap à 10 cm de distance. Ceci serait la trajectoire que devrait suivre un astronef, ou la lumière, qui partirait de la première tâche jusqu’à la seconde.
Si maintenant je plie le drap suivant un axe qui coupe perpendiculairement le plan médian de la distance qui sépare les deux tâches, il est certain qu’en plus de cette distance (celle que les mathématiciens appellent Géodésique) il en existera une autre plus courte qui, en sortant de la surface du drap, traverse l’espace aérien qui sépare ces deux points.
De plus vous pouvez observer qu’une telle distance est axiale par rapport à une distance qui tombe en dehors de l’Espace Tridimensionnel représenté par le tissu du drap. L’unique voie pour réussir à nous situer dans un cadre tridimensionnel de référence qui ne soit pas celui de la propre toile du drap qui nous sert d’exemple, sera d’orienter nos propres corpuscules subatomiques vers un axe différent; exprimé en langage physique de la TERRE: permuter les particules subatomiques avec un contrôle homogène et rigoureux.
Pour des raisons évidentes, nous ne pouvons vous expliquer aucun aspect technique de ce procédé que d’autre part vous n’êtes pas loin d’atteindre bien que nous souhaitions ardemment qu’il soit appliqué beaucoup plus raisonnablement que l’énergie nucléaire.
Dans ces conditions un voyage interstellaire n’est pas quelque chose que nous puissions faire à notre guise. Il dépend, comme vous avez pu le comprendre, de ce que nous appelons les CONDITIONS « USAAGIXOO » (isodynamiques) de l’espace. Exprimés sous une forme compréhensible pour vous, que les Plis de l’Espace permettent le rapprochement de deux astres de manière telle que le voyage soit possible.
Mais ces ondulations ou plis de l’espace sont apériodiques, ils ne subissent pas une loi déterminée. On peut les prévoir à court terme mais avec de grandes marges d’erreur. Par exemple en ce moment (janvier 1967) nous savons que l’un de ces intervalles favorables approche; (la marge d’erreur s’étend de décembre à mars des deux années 1966-1967).
Les prédictions et leur technique sont plus difficiles que ce que peuvent être pour vous celles de type météorologique ou bien des tâches et des tempêtes solaires car de telles perturbations n’obéissent à aucune loi connue et malheureusement leur source est le UWAN (signifie l’Anticosmos) et elle ne nous est pas accessible dans l’absolu.
Néanmoins le voyage fut rapidement possible. Après 193 XII (un xii est une rotation ou « JOUR » de UMMO), les conditions furent favorables pour la première exploration; vingt quatre hommes partirent pour ce Système Planétaire à l’intérieur de deux OAUOLEEA UEUA OEMM (c’est ainsi que nous nommons les véhicules de forme lenticulaire qui se déplacent en dehors de notre atmosphère).
Comme nous continuerons à vous le relater dans le prochain rapport, ce voyage fut essentiellement exploratoire et le premier objectif couvert fut NEPTUNE, ensuite la planète MARS et enfin la TERRE mais nos frères n’atterrirent pas encore sur cette Planète.
Les notes que nous vous enverrons relateront les vicissitudes encourues par le second groupe qui a atterri près de la ville de DIGNE (France), le 28 mars 1950, en étant confronté à une Civilisation dont nous ignorions le langage et les techniques les plus fondamentales. Le processus d’apprentissage, les angoissantes méthodes de défense improvisées les premiers jours pour ne pas tomber aux mains des autorités françaises, les motifs qui nous amenèrent à enfreindre vos lois en recourant au vol pour obtenir du papier monnaie (argent qui fut restitué par la suite), tout cela mérite sans doute d’être dit pour fonder une première tentative d’élaboration des premières relations entre les deux Planètes.
PREMIÈRE ARRIVÉE A PROXIMITÉ DE LA TERRE.
Le 7 janvier 1949, après l’exploration des planètes NEPTUNE et MARS par nos frères déplacés dans deux OAUOLEA UEUA OEMM (NEFS SPATIALES), celles-ci arrivent à proximité d’une nouvelle OOYAGAA pourvue d’une atmosphère beaucoup plus dense que celle enregistrée sur l’astre précédent. La première exploration fut réalisée en orbite hélicoïdale sur une trajectoire elliptique dont le périgée était distant de 337 kilomètres de la Terre et l’apogée de 398 kilomètres.
Durant l’exploration de Neptune on avait déjà reçu une grande gamme d’émissions radioélectriques de la Terre qui permit à nos frères d’identifier cette Planète. La présence de vie supérieure sur celle-ci était donc évidente. Aucune autre source d’émission ne fut identifiée et l’on en déduisit raisonnablement que le reste des OYAA (ASTRES FROIDS) liés gravitationnellement au OOYIA (appelé par vous SOLEIL), n’avaient pas de formes biologiques intelligentes ou tout au moins dotées de techniques développées. Ce dernier raisonnement amena les explorateurs à se diriger vers une OYAA qu’ils codifièrent avec la dénomination (que vous connaissez sous le nom de MARS). Ce premier examen réalisé à une hauteur de 290 KOAE . (Un KOAE équivaut à 8,7 kilomètres approximativement ) (soit: 2592,6 kms), révéla l’absence d’une atmosphère suffisamment dense pour permettre le développement extérieur d’êtres pluricellulaires complexes. Les trous de multiples impacts de météorites et la structure cristalline du sol étudiée par nos instruments de sondage à distance, révélèrent l’absence d’une vie bactériologiquement active et productrice de la décomposition du sol, tout au moins dans les petites zones qui ont été explorées. Postérieurement nous avons découvert sur cette OYAA non seulement des formes protéiques et aminoacidées mais aussi des êtres unicellulaires et pluricellulaires végétaux simples. (Vous ne tarderez pas à les découvrir).
Le programme strict d’examen de cette OYAA habitée commença à être mis en application. Avant tout la rationalisation des mesures pour la fuite en cas d’attaque nous obligea à maintenir une très grande vitesse de translation qui nuisait à la précision des observations. Il semblait évident que le OOYAGAA (Astre Carré) enregistré par notre UMMO était précisément celui que nous étions en train d’analyser (Je m’explique au pluriel en me référant à mes frères car moi j’étais sur UMMO).
Nous savions que si vous aviez atteint un certain degré de civilisation, vous détecteriez instantanément notre présence. Au cas où cette présomption serait fausse, s’imposerait alors le critère de ne pas manifester ostensiblement notre présence. Si nous désirons étudier une Civilisation dans toute sa pureté, notre présence devrait éviter de provoquer des perturbations sociales, des dynamismes anormaux dans les moyens techniques de défense, détection et interception ainsi que de sérieuses perturbations dans les moyens de communication relatifs au probable réseau d’informations. Un réseau social ainsi déformé ou perturbé par la présence d’êtres étrangers ne peut être étudié analytiquement dans toute sa pureté. Vous trouverez une comparaison avec un spécialiste des bactériologies qui désire par exemple étudier une nouvelle souche d’espiroquetas (?). Il ne devra pas perturber le bouillon de culture avec de nouveaux germes qui altèreraient le processus biologique des premiers. S’il le faisait, devant le champ de son microscope, les formes élémentaires de conduite de ces microorganismes seraient anormales.
OBSERVATION
C’est pour cette unique raison que notre présence parmi vous est officieuse : quelques personnes avec qui nous avons un contact, surtout de nationalité nord-américaine et australienne, nous demandent souvent et ingénument pourquoi nous ne nous faisons pas connaître officiellement.
Il est curieux de constater que parmi celles-ci, il y a des hommes terrestres qui avec leur érudition et leur formation scientifique, devraient eux-mêmes comprendre les causes réelles qui nous obligent à nous inhiber. Nous croyions à ce moment là que vous seriez plus conséquents. Nous comprenons que l’homme moyen de le Terre peu doté de facultés intellectuelles maintienne l’hypothèse stupide que: aussi bien nous que d’autres présumées visiteurs galactiques devrions nous présenter avec un de UEUA OEMM (soucoupes volantes) en plein milieu d’une grande place de New-York, vêtus d’une combinaison argentée et avec un fusil de rayons meurtriers comme dans les nouvelles de Science-fiction. C’est dire si vous nous jugez désireux d’une absurde popularité. Votre raisonnement embryonnaire et primitif parait être celui-ci: » Si ces êtres proviennent d’un autre astre, pourquoi ne se font-ils pas connaître et pourquoi ne le démontrent-ils pas ? » Un quelconque expert en philosophie terrestre ce sophisme « répétions de principe ».
Nous, ( et nous présumons qu’il en est de même pour d’autres visiteurs qui peuvent être parmi vous) nous n’avons absolument aucun intérêt que le réseau social terrestre soit absolument certain de notre présence.
Dès le début nos frères adoptèrent des précautions pour passer totalement inaperçus. Au fur et à mesure que nous étions en train de nous imprégner de votre culture et de connaître les lois de la psychologie sociale terrestre, nous nous rendions compte que la révélation de notre présence faite à quelques personnes ne serait pas dangereuse car les autres membres de la société réagiraient avec incrédulité et c’est ce qui s’est effectivement produit. Croyez-vous que s’il en était autrement, nous aurions pris le risque de nous mettre en contact avec vous? Et même trois personnes de profession publiciste, avec qui nous maintenons des conversations, ont publié nos récits ( dans trois journaux ou revues de Pologne, Espagne et Canada) et logiquement leurs lecteurs ont adopté la naturelle posture sceptique que nous espérions.
Ainsi une telle attitude serait modifiée et nous nous présenterions ostensiblement, en apportant des preuves de notre identité, devant la presse terrestre, et les organismes techniques gouvernementaux ou internationaux. Posture que nous ne pensons absolument pas adopter pour l’instant.
De cette manière nous avons pu couvrir deux objectifs. Un contact direct avec un groupe d’habitants terrestres pour échanger des faits concernant nos mutuelles civilisations, en évitant de perturber le reste de la société terrestre qui demeure en marge d’une situation qu’il juge légendaire à cause de son insuffisance de preuves.
Nous n’avons malheureusement pas pu atteindre notre second objectif. Passer inaperçus face aux organismes techniques d’États; États-Unis, France, Angleterre, Union Soviétique et nous pensons avec raison que l’Italie, l’Allemagne et la République Argentine ont conscience notre présence et qu’ils se montrent préoccupés même si officieusement nous leur avons démontré que leurs craintes n’étaient pas fondées. Par rapport au fait que la connaissance d’une telle situation peut provoquer des réactions d’anxiété et de panique dans la population civile, les chancelleries de ces gouvernements peuvent être rassurées tout au moins en ce qui concerne les frères de UMMO. Nous ne nous ferons pas connaître pour l’instant, car le risque que cela dépasse les quelques scientifiques ou écrivains avec qui nous sommes en contact est NUL, si l’on excepte les quelques personnes avec un esprit critique élevé comprises parmi les familiers et amis de nos correspondants.
Les autres, saturés de préjugés, avec des cadres mentaux étroits et conscients du risque de fraude qui peut s’insinuer dans nos révélations, maintiendront une posture sceptique à outrance.
Pour cela nous vous demandons de ne pas vous montrer excessivement zélés pour divulguer aux personnes de votre entourage la réalité de notre existence. Ainsi on ne vous prendra pas pour un illuminé ou un perturbé mental et votre propre stabilité professionnelle ne sera pas attaquée. A ceux qui sans un premier examen analytique des faits montrent une attitude sceptique se croyant ainsi « intelligents », approuvez-les sans aucun commentaire.
PREMIER EXAMEN VISUEL DE LA COUCHE TERRESTRE PAR NOS FRERES
Les nuages cumulus abondants à cette date sur le continent américain et sud-asiatique, nous empêchèrent d’observer avec netteté le dense réseau de communications (identifié par la suite comme pistes et voies ferrées alors qu’une première identification erronée avait fait penser à des canalisation tubulaires). Ceci nous permit d’évaluer par une première estimation votre degré de civilisation technique (nous n’avons plus depuis longtemps de réseaux routiers). Votre premier aéronef fut détecté à proximité d’un archipel qe nous avons par la suite identifié comme étant les îles Bahamas. L’image fut agandie dans le laboratoire de bord et ses caractéristiques morphologiques furent analysées. Ceci fut le premier élément indicateur du niveau technologique que nous pûmes obtenir. Durant les 86 UIW (Ndt:4 h 25′) que dura l’analyse [on put descendre à une hauteur de 0,62 KOAE (Ndt: 5,394 kms) sur une zone identifiée ensuite comme étant le sud-ouest de la République Helvétique (SUISSE)], on capta des images de centres urbains et industriels ainsi que des nœuds ferrovières, concentration de flore (Forêts et plantations) , structures flottantes sur l’océan Atlantique et des fragments de cours d’eau et de multiples échantillons de gaz atmosphériques à différents niveau d’altitude. Nous conservons encore comme curiosité historique l’image obtenue d’une des rues de la petite ville de MONTREUX (SUISSE) sur laquelle on voyait les premiers individus humains captés par nos équipements. Les traits confus n’empêchèrent pas cependant l’analyse des éléments physiologiques fondamentaux et la morphologie du vêtement.
A cette époque il fut impossible d’étendre l’intervalle d’exploration si vous l’on voulait revenir sur notre « UMMO » avant que les conditions ISODYNAMIQUES de l’espace ne reviennent à une phase défavorable. Pas une seule fois nos UEUA (NEFS) ne prirent contact avec l’écorce terrestre.
(Dans un prochain rapport nous commencerons une synthèse historique de notre second voyage et la descente des premiers frères)
ANALYSE SUR « UMMO » DES DONNÉES RECUEILLIES SUR TERRE
L’impact que produisit sur notre Société la nouvelle de l’identification de la civilisation d’OYAAGAA (votre PLANETE) fut véritablement émouvante.
Nos techniciens se consacrèrent immédiatement à un examen soigneux des éléments objectifs obtenus (échantillons d’air, images optiques, phénomènes captés par voie radioélectrique) ainsi que les rapports subjectifs des frères qui composaient cette première expédition.
Il était nécessaire de nous forger, avec des faits abondants mais sans doute insuffisants, une première image probablement déformée de la structure sociale et du degré de Civilisation.
Cette conception primitive que nous avions eue alors est aujourd’hui très éloignée à la vue de notre perspective actuelle. Mais je désire vous donner à titre de curiosité l’idée que nous avions eue à cette époque de ce que pouvait être la civilisation terrestre. Les erreurs furent nombreuses mais malgré cela l’ébauche réalisée présenta de nombreux points concordants avec la réalité.
En premier lieu on disposait de trois images correspondant à des êtres humains. La première et la plus complète montrait des individus de sexe différent déambulant entre des structures édifiées. L’analyse soigneuse, même si elle empêchait de distinguer les traits faciaux, n’offrait pas de doute d’identification sexuelle grâce à la localisation des seins féminins sur quelques silhouettes. Mais il était impossible de distinguer de petits détails dans l’habillement. Nous découvrîmes également que les YIE (Femme dans notre langue) se caractérisaient par une abondante pilosité crânienne, bien qu’il puisse s’agir d’une quelconque perruque fibreuse sur la tête. Malheureusement quelques images de YIE ( clairement différenciées par le buste), avaient les jambes couvertes comme les hommes, ce qui avait introduit une polémique sur la différenciation des vêtements des deux sexes.
Cette analyse était très importante car nos frères, sélectionnés pour se déplacer jusqu’à la Terre, devaient être pourvus d’EEUE (vêtements) semblables à ceux des Terrestres pour passer inaperçus. Malheureusement, il ne nous fut pas possible de déterminer ni la composition de ceux-ci (nous ne sûmes pas s’il s’agissait de tissus fibreux jusqu’à notre arrivée) ni les détails les plus essentiels de leur confection.
Un second point qui fut très débattu fut celui de la zone la plus apte parmi celles explorées pour la descente de nos frères. Il devait s’agir d’une zone dépeuplée, mais non désertique car sinon tout contact prudent avec les habitants aurait été impossible.
Ceci, de votre point de vue, parait très simple car il suffisait apparemment d’examiner les UULAYA (Images captées) topographiques et ensuite de sélectionner un environnement géographique semi-sauvage. Mais nous ignorions à cette époque si les hommes de la Terre vivaient dans des « fourmilières » souterraines. N’oubliez pas que nous, nous concentrons les villes et les constructions à l’air libre uniquement quand il s’agit de ce que vous appelez zones industrielles. Pendant que le reste vit dispersé dans les XAABI ( maisons émergentes) qui peuvent se replier sous terre. De plus d’autres planètes habités concentrent les êtres humains dans de grandes colonies souterraines. En était-il de même pour cette Ayaggaa ( Planète Terre) ? Les constructions que nous savons aujourd’hui correspondre à vos maisons ont été identifiées au début comme étant des usines. Mais ce qui nous a le plus intrigué, ce furent les images obtenues de longs tubes verticaux situés dans toutes ces constructions, des tuyères situées dans les véhicules que purent capter nos caméras, celles-ci expédiant des vapeurs et aérosols (fumée) de couleur sombre.
Vous ne pouvez imaginer la stupeur que nous causa quelque chose qui vous est familier; l’analyse spectrale de tels gaz présentant une forte dose d’oxyde de carbone, de goudrons et d’hydrocarbures. Nous avons imaginé alors que les organismes physiologiques des terrestres ne pouvaient pas vivre dans une atmosphère d’oxygène et d’azote sans les gaz cités antérieurement et c’est pour cela que vous les ajoutiez à l’air environnant pour le rendre le plus respirable. Ceci nous avait rempli d’inquiétude car nous pensions aux conséquences que pouvait avoir pour nous un tel climat artificiel.
(Une fois arrivés sur Terre, comme nous vous le raconterons plus loin, notre hypothèse fut corroborée en vous voyant avec ces cylindres de tabac que nous avons interprété au début comme des générateurs de gaz pour la respiration, en nous émerveillant encore plus en observant que les enfants et d’autres individus ne les portaient pas).
Je vous disais que de fortes discordances avaient surgi parmi les techniciens au moment de sélectionner la zone terrestre où devait se réaliser la descente des expéditionnaires car nous risquions, en choisissant l’endroit apparemment le moins peuplé de nous situer précisément au sein d’une concentration souterraine et d’être ainsi détectés et même détruits par vous.
L’étude détaillée des images correspondant à divers aéronefs nous donna un indice de votre niveau technique. Quelques uns avaient encore une traction aérodynamique par hélice. Nous avons examiné soigneusement les soudures réalisées entre les couches de métal (nous ne savions pas encore qu’il s’agissait d’un alliage d’aluminium) et les structures de quelques mécanismes auxiliaires de ces aéronefs.
Il y eu un élément qui nous fit concevoir une idée totalement aberrante par rapport au Réseau Social Terrestre. On avait enregistré plusieurs centaines d’émissions radioélectriques provenant de nombreux points de cette planète et ce, dans une gamme de fréquences très étendue. Ainsi nous pûmes constater avec surprise l’énorme multiplicité linguistique et nos spécialistes en techniques acoustique, en classant les langues qui présentaient une homogénéité dans les phonèmes, en ont quelques fois identifié deux ou trois comme étant une seule langue. Notre attention fut fortement attirée par le fait qu’une grande partie des émissions, captées par rapport à des longueurs d’ondes métriques, présentaient le même type de langage binaire (impulsions courtes, impulsions longues) déjà capté dans le premier message.
Mais en essayant de le traduire de la même manière que le premier nous nous rendîmes compte de notre erreur. Quel pouvait être le véritable code utilisé par vous? On arriva à une conclusion: les habitants des OYAGAA (planète TERRE) utilisaient une multitude de langages locaux et pour mettre en relation les différentes communications, vous deviez logiquement utiliser un langage international unique basé en sifflements courts et longs dont le code était encore indéchiffrable pour nous. ( Plus tard nous avons constaté qu’une telle hypothèse était très simpliste car le code MORSE sert de véhicule à de nombreuses langues). Pour compliquer encore plus le panorama, nous avions capté aussi des émissions Vidéo de Télévision. Mais nous ignorions que de telles fréquences étaient porteuses d’une image. Comme nous les interprétions acoustiquement et qu’en plus toutes celles enregistrées provenaient d’Amérique du nord, nous avons pensé que dans cette zone on parlait trois langues dont la dernière (signaux vidéo) n’avait pas la moindre ressemblance avec les autres.
L’énorme anarchie linguistique (compliquée davantage par nos erreurs d’interprétation) ajoutée à l’immense gamme de différences techniques observées avec les multiples équipements et constructions des différentes zones de la planète, nous remplirent véritablement de perplexité.
Il était impossible ainsi d’avoir un panorama cohérent de ce que pouvait être la Civilisation Terrestre.
Par contre, la composition atmosphérique obtenue par divers échantillons en divers points de l’OYAA et à diverses altitudes, nous montra que nous pouvions descendre sans l’aide d’équipements auxiliaires de respiration.
Mais il restait à résoudre la très Importante question de la structure énantiomorphe des molécules protéiques. Étaient-elles dextrogyres ou lévogyres ? Si les molécules biologiques des êtres et aliments étaient l’inverse des nôtres, il serait impossible pour nos organes digestifs de les assimiler et nous serions condamnés à la faim si nous n’ apportions pas nos propres aliments. Il fallait donc doter les expéditionnaires d’autres équipements auxiliaires pour purifier l’eau au cas où elle aurait des sels toxiques en suspension, peut-être assimilables par les habitants d’OYAGAA (TERRE) mais pas par nous.
La politique à suivre avec vous fut soigneusement élaborée. Défense violente en cas d’attaque. Initiation de contacts officiels si nous étions détectés et contrôlés pacifiquement. Neutralité absolue et essai avec toutes les techniques à notre portée de passer inaperçus. Conduite à tenir dans le cas où il serait impossible de passer inaperçus des Terrestres. Pour passer inaperçus, on installerait alors un observatoire souterrain dans la zone rurale idoine et sous terre on étudierait les méthodes et les techniques d’observation les plus accessibles.
Même sur ce point nous nous sommes trompés comme nous le verrons plus loin, car nous nous sommes aperçus avec stupeur qu’il était parfaitement possible de nous mélanger à vous sans provoquer d’étonnement.
Immédiatement, le programme des préparatifs fut mis en œuvre et les personnes qui composeraient cette première expédition furent dès le début soigneusement sélectionnées. Parmi les six retenues, il y avait seulement deux YIIE (ainsi nous nommons les femmes). Tous apprirent de longs fragments des différents langages captés (en ignorant totalement leur signification) simplement pour familiariser le EESEE OA (SUBCONSCIENT) avec la structure phonique des codes d’expression acoustique terrestre. Ils purent examiner tout le matériel informatif capté et ils se familiarisèrent avec les formes végétales multiples dont les images étaient les plus nettes de la flore terrestre aperçue. Peu de choses en vérité pour quelques Oemii qui allaient être confrontés à un monde inconnu.
DESCENTE SUR OYAAGAA (TERRE) DE NOS PREMIERS FRÈRES.
Les six OEMII ( PERSONNES) qui partirent la première fois pour cette Planète furent:
OEOEE 95 fils de OEOEE 91: Spécialiste de BAAYIODUIII (BIOLOGIE), il était âgé de 31 ans terrestres. Directeur des expéditionnaires. Actuellement il occupe la fonction de OGIIA (CHEF) de coordination des frères d’UMMO déplacés ici.
UURIO 79 fils de IYIA 5 : Expert en BIIEUIGUU (Psychobiologie humaine), âgé de 18 ans terrestres. (Le seul de cette première expédition qui est encore sur cette planète). (NdR :en 1967)
INNOO 33 fille de INNOO 29. : Experte en OOLGAA GOO (physique de la structure de la matière), âgée de 18 ans terrestres.
ODDIOA 1 fils de ISAAO 132: Spécialisée en AYUU WADDOSOOIA (Communications), âgé de 78 ans terrestres.
ADAA 66 fils de ADAA 65: Technicien en AYUYISAA (SOCIOLOGIE), âgé de 22 ans. Le seul de nos frères qui est décédé sur Terre,
Il est mort le 6 novembre 1957 en Yougoslavie, victime d’un accident. (On ne put récupérer son corps).
UORII 19 fille de OBAA 7 : Experte en Pathologie du Système Digestif , agée de 32 ans.
Je me souviens encore des images du départ que j’ai moi-même vu sur l’écran hémisphérique de mon UULODASAABII (salle semi-sphérique qui, dans nos SAABI ou maisons, nous sert pour contempler des images à distance). Il ne serait pas très exact de le comparer aux équipements de Télévision Terrestre. Trois OAUOOELEA UEUA OEMM (NEFS en forme lenticulaire pour les voyages Galactiques) partirent de notre UMMO avec comme destination de OYAGAA (PLANETE TERRE).
En ce qui concerne le moment le plus favorable pour le départ, là aussi nous n’eûmes pas beaucoup de chance. On prévoyait la possibilité que quelques XEE (années d’UMMO) plus tard, les conditions isodynamiques de l’Espace seraient exceptionnellement favorables (en 1952 nous aurions pu arriver sur Terre en réalisant le voyage en moins de 30 000 UIW ) (NdR: 64 jours), (grâce à la distance incroyablement courte qui se produisit à cette époque là). Mais la probabilité que de telles conditions se produisent fut évaluée avec un niveau suffisamment bas pour que les décisions de départ soit prise à l’avance.
Les expéditionnaires portaient un message avec des instructions complexes qui pouvaient permettre une transcription relativement rapide en langues terrestres, dirigée par le Conseil Général de UMMO au Conseil ou Chef des habitants de cette Planète, pour le cas où les terrestres intercepteraient nos frères.
