D70 F Divulgation contrôlée des rapports d’UMMO

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Courrier. (1)

M. ANTONIO RIVERA JORDA

Barcelonne – ESPAGNE (1)

Cher (au sens de respectable. NDT) Monsieur :

Nous osons vous envoyer ce texte dactylographié sans avoir avec vous un préalable lien d’amitié personnelle, comptant sur le fait que, possedant vous-meme par d’autres canaux intimes d’information, quelques faits ambigus sur notre existence sur TERRE, vous preterez pour le moins attention a notre salut. Permettez-nous, monsieur Antonio Rivera, de nous presenter sans autres explication pertinentes :

 

Cette lettre est dictée par Xoodou sept. (1) fils de Xoodou quatre (1). et je suis element individuel d’un groupe social reduit, expeditionnaire, arrivé sur ce globe solidifie et originaire d’un autre dont les caractéristiques physiques sont semblables à celles de la TERRE et dont le graphisme approximatif peut etre traduit à partir d’un phonème qui nous est familier, OUMO (« m » prolongé pour la prononciation).

 

Sa situation en fonction de la planète TERRE était, le 8 juillet (1) 1967 à 21H 18mn T. M. G. DE 14,421 années-lumière (distance apparente dans le milieu tridimensionnel habituel).

Nous sommes intégrés au groupe zoologique humain de ce Globe solidifié.

Cette présentation, M. Antonio Ribera, devrait etre déconcertante pour votre esprit, car vous n’avez pas reçu d’envoi préliminaires, comme ceux attribués à d’autres frères terrestre d’Espagne, faisantallusion à notre identité.

Nous vous invitons à évaluer tous ces faits, avec impartialité et methode en fonction de la logique opérationnelle connue sur terre. N’oubliez pas que pour accepter une révélation sans doute surprenante, il faut qu’elle soit accompagnée de preuve convaincantes, en évitant les aspects de l’affaire qui peuvent vous induire en erreur par leur éclat et leur coté suggestif.

Naturellement, le seul témoignage énoncé a travers le canal postal par des humains, ne doit jamais etre adopté comme seul élément valable.

Il est donc clair que nous ne desirons pas modifier votre prope jugement bien intégré dans votre esprit, que ce soit en faveur ou en négation de notre identité. Si par conséquent, vous adoptez une attitude hypercritique ou meme sceptique à outrance, celle-ci nous paraitra toujours orthodoxe et intelligente.

Assurément, cela constituera uen surprise pour vous, que de savoir qu’au mois d’avril 1965, certains de mes frères résidant en Espagne, ont ajouté votre nom à ceux de vos frères Monsieur Buelta et Monsieur Danyans, au sein d’une liste de présumés correspondants destinés à recevoir nos informations concernant notre existence dans le milieu social terrestre.

L’omission de cette intention ne devra pas etre attribuée à l’oubli ni à une attitude méprisante ou la peur de possibles réactions d’incrédulité logique.

Pendant que vous mainterniez certains liens avec un réseau organisé pour l’analyse des « Objet spaciaux sans identification » avec un degré de prestige et de possiblité d’accés aux moyens de diffusion sociale, non négligeables ; notre critère de relation sociale avec des hommes de la TERRE a été d’établir seulement des liaisons avec des individus sélectionnés appartenant à différents niveaux socio-culturels, qui, par leur silence probable, leur réserve mentale équilibrée ou dans d’autres cas, par leur oligoprestige intellectuel, ne constituant un risque présumé pour nous.

Vous-meme pouvez deduire sans arguments plus spécieux, que notre mission d’étude de ce gliobe solidifié exige un degré de réserve élevé. Nous croyons que nous maintenons une marge de sécurité étendue, en ne nous faisant pas connaitre officiellement, en n’apportant pas de preuves tangibles qui puissent aider les organes techniques gouvernementaux à confirmer notre existence (les documents ecrits qui proviennent de nous sont toujours élaborés avec un matériel connu).

 

Une quelconque indiscrétion de l’un de vos propres frères serait d’autre part facilemnt rendu stérile.

