D379 Sesma et Ribera n’ont pas plagié les rapports d’Ummo

UMMOAELEUUE

Langue : Espagnol

Nombre de copies : 1

Respectable homme d’OYAAGAA : ANTONIO  RIBERA  JORDÀ

Monsieur, Nous posons notre main sur votre poitrine en signe de fructueuse amitié. Vous savez bien, monsieur Ribera Jordà (Antonio) que, depuis l’an de la Terre 1968, nous nous sommes identifiés devant vous comme des OEMMII (humains) venus d’un astre froid dont le nom exprimé phonétiquement en langue espagnole est UMMMO.

Nous n’avons jamais tenté de vous convaincre de notre vraie identité, puisqu’il est évident que l’on doit adopter une attitude criticoanalytique face à n’importe quelle affirmation qui n’est pas avalisée par des preuves. Les raisons pour lesquelles, malgré cette contradiction apparente, nous continuons à expédier nos rapports à des groupes variés du Canada, Australie, Grande Bretagne, Espagne, Zimbabwe et d’autres nations de OYAGAA (Terre), sont implicites dans les documents antérieurs envoyés à vos frères.

Nous ne devons pas vous cacher que notre décision d’interrompre nos envois, tant à vous qu’à votre frère ENRIQUE LÓPEZ  GUERRERO (prêtre catholique), fut due à la publication imprimée de nos rapports dans des éditions publiées avec les paraphes de vos signatures.

Mais, nous aimerions formuler une nuance importante. En aucun cas vous n’avez violé aucune loi morale. Vous êtes des hommes libres et rien ne vous lie dans l’absolu à aucun modèle d’obligations envers des êtres inconnus, comme ceux qui forment ce corps expéditionnaire éparpillés dans plusieurs pays d’OYAAGAA. Nous ne nous sentons pas offensés ni trahis par ces publications.

Mais, nous aussi sommes des OEMMII libres, nous estimons avoir le droit d’étrangler un canal d’informations quand, comme dans ce cas, nous estimons qu’une divulgation excessive de notre culture n’est pas dans notre intérêt, et nous désirons la canaliser exclusivement vers un microréseau social de vos frères sélectionnés par nous. Cette conduite pourrait s’interpréter comme une intention de la part de mes frères de créer d’authentiques sectes ésotériques adoratrices de ces présumés extraterrestres. N’importe qui connaît nos documents dactylographiés en langues anglaise, française, espagnole et allemande, et qui dialogue avec les OEMMII destinataires de nos bases de données, s’apercevra immédiatement que nous repoussons fermement toute tendance de la part de vos frères à épouser notre pensée et que nous admettons comme seule attitude logique d’analyser dans une perspective ethnologique l’étude de notre culture issue d’une civilisation intragalactique. (Les raisons profondes de nos contacts avec vous ont fait l’objet d’un document remis récemment à un groupe de vos frères connus de vous)

Monsieur Antonio Ribera  : Malgré notre décision de suspendre jusqu’à nouvel avis tout contact avec vous, nous devons témoigner que nous ressentons pour vous une vraie affection. Croyez-nous : Ce n’est pas une simple affirmation de courtoisie. Nous savons que personne dans votre pays n’a, autant que vous, lutté par la dialectique pour ouvrir les esprits de vos frères à l’étude des civilisations intragalactiques. Ceci seulement vous fait mériter notre respect profond et silencieux.

A cause de cela, nous nous somme sentis attristés par les accusations, à notre avis, injustes et fausses qui ont été formulées sous la forme imprimée d’un média de communication de votre pays (Interviou, n° 612 du 3 au 9 février 1988, page 87) par un de vos frères. Compte tenu des allusions dans ces paragraphes aux textes de mes frères (distribués en d’autres temps) nous nous sentons forcés de leur exprimer notre sentiment de solidarité.

Le texte imprimé cité est cette affirmation : …mais des écrits oummites qui circulent par le monde depuis les années 60 et que curieusement ont tellement plagié les sieurs Sesma et Ribera.