Cette lettre, imprimée sur une lame de GUU (alliage de fer, carbone et hormo-vanadium) portait une série d’images idéographiques, représentant des attitudes et des gestes humains, combinés avec des figures géométriques et des chiffres en système binaire. L’interprétation de son contenu par les experts en philologie et sémantique terrestre n’aurait pas été difficile en permettant ainsi la probable première communication de nos expéditionnaires avec ce que nous supposions être le GOUVERNEMENT GÉNÉRAL DE OYAAGAA (Planète Terre).
L’équipement qui devait être transporté par le groupe expéditionnaire était complexe mais réduit au niveau du volume et de la masse. Nous ne connaissions pas la valeur du coefficient BAAYIODIXAA UUDIII (intraduisible: la science biologique terrestre n’a pas encore développé ce concept si important). Il s’agit d’une formule qui exprime les conditions d’équilibre biologique qui se mesurent dans un milieu donné. Chaque OOYAA (Planète) possède des conditions particulières qui permettront ou non l’existence d’un cycle biologique du carbone dans sa troposphère. Le développement biogénétique de la morphologie des animaux et végétaux sera fonction d’une série de constantes physiques.
Ce développement biogénétique n’est pas une conséquence du simple hasard, même si celui-ci intervient à un degré non négligeable aux niveaux subatomiques dans le développement des gènes. Ce qui fait que la forme et la structure physiologique des espèces varieront considérablement d’une planète à l’autre, et ce d’autant plus si la constitution cellulaire de l’être vivant est plus simple.
Ainsi, non seulement les espèces de virus filtrables d’UMMO sont totalement différentes de celles de la TERRE, mais même au niveau des animaux pluricellulaires complexes, il est presque impossible de trouver de grandes analogies avec les espèces connues terrestres.
La formule qu’exprime le BAAYIODIXAA UUDIII est une fonction complexe dans laquelle sont intégrés une multitude de paramètres comme: Accélération de la Gravité, Ozonisation de l’atmosphère, intensité de radiation Gamma, pression et composition atmosphérique, spectre et radiation solaire, cycle gravitationnel d’éventuels satellites et des planètes voisines, gradients électrostatique atmosphérique, courants électriques telluriques, etc, etc… qui, avec la composition (en pourcentage) des éléments chimiques de l’écorce de la Planète, permet de prévoir qu’elle sera l’orientation évolutive des être vivants indépendamment d’autres facteurs qui peuvent l’altérer comme par exemple des radiations qui provoquent des mutations et auto-sélections par l’influence imprévisible du milieu.
Cette formule ou coefficient est d’une importance transcendantale quand il s’agit d’analyser la possibilité d’un voyage interplanétaire. Mais malheureusement, il n’est pas facile de connaître sa valeur exacte sans une étude laborieuse « in situ ». Sans elle, les explorateurs risquent de s’introduirent dans un milieu biologique adverse dans lequel ils peuvent être victimes non seulement de maladies infectieuses et contre de tels germes l’organisme – déjà adapté à un autre environnement – n’a pas les plus élémentaires défenses, et, s’il n’y a pas les moyens prophylactiques convenables, l’OEMII peut périr irrémédiablement à partir du moment où la carence de l’équipement protecteur de l’épiderme et organes externes expose ceux-ci à l’influence du nouveau milieu.
Ces équipements protecteurs sont différents des scaphandres spatiaux que vous utilisez pour l’exploration extérieure et sous-marines. L’individu est doté d’un nouvel épiderme plastique qui permet la transpiration en empêchant en même temps l’infiltration à travers ses pores d’agents chimiques et biologiques. Au préalable on dispose, près des orifices naturels, une série de dispositifs avec des fonctions adaptées aux nécessités de chaque organe. Ainsi: des capsules placées dans les fosses nasales fabriquent de l’oxygène et de l’azote à partir de la transmutation du carbone pur. De plus: l’anhydride carbonique est capté par le même dispositif décomposé en éléments basiques, carbone et oxygène, et sont transmutés (vous dites transmutés, terme qui nous parait incorrect) le premier avec une libération d’énergie qui est utilisée pour le réchauffement de l’épiderme.
Les yeux et la bouche sont convenablement protégés. Ainsi les premiers sont équipés avec un système optique composé par des lentilles de gaz qui, contrôlées par un ordinateur, permettent l’adéquation de la vision, aussi bien dans un milieu atmosphérique que dans le vide des espaces sidéraux.
Un double tube qui conduit à un équipement situé dans la région lombaire et se termine par un dispositif assujetti à la lèvre inférieure. Le tube est doté, à l’intérieur, de cils mécaniques qui poussent lentement en son sein des capsules qui contiennent divers aliments concentrés. Ces capsules, de section elliptique, sont protégées par une très mince pellicule gélatineuse très soluble dans la salive. Un signal transmis d’une manière codée par la paupière (en ouvrant et en fermant celle-ci un nombre-séquence de fois) pousse différentes capsules jusqu’à la bouche pour l’alimentation du frère explorateur. L’autre conduit transporte un sérum nutritif avec différentes concentrations régulées. L’eau nécessaire est obtenue en grande partie par la propre urine de l’individu (après un processus d’élimination de sels, purification intégrale et durcissement de l’eau chimiquement pure par des carbonates.)
Les oreilles sont pourvues de sondes transducteurs acoustiques excités par un UAXOO-AAXOO (émetteur récepteur par ondes gravitationnelles) qui sert pour transmettre de courts messages parmi les membres du groupe. Les messages ou conversations d’une certaine durée se réalisent presque toujours par voie télépathique.
Une sonde qui est introduite dans le rectum, au travers de l’anus, recueille les matières fécales préalablement traitées par un courant turbulent d’eau à 38° terrestres avec une succion provoquée par un dispositif fixé sur les fesses. Là elles sont décomposées en éléments chimiques de base. Une partie de ceux-ci est gazifiée et transmutée en oxygène et hydrogène qui serviront pour obtenir synthétiquement de l’eau, liquide qui compensera le cycle urine-eau par ingestion dans ces pertes de transpiration. Le reste de ces éléments est transmuté en IODE qui sera expulsé à l’extérieur sous forme gazeuse.
Une fois tous ces dispositifs placés (tous de petits volumes) sur son épiderme, l’individu nu est pulvérisé avec des aérosols protecteurs différents. Tous forment une fine pellicule élastique qui constitue un véritable épiderme protecteur. Le sujet jouit ainsi d’une liberté de mouvement et peut s’habiller avec des vêtements spéciaux et se mouvoir librement au sein d’une atmosphère adverse au point de vue biologique. Ce nouvel épiderme, cette nouvelle peau, ne protège pas des effets expansifs de la pression sanguine s’il se trouve par exemple à la surface d’un astéroïde pratiquement dépourvu d’atmosphère.
Dans ces cas, l’explorateur n’utilise aucun scaphandre spécial supplémentaire. La couche la plus superficielle est recouverte maintenant par une nouvelle couche élastique métallisée qui, observé avec un dispositif optique de fort agrandissement, présente une structure réticulaire (une authentique maille). Ainsi les mouvements corporels sont maintenant plus lents à cause de la plus grande rigidité du système mais il n’empêche pas lea mobilité générale de l’OEMII.
En plus de ses équipements individuels, les expéditionnaires sont équipés de dispositifs pour la conversion de l’azote, du carbone, de l’oxygène, de l’hydrogène, de l’eau en hydrates de carbone et autres composants basiques pour l’alimentation d’urgence, à utiliser sur OYAAGAA au cas où les molécules protéiques, aminoacides et esters des aliments terrestres soient inverses de ceux d’UMMO (vous savez tous que chaque molécule organique asymétrique peut adopter deux formes dans l’espace: dextrogyre ou bien lévogyre).
Il fallait aussi des appareils pour la purification de l’eau et sa synthèse, équipements de sondage, de photographie (nous utilisons d’autres systèmes de fixation des images, donc dans ce cas le mot photographie est incorrect), les équipements XOOIMAA UYII ( sonde géologique) UULUEWAA (dispositif qui permet de capter des sons et prendre des images ou contrôler les différents facteurs physiques du milieu, contrôlé à distance), ainsi que les dispositifs de défense dont nous ne pouvons vous révéler la nature pour des raisons évidentes. La dotation était complétée par des détecteurs spéciaux pour la mesure des grandeurs physiques, enregistrement de fonctions géologiques et atmosphériques, équipements de télémétrie, analyse moléculaire et spectrale.
Comme nous vous le disions dans un rapport précédent, on étudia à fond la stratégie à suivre face aux habitants de OYAAGAA (Planète Terre). Nous ignorions les moyens de détection ou contrôle à distance que vous possédiez. Ainsi par exemple pendant notre voyage d’étude que nous vous avons déjà relaté, on a enregistré des émissions d’ondes en 1347 mégacycles et en 2402 Mo (que vous appelez ondes décimétriques) et si nous ignorions que de telles bandes étaient assignées aux services de radiolocalisation (RADARS TERRESTRES) et de toute manière nous avions assigné une valeur probabiliste à une telle possibilité. Si malgré tout nos frères n’étaient pas détectés, ils avaient ordre de monter un observatoire souterrain doté d’installations d’urgence pour l’obtention synthétique de l’eau et des dépôts d’aliments basiques laissés par nos UEWA (NEFS). De même des installations pour l’obtention synthétique (d’urgence) d’hydrates de carbone et lipides (graisses comestibles) à partir de la transmutation du silicium et aluminium (nous connaissions l’existence des argiles sur la surface terrestre) apporteraient une solution, en dernier recours, au problème de l’alimentation au cas où se prolongerait d’une manière angoissante l’existence forcée si nos OAWOLEA UEWA (vaisseaux) tardaient à venir.
A partir de l’observatoire, on commencerait tout un cycle d’études des caractéristiques géologiques, atmosphériques et biogénétiques de cette planète. Il était donc impossible de prévoir le tour que prendrait la situation et jusqu’à quel point serait possible l’observation de la structure psychologique du Réseau Social Terrestre. Les décisions par rapport à la forme d’action pour étudier les hommes de la Terre devraient être adoptées par les expéditionnaires une fois sur la planète inconnue.
Tous nos vaillants expéditionnaires avaient de la famille sur UMMO: OOEOEE 95: 4 enfants. UURIO 79 et ADAA 66: 2 enfants, les autres un enfant chacun. Tous savaient ce à quoi ils s’exposaient; nous connaissions des précédents malheureux où la mort de nos frères fut la conséquence de notre esprit scientifique. Nous maintenons sur UMMO une mentalité grégaire si développé qu’il n’y a pratiquement pas de problèmes graves de discipline dans notre réseau social. L’OEMII (homme) peut se sentir humilié quand il doit obéir à un supérieur beaucoup plus jeune que lui ou de sexe opposé, mais il se soumet de bonne grâce, tout en conservant le droit de pouvoir être en désaccord idéologiquement avec son supérieur et le lui exposer chaque fois que son point de vue est argumenté. L’OEMII de UMMO est aussi beaucoup plus libre que l’homme terrestre dans les relations hiérarchiques, Mais les conditions exceptionnelles exigées dans une expédition interplanétaire demandent un renforcement des critères disciplinaires au niveau des relations entre les membres du groupe expéditionnaire. Ceux-ci choisissent librement (une fois sélectionnés en fonction de leurs aptitudes psychosomatiques spéciales) leur conformité avec les sévères normes du groupe.
Aucune forme de serment n’est nécessaire, aucune expression solennelle d’obéissance comme certains ordres religieux de la Terre. A partir du moment où nous acceptons de nous intégrer au petit groupe de voyageurs, nous savons clairement que notre volonté doit être absolument annulée par celle de notre supérieur. Qu’il soit homme ou femme, nos corps sont entièrement à sa disposition. Vous comprendrez que nous allons être immergés dans un monde étranger et peut être même adverse, où l’indiscipline d’un membre peut gravement se répercuter sur les frères expéditionnaires et sur les intérêts scientifiques de l’UMMOAELEWE et sur notre Réseau Social d’Ummo. La punition minime d’une transgression peut constituer à nous présenter devant notre supérieur en subissant l’humiliation (très importante pour notre psychologie) d’être totalement dénudé devant lui. Les punition physiques proscrites depuis très longtemps sur UMMO peuvent être appliquées avec une rigueur extrême comme la perte de la vie. Mais ces dernières sanctions n’ont pas été nécessaires depuis notre premier voyage sur Terre.
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A 4 heures 16 minutes 42 secondes TMG (heure terrestre de GREENWICH), on effectua l’OAWOOLEAIDAA (ce mot est intraduisible en langage terrestre) . On appelle ainsi l’instant critique pendant lequel le vaisseau interplanétaire UEWA OEMM avec ses pilotes subit une inversion axiale de ses particules subatomiques ce qui suppose la substitution d’un système référentiel à trois dimensions par un autre. Ce changement de dimensions nous est nécessaire pour réaliser un voyage en utilisant la distance réelle la plus courte, différente évidemment de celle que parcourt la lumière dans l’autre système référentiel de l’espace tridimensionnel dans lequel nous vivons normalement. L’Owooleaidaa, vue par un observateur qui se trouve sur TERRE, présente des particularités très singulières. Par exemple, l’UEWAA (Nef interplanétaire de forme lenticulaire) apparaît soudainement comme surgie du néant ou disparaît automatiquement quand le processus est inverse. En réalité la disparition est apparente car le vaisseau continue à exister au sein d’un autre système à trois dimensions. Néanmoins un autre vaisseau qui désirerait le poursuivre à l’intérieur du même cadre tridimensionnel non seulement il ne pourrait pas le voir, mais il ne pourrait plus établir aucun contact avec lui (tant contact mécanique que radioélectrique ou gravitationnel). La vive couleur au ton orangé que diffusent nos UEWA est due à une incandescence particulière provoquée artificiellement pour les décontaminer de tous type de germes vivants qui pourraient adhérer à sa surface. Sans adopter cette précaution, ces germes seraient aussi inversés tridimensionnellement et portés sur notre planète avec les conséquences imprévisibles d’ordre biologique faciles à deviner.
Il y a une autre caractéristique facilement observable: le très fort champ magnétique qui apparaît autour de l’axe de symétrie de nos vaisseaux, (et peut être aussi dans d’autres vaisseaux spatiaux appartenant à d’autres êtres extraterrestres). Ce champ magnétique qui atteint de nombreux milliers de Webber / mètre², n’est pas comme on pourrait l’imaginer, un indice sur le fait que notre système de propulsion soit magnétodynamique. Cette forte induction magnétique n’est que l’inversion axiale, d’un angle de 90°, de l’intensité du champ électrostatique produite par un puissant générateur dont la fonction consiste à inverser les particules subatomiques du vaisseau et de ses passagers (Souvenez-vous que les vecteurs représentatifs des champs gravitationnels, électrostatiques et magnétiques forment un trièdre au sein de l’espace pluridimensionnel. Les trois champs sont en réalité identiques. C’est notre perception physiologique illusoire, qui leur attribue une nature différente selon leur orientation).
Bien, nous répétons; à l’heure citée, trois de nos OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux) « apparurent subitement » en un point situé à la hauteur de 7,338 kilomètres au-dessus d’un endroit situé à quelques 13 km de la ville française de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE (Département des Basses Alpes), non loin de la frontière de la République Cantonale et Fédérative de Suisse. C’était le 28 mars 1950. Les trois nefs descendirent rapidement touchant terre à 4 heures 17 minutes 3 secondes TMG.
Les pieds extensibles des vaisseaux s’enfoncèrent à peine dans le terrain rocailleux d’un contrefort alpin, non loin de celui que nous avons identifié par la suite comme Pic « CHEVAL BLANC » haut de 2322,95 m au dessus du niveau moyen de la mer et non loin du petit cours fluvial de » LA BLEONE ».
Durant quelques 20 UIW (60 mn), personne ne sortit de nos vaisseaux, en attendant une attaque possible. Nos équipements sondèrent dans un rayon de 800 mètres l’émission possible de radiations infrarouges provenant d’être humains.
Une grande nébulosité empêchait à ces heures de la nuit la vision directe des alentours. Les images obtenues dans la longueur d’ondes de 740 millimicrons permirent néanmoins de visualiser les alentours. Des plantes d’une morphologie étrange croissaient dans les environs. La morphologie érodée du terrain permettait de reconnaître quelques accidents accusés comme le lit de la rivière citée. Jusqu’au matin suivant l’on ne parvint pas à identifier la nature d’un groupe de lumières blafardes qui apparaissaient en trois points définis dans le lointain.
Rassurés parce n’apparaissait aucune trace détectable d’êtres humains dans les environs, quatre de nos frères non expéditionnaires descendirent, parmi les trente six qui composaient la dotation totale des trois nefs.
Ils étaient munis d’équipements protecteurs et de dispositifs de défense. L’une des UEWA se maintenait suspendue à 30 centimètres du sol pour couvrir leur retraite en cas d’attaque. Par couple, ils se consacrèrent pendant 10 Uiw (30 mn) à l’exploration des environs, sondant continuellement le sol pour détecter d’éventuels bruits souterrains provenant d’installations humaines dans le sous-sol. De telles précautions peuvent vous paraître ingénues, mais pour nous, à cette époque là, l’hypothèse de l’habitat souterrain des êtres humains n’était pas encore écartée, loin de là.
Néanmoins l’endroit paraissait désertique. Furent recueillis du sol quelques insectes et arrachées quelques espèces végétales identifiées ensuite selon la classification botanique de la Terre comme: »Valériana celta » et « Erica Carnéa ». Celles-ci furent emmenées dans le Vaisseau où tous purent les examiner avec une curiosité réjouie. Comme il fallait s’y attendre, la morphologie de ces petits animaux et plantes différait des espèces connues sur UMMO.
Peu après sortaient les six expéditionnaires accompagnés de vingt membres de l’équipage. Il était nécessaire de commencer les travaux d’une construction souterraine d’urgence. On réalisa une évaluation expérimentale des caractéristiques du sol. Ce qui nous frappa le plus ce fut l’absence de Titane dans la composition chimique des roches de la terre (Sur notre sol d’UMMO, cet élément chimique est aussi fréquent que l’aluminium dans les argiles terrestres). Furent aussi détectés de nombreux phénocristaux inclus dans des roches porfidiques. La désagrégation des roches ignées était de plus évidente en constatant la composition dosimétrique de sable et argile. Les carbonates et les silicates abondants permirent d’élaborer une hypothèse de l’évolution géologique de ces terrains.
Il était nécessaire de réaliser la perforation en fondant à grande température des grés et des calcaires. La haute composition siliceuse du sol provoqua au début un sérieux problème qui fut rapidement résolu. Les matériaux ainsi fondus furent transmutés en un isotope d’azote. De cette façon, à l’extérieur n’apparaissaient pas des tas de terre qui auraient révélé notre présence à d’éventuels observateurs humains terrestres.
L’on travailla toute la nuit jusqu’à 7 heures. Peu avant l’aube nos UEWA se déplacèrent dans un petit bois d’étranges arbres à feuilles filamenteuses identifiés ensuite sous le nom terrestre de « PINUS MONTANA ».
La galerie, ouverte dans le sous-sol d’une longueur de 4 mètres et d’une profondeur de 8 mètres fut étayée avec des IGAAYUU (sortes de CINTRES extensibles modulaires d’un alliage de Magnésium très léger), se maintenait à une température très élevée (quelques 500 degrés) bien que la fusion au moyen d’un processus énergétique nucléaire des produits ou des composés du sous-sol s’accompagne ensuite d’un refroidissement très rapide. De plus il était nécessaire de résoudre le problème de la condensation de vapeur d’eau sous forme de petits nuages qui en émergeant de la galerie en une haute colonne pouvaient révéler notre présence. Il fut nécessaire d’obturer la bouche du tunnel ou galerie avec une plaque plastique et de recueillir aussi par aspiration les fumées produites à partir de la combustion des substances organiques du sol.
Le nouveau jour réserva aux expéditionnaires un beau et nouveau spectacle. Pour la première fois ils se trouvaient face à un nouveau monde, une structure géologique nouvelle. Le ciel était plus indigo que sur UMMO. De nombreux strato-cumulus couvraient ce jour là le ciel de la région. Bientôt furent remarquées la présence de deux structures artificielles (habitations humbles) situées à 1,3 km et 1,9 km respectivement. L’origine des lumières aperçues le matin fut parfaitement éclaircie. Elles correspondaient aux citées ou petites localités de DIGNE et LA JAVIE. La forme anarchique des étranges constructions attira notre attention. Dans DIGNE apparaissait dominante, une étrange tour que nous sûmes bientôt correspondre à une ancienne Cathédrale Catholique Romane du XIII siècle. Les instruments optiques de fort grossissement révélèrent les images des premiers êtres terrestres. L’on ne notait aucune activité exceptionnelle ou de la nervosité parmi ces personnes sûrement ignorantes de la présence de nos frères dans leur voisinage.
On trouva, à 200 mètres, d’étonnants piliers prismatiques, avec d’autres matériaux artificiels. Tout était en ruines. On se trouvait devant la première œuvre enregistrée et provenant d’êtres humains terrestres. Plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’un ancien petit hangar pour le stockage d’aliments, mais la découverte remplit nos frères d’émotion. On prit des échantillons des piliers et on radiographia l’intérieur. L’analyse montra la présence d’une substance agglutinante de mélange complexe dans laquelle intervenait du sulfate calcaire, des alumines et des petites quantités d’oxydes minéraux (plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’un ciment sur-sulfaté) et de fragments de roche et sable en proportion et dosage presque constant (plus tard nous avons su qu’il s’agissait d’agrégats pour le béton). L’analyse interne de ces colonnes présentait des baguettes de composition ferrique évidente.
Le document continuera.
NOS PREMIERS JOURS SUR LA PLANETE TERRE
Dans les rapports précédents nous vous avons fait un résumé historique de notre arrivée aux environs de DIGNE (FRANCE), département des Basses Alpes. Trois de nos OAWOOLEA UEUA OEEMM (vaisseau de structure lenticulaire) descendirent en un point situé à un niveau de 7,3379 km près de la ville française déjà citée. L’instant de notre OAWOOLEAIDAA (nous appelons ainsi le processus physique d’inversion des corpuscules subatomiques qui permettent l’orientation de tels vaisseaux à travers un autre axe dans les voyages spatiaux) a été enregistré par nous dans la version horaire de la planète Terre comme 4 heures, 16 minutes, 42 secondes T.M.G. (avec une marge d’erreur de +/- 6 secondes).
En date du 28 mars 1950. (Ndr: un mardi)
(ATTENTION) Le 8 novembre 1965 nous avons remis, par l’intermédiaire de l’un de nos frères UDIIE 36, fils de UDIEE 34 alors aux États- Unis, un petit rapport très résumé sur notre arrivée sur Terre au médecin terrestre Dr. Peter Welter. Notre frère dicta comme heure d’arrivée 4 heures 23 minutes (sans spécifier de marge d’erreur probable). Une enquête plus soigneuse au niveau de la conversion de nos éléments dimensionnels de Temps, en les comparant avec le registre de signaux radioélectriques émis à ces moments-là par des centres émetteurs de la République Française et la République Helvétique et captés par nos équipements, ont permis de rectifier la première appréciation horaire faite en vérifiant les courbes barométriques et thermiques d’un observatoire météorologique français avec nos propres éléments sur l’atmosphère terrestre à notre arrivée.
Six de nos frères (quatre GEE et deux YIEE) descendirent ce matin là (voir le rapport que nous vous avons remis). Nous vous disions que la première opération réalisée fut de creuser une galerie pour mettre les équipements des expéditionnaires et qui puisse en même temps servir d’abri préservé face à une hypothétique attaque des terrestres.
On entreposa dans cette galerie des aliments synthétisés qui auraient permis à nos frères de survivre durant 240 XII (un Xii équivaut à une rotation de notre planète, quelques 30,9 heures).
Le 29 mars, ils terminèrent les travaux d’adaptation de la Galerie souterraine. Il fut nécessaire d’accélérer la réfrigération de ses parois pour permettre le stockage du matériel. Les ingénieurs terrestres peuvent être surpris par ce fait en rapport avec la réfrigération. C’est parce que nos méthodes d’excavation sont différentes de celles des terrestres. Nous utilisons la fusion à très haute température des roches, sables et limons du terrain, en contrôlant l’expansion des gaz qui sont immédiatement transmutés en azote et oxygène. En plus d’obtenir une plus grande rapidité, nous évitons ainsi de multiples effets secondaires comme les expansions qui ont lieu au moment de la transformation de l’anhydride en gypse par contact avec l’eau). Bien entendu on réalise à l’avance une étude géologique du terrain, non pas par des méthodes sismographiques ou de sonde électrique mais par l’analyse avec un procédé stéréographique semblable aux rayons X terrestres; on obtient ainsi une image qui révèle non seulement la composition des différentes strates mais aussi la position des vides situés à une grande profondeur. Les systèmes de coffrage gardent une certaine ressemblance avec les terrestres (Sur UMMO on construit par exemple les modules de coffrage « in situ ». La silice et le titane des roches une fois fondus sont transmutés en magnésium et aluminium avec lesquels on construit les IGAYUU (arcs métalliques semblables aux cintres terrestres).
Nous disions qu’il fut nécessaire d’accélérer les travaux à cause de l’inquiétude qui pesait sur les expéditionnaires. En premier lieu on ignorait si les conditions isodynamiques de l’espace allaient varier dans les UIW suivantes (UIW , unité de temps de UMMO) en empêchant le retour dans des conditions de temps acceptables, du reste de l’équipage. En second lieu, la nuit antérieure les UEWA OEMM (ASTRONEFS) avaient été transportés vers un bosquet de pins voisins, mais malgré cela on craignait la possibilité qu’ils puissent être vus par des habitants terrestres. Il était donc pas prudent de les laisser stationner là et le 29 mars à 11 heures du matin (heure française) les explorateurs et les membres de l’équipage célébrèrent un émouvant départ. Nous avons des images de ce départ. Les mains de chacun sur la poitrine de son frère comme c’est notre coutume, indiquèrent le moment du départ; personne ne prononça une parole. Les yeux disaient tout. 30 membres d’équipage montèrent dans les vaisseaux. Rapidement ceux-ci commencèrent le processus de l’AIAIEDUNNII (les zones superficielles extérieures élèvent leur température jusqu’à l’incandescence) de cette manière les germes vivants sont détruits pour obtenir une stérilisation parfaite; cette mesure est nécessaire car aussi bien les micro-organismes que les virus peuvent être inversés dans leurs dimensions et réaliser le voyage spatial, arrivant jusqu’à notre Planète.
