TEL17 17e CONVERSATION ENTRE UN OUMMITE

17e CONVERSATION  ENTRE  UN  OUMMITE et J. Barrenechea – 19 janvier 1988, de  18h20 à 18h45 : 25 minutes

J’étais dans ma cuisine buvant un verre d’eau quand nos chers et aimables amis me rappelèrent. Au début j’écrivais dans une posture très inconfortable mais quand il me dit de poser les questions de mes frères, je lui demandais la permission de m’asseoir à la table.

UMMO. – Nous allons vous envoyer la 3e partie du rapport d’UMMOWOA. Un de vos frères le recevra dans son immeuble, mais IL EST POUR VOUS. Il faut que l’immeuble ait un gardien pour que notre messagère puisse entrer sans difficulté. Lequel de vos frères, qui devra à l’avenir recevoir le rapport, pensez-vous, présentera la condition d’avoir un gardien ?

Jorge. – Bien, je pense à José Luis Jordán Peña et à Juan Aguirre. De plus je me réjouis beaucoup que vous vous adressiez à eux pour qu’ils puissent avoir la même joie que moi.

U. – Pour des raisons très puissantes, l’enveloppe vous sera adressée. Vos frères seront seulement les intermédiaires du moment. Dites à votre frère Rafael Farriols Calvo que pour l’entreprise REPSOL il faut AGIR AVEC PRÉCAUTION, CAR ILS NE SONT PAS DE BONNE FOI. NOUS RÉPÉTONS : AGIR AVEC PRÉCAUTION.

Quel est votre avis sur le dernier rapport que nous vous avons envoyé ?  

JB. – Bien, que vouloir lui dire ? C’est le sommet de tout ce qu’ils sont venus nous dire depuis 22 ans. Nous vous sentons si honnêtes que nous ne nous tenons pas de joie dans notre corps. De plus tout ce que vous nous dite est source d’espérance et de réconfort.

U. – Mais nous craignons que quelques-uns de vos frères se sentent blessés par tout ce qui viole leur corpus de croyances.

JB. – Je crois qu’ils ne doivent pas s’en inquiéter.

U – Il nous est agréable à un degré maximal que votre frère Rafael Farriols assiste aux réunions du dimanche. Nous ressentons pour lui une affection profonde.

JB. – Moi aussi et pour le même motif… (Ici je lui dis une chose que je ne devais pas dire ni par téléphone ni par téléfax, c’est pourquoi notre ami me coupe).

U. – Pas d’allusion à ça par téléphone.

JB. – Avez-vous enregistré les dernières réunions ?

U. – Oui. Nous sentons plus honnête la présence de votre frère Rafael Farriols.

JB. – Puis-je poser une question ?

U. – Oui.

JB – Que pouvons nous faire dans cette vie pour adoucir et éliminer les souffrances intellectuelles de la RECONFORMATION ?

U. – Nous répondrons de quelque façon à cette question. Vous devez maintenant nous questionner sur les projets de vos frères Juan Dominguez et Rafael Farriols.

JB. – Permettez-moi de changer de téléphone.

(Déjà, à cette place, j’ai posé la question n° 5 de Rafael. En réalité, je me suis trompé, parce j’ai posé la n° 4 mais je croyais l’avoir déjà posée. Ce qui se passe c’est que j’ai j’avis abandonné la 4° pour poser la première. Ainsi donc la question posée fut) :

– Mon projet sur la nouvelle fabrique est-il encore rationnel ? Dois-je le modifier ? Dans quelle direction ?

(Je crois que c’est l’occasion de poser la question n°4)

Quant à mon frère Juan Dominguez je n’ai en main aucune question concrète de lui mais je sais que l’entreprise est en pourparlers.

U. – Oui. Avec CIRSA

JB. – Car toute information sur ce point sera d’une grande utilité pour mon frère.

U. – Avez-vous quelque question sur un AUTRE PROJET à vous ?

JB. – Oui. Voyez-vous, je crois comprendre de la conversation que j’ai eu avec vous le 17 mars que vous nous suggériez pour la FIBRE OPTIQUE de nous adresser à l’URSS, et j’ai pris langue avec l’ambassade et l’association Espagne – URSS dont je suis membre pour qu’elle m’appuie.

U. – NON PAS SEULEMENT CETTE SOURCE, n’importe quelle autre source aussi.

Nous considérons très intéressant un noyau commercial situé dans le centre de l’Espagne. Vous rencontrerez des difficultés MAIS VOUS VÉRIFIEREZ LA PERTINENCE de cette décision. Vous devez collaborer avec plusieurs de vos frères. Il est FONDAMENTAL QUE TOUS AIENT UNE AFFINITÉ PSYCHIQUE. Vous ne devez pas placer votre confiance en des frères étrangers. Le futur de ce sous-secteur est très intéressant. Ne recourrez pas seulement à l’industrie SOVIÉTIQUE,  bien qu’il ne faille pas non plus l’écarter.

JB. Est-ce que nous ne connaissons pas plus de sources que les États-Unis, le Japon, et Israël.

U. – Aussi l’Allemagne.

Tous ceux de vos frères familiarisés avec la gestion de l’entreprise, s’ils le veulent, (il n’insiste pas). Parce que cela évitera des tensions internes avec des personnes non affines à votre psychisme. Votre frère Rafael Farriols en a souffert les conséquences.

JB. Quelle opinion avez-vous de « P » ? (Il ne me répond pas et poursuit)

U. – Ce frère (RF) doit s’orienter vers le sous-secteur dont nous parlons. IL ne convient pas de le mélanger bien que, dans une première phase, il pourra démarrer avec CRITESA. Cela n’est pas très sûr. L’idonéïté du personnel est fondamentale. Nous les conseillerons.

JB. – Alors je crois comprendre que bien que nous commencions avec CRITESA  nous devons nous en dégager tout de suite.

U. – D’une certaine façon oui. Votre frère Rafael Farriols doit exercer la gestion au sommet.

JB. – Je crois qu’ils sont tous d’accord sur ce point.

U. – CRITESA doit se consacrer aux polymères et déléguer l’activité des autres secteurs. En principe il n’y a pas d’inconvénient à ce que CRITESA fasse les premiers pas dans cette gestion en organisant un bureau indépendant. De façon que CRITESA se limite aux POLYMÈRES mais il doit abandonner les premiers pas à l’autre sous-secteur.

JB. – Puis-je poser quelques  questions de mon frère Rafael ?

Il coupe court et se tait cinq minutes au téléphone malgré mes invocations.