D33 Indéterminisme et libre arbitre.

AELEWE
Langue : Espagnol
Nombre de copies : I
23 MARS 1966

Professeur Fernando Sesma,
Madrid.

337: SPÉCULATIONS CONCERNANT LES RAISONS DE LA CRÉATION DE L’OEMMII (CORPS HUMAIN) AU SEIN DU WAAM (COSMOS).

Evidemment un thème aussi transcendant que l’existence de l’homme dans le WAAM (Univers) doit attirer notre attention.
Mais nous observons une différence notable entre les désirs spirituels de l’Humanité de UMMO et celle de OOYAGAA (ainsi nous dénommons votre Planète TERRE).

Notre pensée a toujours été guidée par une orientation qui a une vague analogie avec le Pragmatisme du Philosophe terrestre John Dewey. Nous mesurons toute connaissance avec une échelle dont le niveau le plus élevé est occupé par la fonctionnalité.

Ce qui est fonctionnel pour la philosophie de UMMO c’est qu’au début :

AIOOYA OEMII = L’HOMME EXISTE.

AIOOYA AMMIE WOA = DIEU EXISTE.

AIOOYA AMMIE BUUAWA = L’AME EXISTE.

Comme le « POURQUOI » ne nous est pas accessible, en utilisant les méthodes empirico-scientifiques, nous nous abstenons de dogmatiser.

Naturellement, nous spéculons comme vous les terrestres mais il y a une différence notable :
Quand l’un de vos penseurs développe une théorie philosophique surgit parallèlement une Ecole qui est suivie fanatiquement et avec un esprit critique rare, par des milliers et des milliers et même des millions de personnes en adhérant à sa doctrine, à ses postulats comme s’il s’agissait de vérités irréfutables.

Nous, au contraire, avant tout énoncé doctrinal, nous adoptons une douce et prudente posture UBOO (AGNOSTIQUE). Bien entendu cet agnosticisme n’arrive pas à juger, comme c’est le cas du vôtre, que WOA ne soit pas accessible d’une certaine manière et à un certain niveau à notre expérience scientifique.
NOUS CRÉEONS DES THÉORIES, MAIS NOUS NE SOMMES PAS ASSEZ INGÉNUS POUR LES CROIRE.

Apparemment une telle attitude paraît comporter une contradiction. Il semble stupide de développer une hypothèse pour ensuite la dédaigner.

En réalité, nous n’avons pas voulu exprimer cela : nous savons que de telles hypothèses peuvent se rapprocher de la vérité et, en fait, quelques fois elles coïncident avec elle. Nous démontrons qu’il peut y avoir au moins une explication (même si ensuite elle est différente de celle énoncée au départ) à certaines énigmes transcendantes ; et enfin de telles spéculations constituent dans le pire des cas une excellente gymnastique mentale qui, tôt ou tard, porte ses fruits.

Après ce préambule, nous vous informons qu’en effet, nous avons développé des hypothèses laborieuses pour nous expliquer l’existence de l’OEMMII dans le WAAM (Univers).

Comme il nous est difficile de les exprimer longuement, nous sommes obligés de les formuler en de brefs paragraphes même si une synthèse si limitée entraîne le risque de manquer de rigueur et de profondeur.

334. CONCEPTION ANTROPOMORPHIQUE DE WOA (DIEU) : SES RISQUES.

Certains penseurs terrestres commettent fréquemment une erreur qui consiste à adopter, par inadvertance, une conception anthropomorphique de DIEU ou CRÉATEUR.

Quand de nombreux hommes de votre Planète sont angoissés en cherchant une explication transcendante à des questions du type :

POURQUOI DIEU TOLÈRE-T-IL LE MAL ?
QUELLE EST L’UTILITÉ POUR DIEU DE TELLE OU TELLE ACTION ?

Inconsciemment ils utilisent des verbes qui sont attribuables seulement à un AAiodi (ÊTRE) comme l’homme.
Imaginez un animal pensant fictif, qui en se référant à l’OEMII puisse se demander par exemple :

POURQUOI L’HOMME PLEUT ?
COMMENT EST CE QU’IL DIGÈRE ET MÉDITE LE PLATINE OU LE SOUFFRE ?

Ce phénomène psychologique de projection qui assigne des attributs humains à d’autres êtres est aussi commun chez vous que la tendance à attribuer la dimension TEMPS à BUUAWA ou WOA et cela constitue en plus une source d’effets aliénants c’est-à-dire de perturbations mentales car, ne pouvant pas trouver logiquement des réponses cohérentes à des questions si mal formulées, vous concluez en doutant de l’existence même de Dieu ou de l’Entité à qui vous attribuez cette fausse fonction en provoquant ainsi certains effets névrotiques d’anxiété.

Il est curieux de constater qu’après avoir assis les bases d’une Logique mathématique, vous utilisiez encore des sophismes aussi idiots.

337. POSSIBILITÉS D’UNE FONCTION TRANSCENDANTE DE L’OEMII (HOMME) DANS L’UNIVERS.

Rappelons nous que l’une des fonctions de WOA est de CRÉER. Toutes ses idées qui ne sont pas incompatibles avec son ESSENCE doivent être EXCRETÉS, c’est-à-dire PRENDRE FORME, SE RÉALISER NÉCESSAIREMENT.

Quand nous notons l’hypothèse du WAAMWAAM (PLURICOSMOS), c’est parce que nous observons que dans notre UNIVERS et dans le UWAMM (COSMOS complémentaire de charge électrique inverse), il y a un nombre très réduit de possibilités d’existence EAAIODI GOO (ONTOLOGIQUES).

En effet : nous connaissons quelques unes des lois physiques et biologiques qui régissent notre univers mais : ces lois auraient-elles pu être énoncées sous une autre forme ? Si la réponse est positive, de telles lois existent dans un autre WAAM (UNIVERS).

Ainsi, si l’idée d’un ÊTRE adimensionnel et LIBRE, « mouleur » d’un autre ÊTRE dimensionnel n’est pas incompatible avec l’essence de WOA, un tel ÊTRE doit se CRÉER.

La génération de l’homme n’est donc pas motivée par des raisons « récréatives », par une envie de  » diversion » de WOA pour pouvoir se distraire, en voyant comment nous nous débattons entre la douleur et la joie, comme de simples poupées entre ses mains.Une telle interprétation est infantiloïde et peut être qualifiée d’anthropomorphe.

Nous pouvons aussi poser une autre question : pourquoi nous a-t-il engendré sous cette forme ? Avec deux pieds, avec cette structure neurocorticale, avec ces tendances sexuelles et non avec d’autres ?

La question est captieuse car elle porte implicitement l’affirmation a-prioriste du fait que WOA SEUL a engendré des hommes avec une telle structure physiologique à l’encontre du principe énoncé dans le paragraphe précédent.

En effet, il est possible (et la connaissance empirique va dans ce sens) que dans notre WAAM (UNIVERS), et étant donné qu’ils sont adaptés aux lois biologiques qui y règnent, seulement nous, les ÊTRES HUMAINS (C’est-à-dire; ceux qui possèdent une BUUAWA: ÂME), ayons cette morphologie physiologique mais ceci n’est pas un obstacle pour que WOA n’ait pas engendré une multitude d’êtres divers LIBRES dans autant d’autres WAAM.

Nous abordons enfin le dernier point :

EXISTE-T-IL UN FONCTIONNALISME DE L’HOMME DANS LE COSMOS ?

C’est-à-dire: L’OEMMII accomplit-il une quelconque mission dans le WAAM ? on peut supposer qu’un tel fonctionnalisme peut coexister avec la nécessité de sa création. Pour essayer d’apporter une explication qui soit satisfaisante, nous ne devons pas oublier que les composants du WAAM (Univers) peuvent se diviser en deux catégories dimensionnelles.

MICROPHYSIQUES : jouissant du principe d’INDÉTERMINATION, c’est-à-dire non sujets à aucune loi.

MACROPHYSIQUES : sujets aux lois mathématico-statistiques qui régissent son inflexible DÉTERMINISME.

Une fois l’univers créé, comme continuum MASSE-ESPACE-TEMPS, Woa a deux moyens pour obtenir la modification de sa rigidité structurelle, son inflexibilité déterministe :

A) EN MODIFIANT LES LOIS QUI LE RÉGISSENT. Nous pensons en toute logique que ceci pourrait impliquer une contradiction une fois que ces lois auront été énoncées pour un WAAM.

B) EN CRÉANT DES ÊTRES LIBRES qui, en profitant de la liberté des éléments microphysiques, pourraient agir à travers eux sur les macrophysiques en rompant ainsi la soumission causale ou déterministe.

C’est de cette manière que WOA utiliserait l’homme comme facteur d’ACTION qui le lierait avec le WAAM créé par LUI. WOA dicte ses UAA (LOIS) et l’homme en les accomplissant agit comme lien entre LUI et le COSMOS.

Si l’homme ne les accomplit pas, l’harmonie est apparemment rompue en modifiant sa fonctionnalité dans l’AAIODIWOA (CRÉATION, ENSEMBLE DES ÊTRES DIMENSIONNELS ET ADIMENSIONNELS créés par WOA).

