D89 À propos du message à Atienza

UMMOAELEWE

Langue : Espagnol
Nombre de copies : 3

Francisco Doniz Ortiz
MADRID – Espagne

 

Cher Monsieur,

Votre aimable réponse à notre message a été reçue par nous. C’est avec satisfaction que, à travers son contenu, nous apprécions avec joie, que vous acceptiez notre demande. Nous vous en remercions très vivement d’autant que vous n’étiez absolument obligé de la satisfaire. Ceci est d’autant plus méritoire que, bien que les conventions de votre société vous incitent à ne pas donner suite à la requête venant de personnages se réfugiant dans l’anonymat et dont les véritables desseins restent obscurs, vous risquez votre réputation, même si vous convenez avec objectivité que la difficulté de cette action reste faible.

Transmettre des chiffres à votre mystérieux (en ce qui nous concerne) correspondant ne peut jamais être source de risque, évidemment, ni  avoir de conséquence dommageable pour vous, d’autant que vous l’aviez déjà fait avec sagesse, sans être responsable à quelque niveau que ce soit, public ou privé du caractère idoine (ou non) de notre témoignage, et bien que nous soyons parfaitement conscients de votre situation embarrassante, notre demande a été telle, qu’en aucun cas votre réputation n’aura à en souffrir.

Nous comprenons parfaitement la logique et l’intelligence dont vous faites preuve, du soupçon que vous manifestez à l’encontre de l’identité de nos frères. À votre place, nous aurions adopté, nous autres, la même attitude. On peut comprendre, sans doute, que le fait que ces hommes aient certaines réticences à se montrer sans recourir à l’anonymat, peut toujours cacher quelque mobile d’une moralité douteuse. L’expression naturelle d’une extrême prudence se manifeste par votre méfiance. Et nous ne pouvons vous en porter grief.

 

Notre situation vis-à-vis des hommes de la Terre est au moins aussi embarrassante que la vôtre, et nous vous supplions d’essayer de le comprendre.

 

Notre présence parmi vos frères et notre existence authentique au sein de vos sociétés terrestres, ne peuvent être révélées objectivement, ni servir de preuves scientifiques irréfutables, et ce, par principe. Nos propres documents écrits ainsi que nos contacts téléphoniques doivent subir une autocensure de notre part, ce qui nous demande un gros effort pour la rendre efficace.

 

Certaines informations indiscrètes pouvant servir de preuve irréfutable de notre existence, cette façon de procéder nous permet d’éviter ainsi tout ajout involontaire.

 

Que vous croyez en notre présence parmi vous, n’est pas notre objectif. Il est favorable pour nous qu’une attitude de scepticisme et de doute se manifeste dans votre grande société. C’est de cette façon qu’une minorité de vos frères, ne portant que peu d’importance au manque de preuves concluantes et acceptant de fait jusqu’à un certain point notre témoignage, sont maintenus informés par nous. Cependant, bien que nous soyons obligés de falsifier le sens authentique de nos affirmations lorsque nous sommes confrontés avec des inconnus de la Terre, en nous faisant passer comme citoyens de n’importe quelle nation, à l’aide de faux papiers d’identité, nous ne vous mentons pas lorsque nous nous adressons à vous en privé de façon non officielle.

 

Nous cherchons à neutraliser toute réaction à caractère psychologique de votre société, pouvant engendrer de graves conséquences pour tous, ainsi qu’à susciter un sentiment d’incrédulité dans les cas où les informations nous concernant, circulant à travers les médias, dépasseraient une certaine limite dans la diffusion comme dans le cas de votre frère le prêtre catholique Enrique Lopez Guerrero, mais nous ne voulons pas vous causer quelque dommage que ce soit, à cause du caractère clandestin de notre conduite. Nous pardonnons et excusons l’enthousiasme manifesté dans ces situations. Mais une plus grande capacité de réserve et de discrétion intellectuelle s’est manifestée chez vos frères d’autres nationalités, dans leurs contacts avec nous.