Les trois UEWA s’élevèrent à une hauteur de six kilomètres. Les explorateurs contemplèrent leur disparition apparente quand se produisit à cette altitude la seconde OAWOOLEAIDAA pour le retour.
Ce même jour deux de nos frères reçurent l’ordre de réaliser une première exploration à une certaine distance de la galerie pendant que les autres poursuivaient les travaux dans celle-ci.
L’entrée de la galerie se trouve sur l’un des contreforts montagneux de la région, pas très loin du pic du « Cheval Blanc ». De là on domine toute la vallée dans laquelle coule la rivière Bléone. Avec un bon instrument optique on voit parfaitement les édifices de Digne, sa vieille cathédrale et même fragmentairement l’on peut observer le Bès et quelques tronçons du chemin de fer. On peut également observer parfaitement le hameau de La Javie et quelques constructions humbles des environs. Comme information intéressante nous vous dirons que l’historique galerie existe encore, renfermant à l’intérieur une partie de l’équipement scientifique d’origine qu’emmenèrent nos frères. Son accès est parfaitement camouflé. Le jour, peut-être pas très lointain, où nous nous présenterons officiellement aux Organes gouvernementaux de cette Planète nous ferons la donation de ses installations au Gouvernement Français, comme remerciement symbolique de notre civilisation à celle des Terriens.
La première exploration de nos deux frères, effectuée dans la soirée du 29 mars donna un résultat imprévu pour nous. Pour vous l’incident peut vous paraître vulgaire et de ce fait vous jugerez notre pondération ingénue et même comique, mais le résultat impressionna fortement nos frères. Pour mieux nous faire comprendre, il est nécessaire que vous vous placiez dans le cadre mental d’un OEMII (hommes) qui venaient juste d’arriver sur une planète inconnue dont ils ne connaissaient, au niveau des moyens d’expression, que quelques sons modulés enregistrés par nos équipes de détection radioélectrique et dont le jargon inintelligible n’offrait pas encore des bases sérieuses d’étude.
Vers les six heures de l’après midi de cette date, ADAA 66, fils de ADAA 65, maraudant dans les environs en compagnie d’un autre frère et pendant qu’ils arrachaient par-ci par-là des petites branches et des feuilles pour les analyser ensuite, dans les arbustes inconnus, observa aux environs de deux grands arbres, des pierres amoncelées et noircies. La structure des fragments de roche permettait de les identifier comme étant des calcaires; des cendres répandues autour faisaient deviner qu’elles avaient été utilisées pour un feu, mais ce n’était pas cela le plus intéressant. A 1,8 Enmoo (1 ENMOO = 1,9 mètres) ils localisèrent des fragments d’une lamelle blanche jaunâtre, flexible et fragile, froissée et pleine de caractères ou signes de manière évidente écrits par des êtres humains. Trois d’entre eux paraissaient tachés par des matières fécales. Une multitude d’animaux volants inconnus prirent leur envol (on peut penser qu’il s’agissait de mouches et moucherons).
La découverte fut jugée transcendantale et ils retournèrent immédiatement à la galerie. La structure microscopique de ces feuilles fut très vite analysée. La texture était inconnue pour nous, en effet sur UMMO l’on n’utilise pas la pâte de cellulose pour la fabrication du papier. Les signes ou caractères codés révélaient qu’ils n’avaient pas été manuscrits mais imprimés au moyen de moules standard. Sans aucun doute, l’on avait employé un liquide pour l’impression (encre d’imprimerie), ceci était étonnant pour nous car en effet nos anciens systèmes d’impression de caractères pour leur lecture, soit employaient un système électrostatique de projection de poudre colorée, soit brûlaient légèrement la surface de la feuille imprimée. (Actuellement nos systèmes de fixation d’images et de caractères se basent sur le virage des molécules de la feuille où l’on va procéder à l’impression, les transmutant en d’autres de type chromatique. C’est à dire que l’on ne transfère pas par l’intermédiaire d’un caractère d’encre mais que l’on provoque une réaction chimique sur la surface imprimée même). La présence de matières fécales constitua au début une énigme. L’analyse de l’excrément révéla la présence de cellules épithéliales sans doute issues des glandes intestinales humaines.
L’on fit une liste des hypothèses probables. La plus soutenue était de lui attribuer un caractère rituel. Peut-être les humains, quand ils étaient en désaccord avec les idées exprimées dans un document écrits, le barbouillaient-ils avec leurs matières fécales. Entre ces suppositions l’on fit également celle qui maintenant semble évidente à tous (Sûrement un berger avait du utiliser ce fameux journal à des fins hygiéniques).
Vous comprendrez mieux cette polémique en sachant que les UUGEEYIE (enfants) d’UMMO ont depuis la naissance, un dispositif dans le rectum dont le conduit final ou tuyère sort par l’anus. Les matières fécales sont liquéfiées par un processus de transformation par enzymes, ensuite un autre processus de gélification et d’expulsion électrostatique élimine du tube expulseur les résidus qui pourraient encore s’y trouver. Il n’est donc pas nécessaire de procéder au nettoyage après défécation comme le font les terrestres. D’autre part nos ancêtres employaient une substance spongieuse pour le nettoyage après la défécation.
Mais sans aucun doute c’était l’origine des résidus qui tâchaient le quotidien ou journal (comme nous le savons bien maintenant). Ces fragments sont déjà historiques pour nous. L’original, dont il manque une feuille et divers fragments, est conservé sur UMMO tel qu’il fut trouvé, conservé à l’intérieur d’une masse gélatineuse transparente et à température constante de YIIEAGAA (on appelle ainsi une technique qui vous est inconnue et grâce à laquelle une structure biologique est conservée à basse température avec un contrôle des degrés des températures en chaque point, car certaines zones ou tissus ne supportent pas de basses températures sans que la congélation de l’eau ne provoque la destruction de la cellule pendant que dans d’autres points, il convient de les maintenir à un autre niveau thermique).
Ce fameux exemple du journal qui a constitué le premier document imprimé que nous avons pu obtenir correspond à un numéro publié en langue française « LE FIGARO » Samedi Dimanche 25-26 mars 1950.
Les caractères étrangers laissèrent nos frères perplexes. Le plus encourageant et suggestif de cette étrange pièce étaient les dessins et les photographies (bien sûr nous ignorions la simple technique de la photogravure directe ).
Sur la page que nous avons identifié par la suite comme étant la première, apparaissait précisément une caricature signée par un humoristique français J. Sennep. C’était un croquis d’une Bombe Nucléaire d’Hydrogène avec sur son ogive la caricature d’un homme politique français. La légende était la suivante:
BATAILLES PARLEMENTAIRES
S’ils nous embêtent, nous avons la bombe H
On notait aussi des grands titres comme:
L’URS EST FAVORABLE A UNE SESSION SPÉCIALE DU CONSEIL DE SÉCURITE POUR RÉGLER LES DIFFÉRENCES EST-OUEST
et d’autres comme:
SÉRIE NOIRE DANS L’AVIATION TROIS CATASTROPHES AÉRIENNES ONT FAIT 19 MORTS
AIDE IMMEDIATE A L’INDOCHINE
Au dos du papier, taché par les excréments, il y avait une image exceptionnellement intéressante pour nous. On voyait un être humain adulte avec deux UGEEYIE (nous ne pouvions identifier clairement le sexe. Ensuite nous avons su qu’il s’agissait d’une dame avec des enfants des deux sexes). On pouvait apprécier la facture des vêtements (n’oubliez pas que l’un de nos casse-tête était constitué par la vérification de la manière dont vous étiez habillé). Au-dessus du dessin apparaissait un texte qui, à ce moment là, était inintelligible pour nous, et qui disait MONDIAL NURSERY.
Pour finir de nous tromper sur le type de vêtements terrestres, apparaissait dans une autre page du journal (page 6) une photo d’un autre être humain (une dame) vêtue à la mode classique correspondant à la représentation théâtrale de « Malborough » de Marcel Achard, représentation qui venait de s’achever au Théâtre Marigny.
Cette découverte documentaire était pour nous donc d’une importance transcendantale. Mais nous ne connaissions aucun moyen scientifique pour pouvoir interpréter les caractères. Il n’y avait pas de relation directe entre les images et le texte. Nous ignorions si ces symboles représentaient des chiffres ou des idéogrammes ou si l’on pouvait considérer comme représentatifs de sons complexes ou de phonogrammes sans intégration.
Que faisait ce document en pleine campagne? Nous ne pouvions croire qu’il avait été posé là pour nous étant donné que l’excrément présentait des symptômes de dessèchement commencé avant notre arrivé sur la Planète Terre.
Le 30 mars 1950, deux de nos frères virent des animaux vertébrés avec des protubérances pointues sortant du crâne. Au total ils en comptèrent huit. Elles paraissaient situées à une distance de 350 mètres terrestres. L’on donna des ordres opportuns pour une approche en étant pourvus d’équipements de défense. Nos frères allaient couverts d’EEWEEGOO (vêtements). Leur aspect extérieur était celui de vulgaires bleus de travail terrestres très serrés. En réalité il s’agit d’une fine pellicule qui a été pulvérisée au moyen d’une tuyère d’aspersion sur l’épiderme du thorax, du dos, des bras et des jambes. C’est une substance dont la base principale est constituée par un composant de silice en dissolution colloïdale dans un produit volatile. Ce liquide en étant pulvérisé sur la peau évapore immédiatement le diluant laissant cette dernière recouverte d’une légère couche ou pellicule opaque et poreuse de caractère anti-électrostatique. C’est le seul vêtement que nous utilisons quand nous travaillons en contact intime avec la nature.
Sa couleur varie en fonction de certaines circonstances de travail. En général il faut utiliser un code couleur quand un tel équipement est utilisé sur notre planète. Cependant nos frères d’UMMO déplacés à cette époque adoptèrent une couleur grise dans un souci de camouflage efficace. Nous vous expliquons ces petits détails car l’incident que nous allons vous raconter fut à cette époque là très surprenant pour nous.
Nos deux frères se mirent en marche vers le troupeau d’animaux que nous vous avons indiqué. Il s’agissait simplement de vaches et de bœufs mais à ce moment là un tel animal inconnu sur UMMO nous était totalement étranger. Seule l’évidence des mamelles permettait d’identifier le sexe de ces êtres.
Enfin ils arrivèrent aux environs de ce groupe. Avant de s’approcher d’avantage, ils commencèrent les opérations habituelles d’enregistrement de sons et images et le procédé de détection des champs électrostatiques et gravitationnels émis par ces animaux. Se trouvant à une distance de 15 mètres terrestres ils observaient avec fierté la conduite particulière de ceux-ci, qui tout en ayant remarqué la présence de nos frères, continuaient à paître sans bouger.
Soudain apparût de derrière un grand rocher des environs un être humain. Sans doute adolescent, vêtu d’une forme étrangère à nos toilettes. Ses vêtements ne ressemblaient pas aux images qui avaient été enregistrées jusqu’alors. Le sexe de l’enfant s’avéra être masculin, mais au début il fut impossible de l’identifier en tant que tel. Il s’agissait d’un enfant de 11 ans qui surveillait le troupeau de son père, mais tout cela nous devions le savoir plus tard comme nous vous le raconterons.
La surprise et l’inquiétude instantanée de nos frères furent très élevé. Sans bouger de leur position, ils sollicitèrent des instructions du Chef de la base souterraine en utilisant un code digital (ndt ? » dactilar ») pour que le nouvel arrivant n’observe aucun mouvements des lèvres.
L’enfant avait dans les mains une substance blanc-jaunâtre (Pain) qui contenait aussi un produit noirâtre (il s’agissait sûrement de confiture ou de charcuterie, le rapport ne le spécifie pas), qu’il mangeait tranquillement sans se troubler devant la présence de nos frères qu’il regarda avec attention sans paraître trop surpris.
Le petit UUGEE leur adressa quelques mots évidemment inintelligibles. Ensuite, en voyant qu’il n’obtenait pas de réponse, il s’approcha encore plus et en mettant les mains devant le front, il les regarda avec plus d’attention. Il est étonnant de constater la série d’équivoques qui suivit. Analysant par la suite la conduite de l’adolescent ( il s’appelait Pierre), il fut évident que le geste de se mettre la main sur le front était simplement pour se protéger du soleil étant donné que nos frères étaient de dos au soleil, mais ils interprétèrent une telle mimique comme un salut et ils firent le même geste, ce qui dut surprendre encore plus l’UUGEE.
Le jeune français, en voyant l’attitude passive de nos frères, appela son troupeau et se retira en saluant timidement. Les explorateurs qui, durant tout l’incident n’avaient pas bougé de leur poste suivant ainsi les instructions du Chef de notre groupe, retournèrent à la Galerie BASE profondément préoccupés. Immédiatement commença un débat pour étudier la situation. La surprise fut si grande que l’on n’avait même pas enregistré des images de l’enfant terrien, ce qui aurait peut-être aidé moyennant l’analyse des gestes à interpréter l’attitude de celui-ci. La situation fut jugée si grave qu’ils décidèrent qu’il convenait de se mettre absolument en contact avec UMMO par voie télépathique . Mais après tout il était juste de reconnaître que des situations comme celle-là et même pires avaient été prévues avant l’arrivée sur OYAAGAA (Planète Terre).
Le degré d’incertitude sur ce qui pourrait arriver était si insoluble, que l’on opta pour les mesures de défense et de protection qui se révélaient les plus adaptées dans cette situation. L’entrée de la Galerie fut fermée et camouflée, décidant de ne pas sortir de là avant un temps de 1200 UIW (60 heures). L’unique contact avec l’extérieur était constitué par les dispositifs d’aération et ceux de vision optique et d’enregistrement des images, sons et champs de forces.
Le 31 mars 1950, et 467 UIW (23 h) depuis l’incident sérieux que nous venons de vous raconter on n’observa pas de signes extérieurs anormaux, aussi bien dans les environs que dans le village de la JAVIE (le seul accessible par les champs optiques des équipements d’observation). Le 31 donc, vinrent croiser à une distance de 377 ENMOO (630 mètres) le groupe de vaches vu la veille (neuf exemplaires cette fois-ci) et le même UGEE. Cette fois-ci son image fut captée fidèlement au niveau de ses mouvements et amplifié si bien en ce qui concerne les détails de sa morphologie physiologique que de sa tenue.
Dans les cinq cent UIW (25 h) qui suivirent, on capta les images de deux autres êtres qui croisèrent le champ optique d’observation, mais à une plus grande distance de la route suivie par le UGEE. Il s’agissait de deux hommes adultes.
En faisant un bilan rétrospectif des ces journées, nous devons nous étonner de ce qui arriva. Les faits ayant été déduit plus tard après diverses discussions avec les personnes qui prirent part aux événements. Par exemple, il est incroyable que l’enfant Pierre…… (nous omettons son nom pour des raisons évidentes) qui vit actuellement, ne se soit pas plus étonné par notre tenue et ne court pas nous dénoncer à ses parents ou aux autorités de Digne. Ce jeune qui jamais ne connu véritablement notre identité bien que nos contacts avec lui (nous continuerons à le contacter) furent fréquents, confessa que les étranges » vêtements serrés » n’attirèrent jamais son attention. Deux ans auparavant il avait vu trois topographes, Allemands ou Suisses, prenant des mesures dans les environs et la seconde expérience ne le surprit pas d’avantage. Il dit qu’il nous prit pour ce que nous étions en réalité, des « étrangers ». La curiosité enfantine insatisfaite l’induisit à nous rencontrer de nouveau pour la satisfaire et il n’eût pas le courage de dire quoi que ce soit à son père craignant avec raison que celui-ci conseille de ne pas s’approcher d’inconnus. Il confessa sa désillusion quand il constata le lendemain (le 31) que les étrangers n’étaient pas là. (Souvenez-vous que ce jour là nos frères n’eurent pas le courage de sortir, s’attendant à une possible réaction des terriens).
Durant les UIW qui précédèrent la seconde sortie, on s’occupa à confectionner avec des lames de AEEWWIEE (ndt: caractères peu lisibles) (substance flexible et élastique de couleur grise) des tenues qui ressemblaient vaguement aux vêtements des adultes dont les images avaient été captées le 31. Les boutons furent imités avec un alliage d’aluminium, même si on ignorait encore la véritable fonction de ceux-ci. Les cravates furent confectionnées avec de la pâte d’IGUUXOO ( de couleur noire) et d’une seule pièce car le nœud et la bande vus sur les images ne permettait qu’une idée de leur aspect topologique extérieur. Et comme de la poche de l’un des sujets aperçus sortait un mouchoir, on imita même ce détail, (tout en ignorant sa fonction), en faisant dépasser d’une fente d’un soi-disant costume une feuille froissée de GIIXAA YUXAA (produit alimentaire synthétique qui se présente sous forme de fines lamelles).
Maintenant nous réalisons avec horreur l’effet qu’aurait produit cette tenue de nos frères s’ils s’étaient promenés dans la rue principale de DIGNE. Aucun observateur terrestre n’aurait confondu les tissus classiques qui servent pour les vêtements classiques avec cette grossière imitation. Cependant les critères rigoureux de nos frères évitèrent ce danger. Il s’agissait seulement de sortir pendant la nuit ou la fin de la soirée.
Cependant, le 2 avril 1950, après avoir vérifié que notre présence ne semblait avoir provoqué d’alarme, et tout en admettant l’hypothèse plausible que même si les terrestres informés de notre présence étaient en train de nous surveiller en secret, il fut décidé de sortir en plein jour pourvus des vêtements improvisés imitant le style terrestre. Nos deux frères avaient avec eux cette fois-ci des équipements d’enregistrement et de défense, un exemplaire du message rédigé avec des symboles idéographiques d’interprétation facile dont nous avons déjà parlé dans les documents précédents, et d’un fragment du journal FIGARO trouvé les jours précédents éparpillé au sol et couvert d’excréments.
L’on décida d’aller à la recherche de l’enfant terrien qui, habituellement accompagnait les mammifères vus quelques jours auparavant.
En les voyant, l’UGEE salua avec les mains sans que nos frères comprennent exactement s’il s’agissait d’un geste hostile, de salut ou d’alarme; ils optèrent donc pour rester arrêtés en attendant la réaction de l’adolescent. Celui-ci s’approcha semble-t-il sans peur, et il dut demander quelque chose. Cette fois-ci il semblait surpris en voyant les vêtements plus étranges que le jour antérieur, bien qu’il se fut agi cette fois-ci d’imitation de vêtements terrestres. Il est aussi curieux de constater que l’UGEE les reconnut malgré la différence de tenue.
L’UGEE sortit un étrange récipient (il s’agit d’un thermos) et leur offrit son contenu après avoir défait un autre paquet contenant des aliments. Une discussion par gestes très animée commença. Un de nos frères tout en sachant le risque qu’il prenait au cas où les aliments auraient eu leurs protéines orientées dans l’autre sens (vous savez que les molécules protéiques peuvent être dextrogyres ou lévogyres) osa accepter les viandes pour ne pas éveiller d’autres soupçons tout en prévenant son frère de refuser.
Ce fut la première fois que l’un de nos frères ingurgita des aliments terrestres. Ceux-ci, finalement, ne furent pas nocifs. Ce détail qui peut vous paraître secondaire est en réalité d’une importance transcendante car il confirme l’hypothèse qui établit une même orientation moléculaire pour tous les être vivants du WAAM (COSMOS) à l’encontre de l’un des postulats de l’hypothèse quelque peu décadente de la parité dans l’orientation, selon laquelle la probabilité pour que sur une planète surgissent les piliers moléculaires organiques orientés dans le sens dextrogyre est statistiquement la même que dans le sens lévogyre.
L’enfant terrien ne paraissait pas très étonné du langage de nos frères. Pendant que ceux-ci pensaient étonnés et stupéfaits, que l’enfant n’était pas surpris du fait que ces êtres venaient d’une autre planète (N’oubliez pas qu’alors nous croyions encore que les terriens comprenaient tous leurs propres langages, dont des fragments avaient été différenciés par nos spécialistes qui avaient capté vos émissions radioélectriques). En un mot: pendant que le berger prenait nos expéditionnaires pour de simples étrangers, ceux-ci étaient convaincus que l’adolescent avait deviné leur origine extraterrestre.
Un de nos frères commença la tâche immédiate de signaler divers objets pour que l’UGEE traduise dans sa langue le signifié. Le petit comprit très vite ce que l’on attendait de lui et très fier de son rôle de professeur, il traduisit en français une riche gamme d’objets et de verbes faciles. Nos frères sortirent le fragment du journal en langue française et l’enfant quoique avec certaines difficultés, lut parfaitement des paragraphes entiers.
Vous ne pouvez imaginer la joie intérieure de nos frères. Les gestes et les mots de l’enfant étaient enregistrés optiquement et phonétiquement sans que celui-ci s’en aperçoive. Nos frères de la Galerie souterraine suivaient les évènements fidèlement grâce à un équipement transmetteur d’ondes gravitationnelles. Vous-même pouvez vous douter de la transcendance que revêtait pour nous, non seulement de connaître la signification de quelques phonèmes en langue terrestre (en l’occurrence en français) mais aussi l’interprétation phonique des symboles ou lettres imprimés sur un document, même si nous ignorions encore leurs significations profondes. Dans cette journée 119 mots correspondants à des objets visibles dans la campagne, à des parties du corps humain et à des verbes représentant quelques actions topiques telles que « PRENDRE », « MANGER », « BOIRE », « RELEVER ».. etc. dans leur forme infinitive nous furent révélés par cet UGEE terrien.
PREMIERS JOURS PASSES A LA SURFACE DE OYAGAA (PLANETE TERRE)
Dans les chapitres précédents, nous avons relaté succinctement les journées historiques qui ont précédé notre arrivée sur cette planète, comme, par exemple, l’arrivée de trois OAWOOLEA UEWA (nefs de structure lenticulaire) dans une région proche de DIGNE (Basses Alpes: France).
Dans les paragraphes suivant, nous voulons réaliser une synthèse historique de nos premiers mois en France: jusqu’à ce que l’UMMOAELEWE (CONSEIL GENERAL DE LA PLANETE UMMO) , au vu des informations réunies par le groupe d’explorateurs tendant à prouver (ce qui était inconcevable avant) la possibilité, pour nous, de nous mêler incognito aux OEMII (êtres humains), décide de modifier le plan d’observation et nous ordonne de nous disperser sur la TERRE.
Pour des raisons facilement compréhensibles, nous tairons le nom de quelques citoyens de la République Française qui ont été en contact avec nous durant ces quelques semaines (nous avons d’ailleurs de bonnes raisons de croire qu’ils ne soupçonnèrent jamais notre identité).
Quand, au long de ce récit, nous omettons une date, taisant le chiffre référence du jour, nous le faisons sciemment, craignant que cette date aux mains d’un expert, ne conduise à une identification qui pourrait nous être préjudiciable.
Nous avons aussi renoncé à nourrir cette histoire de quelques faits, d’inégales valeurs anecdotiques, qui constituèrent des jalons importants dans le processus de notre assimilation clandestine éventuelle au RESEAU SOCIAL TERRESTRE. Il s’agit de certains contacts pris avec des personnes et des entités officielles (de l’administration Centrale et, en certains cas, Municipale) de l’État français. Ces contacts, pris grâce à des noms et nationalités frauduleux, ont toujours été enregistrés, d’une manière ou d’une autre, dans des archives, et nous préférons donc, pour des raisons évidentes, ne pas les mentionner.
Les Services Administratifs et Techniques du Gouvernement français de cette époque n’eurent jamais conscience de notre arrivée sur le Territoire français. Les indications, filtrant à travers la presse locale et les rumeurs circulant parmi les paysans, concernant les quelques traces visuelles de notre descente, se perdirent dans le fatras des articles publiés dans la presse française traitant des apparitions, sur l’ensemble de la planète, de « Soucoupes Volantes » (ndt: en français dans le texte). De plus, à cette époque, le Gouvernement Français avait des problèmes beaucoup plus graves à traiter. Par exemple, le Cabinet de Bidault se heurtait, à ce moment là, aux problèmes posés, par les conflits sociaux dans les secteurs du Gaz et de l’électricité , sans parler du conflit d’Indochine sur lequel se concentrait l’attention des spécialistes français. Les services de renseignements français, deuxième bureau, avaient reçu des renseignements inquiétants d’après lesquels les troupes Nord coréennes établissaient un plan d’invasion du territoire autonome du sud ce qui aurait pu aggraver de manière incontrôlable la tension mondiale de cette planète.
De telle sorte que, si les services techniques avaient eu la possibilité de faire parvenir, dans les hautes sphères, les vagues indices que nous avions pu laisser filtrer par inadvertance, en raison de l’inexpérience de nos frères, méconnaissant alors la langue française, ceux-ci ne furent pas pris en considération. En effet: En 1959, quand nous avons effectué, dans les milieux officiels, un sondage secret (ndt: suite sur une page suivante)
UMMOAELEWEE
Langue Espagnole
N° de copie:
pour retrouver des documents secrets mettant en avant l’éventualité de notre arrivée sur la Terre dans le sud de ce pays, sous quelque forme que ce soit, il nous fut impossible de rien trouver.
