D31 Scepticisme collectif devant les E-T.

AELEWE
Langue: Espagnol
N° de copies: 1
16 MARS 1966
Professeur Sesma Manzano
MADRID – ESPAGNE

500 – INTRODUCTION DE NOTRE POINT DE VUE CONCERNANT L’ACTUEL STADE CULTUREL DE L’ÉVOLUTION TERRESTRE.

En faisant partie d’une structure sociale comme la terrestre, endommagée de multiples déformations, angoissée par les hallucinantes perspectives d’une guerre nucléaire, perplexe et désorientée devant le réseau emmélé d’idéologies philosophiques, religieuses et politico-économiques, recherchant dramatiquement les bras tendus dans les brumes d’un épais brouillard, PAIX et FÉLICITÉ spirituelle et physique sans jamais les rencontrer.

En tenant compte que vous, Professeur Sesma, appartenez à cette minorité de choix qui s’oriente vers les facteurs spirituels en devinant avec une fine sensibilité que seulement par eux l’homme atteindra son authentique liberté;

Il était logique que vous formuliez cette question trancendante:

SI VOUS LES HOMMES DE UMMO AVEZ ATTEINT UNE PHASE SCIENTIFIQUE DANS LAQUELLE LES FACTEURS ÂME ET ORGANISME PHYSIOLOGIQUE VOUS SONT EMPIRIQUEMENT ACCESSIBLES:

AVEZ-VOUS OBTENU UN MOYEN EFFICACE DE SUPPRIMER CES STADES D’ANXIÉTÉ EN ATTEIGNANT LE CHEMIN SUPRÊME POUR VOUS RETROUVER VOUS-MÊME SUR VOTRE ROUTE VERS WOA (DIEU) ?

De plus ; les questions transcendantes exigent des réponses complètes et laborieuses dans leurs énonciations. Nous désirons vous parler avec toute impartialité et objectivité scientifique et en nous efforçant d’employer des expressions qui vous sont accessibles. Nous demandons d’avance de nous excuser si au cours de notre exposé nous devons intégrer des récits marginaux ou intercaler diverses déclarations.

500 – UN RÉCIT DE FICTION.

La Terre traverse les années obscures du Moyen-Âge. Dans un endroit isolé arrive un astronef en mission d’investigation. Les équipages viennent d’une planète imaginaire (appelons là DELTA) où le développement scientifique a atteint niveau identique à celui que vous vivez en 1966.

Rapidement les savants voyageurs entrent en contact avec des frères monastiques, véritables gardiens de la culture, astrologues, alchimistes et médecins (physiciens comme on les dénommait à cette époque) et d’autres  » sages  » de l’époque.

Tout de suite leur est révélé le grand secret : certaines affections (dont ils ne connaissent pas l’étiologie : arthrites névralgiques, ovarites, trouble du grand sympathique) peuvent se soigner par le moyen d’un traitement mystérieux appelé DIATHERMIE par ONDES ULTRA COURTES. Et ils tentent d’expliquer les bases physiques d’un si merveilleux système.

L’affirmation de l’existence des champs électromagnétiques est véritablement surprenante. Les savants médiévaux se regardent entre eux, moitié amusés et moitiés méfiants. Quelles preuves apportent les blonds étrangers qui viennent peut-être des terres sauvages de Germanie?

Leurs sont présentés les bases mathématiques de la théorie du champ. Utilisant le langage de la Terre au XX è siècle ils parlent de l’Opérateur Nabla, de divergence d’un vecteur, de gradients de Potentiel, de Flux magnétique, tentant de rendre compréhensible le théorème de Stokes et les hypothèses de Maxwell.
Les étranges symboles que les visiteurs traduisent comme INTÉGRALE de, Rotation de, Différentiel de …

Impossible de digérer en quelques mois toute la base du calcul intégral et tensoriel… Avec quelle formation essayer de résoudre un système d’Equations Différentielles ?