Dans ce cas, le BUUAWA, responsable d’une telle modification, doit rendre conforme sa structure spirituelle avec l’idée de WOA. Une telle mise en conformité reçoit de notre part le nom de CHATIMENT (PURGATOIRE pour vous) (AMMIEYIISAIA BUUAWA sur UMMO).

Nous avons des raisons pour estimer qu’en réalité les véritables raisons seraient beaucoup plus complexes et donc inaccessibles pour l’intellect limité de l’humain.

Les arguments développés servent cependant pour prouver qu’il existe AU MOINS UNE EXPLICATION à la transcendante inconnue de notre existence. Ainsi nous pouvons aller au devant de possibles objections matérialistes qui, en ne trouvant pas un côté plausible à cette EXISTENCE, prétendent brandir la carence des arguments comme preuve de l’inexistence de WOA.

NOTE 1

Dans un petit rapport nous vous développerons notre théorie concernant les prétendus facteurs inaccessibles par la science au sein des AAIODI (ENTITÉS ou ÊTRES) adimensionnels. Vous recevrez cette note immédiatement quand nous estimerons que vous avez eu le temps d’assimiler le présent RAPPORT.

DOCUMENT ACCESSOIRE.

A FERNANDO SESMA MANZANO

LANGUE : ESPAGNOL
N° DE COPIES : I

Nous répondons à l’une des questions :

337 LIBRE ARBITRE ET DÉTERMINISME.

Dans le document sur le BUUAWAA (esprit), page  correspondant à la SECTION 337 « LIBERTÉ DANS L’ARBITRE DE L’HOMME » et pages et de la SECTION 337 « RESPONSABILITÉ DE L’HOMME DEVANT WOA », (Nous ne vous remettons pas les dernières pages, pour vous donner le temps d’étudier les pages antérieures et le reste des informations secondaires), il reste à répondre partiellement à votre question. Résumons donc et précisons l’explication.

L’OEMII (CORPS PHYSIQUE de l’HOMME) comme entité macrophysique qu’il est, respecte les mêmes lois physiques (toutes sans exception de nature statistique) que n’importe quel corps de la Nature comme peut l’être une roche.
Si vous tombez dans un précipice, le traumatisme (ou les lésions) provoquées dans votre système osseux, dans vos tissus cellulaires etc… est DÉTERMINÉ par des LOIS INFLEXIBLES. Nous disons avec raison que votre corps se comporte avec une finalité DÉTERMINISTE. Aussi DÉTERMINISTE que celle de la roche qui, en tombant, se fragmente en centaines de particules. (voir page de l’INFORMATION citée, section 337 – L’INTERACTION BUAWAA / OEMII, que nous n’avons pas encore remis)

Mais attention : il y a une grande différence entre un OEMMII (CORPS HUMAIN) et une roche. Et ce n’est pas précisément la complexité de son organisme car un ordinateur électronique est complexe aussi et il est cependant régi par des lois DÉTERMINISTES.

C’est que dans cette merveille d’organisme que WOA a créé, ce qui est l’OEMIII , ses millions de cellules compliquées, la multitude de ses organes, son réseau neuronal et artériel, ce mécanisme osseux parfait, tout en somme : PEUT ÊTRE CONTROLÉ PAR UN SEUL IBOAYA OU (QUANTUM D’ÉNERGIE) OU PAR UN SEUL ÉLECTRON. Il suffit de stimuler quelques neurones du cortex cérébral avec des tensions de 0,0004 microvolts pour provoquer d’énormes convulsions dans tout l’organisme.

Vous voyez donc comment une particule microphysique, infiniment petite, si petite qu’à son niveau la dimension longueur n’a pas de sens ni de signification, EST CAPABLE DE CONTROLER TOUT UN GRAND CORPS.(voir page  du rapport rendu)

De plus, aussi bien les physiciens de la Terre que les cosmologues de UMMO, sont d’accord sur le fait que les Quantums d’énergie (comment vous les appelez)
NE SONT PAS RÉGIS PAR DES LOIS PHYSIQUES, C’EST-À-DIRE QUE SE RÉFÉRER À UN DÉTERMINISME DANS LA « CONDUITE » D’UN ÉLECTRON ORBITAL DANS UN ATOME LIBRE (PAR EXEMPLE) N’A PAS DE SENS CAR C’EST LE H A S A R D QUI INTERVIENT DANS CE CAS.

D’autre part, la conduite de l’homme qui PEUT à son tour et EN FAIT IL SE CONDITIONNE FRÉQUEMMENT au comportement LIBRE de ces QUANTUMS d’énergie, il PEUT ÊTRE, et DE FAIT SERA, LIBRE dans beaucoup de ses ACTES.
Dans les états d’hypnose, sous l’influence d’une invasion infectieuse, quand son système neurocortical est altéré par une affection nerveuse, dans les états de panique, d’inanition etc… il n’y a pas de doute que l’organisme est régi par des lois biologiques ou physiques.Dans ces cas donc:
SA CONDUITE EST DÉTERMINÉE et l’homme n’est ni LIBRE ni responsable de ses actes.

Mais dans de nombreux autres cas, le BUUAWA (ÂME) à l’aide d’un élément ou facteur microphysique comme l’un des ATOMES de KRYPTON qui constitue l’OEMBUUAW (TROISIEME FACTEUR DE L’HOMME) (les paragraphes d’information sont contenus dans les pages  peut régir la conduite de l’homme et à ce moment là, celui-ci est responsable devant WOA s’il transgresse ses UAA (LOI MORALE).

Il est très important, pour comprendre tout cela, de méditer sur le principe d’INDÉTERMINISME dans le comportement des facteurs microphysiques. Que se passerait-il par exemple si les QUANTUMS d’énergie étaient dominés par des lois rigides et inviolables ?

Alors le BUUAWAA (ÂME) serait incapable de les contrôler dans le cas du KRYPTON car ceci supposerait le viol des LOIS PHYSIQUES imposées par WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). Ainsi, l’âme ne pourrait pas contrôler le corps humain et, logiquement notre conduite serait DÉTERMINÉE par ces lois BIOLOGIQUES.
Le libre-arbitre serait alors une fiction une illusion. Mais nous venons de démontrer que celà ne se passait pas ainsi.

Il pourrait subsister un doute après avoir lu ce rapport car nous avons affirmé que dans le monde MICROPHYSIQUE règne le principe d’INDÉTERMINATION ou du HASARD, mais nous ne l’avons pas DÉMONTRÉ.

Ceci est dû au fait que sur la TERRE ce principe est déjà accepté en Physique Nucléaire et à un niveau élémentaire nous ne pouvons ajouter grand chose à une étude dont la théorie a été acceptée par les Terrestres.
L’un de vos physiciens, Werner Heisemberg formula, il y a longtemps, ce principe d’incertitude. Une telle théorie de Mécanique Quantique est partagée par nous sauf en ce qui concerne certaines petites erreurs de formulation et d’interprétation.

Quelquefois on nous demande des choses que les physiciens de la Terre connaissent déjà, aussi nous n’insisterons pas d’avantage sur ce thème.

Nous pensons que le jour où vous découvrirez ce troisième FACTEUR de l’homme, l’OEMBUUAW composé des atomes de krypton, vous comprendrez encore mieux l’admission du principe du LIBRE ARBITRE dans l’OEMII (corps).

AEELEWE
langue : espagnol
N° de copies : 1

DOCUMENT COMPLÉMENTAIRE.
Professeur Sesma Manzano
MADRID.

337 MANQUE DE PREUVES CONCERNANT L’EXISTENCE D’UNE ÂME CHEZ LES ÊTRES ORGANIQUES INFÉRIEURS.

En décrivant les relations entre BUUAWA (Âme) et OEMII (corps tétradimensionnel) on peut se poser les questions suivantes :

Comment avez-vous pu établir scientifiquement (c’est à dire par des moyens empiriques puis en établissant les lois correspondantes) l’existence du BUUAWA (AME) si celle-ci est ADIMENSIONNELLE et donc inaccessible au contrôle des instruments physiques les plus précis ?

Il y a sans doute parmi vous des personnes peu au fait au niveau de l’Astronomie qui pourraient poser une question similaire :

Comment peut-on connaître la distance des étoiles situées à des millions d’années-lumière si les possibilités trigonométriques par triangulation sont inefficaces pour ces énormes magnitudes ? Quels instruments physiques pourrait-on y envoyer pour mesurer leur masse, leur température, etc… ?

Un astronome terrestre aurait le sourire et vous indiquera que certaines étoiles (dénommées par vous CEPHEIDES) émettent un flux de lumière intermittente et ainsi l’intervalle entre deux maximums d’intensité est tel que son logarithme varie proportionnellement par rapport à son éclat et vous savez tous que la comparaison de l’éclat apparent et de l’éclat réel est la base d’estimation des distances stellaires.