 

Ces mesures sévères ne sont en aucun cas un indice de « complot » (1) à l’échelle internationnale, ni une preuve d’une quelconque intention perverse de mes frères.

 

Ne doutez pas Monsieur Antonio Rivera, qu’une prise de conscience de notre présence réelle parmi vous provoquerait de trés graves altérations dont l’illégalité morale entre dans nos codes respectifs. Nous vous assurons que nous n’avons pas l’intention d’intervenir dans l’évolution de votre milieu politico-social terrestre et que nous pouvons apporter les preuves de notre conduite aseptique dans le cours de notre coexistence parmi vous, mais d’autres frères compatriotes ont aussi reçu nos documents.

Nous comprenons que dans le cours du temps il était inévitable qu’une infiltration de telles références ne parvienne à votre connaissance et à celle de vos frères de la ville de Barcelone.

 

Ce fut le prix d’une tentative semi-frustrée d’intégrer dans Madrid, un groupe réduit d’hommes et de femmes terrestres pour étudier (à une micro-échelle collective) l’impact que provoquerait une telle information sur des mentalités latines.

Maintenant nous désirons vous adresser une supplique, loin de toute intention occulte de contrainte. Nous invoquons seulement pour cela votre raison et votre sensiblité spirituelle.

Et non pas le respectpour des etres que vous ne connaissez pas et qui pourraient meme n’etre que des imposteurs. Nous vous invitons à analyser ces situations et leur objectivité.

Si en effet nous sommes des imposteurs, déments, farceurs ou menbres d’une organisation militaire, secte ou groupe terrestre (religieux, scientifique ou commercial), un quelconque témoignage de votre part garantissant notre identité s’écroulerait tot ou tard quand nous serions « démasqués » en discréditant votre renommée.

Si en effet notre témoignage est orthodoxe, fidèle à la réalité objective, une diffusion de l’information à l’échelle macro-sociale perturberait gravement l’actuel contexte géopolitique, assez difficile pour les terrestres, et entrainerait des troubles incontrolables parmi vos frères, en provoquant en ce qui nous concerne, de graves bouleversements car nous serions obligés d’évacuer ce globe solidifié en abandonnant une pacifique mission d’etude.

 

Une troisième hypothèse, pour que ce jugement ne puisse présenter des éléments tronqués, pourrait etre formulée par vous : nos intentions cachent, sous la couverture d’un mouvement pacifique, des plans belliqueux et des idées d’extermination de vos institutions et des habitants de cette planète. Observez que si cela était, nos messages ne s’expliqueraient pas, pas plus que cette lettre. N’importe lequel de vos frères spécialisé en logistique militaire vous conseillerait la réserve la plus totale comme préalable indispensable à de telles manœuvres romanesques. Ces considérations vont-elles dans le sens de notre cordiale supplique ? Nous ne voyons pas d’objections à ce que vous fassiez des allusions au sujet de notre existence, de nos institutions, de notre culture, religion, origine… dans vos propres publications ou déclarations sur les moyens de communication social ; il en est de même pour l’insertion des fragments de nos écrits ou reproductions de nos graphiques, en respectant toujours la fidélité de la transcription. Au moment d’émettre votre propre jugement sur la problématique de notre existence et sur la validité de nos témoignages, nous vous prions de ne pas vous efforcer à l’accepter positivement mais de simuler toujours un certain degré modéré de scepticisme et de vous abstenir de ratifier avec des arguments convaincants vos propres transcriptions.Et n’oubliez pas que la transmission de certains faits jusqu’aux organismes officiels peut provoquer de sérieux préjudices pour nous. Un véritable appui vous sera offert dans le cas improbable où la diffusion de tels documents provoquerait une effervescence sociale indésirable. Il ne nous serait pas difficile de simuler la nature frauduleuse de ces témoignages, en les discréditant efficacement. Votre renommée en ressortirait intacte. Recevez, monsieur Antonio Rivera , mon salut respectueux, j’espère que vous recevrez d’autres informations dès que ceux qui constituent notre Hiérarchie nous en donneront l’autorisation.

 

 

 

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