Tout cet ensemble compliqué de nombre et des signes cabalistiques peut n’être qu’une simple fiction aussi ingénieuse qu’irréelle, inventé pour surprendre la bonne foi des érudits du Moyen Âge:

– Si les étrangers ne sont pas des imposteurs : ne serait-il pas possible de construire sous leur direction cette ingénieuse « machine » ?

Ils ont parlé d’un oscillateur générateur de hautes fréquences : ils ont montré quelques bizarres « peintures » où l’on voit un panneau plein d’étranges « manettes » et des câbles qui s’entrelacent avec des disques mystérieux.

Rapidement on se met à l’œuvre : il faut fabriquer des dispositifs nommés VALVES PENTODES. Mais où trouver un métal rare nommé Wolfram? et cet autre appelé THORIUM qui permettra de construire leurs cathodes ? Et le NICKEL nécessaire pour les grilles ?
Où trouver le verrier avec une grande expérience artisanale qui puisse fabriquer une ampoule de verre et ensuite y créer un vide poussé? Mais avant, qu’est-ce que le vide ? Et comment trouver dans toute l’Europe une industrie capable de fabriquer les milliers d’éléments qui interviennent dans cet engin ? : résistances, condensateurs, bobines, transformateurs… ? Et l’énergie pour la mettre en marche : ils disent que c’est l’électricité ? Ce fluide mystérieux qui fait sauter des étincelles d’un grand bâton de soufre frotté contre un drap? obtenir du 220 volts ? Que veulent-ils dire avec ce mot énigmatique : VOLTS ?

Les docteurs continuent en échangeant des regards d’intelligence : quel genre de bouffons sont ceux là qui prétendent savoir plus que la Médecine, l’Astrologie et l’Alchimie. … ils disent qu’ils sont descendus du ciel. Où sont les chariots de feu qui les ont transportés et les anges qui les ont guidés ?

Les astronautes présentent, angoissé, les feuilles chargées de signes cabalistiques, les renseignements concernant la vie de leur planète, où volent des appareils plus lourds que l’air, des machines qui se substituent à des milliers d’experts en calcul et où, sur des écrans, apparaissent les images mobiles des êtres humains.

Nous voulons des preuves : ! Réclament, hiératiques, les docteurs; Si vous dites posséder ce que vous appelez des Appareils de DIATHERMIE : vous avez ici une enclume, un fourneau, une scie, une hache. Construisez-le avec ces pièces de bois et de cuivre.

Paysans, artisans, soldats, la plèbe dans son ensemble assiste à la polémique. Quelqu’un demande et on l’informe : « des étrangers ensorcelés et fous qui assurent être descendu, en se décrochant de ces luminaires pendus au plafond céleste. Brûlons-les et divertissons-nous !!! »

Maintenant surgissent des allègres bouffons et jongleurs qui assurent avec une grimace doctorale venir du Soleil et de la Lune. Plus personne ne fait attention aux Pèlerins de l’espace.


Il est indubitablement facile de comprendre la morale de cette fiction. Cependant ces personnes qui acceptent intelligemment notre présence et peut-être celles d’autres habitants galactiques peuvent se sentir tentés de critiquer ouvertement les docteurs médiévaux de notre histoire. Il peut surgir un vague ressentiment, qui ne soit pas exempt de sarcasme. Une réaction méprisante contre les moines, les  » savants « , la plèbe qui n’ont pas su voir dans ces hommes les hérauts du futur, les porte-voix d’une philosophie et d’une science plus avancée.

Cet ultime jugement, cependant, manque de toute objectivité scientifique. En effet : c’est en accord avec les lois les plus élémentaires de la psychologie sociale que les voyageurs fabuleux de notre histoire se sont opposés au scepticisme collectif. ET NOUS AFFIRMONS :

UNE TELLE RÉACTION CONTRAIRE EST NON SEULEMENT TOTALEMENT EXPLICABLE MAIS AUSSI JUSTIFIABLE ET NÉCESSAIRE dans l’ÉTAPE que traversait L’HUMANITÉ TERRESTRE à ce moment-là.