Maintenant, nous allons expliquer comment un jeune berger français (qui vit toujours (NdR: en 1967)), sans se douter de notre identité, nous lisant les articles de presse et nous rapportant les « ont dit », nous montre de manière inattendue pour nous qu’il nous était possible de traduire en français nos expressions verbales et de comprendre le sens de votre écriture.
Nos frères décidèrent de s’isoler quelques temps dans notre base souterraine pour assimiler les quelques notions idiomatiques obtenues de manière si précaire. Toutefois, beaucoup d’articles imprimés dans les coupures de journaux restaient inintelligibles, mais nous captions continuellement les émissions de la radiodiffusion Française ce qui nous apporta une grande aide. Il était extrêmement regrettable pour nous de ne pas disposer d’équipement capable de recevoir les images de télévision. Ils arrivèrent aussi, grâce à la réflexion des ondes sur la troposphère, à recevoir faiblement les émissions radiophoniques provenant de pays étrangers et, dont, naturellement, le sens nous était incompréhensible.
Le 24 avril 1950 marque une date historique pour la première expédition UMMO. A cette époque nous n’avions qu’une idée très rudimentaire de la structure sociale qui régissait la mystérieuse planète Terre. Nous avions repris contact avec l’UUGEE (l’enfant français) qui, bien que de culture élémentaire, apprit à nos frères le sens de certains mots clef qui les renseignèrent suffisamment sur certains aspects aussi importants que l’existence de Nations Autonomes, la notion de l’argent et autres coutumes spécifiques des êtres terrestres. Le jeune français fournit deux exemplaires de la presse française, Le Monde du 22 avril et le Figaro du 17 avril, informant tous deux des bruits de graves maladie qui circulaient à propos d’un certain STALINE. L’UUGEE savait seulement que STALINE était « celui qui commande aux communistes » mot que nos frères rencontrèrent souvent et qui était, pour eux, plein de mystère. Une dépêche, en date du 23 avril, et parue dans le Monde du 24 informant, par exemple, qu’un certain Chiang Kay Shek avait décidé d’abandonner Hainan, dont la capitale, Hanoï était occupé par les communistes. ( Il nous fut impossible de savoir du jeune français, si le mot Chiang se rapportait à une machine, une entité, un groupe social ou un Oemii. Mais nos frères avaient appris quelque chose d’extrêmement important. Il n’existait pas, sur cette planète d’unité de langage ni de structure sociale. Les OEMII terrestres se rassemblaient par grands groupes de culture et de morphologie particulière, et, pour incroyable que cela puisse paraître, il était possible de se présenter à un groupe, ou à une nation, en se faisant passer pour membre d’une autre. Il était possible de simuler une langue existante sans créer le doute.
Le 24 avril , on fit le plan de pénétrer dans une habitation qui se trouvait à deux KOAE (soit 17,4 km – NDT) de notre base, pour surprendre ses habitants et, sans leur faire de mal, pratiquer un certain nombre de larcins dont ils recevraient compensation dans le futur (comme il en fut en 1952).
Celle-ci fut la première des quatre atteintes à la propriété que nous avons commises dans le département des Basses Alpes et des dix huit autres commises en France et en Suisse. Jamais, au cours de ces actions, les victimes ne subirent de sévices corporels et toujours elles reçurent des compensations. Dès que nous eûmes la possibilité de disposer d’argent, sans avoir à le voler, de falsifier des papiers d’identité et de connaître les caractéristiques de quelques armes, nous décidâmes d’arrêter de tels actes bien qu’à nos yeux ils étaient justifiés.
La nuit du 24 avril 1950, quatre de nos frères pénétrèrent dans une maison isolée en pleine campagne. Auparavant l’endroit où se trouvèrent les habitants de cette maison avait été reconnu par nos UULEWUA (sphères détectrices se propageant à une altitude quelconque, captant son et images). A trois heures du matin, le 25, les ouvriers, qui dormaient dans un appartement, un couple, propriétaire de la maison, et leurs trois enfants furent anesthésiés en plein sommeil.
Furent dérobés soixante dix mille francs (anciens) approximativement, des vêtements, des pièces d’identité (à partir desquelles nous en fîmes de fausses), deux stylos billes, un hygromètre représentant une religieuse, des clefs, des timbres-poste, un paquet de lettres et factures payées se rapportant à un tracteur, plusieurs journaux périmés. Des livres spécialisés sur l’élevage du bétail, un texte expliquant les caractéristiques d’une moissonneuse et la notice d’un tracteur. Une encyclopédie enfantine, un rouleau de papier hygiénique, un peu de désinfectant pour plaies, un réveil matin, deux ampoules incandescentes ( que vous, en Espagne, vous appelez « bombillas »), un morceau de savon. Nous arrachâmes un interrupteur électrique et le compteur électrique. En plus, quelques pièces détachées du tracteur, des tubes de médicaments sous forme de dragées, un cartable avec des devoirs scolaires, six paires de chaussures d’homme et deux de femme (tout ce qu’il y avait), le poste de radio, une bouteille de jus de citron, deux pommes de terre, un calendrier mural, un sécateur et un quinquet.
Une partie de ce butin fut camouflé à quelques quatre cent mètres en attendant d’aller le rechercher la nuit suivante, le reste fut transporté dans notre base souterraine.
Les huit jours suivants furent entièrement consacrés, par nos frères, à analyser ces curieux ustensiles, essayant de comprendre les textes imprimés et les images de l’intérieur des appartements. Tout était fascinant. Nos frères avaient visité ces étranges maisons chaulées, examinant les meubles faits d’une substance qui ne leur sembla pas d’une origine végétale. En éclairant à travers les fenêtres avec une lumière telle qu’on ne pouvait la remarquer, UURIO 79 fils de IYIIA 5, UORII 19 fille de OBAA 7 et ADAA 66 fils de ADAA 65 (mort sur Terre en 1957), furent les premiers, dans l’histoire, à observer une habitation terrestre. L’opération était menée par ODDIOA 1 fils de ISAAO 132.
Sur un grabat dormaient deux terriens sous l’effet d’un gaz anesthésiant. Bien que sachant déjà que, sur Terre, les YIE se laissaient pousser les cheveux, nos frères ne purent déterminer tout de suite leur sexe respectif. On leur retira leurs vêtements en en prenant un petit morceau. Les deux corps furent partiellement dénudés, et on préleva de la sueur des aisselles et du bas ventre. On préleva aussi des échantillons de poils venant de la tête, des bras, du pubis et des jambes, des échantillons de mucosité nasale, de poils et de sécrétion de la vulve. En plus des objets emportés, des fragments de meubles, d’ustensiles, de carrelage et de parement, furent prélevés et codifiés en fonction des images prises des objets auxquels ils se rapportent (en images sont des sortes de photos tridimensionnelles). Il ne fut pas possible de prélever de la salive sur aucun des terriens. Dans une veste emportée on trouva, en plus, un briquet et des cigarettes.
En même temps nous pûmes prélever des fragments sur des vaches présentes dans un enclos. Nous dûmes anesthésier deux chiens qui commençaient à envoyer de grands « cris » (ceci est la description la plus juste des notes enregistrées à cette date).
Aussi étrange que cela puisse paraître, nous constatâmes avec regret que, malgré le grand nombre d’échantillons et d’objets en notre possession, si l’analyse effectuée nous renseigna exactement sur leur composition chimique, il n’en fut pas de même quant à leur fonction ou utilité.
Par exemple, il nous fut impossible de déterminer l’utilité des morceaux de savon. Toutes les méthodes employées pour trouver l’utilité du « quinquet » conduisirent à un échec. A part cela, ce fut merveilleux de trouver que le moteur du compteur fonctionnait sur du courant alternatif et de voir comment les indications portées sur le cadran frontal étaient liées à l’énergie. Mais il nous fut impossible de déterminer si cet appareil servait à mesurer le TEMPS ou une autre GRANDEUR périodique quelconque. La fonction d’un vieux réveil matin nous intrigua pendant quelques UIW. Dans un premier temps nous avons craint que cet appareil, s’il était constitué d’un émetteur, présente un risque de faire découvrir nos frères. Les caractéristiques purement mécaniques furent rapidement découvertes. A cause de sa sonnerie nous doutions sérieusement de son utilisation en tant qu’appareil à mesurer le temps.
Nous avons commis une grave erreur quand, pour prélever un fragment de filament, nous perçâmes prudemment le verre de l’ampoule électrique, retardant beaucoup notre connaissance de l’utilité de cette ampoule. Les filaments s’oxydèrent rapidement et fondirent quand on les soumit à une tension croissante. Les cigarettes furent identifiées grâce à des photos d’OEMII prises antérieurement. Nous crûmes qu’il s’agissait d’un dispositif émetteur d’un gaz permettant aux terriens de respirer plus facilement. Nos frères furent assez déconfits de ne pas trouver, à l’intérieur, les mécanismes compliqués auxquels ils s’attendaient. L’énigme n’en fut que plus forte.
Mais il ne fit aucun doute que l’importance de l’argent en billets de banque, des vêtements et des chaussures dépassait largement celle des autres objets.
Nous comprenons fort bien que les graves extorsions que nous avons pratiqué dans cette famille française pacifique soulèvent chez vous l’indignation, bien que cette famille fut largement indemnisée ultérieurement. Nos frères furent préoccupés par les conséquences de telles actions. Toute sortie fut interdite à tous, et les alentours furent observés tout en préparant tous moyens de défense. Mais à part l’agitation dans la ferme et les allées et venues de quelques terriens entre la ferme et le petit village, rien ne semblait anormal. Et, au cours de la même nuit, on put récupérer la partie du butin cachée dans les environs.
D58
Référence : | D58 |
Titre | LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS |
Destinataire(s) et date(s) | Alicia Araujo à Madrid à partir du 7 mars 1967 |
Commentaires | Plusieurs lettres concaténées |
UMMO AELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 07/03/1967
Langue : Espagnol
Vous recevrez avant douze jours un document dans lequel nous vous révélerons les bases biogénétiques qui contrôlent les mutations internes créatrices des différents « PHYLUM » ou RAMES des êtres vivants, ainsi que les phases progressives de neuro-encéphalisation de l’OEMII.
Nous considérons que ce rapport est très important pour vous et il faut le faire connaître à vos frères. Il aidera sans doute les recherches des biophysiciens terrestres.
UMMO AELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 03/04/1967
Langue : Espagnol
Nombre de copies: 1
LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS
Souvent les hommes de la terre nous interrogent sur les aspects politiques de notre structure sociale.
Présente-t-elle les caractéristiques d’un état démocratique de droit ?
Est-elle peut-être un Etat Social de droit ?
S’agit-il d’une structure socialiste particulière ?
Présente-t-elle les aspects classiques d’une Société libérale ou, au contraire, son « échafaudage » rigide rappelle-t-il les totalitarismes de l’Allemagne d’Hitler, l’Union Soviétique de Staline, l’Espagne du général Franco ou la république Dominicaine de Trujillo ?
S’il n’en est pas ainsi, pourrait-elle ressembler à l’ancien Etat théocratique du TIBET ?
Mais, peut-être que le fait que UMMO soit régi par Quatre OEMII vous donnera à penser qu’il s’agit là d’une forme particulière d’Oligarchie ou de Polycratie.
Dans un autre ordre d’idées, les questions peuvent s’orienter vers le niveau d’intelligence que nous avons atteint dans notre OYAA (astre froid); c’est à dire le degré de développement qu’atteint notre neuroencéphale dans la phase actuelle de développement évolutif de notre réseau social.
Ces deux séries de questions peuvent à première vue n’avoir rien en commun.
Mais une analyse objective et systématique apporterait non seulement un éclairage suffisant sur leur mutuelle interdépendance, mais aussi pour leur intervention correct en révélant une étude préalable sur les véritables racines des développements sociopolitiques, psychosociaux et encéphaliques de l’Humanité de UMMO. Ces racines ne sont ni plus ni moins que les bases biogénétiques de l’évolution de tous les Etres vivants dans notre WAAM (univers).
C’est pour cela que, avant de pénétrer dans un thème aussi précis et détaillé que notre organisation politique ou que l’analyse de la capacité intellectuelle qui commence à se développer dans l’embryon de l’OEMII au sein de l’utérus maternel, il faut absolument recouvrir à une vision globale (quoique vulgarisée) de l’ensemble des mécanismes qui régissent l’évolution.
Dans les paragraphes suivants nous vous informerons sur une série de questions qui nous paraissent fondamentales. Dans certains cas nous reviendrons sur des concepts qui sont presque familiers aux biophysiciens de la Terre, comme la structure des chromosomes nucléaires, les mutations génétiques et la base du code génétique ou de la Vie.
Mais à coté de ces concepts que vous tous, même non spécialisés en biologie, devez connaître, nous allons voir toute une série de révélations transcendantes pour vous car les spécialistes terrestres en Biochimie ignorent leur existence.
Cela vous aidera à compléter quelques lacunes qui faisaient que certains mécanismes d’évolution étaient incompréhensibles. (par exemple : les mutations internes qui, au lieu de provoquer une dégénérescence ou une régression de l’être vivant, donnent un perfectionnement des structures somatiques).
Toutes ces révélations ont une telle importance que nous vous invitons à en faire part à vos frères biologistes de la Terre. Ce paragraphe peut leur servir pour organiser, pour orienter leurs recherches dans le domaine de BAAYIODIXAA (facteur extrêmement important que nous allons expliquer).
Avant de définir les bases biogénétiques, vous pourriez nous poser cette dernière question :
Serait-il possible que les constitutions nationales de la Terre soient modifiées si on adoptait à leurs structures celles de UMMO, les bases sociales de notre Humanité, nos coutumes, notre mode de vie, notre industrialisation et d’autre facteurs qui caractérisent l’espèce OEMII de UMMO ?
Notre réponse objective et parfaitement analysée est la suivante :
MAINTENANT, ABSOLUMENT PAS !
D’ailleurs il n’est pas nécessaire d’en expliquer les raisons, n’importe quel homme terrestre intelligent serait tout à fait capable d’arriver à la même conclusion.
Cette affirmation pourrait être gênante pour la sensibilité et l’amour propre des terriens : cette question serait aussi ingénue que d’envisager la possibilité qu’un enfant en bas-âge puisse réaliser un missile téléguidé. Cela semblerait vouloir dire que les frères de UMMO ont un concept péjoratif vis à vis de l’Homo-sapiens de la planète OYAGAA (Terre); et qu’ils vous considèrent comme de simples UUGEEYIE (ENFANTS) par rapport à eux.
Mais cette susceptibilité n’est ni raisonnable ni justifiée, car notre attitude envers vous n’est pas du tout péjorative, elle est toujours imprégnée d’un profond respect, étant donné que vous vous trouvez dans une phase du processus évolutif moins avancé dans le temps que nous.
Quand nous nous référons à la maturité physique d’un OEMII (corps) c’est à dire à l’état que vous appelez période adulte, vous ne devez pas oublier que nous nous référons au cadre de référence d’un Macro-Groupe Planétaire.
Il s’agit donc d’une référence RELATIVE. L’adulte possède un psychisme différent de celui du UUGEEYIE ou de l’adolescent de ce groupe. Véritablement, les réactions primaires d’une panthère adulte sont différentes de celles de son petit; mais n’oubliez pas que l’homme terrestre actuel, tout comme l’OEMII de UMMO, sont des êtres en continuel processus évolutif. Les cadres PHYSIQUES et HISTORIQUES que nous avons vécu sur UMMO et sur TERRE sont très différents. Ceci est naturel si vous tenez compte du MILIEU Géologique, Atmosphérique, Radioactif, Gravitatoire, Magnéto-électrostatique et Chimique qui présente sur UMMO des différences quelques fois importantes par rapport à votre Planète.
N’oubliez pas par exemple, qu’une plus grande protection atmosphérique nous a protégé de l’action dégradante de mutations extérieures provoquées par la radiation cosmique, le degré de dégénérescence de certains phylum à été moindre et le variations raciales presque inexistantes.
Tous ces facteurs donnent des caractéristiques particulières à chaque macrogroupe social planétaire car le milieu écologique à été différent même si la structure somatique des hommes est similaire pour toutes les planètes habitées par des êtres doués de raison. Mais de plus, la période entre l’hominisation des anthropoïdes précurseurs sur notre UMMO et l’époque présente est beaucoup plus importante que son équivalence terrestre.
Dans ces conditions il n’y a rien de surprenant à ce que notre degré de civilisation soit plus avancé que celui de la Terre.
Vous savez que les organismes se développent progressivement grâce à une série de facteurs que vous connaissez en partie.
Les biologistes terrestres attribuent ces changement évolutifs capables de transformer un anthropoïde en un homme aux radiations extérieures et à la sélection du milieu. Toute mutation d’un gène donnera lieu ensuite à un changement structural de l’organisme. Mais ceci est une vérité incomplète avec certains éléments erronés.
Nous avons découverts les lois biogénétiques et les vrais facteurs qui régissent l’évolution de la vie dans WAAM.
FAITES TRES ATTENTION :
Vous savez que tous les tissus animaux et végétaux sont formés de millions de cellules. En employant la terminologie de la Terre, nous vous rappelons que dans ces cellules il y a quatre éléments ou parties importantes.
Voir IMAGE 1
Une masse complexe appelée PROTOPLASME.
Une masse centrale appelée NOYAU.
Une membrane qui entoure la cellule.
Une membrane qui entoure le NOYAU.
Un modèle didactique de cellule peut être représenté par l’oeuf d’un oiseau. Le blanc représenterait le protoplasme, le jaune : le noyau et la membrane serait représentée par la coquille.
Ce modèle est cependant très grossier car, par exemple, la MEMBRANE cellulaire est beaucoup plus complexe qu’une simple coquille. Vous avez tous étudié qu’au sein du NOYAU cellulaire il y a des structures filamenteuses appelées CHROMOSOMES. Ces filaments complexes revêtent une grande importance car ils enferment une partie du mystère de la vie. Mystère que nous avons éclairci il y a bien longtemps.
En effet, chaque fibre chromosomique est porteuse de modules capables d’emmagasiner les CARACTERES de L’HEREDITE que nous appelons IGOOA ENMEE et vous GENES.
Une comparaison grossière pour les non initiés en biophysique pourrait consister à comparer les XAAXADOO (chromosomes) avec une bande de papier perforé selon ce code et qui représenterait le texte complet de ce message.
Ce message porté dans le XAAXADOO (chromosomes) n’est rien d’autre que les instructions pour que le foetus contenu dans la matrice puisse posséder des traits qui vont le différencier de ses autres frères.
Le chromosome donne les ordres par lesquels l’être vivant et porteur des gènes adéquats, sera différent d’une colombe ou d’un reptile.
Chaque IGOOA ou GENE représente un caractère défini : La couleur bleue de l’iris de l’oeil; la forme du rectum ou la pigmentation noire de la peau d’un Hottentot terrestre.
Le chromosome dicte les ordres qui vont faire que l’être vivant qui en sera porteur sera différent d’une colombe ou d’un reptile.
Si un agent étranger, un plomb de chasse par exemple, faisait une nouvelle perforation sur la bande de papier, une de ses lettres serait altérée.
Il se peut alors que tout le sens du message en soit sensiblement altéré. De même un faisceau de radiations (rayons x, neutrons rapides, électrons etc …) par son incidence sur le chromosome pourrait l’altérer jusqu’à un tel point que le nouvel enfant de cet être vivant pourrait naître avec les yeux sombres ou même sous forme de monstre.
Les spécialistes de la terre savent tout cela et ils connaissent aussi la structure intime du code génétique d’ailleurs beaucoup plus complexe que notre exemple de bande perforée.
Avant de continuer, vous pourrez trouver dans notre appendice n°I une sorte de sommaire sur ces chromosomes. Les conclusions des biologistes terrestres sur les chromosomes ne différent guère du concept que depuis de nombreux XEE (Unité temporelle équivalente à la translation de UMMO autour de notre astre chaud IUMMA) nous avons au sujet du XAAXADOO (chromosome) sauf en ce qui concerne les chaînes protéiques et leur fonction dans le chromosome, domaine où vous commettez quelques erreurs.
[COMMENTEZ LE TEXTE ET REPOSEZ-VOUS ]
LIRE L’APPENDICE I. [voir plus loin Nd Infor de Saisie]
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Aucune dose de radiation, aussi faible soit-elle, n’est pas sans produire des effets et présenter un degré de probabilité de provoquer une mutation, souvent mortelle, et c’est pour cette raison que nous ne comprenons pas l’inconscience de certains gynécologues terrestres qui soumettent les femmes enceintes à un procédé de radioscopie ou de radiographie sans prendre la moindre précaution.
Si dans les XAAXADOO (chromosomes) il ne se produisait jamais de mutations, les êtres vivants continueraient à perpétuer leur structure durant des millions d’années.
L’évolution ne serait pas possible sur aucune Planète. Un mollusque répéterait sa morphologie de génération en génération sans jamais se transformer.
Mais les biochimistes terrestres se posent la question suivante : comment les mutations (ces phénomènes accidentels qui modifient le code de la vie) font-elles pour se produire toujours dans un sens positif (orthogenèse), en perfectionnant les espèces, en faisant progresser leur morphologie, leur système nerveux ou leur organes capteurs de stimulations physiques, en perfectionnant l’ensemble des mécanismes organiques de génération en génération et ce chaque fois qu’une mutation se produit ?
Nous allons prendre une comparaison : si les radiations et leur action génétique peuvent être comparées aux effets d’une balle sur une cible (la cible étant le chromosome), nous pouvons alors imaginer un tireur faisant feu sur les colonnes du Parthénon en GRECE. Pouvons nous supposer alors que les impacts des balles, au lieu d’enlaidir la sculpture, puissent faire au contraire dans la pierre de beaux motifs et d’élégantes caryatides sur les chapiteaux ? Comment se fait-il que le processus d’encéphalisation de l’homme aille en s’améliorant et que de futures générations d’hommes jouissent d’une écorce cérébrale plus perfectionnée, que notre esprit soit capable de résoudre des problèmes mathématiques mentalement sans recourir à des algorithmes auxiliaires comme le faisaient nos Ancêtres ?
Seulement à cause d’un bombardement, au hasard, de neutrons ou de deutérons ?
Seulement parce qu’un noyau d’hélium agit sur le IXOORAA (ADN) et altère la position d’une molécule de thymine ou de guanine ?
Quand ils devraient surtout provoquer une aberration génétique et donc créer un être monstrueux aux bras atrophiés ou sans poumons !
Nous devons à notre scientifique AOYOO 221, fils de AOYOO 217 d’avoir découvert le mystère de ce processus biogénétique.
On avait découvert depuis longtemps que dans l’encéphale de l’homme il y avait des atomes de krypton (un gaz noble que vous connaissez) et on put révéler la transcendance de cette découverte. Il s’agissait tout simplement du OEMBUAW, TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME, que vous ne connaissez pas et qui exerce la fonction de trait d’union entre l’AME et le CORPS (BUAWAA et OEMII).
69 XEE auparavant [18 mois environ NdT], INNAI 3, fils de INNAI 2 en réalisant des expériences de fécondation en laboratoire avec des spermatozoïdes de AAGA IEGOSAA (antropoïde ressemblant au singe terrestre) sur des ovules de YIE (FEMELLE HUMAINE), avait pu vérifier la position spatiale des atomes composant un sucre que les chimistes terrestres appellent désoxyribose et que nous connaissons sous le nom de UUDUA GOO. Les molécules de ce sucre se trouvaient à l’intérieur du noyau de l’ovule de la femme.
Il fut stupéfait de découvrir la présence de nombreux atomes de Krypton
.
Ceux-ci se trouvaient aux extrémités de la chaîne hélicoïdale de l’acide désoxyribonucléique en formant plusieurs paires (au total 86 ensembles biatomiques) qui tournaient en orbite commune et les plans orbitaux, sensiblement parallèles, étaient sur un axe commun (l’axe A-B sur la figure).
Cet axe décrivait en même temps un mouvement vibratoire harmonique dont la fréquence et l’amplitude étaient fonction de la température (0,2 Mégacycles pour une température de 35° centigrades terrestres).
On n’avait pu jusqu’à présent détecter de telles séries ordonnées d’atomes de gaz Krypton que chez les cellules germinales de l’homme et chez les animaux pluricellulaires; mais plus tard la découverte fut étendue au reste des cellules.
Comment se fait-il que nous n’ayons pas découvert avant ces atomes ? Il faut tenir compte du fait que même s’il s’agit de 86 atomes, ces chiffres sont infimes pour pouvoir être facilement contrôlés et détectés.
Souvenez-vous que dans un millimètre cube de gaz Krypton très raréfié on peut compter statistiquement jusqu’à un chiffre de l’ordre de 10 exposant 9 (mille millions) atomes libres.
La première hypothèse de notre scientifique fut d’identifier ce krypton avec le OEMBUAW (troisième facteurs de l’homme déjà cité) mais à sa grande surprise il ne trouva aucun symptôme de codification électronique dans ses niveaux énergétiques subatomique.
Les études durèrent pendant 9 XEE jusqu’à ce que AOYOO commence ses recherches.
Lui-même avait formulé au début une hypothèse qui s’est effondrée; mais il eut la gloire de découvrir enfin la véritable signification de la fonction du BAAYIODUU; nom que nous donnons à cette série de 86 atomes de krypton.
LA FONCTION BIOGENETIQUE DU BAAYIODUU
Au début AOYOO 22 était convaincu que ces atomes de krypton étaient inactifs dans les cellules sexuelles de tous les êtres vivants. Il pensait que ces atomes étaient la source à partir de laquelle ils migreraient, dans les futures générations, vers l’encéphale ou cerveau pour former le OEMBUAW (troisième facteur de l’homme). Pour démontrer la viabilité de son hypothèse il prit des cellules germinales masculines (spermatozoïdes) de 34 espèces de vertébrés pour une analyse détaillée.