La science valorise, évalue et estime toujours L’EXISTENCE D’UN FACTEUR en fonction des EFFETS qu’il produit

Donc, en l’année (année d’UMMO) 315 / 53750 , un scientifique biopsychologue NOI 3, fils de NOI 2, découvre la présence de quelques atomes isolés de gaz inerte KRYPTON dans l’encéphale.

Comme vous le savez, ce gaz ne se combine avec aucun autre corps ou élément chimique. La présence de celui-ci est donc étrange si l’on tient compte du fait que sa quantité était extrêmement réduite et qu’en explorant un échantillon statistique de cerveaux humains de personnes vivantes, de tels atomes se trouvent toujours situés dans la même zone et à la même profondeur dans l’HYPOTHALAMUS.

Il ne s’agit donc pas d’un phénomène aléatoire, c’est-à-dire fruit du hasard.
Un aide de NOI 3, le biologiste SOOIE 996, fils de SOOIE 993, commença immédiatement les travaux de recherche, en examinant la couronne électronique de ces atomes pour observer de possibles altérations quantiques provoqués par de probables transferts d’énergie .

Vous savez que tout noyau atomique est entouré d’un nuage d’électrons situés à différents niveaux d’énergie. (Voir le dessin ingénu qui le symbolise, image A).

A chaque niveau, la situation de chaque électron est une fonction de probabilité, c’est-à-dire du HASARD ; (souvenez-vous du principe d’INDÉTERMINATION ou d’INCERTITUDE).

Quand vos ouvrages décrivent un atome, ils symbolisent les différentes « COUCHES » ou NIVEAUX D’ÉNERGIE comme sur l’image B.
Sur UMMO, pour les enfants, nous utilisons la COMPARAISON suivante simple qui exprime mieux ce concept à ceux qui ne sont pas qualifiés en physique nucléaire.

Les ÉLECTRONS se déplacent autour du NOYAU comme les WIISIIO (insectes ressemblant aux fourmis terrestres) autour de l’orifice de leur terrier. Ces « FOURMIS » pullulent autour de leur nid sans ordre ni loi, dans les zones humides.

De temps en temps un insecte s’arrête brusquement et absorbe une goutte de rosée, gonflant son ventre (l’équivalent se produit dans le monde subatomique : un électron absorbe un IVOAAIA ou PHOTON, c’est-à-dire un « QUANTUM » D’ÉNERGIE et il change de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE).

Vous pouvez observer qu’en changeant de NIVEAU, il ne s’éloigne pas du NOYAU comme le laisseraient entendre les textes didactiques terrestres, il MODIFIE SON ETAT (en employant une autre comparaison : votre position sociale ou économique) en gagnant un peu plus d’ÉNERGIE. D’autres fois notre fourmi recrachera brusquement cette eau, en mincissant énormément, c’est à dire qu’elle RETOURNERA À SON primitif ÉTAT QUANTIQUE, tout comme elle ferait un saut en arrière au niveau de son ÉTAT SOCIAL.

Les électrons descendent aussi de NIVEAU ÉNERGÉTIQUE en cédant ou en émettant un QUANTUM ou PHOTONS, nous disons alors que ce corps qui contient de tels atomes émet des radiations INFRAROUGES, LUMIÈRE CHROMATIQUE (filaments d’une lampe) ou des radiations ultraviolettes, entre autres.

La nuit 76 de l’année 315, SOOIE 996 était resté avec son subordonné spécialisé en XANMOO USII (ordinateurs) dans le grand laboratoire de l’ UNAWO OUDEE ANII (Université de biopathologie) de UUDEEXAA.

Le corps de GAA 1, fille de BIUA 4535, gisait dans une chambre conditionnée dans laquelle on avait éliminé de l’air, les minimes résidus de gaz DIIUYAA (KRYPTON) . Une série de sondes perforait son zone pariétale droite du crâne. Par supposition, bien qu’elle fut soumise à une phase d’anesthésie locale, le reste des mécanismes réflexes et conscients n’étaient pas inhibés.

Une série d’ AASNOOSAI (détecteurs ou enregistreurs de fonctions physiologiques) étaient répartis sur tout le corps nu de cette jeune fille.

GAA 1, fille de BIUA 4535, qui devait passer à la postérité de notre histoire de l’évolution scientifique grâce à cette expérience, appartenait au Peuple d’UMMO depuis qu’étant encore enfant (UUYIE) (elle avait 15 ans à ce moment là), elle avait électrocuté une jeune sœur en provoquant sa mort par fibrillation du cœur .

(Sur UMMO tout délinquant devient propriété du Peuple qui dispose de lui par l’intermédiaire de l’UMMOAELEWE . La peine de mort n’existe pas. La responsabilité criminelle et la nature de la sanction pondérée en fonction d’un CODE LEGAL standard pour tout UMMO n’est pas l’œuvre d’un quelconque tribunal comme sur la Terre. C’est le réseau XANMMO ISOO AYUBAA (120 ordinateurs ou calculatrices automatiques) qui régule la structure socioculturelle d’UMMO.)

Généralement, le GEE ou la YIE (homme ou femme) qui sont délinquants sont présentés à une sélection d’habitants qui prennent possession d’eux symboliquement, et ils sont aussi dévêtus. La société d’UMMO les utilise pour diverses fonctions (expériences biologiques, travaux à de très grandes profondeurs, dans des endroits dangereux, etc…). Mais tous les moyens sont employés pour préserver leur vie ou les immuniser contre la douleur physique. Il n’est pas licite de réaliser sur eux des expériences que l’on peut considérer comme mortelles ou destructrices de leur intégrité physiologique. Quoiqu’il n’y ait pas de rémission de peine, les délinquants qui accumulent des mérites sont récompensés (en leur permettant par exemple d’annuler l’humiliante sanction de la nudité). Un intervalle journalier de 60 uiw (environ 180 minutes) est destiné à leur rééducation spirituelle et technique. Quiconque parmi nous justifie le besoin de vouloir utiliser leurs services, pour humiliants qu’ils soient, peut le faire mais ce droit est purement nominatif dans la pratique car la population YUUXAA UXII (PÉNALE) de UMMO est très réduite.

(VOUS COMPRENDREZ QUE CES INTERRUPTIONS CONTINUELLES DU DOCUMENT SONT NÉCESSAIRES CAR VOUS IGNOREZ EN GRANDE PARTIE LA NATURE DE NOTRE STRUCTURE SOCIALE OU CERTAINS ASPECTS SCIENTIFIQUES DU THÈME QUI EST EXPOSÉ.)

SOOIE 996 étudiait à ce moment là la couronne électronique d’un atome de DIUYAA (KRYPTON) situé sur l’écorce du troisième ventricule sous le thalamus de la YIE GAA 1, fille de BIUUA 4535.

Sur le GAA ONMAEI du XANMOO (écran visualisateur des chiffres fournis par l’ordinateur) apparaissaient des nombres ordonnés en colonnes , chacun de ces nombres reflétait la structure probabiliste de chaque électron en relation avec un autre pris en référence ; à chaque instant et avec une expression de temps « factorisé ». Vous diriez « à chambre lente ».

Quand un chiffre sautait dans une autre colonne, cela exprimait un SAUT IBOAAYANUUIO (quantique) à un autre niveau énergétique et ceci était la véritable finalité de l’étude de SOOIE 996.
L’heure est maintenant historiques sur UMMO : vers les 488  (uiw) (un jour d’ UMMO a environ 600 , approximativement 1855,2 minutes terrestres) de la nuit 76 de l’année de UMMO 315 de Notre Temps, SOOIE 996 fut paralysé par l’émotion. Il cessa de prêter attention à ces sauts QUANTIQUES et il ordonna à son aide de déconnecter l’écran de l’équipement détecteur pour mieux étudier les chiffres fixes qui apparaissaient sur celui-ci.

Bien que le principe puisse être attribué au hasard, ceci semblait incroyable. Les numéros de ces colonnes gardaient une relation de séquences, c’est à dire qu’ils semblaient être distribués harmonieusement selon une loi mathématique simple (fonction périodique).

Ces électrons, qui selon le principe d’incertitude devaient être situés dans leur niveau énergétique d’une manière désordonnée, comme les FOURMIS de notre exemple, paraissaient dépasser l’anarchie et réguler leur fonction probabiliste en rompant avec leur indéterminisme microphysique.

Ce dût être une impression aussi forte que celle que pourraient avoir les techniciens du projet « OZMA » si, à l’aide de leur radiotélescope, ils recevaient parmi les sauvages et inharmoniques trains d’ondes provenant d’une Galaxie, une séquence d’impulsions codifiées signe évident de VIE dans cet essaim stellaire.

Des scientifiques de tout UMMO accoururent aux laboratoires de UUUDEESA et les recherches continuèrent sous les ordres de NOI 3, fils de NOI 2. Car telle était l’importance de la découverte.

Les mouvements harmonieux des électrons périphériques de l’atome de KRYPTON coïncidaient avec les impulsions nerveuses émises par le cortex cérébral de la jeune fille expérimentée. C’est-à-dire avec les mouvements volontaires de ses bras, de ses pieds, de ses organes de phonation… et non pas avec les mouvements réflexes ou avec les impulsions émises par le système neurovégétatif.