Ce qui est absurde, ce qui est risqué, ce qui aurait pu amener de graves troubles dans le processus évolutif de la civilisation, c’est d’assimiler trop vite des techniques, des principes et des bases scientifiques qui ne soient pas en adéquation avec la culture naissante de l’époque.

Nous parlons en termes statistiques, en sorte qu’une affirmation faisant référence à tout un ensemble d’OEMMII (GROUPE SOCIAL) peut ne pas être valable pour une seule personne ou un petit groupe. C’est-à-dire : si dans notre fable antérieure, quelques personnes d’une intelligence avancée avaient accepté discrètement la version des astronautes, on ne pourrait pas non plus les accuser de transformer les lois psychologiques qui régulent l’évolution humaine. Mais si ces mêmes personnes tentent de forcer leur milieu social, en agissant au nom de la vérité scientifique pour que soit accepté à contretemps un patrimoine culturel aussi avancé, elles commettraient la même erreur que si, au nom de la science, vous déposiez vous-même dans la main d’un enfant un récipient de nitroglycérine

Vous n’avez donc pas raison quant vous accusez les générations respectives de GALILÉE, DARWIN ou THEILLARD DE CHARDIN, entre autres, ou dans notre cas celles de DEEO 8, fils de DEEO 9 et IE 456, fille de NA 312, de n’avoir pas compris leurs idées en avance, les répudiant et leur jetant l’anathème. Le groupe social en agissant ainsi se défendait inconsciemment d’un risque, traumatisant pour son évolution, que suppose d’assimiler des techniques ou des idées, qui devaient être placés en un point plus avancé sur la flèche du TEMPS.

Bien que dans des prochains rapports nous éclaircirons ces principes, nous pouvons vous donner un exemple vécu par vous, en ce qui concerne les risques qu’entraînent une assimilation rapide d’une culture et ses conséquences funestes : Le Japon peut vous offrir des éléments d’étude et de méditation.

Ces explications préalables sur le thème que nous tentons de développer dans ce RAPPORT doivent servir au passage pour comprendre en partie la prudence que nous prenons à communiquer avec l’humanité terrestre.

Notre objectivité scientifique et la pureté de nos intentions nous empêchent de nous offenser du scepticisme justifié que les masses et les scientifiques eux-mêmes opposent à la réalité de notre existence parmi vous. Nous savons d’autre part qu’une révélation prudente à quelques-uns d’entre vous n’est pas nocive.

Pour ceux qui acceptent notre réalité: ne vous angoissez pas si vous observez des réactions d’indifférence concernant notre réalité et de moquerie, et n’accusez pas avec mépris votre prochain d’étroitesse mentale. Car : comment vous considérer alors comme porteur de la vérité si vous ne savez pas comprendre respectueusement les intimes motivations de vos semblables ?

Vous comprendrez que si nous étions intéressés par la publicité et la diffusion de nos idées nous aurions à notre disposition des moyens techniques pour nous faire connaître (de fait nous sommes connus des hautes sphères de certains Gouvernements).

Et soyez sûr que si des habitants d’une autre planète désirent vous faire du mal, ne croyez pas qu’ils utiliseraient des armes terrifiantes comme celles décrites dans les films de science-fiction, alors qu’ils leur suffiraient de vous révéler brusquement et avec de nombreuses preuves leur propre culture. L’effet perturbateur sur l’humanité terrestre actuel serait catastrophique.

500: LA RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.

Vous savez que le processus évolutif de l’humanité garde un étroit parallélisme avec le processus de croissance d’un enfant jusqu’à la période adulte. Une telle analogie n’est pas seulement accidentelle. A tel point que beaucoup de lois biogénétiques qui dirigent le comportement de l’individu, conforment aussi le comportement des groupes sociaux.