Nous pensons, Monsieur, que vous n’avez pas besoin de notre défense puisque votre propre honnêteté est la meilleure arme que vous puisse utiliser  devant une quelconque imputation à votre endroit, fondée sur des jugements alambiqués.

Mais votre frère Fernando Sesma, dont nous savons, bien que nous n’ayons pas pu le connaître, que nos frères en mission dans ces années là, avaient pour lui un affection spéciale, est mort et nous pressentons qu’aucun de vos frères ne va bondir pour sa défense. Nous considérons comme ignoble de lui attribuer une conduite inexacte quand le frère qui la lui attribue sait qu’il lui est impossible de démontrer son honorabilité.

Nous comprenons, monsieur Antonio Ribera, que nous ne saisissons pas aussi profondément que vous le sens sémantique de certains vocables de la langue espagnole, mais nous ne croyons pas nous tromper trop si nous attribuons au verbe «plagier» la signification de «copier ou transférer par des moyens typographiques ou phonétiques par l’intermédiaire d’un canal de communication pour la diffusion de l’information une production littéraire étrangère que l’on s’attribue comme sienne».

Il est évident que ni votre frère FERNANDO SESMA MANZANO (†)  ni vous ANTONIO RIBERA JORDÀ, n’ont «plagié» dans vos livres, nos rapports, dès lors qu’ils ont eu l’honnêteté et l’intégrité morale de transcrire nos bases de données, critiquant avec équité et probité leur source UMMOOAO. Il est évident que vous les publiez librement puisqu’il n’existe aucune accord s’appuyant sur un texte juridique pour les garder secrets.

Nous désirons émettre un jugement de valeur sur la conduite de votre respectable frère Juan José Benítez, transcrivant dans plusieurs pages de l’œuvre LE CHEVAL  DE TROIE, des textes et des concepts de notre système scientifique se rapportant aux IBOZSOO UHUU, sans citer strictement la source de l’original.

Il serait injuste de dire immorale sa procédure sans connaître les motivations  intellectuelles qui l’ont amené à plagier un grand nombre de pages d’origine URANTIA et, en un peu plus de douze pages, la reproduction de données et de matrices de textes de nos rapports d’UMMO.

Votre frère JUAN JOSÉ BENÍTEZ n’a souscrit aucun accord avec nous l’obligeant à citer notre source. D’une part, nous n’avons pas de personnalité juridique, puisque nous ne sommes citoyens de droit d’aucune nation d’OYAGAA et, d’autre part, nous confessons que cette transcription ne nous a causé aucun mal. Votre frère est un homme libre et il n’y a rien qui l’oblige, devant des inconnus comme sont les OEMMII d’UMMO, à des actes qui relèvent strictement de sa conscience morale.

Par contre, nous considérons comme un acte irresponsable et de caractère frauduleux le fait d’accuser à tort et publiquement de plagiat (s’approprier la paternité d’un écrit) un de vos frères déjà mort, que nous considérions comme notre AMI. Nous préférons penser que le fait de méconnaître la signification de certains termes idiomatiques soulève une passion explicable dans son état mental perturbé. Nous ne pouvons oublier que c’étaient des jours amers pour lui, avec des problèmes familiaux et des accusations portées par diverses voies contre sa personne. Votre frère est un excellent journaliste, aimant comme vous les études cosmologiques, bon et noble, mais quand l’encéphale se voit soumis à de multiples pressions, il peut commettre des erreurs parfaitement explicables.

C’est pourquoi nous suggérons qu’il puisse montrer sa bonne foi et sa noblesse intellectuelle, en rectifiant publiquement son texte ou en expliquant qu’il a commis une erreur typographique. A moins qu’il soit en état de démontrer qu’il ne s’agissait pas du sens étymologique du verbe PLAGIER.

Albacete, Espagne

5 février 1988

Mon nom est AOSIIBOO 3, fils d’IRIRAA 6

Nous autorisons monsieur Ribera Jordà (Antonio) à utiliser ce texte comme il lui plaira et à diffuser des copies à qui il voudra