Au début, et durant la première phase des recherches, on crut que ces mouvements codifiés dans l’écorce électronique du KRYPTON étaient conditionnés ; c’est à dire qu’ils étaient UN EFFET des neuro-impulsions émises par l’encéphale de l’Etre vivant, quoiqu’ils ne comprirent pas la fonctionnalité d’un tel code dans un atome isolé de gaz inerte.

Mais le jour 94 de l’année 315, se produisit une nouvelle découverte étonnante : ces mouvements harmonieux PRÉCÉDAIENT la conduite de la jeune fille en expérimentation !. C’est-à-dire qu’ils se produisaient avec une avance de 0,0000000755 uiw (autour d’un millionième de seconde) sur le reste des réactions neurophysiologiques de l’organisme.

C’était comme si ces électrons étaient l’âme de la jeune fille et qu’ils dictaient des ordres à son OEMMII (ORGANISME).

Mais ces électrons ne sont pas vivants. Imaginer cela serait aussi absurde que de croire que ces messages que pourraient recevoir les astronomes de la Planète Terre étaient crées par des émissions fonctionnant seules.

SI CES ÉLECTRONS NE SE MOUVAIENT PAS PAR HASARD, COMME D’HABITUDE, IL DEVAIT DONC EXISTER UN FACTEUR INDÉPENDANT QUI SOIT CAPABLE D’EXERCER UN CONTRÔLE SUR EUX.

Pour ne pas alourdir notre rapport, nous passerons sur le reste du processus qui précéda la vérification scientifique de l’existence du BUUAWAA (âme) grâce à la sensationnelle découverte du Troisième Facteur de l’homme OEMBUUAW composé, comme nous vous l’avons déjà indiqué, d’atomes isolés de DIIUYAA (KRYPTON).

Pour la première fois dans l’Histoire, l’existence d’une AME était confirmée et nos philosophes, tout comme ceux de la Terre, l’avaient suspectée, le DIVIN UMMOWOA nous avait confirmé son existence dans ses transcendantes révélations . Une fois de plus Religion et Sciences étaient en accord.

Comme vous pouvez l’imaginer, le champ d’expérimentation ne se limita pas exclusivement à l’homme ; il fut étendu à tous les êtres organiques unicellulaires et pluricellulaires, en analysant en plus tous les types de Virus et de composés organiques autoreproductibles.

Les résultats furent désolants. On arriva à détecter des atomes isolés de NÉON et XÉNON chez de nombreux êtres vivants, et quelques millions d’atomes de gaz HÉLIUM chez les animaux pourvus de structures nerveuses supérieures (aujourd’hui nous connaissons la fonction de l’hélium dans le cortex cérébral).

On eut des espoirs quand, dans l’année 376 de notre Temps, furent découverts des atomes de KRYPTON situés dans les mêmes points encéphaliques dans le cerveau de l’AAGA IEGOOSAAA (espèce d’animal anthropoïde d’UMMO qui ressemble au chimpanzé de la Planète Terre mais qui est en plus très intelligent.)

Mais les électrons de ces couches dans les atomes de KRYPTON bougeaient selon la fonction probabiliste habituelle dans tous les atomes de la Nature.

Aucune loi ou code n’avait été détecté.

Existe-t-il malgré tout une âme chez les êtres biologiques non humains ? Jusqu’à ce jour nous n’en avons pas la certitude et nous préférons nous abstenir de formuler des hypothèses.

De son côté UMMOWOA fit référence seulement au BUUAWOEMII (COUPLAGE DE L’ÂME AVEC L’ORGANISME HUMAIN).

Selon Lui, quand dans le processus évolutif des êtres vivants depuis l’apparition des premières molécules protéiques jusqu’à celle des êtres anthropoïdes sur UMMO, ceux-ci se développèrent jusqu’à atteindre une structure neurocérébrale si complexe que les premières manifestations d’intelligence animale développée y trouvèrent leur base, WOA fit contrôler ces OEMII par le BUUAWA (ÂME) et celle-ci fut responsable de leur conduite.

Jusqu’à maintenant la science a confirmé, comme d’habitude, ses divines paroles mais ce n’est pas parce que UMMOWOA n’en n’a pas parlé qu’elle n’existe pas. Le critère officiel des scientifiques d’UMMO sur ce sujet est imprégné de scepticisme.

337 DÉCOUVERTE DU BUUAWE BIAEI

Après les sensationnelles recherches concernant la fonction des atomes de krypton par NOI 3, fils de NOI 2, le processus de ces investigations fut accéléré.

Jusqu’à l’année 726 de notre Ère, on avait localisé 3 atomes actifs :
– deux étaient : AAXOO  (émetteurs)
– un était : UAXOO (récepteur)

Les premiers envoient – convenablement codifiés – autant de messages que peut fournir le système nerveux Cortical. Toutes les images optiques, acoustiques, olfactives, reçues par les neurones connectés aux organes des sens, provenant des stimuli du monde extérieur, toutes les images emmagasinées dans la mémoire, tout le développement des processus mentaux qui se trouvent dans le Réseau neuronal du cortex cérébral que vous ne connaissez pas, appelés BIAMOAXII où se produit une réaction chimique exothermique qui, en libérant de la chaleur, excite l’état quantique d’un réseau d’atomes libres d’HÉLIUM.

En somme, il se produit quelque chose comme si se transmettait une espèce de code Morse jusqu’à un petit émetteur qui est l’HÉLIUM. Il se produit alors un effet cortical de résonance entre la couronne électronique des atomes d’Hélium et ceux de KRYPTON (1) et celui-ci à son tour transforme le code reçu en un autre aux caractéristiques semblables. (nous pourrions dire avec raison : INTELLIGIBLE pour LE BUUAWAA (ÂME)). Vous pouvez observer, en suivant l’exemple antérieur, que l’atome de KRYPTON assume les fonctions d’une espèce de RÉCEPTEUR de télévision ou de radio-diffusion qui reçoit et qui ÉMET à l’ÂME dans un langage que celle-ci est seule à connaître, quand cela se produit sur l’OEMII (HOMME) et dans le milieu qui l’entoure.

Les atomes UAXOO (CAPTEURS ET RÉCEPTEURS), au contraire, en suivant un processus inverse, envoient au corps humain une série d’instructions issues de l’âme. Elles sont du type de celles que découvrit NOI 3 en l’année 315. (Il faut observer que ce fut une chance qu’il se soit agi d’un atome récepteur UAXOO pour cette première découverte, c’est-à-dire que le code du nuage électronique précède les réactions de l’organisme – à l’inverse des émetteurs AAXOO – et ceci permit d’induire l’existence du BUUAWAA (ÂME), comme origine des mouvements électroniques harmoniques).

Nous répétons que le processus est inverse. Les messages du KRYPTON sont reçus par des millions d’atomes d’HÉLIUM et ce en modifiant leurs états IBOOAYA NUIO (QUANTIQUES) pour que ceux ci irradient un « QUANTUM » de fréquences inférieures à celles de la LUMIÈRE (RADIATION INFRAROUGE). A partir de là, un autre type de neuro-organes inconnus des physiologistes terrestres, travaillent sous une forme semblable aux couples thermoélectriques et transforment les messages thermomodulés en impulsions nerveuses canalisées par un réseau de Neurones. Ces neuro-organes recurent la dénomination phonétique sur Ummo de BIAEMOOXEA et étaient distribués dans les aires motrices des deux lobes frontaux, mais spécialement dans les aires situées derrière et sous le Grand Sillon Central.

Depuis l’année 903, les psychoneurologues d’UMMO étaient réellement surpris quand, en découvrant deux atomes de KRYPTON et en identifiant l’un d’eux comme AAXOO  (émetteur) et l’autre présentant l’étrange particularité qu’aucune des activités somatiques de l’individu correspondait (PRÉCÉDANT ou ANTERIEUR) aux énigmatiques « MESSAGES » qu’il semblait recevoir ou émettre.

La joie fut indescriptible. Par la zone cérébrale où on localisa cet atome, les scientifiques crurent qu’il pouvait s’agir de transmissions de l’un ou de l’autre sens, provenant des couches inférieures de la conscience ou BUAWAAMIESEE OA (vous l’appellez SUBCONSCIENT). Peut-être grâce à cet atome notre âme était informée de la riche activité de notre vie psychique occulte.

Le jour 17 de l’année 925 (une année d’UMMO comporte soixante jours), YOEIM 77, fils de YOEIM 76, découvre un sixième atome de krypton localisé à une distance presque infinitésimale par rapport au précédent.

Six jours plus tard, YOEIM 77 avait sélectionné un échantillon statistique de 83 individus des deux sexes, pour appuyer la découverte. La stupeur du jeune neurologue (il avait alors 23,6 ans) fut immense quand, en repassant les bandes où apparaissaient les courbes graphiques de ces messages, il découvrit que deux d’entre eux étaient communs à tous les individus de l’échantillon. Un peu comme si l’âme dirigeait les mêmes instructions à TOUS les hommes où qu’elle recevait d’eux le même type d’informations.