La stupeur des spécialistes qui aidaient AOY00 22I fut extraordinaire quand ils réalisèrent l’analyse de la distribution électronique de ces atomes de krypton. Comme vous le savez, les électrons occupent dans chaque niveau subatomique des positions instantanées dont la fonction est régie par le hasard. Il existe un principe d’indétermination suivant lequel chaque électron se situe en des points distincts sans être régis par aucune loi (nous appelons ces positions IBOZOO WOO et il ne faut pas les confondre avec le concept de point mathématique dans un espace tridimensionnel).
Mais dans les atomes en question, les positions étaient évidemment régies par un synchronisme déconcertant. Les atomes homologues dans les chaînes du BAAYIODUU des différents spermatozoïdes présentaient une distribution semblable et synchronique.
Ils ressemblaient à des pendules qui fonctionnaient à l’unisson, comme s’ils étaient liés par d’occultes émissions de radiation qui stimulaient un tel comportement ou comme si un mystérieux phénomène de résonance obligeait tous les électrons à être régis par le même modèle.
On pouvait peut-être penser que la proximité des cellules en train d’être étudiées était responsable de cet effet de résonance. Mais par la suite on découvrit que tous les êtres vivants de UMMO se comportaient de la même manière dans leur BAAYIODUU. (beaucoup plus tard nous avons dû reconnaître que ce phénomène est cosmologique; la théorie et l’expérience l’ont définitivement confirmé). Ainsi, par exemple, des êtres vivants d’autres Planètes présentaient le même phénomène.
En 1951 nous avons pu vérifier une fois de plus l’universalité du Principe, par l’étude des cellules humaines des OEMII de la Terre. Le synchronisme avec les atomes du BAAYIODUU de UMMO et d’autres Planètes était parfait.
Mais vous ne devez pas être surpris qu’il en soit ainsi. Cela vous paraîtra logique quand nous vous expliquerons dans le texte suivant la véritable fonction du BAAYIODUU.
Vous comprendrez alors que vous êtes encore très loin d’avoir atteint la compréhension complète des intimes mécanismes qui régissent la vie.
Et nous-mêmes, nous n’y sommes pas encore arrivés malgré cette découverte transcendante.
Vous comprendrez que le code génétique enfermé dans l’acide désoxyribonucléique n’est qu’un échelon de cette chaîne de facteurs qui expliquent le comportement de la matière animée par la vie, inspirée à son extrémité par WOA (DIEU).
APPENDICE 1
Un XAAXADOO (chromosome) est une structure en forme de filament qui se trouve dans le noyau de la cellule à partir de l’une de ses phases de reproduction et à partir d’un composant que vous appelez CHROMATINE. La structure du XAAXADOO est complexe; agrandie par nos équipements de visualisation gravitatoire, elle se présente comme un long régime d’atomes.
Nous utiliserons votre nomenclature car les véritables composants sont connus par les biologistes terrestres.
(IXOUURAA) Acide désoxyribonucléique (ARN) [Erreur, en fait : ADN NdT]
(UOUORAA) Acide ribonucléique (ADN) [Erreur, en fait : ARN NdT]
(NOI OULOO) Histones
(DOA DOEE) Protamine
(IXIMOO) Protéines Spéciales
L’acide désoxyribonucléique (ARN) [Même erreur Nd Infor de Saisie] porteur du code programmé des IGOOA (Gènes) est très important. Ses informations symbolisées (en lui) « dictent réellement les ordres qui serviront pour matérialiser les traits caractéristiques de chaque animal ou plant. Regardons le mecanisme de programmation et réalisation.
Le IXOUURAA (ARN) [Même erreur Nd Infor. de Saisie] présente une structure spatiale de forme hélicoïdale (HELICE DOUBLE).
Ses composants les plus importants sont :
O (IOGAARAA) Acide phosphorique
O (UUDUAGOO) Sucre désoxyribose
O (IXOIAROO) Adénine (nucléotide)
O (IUAGAROO) Thymine (nucléotide)
O (IDUIROO) Cytosine (nucléotide)
O (IVOOROO) Guanine (nucléotide)
Ses composants basiques sont enlacés de la manière suivante :
Et forment une fraction élémentaire de la double hélice précitée. Vous pouvez remarquer que les situations relatives des quatre derniers composants (adénine, thymine, cytosine et guanine) s’alternent d’une façon apparemment capricieuse.
Mais c’est précisément cette distribution des quatre IGOOMII (facteurs symboliques du CODE) qui permet de porter le
message. Chaque série de quatre bandes ou paires peut représenter un symbole ou IGOOA (gène ) programmateur de protéines. (ce n’est qu’un symbole génétique parmi tant d’autres.)
Comment ce système de programmation peut-il servir à fabriquer des protéines ?
Le processus n’est pas tout à fait inconnu de vous : deux chaînes de UOURAA acide ribonucléique (ADN) [Même erreur que précédemment Nd Infor de Saisie] dont les structures ressemblent à celle du désoxyribonucléique, même si elles sont moins complexes.
O [Ce O a sans doute un rapport avec la figure Nd Infor de Saisie] symbolise la liaison (UUIDUINOO) RIBOSE qui le distingue du désoxyribonucléique.
Elles remplissent des fonctions différentes.
Premièrement il faut distinguer deux types de chaînes (UOUOURAA) ribonucléique.
La première B est un calque du message chiffré de l’acide désoxyribonucléique.
La seconde C est porteuse d’un (IXI) aminoacide (souvenez-vous que les aminoacides sont de véritables modules ou liaison de protéines).
En fait le processus est beaucoup plus complexe car y interviennent aussi des RIBOSOMES, des ENZYMES et un facteur que vous ne connaissez pas et que nous appelons AIGOOXAADA, nous essaierons de le schématiser en employant des métaphores ou images plus compréhensibles pour les novices en chimie biologique.
1° Phase :
Dans le chromosome préexiste (depuis la première mutation) une séquence de symboles codifiés en fonction de la situation des nucléotides dans l’acide désoxyribonucléique. Nous symbolisons ceci avec une bande codifiée en MORSE TERRESTRE. (Conservée dans le bureau d’un directeur d’usine). [Métaphore précitée NdT]
2° Phase :
Dans le noyau de la cellule se forme une chaîne d’ACIDE RIBONUCLEIQUE; calque de l’antérieur. Cette chaîne passe au protoplasme de la cellule à partir du NOYAU en portant le message. Vous pouvez imaginer qu’il s’agit d’une copie de la bande précédente qu’un ingénieur a réalisé dans le bureau précédemment cité et qu’il amène dans l’atelier de fabrication. [Suite de la métaphore NdT]
3° Phase :
Dans le cytoplasme existe en plus une série d’aminoacides d’un type différent. Il ne faut pas oublier qu’une molécule protéinique est composée par un ensemble de différents types de composants. Une chaîne protéinique se distinguera d’une autre précisément par l’agencement et l’ordre de ces acides aminés.
Chaque aminoacide est codé avec un symbole clef de Trois Signes (qui comprend le code enfermé dans l’ADN). Ensuite sur la chaîne ou moule acidoribonucléique, se disposeront en s’encastrant SEULEMENT LES AMINOACIDES dont le chiffre de code correspond au message.
D58_FIG8
Les chaînes protéiques ainsi composées donnent forme à la structure de chaque être vivant. Chaque animal ou plante a été fabriqué en obéissant aux ordres codés dans le (XAAXADOO) chromosome matrice.
FIN DE L’APPENDICE
Nous avons réalisé cet appendice pour vous expliquer un processus qui est presque connu par vous.
Il reste donc à analyser comment se codifie les ordres dans le propre XAAXADOO (CHROMOSOME).
Nous avons vu que les permutations mathématiques des quatre nucléotides (IXOI AROO) : ADENINE (IUAGAROO), THIMINE, CYTOSINE, et (IUOOROO) GUANINE suffisent en pour codifier les caractères héréditaires.
Que se passe-t-il si une chaîne du hélicoïdale d’acide désoxyribonucléique « tombe » sur un faisceau de radiation (par exemple des neutrons).
L’impact, s’il n’y a pas rupture du chromosome, peut entraîner au minimum une altération de l’ordre des nucléotides. Il change alors le sens d’interprétation de ceux-ci et on dit que s’est produit une IDUGOO (MUTATION).
Mais toutes les IDUGOO ne sont pas provoquées par radiation incontrôlée venant de l’extérieur (rayons cosmiques, explosion d’arme nucléaire, etc…).
Au contraire, de nombreuses mutations sont provoquées dans l’individu même par un mécanisme que vous ne connaissez pas.
Ainsi, par exemple, une espèce de reptiles, comme les lézards peut vivre des milliards d’années dans une zone marécageuse jusqu’à ce qu’un jour se produise une mutation par laquelle la nouvelle espèce de lézards nait pourvue de grandes membranes palmées qui lui permette de nager commodément dans l’eau.
Que s’est-il passé ?
Nous vous conseillons de suivre dans le paragraphe suivant cette passionnante explication consistant à spécifier la fonction qu’adopte dans ce processus la série de 86 paires d’atomes de KRYPTON découverte par nous sous le nom de BAAYIODUU.
[REPOSEZ VOUS]
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 17/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
LES BASES BIOGENETIQUES DU WAAM (COSMOS).
Nous vous avons déjà indiqué qu’un facteur appelé par nous BAAYIODUU (en réalité une chaîne de doubles atomes de Krypton) présente une double mission .
PREMIEREMENT : Il emmagasine, depuis la création du WAAM, au sein des êtres vivants une INFORMATION CODEE de tous les ETRES organiques possibles qui le composent [le = WAAM NdT].
DEUXIEMEMENT : Il capte l’information du Milieu Ecologique environnant et il compare cette information avec celle citée au premièrement; et dans certains cas, il pourra provoquer une nouvelle mutation qui donnera lieu à un nouvel être vivant (être vivant déjà dessiné dans le code précédent).
Pour les profanes en sciences Biologiques, nous utiliserons une comparaison facilement compréhensible; (n’oubliez pas que ces rapports sont essentiellement didactiques : nous ne prétendons pas développer exhaustivement des thèmes implicites dans le domaine de la Biochimie, de la Génétique Moléculaire et autres niveaux de la Biologie Générale que vous connaissez déjà).
D’autre part le développement excessivement technique de nos concepts n’est pas possible pour des raisons évidentes.
Nous nous limiterons à une simple description.
Supposez que dans un pays de la Terre, un pays très développé techniquement, on y ait installé une grandiose usine d’avions. Le financement d’une telle entreprise a été effectué sans réserves et avec tous les crédits nécessaires, ce qui devrait permettre à sa Direction de développer des programmes inaccessibles aux autres Firmes industrielles moins importantes.
La possession de tels moyens extraordinaires a amené les Directeurs et les Techniciens de l’Usine à créer un projet ambitieux.
Ce programme inédit consisterait à créer un Cabinet d’Etudes de tous les moyens techniques existants.
On a construit des milliers de tunnels aérodynamiques, des laboratoires de Métallographie qui occupent des douzaines de bâtiments, des bureaux d’information et de documentation avec des canaux informatifs connectés avec tous les centres de recherches de la Planète et des centaines de milliers d’ingénieurs, physiciens et spécialistes en électronique se sont mis en rapport pour planifier cette recherche (I)
(I) On peut imaginer qu’un tel projet est une pure fiction, tel qu’il est présenté, il ne pourrait jamais être mené à terme.
Il s’agit ni plus ni moins que de confectionner les plans, pourvus de tous les éléments techniques nécessaires pour leur réalisation, de TOUS LES MODELES D’AVIONS SUSCEPTIBLES DE SE DEPLACER AU SEIN DU FLUIDE : AIR.
Il n’est pas nécessaire d’être technicien pour comprendre l’importance d’un tel projet. Il est impossible de calculer le nombre de billions de Modèles qu’il faudrait dessiner (c’est pour cette raison que nous vous avons averti que ce projet n’était qu’une simple fiction prise comme exemple au niveau de ses effets didactiques).
Une fois ces plans dessinés en fonction de chaque nécessité et des conditions aéronautiques ou de navigation aérienne, les ordinateurs se chargeraient d’accumuler une telle information dans le moins d’espace possible.
Il ne viendrait à personne l’idée d’emmagasiner tant de millions de tonnes de papier dans des archives normales. On aurait plutôt recours à une traduction codée des images à l’aide de transducteurs appropriés, à une accumulation codée des faits sur bande magnétique ou perforée comme on le fait sur Terre, ou sur des cristaux de Titane selon la méthode employée sur UMMO.
Continuons notre fable : un jour on réalise un vol avec l’un des modèles les plus modernes en aile Delta; avec un réacteur pour des plafonds de 12 000 mètres.
Celle-ci doit voyager au dessus d’une région ennemie pourvue de missiles à détection de radiation infrarouge pour détecter l’émission de tels rayons issus de tuyères correspondant aux turboréacteurs. Les avions sont détruits les uns après les autres, la survie de l’appareil est en danger. Le Milieu qui l’entoure est INCOMPATIBLE avec « l’espèce » [ dit en langage biologique NdT ].
Mais les ingénieurs qui sont dans les avions ne perdent pas de temps. Avec leurs équipement ils détectent les causes de l’échec et ils codifient les éléments du problème.
Ils observent par exemple que les missiles ennemis ont des réflecteurs paraboliques à l’intérieur de leurs ogives plastiques, que celles-ci n’émettent pas d’ondes haute fréquence et donc qu’elles ne sont pas destinées ou capable d’émettre des ondes radar; ils observent de quelle manière les trajectoires de tels missiles s’orientent statistiquement en direction de leur propre avion.
Ils découvrent en somme que de tels projectiles air-air sont pourvus de bolomètres [ détecteurs de chaleur NdT ] très sensibles.
Il faut donc une mutation dans le dessin de l’avion. Mais on n’a pas le temps d’en faire le projet et d’essayer le prototype.
C’est alors que le grandiose projet de tout à l’heure va avoir une application pratique.
Il suffira d’interroger la mémoire centrale pour obtenir un prototype de performances aussi bonnes, assez semblable au modèle antérieur, mais possédant une couronne protégeant la tuyère afin d’atténuer la radiation, à l’extérieur, des fatidiques rayons infrarouges.
Les dessins du nouveau modèle sont déjà prêts et la réalisation en sera beaucoup plus facile.
Nous pensons que vous comprendrez facilement la comparaison. Bien sûr de nombreuses questions surgissent: par exemple comment WOA (DIEU) peut-il résoudre la codification de tous les Phylum possibles qui peuvent exister dans le Cosmos ?
Il ne faut pas oublier que de ces billions d’êtres possibles, seule une fraction insignifiante vit réellement dans les Astres habités. Nous reprendrons ce thème dans le rapport complémentaire ci-joint.
Même si le nombre de formes de vie compatibles est très élevé, nous vous prévenons que nous avons pu vérifier que certaines formes de vie NE SONT ABSOLUMENT PAS POSSIBLES.
Par exemple penser que, dans des Astres pouvant être habités, se seraient développés des êtres vivants basés sur des bases biochimiques différentes n’a pas de SENS. (basés par exemple sur la Chimie du Silicium ou sur la Chimie du Germanium).
TOUTE FORME BIOLOGIQUE EST NECESSAIREMENT LIEE A LA CHIMIE DU CARBONE.
Le problème est donc complexe et WOA a résolu cette loi en la matérialisant d’une manière qu’il n’est pas facile d’expliquer en quelques paragraphes.
EN PREMIER LIEU les atomes de Krypton qui composent le BAAYIODUU contiennent la clef codée de cette loi. Dans cette série de 86 paires d’atomes (pour chaque XAAXADOO (CHROMOSOMES)), se trouvent codées toutes les possibilités existantes d’ETRE ORGANIQUE qui peuvent se réaliser dans la nature.
On peut représenter graphiquement le réseau ou graphe très complexe qui représente la distribution ramifiée de cette Philogénie. Pour nous faire comprendre nous allons au préalable définir la signification de quelques symboles.
Nous appelons ONAUDOOXA XUU (on peut traduire par ARBORESCENCE) la série ramifiée des voies possibles ou « Phylum » qui correspondent à une mutation.
Chaque branche représente un XUU (PHYLUM), exemplaire ou variété animale possible
(figure 11)
Les IBOZOO DAO (NOEUDS) représentent le moment où se produit la mutation.
Chaque IBOZOO DAO comporte implicitement un nombre de MUTATIONS possibles.
Le symbole avec un chiffre sur la partie supérieure représente le nombre total de mutations possibles (connues à ce jour). Cette formule porte le nom de BAAYIODIXAA IDUGOO.
L’exemple doit être interprété comme le fait qu’une variété d’ARTHROPODE TERRESTRE peut se transformer en ,variétés « progressives » ou « régressives » en fonction d’autant d’autres mutations.
Vous pouvez observer que ce codage a un caractère de POTENTIALITE. Nous parlons de POSSIBILITES. Ensuite nous verrons que dans la réalité de chaque PLANETE, de toutes les mutations possibles pour chaque ONAUDOOYA XUU (ARBORESCENCE), seule une, deux, huit… possibilités se produisent dans la réalité.
Nous vous indiquerons aussi que quelques IBOZOO DAO (NOEUDS) étudiés ont révélé jusqu’à 200 000 possibilités de mutation et on pense que le chiffre limite peut atteindre dans certains noeuds jusqu’à 18 millions de mutations possibles codées dans les atomes de Krypton.
Prenons un exemple beaucoup plus graphique en utilisant des animaux terrestres aussi actuels que ceux apparus à la fin du Paléozoïque ou au début du Mésozoïque (TRIASIQUE), cela vous aidera pour la compréhension.
(figure 12)
Vous pouvez observer que l’une des rames (reptiles antédiluviens) a subi une série de mutations [à cet endroit se trouve sur le document original des parenthèses vide, certainement l’emplacement d’une formule que le traducteur a oublier de coller Nd Infor. de Saisie] représentée par cet IBOZOO DAO qui donna lieu à de nouvelles branches phylogénétiques. Trois de celles-ci sont représentées sur le graphique comme : PTEROSAURE, ARCHEOSAURE, ICTIOSAURE.
Se sont donc produit trois ou peut-être quinze mutations mais : Combien auraient pu se produire ? Cette réponse apparemment insoluble nous est apportée par le BAAYIODUU dans l’une de ses 86 paires d’atomes de krypton.
Le chiffre des possibilités est très élevé : de l’ordre de : 5.10 puissance 4 < N < 18.10 puissance 6
Pour mieux comprendre la phylogénie codée dans le BAAYIODUU, nous représentons avec la couleur VERTE les innombrables XUU (phylum ou branches) qui POURRAIENT SE PRODUIRE dans n’importe quel ASTRE dont les conditions physiques sont propice à l’apparition de la vie organique et en ROUGE les XUU qui se produiront EN REALITE.
Ainsi la Philogénie de notre exemple précédent adoptera cette nouvelle représentation :
(figure 13)
Quelle forme aurait adopté le X Saurien si une telle mutation s’était produite ?
Pourquoi une telle mutation ne s’est-elle pas produite ?
Et pourquoi ne se sont pas produites ces milliers de mutations qui auraient donné d’autres structures animales?
Ces questions qui peuvent paraître ingénues ont cependant des réponses que nous allons développer dans les paragraphes suivants.
Mais avant nous devons vous donner une explication concernant l’interprétation des « messages codés » enfermés à l’intérieur du BAAYIODUU.
Chaque changement d’un électron au sein d’une couche orbitale parmi les HUIT qui existent dans l’atome de krypton, code un XUU (Phylum) et nous voyons par un exemple didactique :
(figure 14)
Chacun des quatre sauts électroniques (ne confondez pas ces changements avec les sauts quantiques qui se produisent entre deux niveaux énergétiques de l’atome) représentera autant d’autre branches possibles. La morphologie qu’adopte réellement l’animal dans le cas où se produit une mutation sera fonction (en code) des positions électroniques des électrons des autres atomes du BAAYIODUU. (Nous répétons qu’en réalité le nombre des Phylums possibles n’est pas de quatre mais de nombreux millions). [A mon avis, cette dernière phrase fait référence à la FIG 14 où quatre Phylums sont dessinés en exemple Nd Infor. de Saisie].
Nous voyons donc que le BAAYIODUU enferme en « écrit en forme de CODE », toute la phylogénie des êtres vivants possibles dans le WAAM (COSMOS).
CECI A UNE IMPORTANCE TRANSCENDANTE.
En employant une comparaison accessible aux non initiés en Biogénétique, vous pouvez imaginer un livre qui détaille tous les modèles d’avions (non seulement ceux qui ont été construits, mais aussi ceux qui pourront être construits); un tel livre symboliserait la fonction du BAAYIODUU.
L’exemple est grossier car un tel livre serait un objet PASSIF et nos BAAYIODUU contenus dans les XAAXADOO (Chromosomes) adoptent une fonction opérante comme nous allons le voir maintenant.
Si nous représentons graphiquement la phylogénie possible de tous les être organiques qui peuvent exister dans le Cosmos, quelle forme aurait-elle ?
Avant tout nous devons objecter qu’une telle représentation graphique EXACTE n’est pas possible dans la mesure où les ONAUDOOXA XUU que l’on doit représenter (ARBORESCENCES) se comptent par « trillions de trillions ».
Exprimé par un exemple : nous pourrons représenter le contour topographique d’un bosquet et même enregistrer ses arbres mais nous ne pourrons jamais reproduire les innombrables branches et feuilles qui s’y trouvent.
La forme approximative d’une telle phylogénie serait la suivante :
(Figure 15)
Nos spécialistes ont pu seulement réaliser des études concernant les Phylums représentés en Jaune [Photocopie originale en noir et blanc NdT].
La complexité immense rend impossible tout travail de recherche. Et l’utilisation de XANMOO AYUBAA (ordinateurs) n’est pas suffisante pour ce type d’analyse (l’ordre de grandeur peut être de 10 puissance 520 ! )
Vous pouvez observer que dans les premières étapes de l’évolution le nombre de XUU (Branches) possibles est très réduit, aussi bien sur UMMO que sur n’importe qu’elle planète, les espèces protozoaires sont identiques.
ON POURRAIT TROUVER UN AMIBE, UN BACILLE DE KOCH OU UN VIRUS DETERMINE DANS N’IMPORTE QUELLE PLANETE.
MAIS au fur et à mesure que l’évolution avance, et que les conditions physiques de la Planète diffèrent entre elles, la sélection des XUU possibles produit des panoramas biologiques typiques pour chaque Astre;
Les animaux pluricellulaires connus sur Terre ne se créeront probablement pas sur une autre Planète et réciproquement.
Il se produit un phénomène analogue dans la zone de convergence. Les différents XUU s’orientent jusqu’au BUT de cette phylogenèse qui est l’OEMII ou corps humain.
Ce point de convergence (U) [sur la FIG 15 Nd Infor. de Saisie] se ramifie de nouveau en milliers de XUU possibles (RACES HUMAINES).
Le nombre possible de subespèces pour l’homme, analysé par nous, est de 9.10 puissance 6.
Le fait que de telles races existent ou non sur une Planète dépend ensuite d’autres facteurs comme nous le verrons par la suite.
Finalement on trouve un nouvel IBOZOO DAO (NOEUD) qui constitue le point de convergence définitif.
Aucune des Humanités connues n’a encore atteint ce pro-objectif. Une fois atteint, l’homme continuera une avance progressive dans son encéphalisation et agglutisation, mais ceci constitue un thème différent.
Entre les NOEUDS (U) et (X) [sur la FIG 15 Nd Infor de Saisie] des millions de mutations possibles provoquent des altérations (rarement régressives) dans la structure somatique du OEMII, en affectant spécialement le neuroencéphale dont le développement continu se traduit par de nouvelles dotations dans la gamme des fonctions intellectuelles humaines.
——————–
Nous avons vu que chaque chromosome a un BAAYIODUU que vous ne connaissez pas.
Sa fonction ne consiste pas à porter les gènes qui sont matérialisés dans l’acide désoxyribonucléique du chromosome mais de contrôler la viabilité des mutations internes qui, sans action radiologique externe, se produisent dans les différentes espèces tout au long du temps.
Les biologistes de la Terre expliquent l’Orthogenèse (c’est à dire la variation des espèces d’une manière progressive) par l’hypothèse de la sélection naturelle en fonction de laquelle les espèces les plus faibles dans leur lutte contre le milieu ambiant et organique sont éliminées; un tel processus sélectif orienterait les espèces vers un perfectionnement progressif à base de mutations.
Une telle explication est simpliste et ne résiste pas à une analyse sérieuse malgré votre méconnaissance du BAAYIODUU.
Des milliers d’espèces primitives coexistent avec d’autres beaucoup plus évoluées. N’importe quel biotype a une grande variété d’espèces en contradiction avec ce principe naïf.
Voyons, avant de répondre à la question de savoir comment se produit une mutation qui donne lieu à une espèce plus évoluée, le mécanisme somatique du IGOOA (GENE).
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 17/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Dans notre dernier rapport nous vous avons révélé l’existence d’un facteur encore inconnu de la biochimie TERRESTRE, et que nous appelons BAAYIODUU (le Y est presque muet et le D peur être pris comme un Z très doux).
Le BAAYIODUU est composé de 86 atomes doubles de krypton (l’expression ‘atome double’ serait incorrecte pour un spécialiste terrestre, mais il faut tenir compte des difficultés de traduction quand il faut transcrire nos mots scientifiques).
Par exemple l’étymologie de notre phonème NIIO AA qui signifie la même chose qu’Atome est très différente. Non seulement ses racines n’ont rien à voir avec les racines grecques (INDIVISIBLE) mais de plus ce mot NIIO AA nous sert aussi pour parler d’une molécule chimique ou d’un petit groupe d’atomes non liés entre eux.