Dans les premiers stades de l’humanité ces hommes, à qui quelques années auparavant WOA (Dieu ou générateur) donna l’influence d’un être adimentionnel comme l’est le BUUAWAA (âme), cessent d’être de simples animaux anthropoïdes. Mais ils ne disposaient pas encore d’une structure neurocorticale aussi développée que celle que vous avez aujourd’hui.
Ces individus, comme l’enfant de peu de mois, commençaient à distinguer entre la reconnaissance de l’ÊTRE lui-même et la conscience du milieu ambiant qui les entourent. Devant cette scission (NdT: les psychanalystes diraient « clivage ») cognitive apparaissent automatiquement deux réactions :

TERREUR ET ANXIÉTÉ devant l’inconnu.

CURIOSITÉ ET AVIDITÉ INTERPRÉTATIVE.

Ces deux réponses ne sont pas simultanées, mais elles se développent peu à peu successivement en vertu de lois psycho-physiologiques dont nous connaissons les racines somatiques sur UMMO depuis très longtemps.

La première réaction qui poussait les premiers habitants humains à fuir le feu provoqué par une décharge électrostatique ou à adorer le soleil et les volcans était purement affective. Elle s’établissait sur le plan émotionnel (nous vous parlerons de cela quant nous traiterons la crainte, la douleur, le plaisir, le déplaisir, c’est-à-dire en somme les émotions). L’origine physiologique de cette sensation d’angoisse est provoquée simplement par la décompensation ou le déséquilibre au moment ou s’élaborent les premières perceptions dans les cerveaux, sans que n’existent dans les zones corticales de la mémoire de véritables réseaux d’images à leurs confronter (n’oubliez pas que lorsque nous percevons par exemple un ARBRE par notre sens visuel, automatiquement accède au champ de la conscience l’image conservée en mémoire d’un autre arbre, synthèse des perceptions accumulées antérieurement. La comparaison des deux : IMAGE RÉELLE et IMAGE ÉVOQUÉE, constitue la base du raisonnement) . Mais quand il n’existe pas dans une mémoire ce réseau complexe d’image de concepts archivés qui constitue le « substrat » de la connaissance, alors se produit toute une série de bouleversement neuronaux qui débouchera sur la sensation d’ANGOISSE ou de TERREUR.

Le premier pas pour comprendre ces forces inconnues, ces phénomènes inexplicables, pour ces cerveaux primitifs, et éluder ainsi la terreur qu’ils provoquaient, fut de les associer et de les confronter dans le champ de la conscience avec la pauvre gamme d’images emmagasiné dans leurs mémoires (animaux, hommes, objet connu ). Et c’est ainsi qu’ils personnifièrent la lune, les constellations et qu’ils identifièrent des phénomènes atmosphériques ou géologiques avec leur propre moi. Ceci était la conséquence d’un mécanisme de défense devant les perceptions qui provoquaient de telles réactions de terreur.

Mais lentement au cours des siècles s’accumule peu à peu dans la mémoire connaissances après connaissances, ce qui constitue le patrimoine culturel de la société et en même temps les habitudes ou réflexes conditionnés qui dans le fond sont des mécanismes neuronaux qui caractérisent ces connaissances-là, passant par la voie génétique de parent à enfant en constituant ce que vous appelez les INSTINCTS.

Vous pouvez observer vous-même que quant un UUGEE (enfant) naît de nos jours sa constitution corticale est totalement différente de celle des premières populations de UMMO ou de la TERRE. Dans les couches les plus profondes de sa mémoire BUUAWAMIESEE OA (SUBCONSCIENT) existent déjà quelques connaissances, qui pour avoir été communes aux centaines de générations passées, sont restées fixées génétiquement dans les chromosomes sexuels des parents, et se transmettent comme le reste de l’hérédité. Lui a aussi été légué, comme vous le savez, les réflexes conditionnés qui constituent à leur tour des réponses à tout autant d’autres connaissances (par exemple face à la reconnaissance ou perception du sein maternel, le réflexe conditionné de la succion).