Cette découverte mit quelques années avant d’être correctement interprétée. Les personnes étudiées étaient séparées par de nombreux KOOAE (1 KOOAE = 8,71 km) et on mesurait avec des XUU XAUIW USUIW (chronomètres isochrones de haute précision) les intervalles de temps que ces messages mettaient pour être reçus ou transmis.
Les résultats de ces études furent encore plus fantastiques :
– Les messages étaient reçus et transmis simultanément, quelque soit la distance où se trouvaient les deux personnes étudiées.
– Pour la première fois on vérifiait que les mouvements codifiés des électrons dans de tels atomes correspondaient exactement à la transmission télépathique.
– On découvre, contrairement à ce que l’on croyait, que la transmission télépathique est reçue simultanément par tous les êtres humains ; même si un mécanisme subconscient se charge de bloquer, c’est à dire d’empêcher le passage d’un message vers des personnes à qui il n’est pas destiné.
– même s’il n’existe pas de transmission télépathique CONSCIENTE, certaines fréquences (qu’à cette époque nous ne savions pas déchiffrer ou décoder) étaient reçues ou transmises simultanément à tous les hommes d’UMMO. De tels messages étaient emmagasinés dans ces zones de la mémoire, où, n’étant pas d’accès facile (sauf durant le sommeil, l’anesthésie totale, la catalepsie etc…) on les nommait BUUAWAAMIESEE OA (SUBCONSCIENT).

Ceci était si révolutionnaire (les premières recherches au niveau de la transmission télépathique avaient donné comme résultat qu’il faudrait un certain temps (quelques milli-UIW, un UIW = 3,092 minutes) avant de recevoir les messages ) que l’on crût durant longtemps qu’il s’agissait de radiations électromagnétiques comme celles de la lumière ou de la radiocommunication.

Comment pouvait-on expliquer cette différence ? Comment se faisait-il que dans l’une et l’autre étude, les différences de temps calculées étaient respectivement de zéro et de quelques déci-UIW ? La première recherche eut aussi une importance transcendante car elle permit de démontrer scientifiquement que le BUUAWAA (ÂME) et le BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) sont des entités indépendantes et qu’il serait aberrant de considérer la première comme une simple manifestation ou reflet de la seconde. L’énigme apparente fut résolue. Nous vous l’expliquerons plus loin. Pour l’instant nous pouvons indiquer que les recherches citées révélèrent l’existence d’un AAIODI (ENTITÉ OU ÊTRE) dont on n’avait encore jamais supposé l’existence sur UMMO. De nouveau un être ADIMENSIONNEL était découvert scientifiquement grâce à ses effets, comme l’avaient été antérieurement WOA (notre créateur) et BUUAWWA (âme).

500. COMMENTAIRE À PROPOS DE LA STRUCTURE SOCIALE ET DE NOTRE PLAN D’INFORMATION. (NdT : Nous confirmons que ce chapitre, bien qu’il soit « codifié » « 500 », est bien inclu ici même dans l’original)

Vous observerez qu’apparemment nous avons dévié du thème central que constitue notre rapport actuel. Mais vous n’ ignorez pas qu’il est impossible d’exprimer des opinions sur des concepts inconnus ou sur lesquels on a une vague idée.

Si les problèmes sont profonds et difficiles à résoudre, c’est parce que leurs causes sont complexes et leurs interprétations coûteuses. Il sera difficile que vous attaquiez le mal à sa racine si vous ignorez la structure réelle de l’homme et le fonctionnement ses mécanismes psychologiques.

Nous allons vous donner à la suite un modèle primaire et élémentaire de cette structure, et pour cela nous sommes obligés d’inclure ces commentaires au BUUAWE BIAEI. Vous-mêmes avez conscience que jamais la médecine n’aurait réussi à attaquer de front les maladies infectieuses si vous n’aviez pas réussi à connaître la véritable nature des micro-organismes et virus.

Il est clair que n’étant pas vous-même technicien en la matière, nous nous verrons obligés de vous montrer ce modèle humain, d’une manière pédagogique et élémentaire, schématisé autant que possible en utilisant des symboles simples et abstraits, comme nous pourrions le faire dans les centres d’enseignement pour enfants sur UMMO.

Nous avons hésité cependant sur le fait qu’il serait convenable ou non de se servir de gravures et de dessins ingénus (que j’ai réalisé personnellement en employant crayon et papier de ceux que vous utilisez) pour représenter les concepts adimensionnels tel que BUAWWAA ou BUAWE E BIAEI (ÂME ET ESPRIT COLLECTIF) avec des graphiques tels qu’un cercle ou un petit nuage diffus. Ceux-ci d’un point de vue pédagogique est erronée et didactiquement il est interdit sur UMMO car les enfants courent le danger d’associer mentalement les concepts spirituels avec des formes dimensionnelles et avec le concept du temps. Mais vous d’une part vous êtes adultes et d’autre part habitués à des systèmes d’enseignement que, bien qu’aberrants, il serait trop tard de modifier.

Mon supérieur en Espagne me donna des instructions concrètes de comment vous esquisser ces images et ces explications et je désire qu’elles vous soient intelligibles. Dans certains cas j’ai pensé convenable de décrire des processus d’expliquer des concepts de types physiologiques bien que connus parfaitement par les actuels spécialistes en physiologie, en histologie et psychiatrie Terrestre, en supposant que certains d’entre vous les ignorent.

Ce n’est pas nécessaire de vous répéter qu’en réalité de tels processus et mécanismes psychologiques décrits sont bien plus compliqués que dans l’esquisse ingénue que nous vous présentons, mais malgré tout nous sommes certains qu’il vous serviront pour que s’explique en parti l’Énigme du Briquet et de la Pierre que nous vous symbolisions dans une comparaison. Afin que vous puissiez donc apprécier les possibilités qui subsistent de remettre une telle pierre à sa place.

Nous vous avertissons d’avance que la tâche de corriger l’humanité est cyclopéenne et vous est donc inaccessible, malgré ces révélations. Pour le moins pourront-elles vous servir pour augmenter votre culture et corriger en parti vos propres structures.

337 UNION DE TOUS LES HOMMES PAR L’INTERMÉDIAIRE DU BUUAWE BIAEI.

Voyons maintenant, dans un premier schéma élémentaire, comment sont interconnectés les quatre facteurs intégrants de la personnalité de deux êtres humains.

 

Un OEMII (corps) correspondant à l’homme N° 1,  désire établir une communication télépathique avec l’OEMII IEN (CORPS HUMAIN « 2 »).

Analysons superficiellement le processus :

Il s’agit donc d’ un acte conscient . L »homme N° 1 à gauche sur la figure VEUT communiquer avec (CORPS N° 2). C’est le BUAWAA IAS (âme N° 1) qui exécute cet acte voulu. BUAWAA IAS est représenté par un ovale verdâtre

Un atome de krypton UAXOO IAS (récepteur n°1) représenté par , sphère jaune, capte l’ordre de l’âme et la transmet par des voies nerveuses et par certains organes neuro-corticaux (représentés par un axe rouge) à l’atome émetteur de krypton dont l’unique mission consiste à établir un lien d’union entre l’homme et le BUAWEE BIAEI (âme collective), représentée par un ovale gris .

Observons au passage que tout ce processus physiologique, dès que l’âme exprime son désir, et jusqu’à ce que le message arrive à l’atome , a nécessité un petit temps de l’ordre d’un milli-UIW par exemple.En effet : la conduite de l’impulsion nerveuse au travers des neurones n’est pas instantanée et certaines fois elle exige des temps supérieurs (les fibres nerveuses sans myéline sont conductrices à des vitesses de quelques 55 ENMOO/UIW, environ 6 décimètres par seconde).

L’âme collective reste « informée » de ce message et les transmet instantanément à l’homme n°2  qui capte le message grâce à un atome RÉCEPTEUR DE KRYPTON (UAXAOO IEN) .

Maintenant le processus est inverse. Les impulsions nerveuses de ce deuxième corps mettront 2 millièmes de UIW à l’intérieur de son cerveau pour arriver à l’atome  AAXOO IEN (émetteur « 2 ») qui informe la Conscience  sur ce MESSAGE RECU.

Voyez ; cette trompeuse apparence qui pourrait induire en erreur quand un scientifique ne réalise pas une soigneuse analyse exhaustive du phénomène. Le temps TOTAL que mit le message télépathique de la CONSCIENCE de l’homme n°1 à la CONSCIENCE de l’homme N°2 fut de 2 millièmes d’ UIW (dans notre exemple). Un chercheur peu perspicace peut alors croire que si les messages télépathiques durent un certain temps, ceci est dû peut-être au fait qu’ils se propagent à la vitesse de la lumière grâce à des ondes électromagnétiques, quand en réalité l’unique temps qui s’est écoulé est dû à la conduite nerveuse au sein de nos encéphales.