Une telle confusion est issue de conceptions physiques différentes car nous, nous concevons les particules subatomiques comme de simples changements d’axes dans un réseau pluridimensionnel, liées à une fonction probabilistique. Ainsi quand de telles entités sont en relation, nous appelons cette interrelation à un niveau microphysique NIIO AA.
Ainsi par exemple, une paire formée par un Hipéron sigma et un proton au sein du noyau atomique, recevra aussi le nom de NIIO AA. Le même noyau recevra le nom de NIIO AA ainsi que l’interaction proton-électron. Pour différencier le type de NIIO AA que nous sommes entrain d’étudier, nous mettrons un chiffre codé devant le phonème.
Ainsi quand deux atomes exercent une fonction spécifique différente de celle des autres atomes contenus dans l’environnement, ils recevront aussi la dénomination de NIIO AA même si de tels atomes ne sont pas composés dans une molécule à l’aide d’une liaison chimique.
C’est le cas des paires de krypton dans le BAAYIODUU, des deux atomes liés à l’axe, l’un d’eux codifie l’information stéréotypée du code biogénétique.
Exprimé en termes plus didactiques : il enferme un message qui lui a été soumis depuis l’origine de l’Univers (nous pouvons démontrer que le WAAM n’est pas CYCLIQUE).
Un peu comme un dictionnaire terrestre ou un manuel (pour une paire de 86 atomes); une page de ce dictionnaire de 43 feuilles où sont cataloguées TOUTES LES FORMES POSSIBLES D’ETRES VIVANTS compatibles avec les lois biogénétiques universelles.
L’autre atome DYNAMIQUE a une double fonction que nous expliquerons plus tard.
En premier lieu, il CAPTE l’information issue du cytoplasme cellulaire en la codifiant temporellement.
En second lieu, il DYNAMISE une telle information accumulée en provoquant des altérations quantiques qui sous forme de radiation provoquent des altérations au sein des chromosomes (dans l’ADN) c’est à dire des MUTATIONS.
Il est nécessaire de présenter préalablement une série de déclarations sans lesquelles un profane en Génétique ou en Biochimie terrestre rencontrerait des difficultés dans la compréhension des concepts qui suivent.
La première question que vous pourriez formuler est celle-ci : Comment la cellule reçoit l’information concernant le milieu extérieur ? C’est l’un des aspects les plus importants du dynamisme cellulaire. Prenons un exemple :
Choisissons un être vivant qui vous soit familier : le crabe. Vous savez que l’une de ses espèces très courante sur les côtes américaines a une coloration bleue due précisément à la couleur de certaines roches recouvertes d’algues verdâtres-bleuâtres. Quel a été le processus qui a permis à cette espèce de crustacés d’obtenir cette coloration ?
Si cette variété de crabes avait été noire ou brune, elle posséderait moins de moyens de défense face à ses ennemis car ils pourraient facilement distinguer l’animal par son contraste avec le milieu chromatique qui l’entoure.
Le camouflage de la couleur lui permet au contraire de parfaitement se défendre sur ce terrain. Il en est de même avec les caméléons ou sur UMMO notre OERUU IIOSSAUUIGAA, vertébré qui peut se fondre parfaitement avec les roches couvertes de lichens jaunâtre très abondant dans la région volcanique de UUIDDAO UYOAA IIO.
Une multitude d’insectes qui vous sont connus adoptent des formes de branches, de pailles, de feuilles qui leur permettent un mimétisme absolu et défensif sans lequel l’espèce disparaîtrait.
Mais vous vous êtes sûrement souvent demandé comment la NATURE a pourvu l’organisme de telles défenses.
Ni l’hypothèse de la sélection naturelle des spécialistes en génétique terrestre, ni les hypothèses concernant la mutation provoquée par les radiations extérieures, ne peuvent expliquer un fait d’une telle importance.
Que s’est-il donc passé pour que se produise ce phénomène si surprenant de la coloration bleuté de ce crustacé?
En premier lieu, nous vous indiquons que ce sont par les deux voies d’information que possède une cellule :
– CANAL CHIMIQUE D’INFORMATION
– CANAL RADIOELECTROMAGNETIQUE D’INFORMATION
Ainsi, tout être organique complexe, tel l’homme, possède une série d’organes appelés SENS par les terrestres, (organes qui le mettent en contact avec le monde extérieur grâce à l’information captée sous forme d’ONDES); la cellule a aussi des moyens d’information qui lui permettent d’être en relation avec le milieu extérieur par l’intermédiaire de sa membrane compliquée.
Ces moyens sont, en premier lieu, les fréquences ELECTROMAGNETIQUES DE TOUTES LES LONGUEURS D’ONDE. Depuis celles qui possèdent une longueur d’onde de plusieurs kilomètres et que vous appelez Grandes Ondes jusqu’aux vibrations de grande énergie et de très haute fréquence que vous appelez d’une manière incorrecte Rayons Cosmiques
En second lieu, la cellule choisit à travers sa membrane de laisser passer certains composées chimiques. La cellule choisit à travers sa membrane de laisser passer certains composés chimiques. La cellule mémorise la déglutition de tels produits. Un peu comme si nous les Hommes nous utilisions pour communiquer entre nous, un langage codé dans lequel au lieu d’utiliser les vibrations de l’air, c’est à dire des SONS, nous utilisions des Aliments et en mastiquant nous comprendrions la signification du message.
Quand l’être vivant est simplement unicellulaire, l’information du monde qui l’entoure arrive directement par ces deux voies.
Des millions de messages radioélectromagnétiques issus d’autant d’autres sources d’émission arrivent à son cytoplasme et à son noyau. (TOUS DEUX RECEPTEURS DE TELLES FREQUENCES).
Ces sources sont très diverses et presque toutes se trouvent dans le WAAM ou COSMOS.
Ainsi dans le cas de OOYAGAA (PLANETE TERRE) : une gamme importante de radiations issues de l’astre chaud SOLEIL.
Jupiter vous envoie par exemple fréquemment des trains d’ondes de longueur décamétrique et les Radiosources localisées par les radioastronomes terrestres vous sont si familières qu’il est inutile de les répéter ici.
Bien que captées par la cellule, de nombreuses fréquences parmi celles-ci ne sont pas mémorisées. Mais il existe une fréquence qui a une importance transcendante pour les cellules des tissus vivants de tous les êtres du Cosmos. Les terrestres en connaissent l’existence mais ne se doutent pas de son importance.
Nous faisons allusion à la fréquence correspondant à l’ONDE de 21,106 centimètres émise par de grandes nébuleuses d’Hydrogène Neutre qui, dans le cas de notre Galaxie, se trouve presque toute concentrée dans le plan galactique équatoriale.
Les cellules de tous les êtres vivants de notre Galaxie (et par supposition celles des autres Galaxies) reçoivent ces trains d’ondes de l’hydrogène; mais ce quelles mémorisent réellement ce ne sont pas les séquences rapides, c’est à dire les variations acycliques de courte période.
La cellule ne se souviendra pas par exemple des variations rapides (A sur la FIG 10) de l’intervalle d’un an mais, au contraire, elle se souviendra des variations accusées par intervalles réguliers de l’ordre d’un millier d’années terrestres (période seuil mesurée par nous : = 877,533 années terrestres (B sur la figure 10)
(Figure 10)
Comme une cellule a une période de vie très réduite (les cellules nerveuses peuvent vivre une centaine d’années terrestres, pendant que les hématies du sang atteignent à peine 130 jours terrestres). Le message est mémorisé par de nombreuses générations consécutives. (Vous pouvez imaginer un langage si lent que pour capter le mot SOUFFRE, il faut la collaboration depuis le bisaeuil d’une famille jusqu’à son arrière petit-fils.)
C’est ainsi qu’apparaît un véritable processus d’histérisis dans la cellule qui de génération en génération va accumuler une information radioélectrique convenablement MEMORISEE ET CODEE.
Les cellules appartenant au tissu épithélial de l’OEMII (corps humain) peuvent contenir, sous forme codée, toutes les variations accusées sur la Planète Terre des champs électromagnétiques de source sidérale et ce depuis l’apparition de la vie sur cet Astre.
Mais il est important de vous dire quel est le véritable récepteur de ces fréquences, récepteur qui n’a pas besoin de l’aide des Valvules de vide, ni des fonctions de l’état solide des transistors ou diodes de Silice ou germanium terrestres, ni de condensateurs ni de résistances comme les récepteurs terrestres.
Ce récepteur est tout simplement l’EAU contenue dans le Cytoplasme de la Cellule et dans son noyau.
La structure moléculaire de celle-ci la rend apte à capter de telles ondes même si ses longueurs d’onde sont beaucoup plus grandes que celles de ses dimensions moléculaires.
ALICIA ARAUJO
MADRID
Reçue le 24/04/1967
Langue : Espagnol
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Dans les documents précédents, nous avons fait un résumé de la fonction de réception et de codage des cellules. Cependant nous devons vous avertir qu’une étude complète des procédés intracellulaires ne peut être faite seule sans qu’elle perde sa valeur scientifique.
Pour cela notre objectif est de vous informer au niveau de la divulgation scientifique sur les avances obtenues par nous dans le champ du BAAYIODUULAA (BIOLOGIE).
Il faut que ce point soit bien clair. Si malgré le fait que la rédaction des documents ait été réalisée en tenant compte du niveau moyen culturel des composants de ce groupe, certains parmi vous trouvent des difficultés à la compréhension de certains concepts scientifiques.
Comment pouvons nous dicter ces notes en tenant compte de la terminologie et en nous appuyant sur une formulation chimico-mathématique plus aptes pour un biologiste terrestre que pour des OEMII (HOMMES) dont la profession, sauf certain cas isolés, est marginale par rapport à ces études ?
C’est pour cela que notre mission est de vous informer sur des principes que nous jugeons transcendants. Mais il existe une difficulté évidente. Pour vous décrire l’existence de certains facteurs comme le BAAYIODUU, nous devons citer des concepts et des facteurs qui soient familiers aux techniciens terrestres, comme le code génétique contenu dans les chromosomes.
Mais certains parmi vous n’ont pas eu l’occasion de connaître les dernières découvertes de la biochimie terrestre. Nous faisons donc attention en ponctualisant pour les profanes en sciences biologiques les concepts qu’ils connaissent sur terre par rapport à ceux connus par d’autres civilisations extraterrestres.
D’autre part il est utile de préciser qu’il faut utiliser pour ceux d’entre vous qui n’ont pas une connaissance profonde en Mécanique Quantique des comparaisons qui ont uniquement une valeur uniquement pédagogique.
Ainsi quand nous disons que dans le BAAYIODUU, les atomes de Krypton tournent par paires en orbites elliptiques ou quand nous nous référons aux « sauts » électroniques au sein d’un niveau énergétique ou subcouche atomique, nous utilisons un langage symbolique.
Vous devez tenir compte que toute la structure de la Mécanique Quantique créée par les Physiciens de la Terre est une véritable recherche de la perfection qui n’a pas de base réelle. Par exemple nous allons vous citer un concept qui est familier aux physiciens terrestres : le SPIN DE L’ELECTRON.
Vous êtes, à cause de l’état embryonnaire de vos recherches, incapables de donner une explication satisfaisante de l’effet de ZEEMAN; vous créez alors le concept de moment angulaire du SPIN et vous construisez un modèle mathématique sur une hypothèse si fragile.
Nous vous signalons que c’est cette fausse conception qui a retardé, au niveau de la physique terrestre, l’élaboration d’un modèle atomique plus près de la réalité. Ce que vous appelez SPIN est très différent de la définition de vos mathématiciens.
En effet : si vous considérez un Réseau spatial de N dimensions, la déformation en deux axes axiaux [? NdT] orientés orthogonalement et qui se coupent en un IBOZOO UU (point spatial) donnera lieu à un effet qui, dans le cas que vous appelez CHAMP ELECTROSTATIQUE – CHAMP MAGNETIQUE, invite les spécialistes de votre Planète à le représenter par un vecteur et à lui assigner un numéro quantique. C’est un peu comme si quelqu’un contemplait d’une lointaine montagne le pique-nique d’une famille et qu’il confondait le drap étendu au sol avec la jupe d’une excursionniste assise contre celui-ci, pour en faire UN UNIQUE VETEMENT.
Nous vous disons tout cela pour que vous preniez conscience des difficultés que nous rencontrons quand nous vous décrivons un concept scientifique. Si nous utilisons le langage scientifique terrestre, nous travestissons la vérité car de telles hypothèses terrestres sont viciées à l’origine et si nous avons recours au chemin logique qui consiste à vous expliquer au préalable vos erreurs ou les idées inexactes que vous vous êtes forgées, il faudrait alors une grande quantité de pages dactylographiées.
Et même si le panorama n’était pas déprimant, beaucoup parmi vous ne connaissent même pas de telles hypothèses terrestre car ils jugent plus intéressant de se soumettre au lavage cérébral de la Télévision que de se former à ces disciplines scientifiques.
……………………….
Nous vous disions dans le document antérieur que la cellule est capable de recevoir une information grâce à deux voies :
– RADIOELECTRIQUE
– CHIMIQUE.
Le processus par lequel un crustacé informe ses cellules germinales sur la nature du milieu qui l’entoure est très complexe et nécessiterait une autre série de rapports.
Pour résumer nous vous indiquerons que le Crabe déjà cité captera grâce à ses yeux les stimulations lumineuses de la coloration des roches (VERT-BLEUTE). Ceci provoque une série d’altérations métaboliques (c’est à dire biochimique), immédiatement les stimuli codés sous forme de courant nerveux affectent les organes de son système nerveux embryonnaire. Dans ce cas ce sont les niveaux de Potassium et de Nitrogène qui s’altèrent de manière telle que la cellule est informée des conditions qui règnent à l’extérieur à partir du plan OPTIQUE.
Au travers de la Membrane Cellulaire l’équilibre de transférence ionique est altéré et le métabolisme cellulaire subit une série de modifications qui vont du cytoplasme jusqu’au noyau.
Les altérations se produisent au niveau des subcouches les plus superficielles des atomes d’oxygène qui composent les molécules d’EAU INTRACYTOPLASMIQUE en produisant automatiquement des variations quantifiées du Champ gravitationnel électronique.
Nous allons un peu expliquer cela pour ceux qui ne sont pas forts en physique.
Vous savez que l’un des attributs de l’électron est la Masse. Quand la masse de l’électron décrit un mouvement vibratoire harmonique, elle crée dans certaines conditions des ondes gravitationnelles avec la perte d’énergie équivalente.
Dans ces conditions l’électron disparaît pour se transformer en ce que vous appelleriez UNE AUTRE PARTICULE SUBATOMIQUE.
(Une telle subparticule vous est inconnue et il n’est pas nécessaire de la désigner par un nombre, comme il n’est pas nécessaire non plus de donner un vocable à chacun de l’infinité des angles que forment deux lignes droites.)
CE PHENOMENE N’EST PAS CONNU DES TERRESTRES. En réalité l’électron se dégrade en émettant de l’énergie quantifiée sous forme gravitationnelle. [Cette dernière phrase est sous toutes réserves car pratiquement illisible NdT].
C’est tout simplement (selon la conception vérifiée de notre physique) qu’il subit une nouvelle orientation de son axe et que se modifie la structure du réseau N dimension qui l’entoure.
Exprimé clairement : certains atomes d’oxygène composants de l’eau contenue dans le cytoplasme cellulaire, subissent une excitation dans leurs couches orbitales externes.
Les électrons en vibrant émettent des ondes de type gravitationnel qui disparaissent par la suite, un peu comme si un émetteur de radio terrestre devait brûler ses propres équipements pour obtenir l’énergie nécessaire pour envoyer l’émission.
Ces ondes gravitationnelles ont une énergie beaucoup plus faible que les ondes radio que vous connaissez (de l’ordre de 10-39). Mais ce champ gravitationnel altéré provoque un effet de résonance dans les électrons de l’un des atomes de chaque paire qui compose le BAAYIODUU (atome que nous appellerons BAAIGOO EIXUUA et qui est intraduisible) Atome DYNAMIQUE.
Autrement dit : il agit comme un récepteur capable de détecter les ondes gravitationnelles émises par l’OXYGENE cytoplasmique et capable d’enregistrer le message comme s’il s’agissait d’un magnétophone terrestre.
Quand un électron s’associe avec un Quantum gravitationnel (appelé par les terrestres GRAVITON); une telle association peut donner lieu à un autre électron avec modification de phase et de position orbitale et à une nouvelle subparticule qui se dégrade par la suite en se subdivisant en deux autres de plus.
C’est ainsi que les électrons de l’atome de Krypton sont « INFORMES » (nous utilisons le langage de vulgarisation) que dans les environs du lieu où se trouve le Crabe de notre exemple, la coloration dominante est bleutée.
NOUS CONTINUERONS CE DOCUMENT.
Mais nous voulons expliquer à la YIE ALICIA ARAUJO que le mode avec lequel a été capté la véritable nature du phénomène décrit dans les documents antérieurs n’est pas du tout incorrect.
Seule la formulation a été réalisée d’une manière quelque peu primitive.
Nous signalons avant tout qu’il n’y a pas qu’un seul atome qui codifie toutes les formes possibles d’êtres vivants du WAAM mais 86 NIIO AA (ATOMES) de Krypton que nous appelons BAAIGO EIXAE (décodeurs).
Leurs électrons, en occupant à chaque instant des milliers de milliers de positions différentes (LE CHIFFRE TEND EN REALITE VERS L’INFINI), sont capables de condenser cette énorme information.
Dans des documents à venir vous comprendrez mieux toute la fonction du BAAYIODUU.
UMMOAELEWE
ALICIA ARAUJO
MADRID
Suite de « LES BASES BIOGENETIQUES DES ETRES VIVANTS QUI PEUPLENT LE COSMOS »
Nous désirons continuer le rapport sur les BASES BIOGENETIQUES dont vous avez déjà reçu une partie.
Cette période actuelle est critique pour nous et nous n’avons pas pu dicter au mécanographe la suite du texte en question; de plus, nous ne sommes pas sûrs de pouvoir continuer à le faire prochainement.
Tout dépendra des instructions de notre Soeur à qui nous, les membres de cette expédition sur Terre, sommes soumis.
Nous pouvons vous en donner partiellement la raison dans la mesure où la suite de la demande de votre frère Fernando Sesma Manzano, nous avons décidé d’envoyer un texte aux membres de ce groupe.
Nous vous en avions parlé il y a déjà quelques mois et maintenant nous vous le confirmons officieusement.
L’arrivé sur cet Astre Froid (Terre) de trois de nos OAWOOLEEA UEUA OEEMM (Vaisseaux de forme lenticulaire avec lesquels nous réalisons nos voyages) est imminente. Et ce dans une période comprise entre le 30 Mai et le 3 juillet [1967 NdT].
La OAWIOOLEAIDAAA (conversion de dimensions), c’est à dire « l’arrivée physique » des trois vaisseaux aura lieu probablement dans les pays suivants :
BOLIVIE (Zone de ORURO)
ESPAGNE (Zone de MADRID)
BRESIL (Près de SANTO ANGELO)
Mais les raisons du choix de ces régions ont été indiquées dans une triple note envoyée à d’autres membres du groupe.
De plus nous avons envoyé des notes similaires aux autres Groupes terrestres qui sont en contact avec nous ainsi qu’à SIX correspondants d’Angleterre, France, Etats-Unis et Tchécoslovaquie.
Nous vous supplions affectueusement de ne pas communiquer le contenu de cette lettre à la presse jusqu’à l’arrivée (des vaisseaux). Si nous avons des échos selon lesquels cette demande n’a pas été respectée, nous cesserions définitivement nos contacts avec vous.
Vous pouvez bien entendu en deviner les raisons, car si la nouvelle était diffusée, cela provoquerait pour nous de sérieux tourments.
D59
Référence : | D59 |
Titre | THEORIE DU CHAMP UNIFIE. LES IBOZOO UU. VERITABLE STRUCTURE DE L’ESPACE PHYSIQUE, LA MASSE, LES PARTICULES SUBATOMIQUES ET LA GRAVITATION |
Destinataire(s) et date(s) | VILLAGRASSA 5 Lettres à partir de 1967 |
Commentaires |
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : 1
ANRIQUE VILLAGRASA NOVOA
MADRID, ESPAGNE.
Monsieur,
Au cours d’une conversation que vous avez eu avec mon frère dont je dépends : DEI 98, fils de DEI 97, vous lui demandiez des informations concernant les voyages et le concept de l’ESPACE.
Le thème est complexe comme vous pourrez vous en rendre compte dans les documents que nous vous remettons peu à peu.
Bien entendu avant de vous faire une description du type de sensations que nous ressentons quand nous voyageons dans un OAWOOLEA UEWA OEMM (VAISSEAU LENTICULAIRE POUR LES DEPLACEMENTS INTRAGALACTIQUES) il vaut mieux que vous ayez une idée plus exacte de notre concept de l’ESPACE.
Vous vérifierez vous-même qu’une telle théorie diffère largement de celle qui a été élaborée par les mathématiciens de la TERRE. Et que notre image du WAAM, bien que nous le considérions comme un UXGIIGIIAM (ESPACE) pluridimensionnel qui présente dans sa structure de nombreuses courbures que nous appelons masses, ne ressemble en RIEN au concept D’ESPACE TRIDIMENSIONNEL EUCLIDIEN élaboré par les classiques terrestres et n’est pas non plus un fidèle reflet des conceptions terrestres modernes de RIEMAN, BOLYAI ou LOBATSCEWSKY qui supposent un N-ESPACE ou espace pluridimensionnel impliquant que le cosmos peut adopter la forme d’une HYPERSPHERE DE COURBURE POSITIVE OU DE COURBURE NEGATIVE.
Il existe pour nous ce qui est appelé ESPACE-TEMPS conçu par MINKOWSKY mais plongé dans une variété à N dimensions.
Quand nous vous exposons le concept du IBOZOO UU (qui ne doit jamais être confondu avec le concept de POINT géométrique ou mathématiques élaboré par les mathématiciens terrestres comme une abstraction sans réalité physique) vous comprendrez mieux notre Théorie.
Vous remarquerez que le grand contraste entre vos modèle d’espace et le modèle réel repose précisément sur la différence entre le CONCEPT DE DIMENSION ; concept qui adopte pour vous l’interprétation d’un scalaire.
Un développement exhaustif de notre Théorie de l’Espace exigerait de nombreuses centaines de pages dactylographiées ou typographiées. Nous nous limiterons donc, en quelques dizaines de feuilles que nous vous remettons peu à peu, à vous décrire les éléments de base de cette conception.
Pour ceux qui ne possèdent pas de formation mathématique nous utiliserons des graphiques coloriés aux crayons de couleur avec une valeur simplement pédagogique.
Nous adopterons ainsi une rédaction sobre et simple. Nous invitons les OEMII à faire un effort de compréhension.
Ceci constituera une excellente gymnastique mentale et vous servira de rappel de concepts mathématiques appris autrefois avec l’aide de vos anciens professeurs de mathématiques.
Cela vous servira aussi le jour où les physiciens de la Terre découvriront enfin la véritable nature du WAAM ; à ce moment là vous serez un peu fier d’avoir en ce qui vous concerne (même à un niveau élémentaire) eu connaissance de tels concepts de nombreuses années avant.
Quand nous utilisons des notations mathématiques : Monsieur Villagrassa, si vous comptez lire ces documents publiquement à vos frères terrestres non spécialisés en mathématiques, vous pouvez éluder les paragraphes encadrés en vert.
Vous éviterez aussi une sécheresse excessive dans la lecture d’un thème qui peut paraître ennuyeux aux OEMII peu familiarisés en thèmes scientifiques.
Nous sommes sur qu’après la lecture soigneuse de nos notes, où vous comprendrez, Monsieur Villgrassa Novoa, l’authentique concept du TEMPS, les concepts de DISTANCE, de MASSE, de PARTICULES ATOMIQUE, d’ENERGIE et de CHAMPS GRAVITATIONNELS, concept ELECTROSTATIQUE et MAGNETIQUE, vous pourrez alors vous faire une idée du panorama qui se présente aux voyageurs de l’espace avant que nous les décrivions dans un prochain rapport.
Naturellement les perceptions des voyageurs ne sont pas véritablement extraordinaires.
Il ne faut pas croire qu’ils ont des visions de couleurs jamais perçues par notre rétine, ou des sensations tactiles fantastiques ou des sons hallucinants. Au contraire nos organes sensoriels continuent à coder les messages de l’extérieur avec les mêmes lois psychophysiologiques. Seules les stimulations nouvelles, issues d’autres sources d’énergie et de matière, diffèrent de celles que nous percevons habituellement. Les planètes et les Astres Chauds ne sont plus pour nous des concentrations de Masse et ils peuvent disparaître pour nos organes sensoriels.
N’oubliez pas qu’en changeant d’axe de référence, le nouvel espace tridimensionnel qui s’ouvre à nos sens est différent. Par contre certains facteurs qui, dans le cadre de référence antérieur apparaissaient comme des concentrations d’énergie lumineuse par exemple, (en étant invertis) se présenteront comme d’immenses nuages de subparticules atomiques.
Un choc avec ces nébuleuses serait fatal au vaisseau.
Nous vous enverrons le prochain document avant dimanche. Ainsi vous pourrez l’étudier tranquillement car il est très long.
Naturellement vous êtes autorisé à le montrer à vos frères et à en faire des photocopies. Vous pouvez le montrer à des experts en physique et en mathématiques terrestres. Mais il est probable qu’il ne causera pas des effets révolutionnaires et nous nous réservons le droit de vous demander des restrictions concernant les autorisations antérieures si nous jugeons que nos révélations (à l’inverse de notre attente) provoquent chez les spécialistes terrestres un mouvement de curiosité ou d’expectative. Nous vous disons celà car c’est la première fois que nous développons cette théorie pour un terrestres (scientifique ou profane).