Les hommes de nos générations ne sont donc pas comme leurs ancêtres avec une mémoire (CONSCIENTE ou INCONSCIENTE) nue ou vierge d’images à opposer ou confronter aux premières perceptions reçues. L’angoisse face à la méconnaissance s’atténue peu à peu et va aussi être substituée progressivement par la CURIOSITÉ, la RECHERCHE DE LA VÉRITÉ.

Mais ce processus que vous vivez actuellement en période ascendante et nous en période descendante (la courbe adopte la forme suivante : voyez le dessin n° 1)

est fonction à son tour de multiples facteurs. Elle ne dépend pas seulement de la structure neuroencéphalique, même si évidemment pour un cortex cérébral ordonné d’une manière déficiente, bouleversée par des agents pathogènes, vicié par des pratiques antibiologiques ou changé par des mutations génétiques, il n’y a pas de doute qu’une telle évolution sera pénible et aberrante.

Nous croyons (et étant pour le moment en pleine étude nous nous abstenons de donner une réponse catégorique) que la société terrestre est endommagée non pas dans ses éléments constitutifs primaires, c’est-à-dire les cerveaux individuels, mais dans la structure de son AYUYISAA (RÉSEAU SOCIAL).

Nos spécialistes en psycho-sociologie de UMMO considèrent le groupe humain comme un cas particulier d’ AYUBAA (RÉSEAU). S’il y a parmi vous un mathématicien, un ingénieur en électricité ou un physicien, il vous expliquera qu’un RÉSEAU est une abstraction mathématique représentée (voir dessin 2) par un ensemble de points ou « NŒUDS », auxquels est associé un  » POTENTIEL « , unis entre eux par une ou plusieurs lignes, branches ou « ARCS » auxquels est attribué un FLUX ou INTENSITÉ de sens orientés. Un exemple courant pour vous d’un RÉSEAU ou GRAPHE est le circuit d’un récepteur de télévision ou, plus compréhensible, les canalisations d’eau dans une ville. Les branches y seraient matérialisées par les tubes dans lesquels circulent des flux ou des débits de tant de litres par heure, et les nœuds par les embranchements correspondants, dont le potentiel associé ne serait autre que la pression de l’eau à ces points (images 3 et 4).

Sur UMMO nous avons créé toute une science ou théorie dénommée par AYUBAAEWAA. Les mathématiciens nous comprendrons si nous leur indiquons que c’est équivalent à ce qui est appelé par vous THÉORIE DES ENSEMBLES. Sauf que l’AYUBAAEWA étudie le comportement des ENSEMBLES INTERRELATIONNÉS ENTRE EUX (Vos théories des réseaux et théories des ensembles, modernes pour vous, sont de simples sections de cette étude généralisée.).

Une société se comporte comme un RÉSEAU que l’on peut donc représenter graphiquement (dessin 5) . Dans celui-ci les individus sont représentés par des nœuds et les divers types de relations qui les relient (RELATIONS DE CONSANGUINITÉ, de SUBORDINATION MENTALE, de COMMUNICATION VERBALE ou TÉLÉPATHIQUE, etc.) par des ARCS. Dans ce modèle mathématique de réseau si complexe, il faut dire que les élémentaires concepts de potentiel et de flux ont été remplacés par une grande gamme de paramètres psychométriques et sociométriques.

Donc : avant le moment d’analyser plus soigneusement le problème, nous vous informons préalablement que la grande défaillance de la SOCIÉTÉ sur la PLANÈTE TERRE repose sur la structure défectueuse des communications sociales. Dit d’une autre façon plus compréhensible pour les personnes qui ne sont pas versés en sociologie : le RÉSEAU SOCIAL TERRESTRE soufre les conséquences des relations spirituelles mal orientées entre ses membres et d’une véritable indigence dans les moyens de communication sociale qui empêche ses membres de se comprendre et de s’identifier entre eux. C’est le milieu externe qui vous rends malheureux et non pas votre propre structure cérébrale.

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