Vous pouvez rencontrer un exemple dans votre service de télégrammes. La communication électrique elle-même est presque instantanée entre deux villes; mais le temps qui s’est écoulé pour les messagers en envoyant et en recevant le télégramme nécessite quelques heures.

Le schéma que nous avons ébauché peut vous amener à extraire quelques conclusions substantielles sans nécessiter une étude plus profonde.

En premier lieu cela vous éclaire sur le fait de savoir pourquoi les scientifiques d’UMMO ont déterminé que l’âme BUUAWAA et l’AME COLLECTIVE sont deux entités indépendantes. Si la transmission télépathique requiert une voie de liaison chez l’homme (voie nerveuse) pour passer d’une âme à une autre, c’est parce que l’âme collective et l’âme individuelle sont deux entités indépendantes qui sont seulement unies par le lien du CORPS HUMAIN tant que celui-ci est en vie.

Imaginez un moment que cela ne soit pas ainsi et que, selon une nouvelle image, l’âme individuelle soit une « PARTICIPATION OU FRACTION » de l’âme collective (en oubliant l’aberration que constitue le fait de considérer le fractionnement d’une entité qui n’a pas de dimensions).Vous pourrez observer alors que la transmission télépathique se réaliserait exclusivement au sein du BUAWEE BIAEI (ESPRIT COLLECTIF), le temps total de la transmission serait de ZERO car l’encéphale de l’homme n’interviendrait absolument pas. Mais les choses ne se passent pas ainsi comme nous vous l’avons déjà expliqué.

337 NATURE INTIME DE L’ÂME COLLECTIVE.

On pourrait utiliser une comparaison pour représenter l’HUMANITE : un pot de sirop rempli de cerises. La pulpe de celles-ci, TOTALEMENT SÉPARÉE du jus commun par la fine peau, peut établir un contact avec d’autres fruits. Pulpe et peau symboliseraient l’AME et le CORPS.

Faites attention avec les métaphores. Ne tentez pas de tirer des conclusions à partir de celles ci, puisque la fonction est simplement pédagogique et il devient dangereux de  juger qu’elles constituent en tous leurs aspects un fidèle reflet de la VÉRITÉ.

Quand nous traduisons notre vocable BUUAWE BIAEI, nous employons les mots espagnols ÂME COLLECTIVE parce que nous n’en trouvons pas d’autres meilleurs, mais ceci peut vous induire en erreur si vous pensez que cet AAIODI (ENTITE) est analogue à l’ ÂME INDIVIDUELLE. Il est très dangereux d’utiliser des vocables ressemblants pour exprimer des concepts hétérogènes, puisque les hommes de la Terre ont plus tendance à jouer avec les mots qu’avec les concepts. (Ainsi chez beaucoup d’écoliers espagnols, nous avons observé que kilogramme-poids et kilogramme-masse étaient lamentablement confondus).

Le (BUUAWE Biaei) n’engendre pas librement des idées, comme l’âme individuelle. De telles idées existent, oui, en LUI depuis sa création par WOA.

La nature de ces idées est réduite au Concept Universel de ce qui doit constituer une société humaine idéale. Il existe des lois psychosociales établies pour notre WAAM (COSMOS) par WOA (DIEU) et le dépositaire des idées de telles lois, qui englobent les normes évolutives de la Société humaine, est précisément BUUAWE BIAEI qui, en même temps, agit comme MOYEN (NdT : média) ou LIEN adimensionnel entre les OEMII comme l’air agit parmi vous comme moyen (NdT : média) élastique de transmission acoustique.

BUUAWE BIAEI n’est donc pas responsable de ses fonctions. Il n’a pas de véritable CONSCIENCE comme nous l’entendons dans l’AME INDIVIDUELLE et il ne pourra pas être sanctionné par WOA car il ne peut transgresser des lois qu’il accomplit fidèlement ; nous dirions FATALEMENT.

Enoncer avec le langage philosophique approprié la nature réelle du BUUAWE BIAEI serait ennuyeux pour certaines personnes non préparées. Nous utiliserons donc des images et des comparaisons simples.

Supposez que votre niveau de civilisation sur la Terre soit arrivé à un tel stade qu’à PARIS par exemple, se soit monté un gigantesque ordinateur (CERVEAU ÉLECTRONIQUE) semblable à notre Réseau de XANMOO sur UMMO et capable d’emmagasiner des millions d’informations concernant votre vie quotidienne. Cette magnifique machine aurait reçu à la fois des instructions programmées par divers spécialistes en sociologie. Sa propre unité de calcul combinerait ces instructions ou lois mathématiques sociométriques avec les informations reçues de votre part et elle déterminerait à chaque moment ce que doivent faire tous les hommes de la Terre pour que la Société évolue d’une manière heureuse.

Dans chaque endroit des cinq continents il y aurait un micro et un haut-parleur connectés par des câbles à l’ordinateur central. Chacun de vous, grâce au micro, donnerait des informations sur la tournure que prend votre vie. De plus vous pourriez utiliser le micro pour communiquer avec un parent qui réside dans un autre pays.

D’autre part, le haut parleur répéterait constamment et en rabâchant, les instructions qui vous sont exclusivement destinées : comment se comporter, que manger, pour qui doit-on voter et quand doit-on voyager. (bien sûr ces instructions obéiraient à un Plan préconçu par le cerveau électronique, dans un cadre universel). Il est vrai que vous serez toujours libre de passer outre à de tels ordres. Mais comme vous ne pourrez jamais déconnecter le haut-parleur et que, d’autre part sa voix tenace est si persuasive, vous finirez par faire souvent cas de ce qu’il vous suggère.

Vous avez ainsi une grossière image de notre âme collective. Elle agit comme un énorme coordinateur de l’humanité, programmé au préalable par DIEU pour que, sans nous supprimer la liberté d’action, notre conduite sociale soit orientée.

Quand un atome de KRYPTON UAXOO (RÉCEPTEUR) correspondant à l’OEMBUUAW, reçoit des instructions de BUUAWAA (l’âme), son acte de volonté se réalise nécessairement à moins que les voies nerveuses ne soient bloquées par une drogue, un agent pathogène ou un obstacle extérieur.

Par contre un atome de krypton, qui nous lie à l’âme collective, peut recevoir un autre type d’instruction (d’ailleurs nos scientifiques ont observé les mouvements codifiée de vos électrons, un tel message provenant du BUUAWE BIAEI) sans que l’organisme ne réagisse immédiatement à ces instructions.

Il existe des cas pathologiques, maladies mentales dont l’étiologie réside principalement sur le fait que la conduite suit fidèlement les impératifs du BUAWEE BIAEI, les voies nerveuses qui relient vos aires motrices corticales avec la véritable conscience étant bloquée.

Mais en général c’est le contraire. Une fraction très petite de notre conduite dans la vie quotidienne est conditionnée par les messages reçus DIRECTEMENT par l’âme collective.

Observez que nous disons DIRECTEMENT. En effet, les instructions reçues, bien qu’elles ne soient pas motrices, c’est-à-dire bien que les voies nerveuses ne les transforment pas en mouvements musculaires, s’emmagasinent dans la mémoire, du côté de BIEYAE YUEO DOO (ORGANES DE LA MÉMOIRE). Elles correspondent aux images du champ de la conscience d’accès difficile (c’est-à-dire le SUBCONSCIENT).

Il peut arriver que vous alliez dans un magasin et, sélectionnant entre deux chapeaux ou plus, vous croyez qu’un tel choix est conscient quand en réalité ce choix est induit par d’occultes motivations fournies des mois auparavant par l’âme collective.

Nous vous exprimons d’une manière superficielle une importante caractéristique de l’Ame collective : imaginez que notre ordinateur universel de Paris soit en train de recueillir des faits sur la vie de tous les citoyens pendant vingt-quatre heures. Cette information est encore insuffisante. Elle ne peut être digérée par l’ordinateur, il ne peut déduire des lois statistiques universelles, ou des normes profitables, pour obtenir une information suffisante. De la même manière, si vous avez une usine par exemple, vous ne pourrez réaliser un bilan si vos comptables n’ont pas recueilli tous les éléments nécessaires. Ce matériel informatif accumulé sauvagement dans les unités « mémoire » de l’ordinateur, pourrait être infiltré et être irradié à cause des haut-parleurs, en induisant les citoyens dans l’erreur.

Il se produit quelque chose de semblable avec l’ÂME COLLECTIVE. Toutes les instructions où messages reçus ne sont pas parfaitement logiques et pures comme les idées émanant de WOA Au contraire la majorité provient de cet amas (encore mal digéré) de milliers de conduites humaines, dans le moment que nous vivons. Nous ne pouvons donc pas avoir des normes de conduite élaborées et exactes sauf de la Société de nos ancêtres car là, nous en possédons tous les éléments.

(Pour un historien, cela pourrait ressembler à ce que, quand il vous parle de l’Empire d’Alexandre le Grand, il se réfère à cette période avec une totale objectivité et probité scientifique, alors qu’en parlant de la guerre civile Espagnole de 1936 à 1939 il se passionnera, en déformant la vérité).