Jusqu’à maintenant dans les nombreux rapports et conversations, nous avions parlé des IBOZOO UU sans expliquer leur signification et en nous limitant à traduire ce phonème par « POINT PHYSIQUE ».
UMMOAELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies = 1
A M. Enrique Villagrassa Novoa.
Madrid . Espagne.
LE WAAM REEL ET LE WAAM (UNIVERS) « ILLUSOIRE » DES SENS.
Il est très difficile pour l’OEMII (homme) d’avoir une conscience exacte de la véritable nature du Monde Physique qui nous entoure.
Apparemment les images mentales que nous nous sommes forgées de ce Milieu qui nous entoure peuvent nous suggérer d’une manière erronée qu’un tel Monde Physique est tel que nous le « voyons », « touchons » ou « sentons ».
Mais une analyse soigneuse a révélé autant aux scientifiques de UMMO qu’à ceux de la Terre, et à d’autres civilisations Galactiques (avec un certain degré de culture) que notre WAAM n’est pas comme le présentent d’ordinaire nos sens. Ainsi : les vives couleurs que nous apprécions dans un parterre de fleurs ne sont qu’une belle perception psychologique. Il n’existe pas (en dehors de nous même) une telle richesse chromatique. Seule une gamme froide de fréquences électromagnétiques demeure comme dernier substratum de « ce qui est vécu ».
L’OEMII est le seul être du WAAM qui dépasse les limites de son organisme pour comprendre le monde et il utilise l’esprit pour arriver à y parvenir par voie intellective puisque les organes de nos sens corporels, les voies nerveuses et les mécanismes corticaux de synthèse et perception psychologique faussent totalement la réalité.
Voyons par un exemple comment nos organes physiologiques « tordent » la vérité en masquant les choses avec un bel habit, sans lequel notre WAAM (univers) vu ou apprécié tel quel, se présenterait à nous comme une froide succession d’IBOZOO UU (par la suite nous expliquerons ce concept), déphasé entre eux.
Quand vous prenez par exemple entre vos doigt un briquet, vous avez conscience (sauf perturbation mentale définie comme l’état crépusculaire d’un individu) que cela est LA : froid, brillant, élégant dans ses lignes. Si vous exercez une légère pression sur le bouton, il surgit gracieusement une faible petite flamme bleutée, due à la combustion du butane quand il sort par la tuyère de petit calibre.
« Ceci » est donc LA, pressé entre le pouce et l’index… ce n’est pas une fiction « cela EXISTE ».
Et cependant ce briquet n’est que la perception ingénue d’une personne simple qui peut n(avoirqu’ une faible capacité mentale pour comprendre le WAAM dans lequel elle est immergée.
Le physicien de OYAGAA pourrait vous dire en plus des choses sur ce simple briquet de poche. Il vous indiquerait par exemple que vous ne touchez pas en réalité sa surface, malgré votre évidence illusoire, puisqu’il existe de grande distances relatives entre les atomes de métal et les nuages électroniques des atomes de l’épiderme qui couvre vos doigts.
Peut-être quelque OEMII peu formé prétendra lui objecter timidement que si ce petit morceau de métal n’est pas en contact avec sa propre peau il est impossible qu’il tienne et alors « il tomberait par terre ». Mais le scientifique terrestre lui parlera de champs de Forces, de Tenseurs, de Répulsions entre charges électriques négatives.
Il lui suggérera que la température du métal (basse) produit cette sensation de froid et qu’elle est la conséquence de la basse amplitude de vibration de ses molécules par rapport à celles de son épiderme.
Et il lui indiquera que cette apparence compacte de la plaque chromée est illusoire puisque les noyaux atomiques sont séparés entre eux dans la même proportion apparente que les Astres d’une Galaxie.
Un expert terrestre en optique physiologique vous dira que la brillance réelle de l’appareil est environ dix fois plus grande que la brillance apparente, c’est à dire, une véritable torche, mais que, quand cette lumière traverse notre oeil, le cristallin et l’humeur vitrée absorbent presque tous les photons et que seule une énergie lumineuse très réduite parvient à la rétine.
Un physiologue terrestre sourira si vous lui demandez comment arrive la lumière au cortex cérébral et il vous expliquera que la lumière n’arrive jamais au neuroencéphale. Que les photons, en frappant la rétine, provoquent des impulsions codifiées qui se transmettent par les neurones du nerf optique sous forme de message électrique, sous une forme de clef de sorte que la ressemblance entre la flamme réelle de butane et le message réel que notre cerveau reçoit à partir de la rétine, est aussi semblable que peut l’être une vache réelle qui paît dans un pré avec les lettres qui composent sa dénomination.
Et enfin un neuropsychiatre vous indiquera d’une façon très vague (car lui-même ignore bien des caractéristiques d’un tel processus) comme l’encéphale intègre les millions d’impulsions codifiées jusqu’à parvenir à les fondre et à les synthétiser en une seule perception. Perception illusoire qui est l’unique image que nous arrivons à obtenir du MYSTERIEUX BRIQUET QUI EXISTE EN DEHORS DE NOUS.
En effet : UNE TELLE IMAGE DU BRIQUET QUI NOUS EST SI FAMILIERE ressemble « AUTANT » au VERITABLE BRIQUET que les lettres N-E-N-U-P-H-A-R à la flore qu’elles essaient de nommer (elles = ces lettres ndt).
L’OEMII donc, a besoin de se débarrasser des schémas ingénus qu’il s’était fixé petit à petit sur les choses : couleurs, sons etc… Et ce dans son cerveau depuis son enfance.
L’homme de chacun des groupes sociaux que nous connaissons, relié aux diverses OYAA (Planètes) avec lesquelles nous avons été en contact jusqu’à présent, en nous incluant, vous les OEMII de la Terre et nous les OEMII de Ummo, se sont rendus compte de cette nécessité.
Et les scientifiques de diverses civilisations tirent au clair petit à petit les bases réelles de notre WAAM. Jusqu’à quel point y êtes vous parvenus ? Le modèle mathématique de l’Univers présenté par les physiciens de la Terre, avec sa théorie relativiste, la mécanique quantique et la mécanique statistique est-il le fidèle reflet de la VERITE ?
En vous représentant notre théorie du WAAM, vous pourrez juger des différences. Nous avons, nous, observé que l’OEMII (homme) de OYAGAA (Terre) que vous appelez « homme de la rue » ou « homme de la masse », non initié à la discipline scientifique terrestre de la physique, possède un concept très primitif de l’espace et de l’univers que nous appelons WAAM.
Depuis qu’il est UUGEEYIE (enfant) il a été éduqué à l’idée d’accepter comme valable cette idée de l’image déformée du monde extérieur que nous offre nos sens.
Comme si, étant UUGEE (enfant) il avait été enfermé dans une pièce nue aux murs sphériques, sans être autorisé à voir ses parents, et que ceux-ci lui auraient enseigné seulement les lettres et les syllabes d’une langue terrestre. L’enfant pourrait se créer l’illusion en contemplant les caractères typographiques, que les meubles, les animaux, les arbres et autres objets exprimés par ces graphismes, ont exactement les formes conventionnelles des lettres qui les représentent.
L’OEMII terrestre s’imagine l’espace comme un « continu scalaire » dans toutes les directions. A partir de cette image de l’espace, vous élaborez (commencé par Euclide) tout une géométrie basée sur des abstractions telles que LE POINT, LA DROITE, LE PLAN. Vous avez fini par accepter que POINT, DROITE et PLAN représentent réellement, bien qu’à l’aide d’une abstraction intellectuelle, les véritables composants du WAAM.
Ce vice originel, pas encore corrigé, est en train de vous coûter un retard considérable dans la compréhension du monde physique.
En effet : quand vous acceptiez ingénument l’existence d’un espace Euclidien à trois dimensions ; des mathématiciens terrestres tels que GAUSS, RIEMANN, BOLYAI et LOBATSCHEWSKY avaient l’intuition géniale de la possibilité d’étendre les critères restreints d’Euclide en élaborant une nouvelle géométrie pour un N-Espace.
Et bien que l’esprit d’un homme ne parvienne pas à percevoir mentalement l’image d’un corps de plus de trois dimensions, l’aide des mathématiques sauve de cet écueil intellectuel très facilement.
Mais ces modèles mathématiques de géométries pluridimensionnelles elliptiques et hyperboliques correspondent-ils à la réalité de notre WAAM ?
Ou bien s’agit-il seulement d’entéléchies (réalisation de l’essence de quelque chose, acte achevé de vision ; emprunté à Aristote ndt) crées par les mathématiciens ?
L’hypothèse relativiste de l’allemand Einstein satisfait au début au critère du russe Minkowsky qui conçoit le temps comme une dimension de plus. Avec l’intuition d’un espace-univers tetradimensionnel, l’OEMII terrestre a fait un pas gigantesque en rompant avec la mesquine et intuitive image d’un cosmos tridimensionnel.
Mais, est-il alors comme cela, notre ESPACE-COSMOS ? (il faut pour le moins convenir de l’existence de deux, trois, quatre ou N dimensions).
Notre réponse revêt une gravité spéciale pour les physiciens de la Terre qui se débattent embarrassés à la recherche de l’authentique modèle d’ESPACE.
ABSOLUMENT PAS : Notre image de UAM (COSMOS) c’est à dire de l’ESPACE, diffère dans ses propres fondations de celle que vous avez élaborées. C’est précisément dans le conceptde dimensions que la différence commence à s’accuser gravement.
Qui plus est, les contradictions que vous observez dans la physique relativistes et dans la mécanique quantique, sont produites par un vice d’origine. Ce sont les conséquences d’erreurs basiques de concepts.
Arrivés ici, nous avons besoin d’une parenthèse pour vous offrir quelques observations.
1° En premier lieu nous vous faisons remarquer que notre conception de l’espace : en opposition spécifique avec la conception des terriens, exige plusieurs bases mathématiques différentes des vôtres. Ne parlons pas de nos symboles mathématiques qui diffèrent car naturellement un problème aussi superficiel est facilement résolu par une transcription appropriée (conversion de la base 12 en une numérotation (ou numération ndt) décimale) mais il ne vous sera pas facile de comprendre nos algorithmes de WUA WAAM (mathématique de l’Espace Physique) sans suivre au préalable un cours complet d’initiation qui demande de nombreux mois de travail aux initiés terrestres en mathématiques.
A cela il y a une raison : quand il s’agit d’analyser les propriétés de l’espace, les postulat normaux de la logique mathématique qui vous est familière comme à nous d’ailleurs, NE NOUS SERVENT PAS. Comme vous le savez, la logique formelle accepte le critère intitulé par les terrestres LOI DU TIERS EXCLU (selon lequel toute proposition est nécessairement vraie ou fausse). Dans notre WUUA WAAM ce postulat DOIT ETRE REJETE. On a alors recours à un type de logique Multivalente que nos spécialistes appellent UUWUUA IES (LOGIQUE MATHEMATIQUE TETRAVALENTE) selon laquelle toute proposition adoptera indistinctement quatre valeurs :
– AIOOYAA (VERITE)
– AIOOYEEDOO (FAUX)
– AIOOYA AMMIE (peut se traduire : VRAI EN DEHORS DU WAAM)
– AIOOYAU (intraduisible en langage terrestre).
Même si nous n’obtenons rien avec la logique divalente terrestre, nous l’utilisons nous aussi dans notre vie quotidienne ou dans l’étude des phénomènes macrophysiques, nous pouvons vous offrir les concepts du WAAM.
Nous y arriverons et nous nous limiterons pour cela à un système dans lequel tomberont juste aussi bien le calcul infinitésimal que le calcul intégral, la topologie, les calculs tensoriels et vectoriels, la théorie des graphes et la recherche opérationnelle, si familiers aux terriens.
Pour votre gouverne, quand nous nous verrons obligés d’utiliser quelque algorithme mathématique, nous nous efforcerons de vous le rendre familier en utilisant l’algèbre et les notations connues par vous.
2° Nous nous sommes sérieusement demandé, quand Monsieur Enrique Villagrassa nous formula sa demande d’informations au sujet de nos sensations psychologiques dans les UEWA OEMM (vaisseaux de voyage intragalactique), s’il convenait ou non de révéler ces concepts.
Jusqu’à présent, nous n’avons dévoilé cette sorte d’information à aucun scientifique terrestre puisque les explications théoriques communiquées à différents mathématiciens et physiciens ont été orientées vers d’autres domaines de la Microphysique et de la Théorie Mathématique des réseaux.
La découverte ACTUELLE pour une partie des scientifiques terrestres de ce concept provoquerait un progrès contraire au but recherché (parce que démesuré) de la physique qui pourrait se traduire en applications technologiques extrêmement dangereuses dans l’état ACTUEL du Réseau Social Terrestre qui est déséquilibré.
Finalement nous avons décidé de vous faire découvrir très sagement quelques aspects de notre théorie du UXGIGIIAM WAAM (ESPACE PHYSIQUE REEL)
Ces indications n’entraîneront aucun risque pour vous si nous occultons certaines démonstrations et si nous cachons différents aspects de ce sujet.
Ainsi il n’y aura pas de danger pour ceux qui montrent ces feuilles dactylographiées à leurs frères. De cette façon si un hypothétique scientifique terrestre lisait ces lignes, en bon logicien formel il refuserait d’accepter un témoignage qui, pour provenir d’OEMII extraterrestres, lui paraîtraient être le fruit de la fantaisie.
3° Après ce que nous venons de dire, vous nous poseriez probablement une question importante : comment nous, les OEMII de UMMO, savons nous que notre conception du UXGIAM WAAM est la vraie et non par exemple celle du modèle terrestre de RIENMANN ?
Naturellement, si nous nous interdisons de formuler les démonstrations pertinentes, pour des raisons de type éthique évident, vous serez à l’aise pour continuer à rester fidèle au modèle terrestre.
Quant à nous, NOUS SOMMES SURS que notre modèle, basé sur le concept d’IBOZOO UU (nous expliquerons plus loin ce concept) est REEL PUISQUE LES RESULTATS EXPERIMENTAUX CADRENT PARFAITEMENT AVEC CE CANEVAS.
Le fait que nous réussissions à réaliser des voyages moyennant un changement du système de référence tridimensionnel qui nous permet de nous déplacer à l’intérieur de notre Galaxie avec la possibilité de modifier les phases de ce que vous appelez les particules subatomiques (qui, comme vous le verrez, ne sont autres que les IBOZOO UU orientés de façon particulière) confirme une fois de plus notre théorie du WAAM.
Qui plus est, notre théorie coïncide (à quelque nuances près) avec les thèses élaborées par d’autres civilisations installées dans quantités d’autres OYAA (Planètes) qui gardent le contact avec nous et sont dans un état avancé de leur science.
NOTRE THEORIE DU UXGIGIIAMM WAAM (ESPACE).
Quand nos frères arrivèrent en l’année terrestre 1950 sur la OYAGAA (Terre) et après avoie appris la langue française, et qu’ils eurent accès pour la première fois à la bibliothèque située au 58 rue de Richelieu, Paris, ils furent surpris de lire dans les meilleures textes de mathématiques terrestres gardés à la bibliothèque, par exemple que des concepts comme le POINT, la DROITE et le PLAN continuaient à être considérés par vous comme de simples abstractions d’une réalité soujacente de l’UNIVERS.
Ainsi quand les mathématiciens de la Terre définissent un point comme une famille de courbes ou comme un ensemble ordonné de N nombres o(N – uples) P(a1, a2, a3, … aN) dans un N espace, ils ont l’intuition de la structure d’un espace scalaire à N dimensions dans lequel le point sera défini à l’intérieur d’un cadre de référence par ses coordonnées correspondantes.
Selon ces conceptions une droite sera un ensemble de points de correspondance biunivoque avec l’ensemble des nombres réels, de façon à ce que la distance entre les deux points d’un espace Rn acceptée comme fondement, puisse rester définie.
Ainsi entre deux points A, B, d’un n- espace : D59_FIG1
étant les coordonnées de deux points A(X1, X2, X3, …Xn), B( Y1, Y2, Y3, … Yn), de sorte que la trame d’un espace scalaire pluridimensionnel se trouve ainsi définie.
Ce modèle rigide de mathématique de l’Espace ne satisfait pas du tout nombre de physiciens actuels : celà est vrai encore que beaucoup d’autres continuent à accepter l’existence de cet ESPACE indépendant de la matière et de l’énergie qu’il contient.
Alors vous, les terrestres vous avez inventé une autre illusion : l’Espace des Phases. Pour vous l’ESPACE REEL contient des PARTICULES SUBATOMIQUES (autre erreur comme nous le verrons plus loin).
Vous postulez que chaque particule (NEUTRON, MESON, etc ) doit occuper en un instant donné une position (POINT), mais vous devez définir la particule non seulement dans sa position mais aussi dans sa QUANTITE DE MOUVEMENT.
Alors vous CONVENEZ d’imaginez un N-ESPACE de six dimensions dans lequel chaque particule est définie par six grandeurs : D59_FIG2
Cette entéléchie est nommée par vous ESPACE DES PHASES. Vous pourrez alors imaginer un volume élémentaire composé de cellules limitatives. La limite de t serait un POINT. Le volume élémentaire serait :
t = dx.dy.dz.dpx.dpy.dpz tel que selon le principe d’indétermination:
dx.dpx > h dy.dpy > h dz.dpz > h de façon que le volume élémentaire sera t > h3
(h est la constante de planck NDS)
A ce volume élementaire d’ordre h^3, vous lui donnez le nom de POINT DE L’ESPACE DES PHASES, puisque le point infinitésimal se reconnait en confrontant l’intuition ou la signification physique au viol du principe d’indétermination. Puisqu’une PARTICULE ELEMENTAIRE (électron, hypéron, neutrino, positron, … ) sera localisée en une quelconque face du volume élémentaire en question. (POINT PHASIQUE) mais jamais au point central.
Notre conception du UXGIGIAM (ESPACE) est radicalement différente. Commençons par ce concept même de DIMENSION qui diffère de l’idée que vous vous êtes mentalement forgée. Nous essaierons pour tenir compte de vos frères peu familiarisés avec les WUUA (MATHEMATIQUES) d’utiliser des concepts symboliques et didactiques.
Vous concevez un UNIVERS formé par un ESPACE SCALAIRE (D59_FIG3, F.1) c’est à dire : un espace tel qu’il se présente à nos sens, dans lequel l’image de DIMENSION entraine l’IMAGE d’une DROITE ou SCALAIRE.
L’espace se présentera à nous comme un « VOLUME IMMENSE » et le COSMOS sera quelque chose ressemblant assez à une SPHERE de courbure positive (D59_FIG3, F2) ou négative (D59_FIG3, F3).
Les plus intelligents parmi les terrestres supposent au moins une coubure à l’intérieur d’une quatrième dimension et identifient le WAAM à l’espace pluridimensionnel de RIEMANN.
NOTRE UNIVERS derait alors comme une HYPERSPHERE positive ou négative mais la DIMENSION étent toujours identifiée par vous à une droite ou à un scalaire.
A l’intérieur de ce modèle de COSMOS vous situerez les particules, les atomes ; formant des Galaxies, les CHAMPS de gravité, magnétiques et électrostatiques, l’Energie en somme. ( D59_FIG4).
D59_FIG4 D59_FIG5
Nous, au contraire, nous savons que le WAAM (COSMOS) est composé par un réseau d’IBIZOO UU. Nous concevons l’ESPACE comme un ensemble associé de FACTEURS ANGULAIRES ( D59_FIG5).
Pour nous la DROITE dans l’ESPACE n’existe pas, comme nous l’expliquons plus loin, de cette façon le CONCEPT de OAWOO (DIMENSION) prend pour nous un sens différent. De telles dimensions sont associées non pas à des MAGNITUDES SCALAIRES, mais à des MAGNITUDES ANGULAIRES. (Il est cutieux de constater par exemple que les physiciens de la Terre dans leur aveuglement, n’attribuent pas à l’angle de caractère dimensionnel.
Si vous étiez des enfants dans une école, nous utiliserions peut-être une comparaisons grossière. L’univers « est comme un essaim de libellules » dont les ailes forment des angles différents (D59_FIG6):
D59_FIG6
Toutes ces libellules voltigent de façon telle que pas UNE SEULE ne présente une orientation de ses ailes semblable à celle de ses soeurs. Autrement dit, il n’y aura pas une seule paire de libellules qui, à un instant donné, pourra se superposer de manière que les ailes et les abdomens coïncident. Mais, comme nous vous l’avons déjà dit, cette image est excessivement grossière et éloignée dans son analogie.
En premier lieu chaque libellule occupe un lieu dans l’espace en chaque instant t. C’est à dire : ses centres de gravité et d’inertie occupent des zones définies (selon notre conception illusoire).
UN IBOZOO UU N’OCCUPE AUCUNE POSITION DEFINIE, NOUS NE POUVONS DIRE DE LUI qu’il existe une possibilité de le rencontrer localisé en un POINT.
L’IBOZOO UU UU IEN AIOOYAA (existe) (1)
(1) IEN : (paire, deux).
D’autre part cet insecte volant a une MASSE et un VOLUME, (au moins pour notre esprit) L’IBOZOO UU n’est pas une particule pourvue de MASSE ou corporelle. Dans une première approximation conceptuelle nous pourrions dire de lui qu’il s’agit d’un FAISCEAU D’AXES ORIENTES. Ce qui importe le moins dans un tel faisceau (D59_FIG7)ce sont précisément les axes (fiction mathématique) à l’inverse des ANGLES que forment ces mêmes axes.
D59_FIG7
Les libellules de notre essaim infini vivent dans le TEMPS, se meuvent par courts intervalles de temps, distances infinitésimales. L’IBOZOO UU n’existe pas dans le TEMPS, IL EST LUI MEME LE TEMPS, (précisément un de ses angles est la magnitude TEMPS comme nous l’expliquerons dans un autre rapport avec plus d’éclaircissements); pour être exacts : ce que nous appelions INTERVALLE INFINITESIMAL DE TEMPS (dt) n’est qu’une différence d’orientation (D59_FIG8) angulaire entre deux IBOZOO liés.
D59_FIG8
Si après cette explication sommaire vous concevez notre théorie de l’espace en imaginant par exemple que l’espace est une « masse dense de particules qui ressemblent à des atomes » vous êtes dans l’erreur. Puisque les particules d’un gaz tel que vous le connaissez occupent des positions probabilistiques dans une enceinte, alors que les IBOZOO UU NON.
Vous ne devez pas non plus identifier un tel espace à l’antique concept de l’ETHER invalidé par la théorie de la relativité, puisque le RESAU DE IBOZOO UU n’est aucunement un milieu élastique dans lequel se trouverait immergés les atomes des corps.
Vous pourriez aussi nous demander : par rapport à quel axe de référence universel sont orientés les angles de l’IBOZOO UU ?
Naturellement AVEC AUCUN. Il n’existe aucun axe de référence dans le WAAM car cela supposerait qu’on imagine une droite réelle dans le COSMOS, et une telle droite, comme nous l’avons indiqué, est une FICTION.
Quand dorénavant nous nous référons à l’angle qu’adopte un des axes imaginaires d’un IBOZOO UU adopté conventionnellement comme patron ou référence. CECI EST TRES IMPORTANT.
Quoique nous ayons beaucoup anticipé sur les explications que nous vous offrirons dans nos prochains rapports, nous vous avertissons que vous ne devez pas vous imaginer que les particules subatomiques sont immergées à l’intérieur de cet ensemble d’IBOZOO UU.
Tout simplement parce que n’importe quelle particule (électron, méson ou graviton) est nécessairement un IBOZOO UU orienté en forme singulière par rapport aux autres.
En conclusion : nous aussi nous concevons un espace à N DIMENSIONS. La MASSE, par exemple, est aussi une « courbure de cet espace » pluridimensionnel.
Nous supposons aussi des DISTANCES au sein du WAAM. Seul nos concepts de magnitude, de courbure et de distance sont radicalement différentes de ceux des terrestres.
Ainsi quand nous présentons graphiquement l’Espace, une Droite, un Point, nous le faisons COMME VOUS car de telles images sont familières à nos sens. Mais nous savons qu’elles sont une pure fiction.
LE CONCEPT D’IBOZOO UU
Le WAAM que nous connaissons est un ENSEMBLE LIE (AYUU) ou RESEAU D’IBOZOO UU tel que si nous identifions cet ensemble avec une série ordonnée de nombres naturels N→¥
Il faut vous offrir une image la plus fidèle possible de la véritable nature du IBOZOO UU qui n’ait rien à voir avec le POINT MATHEMATIQUE ni avec une PARTICULE ni avec un QUANTUM d’énergie suivant les conceptions terrestres. Vous devez donc débarasser vos esprits d’images aussi familières que le POINT et la DIMENSION LINEAIRE.
Si vous avez une formation mathémathique vous connaissez le concept d’HYPERSHERE dans un N- ESPACE.
Nous pouvons représenter analytiquement un tel corps géométrique. Son équation correspondante est familière pour les étudiants.
Si nous représentons les magnitudes définies dans les N axes par a1, a2, a3, …. aN. Le rayon de l’hypersphère sera défini par :
D59_FIG9
Comme nous ne pouvons pas représenter graphiquement une telle HYPERSHERE, nous supposerons une SPHERE tridimensionnel dont les axes soient orientés orthogonalement.
(Nous essayons de choisir un modèle mathématique (symbolique) qui représente L’IBOZOO UU. Tenez en compte : quand nous nous réfèrerons à un rayon vecteur par exemple, personne ne devra supposer que ce rayon sera matérialisé réellement dans L’IBOZOO UU).