 

Bien que nous ayons adopté des mesures sévères pour éviter qu’une indiscrétion ou un changement d’attitude vis-à-vis de nous, soit fait par des OEMMII, en violant gravement nos normes de réserves, il nous est arrivé de fournir des preuves irréfutables à caractère personnel, à certains de vos frères terrestres.

 

Si vous acceptez d’être l’intermédiaire entre F. ATIENZA et nous, nous sommes disposés, Mr Donis Ortiz, à vous les offrir. Il va de soi que tant que notre présentation physique n’ait été confirmée par des arguments que vous jugerez fiables, et que chaque fois dans l’avenir, des preuves irréfutables ne pourraient vous être présentées, nous ne pourrons exiger de votre part qu’un tel contact puisse avoir lieu. Nous avons déjà opéré de cette façon dans des situations bien précises, avec d’autres OEMI de la Terre, et il est donc parfaitement possible de procéder ainsi avec vous.

 

Monsieur, certaines mises au point sont nécessaires, et nous aimerions que vous les fassiez parvenir aux personnes humaines intéressées.

 

Votre frère a reçu cet insigne du « gouvernement » d’UMMO avec un verso brillant, et nous ignorons qui le lui a envoyé. Nous vous assurons qu’aucun de mes frères n’a fait un tel cadeau, et il doit s’agir sans doute d’un malentendu facilement explicable.

 

Nous vous adressons cette mise au point afin de prévenir d’éventuels abus pour de sombres desseins immoraux. Le fait que l’une des parties refuse de s’identifier complètement, ne peut ni ne doit vous offenser, puisque nous considérons que c’est normal en ce qui concerne le tout début de ces relations.

 

Notre conduite irréprochable doit être un préalable pour que vous puissiez tenir compte de nos protestations et nos déclarations d’honorabilité. C’est le recueil de notre témoignage par vos propres amis de la Terre, qui puissent confirmer notre honnêteté, que nous vous prions de recueillir, Monsieur.

 

Dès que se présentera un moment favorable pour une communication orale, télépathique, idéographique ou par n’importe quel autre moyen technique approprié, avec votre étrange correspondant Francisco Atienza venant d’une planète inconnue pour nous, appelée URLN, nous vous supplions de lui transmettre le texte codé qui suit, que nous vous faisons parvenir aujourd’hui.

 

1011010111 100101 101000100111 – 110101111110 0100111

De plus, si vous obtenez une réponse, nous vous demandons instamment de ne pas la divulguer au travers de n’importe quel type de média. Nous vous prions très vivement de maintenir une réserve, car nous pourrions faire pression pour que vous accédiez à notre demande. Aussitôt que vous nous aurez fait savoir qu’une réponse a été obtenue, nous vous informerons sur le moyen de communiquer avec vous. C’est grâce à cette réponse que nous pourrons savoir s’il désire de nouvelles communications avec nous (trois derniers chiffres), et si le témoignage de F. Atienza est digne d’intérêt.

 

Nous allons rassembler les preuves que nous avons déjà données, afin que vous puissiez nous identifier, car nous espérons que votre réponse sera favorable dans ce cas précis. Nous pouvons convenir d’un lieu qui soit toujours en milieu urbain, en centre ville, qui ne vous inspire pas de crainte, afin de réaliser notre première entrevue.

 

Il est très important, Monsieur, que vous nous accordiez cette faveur. C’est par l’article paru dans la publication périodique L’ACTUALITÉ ESPAGNOLE, non pas tant pour le contexte du témoignage qui, en fait, ne contient aucune preuve tangible dans son contenu, de son authenticité, mais par la personnalité de son auteur, Espagnol de renom, que nous accédons à vous, et ce, grâce aux moyens d’information qui nous conduirons jusqu’à vous.

 

Nous vous adressons de nouveau, Monsieur, nos salutations distinguées à vous, vos parents et frères de la terre qui composent votre cercle de connaissances. De nouveaux succès sont à souhaiter en ce qui concerne la nouvelle mission du programme APOLLO, ainsi que les expérimentations dirigées vers OYAA Vénus et OYAA Mars effectuées par vos frères américains et soviétiques.

 

Image15

 

 

 

 

Laisser un commentaire