Nous allons prendre un véritable exemple : Vous avez tous connu ou vécu un quelconque moment de terreur ou panique collective quand au cours d’un tragique incendie de cinéma ou d’un bombardement, les masses sont conduites par une norme standard qui les pousse à exécuter des actions qui sont identiques pour tous les composants du groupe.

A ces moments là, l’unique moteur de vos conduites est le BUUAWEE BIAEI. Sauf cas exceptionnels, la conduite consciente et responsable est bloquée et sans aucun doute la véritable conduite est sauvage et aberrante. Ici, l’âme collective est en train de dicter des messages qui ont comme seul « substrat » logique la loi de conservation qui régit les êtres biologiques.

D’autres fois, l’âme collective canalise des messages impératifs , des idées volitives des composants d’un groupe. En réalité, quand quelqu’un parmi vous désire quelque chose (une voiture, la domination sur une personne déterminée, un bien-être physique etc… , de tels désirs sont codifiés et envoyés à travers tous les éléments du DIIUYA AAXOO (KRYPTON ÉMETTEUR) à la BUAWEE BIAEI avec diverses intensités. Tous les membres de la Société recevront (si l’intensité émise atteint un certain seuil) ces messages mais si 100 % des cerveaux bloquent de tels messages, ceux-ci n’accèdent pas à la conscience des autres hommes.

Mais sous certaines conditions, que nous expliquerons plus loin, une ou plusieurs personnes ont leur structure neurocérébrale conditionnée de manière telle qu’à cet instant ils peuvent recevoir ce message. Selon la forme avec laquelle est canalisée une telle information codifiée, c’est-à-dire selon la manière dont s’oriente le champ de la conscience de l’autre individu ou, au contraire, s’il est dévié par les voies nerveuses afférentes qui activent les zones corticales motrices, nous parlerons alors de Transmission T élépathique ou de suggestion par HYPNOSE selon le cas.

337 : LA COMMUNICATION TÉLÉPATHIQUE.

Il est possible que certains d’entre vous n’aient pas les idées claires sur notre moyen de communication.

Les UUGEE et UUYIE (adolescents garçons et filles) d’UMMO perdent vers l’âge de 15 ans (terrestres) la faculté de s’exprimer acoustiquement par atrophie et sclérose des organes de phonation dans un pourcentage de 92,36 % de la population totale. Pour les autres personnes l’atrophie arrive à l’âge adulte.

Ainsi, vers 75 ans terrestres l’individu qui peut encore s’exprimer phonétiquement est extrêmement rare.

Mais cette sclérose n’est pas absolue. Les muscles peuvent encore être innervés faiblement et les vibrations obtenues, si faibles que soient les possibilités de les capter grâce à notre ouïe, peuvent être amplifiées par deux moyens. L’un d’eux, déjà ancien, consistait en un microphone amplificateur qui s’applique sur la gorge. Actuellement on met sur le larynx un transducteur du volume d’une lentille (grâce à une simple opération chirurgicale à l’âge de deux ans).

Ce petit amplificateur-émetteur n’irradie aucun faible champ radio-électromagnétique. Il module simplement un champ magnétique de faible intensité. Un second amplificateur pourvu de haut-parleur (nos haut-parleurs ne sont pas du type membrane vibrante), de taille et de format semblables à une gomme, émet les sons reçus avec une intensité et une fidélité extraordinaire.

La réponse de nos amplificateurs est parfaitement plane. Si la qualité du son est déficiente, ceci est dû à ce que notre organe de phonation n’est pas capable de générer plus qu’une gamme de fréquences très restreinte. Les graves et les harmoniques ne sont pas émis et c’est pourquoi le timbre de la voix est trés inférieur au vôtre, les terrestres.

Depuis longtemps, par conséquent, dans nos relations sociales nous nous exprimons (quoique artificiellement) dans le langage oral. Il est révolu de milliers d’ANNEES UMMO le temps où les parents devaient communiquer avec leurs enfants au moyen de mouvements de paupières « codifiés ».

Notre communication télépathique ne consiste pas à pouvoir « voir » ce qui arrive dans une autre ville en fermant simplement les yeux. Cette idée est puérile. De même qu’à un moment donné nous pouvons lire les pensées d’un autre frère à mille KOOAE. De tels concepts stéréotypés ont seulement une base réelle très faible.

Sauf en de rares occasions ou exceptions, nous n’utilisons la télépathie qu’avec des personnes situées à de grandes distances. Ceci a une explication simple : la transmission est laborieuse et nécessite un certain effort mental.

Le processus pour la communication avec des personnes dont je connais l’identité se déroule ainsi :

Au début je dois atteindre un niveau conscient très bas en ce qui concerne les stimulations de l’extérieur (lumières, sons, odeurs, etc…). Les sensations doivent se produire d’une manière subliminale. Nous voulons dire qu’il faut obtenir un état cataleptique artificiel en utilisant la voie autosuggestive.

L’utilisation continue de cette pratique, favorisée génétiquement par de nombreuses générations qui l’ont pratiqué sur UMMO, permet que cette auto-hypnose et le processus qui suit se réalisent très rapidement en régulant par un mécanisme réflexe l’intervalle de temps nécessaire pour sa réalisation. Ainsi quand le sujet conclut celle-ci, il peut atteindre de nouveau l’état de CONSCIENCE concernant les stimulations du milieu externe, comme d’habitude.

Mais il faut dire que cet état cataleptique spécial suppose un blocage temporel des voies afférentes qui connectent le cortex cérébral avec les organes des sens externes et propriocepteurs. Je veux dire par là qu’au contraire de ce qui arrive dans l’état WOIWOI (onirique ou de rêve), ou dans certaines situations WOIWOI EEAEE d’hypnose, la OESEE OA (NdT : ou EESEE OA ?) (CONSCIENCE) NE descend pas à de bas niveaux du subconscient. Au contraire, les processus mentaux supérieurs (RAISONNEMENT, PENSEE…) continuent normalement avec l’avantage que les images de la mémoire accèdent, avec plus de netteté, au champ de la CONSCIENCE.

Il se produit maintenant un phénomène physiologique qui n’existe que très rarement volontairement chez les hommes de la terre. (AVANT DE POURSUIVRE PLUS AVANT il conviendrait pour ceux qui ne sont pas très initiés en physiologie de lire la NOTE 5) (NdT : Note 5 introuvable)

Il y a dans l’encéphale deux organes essentiels pour la transmission télépathique. En réalité il s’agit d’un réseau neuronal, double, dont les connexions avec la mémoire et le champ de la conscience sont normalement inhibées, neutralisées. Au moyen d’une succession de synapses peut s’établir la connexion du ISIAGEE IA (organe que vous ne connaissez pas) avec les zones accessibles de l’encéphale.

La stimulation de ces synapses est un problème d’adaptation et même d’hérédité. Il n’y a pas de raisons pour que vous, les terrestres dont la morphologie physiologique corticale est la même que la nôtre, ne puissiez pas arriver à établir ces connexions ou synapses.

Il se produit dans cette zone cérébrale deux types d’impulsions : un peu comme s’il s’agissait de deux émetteurs. Si quelqu’un parmi vous est technicien en télévision, i l comprendra mieux si on les compare avec les signaux que vous appelez IMAGE et SYNCHRONISME. Les premières portent, convenablement codifiées, les impulsions nerveuses que nous appelons BUUAWE BIEE, chacune d’elles durant 0,0001385 seconde. Elles constituent une espèce de message télégraphique qui est envoyé grâce à l’un des atomes de Krypton que nous appelons BUUA XUU (psysphère).

Le second groupe de signaux, qui sont aussi codifiés, se caractérise par le fait que le temps des impulsions est plus long : 0,006385 seconde.

Quelle est la fonction du premier signal émis ? Porter facilement le contenu verbal de notre message, les paroles qui expriment les idées que nous désirons faire arriver jusqu’à notre interlocuteur situé à une grande distance de nous. Mais ce message est capté par tous les hommes de UMMO (nous répétons que les cas de télépathie enregistrés par vous confirment que le phénomène est identique pour les humains de la Terre).

Comment se fait-il qu’une seule personne soit capable d’interpréter un tel message et avoir conscience qu’il lui est dirigé, uniquement à lui ? Le second groupe d’impulsions nous apporte la réponse.

Le code employé pour identifier une personne ne diffère pas beaucoup de celui que nous employons, nous et vous, dans la vie réelle. Ainsi, comme le nom UGAA 4, fils de YODEE 347, est associé mentalement à un individu déterminé, une séquence de nombres binaires, envoyée sous forme d’impulsions, servira pour distinguer spécialement la personne réceptrice du message.

Imaginez un million de coffres-forts répartis sur tout votre pays. Chacun d’eux peut seulement s’ouvrir qu’à l’aide d’une combinaison de six chiffres et sous la surveillance d’autant de gardiens.

A l’intérieur de ces coffres il y a la clef pour l’interprétation d’un quelconque message codifié qui est reçu.