D59_FG10
Nous considérons dans la sphère de la figure D59_FIG10 un OAWOO (avec ce nom nous spécifierons dans la sphère) aussi bien le concept AXE des mathématiciens terrestres, que le VECTEUR, avec ses attributs de module, origine et extrémité). Dans ce cas vous traduirez OAWOO par rayon vecteur U
Si nous considérons une HYPERSPHERE à N dimensions, nous pouvons concevoir autant d’autres OAWOO (RAYONS VECTEURS) que représentent ces grandeurs.
Soit dont les orientations respectives sont orthogonales, c’est à dire qu’elles forment des angles de PI/2 entre elles.
Vu ainsi, l’IBOZOO UU pourrait s’interpréter comme un espace pluridimensionnel fermé, et vous recommenceriez à l’imaginer avec ses points, droites, plans, hyperplans, volumes immergés et hypervolumes.
Rien n’est plus éloigné du concept réel de l’IBOZOO UU.
Quand nous nous référons, au sein de l’IBOZOO UU, à un OAWOO (AXE) et à son orientation, il est clair qu’une telle orientation n’a pas de sens géométrique sans un cadre de référence.
Ainsi quand l’un de vous s’imagine une droite dans l’espace, il doit tracer par la pensée, un système d’axes (que vous appelez cartésiens) pour que la droite soit définie aussi bien par son module (exprimé par six côté dans les axes) que par ces cosinus directeurs : Cos(Alpha), Cos(Beta) et Cos(Gamma)
D59_FG11
Mais vous pouvez observer que ce système de référence a été choisi arbitrairement au sein de l’Espace euclidien que vous avez imaginé.
IL EST TRES IMPORTANT QUE VOUS ACCUSIEZ LA DIFFERENCE par rapport à l’IBOZOO UU.
IL N’EST PAS POSSIBLE DE CHOISIR DANS L’IBOZOO UU LUI-MEME un système référentiel. UN TEL SYSTEME REFERENTIEL DOIT ETRE APPORTE PAR UN AUTRE IBOZOO UU, arbitrairement choisi. (Ainsi dans la figure 11, si nous supposons deux IBOZOO UU (ψ) et (G), ce serait un non-sens de se référer au cosinus directeur
cos(a) cos(b) cos(g)
que le OAWOO UU formerait avec un trièdre idéal dont l’origine serait le « CENTRE » de L’HYPERSPHERE G.
Ainsi nous pouvons seulement nous référer à l’angle Theta IOAWOO que de G forme avec le OAWOO (RAYON VECTEUR de ψ).
C’est précisément ce IOAWOO q (ANGLE-DIMENSION) qui confère à l’IBOZOO UU tout son sens transcendant.
Il faudra dès maintenant que vous fassiez un effort mental pour réaliser une translation psychologique de telle manière que chaque fois qu’en physique nous parlons de MAGNITUDE, l’image d’un SCALAIRE n’effleure pas votre conscience au lieu de l’IOAWOO (ANGLE que les rayons vecteurs hypothétiques de deux IBOZOO UU forment entre eux).
C’est un non-sens d’ISOLER, dans un effort d’abstraction mentale, un IBOZOO UU pour l’étudier.
Nous POUVIONS L’EXPRIMER EN ESPAGNOL, en traduisant le POSTULAT connu de nos physiciens :
IIAS IBOZOO II AIOOYEDOO (IL N’EXISTE PAS EN ABSOLU AUCUN IBOZOO UU ISOLE)
Observez que ce postulat est en français contradiction avec les propositions classiques de la théorie nommée par les terrestres THEORIE MATHEMATIQUE DES ENSEMBLES. Puisque si Ii appartient à W, l’élément Ii (IBOZOO UU) appartient bien à l’ensemble W (WAAM), l’élément I isolé est :
I = Æ (UN IBOZOO UU CONSIDERE COMME ENSEMBLE EST VIDE)
Nous allons expliquer un peu aux OEMII peu familiarisés avec les mathématiques : naturellement un IBOZOO UU n’est pas « VISIBLE » pas même à l’aide des appareils les plus sophistiqués que vous puissiez imaginer dans un laboratoire.
Vous pouvez cependant objecter :
Comment les scientifiques de UMMO savent-ils que cette entité existe s’ils ne sont pas arrivés à le détecter ?
L’usage du mot « détection » est presque inopportun. Si nous sommes arrivés à inférer l’existence de l’IBOZOO UU, c’est parce que le modèle physique élaboré avec son hypothèse satisfait jusqu’à maintenant toutes les explications, tous les problèmes du comportement de la Matière, de l’Energie et qui est : cela offre une possibilité d’interpréter les phénomènes extrasensoriels et aussi les communications télépathiques à travers le BUUWEE BIAEEI (ESPRIT COLLECTIF HUMAIN).
Quoique de telles entités ne soient pas visibles, pour une compréhension à nuance pédagogique, vous pourriez vous représenter le WAAM comme un immense réseau de petites sphères (D59_FG12), chacune d’elles représentant un IBOZOO UU.
Elles sont toutes d’une couleur différente, mais à l’intérieur d’un ensemble chromatique nous pourrions sélectionner toutes celles qui diffèrent entre elles par une légère variation de nuance ; différents tons de vert par exemple).
D59_FG12
Par cette métaphore didactique (sphères colorées), bous exprimerions que l’ensemble d’IBOZOO UU qui diffèrent entre eux seulement par l’angle IOAWOO que par leur OAWOO (rayons vecteurs) respectifs qu’ils forment avec l’un des IBOZOO UU pris comme référence.
Mais tel que son champ de rotation soit l’HYPERPLAN H (comme nous ne pouvons pas dessiner un hyperplan, nous supposerons dans la D59_FG13 qu’il s’agit d’un plan méridien P).
(Les IBOZOO UU dont les rayons vecteurs tournent dans un autre plan méridien seront codifiés par une autre couleur. Orange par exemple :
D59_FG13
Si nous sélectionnons, comme nous vous l’avons dit, tous les IBOZOO UU avec ceux à qui didactiquement nous avons attribué la couleur verte qui existe dans le WAAM, nous observerions que, ordonnés mathématiquement, ils formeraient un OXOOIAEE (chaîne en anneau) :
D59_FG14
Autrement dit : ayant considéré les Ii appartenant à W (sous ensemble de W), nous pouvons établir une correspondance biunivoque entre ces IBOZOO UU de l’OXOIAEE (CHAINE EN FORME D’ANNEAU) et les angles infinis qu’un rayon vecteur peut décrire dans un plan.
Ce n’est pas que de tels IBOZOO UU soient situés dans le WAAM en formant une chaîne sans fin et situés topologiquement en une série ordonnée. NON, ce sont nos sens, comme nous vous l’expliquerons plus loin, qui réalisent ce travail intellectuel de mise en ordre. (Un exemple terrestre vous fera mieux comprendre : quand vous évaluez la quantité d’argent déposé dans un compte courant bancaire, vous pouvez si vous le désirez, vous représenter les dollars, les livres sterling ou les pesos, rangés de façon à pouvoir les compter. Mais cette mise en ordre, vous savez qu’elle est ILLUSOIRE.
Les composants immédiats de cette chaîne D et P diffèrent entre eux d’un angle infinitésimal dq ( dans la figure D59_FG14, on a exagéré la magnitude de dq à des fins didactiques).
CONCEPT DE GEOIDE :LIGNE DROITE.
Un hypothétique observateur qui verrait l’ensemble de la OXOOIAEE (chaîne en anneau) depuis l’IBOZOO UU (Si) interpréterait cette chaîne comme une LIGNE DROITE.
Vous pouvez aussi observer qu’un hypothétique voyageur qui partirait de Si en « ligne droite » à travers le WAAM (COSMOS) en arriverait nécessairement à l’IBOZOO UU d’origine.
Autrement dit : ce que nos sens interprètent comme une magnitude linéaire n’est qu’une OXOOIAEE (CHAINE D’IBOZOO UU). C’est l’image mentale illusoire avec laquelle notre neuroencéphale réalise un travail de synthèse et de mise en ordre de cet ensemble d’IBOZOO UU (qui dans le WAAM sont en réalité en « désordre » et sans position définie).
D59_FG15
Au risque de nous répéter, nous vous avertissons du danger didactique que cela représente pour vous de croire que les IBOZOO UU de cette chaîne sont ordonnés en lignes droite dans l’UNIVERS. Il en est pas ainsi. Nous disons que de tels IBOZOO UU AIOOYA sont liés dans le WAAM.
N’en déduisez pas qu’ils ont des POINTS de localisation. Ne croyez pas que deux IBOZOO UU, que nous avons dessinés adjacents pour les décaler d’un angle élémentaire dq dans les images D59_FG13 et D59_FG14 existent en réalité.
Si nous considérons sur la Figure D59_FG15 un observateur terrestre lié à l’IBOZOO UU (T) et sur notre planète UMMO un observateur lié à (U) nous dirons qu’il existe une distance L entre la Terre et UMMO parce que depuis un point de référence arbitraire il existe une différence ANGULAIRE entre les deux IBOZOO UU.
Différence angulaire qui implique l’existence d’une infinité d’IBOZOO UU, entre eux.
Mais si nous considérons un autre système de référence nous découvrirons une deuxième chaîne d’IBOZOO UU de sorte que cette différence angulaire aura varié. (Sur les dessins nous représentons ces signes de références par des plans méridiens oranges et verts. Nous dirions alors que la distance entre UMMO et la TERRE est différente : L’) .
L’ < L car (Q’u – Q’t) < (Qu – Qt)
Nous pouvons conclure ensuite en disant que nous définissons la ligne droite et sa magnitude mesurée sur elle comme une chaîne d’IBOZOO UU immergée dans le WAAM tel que ses OAWOO (RAYONS VECTEURS) diffèrent successivement d’un angle dq et soient tous orientés en un hyperplan H.
Un cas limite de ligne droite sera le OXOOIAEE WAAM (que nous pourrions traduire comme GEOIDE UNIVERSELLE) (Figure D59_FG14).
Vous ne devez en aucune manière penser qu’UN POINT DE CETTE DROITE pourrait être représenté par un IBOZOO UU. Car nous vous avons déjà dit qu’un IBOZOO UU en lui-même n’a aucun sens. En tous cas nous définirons un segment élémentaire comme une paire liée d’IBOZOO UU. A réfuter aussi une fois pour toute le concept de point géométrique que les mathématiciens terrestres ont introduit dans leurs cerveaux. Si vous n’avez pas compris cela, c’est que vous n’êtes pas parvenu à assimiler le sens authentique de notre physique, imprégné que vous êtes de notations mathématiques terrestres.
Soit E un ensemble de points géométriques selon la conception d’un N-Espace de RIEMANN (Mathématicien terrestre) dans lequel chaque point est P (x1 x2 x3 …. xn) (P)
Soit d’autre part W l’ensemble des IBOZOO UU DU WAAM (i).
Nous disons que
Si P Ì E (tout point appartient à E)
et i Ì W (tout IBOZOO UU i appartient à W)
On vérifie que : W Ç E = Æ, c’est à dire que l’intersection de E et de W est vide.
D59_FG16
Si D et D’ sont deux ensembles d’IBOZOO UU qui impliquent des distances mesurées par un observateur en les orientant sous des angles différents on observe que D Ç D’ = Æ
LE TEMPS ET LES CHAMPS MAGNETIQUES, GRAVITATIONNELS ET ELECTROSTATIQUES.
Mais l’IBOZOO UU est bien plus qu’un facteur qui donne le sens exact des distances cosmiques. Notre WAAM (UNIVERS) est un tout comme la trame dont nous pouvons apprécier les multiples facteurs qui apparaissent à nos organes sensoriels et à nos instruments de physique dans les champs statiques de Forces.
Ainsi, nous soupçonnons la présence d’un Astre proche par l’influence qu’il exerce sur une masse distincte. Nous définissons alors cette influence comme un champs gravitationnel ou bien nous détectons des traces d’ondes électromagnétiques dont les sources de radiation peuvent être artificielles comme celles qui sont émises par un émetteur terrestre de télévision ou peuvent provenir d’une nébuleuse dont les ions du plasma se déplacent alternativement.
L’Univers se présente à nous comme un substrat de phénomènes aussi familier que la vitesse, la force ou le lent écoulement du temps.
En particulier, cette magnitude Temps revêt pour nous une importance spéciale. Dans les prochaines pages dactylographiées que nous vous remettrons, nous vous renseignerons sur cette particularité. Nous vous indiquerons par exemple qu’on peut assimiler le Temps à une série d’IBOZOO UU dont les axes sont orientés orthogonalement par rapport au OAWOO (rayons vecteurs) qui impliquent des distances, et même le cas peut se présenter, si l’inversion de ses axes est idoine, qu’un observateur dans son nouveau cadre de références apprécie comme distance ce qui, dans l’ancien système référentiel, était mesuré comme intervalle de temps.
Vous comprendrez alors pourquoi un événement qui se passe à une grande distance de nous (par exemple sur UMMO) ne pourra jamais se passer simultanément avec un autre événement terrestre.
Vous comprendrez aussi pourquoi un hypothétique objet qui se déplace à la vitesse limite (vous l’appelez vitesse de la lumière) raccourcira sa distance sur l’axe de déplacement jusqu’à la réduire à une paire d’IBOZOO UU (distance qui lorsqu’elle tend vers zéro n’est pas nulle comme le note faussement une des transformations de LORENTZ (Mathématicien terrestre)).
Vous comprendrez aussi que ce que vous appelez subparticules atomiques comme un neutron, un méson ou un antiproton, avec assignation divers de leur masse, charge et spin, ne sont que les orientations multiples des IBOZOO UU eux-mêmes (parce que si les physiciens terrestres continuent à passer leur temps à la détection, évaluation et classification de toutes les subparticules possibles, il se passera des milliards d’années pour en finir puisque cette classification est aussi stérile que de donner un nom à chaque angle infinitésimal sous lequel nous pouvons contempler une étoile au long d’un jour).
LE RESEAU AXIAL DE L’IBOZOO UU
Une définition préparatoire à la définition définitive des IBOZOO UU que nous vous offrirons à la fin est celle-ci :
Un IBOZOO UU est une entité élémentaire cosmique intégrée par un faisceau d’axes orientés QUI NE PEUVENT SE COUPER ENTRE EUX, liés à un ensemble d’IBOZOO UU indépendants par relation de caractère angulaire.
Vous pouvez observer que petit à petit nous sommes en train d’ajuster chaque fois plus fidèlement le concept authentique d’IBOZOO UU défini par nos spécialistes d’UMMO. Nous avons pensé que vous apporter dès le début une définition exacte, embrouillerait excessivement le caractère didactique de ces paragraphes si nous tenons compte du fait qu’aucune théorie se rapprochant de la nôtre en son formalisme n’existe sur la planète TERRE.
Observez aussi que par la traduction de cette définition, nous avons exprimé que les IBOZOO UU intègrent un faisceau d’axes orientés qui ne peuvent se couper entre eux.
Ceci est très difficile à comprendre si vous continuer à maintenir l’image mentale classique d’espace Euclidien avec sa trame de points et de droites.
D59_FG10
Naturellement si l’IBOZOO UU était comme une sphère ou une hypersphère (D59_FG10), en son sein les axes différents pourraient SE COUPER en un point.
(Par exemple les rayons vecteurs se couperaient au centre). Aussi ce modèle mathématique NE REPRESENTE PAS VRAIMENT L’IBOZOO UU.
Si nous avons choisi le modèle d’une sphère dans notre description, c’est seulement pour obtenir une traduction plus fidèle des concepts en utilisant les algorithmes, les notations mathématiques et les concepts géométriques très familiers aux terrestres. (C’est un peu ce que vous faîtes quand, pour simplifier, vous considérez le Globe terrestre comme une sphère idéale alors que vous avez conscience qu’il s’agit d’un ellipsoïde (déformé) de révolution. (Ellipsoïde isocèle à trois axes)).
Supposons donc une sphère (D59_FG10) qui constituerait l’un des hyperplans infinis méridien d’une hypersphère d’ordre N = 4.
Si vous n’êtes pas familiarisés avec ce concept, imaginez que si nous donnons le nom de plan méridien à la section d’une sphère qui passe par son centre, à savoir la sphère d’ordre n = 3, pour une hypersphère de dimension 4, sa section sera précisément une figure de N – I dimensions, c’est à dire une sphère. Il faut donc que vous vous rappeliez le concept de l’ANGLE dans un HYPERESPACE.
Q = Q(P,Q)
soient P et Q deux HYPERPLANS définis par les coordonnées U = (U0 U1 U2 ….. Un) et V = (V0 V1 V2 …..Vn)
Ces deux HYPERPLANS déterminent un faisceau G.
Ainsi dans ce G il y a DEUX HYPERPLANS P¥ et Q¥ qui sont tangents à la quadrique fondamentale S.
L’angle Q = Q(P,Q) (dans lequel 0<Q<P) entre ces deux HYPERPLANS P et Q est défini par :
Q = Q(P,Q) = 1/2i Log R ( P , Q , P¥ , Q¥ )
Cet angle se définit par les équations : (nous ne pouvons représenter Q sur une image. Nous reproduisons seulement la projection Qp de Q. Qp sera exprimé par deux plans méridiens au cas de Q pour un N – espace de l’ordre N = 4.)
D59_FG18 et D59_FG19
D59_FG20
Dans celle où e = +1 car nous supposons une HYPERSPHERE de courbure positive.
Souvenons nous de la différence entre SPHERE de courbure positive et une surface sphérique de courbure négative qui nous aide à comprendre les concepts d’HYPERSPHERE de courbure e = +1 et e = -1 (Fig D59_FG19).
Donc : quand R ( P Q , P¥ Q¥ ) = -1 nous considérons que les deux HYPERPLANS sont orthogonaux.
Si vous remplacez le concept de OOWAOO (Rayon Vecteur) linéaire de notre modèle antérieur simpliste, par celui de l’HYPERPLAN de l’ordre N = 4 et si vous supposez ces HYPERPLANS de référence non pas dans le propre IBOZOO UU étudié, mais dans un autre qui lui est lié, nous pouvons imaginer trois cosinus directeurs que nous appellerons
COSY COSX COSW
qui nous définirons autant d’autres angles (YXW) que nous définissons comme IOAWOO (ANGLES DIMENSIONNELS) qui définiront chacun les valeurs respectives de l’espace tridimensionnel tel que nous le concevons. On suppose qu’une variation infinitésimale dans les valeurs de ces cosinus directeurs entraîne une paire liée d’IBOZOO UU.
Une fois arrivés là, nous allons utiliser pour les frères terrestres peu compétents en mathématique une image pédagogique d’un WAAM (UNIVERS) représentée par un immense essaim de papillons.
Vous pouvez supposer que ces insectes sont multichromes. Nous pouvons aussi constater qu’il n’existe pas une seule paire qui ait les mêmes tons de couleurs. Nous pouvons les voir virevolter de manière telle que nous ne saurons jamais où se trouve l’un deux à un instant donné car ils se trouvent en même temps ici et partout. Ils sont verts, magenta, oranges, bleus, dorés, etc. tous mélangés entre eux.
Supposons que nous ayons un organe de la vision si aigu et spécial que d’un coup d’oeil nous puissions localiser les millions de libellules d’une seule couleur : vert par exemple et que de plus notre cerveau soit si développé qu’il soit capable de les ordonner par nuance, du VERT CLAIR jusqu’au moins lumineux.
Mais c’est ici que le cerveau nous fait faire un mauvais jugement. Au lieu de percevoir une pléiade ordonnée d’insectes formant une riche gamme de tons verdâtres, nous contemplons une froide et abstraite ligne droite : la paire de libellules vert clair, plus lumineuse, acquière pour notre cerveau le caractère prosaïque de l’extrémité la plus proche de ce très long segment de droite.
La paire de libellules bleues-verdeâtres sera représentée comme le point limite et lointain de cette immense droite D59_FG21 (NDS : dessin illisible dans le document photocopié).
Pour comprendre notre Modèle PHYSIQUE du WAAM, les terrestres doivent adopter d’autres images mentales différentes de celles qui leur sont topiques depuis l’enfance. Vous devez étudier d’autres formes plurivalentes de Logique mathématique. Vous devez aussi comprendre que cette image d’un Monde Physique composé d’atomes eux-mêmes composés d’une multitude de subparticules atomiques occupant à chaque instant des positions probabilistiques, est une VERITE insuffisante et peu approfondie ; vous devez rejeter cette image mentale absurde consistant à dire qu’une particule se déplace à une vitesse instantanée V constitue le passage matériel de cette même particule d’un POINT P à un autre adjacent P’, séparés par une distance infinitésimale, en un intervalle de temps élémentaire dt.
Il faut laisser la place au VERITABLE CONCEPT DE VITESSE qui implique des rotations diverses dans deux IBOZOO UU liés, rotations par lesquelles le premier IBOZOO UU de la paire, en inversant ses axes, cesse de se présenter sous forme de particule subatomique, pendant que le second oriente ses OAWOO (AXES, RAYONS VECTEURS) pour se transformer en une subparticule (ainsi que vous la nommez) identique à l’antérieure (il se produit ainsi un effet illusoire de translation, un peu comme si deux prestidigitateurs terrestres séparés par dix mètres dans un scénario, opéraient en mettant (l’un des deux) un lapin marqué dans la poche, lapin qui serait sorti par son compère quelques instants après).
Toute personne intelligente comprendra facilement que le lapin n’a pas voyagé dans les airs et qu’il s’agit de deux lapins identiques.
Nous sommes surpris d’observer qu’après avoir étudié exhaustivement la Mécanique ondulatoire et observé que tous les phénomènes fonction de temps peuvent se réduire en dernier lieu à une série de fonctions sinusoïdales, c’est à dire cycliques, les Physiciens de la Terre n’aient pas deviné un WAAM (UNIVERS) ANGULAIRE en s’appuyant sur le Modèle mathématique (rigide) scalaire postulé par EUCLIDE et ses successeurs.
Une correction de ces concepts à l’heure actuelle ne serait guère positive pour vous. Il vaut beaucoup mieux que les physiciens de la Terre découvrent la vérité plus lentement en laissant le temps aux valeurs spirituelles de prendre le dessus sur les instincts agressifs de certaines Oligarchies économiques qui règnent dans certains pays.
Sur l’image D59_FG21 vous pouvez voir d’une manière symbolique comment le neuroencéphale réalise un travail de synthèse en classifiant les IBOZOO UU en une échelle ordonnée en fonction de leur longueur angulaire par rapport à l’un d’eux pris comme référence.
Quand l’OEMII regarde dans une direction déterminée, son champs visuel englobe l’ensemble des IBOZOO UU dont les OAWOO s’orientent avec des angles différents dans un Champs que vous pourriez symboliser mathématiquement avec un HYPERPLAN.
Cette image simpliste est destinée aux OEMII peu férus en mathématique. Les initiés comprendront que les IBOZOO UU ne sont pas localisés en des points définis et que le terme DESORDRE ou ENTROPIE ne conviennent pas pour ce modèle.
Si des sphères vertes symbolisent un champ visuel dans une direction déterminée, les bleues, rouges, représenteraient autant d’autres rayons dirigés par l’oeil humain dans ses orientations différentes. Dire que les IBOZOO UU sont comme des petites sphères ou « qu’entre eux existe le vide » ou qu’ils « sont tangeants entre eux au sein d’un espace dense rempli d’IBOZOO UU », tout cela n’a pas de sens. De telles images mentales sont celles qui apparaissent chez un UUGEEYIE (enfant) quand on lui parle pour la première fois sur UMMO de la conception de l’ESPACE composé par les IBOZOO UU. Sa mentalité infantile, habituée aux perceptions familières, tend à matérialiser ce concept d’IBOZOO UU et à lui assigner une corporalité.
Il s’imagine le WAAM comme une immense frai de UYAAYAA (espèce d’arthropode qui traîne une grande poche remplie de ses petits oeufs transparents).
Dans l’image D51_FG21 vous pouvez donc voir comment apparaît, dans le champs de la conscience, l’image d’un segment, d’une droite, traduction codée des stimulis arrivés à la rétine.
Un tel stimuli se transforme dans l’image mentale en DISTANCE quand, entre l’oeil de l’observateur et le corps contemplé, il n’existe aucune MATIERE.
LE CONCEPT DU OAWOO
En définissant au préalable l’IBOZOO UU comme une entité élémentaire composée par un faisceau d’axes orthogonaux qui ne peuvent se couper entre eux, nous avons précisément introduit (à des fins pédagogiques) un concept que vous devez rejeter à priori : celui exprimé avec un mot très familier sur Terre : L’AXE.
Si vous associez notre mot OAWOO (AXE ou DIRECTION) avec une ligne droite orientée, nous retournons au point de départ car, à ce moment là vous n’aurez rien compris de nos précédentes explications.
Evidemment il y a là un obstacle sérieux car nous parlons des langages mathématiques différents. Langages qui sont conditionnés par un ensemble de conceptions psychologiques différentes entre vous et nous. Quand, dès ses premières études, le UUGEEYIE a été éduqué à l’intérieur de7 moules logiques étroits et définis, en respectant des postulats mathématiques irréels, il lui sera très difficile, pour ne pas dire impossible, d’éduquer ses mécanismes mentaux pour dissocier les images illusoires enchevêtrées dans son monde de perceptions.
Donc, si nous invitons les profanes en mathématiques à imaginer l’IBOZOO UU comme une série d’axes (lignes droites indéfinies, idéales)
D59_FG22
DIRECTION, ne pourra jamais être assimilé à des axes ou droites réelles ou idéales.
Nous désirons insister sur le fait qu’un IBOZOO UU isolé n’a pas de SENS d’être conçu, c’est à dire qu’il n’a pas de réalité. Nous, nous disons AIOOIEDOO (faux concept, absurde, qui ne peut pas avoir de réalité).
Nous allons prendre un exemple pour les profanes