Vous envoyez maintenant une lettre chiffrée qui peut seulement se lire avec l’aide de clefs cryptographiques enfermées dans les coffres. Envoyez un million de copies à tous les gardiens avec une seule indication sur l’enveloppe par exemple 763.559. Seul le destinataire dont le chiffre du mécanisme d’ouverture du coffre coïncide avec ce nombre pourra l’ouvrir et connaître le contenu du message.

L’exemple est bien choisi car précisément la sélection d’une personne s’obtient par un mécanisme physiologique semblable à celui des coffres-forts terrestres (sur UMMO ils n’existent pas). et un réseau de neurones établit des connexions synaptiques ou des déconnexions en fonction d’une séquence chiffrée d’impulsions binaires qui représentent, pas six comme dans l’exemple, mais tout près de 1700 chiffres.

Nous vous disions que la transmission télépathique était verbale. Cependant on est arrivé à transmettre consciemment des images visuelles, olfactives et tactiles qui, dans des circonstances normales sont des phénomènes provoqués seulement dans certains cas de perturbation mentale transitoire ou en période cataleptique pure. Les expériences dans ce sens sont rares parmi nous et nous nous trouvons face à elles dans la même position que vous face à la transmission télépathique normale. Nous n’écartons pas le fait qu’une quelconque civilisation galactique ou extragalactique qui nous soit inconnue, ait pu grâce à son évolution psychophysiologique, atteindre ce rêve (rare pour nous) et pour lequel nos UNNIEYO (neurologues) travaillent activement.

Pour terminer ce rapport sur la transmission télépathique, nous vous indiquerons que les lésions provoquées par nécrose de certains groupes de neuronnes donnent lieu au fait que le malade ne peut émettre correctement la série d’impulsions qui sélectionne la personne à qui est adressé le message. Il émet au contraire une grande gamme sauvage et désordonnée de signaux qui affectent des millions de personnes. Un peu comme si dans notre exemple, les enveloppes avaient non pas un nombre, mais plusieurs centaines de milliers. Les gardiens qui pourraient ouvrir les coffres seraient alors très nombreux. Nous avons découvert trois processus pour neutraliser ces malades qui, à l’aube de notre humanité causèrent d’hallucinants dégâts qui empêchèrent son évolution.

337. LE BUUAWE BIAEI (ÂME COLLECTIVE) ET LES HOMMES DE LA TERRE.

Vous vous demandez si le groupe humain terrestre possède ce coordinateur spirituel que nous appelons BUUAWE BIAEI.

Indubitablement nous commettrions, à l’instant où nous l’affirmons, la même erreur que vous commettez presque tous les jours en appuyant vos raisonnements sur des affirmations gratuites. Nous n’avons pas sur la Terre les moyens de recherche dont nous disposons sur UMMO. Notre projet initial d’emporter sur notre planète douze individus d’origine terrestre et de mentalité développée fut sanctionné négativement par l’UMMOAELEWE , non seulement pour des raisons morales, mais aussi pour des raisons d’un autre ordre que nous ne pouvons vous révéler. Nous nous trouvons donc ce petit au groupe avancé sur votre planète, comme des naufragés sur une île déserte, qui, au moment d’analyser certaines roches de structure cristalline particulière, ne pourraient même pas déterminer son indice de radioactivité faute d’un compteur Geiger.

Vous ne pouvez pas vous faire idée du secret dans lequel nous devons mener nos investigations et études, en nous mélangeant parmi vous, nous faisant passer en Espagne pour des étrangers, avec de faux passeports, en veillant avec soin aux milles détails qui nous identifient à des personnes terrestres normales. C’est vrai que maintenant ont disparu les angoissants problèmes dérivés de la totale méconnaissance de votre langue. Quand arrivent de temps en temps de nouveaux renforts sur la Terre, les voyageurs sont préalablement formés dans nos centres avec la connaissance d’une ou de deux langues minimum (en général anglais et russe). Mais cependant, le manque de moyens nous empêche de réaliser certaines études surtout au sein de certains domaines scientifiques.

Par exemple : sur le terrain de la psychologie, il nous coûte un travail énorme pour sélectionner les échantillons statistiques nécessaires pour la recherche. Nous ne pouvons pas nous fier aux évaluations réalisées par les centres officiels et à leurs statistiques, parce qu ‘ils font apparaître un indice de fiabilité très bas. Le pire ce n’est pas que les marges d’erreur soient grandes, ce qui est grave c’est que les marges ne sont même pas connues. Même en employant une technique mathématique comme celle des échantillons statistiques que nous avons abandonné il y a plus de 2000 ans sur UMMO, nous obtenons des résultats fiables..

Avec cette perspective que nous vous exposons, vous jugerez que quant nous parlerons de vous, nous le ferons sur un plan de simple hypothèse, basée sur nos propres connaissances et expériences, mais sans pouvoir appuyer nos jugements par des démonstrations scientifiques.

Nous estimons donc que nous ne croyons pas qu’il existe entre vous des incompatibilités sérieuses pour réussir des transmissions télépathiques normales. De source privée, il s’impose à nous que l’ Union Soviétique est en train de réaliser des expériences pour les futures transmissions télépathiques avec les équipages des vaisseaux spatiaux, qui empêcherait l’ennemi de les intercepter, et vous connaissez tous les expériences réalisées par le Pentagone Nord-américain, quand fut mis en service le Nautilus premier sous-marin Nucléaire.

Les seules études réalisées par nous en Australie en 1962, ont catégoriquement échoué dans la tentative d’établir une communication télépathique avec vous. Mais jusqu’à présent nous n’avons pas entrepris aucun programme tendant à démontrer que ce que vous appelez PERCEPTION EXTRA SENSORIELLE. Nous devons nous fier (avec les réserves qui s’imposent) à vos investigations parapsychologiques.

Nous connaissons d’une manière certaine les résultats globaux de ces études et elles nous permettent de déduire qu’effectivement existe un BUUAWEE BIAEI ou ÂME COLLECTIVE entre vous. Vous pourriez nous objecter que peut-être il existe plusieurs BUUAWE BIAEI associés aux différents groupes raciaux. Nous ne croyons pas plausible ce point de vue pour la simple raison que nous CONSTATONS que tout le noyau humain de la Terre est issu d’un même phylum anthropoïde. Les différences morphologiques comme la pigmentation de la peau, les structures crâniennes, etc., sont dues à des modifications génétiques provoquées postérieurement par des mutations vérifiées, dans les organes génitaux de quelques hommes et femmes, à une période terrestre ancienne.

L’atmosphère de la Terre offre une faible protection par certains effets secondaires de ce que nous appelons fréquences IBOONEE (RAYONS COSMIQUES). De ce fait la probabilité que se génèrent de nouveaux êtres vivants, de nouvelles espèces, par mutations génétiques, est plus importante que sur UMMO. Ainsi s’explique sur notre planète le nombre d’espèces dans le champ BAAYIODOUII (FAUNE – FLORE) soit prés de 20% plus faible que chez vous, et que notre groupe humain n’accuse pas la présence de véritables races.

Ce que vous ignorez en plus c’est que cette protection atmosphérique a été plus faible dans les premiers stades de la Terre. Et ce qui est plus grave : précisément pendant le Permien et pendant le Pléistocène (cette dernière est l’époque de l’apparition de l’Homo sapiens pendant laquelle votre système solaire a subi une intense activité de radiations cosmiques, provenant du centre de notre galaxie). Notre planète a aussi subi d’intenses radiations, comme le prouvent les traces URIEWOO UYIEXAA, dans quelques roches (minerais d’oxyde de césium). Cette technique qui nous permet de déterminer la densité de radiations cosmiques à des époques antérieures, n’est pas connue par vous.

Donc : le plus probable, c’est que ces mutations se réalisent précisément sur les structures chromosomiques des êtres humains, coïncidant avec cette énorme augmentation de l’activité radio cosmique.

Il existe donc sans aucun doute une âme collective, et nous nous risquons à spéculer que celle-ci est commune pour vous tous. Nous savons qu’une telle affirmation déplaira à certaines mentalités d’un fanatisme raciste reconnu, mais la science ne peut être identifiée à des préjugés rageurs, et surtout quand ceux-ci sont éloignés de toute argumentation logique. Nous croyons qu’aussi bien le matérialisme dialectique marxiste que l’église catholique romaine sont dans la vérité quand ils postulent leur doctrine antiraciste en partant de cette prémisse engendrée par le fait que les différences entre les races terrestres ne sont que secondaires.

Vous pourriez aussi penser que si les humains terrestres ne peuvent réaliser facilement certaines fonctions comme la transmission télépathique, c’est parce qu’ils ont souffert d’un processus d’atrophie des zones encéphaliques, correspondantes au mécanisme décrit, de même que les hommes d’UMMO souffrent d’une sclérose des organes de phonation. Nous reconnaissons que nous n’avons pas assez d’éléments pour proposer une contestation cohérente. Nous pensons néanmoins le contraire. Ne vous étant pas préoccupés d’utiliser cette faculté, les réflexes nerveux ou synaptiques nécessaires ne se sont pas développés.

Laisser un commentaire